la lettre - `ASSOCIATION FRANCO MEXICAINE d`AQUITAINE (AFMA)

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la lettre - `ASSOCIATION FRANCO MEXICAINE d`AQUITAINE (AFMA)
Los amigos de México
LA LETTRE
N°11
Mars 2005
Merci aux rédacteurs d’articles qui nous permettent de lire un numéro très varié, qui commence avec une revue de presse
mexicaine, se poursuit avec la poésie de Pablo Neruda, puis nous parle de la fête de l’amitié…et bien sûr (beaucoup) de cuisine !
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Revue de presse mexicaine (envoyée par Yves et
Gloria ANE)
Mardi 8 Fév - Le pouvoir des caciques ébranlé
La victoire du candidat de gauche au poste de
gouverneur de l’État de Guerrero permet de
nourrir quelques espoirs pour la présidentielle
de 2006.
Elle est historique, la victoire de Zeferino
Torreblanca, l’ancien maire d’Acapulco qui
deviendra dans quelques semaines le premier
gouverneur issu du Parti de la révolution
démocratique (gauche) de l’État de Guerrero.
Selon les estimations, il dépasse largement (56
%) son principal adversaire Hector Astudillo
(41 %), candidat du Parti révolutionnaire
institutionnel
(PRI)
et
ancien
maire
de
Chilpancingo, la capitale de l’État.
Cette victoire prend un sens tout particulier
dans cet État d’un peu plus de trois millions
d’habitants, l’un des plus pauvres du Mexique,
avec une très forte population indienne, où le
PRI a joui d’un pouvoir sans partage pendant
des décennies, contrôlant les élections dans
les campagnes par la distribution de prébendes
et grâce aux caciques qui y font la loi. Des
petits chefs locaux qui, pour préserver leur
pouvoir, n’hésitent pas à assassiner ceux qui
les encombrent. On se souviendra, il y a dix
ans, du massacre d’Aguas Blancas, commandité
par le gouverneur de l’époque, où dix-sept
paysans trouvèrent la mort.
À un an de l’élection présidentielle, la
victoire du PRD dans l’un des bastions du PRI
relance l’espoir d’un changement. Le président
Vicente Fox (PAN, conservateur) qui, en 2000,
avait déboulonné le PRI de 70 ans d’hégémonie,
a déçu ceux qui avaient cru en une transition
démocratique. On a alors commencé à parler du
retour du PRI à la direction du pays, d’autant
que le PRD est actuellement traversé par des
scandales
et
des
querelles
intestines.
L’élection de dimanche remet la balle dans son
camp.
Lundi 14 Fév - Les touristes sont de retour au
Mexique
Le Mexique a renoué en 2004 avec l'affluence
touristique enregistrée avant les attentats du
11 septembre 2001 aux États-Unis et dépassé les
objectifs de recettes, a annoncé lundi le
ministre
mexicain
du
Tourisme,
Rodolfo
Elizondo.
Les touristes étrangers ont dépensé en moyenne
674 dollars (+4,4%) pendant leur séjour. Les
bénéfices du secteur touristique s'élèvent à
3,88 milliards de dollars en 2004, une
augmentation de 21%. Le ministre explique que
les touristes européens, notamment d'Espagne,
avaient
contribué
à
cette
hausse,
grâce
notamment au taux de change euro-peso. Les
États-Unis restent cependant le principal pays
pourvoyeur de touristes, avec environ 90%. Le
tourisme est la troisième source de devises du
Mexique après les exportations de pétrole et
les envois d'argent des Mexicains vivant à
l'étranger, notamment aux États-Unis.
Mardi 15 Fév - Réforme de l`audiovisuel au
Mexique: Le pot de fer contre le pot de terre
Un groupe de sénateurs va présenter mercredi un
projet de loi sur la radio et la télévision au
Mexique visant à démocratiser le paysage
audiovisuel aux mains des grands groupes
privés, comme Televisa ou TV Azteca. 82% de la
télévision au Mexique sont aux mains de ces
deux groupes, avec un poids écrasant pour
Televisa. Ces derniers sont bien sûr opposés à
une réforme qui signifierait une baisse de leur
pouvoir quasi-monopolistique. La création d`un
organe régulateur du type du Conseil supérieur
de l`audiovisuel français, le Conseil national
de radio et de télévision (CNRT) est au centre
de la loi.
