Plongée aux mélanges
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Plongée aux mélanges
CTD 69 Plongée aux mélanges Laurent FLORY Moniteur Nitrox confirmé # 491 Prérequis à la discussion • • • • Notion de pression Loi de Dalton Accidents biochimiques Principe des ADD La loi de Dalton au cœur de la plongée mélange PP / PA / x % gaz plan • Un peu d’histoire : l’air et ses limites • • • • • • • Les gaz utilisés en plongée Les mélanges: types et notation Le NITROX Le TRIMIX Les dangers des mélanges La réglementation conclusion Un peu d’histoire Le passage de l’air à d’autres mélanges… histoire • Limites air => plongées à 50/60m max – narcose – toxicité O2 – Densité du mélange (effort ventilatoire) – Déco lente (différenciel de tension et de PP N2) histoire • Pour dépasser les limites de l’air deux approches sont tentées : Diminuer la proportion de diluant Modifier le diluant (N2) Augmenter l’O2 Plongée mélanges Plongée NITROX => => + profondeur max augmentée + Diminuer risque ADD - déco plus délicate - Limiter profondeur - nouveaux types ADD histoire NITROX : • 1870 : Henri Fleuss 1ere plongée avec un mélange enrichi à 50% d’O2 MELANGES: • 1930 US navy remplace de l’Azote par un autre gaz inerte l’hélium car c’est un gaz : – De densité 7 fois inférieur à l’air – Neutre biochimiquement – Peu narcotique plan • Un peu d’histoire : l’air et ses limites • Les gaz utilisés en plongée • • • • • • Les mélanges: types et notation Le NITROX Le TRIMIX Les dangers des mélanges La réglementation conclusion Les gaz utilisés De l’oxygène + …. Les mélanges en plongée Le premier mélange c’est l’air : • 21% O2 (indispensable à la vie) • 79% N2 (on parle de diluant) • Tout mélange en plongée contiendra de l’oxygène indispensable à la vie et un ou des diluants combinés en fonction de leur caractéristiques… L’oxygène • Indispensable à la vie animale, consommé dans la respiration, mais dans de justes proportions : PPO2 Conséquence < 0,10 bar perte de conscience < 0,16 bar Hypoxie = 0,21 bar Normoxie > 0,50 bar Début toxicité pulmonaire > 1,4 bar Début toxicité Système nerveux central PPO2 max mélange fond plongée tek > 1,6 bar exposition max dans l’eau PP02 max déco plongée TEK PPO2 max FFESSM > 3 bar exposition max en caisson L’azote Les plus Les moins Présent dans l’air saturant Coût très faible Difficile à respirer en profondeur => essoufflement Narcose PP N2> 3.2b faible conductivité thermique 26,5 L’Hélium Les plus Les moins Léger (poids Très saturant (2,65 fois plus vite moléculaire 4) que l’azote en saturation et désaturation) Cher Peu narcotique Très bonne conductivité 0,23 rapporté thermique (156 contre 26,5 pour azote) à l’azote SNHP PP He > 13,6 b SNHP premiers petits signes vers 100m ; symptôme entre 200 et 300m : tremblement des mains et des bras, vertiges, nausées perturbation cérébrale Néon Les plus Relativement léger Les moins SNHP Peu narcotique 0,28 rapporté à l’azote Conductivité thermique moyenne Coût très élevé Hydrogène Les plus Les moins Le plus léger des diluant Très bonne conductivité thermique 187 Peu narcotique 0,54 rapporté à l’azote Explosif à +4% d’O2 Coût faible => Usage Professionnelle lors d’expérience COMEX 700m en saturation Argon Les plus Les moins Tres bon pouvoir isolant Très narcotique 2,33 fois (conductivité de 18,1) plus que l’azote Coût faible Poids moléculaire élevé 40 plan • Un peu d’histoire : l’air et ses limites • Les gaz utilisés en plongée • Les mélanges: types et notation • • • • • Le NITROX Le TRIMIX Les dangers des mélanges La réglementation conclusion Les mélanges en plongée Notation et nommage des mélanges les plus usuels notation • On distingue – les mélanges binaires (2 gaz) – des mélanges ternaires (3 gaz) dont le trimix, les calculs sont beaucoup plus difficile qu’avec les mélanges binaires. 