electronic city - theatre gerard philipe

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electronic city - theatre gerard philipe
Salle Roger Blin du 16 octobre au 2 novembre 2008
Jeudi et vendredi à 20h, samedi à 19h, dimanche à 16h
Relâche lundi, mardi et mercredi
ELECTRONIC
CITY
de Falk Richter
collectif MxM
mise en scène Cyril Teste
avec Pascal Rénéric, Servane Ducorps, Stéphane Lalloz, Alexandra
Castellon, Aymeric Rouillard
texte français et dramaturgie Anne Monfort
lumière et régie générale Julien Boizard
musique originale Nihil Bordures
scénographie Élisa Bories
costumes Élisa Bories, Alexandra Castello n
régie vidéo Mehdi Toutain-Lop ez
Le Collectif MxM est en résidence permanente à la Ferme du
Buisson, scène nationale de Marne-La-Vallée.
L’Arche Éditeur est l’agent théâtral du texte représenté.
Production Collectif MxM, en coproduction avec Festival d’Images 07, La
Ferme du Buisson, Arcadi, l’Eldorado – Cie Joël Jouanneau – Scène Nationale
61 (Alençon), le Carré des Jalles. Avec le soutien du Ministère de la
Culture et de la Communication (Drac Île-de-France), du Conseil Général du
77, du CNC-DICREAM, du CSAD de Montpellier, d’Agnès B.
TGP – CDN de Saint-Denis – 59 Bld Jules Guesde 93207 Saint-Denis cedex
Location 01 48 13 70 00/ [email protected]
Prix des places : plein tarif 20 € / tarifs réduits de 15 à 6 €
Relations Presse
Nathalie Gasser/ 06 07 78 06 10 / Patricia Lopez 06 11 36 16 03
Tom, businessman suractif, qu i passe d’un aéroport à un
autre, d’une hôtel à l’autre, oubliant parfois s’il est
à Tokyo, New York ou Rome, et Joy, la f emme qu ’il aime,
qui travaille pour une chaîne d’aéroport, essaient de
se croiser, de se retrouver l ’espace de quelques
instants..Là où la rencontre est possible mais
fugitive.
Entre le monde intérieur de ces deux figures et la réalité-électronique qui les
environnent, tout pourrait être une séquence de film...
-TOM : Horreur, agitation, métropole, banques, bourse, les flux d’argent
jaillissent, la testostérone jaillit, gicle, le bâtiment entier, deux mille
appartements F1, tous appartiennent à la même chaine, les façades les mêmes
partout dans le monde, j’ai toujours l’impression d’arriver, jamais de partir, je
voyage mais je ne bouge pas, mon cerveau me dit tout le temps : tu as déjà été ici,
même si je n’ai jamais été là.... MAIS CE N’EST PAS CHEZ MOI PUTAIN. J’HABITE
BIEN ICI MAIS CE N’EST PAS CHEZ MOI.
-JOY : les équipes de télé ont quelque chose de très rassurant, ça m’aide toujours
de m’imaginer que tout çà n’est qu’un épisode de série télévisée,car les séries
télévisées finissent bien, toujours, surtout toutes les questions trouvent une
réponse à la télé et tous les problèmes sont résolus, les méchants meurent et les
gentils finissent toujours par se retrouver. On ne peut vraiment pas dire ça à
propos de CETTE PUTAIN DE VIE RÉELLE OU COMMENT APPELER CETTE MERDE.
Là toutes les questions malheureusement en suspens, les caractères changent
sans cesse, on perd complètement toute vue d’ensemble... Les humains ne se
retrouvent pas toujours, ils se séparent avant même de s’être rencontrés... et ils
ne participent jamais à l’action réellement.
PRÉSE NTA TIO N
Suite à la découverte de l’auteur Falk Richter, il m’est apparu vraiment essentiel de
construire un processus de travail en plusieurs étapes en collaboration avec l’auteur
et Anne Monfort, dramaturge et traductrice.
