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Pas de concession des plages cette année à Tizi-Ouzou QUOTIDIEN D’INFORMATION - LUNDI 18 AVRIL 2016 - N°4243 - ALGÉRIE 10 DA - FRANCE 1 EURO / http//:www.depechedekabylie.com C M J N Saison estivale 2016 Le cri d’alarme de l’association des apiculteurs Tizi-Ouzou Pollution génétique des abeilles locales Page 5. ISSN 1112-3842 Le P/APC jette l’éponge Aït R'zine Il a démissionné de son poste jeudi dernier Page 6. C M J N Une lutte et des acquis La commune d'Aït R'zine, située à 85 kms au Sud-ouest de Béjaïa, s'est retrouvée du jour au lendemain sans maire. En effet, le P/APC, M. Dahmani Youcef, a démissionné de son poste depuis jeudi dernier, a-t-on appris de sources locales. Page 3. 36e anniversaire du Printemps berbère Page 2. Béjaïa Des habitants d’Aïn Skhoun et d’Ighil Oujilvane bloquent le boulevard de la Liberté au niveau du siège de la wilaya « De l’eau SVP ! » Saharidj Le siège de l'APC de nouveau fermé Les citoyens dénoncent la dégradation de leur cadre de vie Page 3. Plus de 90 000 associations pour des résultats mitigés Une société civile en quête de nouveaux horizons Supplément M J N Page 6. Ne le ratez pas ! Votre cahier central en tamazight Tout en maintenant leur sit-in à Boudouaou C Page 3. Les enseignants contractuels suspendent leur grève de la faim Page 4. Ligue des champions d’Afrique À 24h du match retour des 8es de finale face au Zamalek Les Béjaouis affûtent leurs armes Page 24. Pages 11,12,13 et 14. La Météo du Jour Alger RTS Tizi-Ouzou Bouira Béjaïa Les Béjaouis affûtent leurs armes SP Max: 24 Min : 12 QUOTIDIEN D’INFORMATION LUNDI 18 AVRIL 2016 N°4243 Max : 25 Min : 13 Max : 30 Min : 15 Max : 21 Min : 13 Ligue des champions d’Afrique À 24h du match retour des 8es de finale face au Zamalek Les Béjaouis du MOB qui ont disputé un match de championnat vendredi dernier face à l’USM Blida dans le cadre de la mise à jour du calendrier, n’ont pas droit au répit puisqu’ils ont repris le chemin des entraînements avant-hier samedi au stade de l’Unité Maghrébine afin de bien se préparer pour le rendez-vous africain face à la formation d’El Zamalek dans le cadre de la manche retour de la ligue des champions. U n match qui revêt déjà une gr ande impor tance pour les Béjaouis qui seront appelés à four nir des effor ts supplémentaires pour disposer de cette équipe égyptienne et espérer décrocher le ticket de la qualification au prochain tour. Ainsi donc, en dépit de la grosse déception enregistr ée par le faux-pas concédé devant l’USMB vendredi der nier, les Béjaouis semblent être décidés à se mobiliser pour ce rendez-vous afr icain qui revêt déjà une gr ande impor tance pour les capés du coach Amr ani dans la mesure où l’objectif pr imor dial que vise les camar ades de Rahmani demeurent la phase des poules. En dépit de la difficulté de la mission, les Cr abes croient en leur s capacités de renver ser la situation et de se qualifier pour la première Alain Geiger, l’entraîneur de l’ES Sétif, parle du match face à El Merrikh fois de leur histoire à la phase des poules. Ainsi donc, ayant constaté plusieur s lacunes dans l’équipe lor s des der nières rencontres du championnat à domicile, le staff technique du MOB, sous la houlette du coach Amr ani, profite actuellement pour procéder aux ultimes r églages, et ce, en se mettant à la recherche des solutions afin de se per mettre de livr er un meilleur r endement à l’avenir et par là même, espérer aller jusqu’au bout de l’objectif tr acé. De ce fait, la r epr ise des entr aînements s’est déroulée dans de bonnes conditions où tout le monde est concentr é sur cette rencontre difficile devant un adver saire qui ne ser a pas facile à manier même à l’extér ieur. Amine Kaci « Vaincre le surmenage est la clé de la qualification » V aincre le sur menage des joueur s ser a la clé de l’ES Sétif pour assurer sa qualification en phase de poules de la Ligue des champions d' Afr ique de football lor s du match retour des 8es de finale, pr évu mar di face aux Soudanais d’El Mer r ikh, a estimé le technicien suisse, Alain Geiger. Une bonne str atégie de r écupér ation pour les joueur s, tr ès éprouvés apr ès le pér iple de Khar toum puis par le match difficilement rempor té vendredi contre le DRB Tadjenanet en cham- pionnat (1-0), ser a la clé pour sor tir vainqueur, mar di, a déclar é Geiger à l’APS. « La LFP (Ligue de football professionnel) aur ait dû progr ammer autrement les matchs des équipes engagées en Ligue de champions, mais nous ferons avec cette situation », a encore dit le coach suisse, assur ant que le club, " for t mor alement" de s’être " relativement" éloigné de la zone rouge en championnat, saur a faire plaisir à ses suppor ter s. Le défenseur Miloud Rabeï, blessé, ser a absent de même que le capitaine d’équipe Mour ad Delhoum (suspendu), tandis que Far ès Hachi et Riad Keniche qui n’ont pas fait le déplacement de Khar toum, seront alignés, mar di, a pr écisé l’entr aîneur. « L’ESS lutter a, mar di, achar nement pour décrocher le ticket de qualification pour la phase de poules et devenir le premier club algér ien à par venir à ce tour de la compétition continentale à trois repr ises d’affilée », a promis, de son côté, le milieu de ter r ain de l’Aigle Noir, Toufik Zer ar a. Le match ES Sétif- El Mer r ikh, mar di à 19h00 au stade 8-mai-1945, ser a officié par l'ar bitre inter national, gambien Bakar y Papa Gassama, qui ser a assisté de ses deux compatr iotes, Sulayman Sosseh et Omar Dar boe. Lor s du match aller de ces huitièmes de finale de la Ligue des champions d'Afr ique disputé le 9 avr il à Omdur man (Soudan), l’ESS avait forcé El Mer r ikh au nul (2-2). Ligue 1 Mobilis Rahal, Ziti, Boulaouidet, Raiah et Ferahi seront prêts La JSK au complet face à l’USMB L e milieu de ter r ain Faouzi Rahal a r éintégr é le groupe, hier, en s’entr aînant avec ses équipier s apr ès avoir repr is en solo avant-hier. Rétabli car r ément de sa blessure à la cuisse, l’enfant de Sidi Aïch ser a opér ationnel pour la prochaine rencontre de son équipe face à l’USMB, pr évu pour samedi prochain au stade de Blida. Il a rejoint l’équipe nationale militaire, hier apr ès-midi, avant de rejoindre à nouveau son club, mercredi prochain, pour continuer la pr épar ation du match face à l’USMB. J oint par nos soins, hier apr ès-midi, le joueur affir me qu’il jouer a le prochain match et son coach pour r a compter sur lui lor s de cette impor tante confrontation. Il promet de faire de son mieux pour aider son équipe à r éussir un bon r ésultat. «Dieu merci je suis car r ément r établi de ma blessure et j’ai entamé les entr aînements avec le groupe aujour d’hui (hier, ndlr ). J e ser ai pr êt pour jouer, samedi prochain, et le coach pour r a compter sur moi. J e fer ai tout pour aider mon équipe à r éussir un bon r ésultat lor s de ce match afin d’améliorer son classement. Inchallah on r éussir a une belle opér a- tion pour continuer sur notre lancée, apr ès les der nier s bons r ésultats enregistr és», a déclar é l’enfant de Sidi Aïch. En plus de Rahal qui a repr is avec le groupe hier, les Ziti, Boulaouidet, Raiah et Fer ahi r éintégreront aussi le groupe aujour d’hui ou demain. Les joueur s en question s’entr aînent actuellement en solo avant de r éintégrer le groupe dans les prochaines heures. C’est ce qu’on croit savoir d’un membre du staff technique des Canar is. En plus des blessés qui seront pr êts, l’ar r ière gauche Houar i Fer hani retrouver a aussi la compétition apr ès avoir pur gé sa suspension face au NAHD, lor s de la pr écédente rencontre. Ainsi et sauf sur pr ise de der nière minute, le club kabyle jouer a la prochaine confrontation face à l’USMB avec tous ses atouts, contr airement au pr écédent match face au NAHD, où la J SK était décimée avec l’absence de plusieur s éléments. Autrement dit, le coach Mouassa aur a la totalité de ses joueur s, ce qui lui donner a plus de solutions lor s de cette impor tante confrontation face à l’USMB. Son seul souci est que son club revienne avec un bon r ésultat et confir me ainsi sa bonne santé ces der nières semaines. Raiah et Aiboud autorisés à s’absenter hier Par ailleur s, les deux jeunes milieux de ter r ain, Samir Aiboud et Malik Raiah, ont été autor isés par le staff technique à s’absenter hier matin. Ayant r églé une affaire per sonnelle à Alger, les deux joueur s devaient s’entr aîner seul, hier apr ès-midi, en solo. Cependant, ils reprendront avec l’équipe aujour d’hui pour continuer la pr épar ation du match face à l’USMB. À signaler que même l’ar r ière droit Khoutir Ziti a repr is les entr aînements, hier, en tr availlant seul. Lui aussi r éintégrer a le groupe, demain ou mercredi, et ser a concer né par le match de samedi face à l’USMB. Un mach que les Canar is veulent gagner afin d’augmenter leur s chances de ter miner sur le podium. M. L. Absent des terrains depuis Novembre 2015 pour cause de blessure Zemmamouche de retour à l'entraînement L e gar dien inter national de l'USM Alger, Mohamed Amine Zemmamouche, absent des ter r ains depuis novembre 2015 à cause d'une blessure, a repr is les entr aînements avec le reste du groupe samedi, au stade Omar Hamadi (Bologhine), a annoncé le club algérois sur son site officiel. L'enfant de Mila souffr ait d'une blessure au coude et a commencé par des soins et des séances de kinésithér apie. Mais constatant que celles-ci n'ont r ien donné, il s'est r ésolu à subir une inter - vention chir ur gicale, en janvier 2016, au Centr e hospitalier " Aspetar " , au Qatar. Apr ès avoir obser vé une cour te pér iode de repos, " Zema" a entamé une longue phase de r ééducation, avant de recevoir le feu ver t du médecin, avant-hier, pour r epr endr e les entr aînements collectifs. Zemmamouche (31 ans), considér é comme un atout majeur chez les Rouge et Noir, n'avait plus rejoué en compétition officielle depuis la finale aller de la Ligue des Champions contr e le TP Mazembé (1-2). En l'absence de leur gar dien N°1, les Usmistes ont fait confiance à leur