1er chiffre Mélange ternaire Mélange binaire % O2 % O2 2eme chiffre % diluant 1 Hélium si trimix ou héliaire 3eme chiffre % diluant 2 (facultatif) azote dans trimix et heliaire % diluant (facultatif) Les mélanges « usuels » binaires ternaires spécifiques danger • • • • L’air le plus utilisé Nitrox en plein développement (sécurité) Héliox peu narcotique mais très saturant Héliaire le plus simple à produire des mélanges ternaires, bonne tolérance profondeur déco très rigoureuse • Trimix bonne tolérance profondeur déco très rigoureuse • • • • Argox très isolant Néox pas de narcose, léger mais trop cher Hydrox TROP DANGEREUX Hydréliox manipulation trop délicate plan • Un peu d’histoire : l’air et ses limites • Les gaz utilisés en plongée • Les mélanges: types et notation • Le NITROX – Base – usages • • • • Le TRIMIX Les dangers des mélanges La réglementation conclusion Le nitrox Les bases NITROX • Mélange respiratoire composé d’oxygène et d’azote dans des proportions différentes de celle de l’air (arrêté du 9 juillet 2004) (avec plus d’oxygène) • Certains les appellent Surox pour suroxygéné ou EAN (Enriched Air Nitrox anglo-saxon) Le tables de END Profondeur réelle en mètres 12 15 18 20 22 25 28 30 32 35 38 40 Profondeur pour 32/68 10 12 15 18 18 22 25 25 28 30 32 35 équivalente les tables 36/64 8 12 15 15 18 20 22 25 25 en mètres MN 90 40/60 8 10 12 15 15 18 20 22 Un peu de calcul • Je plonge avec un mélange NITROX de déco NX 75. • Je ne souhaite pas dépasser le PP O2 de 1,5b • Quelle est ma PMU (Profondeur Maximum d’Utilisation ou MOD Maximum Operating Depth) ? réponse • PP O2 max = 1,5 • Mélange 75% => on recherche la PA max (ou la PP sera max cad à 1,5b) PA=PP/%gaz ici 2=1,5/75% PA=2 à 10m • PMU = 10m Autre exemple • Je plonge avec un mélange NX 50, j’évolue à 22m. • À quelle profondeur dois-je entrer dans mes tables air MN 90 ? réponse • 22m => PA de 3,2 b • NX 50 => • PP O2 = PA * % = 3,2*0,5 = 1,6b • PP N2 est donc égale à • PP N2= PA – PP O2 = 3,2 – 1,6 = 1,6 (PP O2 = PP N2 ici) • A l’air j’ai une PP N2 de 1,6b à : • PP N2 = PA*% • 1,6 = PA * 0,8 (80% soit 0,8 d’azote dans l’air) • Donc PA = 1,6/0,8 = 2 b Réponse à 10m plan • Un peu d’histoire : l’air et ses limites • Les gaz utilisés en plongée • Les mélanges: types et notation • Le NITROX – Base • • • • – usages Le TRIMIX Les dangers des mélanges La réglementation conclusion Le nitrox Quels usages ? Stratégies Optimisation plongée / décompression Sécurité « normale » SAFE AIR Augmentation sécurité (diminue les risques d’ADD) Plongée nitrox Plongée air + Déco nitrox * Même durée de plongée, paliers * Même profondeur que diminués l’air, utilisation bloc déco •A paliers égaux, durée de enrichi > 50% plongée plus importante + déco logiciel ou ordinateur Profondeur limitée par la Pp O2 : Pp O2 max = 1,6 bars seuil hyperoxique (arrêté du 9 juillet 2004) Limite profondeur air (60m) Matériel additionnel •Planification et réalisation de la •Déco nitrox mais respect plongée au nitrox sur la base de des tables MN 90 ou paramètres de plongée air (tables ordinateur air MN 90 ou ordinateur air) en respectant la PMU Profondeur limitée par la Pp O2 : Pp O2 max = 1,6 bars seuil hyperoxique (arrêté du 9 juillet 2004) Limite profondeur air (60m) Matériel additionnel Avantages de la plongée nitrox confirmé Calcul de déco avec Zplan 1.03 80 70 60m 15 min 60 60 m 25 min 50 50 m 15 40 50m 25 min 30 40m 15 20 40m 25 min 10 pu re 90 O 2 N X ai r N X 40 N X 75 N X 80 N X 84 0 Durée de la décompression en fonction du mélange nitrox utilisé Les Avantages du NITROX • Augmenter le temps d'immersion sans paliers • Diminuer