Il s’agit, comme le collectif l’a fait précédemment autour de l’auteur Patrick Bouvet,
d’expérimenter deux notions, celle de « réalisme » à travers le jeu des acteurs et des
différentes utilisations que nous faisons de l’image et celle de « temporalité » en
considérant l’image non pas tant dans sa fonction
purement décorative mais comme un « espace-temps » autonome. Un espace qui
préexiste à sa présence dans le cadre de l’image vidéo et où les corps passent,
stationnent, se rencontrent...
Cyril Te ste
ELECT RON IC CITY > UNE ROM ANC E D U XXIÈ SI ECL E
Tout tourne autour d’une histoire d’amour, peut-être impossible, peut-être pas.
Comment reprendre le temps en main dans un monde où le soleil laisse place aux
lumières électriques ?
Electronic city, le lieu de tous les possibles. Le non lieu du formatage social
Electronic city, le lieu où l’on tente encore d’éprouver des sentiments réels envers
l’autre.
Défiguration d’une génération formatée par l’image.
Ici l’image n’est pas dénoncée, elle permet juste de mettre en relief la greffe qui s’opère
entre elle et l’humain (manipulations de l’image, elle est déjà digérée, dans le sang, elle
fait partie de notre mode de fonctionnement intime...)
Comment faire un choix qui nous est propre alors qu’une grande partie de nos élans ne
sont issus que d’idées, de slogans, de références cinématographiques...?
Quelle est la part de virginité dans les choix que nous essayons de faire chaque jour, à
commencer par celle d’une histoire d’amour véritable, qui s’inscrit dans un temps que
l’on choisit ensemble ?
De cette base nous nous sommes posés la question : et si le texte permettait au sens
propre d’être un synopsis à défaut d’être un scénario ? Ce qui revient à travailler en
grande partie sur une narration visuelle ; travail que nous réalisons depuis quelques
années déjà, à la différence que ce texte permet de reconvoquer un récit sur le plateau
(bien qu’il soit éclaté), mais également de définir des dispositifs vidéo-scéniques qui
se construisent avant tout à travers une grammaire, un langage...
En parallèle je citerai Gus Van Sant et son tryptique Gerry/Elephant/Last Day qui, en
décrivant une société assiégée par la productivité, le vidéo clip, les images «
mitraillées », tente de regarder cette réalité fugitive à travers un mode temporel
contemplatif.
Ici la structure d’Electronic City est construite de telle sorte que le temps devient de
plus en plus fragmenté, fabriqué, artificiel... C’est la raison pour laquelle nous
désirons traduire ce texte dans une temporalité du plateau. Là où le monde défile trop
vite pour nos yeux, nous essaierons de le traduire à travers une décomposition du
temps, une lenteur...
Si l’on regarde dans ce texte le nombre de pages où les protagonistes parlent d’eux à la
première personne du singulier, il n’en reste peut être que cinq, le reste nous permet
de construire l’environnement de cette realité fugitive, peut-être simplement pour
mieux la voir venir, mieux l’appréhender, à défaut de la dénoncer.
FALK RICHT ER
Après des études de mise en scène à l’Université de Hambourg, où il est né en 1969,
Falk Richter se fait rapidement connaître comme metteur en scène et comme auteur et
traducteur. Sa première pièce Tout. En une nuit (1997) a été créée en 1996 aux
Kammerspielen de Hambourg. Ont suivi les créations de Culte et Histoire pour une
génération virtuelle (Trilogie) au Schauspielhaus de Düsseldorf. Après avoir été artiste
associé au Schauspielhaus de Zurich sous la direction de Christoph Marthaler, il est
actuellement metteur en scène associé à la Schaubühne de Berlin. Depuis sa première
pièce, il s’intéresse aux processus de contamination du langage. C’est le cas dans Dieu
est un DJ (1998), Nothing Hurts (1999, pièce invitée aux Rencontres théâtrales de
Berlin en mai 2000 et ayant remporté le premier prix de la pièce radiophonique
allemande de l’Académie des arts de Berlin 2001), Electronic City (Journées théâtrales
de Mülheim 2004). Avec
PEACE (2000), qui traite de l’intervention de l’OTAN au Kosovo, l’auteur se tourne vers
un théâtre plus politique, qu’il poursuit notamment avec Sept secondes/In God we
trust (2003), Hôtel Palestine (2004).
