Le web 2.0 : blogs et flux

Transcription

Le web 2.0 : blogs et flux
27/03/2007
Christophe Bulté - [email protected]
1
Le web 2
2.0
0

27/03/2007
Historique de l’Internet
l Internet et du web
Principes théoriques
Exemples d'application
2
Les blogs

Principes
P
i i
ttechniques
h i
Avantages et inconvénients
Trouver des blogs pertinents :
Moteurs
de recherche
Répertoires,
Interconnexion

Exemples d'incontournables
27/03/2007
3
Les flux rss

Aspects
A
t techniques
t h i
Logiciels
Quelques exemples
27/03/2007
4
Les podcasts

Principes
P
i i
ttechniques
h i
Moteurs de recherche dédiés
Podcasts médiatiques
Podcasts académiques
Podcasts personnels
27/03/2007
5
Etat de la situation

L usage du web est devenu la composante
L’usage
informative privilégiée par la majorité de la
p p
population.
La révolution numérique touche les contenants
qui influencent à leur tour les contenus.
La présence d’informations accessibles via le
réseau est devenue primordiale pour toute
institution ou personne : effet vitrine
vitrine.
Depuis quelques années le public ne se
contente plus d
d’information
information : il veut être créateur
et acteur de l’information.
27/03/2007
6
Le web 2
2.0
0

27/03/2007
Historique de l’Internet
l Internet et du web
Principes théoriques
Exemples d'application
7
Web 1
1.0
0 Æ Web 1
1.5
5

Dans sa conception
D
ti originale,
i i l lle W
Web
b ((nommé
é
dans ce contexte le « Web 1.0 ») comprenait des
pages Web
W b statiques
t ti
quii ét
étaient
i t rarementt mises
i
à
jour, voire jamais.
Les succès de solution se basant sur un Web
dynamique (parfois appelé « Web 1.5 »), où des
systèmes de gestion de contenu servaient des
pages Web dynamiques, créées à la volée à partir
d'une base de données en constant changement.
27/03/2007
8
Web 1
1.5
5 Æ Web 2
2.0
0

Les partisans
L
ti
d
de l'l'approche
h W
Web
b2
2.0
0 pensentt que
l'utilisation du Web s'oriente de plus en plus vers
l'i t
l'interaction
ti entre
t les
l utilisateurs,
tili t
ett lla création
é ti d
de
réseaux sociaux rudimentaires, pouvant servir du
contenu
t
exploitant
l it t les
l effets
ff t de
d réseau,
é
avec ou
sans réel rendu visuel et interactif de pages Web.
En ce sens, les sites Web 2.0 agissent plus
comme des points de présence, ou portails Web
centrés sur l'utilisateur plutôt que sur les sites web
traditionnels.
27/03/2007
9
Principes du Web 2
2.0
0 (1)

Conceptt apparu en 2004 d
C
dans un b
butt d
de relance
l
de l’Internet après le crash de 2002.
Profite des révolutions « Open ».
Web 2.0 est un terme souvent utilisé pour
p
désigner ce qui est perçu comme une transition
importante
p
du World Wide Web,, p
passant d'une
collection de sites Web informatifs à une plateforme informatique
q àp
part entière,, fournissant des
services aux utilisateurs.
27/03/2007
10
Principes du Web 2
2.0
0 (2)

Le W
L
Web
b2
2.0
0 n'est
' t pas un standard
t d d mais
i plutôt
l tôt une
série de principes d'utilisation de technologies
existantes qui vise à une participation plus forte
de l’internaute.
Le Web 2
2.0
0 définit et regroupe à la fois
de
nouvelles pratiques sociales sur Internet.
de nouvelles techniques de conception de
sites/services/applications.
un nouveau microcosme économique (nouveaux
marchés, nouvelles entreprises et nouveaux modèles
économiques).
27/03/2007
11
Essai de définition

La défi
L
définition
iti précise
é i d'
d'une application
li ti W
Web
b2
2.0
0 estt
encore chaudement débattue. Cependant, il est
généralement
é é l
t admis
d i qu'un
' site
it W
Web
b2
2.0
0d
doit
it
montrer certaines caractéristiques :
le
site ne doit pas être un jardin secret, c'est-à-dire qu'il
doit être aisé de faire rentrer ou sortir des informations
du système.
système
le site doit être entièrement utilisable à travers un
navigateur standard
standard.
le site doit présenter des aspects de réseaux sociaux.
27/03/2007
12
Évolutions concrètes (1)