premier suppléant, Smaïl Mansour i, ayant convenablement fait tour ner la boutique, r éussissant au passage plusieur s " gr ands matchs" sur le plan individuel. L'USM Alger est l'actuel leader de la Ligue 1 Mobilis, avec 12 points d'avance sur son pour suivant direct, le MO Béjaïa, à seulement 5 jour nées de la fin de la saison. l ’ Év én em en t Une lutte et des acquis incontestables 2 Lundi 18 avril 2016 36e anniversaire du Printemps berbère Plusieurs années sont passées depuis le 20 avril 1980. Plusieurs acquis ont été engrangés, quoi que l’on dise. Tamazight jouit d’un statut national et officiel. M ais, cette consécr ation ne doit pas nous fair e per dre de vue les sacr ifices qui ont été consentis à cette fin. Donc, cette évocation qu’on s’appr ête à célébrer, non pas dans la mêlée tonitr uante, ni la haine, doit nous inspirer plus d’unité, plus de cohésion, pour une tamazight plus unificatr ice, plus r éaliste, plus homogène, plus nor malisée. Parce que sans une langue str uctur ée, il ne saur ait y avoir une langue sinon un fatr as de par ler s désunis où chacun par le son idiome et s’en fout de l’autre. La compr éhension inter-dialectale est la condition sine qua non à une intelligence, savamment par tagée entre Algér iens d’abor d et ensuite entr e Maghr ébins. Il en va de l’avenir et du pr ésent de notre pays. Il ne saur ait y avoir de lendemain heureux sans une pensée, sans une str atégie, sans une vision nationalement par tagée. Le secr é- taire génér al du HCA a r aison de souligné que « le moment est venu, à la faveur aussi du long et appr éciable processus d’accumulation scientifique, autre acquis impor tant engr angé, d’amorcer la dynamique d’affir mation de tamazight dans sa dimension académique la plus féconde, avec la caution des compétences désor mais attestées et avér ées dans ce domaine ». Il a assur é, que pour sa par t, il est « d’ores et déjà engagé dans l’édification de la nouvelle étape r ésultant de l’officialisation de tamazight, sachant qu’il devr a essen- tiellement contr ibuer à la mise sur r ails des projets str uctur ants et d’avenir qui engagent le destin de tamazight, patr imoine de tous les Algér iens, en la propulsant ver s la moder nité ». En effet, le moment est venu pour expur ger Tamazight de toute la médiocr ité qui l’étouffe, car depuis qu’on célèbr e Tamazight, bien des r éalisations d’une qualité douteuse ont été offer tes au public, que ce soit dans le théâtre, le cinéma ou l’écr it. Dans le 4e ar t, peu d’œuvres mér itent qu’on s’y attar de, dans le cinéma idem, nous comptons à peine six films dignes de ce nom, dans l’écr it, il n’y a pas de quoi fouetter un chat. À par t quelque production qui en vaille la peine, il n’y a r ien à lire. Une académie for mée de linguistes, de sociolinguistes, de gr ammair iens, d’anthropologues, en un mot de tous les spécialistes, pour r ait appor ter à cette langue la science qui lui a tant manquée. Cer tes, l’officialisation pr incipielle du " tamazight" donner a de puissants ar guments aux militants de la " cause ber bère" , mais elle n’aur a de contenu concret que celui qu’ils y met- Commémoration du 36ème anniversaire du printemps amazigh à Bounouh L'association Moh Said Oubélaid s'implique C 'est avant-hier que la première activité pr évue dans le progr amme de l'association por tant le nom du célèbre chanteur patr iotique Moh Said Oubélaid, a eu lieu. Ainsi, le coup d'envoi a été donné à l'école des ‘’Fr ères Yahiatène’’ de Boghni, avec une dictée en Tamazight à l' intention des meilleur s élèves de la daïr a dans cette matière. Quinze écoles ont r épondu à l'appel. " C'est un concour s qui s'est déroulé dans de tr ès bonnes conditions. L'émulation se sentait dans les yeux de ces petits écolier s qui donnent tant d'impor tance à la langue amazighe. Vr aiment, c' était un succès" , nous appr endr a M. Abder ahmane Ramdani, en sa qualité de pr ésident de ladite association. Par ailleur s, il nous confier a qu'à l'occasion de la célébr ation du 36ème anniver saire du pr intemps amazigh et en collabor ation avec la direction de la culture, la direction de la jeunesse et des spor ts et l'APC, l'association qu'il pr éside a élabor é son progr amme d'activités. Du 18 au 20 avr il, c' est une exposition non stop au niveau de la bibliothèque communale " Far id Ali" du chef-lieu, ouver te au public. Pour le vingt avr il, ajouter a-t-il, la célébr ation commencer a par le dépôt de ger bes de Bouira Colloque national à l’initiative du DLCA fleur s : la première sur la tombe de Far id Ali et la deuxième sur celle de Moh Said Oubélaid. Peu avant-midi, ce ser a la remise des pr ix aux trois premier s élèves de la dictée et la remise des attestations de par ticipation aux autres candidats. Dans l'apr èsmidi, en plus de la pièce théâtr ale, il y aur a un gala ar tistique, toujour s au niveau de la bibliothèque, qui ser a animé par des chanteur s désignés par la direction de la culture et des ar tistes locaux, parce que dans cette commune qui a enfanté les trois gr andes figures de la chanson kabyle, à savoir les regrettés Far id Ali et Moh Said Oubélaid Toponymie hydrique et sociétés amazighes A l’initiative du dépar tement de langue et culture Amazighes de l’univer sité Akli Mohand Oulhadj de Bouir a, un colloque national sur le thème de « l’hydronymie et son r appor t avec la langue Amazigh », a été ouver t, hier et pour la dur ée de deux jour s, en pr ésence de professeur s univer sitaires et linguistes des uni- ver sités de Bouir a, Tizi-Ouzou, Béjaïa, Chlef, Batna, Tlemcen et Khenchla. Par mi les communications r etenues, l’on citer a le « Recensement des hydr onymes ber bères », « Hydronymie et par adigmes idéologiques en Algér ie », « Les sources de l’imaginaire pr atique et les croyances liées à l’eau dans la cultur e Kabyle », « L’imaginaire de l’espace et l’usage de l’hydronyme dans la chanson féminine kabyle », « Lexiques et identité des hydronymes kabyles », « Les noms hydr iques dans cer taines r égions de Bouir a » et « La toponymie des fleuves dans la r égion de Tlemcen ». Les communications, notamment celle assur ée par Kher doussi Hassina, tront, en conjuguant leur génie cr éateur et leur talent. Répondant à une question de Peligr i : dans quelle langue r êves-tu ? Mouloud Mammer i, r épond spontanément : « Le sais-je ?… J e ne sais pas si la langue de mes r êves tient à des vocables ou à des flexions. J ’imagine que la langue r éelle adhère aux images, que je r êve en ber bère la haute montagne ou en fr ançais le monde extér ieur, celui pour lequel il faut plutôt des outils éprouvés que les envoûtements de la musique. J e suis sûr que c’est en ber bère que je fabule, c’est-à-dire que je constr uis selon ma plus douce pente, sans souci des lois dures des choses et de leur poids, quand le ver be fait concur rence (non-complaisance) à Dieu dans l’invention. Mais j’imagine que tu m’as posé cette question parce que tu crois que dans le r êve, notre êtr e vr ai s’épanche et s’épand, qu’il ne tr iche plus avec lui-même, parce qu’il a lar gué les amar res, il a br isé toutes les chaînes dont les r ègles str ictes et une longue éducation avaient entr avé les élans fous. Alor s, la langue de mes r êves est aussi délestée des flexions, des accor ds avec le complément direct quand il est placé avant, des « s » au plur iel et de la voie moyenne qu’un air de flûte dans le coin le plus retir é d’une for êt per due. La langue de mes r êves est une musique que mes mots n’ont pas besoin d’amar rer à des bor nes (…) ». De J ean Amrouche qui ne sais pleurer qu’en Kabyle, nous ser ions inspir és à ne prendre que l’essentiel et non l’accessoire pour en faire de Tamazight le socle et le ciment qui nous unissent dans une Algér ie r iche de sa diver sité. Sadek A.H. ainsi qu'Oukil Amar, encore vivant mais alité depuis son AVC de 2012, chanter n'est pas un vain mot. Avec ce progr amme, le public de cette municipalité r ur ale ser a r eplongé dans les événements qui ont engendr é ce 20 avr il 1980 avec, aujour d'hui, à la clé la constitutionnalisation de la langue amazighe comme langue nationale et officielle apr ès les premières r évoltes qui remontent à la cr ise ber bér iste de 1949, ponctuée à chaque fois depuis par des mouvements revendiquant ce statut à la langue de millions d'Algér iens. Amar Ouramdane souligner ont l’impor tance de « l’eau » dans la société kabyle. Il était essentiellement question de « Tala » (la fontaine), cet espace r éser vé à la « féminité » où la femme kabyle libère ses instincts jusqu’à chanter l’amour, le cor ps, voire l’érotisme. « Avr id n Tala » (la route qui mène à la fontaine) est un autre espace où, dans la pudeur, le regar d de la femme rencontr e celui de l’homme, un regar d fur tif char gé de désir. La rencontre aur a sans aucun doute le mér ite de r éper tor ier un lexique relatif au concept génér ique eau. En ce sens, il se greffer a au tr avail entamé par le HCA et qui consiste à élaborer un dictionnaire monolingue. O.K. l ’ Év én em en t Le P/APC jette l’éponge Lundi 18 avril 2016 C M J N Aït R'zine Il a démissionné de son poste jeudi dernier La commune d'Aït R'zine, située à 85 kms au Sud-ouest de Béjaïa, s'est retrouvée du jour au lendemain sans maire. E C M n effet, le P/APC, M. Dahmani Youcef, a démissionné de son poste depuis jeudi der nier, a-t-on appr is de sources locales. Contacté pour en savoir un peu plus à ce sujet, M. Dahmani confir mer a l' infor mation de sa démission. " Effectivement, j'ai démissionné de mon poste de P/APC depuis jeudi der nier. J 'ai déposé un pr éavis qui expirer a le 10 mai prochain. Actuellement, je suis démissionnaire et je suis en tr ain d'expédier les affaires cour antes pour laisser tout le temps à l'assemblée communale de désigner un nouveau maire qui me remplacer a" , déclar e M. Dahmani, le désor mais ex-premier magistr at de la commune d'Aït R'zine. Les r aisons qui ont poussé M. Dahmani à démissionner sont, pour le moment, inconnues. Nous avons insisté aupr ès de lui pour