En 2003, Falk Richter lance un projet intitulé Le Système, et est une expérience
d’écriture et de mise en scène s’étendant sur plusieurs pièces. Cet ensemble dessine un
paysage du monde contemporain, de ses paradoxes et de ses valeurs perdues. Le soustitre en est « notre manière de vivre », « notre mode de vie », allusion directe à Georges
Bush et à Gerhard Schröder, selon qui l’intervention en Afghanistan défendait « our
way of living », « unsere Art zu leben». Le système comprend plusieurs pièces ou
performances présentées en parallèle, et qui adoptent toutes un point de vue, une
réaction, un être-au-monde. Electronic City en est le premier volet, et sera suivi
ensuite par Sous la glace en 2004.
Ce projet incarne bien la démarche de l’auteur-metteur en scène Falk Richter : une
écriture de plateau, héritière du théâtre post-dramatique, où le travail théâtral et
l’écriture se dessinent conjointement.
Publi cat ion s/Pi èce s
de
t héât re *
l’éditeur S. Fischer Verlag
:
*
Toutes
parues
chez
Tout. En une nuit (1997) / Culte – Histoires pour une génération virtuelle (1997) / Dieu
est un DJ (1998) / Nothing Hurts (1999) / Peace (2000) / Electronic City (2002) / Sept
secondes -In God We Trust ( 2003) / Nettement moins de morts (2004) / L’Attaque
(2002) / Sous la glace (2004) / Hôtel Palestine (2004) / Dérangement (2005) / Un léger
dérangement (2005) / Jeunesse blessée (2006)
Mises en sc ène (sé lec tion ) :
Falk Richter a mis en scène presqu’une trentaine de pièces : la plupart de ses propres
écrits ainsi que des pièces de Shakespeare (Jules César), Jon Fosse (Ombres, Et la nuit
chante), Brecht (Sainte Jeanne des Abattoirs, Dans la jungle des villes), Sarah Kane
(4.48 psychose), Tchekhov (La Mouette, Les Trois Sœurs), Irvin Welsh (Trainspotting),
Martin Crimp (Atteintes à sa vie), Lars Norén (Klinik) ...
Pièce s r adi opho niq ues :
Saturn Returnz (2000), Deutschlandradio Berlin / Dieu est un DJ (2000), NDR-WDR et
RB / Nothing Hurts (2001), SWR / Guerre des images (2003), Deutschlandradio Berlin /
Electronic City (2003), Radio Bremen - SFB / Sept secondes - In God We Trust, NDR-RB
et ABC Sydney-Australia / Nettement moins de morts, Radio Bremen
ANNE MONFORT
FALK RICHTER ET ANNE MONFORT
J’ai rencontré l’écriture de Falk Richter en voyant Nothing Hurts à la Schaubühne en
2000. Prenant la parole en direct, ironique et humoristique, engagée et lyrique, cette
écriture m’a paru comme une alliance du politique et de l’intime.
Les textes de Richter naissent de la nécessité du plateau ; le travail du metteur en
scène conditionne celui de l’auteur et inversement. De même, la dramaturgie et la
traduction ne peuvent s’y faire qu’en lien étroit avec l’écriture scénique.
Pour Falk Richter, le théâtre reste le seul endroit de critique libre, où l’on peut parler
du monde, le mettre en perspective. D’où la convocation d’éléments typiques de notre
société contemporaine, des images envahissantes, du son permanent, afin de les
interroger, sans louer ni condamner.