Mercredi 16 Fév - Le Mexique légalise les
cultures
transgéniques,
les
écologistes
protestent
Le Mexique a légalisé dans la nuit de mardi à
mercredi les cultures transgéniques en adoptant
une "Loi de biosécurité" qui ouvre la voie aux
expérimentations d'OGM, une initiative rejetée
par
les
organisations
de
défense
de
l'environnement. La "Loi de biosécurité des
organismes génétiquement modifiés" oblige les
distributeurs
de
produits
génétiquement
modifiés à prévenir le consommateur que le
produit contient des OGM, par le biais
d'étiquettes. Cette loi a été adoptée par les
parlementaires du Parti d'action national (PAN)
du
président
Vicente
Fox
et
du
Parti
révolutionnaire institutionnel (PRI, au pouvoir
de 1929 à 2000). Le Parti de la révolution
ASSOCIATION FRANCO MEXICAINE D’AQUITAINE
Association loi 1901 -Siège Social - 1, rue Brunet – 33600 PESSAC - ? 05-56-68-00-53 - e_mail : AFMA [email protected]
démocratique (PRD, gauche) du maire de Mexico a
rejeté certains articles.
Des policiers pour protéger la forêt des
papillons au Mexique
La police mexicaine est sur les dents. Sa
mission: protéger l'habitat des millions de
papillons monarques venus du nord des EtatsUnis passer l'hiver au Mexique.
Chaque année, l'arrivée des papillons au
Mexique, qui y restent d'octobre à fin mars,
est un bonheur pour les yeux et un mystère
scientifique toujours renouvelé. Mais les
bûcherons illégaux continuent de réduire les
forêts de sapins à l'ouest de Mexico, où les
papillons viennent se protéger de la pluie et
du froid, mettant ainsi leur survie également
en danger. Début décembre, plus d'une centaine
de policiers fédéraux et municipaux ont donc
installé
des
barrages
routiers
et
des
patrouilles au cœur de la zone d'hivernage des
monarques, cinq personnes ont été arrêtées,
deux camions saisis en décembre, l'opération
semblant
également
avoir
un
pouvoir
de
dissuasion.
De
leur
côté,
18
familles
organisaient des patrouilles nuit et jour pour
protéger les arbres. Cette communauté gère
également les parkings payants où affluent
chaque année des milliers de touristes, dans le
sillage des grands papillons.
La revue de presse continue avec dans la « Jornada » du mercredi 2 mars, un article
signé par le sous-commandant Marcos. Nous n’en donnons ici qu’un extrait
« apolitique », histoire de vérifier que Marcos n’a pas perdu son sens de l’humour,
mais nous vous invitons à lire le reste sur le site de la Jornada :
http://www.jornada.unam.mx/2005/mar05/050302/006n1pol.php
Abajo a la izquierda
la jornada, Miércoles 2 de marzo de 2005
A: (tachado en el original)
De: subcomandante Insurgente Marcos.
(Tachado en el original):
Subcomandante Marcos, crítico
Te mando un abrazo, el propio y el de todos los compañeros. Acá estamos bien. No se me había
ocurrido, pero esta misiva me parece un excelente medio para dar por terminadas las
transmisiones del Sistema Zapatista de Televisión Intergaláctica. Y qué mejor manera que terminar
con la "barra" deportiva. Como sabrás, al contrario del lema deportivo olímpico de "más fuerte,
más rápido, más alto", en nuestros deportes y olimpiadas zapatonas enarbolamos el de "más
débil, más lento, más bajo"...
Más débil
Pues te cuento que estábamos subiendo la loma del radio. Bueno, para que me entiendas te digo que, en la jerarquía de horrores
y de más a menos, están: el infierno, el purgatorio, la estación Hidalgo del Metro de la ciudad de México en horas pico, y la loma
del radio. ¿Ya te diste una idea? Bueno, pues estábamos subiendo para una de las transmisiones sabatinas de Radio Insurgente,
La voz de los sin voz. Ibamos a media loma y, mientras la insurgenta Erika subía trotando y no denotaba cansancio alguno, yo
estaba al borde de un paro cardio-respiratorio (o sea que me estaba muriendo). Señalé entonces hacia cualquier lado y, con el
único objetivo de conseguir que nos detuviéramos sin que mi ego se viera tan maltrecho como mis pulmones, con mi última
reserva de aire le pregunté a la Erika: "¿Qué cosa es aquello?" La Erika se detuvo mirando hacia donde señalé y yo aproveché
para sentarme y hacer como que me ajustaba la bota izquierda. "¿Dónde?", preguntó la Erika. En lugar de responderle le dije
que bajara a decirle a Moy que cuando llegaran los informes, me los mandara. Según mis cálculos, en lo que Erika bajaba y
subía de nuevo yo llegaría a la punta de la loma sin que mi orgullo machista sufriera menoscabo alguno. Bajó la Erika...
