Cinéfest Sudbury annonce tous les films du

Pour diffusion immédiate
Le 18 août 2016
Cinéfest Sudbury annonce tous les films du programme Longs
métrages canadiens
Sudbury – Cinéfest Sudbury, le Festival international du film, est très fier
d'annoncer les films faisant partie du programme Longs métrages canadiens
de la 28e édition du festival.
The 9th Life of Louis Drax (Alexandre Aja, Canada/Royaume-Uni//ÉtatsUnis, Entertainment One, 2016)
En vedette: Jamie Doman, Sarah Gadon, Aaron Paul, Aiden Longworth
Après avoir survécu à la mort à huit reprises au cours de sa vie marquée par
le mauvais sort et la déveine, le jeune Louis Drax tombe dans un ravin le jour
de son neuvième anniversaire. Alors qu’il est en état de mort clinique, la
police enquête sur cette tragédie et s’intéresse de près à son père violent.
Pendant ce temps, le neurologue Allan Pascal décide de sonder l’esprit de
Louis afin de découvrir les étranges circonstances derrière l’accident du
garçon et les sinistres coïncidences qui ont empoisonné la vie entière de ce
dernier. Entraîné dans ce mystère passionnant qui explore la nature du
sixième sens et teste la frontière entre réalité et fantastique, il s'amourache
de la mère de Louis, Natalie. De nouveaux indices font surface. Une
révélation bouleversante pourrait changer le destin de la jeune victime et
celui des gens qui l'entourent. Ce long métrage à suspense est une
adaptation du plus récent roman de Liz Jensen.
Below Her Mouth (April Mullen, Canada, Elevation Pictures, 2016)
En vedette: Natalie Krill, Erika Linder, Sebastian Pigott, Mayko Nguyen
Dans ce drame audacieux et sans retenue, Dallas gagne durement sa vie en
posant des bardeaux sur les toits. Côté personnel, il y a bien eu quelques
amantes, mais rien de très sérieux, voire même de très satisfaisant. Tout
change lorsqu'elle rencontre Jasmine, une rédactrice de mode prospère et
pleine d'assurance. Dès le premier regard, les deux femmes sont
terriblement attirées l'une vers l'autre. Le contact est foudroyant, l'aventure
qui s'ensuit est torride. Mais la liaison inattendue qu’elles entretiennent
dégénère en une réalité pétrifiante. À l'horizon se dresse un obstacle majeur:
Rile, le fiancé de Jasmine.
Embrasse-moi comme tu m’aimes (Kiss Me Like a Lover) (André Forcier,
Canada, Filmoption International, 2016)
À Montréal en 1940, Pierre Sauvageau, 22 ans, voudrait s’enrôler, mais il
doit prendre soin de sa sœur jumelle qui est infirme de naissance. Cette
proximité éveille la sensualité de Berthe, qui tente de séduire son frère.
Pierre rejette ses avances, mais lorsqu’il tombe en amour avec Marguerite, il
est hanté par le fantasme de sa sœur. Il voudrait bien s’en débarrasser, mais
le fantasme de Berthe a la couenne dure.
Jean of the Joneses (Stella Maghie, Canada/États-Unis, Search Engine
Films, 2016)
En vedette: Taylour Paige, Sherri Shepherd, François Arnaud, Gloria
Reuben, Anna Hopkins
La vie de Jean Jones, âgée de 25 ans, qui fait partie d'une famille
multigénérationnelle américano-jamaïcaine, une famille de la classe
moyenne où l'on retrouve des femmes de caractère, chavire lorsque son
grand-père divorcé meurt à la porte de la maison familiale lors du souper du
dimanche. Aux funérailles, les tensions montent alors que les femmes de la
famille Jones sont confrontées à leurs divorces, à leurs infidélités et aux
autres fautes du passé.
Juste la fin du monde (It’s Only the End of the World) (Xavier Dolan,
Canada/France, Entertainment One, 2016)
En vedette: Nathalie Baye, Vincent Cassel, Marion Cotillard, Gaspard Ulliel
En français avec sous-titres anglais
Après 12 ans d'absence, Louis, un écrivain, retourne dans son village natal
pour annoncer à sa famille sa mort prochaine. Ce sont des retrouvailles avec
le cercle familial où l'on se dit l'amour que l'on se porte à travers les
éternelles querelles et où l'on dit malgré nous les rancœurs qui parlent au
nom du doute et de la solitude. Juste la fin du monde, de Xavier Dolan
(Laurence Anyways, Mommy, La chanson de l'éléphant) a remporté le très
prestigieux Grand Prix du jury au Festival de Cannes en mai dernier.