Electronic City est la première étape du Système de Falk Richter, expérience d’écriture
et de mise en scène qui s’interroge sur le fonctionnement de notre mode de vie, de
notre système politique et social jusque chez l’individu. L’auteur y analyse avec
humour et précision les chances de survie d’une relation amoureuse dans une société
sur-moderne.
Anne Mon for t
tradu cti ons :
2007 : Dérangement et Jeunesse blessée (Falk Richter)
2006 : Sous la glace (Falk Richter), publication par la collection Nouvelles scènes
allemandes, Toulouse. Ouvrage publié avec le concours du CNL. La traduction est
lauréate de l’aide à la création d’œuvres dramatiques du CNT / Système (Falk Richter)
/ Merveilleux mutant (Martin Heckmann) pour le théâtre Ephéméride
2005 : Invocation (Martin Heckmann) pour la compagnie La parole aux mains
2004 : Rachel (Yan Allegret), traduction en allemand / Mayerling (Franzobel)
2003 : Tout. En une nuit de Falk Richter (traduction lauréate du programme Theater
Transfer du Gœthe Institut) / PEACE et Sept Secondes - In God we trust, de Falk
Richter.
2002 : Dieu est un DJ et Nothing Hurts (Falk Richter), avec le soutien de la Maison
Antoine-Vitez, Centre international de la traduction théâtrale.
mises en sc ène :
Sous la glace de Falk Richter (2007, Mains d’œuvres à Saint-Ouen, le Colombier à
Bagnolet), Laure d’après les Ecrits de Laure (2006, le Granit- Scène Nationale de
Belfort), Tout.En une nuit de Falk Richter (2005, Théâtre-studio d’Alfortville), Dieu est
un DJ de Falk Richter (2002).
Projets 2007-2008 : Blanche-neige d’après Robert Walser (décembre 2007, le Granit) et
de Nothing Hurts de Falk Richter (février 2008, le Granit). Reprise de Laure au Théâtre
Paris Villette (mai 2008).
Anne Monfort est artiste associée au Granit- Scène nationale de Belfort.
COLLECTIF MxM
Le Collectif MxM est né en septembre 2000, avec la création Alice Underground au
Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris.
Il est constitué d’artistes de la scène, des arts visuels et du design sonore.
Le collectif intègre la technologie et la vidéo au coeur de leur dispositif théâtral pour
ouvrir l’espace scénique à d’autres possibles dramaturgiques, à d’autres tensions de
jeu, notamment en dédoublant le comédien par la vidéo, en le faisant agir sur la
représentation de sa propre image.
« Se désigner comme collectif plutôt qu’au nom d’un seul est en accord avec notre
façon de travailler c’est à dire comment les propositions de chacun agissent et
réagissent entre elles en performance. Nous avons réalisé depuis plusieurs autres
spectacles suivant ce même principe de fonctionnement. »
Depuis 7 ans déjà nous travaillons sur la problématique de l’image au théâtre, sur la
frontière qui lie deux temporalités et deux espaces très différents. Travailler avec les
nouvelles technologies aujourd’hui est une façon pour nous d’interroger notre place
dans un environnement médiatique qui nous laisse peu d’espace de parole, de silence
dans la relation à l’autre. Le théâtre nous permet de s’inscrire dans une « réalité
immédiate », de travailler sur le processus de fabrication des images et non sur le
résultat.