corriendo. Yo seguí subiendo, apoyándome en ramas y piedras y mentando madres contra mi maldita idea de convertir la novela
Muertos incómodos en radionovela y transmitirla por los 100.5 megahertz de frecuencia modulada. Cuando me faltaban unos 50
metros para llegar a la cima me alcanzó la Erika trotando loma arriba y con un "Ya vine ya. Dice el mayor que sí los va a mandar
los informes cuando lleguen." Yo no pude decir nada (por falta de aire y por vergüenza) y le cedí la vanguardia. Por fin llegamos.
Apenas me estaba sentando frente a la champita que hace las veces de cabina de transmisión cuando subió, corriendo, la
insurgenta Toñita con los informes. Bajó corriendo, diciendo que ya iba a empezar el partido de futbol de las insurgentas.
Mientras Adolfo preparaba los aparatos para iniciar la transmisión con esa de "Ya se mira el horizonte...", leí los informes.
Nada de gravedad. Sólo que la comandante Hortensia estaba aprendiendo a manejar como "chofera" y que las compañeras de
Los Altos ya no aceptaban que "sociedades civiles" dieran los cursos de derechos de las mujeres y que ellas mismas iban a
decidir los temas y a impartir las pláticas. La comandanta Hortensia informaba que ya estaba aprendiendo mecánica y que ya
podía desarmar el distribuidor del "Chompiras". La Erika entró cargando una batería de auto que pesa como 15 kilos y se fue,
bajando la loma... corriendo.
Fue entonces cuando el teniente insurgente de transmisiones Adolfo, dado en leer lo que le cae en mano y preguntar todo, me
dijo "Oí sup, ¿quién dijo que la mujer es el sexo débil?"
Yo, no sin trabajos, me puse de pie y le respondí: "seguramente un imbécil", mientras arrancaba de la puerta el letrero, que yo
mismo coloqué hace tiempo, y que decía "CLUB DE TOBI, NO SE ADMITEN MUJERES".
Tal vez fue mi imaginación, pero me pareció que el sol se reía... (…)
Pablo Neruda Prix Nobel de Littérature 1971
2004 centenaire de sa naissance
Il meurt lentement,
celui qui ne voyage pas,
celui qui ne lit pas,
celui qui n’écoute pas de musique,
celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux
Il meurt lentement,
celui qui détruit son amour-propre,
celui qui ne se laisse jamais aider.
Il meurt lentement,
celui qui devient esclave de l'habitude
refaisant tous les jours les mêmes chemins,
celui qui ne change jamais de repère,
ne se risque jamais à changer la couleur
de ses vêtements
Ou qui ne parle jamais à un inconnu
Il meurt lentement
celui qui évite la passion
et son tourbillon d'émotions
celles qui redonnent la lumière dans les yeux
et réparent les coeurs blessés.
Il meurt lentement
celui qui ne change pas de cap
lorsqu'il est malheureux
au travail ou en amour,
celui qui ne prend pas de risques
pour réaliser ses rêves,
celui qui, pas une seule fois dans sa vie,
n'a fui les conseils sensés. Vis
maintenant!Risque-toi aujourd'hui!
Agis tout de suite!
Ne te laisse pas mourir lentement!
Muere lentamente quien no viaja,
quien no lee,
quien no oye música,
quien no encuentra gracia en sí mismo.Muere lentamente
quien destruye su amor propio,
quien no se deja ayudar.
Muere lentamente
quien se transforma en esclavo del hábito
repitiendo todos los días los mismos trayectos,
quien no cambia de marca,
no se atreve a cambiar el color de su vestimenta
o bien no conversa con quien no conoce.
Muere lentamente
quien evita una pasión y su remolino de emociones,
justamente éstas que regresan el brillo a los ojos
y restauran los corazones destrozados.
Muere lentamente
quien no gira el volante cuando está infeliz con
su trabajo, o su amor,
quien no arriesga lo cierto ni lo incierto para ir
atrás de un sueño
quien no se permite, ni siquiera una vez en su vida,
huir de los consejos sensatos...