en savoir un peu plus sur les motifs qui l'ont poussé à démissionner à un moment aussi cr ucial de la vie de la commune, notre inter locuteur n'en dir a pas plus que ça : " Les motifs de ma démission sont d'or dre per sonnelles !" A la question de savoir s'il a pr is définitivement cette décision de démissionner, M. Dahmani tr ancher a dans le vif : " Ma décision est ir r évocable, je suis démissionnair e. L' assemblée communale va devoir se r éunir pour désigner mon successeur " . Cette démission du P/APC a sur pr is plus d' un dans la commune d'Aït R'zine, laquelle " patauge" dans des problèmes multiples liés sur tout aux volets de l'aménagement ur bain. Pour tant, l'actuelle assemblée, à sa tête M. Dahmani, a r éussi malgr é tout à relancer, un tant soit peu, le développement local, non- Béjaïa Des habitants d’Aïn Skhoun et d’Ighil Oujilvane bloquent le boulevard de la Liberté au niveau du siège de la wilaya « De l’eau SVP ! » D es dizaines d’habitants des villages Aïn Skhoun et Ighil Oujilvane, relevant de la commune de Béjaïa, à quelques encablures du campus univer sitaire de Tar ga Ouzemour, ont procédé, dans la matinée d’hier, à la fer meture du boulevar d de la Liber té, devant la gr ille d’entr ée du siège de la wilaya, pour r éclamer haut et for t l’alimentation de leur s villages en eau potable et en électr icité. La fer meture est des plus symboliques, puisque les pr otestatair es n’ont déposé sur la chaussée que des bouteilles d’eau minér ales vides. Mais comme l’ar tère est habituellement tr ès fr équentée et qu’elle était, hier, bloquée dans les deux sens de la circulation, les policier s ont eu tout le mal du monde à canaliser le flux des véhicules aux car refour s de Daouadji et de Rabéa. Les manifestants qui r éclament, donc, de l’eau potable et de l’électr icité pour leur s foyer s soulignent que s’ils sont ar r ivés à cette action extr ême, c’est que cela fait plus de vingt ans qu’ils attendent qu’on br anche leur s habitations aux r éseaux d’AEP et d’électr icité et qu’ils ont épuisé toutes les voies de recour s. Ils mar tèlent que le P/APC de la commune de Béjaïa et le chef de daïr a leur ont fait des promesses quant à la satisfaction de leur s revendications, mais en vain. Tout ce que l’APC leur a fait jusqu’à maintenant, c’est de les alimenter en camions citer nes une fois tous les quinze ou vingt jour s. Et chaque famille, expliquent les protestataires, «n’a droit qu’à un laps de temps de puisage qui ne dépasse pas sept minutes et par fois moins, même si tous les jer r icans ne sont pas encore remplis». Ensuite, continuent-ils, «il faut encore tr anspor ter les jer r icans à la maison qui n’est pas toute proche, puisque le camion ne s’ar r ête pas devant chaque maison. Et là, cer tains utilisent des brouettes de chantier s en usant de la force de leur s biceps. Mais que font les femmes qui ne peuvent pas sor tir pour faire la chaine avec leur bidons ou dont les enfants sont à l’école et les mar is au tr avail». D’autres manifestants soulèvent aussi le problème de la route qui est des plus impr aticables. En effet, la route de Aïn Skhoun, au-delà de l’univer sité, est jonchée de profondes crevasses qui ar r achent les car dans des voitures, sans compter les nuages de poussières que soulèvent les véhicules et qui s’infiltrent dans les appar tements et qui se déposent sur tous les meubles de la maison. Par leur action, jugée extr ême, les manifestants font savoir aux autor ités qu’ils ne peuvent plus suppor ter cette situation et revendique, avec force, l’amélior ation de leur cadre de vie. B. Mouhoub Taghzout Pour réclamer leur part du développement Les citoyens de deux villages ferment le siège de l’APC L es citoyens des deux villages Mâdi et Tala Boughval, relevant de la commune de Taghzout, à une dizaine de kilomètres au Nor d de la wilaya de Bouir a, sont montés au cr éneau hier, en fer mant dès les premières heures de la matinée, le siège de leur commune. Par cette action de protestation, les villageois ont tenu à soulever un ensemble de r evendication, lié notamment à l’amélior ation de leur s conditions de vie. Ils r éclament, essentiellement, le r accor dement de leur s deux villages au r éseau du gaz naturel ainsi que la r éhabilitation du r éseau routier qui les desser vent, lequel est, selon eux, dans un état de dégr adation avancée. Les protestataires, ont affir mé qu’ils ont dressé plusieur s requêtes et demandes aux autor ités locales, où ils ont soulevé les pr oblèmes auxquels ils sont confrontés au quotidien, mais sans aucune suite. Les protestataires ont souligné, également, l’absence de couver ture du r éseau téléphonique mobile dans leur r égion, ainsi que l’absence totale de salles de soins, ce qui les oblige à se déplacer ver s Saharidj Le siège de l'APC de nouveau fermé d’autres villages ou au chef-lieu de wilaya pour des simples soins. Ils inter pellent de ce fait le premier magistr at de la wilaya, « pour inter venir dans les meilleur s délais et mettre un ter me à nos souffr ances qui durent depuis plusieur s années ». O. K. Les citoyens dénoncent la dégradation de leur cadre de vie L C M 3 es habitants de la commune de Sahar idj renouent avec les actions de protestation, pour dénoncer, une fois de plus, «la gestion à la hussar de» de cette municipalité, dont les infr astr uctur es étatiques d' accompagnement affichent des dégr adations cr oissantes avec des retombées négatives sur le quotidien de la population. En effet, un groupe de citoyens a été de nouveau dir igé, hier matin, ver s le siège de la mair ie pour procéder à sa fer meture, et ce, en guise de protestation contre les dégr adations tous azimuts, notamment, des r éseaux de r accor dement et distr ibution de l'AEP, de l'assainisse- ment des r éseaux routier s, la défaillance dans la collecte d'or dures et le délabrement de l'éclair age public entre autres. Une action de protestation et de r as-le-bol que les fonctionnaires de l'APC ont décidé d'accompagner, en déclenchant en même temps une gr ève illimitée, selon un groupe des employés qu'on a rencontr é devant le siège de l'APC, pour protester contre la dégr adation de leur cadre de tr avail et qui posent comme pr éalable à la repr ise du tr avail, la pr ésence du wali ou le chef de daïr a, pour leur pr ésenter leur s doléances de vive voix. Il convient de souligner qu'il ne se passe pas une semaine sans qu'une action de ce genre ne soit enregistr ée dans cette commune gér ée par un maire intér imaire depuis la suspension du maire, il y a plus d'une année. Cette municipalité accuse aussi du retar d en Hdire stagmatière de développement et pour ainsi ne depuis de longues années. Rappelons que la der nière action de protestation en date, qui s'est aussi r ésultée par la fer meture du siège de la mair ie, est celle des villageois d'Imesdur ar en haute montagne (voir notre ar ticle du 02/04/2016) pour les même r aisons. Oulaid Soualah obstant les obstacles liés à l'insuffisance des moyens financier s octroyés à la commune. Pour r appel, le maire démissionnaire, M. Dahmani Youcef, est issu de la Dansqui ce cas liste indépendante " Tafat" a d rempor té 6 sièges sur les 15 en concur r ence lor s des élections communales du 30 novembr e 2012, suivi de deux autres listes indépendantes lesquelles ont rempor té 4 sièges chacune et enfin du par ti du FFS qui n'a eu qu'un seul siège. Syphax Y. L Aïn El Hammam Ils réclament de l’électricité Des citoyens ferment la Sonelgaz C omme prévu, depuis vendredi dernier, les locataires des coopératives sises sur les rues d’Aït Yahia et de la daïra, à la sortie Ouest de la ville d’Aïn El Hammam, à cinquante kilomètres du chef-lieu de wilaya de Tizi-Ouzou, ont mis leur menace de fermer l’agence locale de la Sonelgaz, à exécution. Les protestataires que nous avons rencontrés sur place nous ont relaté les difficultés qu’ils vivent au quotidien, sans courant électrique. Certains locataires sont installés dans leurs habitations, érigées dans le cadre des coopératives construites dans les années quatre vingt dix, depuis une quinzaine d’années et ne s’éclairent que grâce à la bienveillance des résidants de quartiers électrifiés. De bonne heure, hier matin, une centaine de personnes se sont massées devant les locaux des services de l’électricité pour en empêcher tout accès aux clients. Le personnel, exerçant au premier étage de la bâtisse, était en poste comme nous avons eu à le 1-4 de constater. Visiblement, au courant «J l’affaire », Dahmane, un locataire des immeubles du quartier en question, nous explique que le projet de 2-0 construction de deux postes C 2-4 maçonnés devant recevoir des transM 0-1 formateurs date de 2011. Pour le 1-1 E moment, un seul a été construit par M 3-2 les moyens de l’APC. Quant au second, il buterait sur le choix de C adéquat qui avait rencontré terrain J une opposition de la part de 1 48 25 citoyens. Il y a peu, les autorités ont 2 leur dévolu sur un terrain 47 se 25 jeté 47 et la 25 trouvant entre le dispensaire salle le problè4 de soins. Cependant, 46 25 me 5 de l’équipement trop cher, 44 près25 de 6 huit cent millions de centimes 43 25 chacun, risque de contrecarrer 7 36 le 25 projet. Pour le moment ni l’APC ni25 8 33 la 9 Sonelgaz ne semblent prêtes 30 à 25 débourser une telle somme. 