les risques d ’ADD pour un même profil de plongée qu ’à l ’air « Safe Air » • Diminuer le temps de paliers • Diminuer le risque d'essoufflement pour un effort donné • Respirer moins d’Azote qu’à l’Air, à profondeur identique • Procurer un meilleur confort à l'issue de la plongée • Lutte contre le froid plus efficace • Diminuer le volume de gaz consommé Les Inconvénients du NITROX • Analyse personnelle et planification rigoureuse indispensable • Limitation de la profondeur par rapport à l'air. • Risques hyperoxiques si la profondeur limite est dépassée. • Risques hyperoxiques accrus en cas d'essoufflement. • Manipulation des gaz plus contraignante. • Manipulation délicate avec Oxygène. • Préparation et planification plus rigoureuse • Matériel dédié dégraissé si PP 02 > 40% • Investissement matériels dédié O2. • Procédure plus stricte lié à l’oxygène Rafaël AUGER Moniteur Nitrox FFESSM. plan • • • • Un peu d’histoire : l’air et ses limites Les gaz utilisés en plongée Les mélanges: types et notation Le NITROX • Le TRIMIX • Les dangers des mélanges • La réglementation • conclusion Le trimix ou autre mélange tek usuels Trimix ou heliox Objectifs • Augmenter la sécurité en supprimant toute narcose au-delà de 40m • Autoriser des incursions jusqu’à 70m (trimix normoxique) ou 120m (trimix hypoxique) Les soucis les risques • Hélium est très saturant et désature très vite 2,65 fois plus vite que l’azote => risque d’ADD « immédiat » • Procédure de décompression très strictes • Temps / profondeur • De grosses consommation de gaz => un volume de gaz important => poids élevé • Hélium est très conducteur => on a froid • => équipement spécifique L’équipement • Combinaison étanche • SSG gros volume double enveloppe (dite tek) • Bloc fond volumineux et de gros volume 2x10 300b mini 12x12l ou 2x15 plus souvent • Des blocs oxy pour une déco optimisée grâce au nitrox (un ou deux mélanges de déco) ⇒ mobilité et une « aquacité » très réduites ⇒ Gestion de l’autonomie délicate Comment fait on ? • Le choix d’un mélange va dépendre – Du degré de narcose accepté (profondeur équivalent narcose END) – Du risque hyperoxique PPO2 accepté : de 1,4b au fond, 1,6b en déco – Du coût – Des difficultés de conception Un exemple Plongée à 82m avec un équivalent narcose de 30m • 82m => PA82 = 1+ 8,2 = 9,2 bar • 30 m => PA30 = 1 + 3 = 4 bar • PPN2 air à 30m = 4 * 0, 79 = 3,16 bar % N2 à 82 m pour avoir PPN2 = 3,16 ?? • PPgaz = %gaz * PA • Pour l’azote PPN2 = 3,16 %N2 = PPN2/PA = 3,16 / 9,2 = 0,34 Donc 34% N2 • Pour l’oxygène PPO2 = 1,4 %O2 = PPO2/PA = 1,4 / 9,2 = 0,15 Donc 15% O2 • Pour l’hélium 100 – 34 – 15 = 51 % attention • Le mélange et à 15% O2 en surface on à donc PP02=0,15 le mélange est donc dit hypoxique !! • A quelle profondeur est-il respirable ? • Ce mélange est respirable des que PPO2 dépasse 0,21 (ok à partir de 0,17 dans bcp de calculs) Or PPgaz = %gaz * PA d’où PA=PPgaz/%gaz PA = 0,21/0,15 = 1,4 • donc le mélange est respirable à une profondeur de 4 m Tableau Héliaire Plage d’utilisation hélaire 70 - 80 85 - 95 95 – 105 105 – 120 12 / 42 10 / 52 9 / 57 8 / 62 Mélange hypoxique au dessus de… -4m -6m -8m - 10 m Paramètres de calcul PPO2 max 1,3b END 30 m – 40 m Source : C verdier plan • • • • • Un peu d’histoire : l’air et ses limites Les gaz utilisés en plongée Les mélanges: types et notation Le NITROX Le TRIMIX • Les dangers des mélanges • La réglementation • conclusion Les problèmes liés à l’O2 Sur l’homme … Les effets de l’O2 sur l’Homme une histoire de pression et de temps Pression +++ Durée + Pression + Durée +++ Toxicité sur le système nerveux central Toxicité sur le système pulmonaire Crise hyperoxique effet Paul Bert effet Lorrain Smith Effet Paul Bert • La