WholesAle Credit - Canadian Equipment Dealer Magazine
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Industry News Nouvelles de l’industrie Wholesale Credit – What every Dealer should know… Crédit « vente et inventaire » d’équipement– Ce que tous les concessionnaires devraient savoir… by / par Joanne Wiebe T he turmoil that the financial markets have placed on credit availability in the agricultural equipment industry is one that most dealers did not see coming. A lot of Canadian equipment dealers were reporting record years for sales and profitability, and were hopeful that this increased sales activity over the past two years would be sustained over a long time. Although there still are competitive retail credit options available for the farmer, at the wholesale level the declining credit availability certainly has the potential to slow down the movement of equipment from the plant to the dealership, and ultimately negatively affect sales. With strong commodity prices, demand for food growing worldwide and a developing bio-fuels industry, all signs were there that perhaps agriculture had turned the corner and the future was very bright. And even though for the first five months of the year equipment sales have been strong (relative to 2008 and 2007 numbers), the lingering question is how much is credit availability going to impact the market place as we go forward. Canadian dealers who are having difficulty finding proper inventory financing are definitely not alone. Even in a good market, loans for inventory can be one of the most difficult lending instruments to locate and understand. Inventory financing is unique and complex. Unlike other types of financing, inventory financing programs tend to be molded to a particular business application as there is too much variability for a one size fits all financing product. This is yet another reason why most lenders are not interested in financing inventory. Retail is viewed as simple and straight forward, while wholesale is viewed as multifaceted and convoluted. While the current credit challenge before dealers was unexpected, one should not assume that things were perfect prior to last fall. The North American Equipment Dealers Association was addressing a number of problems on behalf of dealers with manufacturers who had 6 canadian equipment dealer L a turbulence des marchés financiers a placée la disponibilité de crédit dans l’industrie d’équipement agricole à un seuil que la plupart des concessionnaires n’avaient pas vu venir. Beaucoup de concessionnaires d’équipement canadiens annonçaient une année de ventes et de rentabilité record, et avait bon espoir que cette activité de ventes accrues des deux dernières années serait soutenue sur une longue période de temps. Bien qu’il y ait toujours des options compétitives pour le crédit au détail disponibles pour les agriculteurs, au niveau de la vente d’équipement la disponibilité déclinante du crédit a certainement le potentiel pour ralentir le déplacement des stocks de l’usine au concessionnaire et affecter négativement les ventes. Avec le prix des matières premières qui est très haut, la demande pour les produits alimentaires grandissante dans le monde entier et le développement des industries de biocarburants, tous les signes étaient présents pour un changement vers un avenir en agriculture très rentable. Bien que les ventes d’équipements pendant les 5 premiers mois aient été fortes (comparables aux chiffres de 2007 et 2008). La question demeure, quel sera l’impact de la disponibilité du crédit si les marchés continus de la sorte. Les concessionnaires canadiens ayant de la difficulté à trouver le financement d’inventaire ne sont certainement pas seuls. Même quand les marchés sont meilleurs, un prêt pour l’inventaire peut être l’un des prêts le plus difficile à faire et à comprendre. Le financement d’inventaire est unique et complexe. Quoique différent des autres types de financement, les programmes de financement d’inventaire ont tendance à être modelé sur une application particulière de gestion parce qu’il y a beaucoup de variation pour être dans un seul produit de financement. C’est une autre raison pour laquelle la plupart des prêteurs ne sont pas intéressés par le financement d’inventaire. La vente au détail est vue comme simple et directe tandis que l’inventaire est à multiples facettes et complexe. Les défis actuels du crédit étaient inattendus pour les concessionnaires, il ne faudrait pas supposer que les choses étaient parfaites à l’automne concessionnaire agricole canadien Industry News Nouvelles de l’industrie Canadian dealers who are having difficulty finding proper inventory financing are definitely not alone. Even in a good market, loans for inventory can be one of the most difficult lending instruments to locate and understand. Les concessionnaires canadiens ayant de la difficulté à trouver le financement d’inventaire ne sont certainement pas seuls. Même quand les marchés sont meilleurs, un prêt pour l’inventaire peut être l’un des prêts le plus difficile à faire et à comprendre. made arrangements with lenders for wholesale financing programs. At the end of the day, dealers lost