30Une 25 délégation a été désignée pour 30 ren- 25 contrer la directrice de l’agence 1 28 25 d’Aïn El Hammam. Quant à nous, au 1 27 25 moment où nous mettons sous pres1 23 25 se, nous n’avons pas pu rencontrer la 1 21 repré-25 responsable occupée avec les 1 sentants des locataires que15le prési-25. dent d’APC d’Aïn El Hammam a rencontrés, aussi, sur les lieux de la manifestation. On nous apprend qu’une délégation de la direction de la Sonelgaz de Tizi-Ouzou est en route pour l’ex Michelet pour débloquer la situation. Nous y reviendrons. A.O.T. Nat i o n al e Les enseignants suspendent leur grève de la faim 4 Lundi 18 avril 2016 Tout en maintenant leur sit-in à Boudouaou Les enseignants contractuels qui poursuivent toujours leur sit-in non stop à Boudouaou, ont décidé, hier, de suspendre leur grève de la faim. T out en acceptant la médiation des trois syndicats du secteur, à savoir le CLA, le CNAPESTE et le SNTE, et en signe de bonne volonté, les enseignants contr actuels ont gelé, hier, leur gr ève de la faim entamée depuis pr ès de deux semaines. « Les enseignants contr actuels et vacatair es ont déposé, hier, officiellement l’acceptation du mandat au niveau du Premier ministre et attendent à ce qu’il désigne de sa par t avec qui négocier », nous a signifié, hier, le por te-parole du CLA, Idir Achour. Ce syndicalise a indiqué qu’il existe plusieur s solutions pour une sor tie de cr ise. « Il y a aussi une volonté des deux par ties concer nés pour la r égular isation de la situation des enseignants contr actuels et vacataires, tout en respectant les lois de la r épublique », a affir mé notre inter locuteur qui a pr éfér é ne pas donner plus de détail sur ces solutions. « Nous pr éférons ce chemin que celui qui nous mèner a ver s un avenir incer tain et dangereux », a encore souligné le por te-parole du CLA. Ces protestataires, faut-il le r appeler, qui sont dans la r ue depuis le 27 mar s der nier, exigent le recr utement de tous les contr actuels ayant plusieur s années de ser vice effectif et l'octroi des pr imes et indemnités liées à la fonction, telles que pr évues par le statut génér al de la Fonction publique ainsi que le payement de leur s salaires. Pour sa par t, M. Bachir Hakem, pr ésident du CLA, a fait savoir que l’impact du recr utement massif de ce type d’enseignants a lar gement contr ibué à l’extension de la scolar isation dans le pays. En effet, les estimations montrent qu’en 2012-2013, les enseignants contr actuels ont per mis de scolar iser environ 1 000 000 élèves supplémentaires. Ce syndicat a déplor é le fait que les contr actuels qui per çoivent des salair es de moins de 26 000 DA, sont devenus «bouche-tr ous» de l' éducation nationale. « Cer tains contr actuels se pr ésentent au concour s de recr utement, depuis cinq ans maintenant, et à chaque fois la major ité d’entre-deux, apr ès étude de leur dossier, est recalée », a regretté le CLA qui explique qu’ « Étr angement, plus ces enseignants contr actuels avancent dans le métier et la maîtr ise de l'enseignement, plus ils ne sont pas reconnus par l'enseignement public et gar deront leur statut de contr actuels ». « Mais les r ésultats des concour s sur une simple étude de dossier sont négatifs et l’on fait appel à de nouveaux enseignants sans aucune expér ience qui aur ont besoin d’un temps d’expér ience et de for mation alor s À propos de la commission nationale chargée des programmes de deuxième génération Benghebrit persiste et signe L a ministr e de l’Éducation nationale, Nour ia Benghebr it a affir mé, hier à Alger, que la commission nationale char gée des progr ammes est algér ienne et son tr avail se fait dans la tr anspar ence. En effet, Mme. Benghebr it a mis fin à la polémique qui a suivi l’annonce de la mise en place des progr ammes de deuxième génér ation, notamment suite à la contestation de cer taines or ganisations syndicales et parentales qui ont émis des r éser ves quant au tr avail de ladite commission. « La commission nationale char gée des progr ammes de deuxième génér ation est algér ienne. Elle tr availle dans la tr ansparence, tout en r espectant les composants de l’identité nationale, à savoir, l’Ar abité, l’Islam et l’Amazighité », a indiqué la ministre à la presse en mar ge de l’or ganisation de la jour née par lementaire consacr ée au débat sur les progr ammes de deuxième génér ation. À tr aver s cette jour née, la ministre de l’Éducation a voulu rendre public ce que son secteur est en tr ain de faire dans ce cadre du processus de r éfor mes scolaires engagé depuis 2003. « Notre objectif à nous, aujour d’hui, c’est de montrer à tous, par ticulièrement aux repr ésentants du peuple, à la presse et à la société, les effor ts menés par le ministère de l’Éducation nationale », a-t-elle dit. Et d’ajouter, dans ce sens, que gr âce à l’accumu- lation d’expér ience, son dépar tement pour r a pr ésenter des amélior ations. « Aujour d’hui, les exper ts de la commission nationale ont pr ésenté des exposés théor iques ainsi que des vidéos, car il était impor tant pour nous de montrer concr ètement la valeur ajoutée de ces amélior ations », a-t-elle encore expliqué. Elle a jugé « nécessaire » d’avoir des nor mes, concer nant les heures, les semaines, ainsi que le contenu d’enseignement. La première responsable du secteur de l’éducation a, également, mis en exer gue l’impor tance de la for mation pour faire r éussir la mise en place, à par tir de la prochaine année scolaire, de ces nouveaux progr ammes pour les premières et que l’éducation possède déjà des enseignants contr actuels non recr utés qui ont ce statut. C'est honteux ! », estime le CLA. Ce syndicat considère que « l’exploitation de ces contr actuels a dépassé tout entendement. Ils sont mal r émunér és et ils ne per çoivent pas leur salaire. D’ailleur s, une gr ande par tie d’entre-deux attend son premier salaire, et ce, depuis deux ans ». De ce fait, le CLA dénonce les conditions d’exercice et de r émunér ation de ces per sonnels, lesquelles ne cessent de se dégr ader, le plus souvent en dépit du code du tr avail. « Notre syndicat est déter miné à continuer la lutte contre cette pr écar isation inacceptable et appelle tous les per sonnels à faire de même », a affir mé la même source. L.O.Challal deuxièmes années pr imaire, ainsi que pour la première année du collège. « La for mation a démar r é en janvier 2015. Il y a déjà 500 inspecteur s qui ont été for més », a-t-elle fait savoir. Selon elle, le redéploiement de cette for mation au niveau de la souscr iption et des enseignants, « est un tr avail pénible qui ne se fait pas du jour au lendemain ». Par ailleur s, la ministre de l’Éducation a estimé que le seul ennemi de son dépar tement est la dégr adation de la gestion. « Il faut ar r iver à un consensus pour promouvoir le secteur de l’éducation », a-t-elle plaidé. Samira Saïdj Après l’échec de sa réunion de conciliation avec la tutelle Le SNPSP en grève d’une journée aujourd’hui L e syndicat national des pr aticiens de la santé publique (SNPSP) maintient toujour s son mot d’or dre d’un ar r êt de tr avail pr évu pour aujour d’hui. Cette action ser a suivie de deux jour nées de gr ève les 25 et 26 du mois cour ant. Un mouvement de protestation qui ser a appuyée par un sit-in national au deuxième jour du débr ayage, devant le ministère de la Santé. Le SNPSP pr évoit également une gr ève de trois jour s les 2, 3, et 4 mai prochain. La r éunion de conciliation qui a regroupé le 12 avr il der nier, le ministère de la Santé, de la Population et de la Réfor me hospitalière, et les repr ésentants du SNPSP, s’est soldée par un échec. En Effet, la délégation du SNPSP a claqué la por te de la r éunion avec le ministère de tutelle. « Une fois sur place, on s’est retrouvé avec la commission mixte centr ale char gée du suivi des dossier s des par tenaires sociaux, qui n’a pas pu aupar avant r égler nos problèmes », a déplor é le pr ésident du SNPSP. Le Dr Lyes Mer abet a expliqué, lor s d’une conférence de presse tenue hier matin à Alger, que « la délégation du SNPSP, s'est vu obligée de se retirer de la salle de r éunion apr ès avoir insisté sur la pr ésence du ministre de la Santé, où à défaut, du secr étaire génér al du ministère de tutelle, pour entér iner des décisions et gar antir le respect et la mise en application des ter mes d’un accor d éventuel ». Le Dr Mer abet a adressé une lettre au ministre de la Santé, dans laquelle il a appor té un éclair age sur le choix de se retirer de la r éunion et il l’a sollicité à se manifester pour trouver des solutions aux pr éoccupations des pr aticiens de la santé publique. Le pr ésident du SNPSP a dénoncé l'attitude négative et « les propos provocateur s » de cer tains responsables pr ésents à la r éunion au nom de l'administr ation centr ale. Il a, dans ce sens, dénoncé « les accusations gr aves de la pr ésidente de la commission centr ale qui estime que la protestation des pr aticiens de santé publique est motivée par des considér ations non professionnelles ». Le Dr Mér abet a attr ibué le recour s des pr aticiens de la santé publique à la gr ève « à la non-concr étisation des engagements déjà pr is en r éunion de conciliation du mois de mai 2015 ». Ce syndicaliste a déplor é le fait que l'audience accor dée le 24 févr ier de l'année en cour s a été sanctionnée par des instr uctions du ministre et des délais qui n'ont pas été respectés. « Apr ès une année d’accalmie et de stabilité dans les secteur s de la santé, r ien de concret n’a été fait à ce jour », a déplor é le conférencier, avant d’ajouter que « la balle est dans les camps Tizi-Ouzou Les travailleurs maintiennent leur grève du ministère de tutelle, et nous espérons une r éponse du ministre qui soit dans le bon sens ». La même source a fait savoir que cette action a été décidée afin de dénoncer le phénomène de violence dont sont victimes les professionnels de santé sur les lieux de tr avail et exiger la mise en place de mesures de protection adéquates. « Nous ne voulons pas ar r iver jusqu’à compter des cas de décès, faute de l’insécur ité qui s’installe depuis quelques années dans les établissements de la santé publique », a-t-il lancé. «C’est à eux de trouver les solutions », a-t-il ajouté en s’adressant au ministère de tutelle. Ce syndicaliste a dénoncé également toutes les for mes d'entr ave au libre exercice syndical et exige la levée des mesures disciplinaires et les pour suites judiciaires engagées par l'administr ation de tutelle contre des délégués syndicaux. Le pr ésident du SNPSP a tenu à r éitérer l'engagement et la disponibilité des pr aticiens dans la voie du dialogue dans le cadre des r éunions de conciliation. Enfin, le syndicat r éclame l'assainissement de la situation financière induite par