Puppetmastaz - Château Rouge

16/17
MUSIQUES
Septembre > Janvier
Puppetmastaz
+ KillASon
vendredi 30 sept.
20h30
Tel : +33 450 43 24 24
Fax : +33 450 43 24 26
[email protected]
1, route de Bonneville - Annemasse
www.chateau-rouge.net
Plein tarif 18 €
Tarif réduit 15 €
- 20 ans 12 €
Abo 14 €
puppetmastaz
Les Puppetmastaz sont un groupe de rap composé de
marionnettes. Ils se définissent eux-mêmes comme le
premier “Toyband” au monde. Imaginez un mélange
entre le Muppet Show et le Wu-Tang Clan et vous saurez
de quoi on parle.
Après plusieurs apparitions télévisées, le groupe allemand a été signé chez Labels / EMI en
2002 et a sorti son premier album Creatures Funk en 2003. Le titre Pet sound a connu un
certain succès dans les milieux hip-hop, mais c’est leur single Bigger the better qui leur a
permis d’être massivement diffusés en radio en 2005.
C’est le deuxième album du groupe, intitulé Creature Shock Radio, paru en 2005, qui a
permis aux Puppetmastaz de passer un vrai pallier en terme de notoriété.
À la suite de celui-ci, le groupe s’est senti investi d’une mission et s’est battu pour essayer
de construire un nouvel ordre mondial pour toutes les marionnettes et animaux avec son
troisième album The Takeover en 2008. Finalement, les humains ont réussi à faire passer
ça comme un coup de pub, ce qui a anéanti tout le crew : cette tentative de révolution a
échoué et les humains sont bel et bien restés au pouvoir.
Cet échec a provoqué de grandes tensions au sein du
groupe. Qui était à blâmer ? Maloke, Rhyno et Snuggles
en sont même venu aux mains. Il était donc grand temps
pour les Puppetmastaz de se pencher sur Break Up, leur
quatrième album, paru en 2009.
Avec cet album, le groupe a souhaité chercher un nouvel
ordre cosmique, mais dans quelle direction aller ?
Quelles valeurs transmettre ? Au cours de ses trois
années de voyage dans l’espace, les Puppetmastaz
ont connu de nombreuses péripéties et rencontré moult
espèces extra-terrestres.
La suite de l’aventure, c’est l’album Revolve And Step
Up ! en 2012. Avec cet album, le groupe a réalisé
que l’important était dans les détails, la force dans la
faiblesse, et vice et versa bien sûr.
S’ensuivent quatre années de pause, à l’issue desquelles
les Puppetmastaz en sont venus à la conclusion que
l’essentiel pour eux restait la musique et qu’il était
grand temps de travailler sur un nouvel album qui leur
permettrait de revenir sur les scènes de France et
d’Europe.
Keep yo animal
L’année 2016 sera à coup sûr marquée par Keep Yo Animal, le sixième album des Puppetmastaz.
Celui-ci marque un retour aux bases hip-hop, plus traditionnel, du collectif allemand.
Ayant réalisé qu’il n’y avait rien de plus à trouver dans l’espace que quelques constellations
et rayons laser, le groupe a décidé de revenir avec un son plus organique fait de beats de
batteries et lignes de basses qui claquent à la Cypress Hill ou la Wu Tang Clan. Mais ils ne
seraient pas les Puppetmastaz si ils n’avaient pas ramené un petit quelque chose de leurs
pérégrinations spatiales : plusieurs artistes venant d’autres univers se sont invités sur Keep
Yo Animal, et pas des moindres : Modeselektor, Andi Toma de Mouse on Mars ou encore
Hippocampe Fou.
puppetmastaz.com
KillASon
« Things are changing thing, kid /
Don’t listen to these people who crawl in the dark »
A l’heure où le monde semble se rapprocher de plus en
plus du précipice, il est crucial d’en saisir l’extraordinaire
vitalité latente et de la transformer en un geste fort et
positif. Killason est un enfant de la révolution culturelle
et musicale des 15 dernières années : élevé à l’école
d’un rap outre-­Atlantique ouvert à mille influences, à
tout juste 20 ans le jeune rappeur parisien d’origine
béninoise a choisi de s’abreuver à la source première
et de donner naissance à un style unique en son genre
en France.
Une énergie qui déborde de The Rize, son tout premier LP sorti en janvier 2016. Ayant choisi
l’anglais comme seul vecteur, fait singulier en France, Killason combine habilement la richesse
et l’exubérance d’un rap nourri à la musique électronique, la pop, le boom-­bap post-­90’s
ou les évolutions trap des 10 dernières années et sa personnalité déjà bien affirmée, en
studio comme sur scène. Danseur chevronné, membre des crews Wanted Posse et Hip Hop
Undercover, Killason a travaillé avec acharnement pour canaliser son énergie physique, sa
créativité débordante et donner naissance à un premier album kaléidoscopique ambitieux à
la réalisation soignée, en forme de manifeste décomplexé.
En 40 minutes, Killason y démontre sa formidable maîtrise d’un univers en gestation mais déjà
bien installé, faisant évoluer son flow, sa voix et son style selon les besoins : les présentations
faites sur l’explosif The Rize, ce sont des inflexions pop subtiles et captivantes (The Mind’s
Eye, Shine) qui contrebalancent avec des passages plus bruts et rentre-­dedans, bercés de
braggadocio sans trop se prendre au sérieux (UCWP, M.N.M.N., Hoddest In My Town) qui
habitent ce premier album incarné. Et puis se glissent ici et là quelques instants de bravoure
uniques en leur genre : la noirceur sans fond de Black Crook, véritable sommet du disque,
soit le récit d’un homme désespéré qui vendra son âme au Diable, ou l’incursion downtempo
sous-­marine le temps d’un Wonder en forme de déclaration amoureuse hypnotisante.
The Rize est un coup de pied dans la fourmilière
rap français. Chamboulant les codes traditionnels
d’un genre en pleine révolution, Killason pose la
première pierre d’un univers empli de surprises
et de rencontres inattendues, porté par le rap
exubérant d’un jeune artiste en pleine ascension,
autant spirituelle que musicale.
killason.com
Contact presse Noémie Hébert
+33 450 43 24 22
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CS 20293
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