millions of dollars and have been stuck with inventory they feel that they cannot sell, and no warranty or parts support is available. So in this time of seeking out credit and wholesale financing alternatives, a reminder of a best practices approach to inventory financing with your manufacturers is prudent. Based on these experiences within NAEDA, we asked our legal counsel to put together a tutorial of what dealers can undertake to protect themselves when dealing with an inventory finance company, your supplier and floor planning issues in general. Prefer manufacturers that provide their own floor planning. This approach is not without concerns, but it creates less risk to the dealer. As a second alternative, use a floor-planning company that does not lend to the manufacturer. Be wary of any program that requires a dealer to use a specific lender. These captive programs are more risky than programs that require a floor planner to compete for business. Refuse to provide an irrevocable letter of credit. The lender/dealer relationship is one-sided in favour of the lender to begin with. Agreeing to a letter of credit places a dealer at the mercy of a lender and allows a lender to virtually wipe out a dealer with one phone call. No lender will ever negotiate when there is such an imbalance of power. A lender is most likely to require a letter of credit when the lender determines that a dealer lacks the resources to complete the deal. If a letter of credit is required, that is a strong sign that a dealer should walk away from the relationship. Resist the so-called “requirement” for a personal guaranty. The simple fact is that dealers have more to offer than they believe they do. If the market is particularly important to a manufacturer, some requirements may be waived. This is particularly true for canadian equipment dealer passé. NAEDA a dressé un nombre de problèmes que les concessionnaires rencontraient avec les manufacturiers qui avaient pris des mesures avec des prêteurs et des programmes de financement d’inventaire. À la fin de la journée, les concessionnaires ont perdu des millions de dollars et sont restés pris avec des inventaires qu’ils estiment ne pas pouvoir vendre, donné de garantie ou fournir des pièces. C’est probablement le temps de rechercher une autre alternative de crédit et de financement pour l’inventaire d’équipement, rappelez-vous d’être prudent dans l’approche du financement d’inventaire auprès de vos manufacturiers. Basé sur des expériences internes de NAEDA, nous avons demandé à nos avocats de mettre en place des instructions pour que les concessionnaires puissent se protéger eux-mêmes lorsque vient le temps de négocier avec une compagnie de financement d’inventaire, généralement vos fournisseurs de vos « floor plan ». Vous devriez prioriser les manufacturiers ayant leur propre « floor plan ». Cette approche n’est pas sans inquiétudes, mais il crée moins de risques aux concessionnaires. Comme seconde alternative, utiliser une compagnie de « floor plan » qui ne prête pas aux manufacturiers. Soyez vigilant à tout programme qui exige un concessionnaire à utiliser un prêteur spécifique. Ces programmes captifs sont plus risqués que le programme qui est requis avec le « floor plan » de la compagnie. Refuser de fournir une lettre de crédit irrévocable La relation entre prêteur/concessionnaire est en faveur du prêteur pour commencer. Convenir à une lettre de crédit place le concessionnaire à la merci du prêteur et permet au prêteur d’anéantir pratiquement le concessionnaire avec un simple appel téléphonique. Aucun prêteur ne voudra négocier tant qu’il y aura un tel déséquilibre de pouvoir. Un prêteur exigera d’avantage une lettre de crédit s’il détermine que le concessionnaire ne dispose pas des ressources nécessaires pour compléter la transaction. Si une lettre de crédit est nécessaire, c’est un signe révélateur que le concessionnaire ne devrait pas embarquer dans cette relation d’affaire. concessionnaire agricole canadien 7 Industry News Nouvelles de l’industrie The simple fact is that dealers have more to offer than they believe they do. C’est le simple fait que les concessionnaires ont plus à offrir qu’ils ne le croient. dealers in areas where a manufacturer is not currently selling. When a dealer shows a willingness to walk away from a deal, many times a “requirement” simply goes away. Negotiate the terms of the dealer agreement and financing plan. Dealers are routinely given form contracts and asked to sign on the dotted line. Dealers do not, however, have to accept everything. Agreements are rarely true “take-it-or-leave-it” propositions. If a provision is troublesome, ask to have it removed. If a manufacturer or finance company will not remove the provision, then you have to decide if you should walk away. Sometimes the best deals are the ones that a dealer doesn’t make. Tailor the agreement narrowly to meet the specific purpose. For instance, if a wholesale lender is providing financing to allow a dealer to buy specific equipment, then the corresponding security agreement should match the purpose. A security interest in the equipment that was purchased using floor-plan financing