l'or ganisation du concour s de passage aux gr ades de pr incipal et en chef avec comme date d'effet le 11 août 2015. L.O.Challal L’ex-Cotitex de Draâ Ben Khedda toujours à l’arrêt C omme pr évu, une séance de tr avail a été tenue, mercredi 13 avr il 2016, au siège de la Direction génér ale de l’EATIT-Alger (ExCotitex) entre les responsables de l’entrepr ise textile, les r epr ésentants des tr availleur s, l’Union de wilaya UGTA et l’Union locale de Dr aâ Ben Khedda (une copie du PV nous a été remise). Au cour s de cette r éunion, tous les points revendiqués par le collectif des tr availleur s de l’usine de Dr aâ Ben Khedda ont été passés au peigne fin et le P-DG de l’EATIT en collabor ation avec les autres membres ont pr is des mesures ur gentes et des décisions à même de satisfaire les tr availleur s. Pour notre par t, nous avons contacté M. Kebir Ahmed (SG de l’union locale UGTA de Dr aâ Ben Khedda) qui nous a reçus dans la matinée d’hier. Il nous confir me toutes ces décisions pr ises en commun accor d avec les responsables et les repr ésentants des tr availleur s et du syndicat. Il nous confie : «Nous nous sommes rendus à trois (Amar Sekaï, Haddaou Sid Ali et moi-même) à l’usine le lendemain de la r éunion d’Alger, pour un compte rendu détaillé aux tr availleur s, en assemblée génér ale. Apr ès lecture du PV et contre toute attente, les ouvr ier s ont avancé une autre revendication qui n’a pas fait l’objet de discussion et de débats lor s de la r éunion de la veille, à Alger. Il s’agit du dépar t de la section syndicale et de r appeler que le SG de la section est élu. Il ne peut être destitué comme ça, du jour au lendemain. Il faut qu’il ter mine son mandat !» A cette r éponse qui n’est pas du goût des tr availleur s, ces der nier s ont décidé de maintenir leur mouvement de gr ève entamé depuis le 04 avr il 2016. Au sujet de la relance de la production qui inter viendr a ver s le mois de septembre, le SG de l’union locale confie : «Nous défendons les tr availleur s tout comme l’État défend l’EATIT. Un matér iel sophistiqué, d’une technologie de pointe, ser a installé. Des Allemands et des Fr ançais sont à pied d’œuvre à l’usine». Dans une déclar ation (copie en notre possession), datée du 13 avr il 2016, (jour de la r éunion d’Alger ) et faxée à Alger ce jour-là, selon M. Kebir, les tr availleur s reviennent à la char ge et r appellent les revendications déjà soumises au P-DG de l’EATIT : «Nous, les tr availleur s de l’EATIT de Dr aâ Ben Khedda, tenons à infor mer les ser vices concer nés de l’entrepr ise, de l’union locale de Dr aâ Ben Khedda, l’union de wilaya de Tizi-Ouzou ainsi que l’union nationale de l’UGTA, que nous avons décidé le retr ait de confiance à la section syndicale de l’entrepr ise ainsi qu’au comité de par ticipation (CP)». Arous Touil Nat i o n al e Pas de concession des plages cette année à Tizi-Ouzou Lundi 18 avril 2016 5 HLe directeur du tourisme de la wilaya est catégorique Les concessions des plages aux privés sont interdites pour la saison estivale 2016 au niveau des huit plages autorisées à la baignade dans la wilaya de Tizi-Ouzou, à savoir Tassalast, la grande plage, Feraoun Ouest et Est, à Tigzirt, Caroubier, plage du centre, Sidi Khelifa et petit paradis, à Azeffoun, a-t-on appris auprès du directeur local du tourisme et de l’artisanat, M. Rachid Ghedouchi. D onc, la saison estivale 2016, dont le coup d’envoi officiel est pr évu pour le 04 juin prochain, ser a marquée cette année par l’inter diction des concessions des plages aux pr ivés et ce en r aison de l’anarchie dans la gestion de cer taines d’entr es elles. Selon M. Ghedouchi, à compter de cette année, les plages autor isées à la baignade seront gr atuites à 100% . En effet, outre l’accès qui ser a bien évidemment gr atuit, il y aur a l’offre de cer taines commodités, entres autres les par asols et les tables. Notre sour ce ajouter a que le problème majeur des plages autor isées à la baignade r éside dans « les squatteur s » qui facturent des prestations aux baigneur s dans l’illégalité la plus totale. Il va sans dire que les concessions des plages de ‘’Fer aoun-Est’’, dans la commune d’Iflissen relevant de la daïr a de Tigzir t, ‘’Car oubier ’’, ‘’Plage du centre’’ et ‘’Petit par adis’’ dans la daïr a d’Azeffoun, confiées à des pr ivés et reconduites l’année der nière, ne le seront pas pour la saison estivale 2016 au même titre que les quatre autres plages autor isées à la baignade. Pour r appel, la décision de laisser les walis décider du devenir des concessions des plages de leur s Salon international du tourisme de Béjaïa wilayas respectives avait émané du ministr e du Tour isme et de l' Aménagement du ter r itoire, M. Amar Ghoul, qui, à par tir de la wilaya de Boumer dès, avait déclar é, l’année der nière, à l’occasion de l’ouver tur e de la saison estivale 2015 : « La concession des plages est laissée cette année encore à l'appr éciation des walis, en attendant la pr omulgation, l' année pr ochaine, d'autres textes de lois concer nant cette question ». Et bien, maintenant, cette question est tr anchée. Les concessions des plages aux pr ivés sont bel et bien de l’histoire ancienne. Il est utile de r appeler que plus de 9 millions d’estivants ont été enregistr és dans la wilaya de Tizi-Ouzou dur ant la saison estivale 2015, une affluence recor d pour la r égion. Ces chiffres ont été avancés Béjaïa par l’office du tour isme de Tigzir t qui s’est basé sur la fr équentation jour nalièr e et noctur ne des estivants au niveau des plages et des por ts de plaisance. Taous C Une noyade dans un lac à Akfadou A yant voulu se baigner dans le lac noir d’Akfadou, pour se r afr aîchir de la for te chaleur d’avant-hier, un jeune homme de 17 ans s’y est noyé. Son cor ps a été repêché, apr ès deux heures de recherches, par des plongeur s de la Protection Civile qui ont été dépêchés sur les lieux apr ès l’aler te donnée par des citoyens. Béjaïa enregistre, ainsi, sa première noyade de l’année. « Le rendez-vous du renouveau de la destination Algérie » U n nouveau Salon du tour isme est or ganisé à Béjaïa, depuis samedi der nier et ce pour une dur ée de trois jour s, au niveau de l’espace d’exposition de l’ancien souk el fellah, appellé également la Gr ande Sur face du Lac. Cet événement intitulé «Le rendez-vous du renouveau de la destination Algér ie» a été mis officiellement sous le patr onage du ministre du Tour isme et du wali de Béjaïa. Les or ganisateur s, Br oad Consulting et Pubbox, ont r éuni plusieur s acteur s du secteur de tour isme, venus de différentes r égions d’Algér ie et de l’étr anger. Au niveau national, des opér ateur s sont ainsi venus d’aussi loin que Timimoun, Tamanr asset, Tlemcen, Annaba, Ain Timouchent et Ghar daia. Pour le coup, cette rencontre est déjà une r éussite, puisque plusieur s de ces opér ateur s découvrent Béjaïa pour la première fois, et se disent r avis de s’y retrouver. Sur le plan inter national, il y a eu des opér ateur s venus de Fr ance, de Tunisie, du Maroc, de la Turquie et de Malte. Pour la plupar t d’entre eux, ce n’est pas que Béjaïa qui est une découver te, mais le tour isme algér ien en génér al. Pour un cer tain nombre d’entre eux, seul le tour isme sahar ien était connu, ignor ant le reste du ter r itoire. Pour Mur iel Legal, d’Envie de Voyage, est venue de Fr ance, son déplacement r épond au souci de trouver de nouveaux produits en Algér ie, en développant un nouveau produit qu’elle a appelé «Envie d’Algér ie», afin d’envisager d’étendr e ses activités, jusque-là or ientées sur le Maroc et la Tunisie. L’Office National du Tour isme Tunisien s’est déplacé en force pour faire connaître ses produits aupr ès du public algér ien, et de faire des rencontres professionnelles à Béjaïa. Quant à notre Office National du Tour isme, il n’a été que tr ès timidement pr ésent, en tous cas, pour ce premier jour. De Béjaïa, il y a eu plusieur s exposants, essentiellement r epr ésentés par des associations et des hôtels. C’est ainsi que l’Association éco-tour istique des Aiguades a exposé ses produits, avec un effor t évident sur leur qualité. Cette association qui milite pour le développement tour istique dans la r égion de Béjaïa a beaucoup investi dans la communication, en r éalisant des dépliants, car tes et tableaux de toutes sor tes. De l’autre côté, une autre association toute aussi connue dans le secteur, Ar dh, a été pr ésente en masse, avec ses jeunes respir ant la vie et le dynamisme et pr êts à faire la promotion tour istique de la r égion. D’autres associations ont également été pr ésentes (Dima Voyages, J il Voyage, Gour aya Tour s, Mzab Tour s, etc.), montr ant tout l’intér êt qu’accor de la r égion de Béjaïa et l’ensemble du pays au tour isme. Du moins, du côté associatif. Car du côté institutionnel, il n’y a eu aucun repr ésentant des autor ités en ce premier jour. L’ouver ture officielle a été assur ée de façon infor melle par l’ex-sénateur de Béjaïa, le professeur Salah Der r adji. Son engagement pour le développement de l’image de cette r égion n’est un secret pour per sonne. Il a toujour s milité pour la sor tie de Béjaïa de l’anonymat dans lequel elle a été jetée. Salah Der r adji, du temps où il exer çait son mandat, avait r éussi à faire déplacer des ambassadeur s étr anger s, pour leur fair e découvr ir la ville et la r égion de Béjaïa. Il a ainsi, entre autres, accueilli der nièrement les ambassadeur s d’Espagne et de Cor ée du Sud, et leur a fait visiter les pr incipaux sites de Béjaïa. Il n’a pas tar i de cr itiques à l’égar d des autor ités qui se sont montr ées incapables d’assumer leur r ôle, du moins à cette occasion. Dans les différents schémas directeur s du développement tour istique en Algér ie, Béjaïa a été déclar ée pôle d’excellence, sur lequel le gouver nement avait annoncé vouloir Elle a été inaugurée, samedi, à Tizi-Ouzou A 0 B - DRB Kadiria 1 I 4 le faire ? Il est vr ai que les pr ésents faire un effor t par ticulier. Dans les années tion pour U étaient centr és sur ont