Passage d'une
d une publicité uniformisée
uniformisée, basée sur les
bandeaux (DoubleClick) à des publicités
contextuelles,, ciblées sur les recherches de
l'internaute (Google Adsense).
Paiement de publicité effectué en fonction du
nombre
b d
de pages vues, il s'effectue
' ff t maintenant
i t
t en
fonction du nombre de clicks.
Passage d'une
d une solution payante experte
(Britannica) à une solution gratuite créée par la
communauté (Wikipedia).
(
p
)
Passage de sites personnels créés par des
spécialistes aux blogs.
27/03/2007
13
Évolutions concrètes (2)

Passage d'une
d une époque où le nom de domaine était
l'objet de spéculation à une époque de recherche
d'optimisation
p
p
pour les moteurs de recherche.
Passage de la publication de contenus par des
rédacteurs à la participation de tous les
i t
internautes.
t
Passage de systèmes individuels de gestion de
contenus (CMS) aux Wikis (gestion de contenus
contenus,
gestion des rédacteurs et utilisateurs).
Passage des annuaires de sites à des systèmes de
recherche basés sur des mots-clés définis par les
utilisateurs.
27/03/2007
14
Aspect négatif (1)

Pointé par Tim O'Reilly dès 2004 durant une conférence
conférence.
Son analyse est la suivante: les utilisateurs sont passés
d'une
d
une «ère de “hardware
hardware lock”
lock où l'informatique
l informatique était
verrouillée par les constructeurs d'ordinateurs à une ère de
“software lock in” où les éditeurs de logiciels faisaient la loi
pour entrer avec Internet dans l'ère du “data lock in”
in”».
On entend par “data lock in”, le fait pour une entreprise de
proposer des services gratuits en échange d'informations
d informations
portant sur l'utilisateur. On peut donc considérer que ce
sont ces informations-là qui représentent un capital, un
patrimoine valorisé par certaines entreprises
entreprises.
27/03/2007
15
Aspect négatif (2)

Ce genre de sites cherchent donc à fidéliser au maximum
leurs utilisateurs car plus l'entreprise a de données
personnelles d'un utilisateur, moins elle a de chance de le
p
voir quitter du jour au lendemain le service. L'entreprise
peut par la suite utiliser ces informations dans des
campagnes marketing.
marketing
Ce concept n'est pas propre au Web 2.0. Il est en fait
présent depuis
p
p
le Web 1.0. Si l'on regarde
g
les différents
services proposés gratuitement dans les années 90, on se
rend compte que des services d'hébergement gratuit
exploitaient déjà ce concept
concept.
27/03/2007
16
Aspects problématiques

Le grand public donne son avis,
avis recommande,
recommande plébiscite
plébiscite,
juge, fait les classements… Autant d’actions qui hier
étaient dévolues aux experts.
p
Par conséquent, la question de la validité intellectuelle se
pose : que vaut le matériel que ces sites 2.0 mettent en
ligne ? Comment éviter l’adoubement d’informations
mensongères ou partiales ?
Le commentateur devient anonyme.

L’anonymat pur et simple par : occultation identitaire (l’auteur ne
signe plus ses articles, reste dans l’ombre) ou foisonnement des
auteurs (Qui est ll’auteur
auteur d’un
d un article sur Wikipedia ?)
La schizophrénie des avatars.

Implique une refondation du droit d’auteur.
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17
Conséquences du Web 2
2.0
0

C’estt une é
C’
évolution
l ti ttechnique
h i
quii titientt compte
t d
de
l’individualisation de la société pas une révolution.
C’est plus une philosophie qu’une réalité concrète.
L’utilisateur accepte
p de devenir p
plus actif.
De véritables communautés (tribus) se créent
autour de plateformes
plateformes.
L’information et les services offerts par ces
plateformes sont en perpétuelles évolution
(syndrome béta).
27/03/2007
18
Technologies web 2
2.0
0

F lk
Folksonomie
i
Répertoires
communs (Flickr, Youtube,
D il
Dailymotion,
ti
Lib
Librarything).
thi )
Social bookmarking (Del.icio.us utilisé par la
S b
Sorbonne)
)
Wikis (Wikipedia, Wikiasari, Bibliopedia,
usages internes).
Blogs
Flux de veille (Rss, Atom, Podcast).