Kidnap Capital (Felipe Rodriguez, Canada, The Annex Entertainment,
2016)
En vedette: Pedro Miguel Arce, Michelle Arvizu, David Chinchella, Karen
Espana
Les cartels mexicains promettent souvent mer et monde aux pauvres gens,
leur faisant passer la frontière de l'Arizona en douce pour les kidnapper par
la suite en espérant que quelqu’un ait les moyens de payer pour eux.
Quelques migrants, dont Manolo, un futur père aspirant à une vie meilleure
pour sa femme et son enfant à naître, sont victimes de ce chantage et sont
enfermés dans une cave en sol américain. Humiliés, brisés et montés les
uns contre les autres, ces captifs réalisent peu à peu que leur seule chance
de se sortir d’un tel enfer est de travailler tous ensemble. En outre, Manolo
veut coûte que coûte retrouver son épouse tombée entre les griffes de
Wyler, un individu sans pitié forcé de jouer les tortionnaires pour le compte
d'un cartel. Ce film à suspense sanglant et brutal, le premier long métrage de
Felipe Rodriguez, est une apothéose de tension viscérale et de
claustrophobie.
Les mauvaises herbes (Bad Seeds) (Louis Bélanger, Canada,
Entertainment One, 2016)
En vedette: Alexis Martin, Gilles Renaud, Emmanuelle Lussier Martinez, Luc
Picard
En français avec sous-titres anglais
Jacques, acteur de théâtre classique, a contracté une lourde dette de jeu
auprès de Patenaude, un shylock de Montréal. Devant l’impossibilité de
s’acquitter du remboursement, il fuit précipitamment les lieux et se retrouve,
en plein hiver, sur les terres de Simon, un ermite un peu illégal qui fait
pousser de la marijuana dans sa grange. Afin de gagner de quoi rembourser
son usurier, Jacques accepte d’aider à la récolte. Puis une jeune employée
de la compagnie d’électricité fait irruption au beau milieu de la complicité
naissante que venait d’établir l’improbable duo. Une histoire d’amour lesbien,
un saccage de la récolte et un règlement de compte sanglant viendront
parsemer d’embûches ce triangle intergénérationnel improbable.
Les mauvaises herbes est le sixième long métrage de Louis Bélanger (après
Gaz Bar Blues et Post Mortem, notamment).
Milton’s Secret (Barnet Bain, Canada, Entertainment One, 2016)
En vedette: Mia Kirshner, Michelle Rodriguez, Donald Sutherland, William
Ainscough
Milton, un garçon de 11 ans, vit dans une banlieue défavorisée. Pour lui, le
monde est un lieu incertain, de plus en plus compliqué chaque jour. Il est très
stressé. Sa mère et son père sont des bourreaux de travail aux prises avec
des problèmes conjugaux et financiers, et lui est victime d’intimidation à
l’école. Lorsque son grand-père vient les visiter, Milton découvre que
ressasser le passé et s’inquiéter de l’avenir l’empêchent de trouver le
bonheur dans le moment présent.
Nelly (Anne Émond, Canada, Entertainment One, 2016)
En vedette: Mylène MacKay, Marie-Claude Guérin
Ce long métrage est librement inspiré de la vie et de l’œuvre de Nelly Arcan.
Il trace le portrait d’une femme fragmentée, perdue entre ses identités
irréconciliables d’écrivaine, d’amoureuse, de putain et de star. Plusieurs
femmes en une seule, naviguant entre grandes exaltations et grands
désenchantements. C'est un film à l’image d’une vie violente et d’une œuvre
radicale, un hommage à une écriture dense, glaçante et nécessaire. Nelly
est le troisième long métrage d'Anne Émond, révélée il y a quatre ans grâce
à Nuit #1, qui lui a valu le prix Claude-Jutra en 2012 et a été présenté dans
une quarantaine de festivals, où il a remporté plusieurs prix. Elle a aussi
réalisé Les êtres chers, que l'on a pu voir à Cinéfest l'an dernier.