crise hyperoxique • Peu de signes annonciateurs – Troubles de la vision (rétrécissement du champ de vision), Troubles auditifs (sifflements), Anxiété, Irritabilité, Tremblements des lèvres et des muscles maxillaires, Convulsions, Contractions, crampes, Nausées (équilibre perturbé), Malaise général • Déroulement de la crise – Phase tonique (contraction générale) – Phase clonique (proche de la crise d’épilepsie) – Phase résolutive (relâchement complet) Paul Bert : prévention • le jamais dépasser la PPO2 max 1,6b • Adapter la PP02 max aux conditions : froid efforts (en la diminuant) • Utilisation de compteur SNC ou CNS (système nerveux central) • on parle aussi de CNS clock • C’est un compteur qui s’incrémente d’une certaine valeur pour chaque minute passée avec PP O2 élevée (plus on est proche des 1,6b plus le compteur augmente vite) Effet Lorrain Smith • Toxicité pulmonaire lié à l’action oxydante de l’oxygène à des PP 02> 0.5 b • Apparition lente dans le temps • Signes annonciateurs face rose, gêne respiratoire, toux, brûlures alvéolaires, puis au final œdème pulmonaire. Lorrain Smith prévention • Très simple en plongée nitrox ou air : durée d’exposition inférieur à 2H (FFESSM) • Utilisation de compteurs spécifiques UPTD (Oxygen Pulmonary Toxicity Dose) ou OTU (Oxygen Toxicity Unit). • Logique de calcul proche du compteur CNS Les problèmes liés à l’hélium Sur l’homme… Le SNHP • Syndrome nerveux des hautes pressions • Au delà de 300m selon fructus tremblement, difficulté de concentration • (altération des récepteurs nerveux) Les mélanges hypoxiques • A introduire beaucoup d’hélium dans un mélange la PP O2 peut baisser en dessous de 0,16 b • Le mélange n’est alors pas respirable avant une certaine profondeur. Il faut utiliser un mélange relais. Ce type de mélange pour les grande profondeur est dit hypoxique Une vitesse de desaturation très rapide • Saturation et désaturation 2,35 fois plus rapide que l’N2 • => des bulles pathogènes apparaissent très vite si non respect des paliers • + pb de gestion des ce type d’ADD en caisson (manque de protocole) Les problèmes liés aux mélanges et sur le matériel Le dégraissage • Une équation : O2 + pression + graisse = EXPLOSION Usage de matériels dégraissés, compatible O2 pure et dédiés, au delà de 40% d’O2 (étude nasa) => Matériel spécifique L’imprécision de la fabrication • Une contrainte : Fabrication non fiable à 100% car gonflage souvent via des manomètres (pas assez précis) et trop rapide => échauffement => modification pression et donc nécessité impérative d’analyse double des mélanges par le technicien de fabrication et PAR LE PLONGEUR Le temps d’homogénéisation • l’O2 se mélange bien à l’air, analyse mélange viable dans l’heure après le gonflage • L’He se mélange très mal à l’air ou aux nitrox => laisser reposer au moins 24H et rouler les bloc pour accélérer l’homogénéisation du mélange Le froid • L’Hélium est 5,88 fois plus conducteur que l’azote. => obligation d’utilisation d’une combinaison étanche => malgré cela chaque injection = visite en chambre froide ;-) => gonflage étanche à l’argox (super isolant). Le poids / la flotabilité • 2 x 12 de mélange fond • 2 x 6 de relais pour la déco • 4-6 kg plomb pour tenir le palier sans les blocs relais (approche IANTD) • => besoin de forte flottabilité + redondance pour la sécurité d’où les doubles wings… plan • • • • • • Un peu d’histoire : l’air et ses limites Les gaz utilisés en plongée Les mélanges: types et notation Le NITROX Le TRIMIX Les dangers des mélanges • La réglementation • conclusion Et la réglementation dans tout cela ? Arrêté du 9 juillet 2004 • http://www.legifrance.gouv.fr/WAspad/Visu ?cid=702842&indice=1&table=JORF&lign eDeb=1 Les cursus