27/03/2007
19
Les blogs

Principes
P
i i
ttechniques
h i
Avantages et inconvénients
Trouver des blogs pertinents :
Moteurs
de recherche
Répertoires,
Interconnexion

Exemples d'incontournables
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20
Définitions

Un bl
U
blog estt un site
it W
Web
b constitué
tit é par lla réunion
é i
d'un ensemble de billets triés par ordre
chronologique Chaque billet (appelé aussi note
chronologique.
ou article) est, à l'image d'un journal de bord ou
d'un
d
un journal intime, un ajout au blog ; le blogueur y
porte un texte, souvent enrichi d'hyperliens et
d'éléments multimédias et sur lequel chaque
lecteur peut généralement apporter des
commentaires. Le concept blog est assez vague
pour autoriser
t i
ttoutes
t ces utilisations.
tili ti
Le premier blog date de 1994.
27/03/2007
21
Les blogs

Il y a aujourd’hui
aujourd hui environ 60 millions de blogs
actifs dans le monde. 800.00 blogs sont créés
chaque jour soit 900
900.000
000 posts/jour
posts/jour.
Les plates-formes proposant des blogs
t t l
totalement
t privés
i é protégés
té é par mott de
d passe
trouvent nombre de clients, et certaines
affirment
ffi
t que la
l majeure
j
partie
ti d
de lla
blogosphère consiste en des blogs privés.
Depuis 2 ans, grande importance dans l’espace
politique, économique et culturel mondial.
27/03/2007
22
Aspects techniques (1)

La publication
L
bli ti d’
d’un bl
blog estt généralement
é é l
t ffacilitée
ilité
par l'emploi d'un logiciel spécialisé (un Système
de gestion de contenu) : il met en forme le texte et
les illustrations sous la direction du blogueur, il
construit des archives automatiquement, il offre
des moyens de recherche au sein de l'ensemble
des billets et enfin gère les commentaires des
internautes lecteurs.
Ces outils permettent ainsi à chacun de publier du
contenu, sans connaissances techniques
préalables relatives à la conception de sites Web.
27/03/2007
23
Aspects techniques (2)

Les bl
L
blogs sontt en ffaitit majoritairement
j it i
t édité
édités
grâce à des systèmes de gestion de
contenu
t
hébergés
héb é ett administrés
d i i t é par d
des
entreprises dont les services très populaires
allègent
llè
t considérablement
idé bl
t lles ét
étapes
techniques relatives à la conception de sites
Web. Ces entreprises sont financées par la
publicité et par les services à haute valeur
ajoutée.
27/03/2007
24
Aspects structurels (1)

Chaque billet est daté et entre donc dans une suite
chronologique. Cependant, sur la page d'accueil,
l'accumulation de ces billets est souvent p
présentée p
par
anté-chronologie.
Ces billets sont catégorisables, ce qui permet d’y accéder
par un ordre logique et pas chronologique.
chronologique
La page d'accueil doit refléter les changements les plus
récents ; ll'auteur
auteur suit l'idée
l idée d
d'un
un public qui prend
connaissance régulièrement de l'évolution du site. Les
billets étant présentés figés dans le temps, l'auteur ne les
modifie généralement qu'en publiant un addendum intitulé
«mise à jour».
27/03/2007
25
Aspects structurels (2)

L’un d
L’
des avantages
t
d
de bl
blogs estt que lla
présentation varie peu d'un blog à un autre,
rendant
d t ainsi
i i l’l’accès
è aux iinformations
f
ti
ttrès
è iintuitif.
t itif
La
structure chronologique des billets impose une
structure
t t
semblable.
bl bl
Les mêmes fonctionnalités reviennent souvent car elles
sont bien adaptées à une lecture à partir d'un
d un
navigateur.

Ce format et l’hébergement
l hébergement réduisent les
possibilités créatives dans le design des blogs.
27/03/2007
26
Gestion des commentaires (1)

Un blogueur autorise souvent ses utilisateurs à
laisser des commentaires, mêmes les plus
critiques, via un formulaire Web automatisé.
Tout blogueur peut également choisir de censurer
a priori les commentaires en publiant lui-même
ceux qu'ils
'il jugent
j
t valides,
lid
ou d
de censurer
totalement tout commentaire (sur un billet ou sur le
blog entier
entier.))
Cependant, le blogueur est, selon la législation,
légalement responsable de ce qui est affiché sur
son site et doit donc supprimer les commentaires
non conformes à la législation.
27/03/2007
27
Gestion des commentaires (2)