is perfectly appropriate. Any security interest in other inventory, a dealer’s parts inventory or land and buildings is over-reaching by the lender and should be rejected. Monitor the financial health of both the manufacturer and the lender. Lenders and some manufacturers routinely ask dealers for updated financial information. It is both fair and appropriate for dealers to ask manufacturers and lenders alike for certified financial information. If a company is publicly traded, then much information will already be available on the Internet. When dealing with a conglomerate, ask for the financials from the division that you are dealing with. The simple fact is that spotting diminishing financial health early may provide either a warning sign to avoid a problem or a signal that opportunities are on the horizon. Ask to see the financing agreements between the manufacturer and the lender. There is always some type of reporting requirement and the lender is usually intimately involved with the manufacturer’s business as a legitimate way to protect its investment. As a result, most financing companies have far more knowledge about the manufacturer than any dealer can. A lender can see sales trends and know whether shipments to dealers are meeting market demand or are just swelling dealer inventories. Dealers can understand their own markets, but only manufacturers and their lenders have enough information to determine the overall market for the manufacturer’s products. Agreements between lenders and manufacturers sometimes include canadian equipment dealer Résister à la soi-disant « exigence » d’une garantie personnelle. C’est le simple fait que les concessionnaires ont plus à offrir qu’ils ne le croient. Si vos ventes sont particulièrement importantes pour un manufacturier, un certain nombre d’exigences peuvent être résiliées. C’est particulièrement vrai pour les concessionnaires dans les secteurs où le manufacturier n’a pas de vendeur actuellement dans la région. Quand un concessionnaire démontre une volonté de se retirer d’une transaction, dans la plus part des cas les « exigences » disparaissent. Négocier les termes du contrat et du plan financier Les concessionnaires ont majoritairement en main des contrats de ventes prédéfinis et on lui demande simplement de signer sur la ligne. Toutefois, ils ne sont pas tenus de tout accepter. Les accords « à prendre ou à laisser » sont rarement réels. Si une clause cause des problèmes, demandez simplement à ce qu’elle soit retirée. Si un manufacturier ou une compagnie de financement refuse de retirer la clause, vous aurez le choix de rester ou de partir. Souvent, les meilleurs « deals » sont ceux que nous ne faisons pas. Personnaliser le contrat pour rencontrer les objectifs spécifiques. Par exemple, si le prêteur financier permet au concessionnaire d’acheter un équipement spécifique, les clauses du contrat doivent correspondre avec les objectifs. Garder un lien sur l’équipement qui a été acheté avec le financement « floor plan » est parfaitement acceptable. Tout autre lien dans d’autre inventaire, comme l’inventaire de pièce ou de terrains et bâtiments est exagéré et devrait être rejeté. Surveiller la santé financière autant du prêteur que du manufacturier. Les prêteurs et certains manufacturiers demandent régulièrement aux concessionnaires une mise à jour de leur situation financière. Il est toutefois aussi justifié pour les concessionnaires de demander pareilles informations aux manufacturiers et aux prêteurs. Si une entreprise est cotée à la bourse, alors beaucoup d’informations sont déjà disponibles sur Internet. Lorsque vous faites affaire avec un groupe d’entreprise, demander les états financiers de la division avec laquelle vous faites affaire. Le simple fait de découvrir une détérioration de la santé financière devrait être considéré comme un signal d’alarme sur d’éventuels problèmes ou un signal d’opportunité à l’horizon. Demander à voir les clauses de financement entre le manufacturier et le prêteur. Il y aura toujours certains types de conditions et le prêteur est étroitement lié avec le manufacturier pour protéger son investissement. En conséquence, la plupart des compagnies de financement en savent beaucoup plus sur les manufacturiers que les concessionnaires. Un prêteur peut voir les tendances de ventes ou si le manufacturier augmente sans raison l’inventaire du concessionnaire. Les concessionnaires concessionnaire agricole canadien 9 Industry News Nouvelles de l’industrie Dealers have more power than many of them believe and walking away from a bad deal is far better than agreeing to unacceptable terms just to get a deal done. authorization for manufacturers to make promises regarding financing. Knowing what a manufacturer is authorized to do may help a dealer spot a promise that a manufacturer can’t keep. Be wary of floor-plan programs that include no reserves regarding payments to manufacturers. If a floor plan company functions as a mere ATM for a manufacturer and pays each invoice in full, without reserves, there are legitimate concerns that the manufacturer will focus primarily on getting equipment on dealer lots rather than in the hands