mélanges Nitrox et trimix NITROX conditions FFESSM Plongeur Nitrox Niveau I 10 plongées 20m Plongeur Nitrox Confirmé Prérequis Niveau II 10 plongées 30-40m + 6 plongée nitroxDont 4 pendant la formation Prérogatives Mêmes prérogatives qu’à l ’air Utilisation du mélange fédéral Utilisation de tous les mélanges 40/60 Décompression à l’oxygène Moniteur Nitrox Confirmé Pré requis E III C’est une qualification supplémentaire et non un brevet Prérogatives Encadrement-formation des plongeurs nitrox et nitrox confirmés Validation des plongées nitrox NITROX les différentes écoles FFESSM CMAS Plongeur Nitrox Plongeur Nitrox Plongeur Nitrox Confirmé Plongeur Nitrox Confirmé Moniteur Nitrox Moniteur Nitrox Moniteur Nitrox Confirmé TDI IANTD Nitrox Diver EANx Diver EANx Advanced Diver EANx Instructor Nitrox Instructor TRIMIX élémentaire conditions FFESSM • Etre au minimum titulaire du niveau III de la FFESSM ou d’un brevet admis en équivalence. • Etre titulaire de la qualification de Plongeur Nitrox Confirmé de la FFESSM ou d'un titre ou brevet admis en équivalence. • Avant l’entrée en formation, avoir effectué un minimum de 15 plongées au delà de 40 mètres attestées sur le carnet de plongée ou par mention sur le passeport ou par fiche justificative dûment remplie TRIMIX conditions FFESSM • Avoir une qualification TRIMIX ELEMENTAIRE de la FFESSM • Avoir effectué 10 plongées Trimix, dont 5 entre 55 et 70 mètres et dont 5 avec remontée en utilisant un NITROX et/ou des paliers oxygène depuis l’obtention de la qualification « PLONGEUR TRIMIX ELEMENTAIRE » • Etre titulaire de la qualification « Vêtement sec » de la FFESSM ou d’une qualification équivalente ou présenter une attestation d’utilisation de vêtement sec lors de 10 plongées en milieu naturel signées par le directeur de plongée. TRIMIX les différentes écoles FFESMM CMAS TDI IANTD Trimix élémentaire 70m Entry level trimix 60m Normoxic trimix diver 60m Trimix Advanced level trimix 100m Trimix diver 120 m 100m plan • • • • • • • Un peu d’histoire : l’air et ses limites Les gaz utilisés en plongée Les mélanges: types et notation Le NITROX Le TRIMIX Les dangers des mélanges La réglementation • conclusion La plongée mélange c’est • Accessible des le N1 (nitrox base) • Une progression intéressante du nitrox base au trimix • Une école de la planification • Un travail de maitrise de la plongée (temps, profondeur, vitesse de remontée) • La découverte de nouveaux «standards » • Une grande ouverture d’esprit La plongée mélange c’est • • • • • Plus de planification Plus de préparation Plus de matériel Plus de coûts Zéro improvisation À ces conditions on a • Plus de sécurité • Plus de zone accessibles • D’autres bonheurs Petit tour du coté de la plongée pro Pour finir, avec ce que l’on ne ferra jamais : DE L’HELIUM A L’HYDROGENE, L’INTERVENTION HUMAINE A GRANDE PROFONDEUR (EXPERIENCE COMEX) B. Gardette, C. Gortan, H.-G. Delauze DE L’HELIUM A L’HYDROGENE, L’INTERVENTION HUMAINE A GRANDE PROFONDEUR (EXPERIENCE COMEX) B. Gardette, C. Gortan, H.-G. Delauze bibliographie • Cours nitrox des moniteurs du Rhône (Grobois, Firmin, Auger, Flory…) • Documents COMEX • Manuels IANTD • Manuels FFESSM nitrox • Manuels TDI Paternité - Pas d'Utilisation Commerciale – Partage des Conditions Initiales à l'Identique 2.0 France Vous êtes libres : •de reproduire, distribuer et communiquer cette création au public •de modifier cette création Selon les conditions suivantes : Paternité. Vous devez citer le nom de l'auteur original. Pas d'Utilisation Commerciale. Vous n'avez pas le droit d'utiliser cette création à des fins commerciales. Partage des Conditions Initiales à l'Identique. 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