n% PLANTES onces avec autant d`eau de Lys, une once d`huile d

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PLANTES
onces avec autant d'eau de L y s , une once
d'huile d'amandes douces , & autant de
firop de Limon pour la colique néphritr-que ; ce remède m'a fouvent réùffi. On
applique la Pariétaire bouillie en cataplal'..
me fur la région de la velîîe & fur le basventre , pour diflîper les obftru£Hons des
vifceres, & faciliter le cours des liqueurs.
Quelques-uns y ajoutent du Greffon & du
vin ; Haelideus préfère l'huile de Scorpion
à celles d'Amandes douces que Dodonée
y ajoûtoit.
. L a Pariétaire mife en poudre & mêlée
avec le m i e l , paffe pour être Béchique, ëc
propre dans î'Afthme ôc dans la Phtifie.
Tragus faifoic faire pour les contufions un
cataplafme avec la Pariétaire fricaffée
dans la poêle avec la farine de fèves, les
m a u v e s , le fon, l'huile & le vin. Pour les
defcentes accompagnées de douleur dans
lesbourfes,Camerarius ordonnoit qu'on
l'appliquât toute chaude fur ces parties ,
après l'avoir pilée avec du vinaigre. Le firop fait avec le fuc de cette plante & le
miel blanc , foulage les Hydropiques.
On leur en fait prendre une once battue
dans un verre d'eau de Chiendent tous
les matins.
Les fommitez de la Pariétaire entrent
dans la compofitiôn du firop de Guimau«
v e de Fernel.
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