De plus
D
l en plus
l d
de bl
blogs d
deviennent
i
t lle centre
t
d'échanges approfondis au sujet duquel se
passionnent
i
t auteurs
t
ett lecteurs
l t
(notamment
( t
t au
sujet de l'actualité ou du Web).
Certains blogueurs accordent une place
prépondérante aux commentaires laissés sur leur
blog, qu'ils considèrent comme la raison
d'existence de leurs écrits ce qui rend difficile une
utilisation ultérieure de ses posts.
27/03/2007
28
Gestion des liens (1)
Les bl
L
blogs s'accompagnent
'
souvent d'
d'un
y
avancé de gestion
g
des hyperliens.
y
système
Une liste de blogs fréquentés par l'auteur
(appelée blogoliste,
blogoliste défileur ou blogroll) est
fréquemment présentée sous forme de
menu latéral.
l té l
Chaque
q billet s'accompagne
p g d'un lien
propre et statique (appelé permalien).

27/03/2007
29
Gestion des liens (2)

Avec les
A
l ttechniques
h i
d
de syndication
di ti d
de contenu,
t
telles que RSS ou Atom, il est possible d'inclure
di t
directement
t certains
t i billets
bill t sur son propre bl
blog.
Ce système de gestion des liens entre blogs
(quasi-standardisé) permet d'afficher, dans la
zone de commentaires d'un blog, des rétroliens
(appelés aussi pisteurs ou trackbacks)
accompagnés du résumé du billet vers lequel ils
pointent.
27/03/2007
30
Inconvénients (1)
Le monde des affaires,, des politiques
p q
et le
secteur associatif se sont aussi emparés de
l'outil, en tant que nouveau média de masse.
L bl
Les
blogs participent
ti i
td
donc dé
désormais
i aux
stratégies de communication.
La pertinence de l’information d’un blog
dépend de l’honnêteté du blogueur.
Certains blogueurs veulent mettre en avant
leur indépendance envers les médias
t diti
traditionnels
l ett leur
l
réactivité.
é ti ité C
Cela
l peutt
mener à des dérives.

27/03/2007
31
Inconvénients (2)

Il y a un risque de remettre en question diverses
pratiques en matière de démocratie.
Usenet qui se promettait au même but
Usenet,
but, a
rapidement perdu en popularité face à l'avènement
du web
web, submergé par une masse d'informations
d informations
douteuses noyant les fameux rares scoops et
succès contre la censure
censure, systématiquement mise
en avant comme justification du phénomène,
plombé par les problèmes de spam
spam, excédé par les
polémiques incessantes.
27/03/2007
32
Avantages

Ils sont très réactifs à l’actualité
l actualité.
Par principe on connait très facilement l’identité de
l auteur.
l’auteur
C’est un moyen de communication pratique pour
passer p
p
par-dessus des tentatives de censures ou
de limitations techniques.
Ils sont interconnectés.
Ils incluent une possibilité de commentaires et
donc de débats sur les billets publiés.
Il permettent
Ils
tt t un accès
è à des
d sources faisant
f i
t
parties du web profond.
27/03/2007
33
Trouver des blogs

Par réseau,
P
é
à partir
ti d’
d’un bl
blog jjugé
é iintéressant
té
t ett
trouvé via un moteur classique, on explore les
liens conseillés ou les blogs des commentateurs
commentateurs.
Des prix du « meilleur blog de l’année » sont
désormais réalisé par exemple : Best Medical
Weblog.
Il existe aussi des moteurs spécialisés :
27/03/2007
34
Technorati

Technorati est un moteur de recherche 2
2.0
0 sur Internet
spécialisé dans le domaine des blogs et du multimédia.
En août 2006, Technorati en indexait plus de 50 millions.
Technorati utilise et contribue aux logiciels libres.
Technorati a une communauté active de développeurs
dont beaucoup sont de la culture code source libre. Dave
Sifry, le créateur du moteur est lui-même un grand
défenseur de la cause du code source libre.
Technorati comprend un wiki public pour les développeurs,
où les développeurs et les contributeurs peuvent
collaborer ainsi que différentes interfaces de
programmation (API) ouvertes.
27/03/2007
35
Google Blog Search (1)
Lancé en 2005,, Blog
g Search est aussi
intégré à Blogger.
Lorsqu
Lorsqu'un
un utilisateur effectue une recherche
recherche,
Blog Search affiche deux types de résultats :
les blogs qui comprennent les termes
recherchés dans leurs titres, et les posts
correspondant à ces mêmes termes
termes.
Les blogs qui syndiquent des posts sont
automatiquement
t
ti
t ett régulièrement
é liè
tb
balayés
l é
par les serveurs Google.

