Bonjour Shirley - Retour vers le Futur

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Bonjour Shirley - Retour vers le Futur
Bonjour Shirley,
L’autre jour, suite à tes commentaires(ou critiques) sur mon roman fiction LE
BOOMERANG DU TEMPS, je ne disposais pas beaucoup de temps et j’aurais
voulu t’apporter plus de précisions sur ce qui représente une divergence
fondamentale entre LBDT et RVLF.
D’abord ceux qui ont créé la trilogie RVLF, Robert Zemeckis, Bob Gale et Neil
Canton, croyaient(ou ont préféré croire encore…!?) tout comme H. G. Wells qu’il
suffit d’avoir une “machine à voyager dans le temps” doté d’un appareil ou
programmeur de date / heure futur ou passé pour réussir un tel exploit. Dans le
cas de H. G. Wells cette opinion dans le contexte de l’époque où il vivait et des
limites de la science Newtonienne était pour le moins très acceptable dans un
récit de science-fiction qui ne pouvait pas manquer lui d’apparaître plutôt assez
révolutionnaire. C’est la même chose pour Jules Verne dans son récit de voyage
sur la lune où il croyait que cette dernière possédait de l’air respirable comme sur
la terre et que ses astronautes y débarquant n’avaient alors pas besoin de
scaphandres de l’espace. Néanmoins il avait quand même imaginé qu’un jour les
hommes réaliseraient l’exploit avec brio. Ce qui était déjà beaucoup.
Il y a aussi le fait connexe que, les créateurs de la trilogie RVLF, du moins c’est
ce qu’ils donnent comme explication dans la partie commentaire sur les cassettes
VHS ou DVD, à savoir qu’ils avaient opté sur le plan des hypothèses du voyage
dans le temps, encore là tout comme H. G. Wells, pour une machine qui ne se
déplacerait que dans le temps à des dates futur ou passé toujours au même
endroit. Cela malgré la référence marqué du personnage du savant qu’ils ont
créé, le docteur Emmett L. Brown (« Doc ») qui lui voue une admiration sans
borne à Albert Einstein au point d’en baptisé son fidèle ami canin par son nom.
Pourtant, et c’est là que j’en viens à la différence essentielle entre le LBDT et
RVLF, il est maintenant connu, justement depuis Albert Einstein, que ce qui
apparaît comme étant de plus probable et crédible selon la théorie des trous de
ver est que peu importe la machine qu’on voudrait utiliser pour voyager dans le
temps celle-ci sera toujours très relative(subordonnée) à ce corridor ou portail du
continuum espace-temps appelé “trous de ver”. Dès lors il s’ensuit une autre
opinion connexe avec LE BOOMERANG DU TEMPS, à savoir qu’il n’est pas
seulement possible de voyager dans le temps à des dates futur ou passé
toujours au même endroit mais également dans l’espace-temps ailleurs sur
d’autres continents à des dates futur ou passé. C’est là que se situe la pierre
angulaire de mon récit de voyage dans le temps LBDT en comparaison avec ce
qui a été fait jusqu’ici par les créateurs de RVLF et La Machine à Explorer le
Temps de H. G. Wells.
Qu’est-ce qu’un fanfic? Un fanfic, dans le sens propre du terme, est un texte
écrit où les personnages utilisés sont ceux d’une série, d’un dessin animé, ou
d’un film particulier. Çà aurait été le cas si j’avais, comme je voulais le faire au
début, garder les noms des personnages originaux en y ajoutant(ou mêlant) des
nouveaux dans mon scénario original RVLF Partie IV (version Moyen Âge 1015).
De plus, lorsque je suis arrivé pour la première fois sur le site
www.retourverslefutur.com de Emmanuel Russeil avec cette idée d’aller en
Écosse au XIe s. avec de nouveaux personnages, surtout avec ce fameux plan A
qui aurait très difficile à saisir comme suite de film même par les puristes de la
trilogie, ce sont les fans eux-mêmes qui m’ont pratiquement déclaré
unanimement « que cela n’était plus RVLF… mais que mes idées originales
étaient très bonnes… et qu’il serait préférable plutôt d’en faire une autre
histoire. »
La réalité est plutôt que j’ai créé une “illusion d’optique” : l’illusion RVLF. La seule
ressemblance est dans une certaine forme du récit. À savoir qu’il s’agit d’une
automobile comme machine pour voyager dans le temps(pas le même marque et
fort différente l’une de l’autre : une DeLorean pour RVLF vs une Ford Shelby GT
500 modifié pour LBDT / Voir le film “Freejack” où l’accident d’une voiture de
course est également utilisé pour effectuer un transfert dans le temps). Un
tandem de deux personnages liés par une solide amitié malgré leur écart d’âge :
un savant un peu excentrique dans la cinquantaine et un jeune rocker de 17
ans(idée reprise dans le film Kate & Leopold traitant également d’un voyage dans
le temps).