¡ Vive hoy !
¡ Arriesga hoy !
¡ Hazlo hoy !
¡ No te dejes morir lentamente !
¡ NO TE IMPIDAS SER FELIZ !
Ne te prive pas d'être heureux!
Poésie et traduction
envoyées par Micheline et Daniel ANE
EL DIA DEL AMOR Y LA AMISTAD
¿Quién de los mexicanos no recuerda el día del amor y la amistad ? Si nos preguntáramos a qué años remontan esos recuerdos,
podríamos respondernos que en nuestras mentes anidan dos épocas de San Valentín. Primero la época en que todos y cada uno
de nosotros celebrábamos sobre todo la amistad. Allá por aquellos tiempos de la escuela primaria, en que esperábamos con
ansias que el 14 de febrero llegara porque entonces íbamos a saber quién nos iba a dar un regalito a la hora del intercambio .
Después al paso del tiempo, no solamente fue día de la amistad, sino también, día del amor, el primer novio, el primer 14 de
febrero. El recuerdo de aquella escuela secundaria, seguramente todos lo tenemos, en donde además del tradicional intercambio
de regalos, teníamos un regalito mas, que algunos conservamos, y otros lo tienen guardado en sus mentes. Ese día en especial,
se organizaban tardeadas que en un abrir y cerrar de ojos se terminaban , qué lástima !… algunos hubiéramos querido que no se
terminaran nunca.. Al paso del tiempo, vinieron las épocas de las tradicionales serenatas, cuando para amanecer 14 de febrero,
no pegábamos el ojo en espera de los tradicionales mariachis, o tríos, o de algún guitarrista romántico deseoso de declararle su
amor a su Dulcinea adorada. Al llegar a la edad adulta, ese día del año, en nuestro México querido lo celebramos con nuestra
familia y amigos, los regalitos de todas clases se hacen presentes, rosas, chocolates, dulces, y lo más importante de todo, es el
clima de AMOR Y DE AMISTAD que reina en todos y cada uno de nosotros.
En Estados Unidos y Canadá, los niños intercambian tarjetas de felicitación, llamadas « valentines ». Los estudiantes de más
edad, celebran el día de San Valentín con bailes y fiestas, preparan canastas de dulces, regalos y tarjetas y los esposos envían
flores o regalos a sus esposas.
Los niños ingleses cantan canciones especiales para la ocasión y reciben regalos, dulces, frutas o dinero. En algunas regiones
de Inglaterra la gente hornea panecillos especiales hechos de ciruelas pasas.
En Italia, se celebra con un banquete especial San Valentín, y en Gran Bretaña, algunas mujeres solteras se levantan antes del
amanecer y se paran frente a la ventana esperando que un galán pase. Se cree que el primer joven que vean o alguien que se le
parezca se casará con ellas durante el año.
Los daneses envían cartas llamadas « gaekkebrev », en cuyo remitente se escribe una rima pero no firman con su nombre sino
con puntos, uno por cada letra de su nombre. Si la mujer que lo recibe adivina quién lo envió, él la recompensa con un huevo de
pascua en esa fiesta.
La costumbre de San Valentín, podría tener su origen en la historia de Francia. La tradición que consiste en enviar versos o
manzanas al ser amado, algunos historiadores dicen, que podría remontarse, a la época de Charles d’Orléans (1391-1465), que
fue hecho prisionero durante la batalla de Azincourt, en 1415, y se quedó cautivo de los ingleses durante un cuarto de siglo. Se
dice que desde la Torre de Londres el día de San Valentín envió cartas de amor a Marie de Clèves con quien se casó a su
regreso.
El 14 de febrero, fue señalado como día de fiesta hacia 1969, cuando el calendario Católico Romano dedicó esa fecha para
recordar a dos santos cristianos, uno de ellos San Valentín, martirizado por el emperador romano Claudio II.
La historia detrás nos dice que San Valentín fue sacrificado porque se dedicó a casar parejas aun cuando el emperador lo había
prohibido. Al parecer, el dirigente romano tenía lo creencia de que los soldados casados no eran tan buenos y eficientes como
los solteros. Además, en la antigua Roma, el 15 de febrero se celebraba el día de la fertilidad o lupercalia, en honor al dios
Lupercus.
Según una creencia popular, el 14 de febrero, día de la fiesta del santo, los pájaros empiezan a acoplarse para darle la bienvenida
a la primavera. Los poetas ingleses Chaucer y Shakespeare lo mencionan en sus obras.