C’est à travers divers laboratoires que nous menons dans plusieurs lieux (CSAD de
Montpellier, Montevidéo à Marseille, La Ferme du Buisson, Scène nationale de Marnela-Vallée, TU de Nantes, Usine C à Montréal...) que nous pouvons interroger cette
réalité fugitive de l’image. Ces espaces de recherches loin d’être en huis-clos restent
avant tout des lieux d’échanges menés avec des personnes d’horizons très divers
(acteurs amateurs et professionnels, étudiants, programmeurs, réalisateurs, etc…)
Cyril Teste - metteur en scène
Après des études en arts plastiques, Cyril Teste suit des cours d’art dramatique,
d’abord à l’ERAC (Ecole Régionale d’Acteur de Cannes) puis au Conservatoire National
Supérieur d’Art Dramatique de Paris où il suivra les ateliers Georges Aperghis autour
de Hamlet-Machine de Heiner Müller et de Olivier Py avec sa pièce Au monde comme
n’y étant pas.
Cette double formation lui donne envie de confronter l’univers pictural à celui du
plateau. En se lançant dans la mise en scène, il va immédiatement confronter la réalité
du plateau à la virtualité de l’image vidéo, la plupart du temps captée et retransmise
en direct. Avec le Collectif MxM il va beaucoup travailler sur les mécanismes de
fabrication de l’image, comme une sorte de mise à nu de celle-ci.
Cyril Teste a également réalisé la vidéo de Atteinte à sa vie et Le Marin d’eau douce
de Joël Jouanneau.
En parallèle de son travail artistique, Cyril Teste anime des stages ou des ateliers
autour de la relation comédiens/vidéo (La Ferme du Buisson, Conservatoire d’art
dramatique de Montpellier, JTN avec des élèves du CNSAD, TNS, ERAC, etc).
En tant que comédien il a joué pour Olivier Py, Lucie Tiberghien, Robert Cantarella,
Claude Stratz, Bernard Sobel, Béatrice Houplain, Georges Aperghis…
CRÉATIONS DU COLLECTIF MXM :
Elect ron ic City
création en octobre 2007 / La Ferme du Buisson
tournée octobre 07 > décembre 08 : TU Nantes, Carré des Jalles (Saint-Médard enJalles), Théâtre Gérard Philipe (Saint-Denis), Scène nationale 61 (Alençon)
Lieu Unique (Nantes)
(F)lu x
création en résidence août 05 / oct 05 / mars 06
Festival Temps d’Images (Arte/La Ferme du Buisson, Scène nationale de Marne -laVallée), Festival Labomatic (La Rose des Vents, Scène nationale de Lille Métropole/La
Ferme du Buisson, Scène nationale de Marne-la-Vallée)
Parad isc oun t
création en octobre 2004 / février 06 Nuits curieuses / La Ferme du Buisson
tournée février 05 > Février 06 : Festival Temps d’Images (L’Usine C à Montréal ),
Festival Berthier 06 -Odéon, Festival Bakstage (Comédie de St Etienne) / Festival Court
toujours (Poitiers)
Direc t/S hot
résidence septembre 2003
tournée 2004/05 : Montevideo, Théâtre Garonne, La Digue, Festival In d’Avignon,
Festival Court toujours, Festival Berthier 05 - Odéon
Anato m A ja/ x
création février 2002 Paris JTN
tournée 2003/04 : Institut Français Meknès & Casablanca - création et tournée au
Maroc (janvier > février 04), théâtre de Châtillon
Alice un der grou nd
créé à Paris au Cnsad
tournée 2001 : festival Friction (Dijon), Cadillac Scène ouverte
Avis de déc ès
création en 1998, Paris
UNE
SAISON
08-09
dom juan de molière
mise en scène - Yann-Joël Collin
du 15 septembre au 11 octobre 2008
electronic city de falk richter
collectif MxM
mise en scène - Cyril Teste
du 16 octobre au 2 novembre 2008
le cycle de l’omme création
tétralogie de jacques rebotier
du 17 novembre au 7 décembre 2008