of consumers. The floor-plan program must reward manufacturers for sales to the consumer through the release of reserve funds or something similar. Be wary of floor-plan programs that finance the invoice price rather than the actual price. If manufacturers are paid the full invoice price without regard to the incentive programs financed by the manufacturer, a dealer’s floor plan overstates the true debt and places a dealer at greater risk when a manufacturer goes under. The dealer has negative equity in its inventory immediately when equipment is delivered and this upside down position worsens when a manufacturer fails. Floor-plan companies do not care about the problems they create by paying full invoice price and expect dealers to pay the full balance on their accounts, plus the additional interest and other charges. Creating the problem does not diminish the floor planner’s desire to collect additional profit. Be wary of deals that sound too good to be true. For instance, manufacturers lure dealers into accepting unordered inventory by promising that the equipment would be interest free and would not become due until sold. We have seen more than one Canadian manufacturer abuse this tactic in the past, leaving the dealer in a precarious position; especially if the manufacturer goes under. Sometimes special deals miraculously end when the manufacturer has personnel changes. Any such offer should send a message. It is best to avoid the question altogether. Similarly, manufacturers may offer “not even zero” financing to consumers. A manufacturer in the past promised to rebate all interest on consumer loans and even rebate more than the actual interest. Once the company went into receivership many dealers faced resentful customers. Many manufacturers offer a substantial discount in exchange for paying cash in advance. There are struggling manufacturers who 10 canadian equipment dealer peuvent comprendre leur propre marché mais seulement les prêteurs et les manufacturiers ont suffisamment d’informations sur le marché global pour savoir quel produit est et sera en demande. Les accords entre prêteurs et manufacturiers comprennent parfois des autorisations pour les fabricants de faire des promesses en matière de financement. Savoir ce qu’un manufacturier est autorisé à faire peut aider les concessionnaires à découvrir une promesse que le manufacturier ne pourra tenir. Méfiez-vous des programmes de « floor plan » n’incluant aucune réserve sur les paiements aux manufacturiers. Si la compagnie de « floor plan » fonctionne comme un simple « guichet » pour le manufacturier et paye chaque facture en totalité, sans réserve, il est légitime de craindre que le manufacturier se concentrera principalement sur l’équipement chez le concessionnaire plutôt que celui chez le consommateur. Le programme de « floor plan » doit récompenser les manufacturiers pour les ventes aux clients en libérant les réserves ou quelque chose de semblable. Méfiez-vous des « floor plan » qui finance le montant de la facture plutôt que le prix actuel. Si les manufacturiers sont payés au total des factures sans égard aux programmes de financements du manufacturier, le « floor plan » du concessionnaire surestime véritablement la dette et place le concessionnaire à un risque plus élevé quand un manufacturier fait faillite. Le concessionnaire a des répercussions négatives immédiate sur l’équité de son inventaire lorsque l’équipement est livré et cette situation s’aggrave lorsqu’un manufacturier fait faillite. Les compagnies de « floor plan » ne se soucient pas de créer des problèmes en payant le montant total des factures et exiger les concessionnaires de payer la balance en totalité ainsi que les intérêts et les autres frais encourus. Créer ce problème ne diminue en rien le désir du planificateur de « floor plan » de faire des profits additionnels. Méfiez-vous des offres ayant l’air trop belles pour être vraies. Par exemple, les manufacturiers tentent d’attirer les concessionnaires à accepter de l’inventaire non commandé en promettant que le matériel serait sans intérêts et ne serait réclamé au concessionnaire seulement au moment de la vente de l’équipement. Nous avons noté plusieurs manufacturiers canadiens abuser de cette tactique par le passé, laissant le concessionnaire dans une situation précaire, surtout si le manufacturier fait faillite. Parfois, les offres spéciales prennent miraculeusement fin lorsque le manufacturier a des changements de personnel. Ce genre d’offre devrait envoyer un message clair. Il est préférable d’éviter ces situations complètements. De même, les manufacturiers peuvent offrir « zéro et plus » pour concessionnaire agricole canadien Industry News Nouvelles de l’industrie Les concessionnaires ont beaucoup plus de pouvoir qu’ils n’en croient et se distancer d’une mauvaise entente est beaucoup mieux que d’accepter des termes non acceptable juste pour compléter une transaction. use this tactic to essentially borrow dealer money to finance current operations. Once the money is gone, these companies are unable to complete their promises. The promise of the pre-pay discount may be simply too good to be true. Make sure