A través de los siglos se han conjugado toda una serie de leyendas y tradiciones y el Día de San Valentín es en la actualidad
una fecha dedicada a los enamorados ; una fecha en que se intercambian mensajes y obsequios para demostrar amor y amistad
a los seres más cercanos.
Antonieta Gabastou
La cocina mexicana
1ª. Parte
Podemos decir que la cocina mexicana es el producto de dos culturas. De nuestros antepasados guardamos el gusto por los
antojitos y por los platillos a base de maíz y chiles De los españoles heredamos la estructura de las comidas: el desayuno, el
almuerzo, la merienda y la cena. La vida moderna ha modificado nuestra vida pero en las familias tradicionales encontramos la
costumbre de los desayunos substanciosos, en los que no faltan las frutas ya sea en jugo o en ensalada, los huevos, los frijoles
y todo acompañado de un café o un chocolate y pan dulce. La comida que consta en una sopa, ya sea de verdura, de arroz o de
pastas, seguida de un guiso a base de carne y verduras, y se termina con
un postre elaborado o simplemente una fruta. La merienda, momento
memorable de nuestros días de infancia consiste de un buen chocolate o
un rico atole acompañados de pan dulce o de pastel hecho en casa.
Actualmente la cena se adapta al ritmo de la familia moderna, puede ser
una comida consistente, equivalente al almuerzo o ligera como la merienda.
Los pueblos del antiguo México gozaban de una alimentación rica y muy
variada aun cuando no
conocían algunos de
los
ingredientes
culinarios
que
actualmente
son
esenciales
en
la
alimentación , como el
trigo, como el ganado vacuno o el puerco. Hernán Cortés, en sus Cartas de
Relación y Bernal Díaz del Castillo, en su Historia Verdadera de la Conquista
de la Nueva España, relatan el asombro que causó a los españoles la
ceremonia de la comida de Moctezuma. Mas de cuatrocientos platillos fueron
presentados al emperador para que escogiera los de su gusto y se repartían
los demás entre los nobles y dignatarios de su palacio. Una gran variedad de
vegetales comunes en el mundo son originarios de México como : el maíz, el
chile, el aguacate, el jitomate, la papa, el cacao, el cacahuate, el chayote, el
zapote, la papaya, la piña, el frijol, la vainilla o el tabaco. Algunos animales como el guajolote son igualmente originarios de
América.
Catia HERMET
(Les photos ont été prises pendant l’atelier cuisine au centre
social de Cenon)
La rosca de reyes
En México, en varias partes de la Republica, la tradición de ‘La rosca de reyes’ es muy diferente a ‘la galette des rois’.
La rosca es un pan dulce adornado con frutas deshidratadas que tiene escondido adentro un pequeño muñequito que simboliza
el Niño Dios. Se parte la rosca la noche del 6 de enero acompañada con chocolate y leche.
A diferencia de Francia donde el que encuentra la figurita se vuelve el Rey, en México al que le toque dentro de su pedazo el
Niño, tiene que hacer la cena el día 2 de febrero e invitar a todos los que compartieron la rosca.
La tradición es que les ofrezca tamales y atole. El postre es un tamal dulce de piña o pasas.
El tamal es una empanada de masa de maíz rellena de carne de puerco con chile verde o rojo o de rajas con queso.
El atole es una bebida de leche con harina de maíz de diferentes sabores vainilla, chocolate, fresa, nuez o natural.
Olga Barba Cervantes.
“Stand mexicain aux galeries Lafayettes”
Petites annonces
——Je dispose à mon domicile de livres à l'état neuf scolaires qui pourraient servir à
de jeunes mexicains. Il y a des livres d'histoire ,de biologie de plusieurs niveaux.
Ils sont à votre disposition gratuitement Cela pourrait aider de jeunes mexicains ou
tout simplement éveiller la curiosité de certains .
je me tiens à votre disposition.
Christiane MOULINET.
——
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DISPOSITION
MARIACHI VALDES
28, bis rue de la Pigeonnerie
79000 NIORT
tél : 05.49.79.53.26
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e_mail : [email protected]
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[email protected] ou [email protected]
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d’intéresser notre petite communauté, des photos numériques des manifestations, des idées de sorties, des
bonnes adresses, des petits articles sur la culture mexicaine, en espagnol ou en français, et de quoi remplir notre
carnet mondain (naissances, bienvenidas, despedidas…)

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