africolor
19, 20 et 21 décembre 2008
cœur ardent création
d’alexandre ostrovski
mise en scène - Christophe Rauck
du 19 janvier au 15 février 2009
et moi alors? hiver
spectacles jeune public
du 27 janvier au 6 février et le 28 février 2009
scanner,nous
tournons en rond
dans la nuit et nous sommes dévorés par le feu
hurlements en faveur de guy debord
conception, réalisation et mise en scène - David Ayala
du 2 au 21 mars 2009
dehors au dedans
création musicale de nicolas frize
13, 14 et 15 mars 2009
banlieues bleues
isicathamiya project / robyn orlin
19 mars 2009
vi(ll)es -
4
spectacles
du 23 mars au 12 avril 2009
saleté de robert schneider
compagnie Farid’o
chorégraphie, mise en scène - Farid Ounchiouene
ils habitent la goutte d’or
un spectacle de Laurence Février
classe de blandine keller
mise en scène - François Rodinson
baglady de frank mcguinness
mise en scène - Stuart Seide
et moi alors? printemps
festival jeune public
du 24 avril au 17 mai 2009
un week-end pour un auteur - mar tin crimp
5, 6 et 7 juin 2009
PRIX
DES
PLACES
Plein tarif > 20€
Tarifs réduits > 15€
• collectivités, seniors (plus de 60 ans), demandeurs d’emploi, étudiants
de plus de 26 ans, accompagnateurs d’un abonné
• abonnés des théâtres et structures partenaires du Théâtre Gérard Philipe
> 13€
NOU V EAU
• habitants de la Seine-Saint-Denis
> 10€
NOU V EAU
• habitants de Saint-Denis
• étudiants de moins de 26 ans, intermittents et professionnels du spectacle
> 6€
• RMIstes, groupes scolaires, enfants de moins de 12 ans
Abonnement 3 spectacles 33 € (plein tarif) – 27 € (tarif réduit)
POUR
VENIR
RER D - De Châtelet (à 11 minutes) - direction Orry-la-Ville
Station Saint-Denis - puis 5 minutes à pied (suivre les rails du tramway)
Dernier RER - 00h28
Transilien - De Gare du Nord (à 6 minutes) - direction Pontoise,
Luzarches, Persan-Beaumont, Valmondois, Montsoult
Station Saint-Denis - puis 5 minutes à pied (suivre les rails du tramway)
Dernier train - 00h24
Métro ligne 13 - Station Saint-Denis Basilique, puis 8 mn à pied
En sortant, traverser la place Jean Jaurès, puis prendre la rue de la République
(dos à la basilique, rue piétonne), toujours tout droit jusqu'au boulevard Jules
Guesde, puis à droite.
Dernier métro - 00h35 (00h51 jusqu’à Invalides)
Tramway - Noisy-le-Sec > Saint-Denis - Arrêt Théâtre Gérard Philipe
direction Noisy-le-Sec - Dernier tramway 23h57
Bus - 255 - Porte de Clignancourt > Stains
256 - Gare d’Enghien > La Courneuve - Aubervilliers RER
168 - Garges - Sarcelles RER > Saint-Denis - Porte de Paris
Voiture - depuis Paris Porte de la Chapelle - Autoroute A1 - sortie n°2 SaintDenis centre (Stade de France) - suivre Saint-Denis centre, contourner la Porte
de Paris : 1re à gauche «autres directions», puis suivre le fléchage Théâtre
Gérard Philipe.
Pour se garer - Parking « République » gardienné à 50m du théâtre, rue des
Chaumettes. Accès au parking fermé le dimanche à partir de 15h.
La navette retour vers Paris
NOU V EAU
Tous les soirs, une navette gratuite est mise à la disposition des spectateurs à l’issue
de la représentation. Elle dessert les arrêts > Porte de Paris - La Plaine Saint-Denis
Porte de la Chapelle – Stalingrad - Gare du Nord - Châtelet.
La navette dionysienne
NOU V EAU
Les mardis et samedis soirs, si vous habitez à Saint-Denis, une navette gratuite vous
reconduit dans votre quartier. Seule obligation > réserver au 01 48 13 70 00.