27/03/2007
36
Google Blog Search (2)
Dès q
qu'un nouveau p
post est répertorié,
p
,
l'index Blog Search est actualisé et les
g
ainsi les
résultats de recherche intègrent
contenus les plus récents.
Recherches aux noms des blogs
blogs, aux
auteurs, ou à une période précise.
Blog Search propose également la
technologie SafeSearch de Google
permettant
tt t aux utilisateurs
tili t
de
d paramétrer
ét
leurs résultats de recherche.

27/03/2007
37
Les blogs dans le domaine scientifique

Devenus des moyens incontournables de diffusion
scientifique : dans le monde de l’enseignement supérieur
et la recherche, les blogs qui étaient encore peu utilisés
par les chercheurs en 2004 deviennent des outils reconnu
(42% des chercheurs américains en 2005, 54% en 2006).
Utilisation des blogs
g à fin d’analyse
y et de sondage.
g
Diffusion personnelle : Gregory Perelman, Technologies
du langage ou Biomedicine on Display .
A l
Analyse
d
des é
évolutions
l i
: Numismatique
N i
i
médiévale,
édié l
Remede.blog ou WSJHealth.
Implication dans la vie publique Realclimate.
Realclimate
Mise en avant d’expérience de professionnel et de la
grise :
littérature g
27/03/2007
38
Quelques blogs de bibliothécaires

Nicolas Morin : la star du blog bibliothéconomique.
bibliothéconomique
Marlene’s Corner : la rivale.
Urfist Info : produit par Unité Régionale de Formation à
l'Information Scientifique et Technique.
Pintiniblog
g : créé p
par un bibliothécaire de l’UCL.
Outils froids : rédigé par un professionnel de la veille
technique et technologique.
Homo numericus : réflexion sur les Tics et la société.
Bibliosession 2.0 : la bibliothèque 2.0.
P i tbl : les
Pointblog
l nouveautés
té d
de lla Bl
Blogosphère.
hè
Abondance : actualité des moteurs de recherche.
27/03/2007
39
Un blog institutionnel ?

Améliorer la relation avec les usagers en les informant de
ce qui se passe au sein de la l’institution.
Plus souple que le site web classique, il permet de diffuser
d’autres informations (critiques de livres, billets d’humeur).
Permet de renforcer la proximité : dans le temps, dans
l’espace, sociale et affective.
Pour une réussite, il faut : du concret, du particulier, un ton
personnel et acéré
acéré.
Il faut un animateur principal, un administrateur et des
participants
p
p
p
ponctuels.
Donne un coup de jeune à l’institution.
27/03/2007
40
Les flux rss

Aspects
A
t techniques
t h i
Logiciels
Intégration dans la bibliothèque
27/03/2007
41
Définition des flux ou des fils

Un fi
U
fichier
hi d
de ttexte
t structuré
t t é (l
(langage XML)
XML).
Créé et mis à jour automatiquement à partir de
conten web.
contenu
eb
Accessible via une adresse internet (http).
Présentant les dernières informations d’un site.
Plusieurs standards (RSS 1.0, 2.0, Atom).
Des collections de flux peuvent être créée et
diffusée via des fichiers opml.
Les blogs, wikis et CMS intègrent directement la
génération de flux.
27/03/2007
42
Fonctionnement

Le fi
L
fichier
hi RSS estt modifié
difié automatiquement
t
ti
t
quand le site est modifié.
Le fichier RSS contient :
un lien vers l’information originale là où elle a été
publiée.
publiée
un résumé de l’information, ses premières lignes ou son
g
intégralité.
les liens vers les images et les liens hypertextes sont
actifs la plupart du temps.
27/03/2007
43
Exemple
<rss version="2
version= 2.0
0">
>
<channel>
<item>
title Les flux rss </title>
/title
<title>
<link>
http://ulb.ac.be/documents/index.php?nkv=FLUX11111
</link>
<description>
Formation sur le web 2.0, partie RSS.
</description>
<author> BULTE Ch.</author>
<pubDate> 05 Jun 2007 14:25:52 +0100</pubDate>
</item>
</ h
</channel>
l>
</rss>
27/03/2007
44
Consultation ou réutilisation

L usager recopie l’url
L’usager
l url mise à disposition sur le site qui
l’intéresse identifié par une icône
L’usager
L
usager obtient le flux par un moteur dédié (Technorati,
La Moooche).