that the people making the promises are the same people who are responsible for keeping the promises. When a manufacturer promises financing terms, but financing comes from another company, be suspicious and demand proof. Don’t be lured in unless you are provided something in writing from the financing company adopting the terms. While it may be possible to establish later that there was enough authority extended by a financing company to make a manufacturer’s promise binding, proving authority is an expensive proposition and requires a great deal of effort and time. Avoid questions and document both the promises and the means that will be used to keep the promises. O ur counsel acknowledges there is no way to eliminate all risk associated with inventory financing, and that some of their suggestions may be difficult to implement. But the starting point is for you to carefully read the documents provided and remember that nobody will care about verbal promises made by a company representative. The documents will continue in effect long after memories fade and employees move on to other companies. If the financing contract contains unacceptable terms, then a dealer must be willing to say no. Dealers have more power than many of them believe and walking away from a bad deal is far better than agreeing to unacceptable terms just to get a deal done. Dealers can Duty and shouldHeavy demand fair Duty contracts. This should Heavy be the accepted practice in times of both limited and widely Equipment Technician Equipment Technician available credit. at ACC at ACC Heavy Duty Equipment Technician Heavy Duty Equipment Technician at ACC • Hands-on learning in spacious, well-equipped shops and labs • Excellent job opportunities • Accredited toward Manitoba’s Agriculture Technician • Equipment Hands-on learning in Apprenticeship program spacious, well-equipped shops and labs • Excellent job opportunities • Accredited toward Manitoba’s Agriculture Equipment Technician Apprenticeship program at ACC WWW.ASSINIBOINE.NET • Hands-on learning in spacious, well-equipped shops and labs • Excellent job • Hands-onopportunities learning in • Accredited toward spacious, well-equipped Manitoba’s Agriculture shops and labs Equipment Technician • Excellent Apprenticeship job program opportunities • Accredited toward Manitoba’s Agriculture Equipment Technician Apprenticeship program E-mail [email protected] for more information. E-mail [email protected] for more information. WWW.ASSINIBOINE.NET WWW.ASSINIBOINE.NET E-mail [email protected] canadian for more information. le financement aux clients. Par le passé, un manufacturier a promis de rembourser les intérêts sur les prêts aux consommateurs et même des rabais plus hauts que le montant d’intérêts actuel. Une fois que le manufacturier est mis en faillite, plusieurs concessionnaires ont fait face à des clients très amers. Plusieurs manufacturiers proposent un rabais important en échange de paiement comptant d’avance. Il y a des manufacturiers qui utilisent cette tactique essentiellement pour emprunter de l’argent aux concessionnaires pour financer leurs opérations. Une fois l’argent parti, ces compagnies sont incapables de remplir leurs promesses. La promesse d’un rabais prépayé peut être simplement trop beau pour être vrai. Assurez-vous que les gens qui font les promesses sont les mêmes qui sont chargés de les tenir. Lorsque les manufacturiers font des promesses de financement, mais que le financement provient d’une autre compagnie, méfiez-vous et exiger une preuve écrite. Ne vous laissez pas faire prendre à moins que l’on vous montre les clauses écrites du prêt de la compagnie de financement. Bien qu’il soit possible d’établir plus tard qu’il y avait suffisamment d’autorisation pour approuver les méthodes de financement et les promesses du manufacturier, prouver qui autorise peut devenir coûtant et nécessiter beaucoup d’efforts et de temps. Évitez les questions, documenter les promesses et les façons qu’elles seront appliquées pour les tenir. N os aviseurs légaux reconnaissent, qu’il n’est pas possible d’éliminer tous les risques liés au financement d’inventaire, et que certaines de leurs suggestions peuvent être difficiles à mettre en œuvre. Mais le point de départ pour vous, est de lire tous les documents fournis et de se rappeler que personne ne prendra en considération les promesses verbales faites par un représentant de compagnie. Les documents resteront toujours et ce, même si les mémoires s’estompent et les employés ont quitté la compagnie pour une autre. Si un contrat de financement contient des termes inacceptables, un concessionnaire doit toujours être prêt à dire non. Les concessionnaires ont beaucoup plus de pouvoir qu’ils n’en croient et se distancer d’une mauvaise entente est beaucoup mieux que d’accepter des termes non acceptable juste pour compléter une transaction. Les concessionnaires peuvent et devraient exiger des contrats justes et équitables. Ceci devrait être une norme quand le crédit est difficile ou quand il est facile d’emprunter. E-mail [email protected] for more information. equipment dealer E-mail [email protected] concessionnaire agricole canadien 11