tous 2 compr is et r appelé qu’il ser ait illusoixante-dix, ces pôles Tamanr asset, Boussaâda, Tipasa, les soire de compter sur les repr ésentants de l’ÉA Andalouses et Ser r aidi, entre autres. Depuis tat N/J qui ne se montrent pas à la hauteur des la découver te des sites J féér iques de Béjaïa, la attentes. N/J Tous ont r appelé la nécessité d’envir égion a été propulsée comme secteur tour istique de gr ande valeur, en plus de ses potenC tialités économiques et agr icoles. Différents types de tour isme peuvent être développés à 1 Béjaïa, allant du balnéaire, au tour isme de 2 à l’environnemental, montagne, au culturel, 3 accompagné des condietc. Le climat naturel, tions sociales et culturelles, la qualité de l’ac1 cueil des étr anger s par 1 la population, fait de cette ter re un pôle exceptionnel pour le déve1 loppement tour istique. Pour la première jour née de ce Salon, l’absence des autor ités a été remarquée, jetant une sensation de trouble sur cet événement. D’ailleur s et en der nière minute, plusieur s exposants se sont décommandés. S’agit-il des agents qui ne se déplacent que si les autor ités sont pr ésentes ? Il existe, en effet, dans tous les domaines, des acteur s par asites qui, oubliant leur s missions de ser vice public, ne sont là que pour se faire voir des responsables auxquels ils sont inféodés. C’est ainsi que l’absence des officiels a été lour dement ressentie en ce premier jour de ce Salon de dimension inter nationale, que les repr ésentants de l’État ont décidé de ne pas honorer. On se demande, d’ailleur s, pourquoi ledit Salon a été mis sous le patronage d’autor ités qui ne semblent lui accor der aucune impor tance. Ni la wali, ni le chef de daïr a, ni encore moins le directeur du tour isme de la wilaya, premier responsable local du secteur, n’ont daigné être pr ésents. Que faudr ait-il dire du pr ésident de l’APC et des autres élus, qui n’ont pas jugé utile de repr ésenter leur ville, alor s qu’ils ont été mandatés par la popula- sager le développement tour istique, en ne comptant que sur soi-même. D’où la nécessité de coor donner les effor ts consentis par les uns J et les autres, pour aboutir à l’instaur ation 69d’un 29 climat favor able au développement du 67secteur. 29 Dans l’apr ès-midi, un séminair e 64regroupant 29 l’ensemble de ces opér ateur s a été 19or ganisé 29 à l’hôtel Chr éa, pour examiner les 17conditions 29 r éelles du développement tour isen Algér ie. 7tique 29 Signalons, toutefois, la pr ésence d’une magnifique troupe musicale venue de Timimoun. Elle s’appelle Al Yakouta et s’est distinguée par l’exécution de morceaux de musique du1-1 A le Gnaoui, le Kar kabou et les2-2 ter roir, alliant sonor ités afrSicaines, dans un r ythme dyna-0-1 mique qui O en a fait danser plus d’un. Al7-1 Yakouta a exécuté une magnifique prestation,2-1 S en allant duC centre d’exposition ver s l’hôtel2-1 Chr éa, en chantant et dansant dans la r ue,3-2 C pour le bon Jplaisir des passants qui n’ont pas manqué de dégainer leur s téléphones et camér as pour immor taliser cet instant. Les chants et danses ont constitué jusqu’à l’intér ieur même de l’hôtel, sur prenant agr éablement l’ensemble des clients, habitués plutôt au 49 calme et au silence. Cette dimension de la cul4 tur e nationale est pr atiquement inconnue dans la r égion, alor s qu’elle fait par tie du patr imoine de toute la nation. Ce ser a cer tainement une des gr andes r éussites de ce salon, 35 que d’avoir r éussi à déplacer cette troupe 9 de l’anonymat et par tager leur 33 pour la sor tir ar t avec les 1gens de Béjaïa et ses visiteur s.30 1 30 N. Si Yani 1 29 1 29 1 27 1 20 1 19 1ère école de formation des personnels navigants commerciaux (PNC) I l s’agit d’une première en Algér ie. Une école pr ivée de for mation des per sonnels navigants commerciaux (PNC) vient d’ouvr ir officiellement ses por tes à Tizi-Ouzou, et compte for mer pas moins de 100 stagiaires par an entre stewar ds et hôtesses. Elle a été inaugur ée, samedi der nier, à l’occasion d’une cér émonie or ganisée au par c des loisir s Tamaghr a de la nouvelle ville de Tizi-Ouzou, en pr ésence des repr ésentants des directions locales du tour isme et des tr anspor ts. La for mation en question est à l’initiative du dépar tement aér onautique de l’école Infor média. Cette initiative «repr ésente un atout et un investissement impor tant pour la wilaya de Tizi-Ouzou et, par delà, pour toute l’Algér ie», a-t-on souligné à l’occasion. Ceci, étant donné que cet établissement «dispose de toutes les commodités per mettant aux stagiaires de suivre la for mation sous le r égime de l’inter nat», pr écise-t-on. L’école dispose aussi, d’apr ès les repr ésentants, de toutes les conditions et commodités pour une for mation aux nor mes inter nationales (for mateur s de haut niveau, simulateur s cabine avion, r ésidence d’inter nat, places pédago- giques, for mations bilingues, anglais aér onautique, nor mes OACI…). L’inaugur ation faite à Tizi-Ouzou est, par ailleur s, annoncée comme étant «une première d’une sér ie de projets d’établissements de même type qui ver ront le jour à tr aver s le pays», puisque l’on s’attend à la pr ochaine ouver tur e d’établissement similaire à Alger notamment, mais aussi à Or an, Constantine et Béjaïa. Par ailleur s, il est à noter que la for mation ser a sanctionnée par la délivr ance d’un cer tificat de sécur ité et sauvetage, homologué par la direction de l’aviation civile et de la météorologie, du ministère des Tr anspor ts. T. C. Nat i o n al e Le cri d’alarme de l’association des apiculteurs 6 Lundi 18 avril 2016 Tizi-Ouzou Pollution génétique des abeilles locales L’association des apiculteurs professionnels du massif de Djurdjura tire la sonnette d’alarme sur un nouvel « effet de mode » qui infeste le domaine de l’apiculture à Tizi-Ouzou. I l s’agit du remplacement des abeilles locales par d’autr es r appor tées d’autres cieux. Une pr atique qui r isque de nuire aux colonies locales, selon le pr ésident de ladite association. Ce phénomène n’est, en fait, pas nouveau, mais son ampleur pr ise, ces der nièr es années, n’a pas manqué d’inter peler les spécialistes du domaine de l’apiculture soucieux du devenir des colonies mais aussi du pr oduit local. D’ailleur s, le pr ésident de l’association des apiculteur s professionnels du massif de Djur djur a qui tire la sonnette d’alar me, affir me que ce procédé tend à se r épondre exposant le « produit » local au danger de la dispar ition. Salem Touati par le d’une pr atique « négative » qui consiste à introduire des r aces d’abeilles étr angères dans les r uches. Des abeilles de couleur jaune « impor tées », comme il le souligne, d’Italie ou de Fr ance, par lant ainsi d’ « abeilles buckfast » ou « tr iple hybr ide ». Le procédé est simple, estime-t-il, en expliquant que « des apiculteur s en retour de pays eur opéens appor tent dans leur s poches des reines d’autres r aces, pour ensuite procéder à la multiplication en Algér ie ». Pour lui, il ne s’agit de r ien d’autre que d’un « effet de mode » et « d’une volonté de posséder des abeilles jaunes ». Les r etombées sont, quant à elles, moins « stylées » avec une « pollution génétique » qui nuit gr ièvement à la subsistance des abeilles de la r égion « de r ace dite apis millifica inter missa » d’autant plus, ajoute le pr ésident de l’association, qu’« il s’agit d’abeilles de mauvaises qualités productives et tr ès sensibles aux maladies, notamment les loques ». Ces « colonisatr ices » sont aussi définies par Salem Touat comme étant « des abeilles pillar des, ne pouvant nullement r ésister aux ar deur s des sécher esses en Afr ique du Nor d. Pour lui, les api- Plus de 90 000 associations pour des résultats mitigés culteur s qui font appel à ce genre de pr atiques, ne sont autres que « des apprentis sorcier s qui procèdent à la multiplication de ces abeilles sans prendre en considér ation les r isques que cela peut causer à la profession ». Il ajoute qu’avec l’énor me ampleur pr ise par ce procédé « la profession, mais aussi la r ichesse de la biodiver sité sont compromises avec des retombées et un impact impor tant sur l’écologie ». Le pr ésident de l’association faisant le constat de la situation actuelle, estime avoir « remarqué des tr aces de pollution génétique dans pr atiquement toutes les exploitations de professionnels de la r égion ». Il affir me, d’ailleur s, qu’aupar avant « des r égions et des villages éloignées étaient épar gnées, mais actuellement, le phénomène y est aussi obser vé », citant l’exemple de Lar baâ Nath Ir athen, de Aïn El Hammam et d’autres localités de l’Est de la wilaya de Tizi-Ouzou. La propagation et la contamination se fait à tr aver s la fécondation des reines qui inter vient en dehor s des r uches et qu’on ne peut, cependant pas, maitr iser. Le pr ésident de l’association des apiculteur s professionnels du massif de Djur djur a appelle, ainsi, à multiplier les campagnes de sensibilisation des apiculteur s « qui ne sont pas toujour s conscients du r isque ». Pour lui, la direction des ser vices agr icoles (DSA), la chambre de l’agr iculture ainsi que les différentes coopér atives et associations des professionnels du métier doivent se pencher sér ieusement sur ce volet de sensibilisation, « seule solution pour éviter une situation désastreuse », estime-t-il. « Il est ur gent de mener des campagnes de vulgar isation et d’infor mation dans les milieux apicoles, afin d’inciter les apiculteur s à délaisser ces pr atiques et multiplier la r ace locale apis millifica inter missa plutôt que celle impor tée ». Il invite aussi à éliminer les hybr ides par un changement de reine. Tassadit. Ch. Une société civile en quête de nouveaux horizons E n se lançant dans l'initiative de susciter la cr éation d'une association des utilisateur s de l'eau (AUE) dans la wilaya de Bouir a, destinée à prendre en char ge la future retenue collinaire de Lalouah, dans la commune de Dir ah, nous nous sommes rendus compte de la complexité de l'entrepr ise qui consiste