Il l’insère dans un dispositif de lecture.
Agrégateur.
A é t
Navigateur Internet.
Dispositif on-line.
Le flux est affiché.
Le logiciel met à jour automatiquement les flux.
L’usager
L usager peut aussi réafficher le flux sur son propre site (et
dans son canevas graphiques) via un système de
scripting. (PopUrls)
27/03/2007
45
Consultation par logiciel dédié (Agrégateurs) (1)

Ce sontt d
C
des llogiciels
i i l iinstallés
t llé sur un PC ett
spécialisés dans la consultation de flux.
Ajout de flux via un menu contextuel ou la
p de l’url.
copie
Ils disposent de fonctions de visualisation
offline en volet d’information
d information textuelles et
multimédias, des système de classification
et de recherche avancés et des options
diverses (configuration,
transferts impression )
transferts,impression,…).
27/03/2007
46
Consultation par logiciel dédié (Agrégateurs) (2)

De plus
D
l en plus
l d
de ces llogiciels
i i l di
disposent
d’une fonction de portabilité et d’export
vers des fichiers OPLM.
Ces logiciels sont de loin les plus
performants dès que l’on dépasse une
quinzaine
i
i d
de flflux mais
i ilils sontt lles plus
l
complexes à utiliser.

27/03/2007
Feedreader
Rssowl
47
27/03/2007
48
Quelques exemples d’utilisation
d utilisation
Actualités
A
li é
Economie
Législation
Parutions
Achats
Veille scientifique
Veille internet
27/03/2007
49
Consultation via les navigateurs web

La nouvelles versions des navigateurs web
incluent une fonction de visualisation de flux.
Ajout de flux via un bouton de la barre d’outil
d outil.
Il sont permettent la lecture des données offline
textuelles et multimédias et q
quelques
q
fonctions de
personnalisation.
Facile d’emploi mais moins performant dès que le
nombre
b d
de fl
flux estt iimportant
t t ((catégorisation)
té i ti ) ett
fonction d’exportation limitée.
Firefox 2
2.0
0 avec extensions
Internet Explorer 7.0
27/03/2007
de type SAGE
50
27/03/2007
51
27/03/2007
52
Consultation via les interfaces web

Interfaces de consultation online de flux
flux.
Ajout des flux via une barre d’outil ou par copie.
Liées à des systèmes de comptes qui analysent
analysent.
les flux que vous choisissez.
Moins performant pour les éléments multimédias
ou les textes longs.
Fonctions de tris et de catégorisation
g
basiques.
q
Très faciles d’emploi et consultable partout.
GoogleReader
Feedshow
Netvibes
27/03/2007
53
27/03/2007
54
Autres moyens de consultation
Windows
Wi
d
Vi
Vista et lle prochain
h i M
Mac OS
g en natif la consultation de flux ((via le
intègre
bureau par exemple).
Outlook 2007 permet la consultation des
flux dans la Inbox.
La plupart des GSM et des PocketPc
g
la consultation.
modernes intègrent
Les Pabus.

27/03/2007
55
Avantages des systèmes de flux

Veille
V
ill performante,
f
rapide
id et flflexible.
ibl
Sûr (pas de virus ou de spam possibles).
Pas de système d’abonnement Æ
anonymat.
t
Largement
g
répandu
p
et universel.
Augmente la visibilité de l’émetteur.
27/03/2007
56
Inconvénients
La mise
L
i en page est b
basique.
i
Parfois, le flux n’intègre
n intègre qu’un
qu un résumé
(publicité).
Échappe
É h
ttotalement
t l
t aux statistiques
t ti ti
ett peutt
même faire baisser la consultation
quantifiable.
Apprendre à se limiter
limiter.