A biopic inspired by the life and work of controversial Quebec writer Nelly
Arcan, who scandalized the French literary world with her semiautobiographical novel based on her experiences as a sex worker. Nelly is
the portrait of a fragmented woman, lost between her irreconcilable identities:
writer, lover, call girl and star.
Revenge (Hevn) (Kjersti Steinsbø, Canada/Norvège, Alcina Pictures, 2015)
En vedette: Siren Jørgensen, Frode Winther, Anders Baasmo Christansen
Lorsque sa sœur cadette se suicide après avoir passé des années dans un
hôpital psychiatrique, Rebekka décide de s'en prendre à l'homme qui a ruiné
la vie de celle-ci. Après les funérailles, Rebekka monte dans sa voiture et
quitte les lieux, n'amenant avec elle qu'un couteau de cuisine. Elle se rend à
une ravissante auberge dans les montagnes norvégiennes. N'ayant pas de
réservation, elle réussit à convaincre les propriétaires qu'elle souhaite écrire
un article sur leur établissement. Ils acceptent de l'héberger. Assez
rapidement, il devient clair que Rebekka trame quelque chose. Elle réalise
finalement que ce qu'elle s'apprête à faire aura non seulement de lourdes
conséquences pour l'homme qui a envenimé l'existence de sa sœur, mais
aussi pour les gens autour de lui.
Unless (Alan Gilsenan, Canada/Irlande, Mongrel Media, 2016)
En vedette: Catherine Keener, Matt Craven, Hannah Gross, Chloe Rose,
Abigail Winter
Reta Winters est une femme heureuse, et ce, pour plusieurs raisons. Puis,
du jour au lendemain, tous ses petits bonheurs s’envolent en fumée. Entre
autres, sa fille aînée, Norah, abandonne ses études apparemment sans
raison pour se mettre à quémander dans la rue à Toronto. Elle refuse de
parler et porte au cou une affiche où est écrit «Goodness» (bonté). La vie de
Reta et de sa famille ne sera jamais plus la même. Unless, le troisième long
métrage de fiction d'Alan Gilsenan, est inspiré du tout dernier roman de la
prolifique auteure canadienne Carol Shields, décédée en 2003.
Window Horses (Ann Marie Fleming, Canada, Mongrel Media, 2016)
En vedette: Ellen Page, Sandra Oh, Shohreh Aghdashloo, Peyman Moaadi
Rosie Ming, une jeune poète canadienne, est invitée à se produire à un
festival de poésie à Shiraz, en Iran. Mais elle préférerait aller à Paris. Elle vit
à la maison avec ses grands-parents chinois un peu trop protecteurs et elle
n'est jamais partie seule. Rendue en Iran, elle se retrouve en compagnie de
poètes et de Perses qui lui racontent tous des histoires l'amenant à
ressasser son passé, dont fait partie son père iranien qui, présume-t-elle, l'a
abandonnée. Puis elle songe à la nature même de la poésie: créer des liens
entre les cultures et les générations, être curieuse, être ouverte, trouver sa
propre voix par la magie des mots... En découvrant le passé de son père et,
de ce fait, un partie importante de sa propre identité, Rosie se voit lancée
malgré elle sur un parcours menant au pardon, à la réconciliation et, surtout,
à la compréhension.
X Quinientos (Juan Andrés Arango, Canada/Columbie/Mexique, Filmoption
International, 2016) En vedette: Jembie Almazan, Jonathan Diaz Angulo,
Bernardo Garnica Cruz
Tourné au Mexique, en Colombie et au Canada, ce deuxième long métrage
de fiction du cinéaste colombien Juan Andrés Arango Garcia (La Playa DC,
2012) suit les traces de trois migrants non apparentés vivant chacun le deuil
d'un être cher. Ils doivent subir des transformations aussi bien mentales que
physiques afin de vivre leur tristesse et trouver un nouvel endroit où aller.
Tous les films du programme Longs métrages canadiens sont présentés au
cinéma SilverCity Sudbury, situé au 355, chemin Barrydowne.
La 28e édition de Cinéfest Sudbury, le Festival international du film, se
déroule du 17 au 25 septembre 2016.
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vous pourrez acheter des billets, consulter les synopsis des films et lire nos annonces concernant
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