Il est plus juste de parler d’un “beau clin d’oeil” à la trilogie RVLF plutôt que d’un
fanfic RVLF ne pouvant vraiment être apprécier que des fans de la trilogie RVLF.
Parce qu’en fait, le LBDT rejoint un fort désir d’un grand nombre de lecteurs de
SF, beaucoup plus en Europe et en milieu strictement anglophone(Canada, ÉtatsUnis, Grande-Bretagne, Australie et autres), pour ce “genre de récit de SF”
traitant spécifiquement du Voyage dans le Temps comme la très populaire série
“Stargate” encore très écouté sur les chaînes européennes par une clientèle
plutôt “très jeune” et donc, de la génération 1985 – 2005.
La question pour un écrivain dans un tel contexte n’est-elle pas de se demander
concrètement si il y a lieu de créer une histoire de SF traitant du Voyage dans le
Temps “complètement nouvelle” ou en créer une qui serait “tout à la fois
nouvelle et répondant à ce créneau actuel”. D’autant plus que la population étant
vieillissante et de la génération des baby-boomers cela apparaît encore
davantage comme “un plus grand besoin” de se retremper un peu dans
“l’atmosphère de leur époque”. Car il est ici totalement faux(ou du moins
exagéré) de penser que le LBDT “ne peut être vraiment apprécier que par des
fans de RVLF” du fait que la majorité qui l’ont acheté et vivement apprécié
jusqu’ici ne sont pas nécessairement des fans de RVLF. Parmi ceux-là se trouve
l’auteur français, Serge d’Ignasio, du livre “BOOMERANG Collection” des Éditions
du PÉCARI qui m’a écrit personnellement pour obtenir son exemplaire LBDT
dédicacé. Il n’est pas seulement quelqu’un qui s’intéresse à tout ce qui touche de
près ou de loin l’objet, mais l’un des spécialistes de premier plan reconnu dans le
monde entier pour sa compétence en matière de boomerang. Ses archives sont
désormais une référence pour le Smitsonian institute de Washington et sont
même répertoriées à la State Library de Victoria en Australie.
Tu as droit à ton opinion. Sauf qu’il faut que je t’avoue que tu es la première
personne qui fait un aussi étroit rapprochement avec RVLF. Tellement que tu
viens de me donner un sacré bon coup de pouce vis-à-vis les puristes de la
trilogie RVLF qui hésitent à acheter mon livre justement “parce que pour eux il
ne reflète plus suffisamment l’esprit de la trilogie RVLF”. Je leur ferai part de ton
commentaire sur ton site lorsque la situation l’exigera c’est sûr lol. Il est vrai que
je suis un grand fans de RVLF. Seulement LBDT n’est pas RVLF. À vrai dire c’est
surtout la scène du retour de la DeLorean sur des rails et poussé par une
locomotive chauffée à blanc à la fin de RVLF Partie III qui m’a inspiré pour LBDT.
À force de revoir cette scène j’ai imaginé alors une automobile modifiée et
baptisée à juste titre “Le Boomerang” qui s’élancerait sur les rails d’une ancienne
ligne de chemin de fer. C’est la même chose pour les créateurs de RVLF pour qui
La Machine à Explorer le Temps de H. G. Wells a été une source d’inspiration
pour eux.
Finalement je crois pouvoir affirmer “que je ne souffre pas tant que ça” et que je
suis très content d’avoir écrit LBDT. Et comme je me plais à le dire très
sincèrement : « Je n’aurais pas pu entreprendre d’écrire autre chose si je
n’aurais pas réalisé au préalable ce petit rêve fétiche littéraire de SF. »
Autres
nouveaux
titres
littéraires
en
développement
dans
mon
agenda d’écrivain :
Une mauvaise plaisanterie / Bad joke(Horreur) —
Labyrinthus columba(Fantastique).
J’ai également à mon actif comme scénariste un scénario original RETOUR VERS
LE FUTUR Partie IV (BACK TO THE FUTURE Part IV) qui peut être réalisé en un
seul film(une Part IV en formule abrégée) ou en une Trilogie II Partie IV, V, et
VI(3 films), dont une copie de ce qui constituerait la Partie IV traduite en anglais
a été présenté à une agence américaine de projets créatifs de films, CREATIVE
ARTIST AGENCY(en lien avec UNIVERSAL STUDIOS INC) à Los Angeles. La
version la mieux réussie que j’ai développé ici en parfaite continuité avec la
trilogie s’intitule “Hill Brook 2135 ou le Moyen Âge en Amérique”.
“J’ai tout mon temps”.
Cordialement,
Michel Labbé

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