à or ganiser des populations autour d'objectifs sociaux, culturels ou économiques, pour tant clairement définis. Pour le cas de figure que nous avons cité, le par tenaire du cofinancement du projet, à savoir la Banque mondiale, avait exigé, dès l'initiation de l'idée de retenue collinaire au milieu des années 2000, et ce, dans le cadre du Projet d'emploi r ur al (PER2), à ce qu'une association des futur s ir r igants soit cr éée par les ménages qui bénéficieront de l'eau de la retenue. Cette association aur a pour mission d'entretenir l'ouvr age une fois r éalisé- les tr avaux seront lancés au cour s de cette semaine-, et de se constituer comme des inter locuteur s des pouvoir s publics dans l'amélior ation des ser vices de cet ouvr age. En par lant de complexité de constituer l'association, les r aisons sont doublement agissantes. Il se trouve que le déficit de l'or ganisation de la société civile en génér al, par ticulièrement dans cer taines r égions du pays, est aggr avé par cer taines dispositions de la loi sur les associations. Ce double handicap a, dans le cas cité, coûté plusieur s années au projet de constitution de l'association, comme il a assur ément pesé négativement sur les délais du parcour s procédur al du projet pour lequel elle est cr éée, à avoir la r éalisation d'une retenue collinaire d'un coût de 9 milliar ds de centimes, dans une r égion pastor ale et ar ide qui en a vr aiment besoin. Il est quand même par adoxal que soit l'administr ation, maître d'ouvr age du projet, qui, conjointement avec l'APC, tente d'or ganiser les citoyens bénéficiaires en association, avec d'immenses difficultés de r éunir le quor um requis. De là découle le souci de la pérennité de cette association et de son efficacité sur le ter r ain. En dehor s de cet exemple " fr ais" , auquel nous avons par ticipé per sonnellement en tant que fonctionnaire de l'administr ation, nous avons connu maints exemples de d' associations, dont l'action a avor té sur le ter r ain, dont les membr es se sont disper sés au bout de quelques jour s, dont une par tie ou la totalité du per sonnel ont été manipulés ou " clientélisés" . En r ésumé, sur des centaines d'associations, de fondations ou de clubs qui ont été cr éés pour prendre en char ge des objectifs culturels, sociaux ou économiques, peu d'entre ces or ganisations ont pu émer ger du lot, maintenir plus moins la cadence et gar der le cap des ambitions et des objectifs pour lesquelles elles ont été cr éées. La str uctur ation de la société civile dans notre pays tar de à prendre for me de façon à ce que la " philosophie" qui en constitue le socle, les acteur s, les str atégies, les modes d'inter vention, se pr écisent et aboutissent à des r ésultats probants dans la marche génér ale de la société. Si le paysage politique s'est numér iquement enr ichi, par ticulièrement apr ès la repr ise des agr éments accor dés aux par tis en 2012, le monde associatif, lui aussi, a subi une cer taine inflation qui a fait por ter le nombre d'associations agr éées à l'échelle du pays à plus de 92.000, chiffre donné par le ministère de l'Intér ieur et des Collectivités locales avant l'entr ée en vigueur de la nouvelle loi du 12 janvier 2012 relative aux associations. Cette der nière exige la mise en confor mité de toutes les associations agr éées avant cette date. Un cadre législatif contraignant Dans un contexte social, économique, culturel et spor tif des plus complexes- car actér isé par le déficit chronique de r égulation sociale, la violence dans la r ue, dans les foyer s, dans les écoles et dans les stades, le recul des valeur s mor ales et culturelles, le développement inouï du phénomène de la cor r uption et d'autres tr aver s encore qui entr avent la marche de la société ver s le progr ès, la justice sociale et la liber té-, le r ôle de la société civile est plus que jamais recherché, sollicité. La densité des associations à tr aver s le pays fait ressor tir un taux d'une association pour 420 habitants, sans tenir compte des différences de distr ibution sur le ter r itoire national ni des fr anges de la société qui sont concer nées par ces or ganisations. Ce chiffre, s'il donne l'impression d'un " maillage" honor able, constitue pour tant une illusion d'optique lor squ'on se met à chercher l'action et l'efficacité sur le ter r ain du mouvement associatif. Il est vr ai que sur le plan de la communication, les r éseaux sociaux, pr incipalement Facebook, ont joué un r ôle non négligeable, qui peut être encore mieux exploité pour s'or ganiser et lancer des opér ations de solidar ité, d'aide aux nécessiteux et malades, de protection de l'environnement, de diffusion de cer taines valeur s culturelles, comme la lecture, de se constituer en inter face entre la population et les pouvoir s publics. Ces der nier s- administr ation ou assemblées élues- ont besoin d'identifier les vr aies problèmes avec le monde associatif et de décider, avec lui, des solutions à y appor ter. Les appels incessants lancés par les deux der nier s ministres de l'Intér ieur, Tayeb Belaïz, puis Noureddine Bedoui, pour faire valoir ce qu'ils appellent la " démocr atie par ticipative" dans les assemblées élues, ne peuvent avoir d'écho si le monde associatif n'est pas bien constitué et for tifié. Ces appels gagner aient également à ce qu' ils soient suivis d' actes concrets de la par t des élus eux-mêmes, comme il s'avère aussi indispensable que les actuels codes de la commune et de la wilaya soient r évisés et enr ichis dans le sens de la promotion de la citoyenneté et de par ticipation. Ces codes sont pour tant r évisés en 2012, mais sans gr and changement dans le contenu. Mieux encore, la nouvelle loi sur les associations, votée en 2012, mér ite d'être habitée par l' espr it démocr atique. Les acteur s sur le ter r ain ne cessent de dénoncer cer taines de ses dispositions par laquelle l'administr ation continue à être ér igée tuteur inflexible. Amar Naït Messaoud M’Chedallah Le lait cru commercialisé dans des conditions lamentables Lueurs à l’horizon Page 10 Lundi 18 avr il 2016 Tizi-Gheniff Acquéreurs des lots de terrains au lotissement " 5 juillet" Depuis plus de 33 ans, les acquéreurs des lots de terrains au lotissement " 5 juillet" n'ont toujours pas leurs actes de propriété en dépit de toutes les actions menées par l'association de ce quartier. M limètr e des poches vides qu' ils considèr ent des espaces ver ts, mais l'APC n'est pas du même avis parce que les responsables locaux insistent sur le fait que ces ter r ains soient r éser vés à des pro- ais, au fil des discussions ouver tes entre l'APC et cette der nière, des lueur s pointent à l'hor izon. Cer tes, les repr ésentants de ladite association ne veulent pas per dr e un mil- jets d' utilité publique, par exemple une antenne de mair ie, une salle de soins, un foyer pour jeunes,... A plusieur s repr ises, des commissions se sont déplacées sur les lieux. Le constat a été fait. Aïn Zaouia Réalisés dans le cadre du programme présidentiel Selon une source proche de l'APC, le cahier des char ges où tout ser a défini, va être instamment établi. " Une fois le cahier des char ges élabor é, il y aur a les actes de propr iété qui vont suivre" , pr éciser a Les locaux commerciaux au secours de l’APC P as moins de dix ser vices de l’APC d’AïnZaouïa, à savoir ceux de l’ur banisme, de l’hygiène, le ser vice technique, celui de la vulgar isation agr icole, entre autres, ont été déplacés ver s le bloc «B» des locaux commer ciaux dits du «Pr ésident», situés à quelque deux cents mètres de la mair ie. « C’est bien évidemment pour des r aisons de ser vice mais sur tout devant l’ur gence de la situation qui nous a contr aints à l’exigüité que nous avions demandé l’autor isation à Monsieur le chef de la daïr a de Dr aâ ElMizan de nous laisser occuper le der nier étage du bloc « B » des locaux commerciaux pour nous per mettre de lancer la délivr ance de la car te d’identité et du passepor t biométr ique ainsi que les car tes gr ises et autres documents », nous déclar e le pr emier magistr at de ladite localité, en l’occur rence M. Mer zouk Haddadi, tout en ajoutant que ce nouveau bloc a été doté de toutes les commodités nécessaires, -les bureaux ont été aménagés et le téléphone a aussi été installé,…-. Il est aussi à signaler qu’un gr and intér êt a été por té pour le renforcement de la sécur ité du bâtiment avec de nombreuses Tazmalt Tizi-Ouzou SOS, élèves en danger ! La journée du Savoir célébrée un jour La Kabylie gr illes ainsi que l’affectation d’agents de sécur ité de jour comme de nuit. D’ailleur s, deux vice-pr ésidents se sont aussitôt installés dans leur s nouveaux bureaux pour r épondre aux doléances des citoyens et leur éviter de faire des va et vient au siège de l’APC. Ainsi, en ayant la chance d’avoir sous la main ces locaux du « Pr ésident », l’APC d’Aïn Zaouïa a donc pu r égler un gr and problème. Par ailleur s, il n’en est pas de même pour de nombreuses collectivités de la wilaya de Tizi-Ouzou qui se sont retrouvées dans la même situation mais qui, Page 08 Page 09 la même sour ce. Inter r ogé sur l'avenir des poches vides, notre source nous r épondr a que cer taines ser ont consacr ées aux espaces ver ts, notamment celles dont la super ficie est moindr e, alor s que les plus impor tantes seront retenues à des projets en concer tation avec les r epr ésentants de ce lotissement. Lor s de la der nière rencontre entre les deux par ties le six mar s der nier, les r epr ésentants de l' association dudit lotissement se sont opposés, r appelons-le, aux décisions pr ises par l'APC, notamment la tr ansfor mation de ces gr ands espaces pour d'éventuels projets d'utilité publique. " Nous voulons que ces gr ands espaces soient maintenus comme espaces ver ts parce qu'ils sont utiles quand on sait que le béton avance par tout" , maintient toujour s le pr ésident de l'association qui voit que les propositions de l' APC ne sont que des manœuvr es. En tout cas, cette situation devr a tout de même connaître son épilogue afin de per mettre aux lotisseur s de jouir pleinement de leur s acquis. Amar Ouramdane faute d’espace, ne peuvent mettre en œuvre leur nouveau ser vice de la biométr ie. « Il faut bien se mettre dans la tête qu’à l’avenir, les sièges d’APC et de daïr as auront besoin d’extension pour pouvoir tr availler et accueillir les citoyens dans de bonnes conditions, comme nos routes et autoroutes qui sont en tr ain de subir des élar gissement», nous dir a un citoyen de Boumahni, rencontr é à proximité du bloc des locaux commerciaux. Essaid Mouas M’Chedallah Les herbes comestibles comme palliatif Page 10 8 BÉJAIA C’est parti ! 