27/03/2007
57
Les podcasts

Principes
P
i i
ttechniques
h i
Moteurs de recherche dédiés
Podcasts médiatiques
Podcasts personnels
27/03/2007
58
Définition

Le podcasting
L
d
ti ou b
baladodiffusion
l d diff i estt un moyen
gratuit de diffusion de fichiers audio ou vidéo sur
I t
Internet
t que l'on
l' nomme podcasts.
d
t
Par l'entremise d'un abonnement aux flux RSS ou
Atom, le podcasting permet aux utilisateurs
d'automatiser le téléchargement d'émissions
audio ou vidéo pour leur baladeur numérique ou
leur ordinateur personnel en vue d'une écoute
immédiate ou ultérieure.
27/03/2007
59
Concepts

La baladodiffusion, se différencie de la radiodiffusion par la
diff i d
diffusion
du son ou d
de lla vidéo,
idé non pas par un mécanisme
é
i
centralisé qui enverrait un flux vers ses auditeurs (soit un à
), mais par
p l'action des auditeurs q
qui vont chercher
tous),
eux-mêmes les fichiers podcast (tous à un), ou encore
tirée, pulling, au lieu de poussée, pushing.
L auteurs
Les
t
d
des é
émissions
i i
publient
bli t d
des fifichiers
hi
audio
di quii
peuvent s'apparenter à une émission radio classique. C'est
ensuite aux auditeurs q
que revient le rôle de créer leur
propre liste de lecture par leurs différentes souscriptions.
Le téléchargement des programmes, issus des multiples
sources qu'ils
'il ontt choisies,
h i i
estt alors
l
automatique.
t
ti
27/03/2007
60
Concepts (2)

La baladodiffusion utilise
utilise, en plus du contenu
audio ou vidéo, des données descriptives et des
métadonnées liées aux fichiers ((les étiquettes
q
ID3
pour les MP3) telles la date, le titre, un résumé,
des liens, des photos, un chapitrage (utile pour
arriver directement à une séquence particulière
lorsque le contenu lu est assez long ou segmenté
en p
plusieurs rubriques),
q
), etc.
Ces fonctionnalités avancées sont disponibles sur
les fichiers au format MPEG-4, tels que ceux dont
l' t
l'extension
i fi
finit
it par .m4a,
4 .m4b,
4b .mp4,
4 .m4p,
4 ou
encore .m4v
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61
Trouver des podcasts

Outre
O
t les
l moteurs
t
de
d recherches
h h classiques
l
i
qui fonctionnent bien avec les podcasts via
la lecture des tags ID3. Il existe des
répertoires spécialisés :
Podemus
RSS-One
RSS O
DKPod
Les
27/03/2007
catalogues de bibliothèques ?
62
Podcasts personnels

Les premiers
L
i
podcasts
d
t ontt été créé
éé par d
des
blogueurs aux USA vers 2002.
Complément idéal a
aux billets papiers (par
exemple dans le cas de tests de produits ou de
présentations scientifiques)
scientifiques).
Facile à mettre en place car lié à la technologie
RSS incluse dans tous les blogs
blogs.
Explosion à la suite des élections présidentielles
aux USA (même phénomène en France)
France).
Exemple : Loic le Meur.
27/03/2007
63
Podcasts médiatiques (1)
Vu le
V
l succès
è d
des podcasts
d
t « privés
i é », les
l
grandes entreprises de médias se sont
engouffrées
ff é d
dans ce système
tè
d
de diff
diffusion
i
dès 2004.
Au départ, difficultés avec :

Les
es
d
droits
o ts de d
diffusion.
us o
Les droits d’auteur.
La publicité
publicité.
Le calcul de l’audience.
27/03/2007
64
Podcasts médiatiques (2)
Depuis,
D
i lle nombre
b d’h
d’heures d
de podcast
d
g
a dépassé le nombre d’heures
téléchargées
d’émissions écoutées en streaming.
Avec des avantages :

Cibler
la publicité et donc d’en diminuer la
fé
fréquence.
Toucher un public normalement inaccessible.
Rentabiliser le travail des équipes.
27/03/2007
65

Dès janvier 2006
2006, vu la popularité croissante des podcasts
médiatiques, les universités ont récupéré le système.
Très rapidement Stanford, California, MIT et Berkeley, ont
créé des podcasts de cours disponibles pour les étudiants
ou accessibles à tous. Rapidement l’Uqam et la Sorbonne
ont également créé les leurs
leurs.
Le marché potentiel a été jugé tel par les entreprises que
par exemple Apple offre gratuitement les serveurs
nécessaires à condition d’en réserver l’accès à son logiciel
Itunes.
Les exemples les plus aboutis en francophonie sont
certainement Canal U et Diffusion des Savoirs de l’ENS.
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66