06 BÉJAIA Lundi 18 avril 2016 Seddouk Baptisation des ruelles et édifices publics Le mercredi passé s’est tenue à la salle des fêtes de la municipalité, une réunion de la commission des baptisations sous la présidence de Benighil Zidane, vice-président à l’APC chargé de l’administration. L e pr ésident de la commission a infor mé les membres pr ésents du nombr e des sites à baptiser dégagé par l’APC. Du débat qui s’en était suivi, il a été décidé que l’opér ation de baptisation soit menée conjointement entre le bureau local de l’ONEC et celui des moudjahidine qui doivent r ecenser, ensemble, le nombre de Chahids de la commune de Seddouk. Nous avons consulté Laidaoui Mohand Akli, membre du conseil char gé du dossier des baptisations qui nous donner a plus de pr écisions. «Lor s de la r éunion tenue le mercredi passé au siège de la municipalité, l’APC nous a infor més que 55 sites ont été attr ibués mais malheureusement 37 d’entre eux ne por tent pas encore de plaques, un retar d à par faire, telle est la mission assignée par la commission des baptisations. Elle nous a infor més, par ailleur s, de la disponibilité de 36 sites à baptiser. Au niveau de l’ONEC, sans plus tar der, nous avons retroussé les manches pour entamer l’opér ation qui bat son plein. Déjà, nous avons recensé plus de 400 chahids suite à des listes four nies par les repr ésentants des villages. Comme la pr ior ité est donnée pour les chahids célibataires, nous avons recensé 40 dans cette fr ange. Mais seulement, Darguina Naissance d’une association écologique «Oxy-jeunes», un bol d’oxygène C onscients de l’impor tance de l’environnement et de son impact sur la qualité de vie des êtres humains, un groupe de jeune de la commune Dar guina ont décidé de prendre le taureau par les cor nes et de s’investir pour défendre ce patr imoine ô combien pr écieux. Sous le slogan «penser globalement, agir localement», cette association, por tant le nom d’ «Oxy-jeunes», un nom tr ès r évélateur et lour d de sens, veut œuvrer pour assainir l’espace environnemental local qui souffre déjà de plusieur s agressions, telles que le déboisement, les feus de for êt et sur tout la prolifér ation des déchar ges sauvages r ésultant du rejet anarchique des déchets. Réunis autour du dynamique pr ésident de l’association, en l’occur r ence M. Foudil Khaled, ce groupe de jeunes de la commune de Dar guina, désir e offr ir une bouffée d’oxygène à la société civile locale et d’instaurer un cadre favor able au tr avail bénévole et de l’éducation environnementale. Cette association a déjà eu son agr ément et veut rentrer r apidement dans le vif du sujet. Elle agir a dans le domaine de l'action écologique et éducative. Elle aur a pour but l’accompagnement social et éducatif des jeunes et des enfants, et vise à favor iser leur développement per sonnel ainsi que leur intégr ation dans la société en tant que citoyens actifs, cr itiques, responsables et le nombre de chahids dépasse le nombre de sites, c’est pourquoi, nous avons décidé de r épar tir le quota par deux chahids par village. Donc, nous allons faire l’attr ibution en toute tr ansparence en faisant assister les repr ésentants des villages au tir age au sor t qui aur a lieu en pr ésence du pr ésident de la commission des baptisations. solidaires afin d’appor ter un coup de main pour le développent local et dur able dans la r égion. «Oxy-jeunes» s’est fixé comme objectifs la promotion et la sauvegar de du patr imoine naturel et histor ique de Dar guina, lutter et plaidoyer pour le classement du patr imoine naturel et écologique du massif des Bâbor s, encadrement et valor isation des initiatives visant à l’éducation environnementale et citoyenne, encour ager et for mer des jeunes aux défis du développement dur able et sa mise en valeur, ainsi que le développement de l’écotour isme et des spor ts de montagne. Pour ce faire, l’association a déjà établi un r iche pr ogr amme d’action pour l’année Une fois la liste des chahids à baptiser est établie, nous allons nous r appr ocher de la dir ection des Moudjahidine et des ayants droits de la wilaya de Béjaïa pour retirer les extr aits cer tifiant la qualité de chahid. Et c’est une fois la liste définitive établie qu’elle ser a remise à la commission des baptisations pour étude», a déclar é notre inter locuteur. Nous avons consulté aussi Benighil Zidane, le pr ésident de la commission des baptisations qui nous donner a son avis sur la commission qu’il pr éside. «Nous avons agi dans le cadre des textes r églementaires où il est stipulé la mise sur pied d’une commission communale des baptisations composée de per sonnes compétentes, notamment les r epr ésentants des bureaux communaux de l’ONEC et de l’ONM. La commission a été cr éée il y a quelques mois et elle est à sa tr oisième r éunion. L’opér ation des baptisations bat déjà son plein», fer a savoir notre inter locuteur. Le bur eau de l’ONEC de Seddouk a r éuni son conseil avant-hier samedi, où les membres pr ésents ont débattu de ce dossier. Selon Ait Khelifa Akli, le responsable de section, le tr avail déjà entamé a été approuvé par l’ensemble des membres L. Beddar 2016, s’ar ticulant autour de plusieur s volets. Elle pr ojette aussi d’éditer des revues, des guides éco-tour istiques et histor iques de la r égion de Dar guina, en plus de plusieur s éditions d’un bulletin mensuel d’infor mation écologique. Souhaitons seulement que les citoyens de la commune se solidar iser ons avec cette association pour qu’elle puisse per durer et appor ter un plus à l’écologie et à l’environnement en souffr ance de l’effet des actions néfastes de l’homme. Signalons que les autor ités locales ont promis d’appor ter toutes les facilitations et aides pour la promotion de ces idées et la r éalisation de ce r iche progr amme. Saïd M. Tazmalt Ils sont contraints de traverser la voie ferrée pour rejoindre leur école SOS, élèves en danger ! L a proximité de cer taines écoles des voies de communication met génér alement en danger leur s élèves. L' école pr imair e " Zir i Mohand Saïd" , située à proximité de la gare fer roviaire de Tazmalt, en est un exemple édifiant. Le por tail de cet établissement communique, dans un premier lieu, avec un chemin car rossable, et à une cinquantaines de mètres à peine, il y a la voie fer r ée. Pour les élèves habitant sur la r ive nor d de la voie fer r ée, le problème ne se pose pas, puisqu'ils ne sont pas obligés de couper via les r ails afin de r ejoindr e cette école ; le souci concer ne, plutôt, ces élèves qui habitent sur la r ive sud de la voie fer r ée, comme ces dizaines d'élèves qui vivent à Ichikar, un hameau peuplé d'environ 1 500 habitants, situé à la pér iphér ie de la ville de Tazmalt. En effet, ces apprenants, dont l'âge va de 7 à 12 ans, se voient obligés de couper, chaque jour, par les chemins de fer afin de rejoindre les bancs de leur école ou leur s demeures. Ils font cela 4 fois par jour, et ça c'en est trop pour eux et pour leur sécur ité. Ces enfants, fr agiles devant les r isques et les danger s de la voie fer r ée, se r isquent la vie au quotidien en coupant par le chemin fer roviaire, où les tr ains passent r égulièrement. Le hic, c'est qu'il n'y a aucun passage sécur isant pour eux, ils doivent faire preuve d'une gr ande vigilance en tr aver sant les r ails, autrement c' est l' accident! " C' est navr ant que de voir, chaque jour, ces bambins innocents tr aver ser, comme ça, sans aucune sécur ité la voie fer r ée au pér il de leur vie. Il faudr a que les autor ités locales pensent sér ieusement à installer une passerelle au niveau de la gare fer roviaire afin de faire éviter le pire à ces enfants!" , note sans concession un r iver ain. Une passer elle, voilà une r evendication vieille de quelques années émise par les habitants d'Ichikar pour assurer en premier lieu la sécur ité de leur s enfants! Syphax Y. Lundi 18 avril 2016 TIZI OUZOU 15 9 TIZI OUZOU La Journée du Savoir célébrée Tizi-Ouzou Théâtre régional Kateb Yacine L’association culturelle IQRA, dont le siège est à Draâ Ben Khedda, a concocté avec les autres sections des daïras, un programme alléchant, dans le cadre des festivités du 16 et du 20 Avril. L e théâtr e r égional Kateb Yacine était pleine comme un œuf, avant-hier, J our née du Savoir. Il y r égnait une ambiance de fête, mais aussi de méditation et de r éflexion. Un gr and nombre de femmes venues de toutes les sections de l’association Iqr a, avec des invitées d’honneur des wilayas de Blida et Tipaza (membr es du jur y du concour s). Au progr amme de la matinée, il y avait un concour s pour les femmes qui suivent des cour s d’alphabétisation dans les wilayas de Tipaza et de TiziOuzou. Au menu, des questions de mathématiques, de lettres ar abes et de culture génér ale. Tizi-Ouzou s’est placée en première place. Il y avait aussi des activités culturelles et éducatives d’un haut niveau de matur ité proposées par ces adhérentes qui se sont déplacées d’Aïn El Hammam, Tizi Gheniff, Boudjimaâ et Makouda, entr e autres localités. Déclamations de poèmes (sur les hommes et les femmes r évolutionnair es, sur l’amour de la Patr ie, la femme et ses multiples missions…), des Ichewiqans (séance de henné, mar iage…), chansons (sur les bienfaits de l’instr uction et de la culture en génér al qu’il faut promouvoir et protéger de toutes les r écupér ations), ainsi que des extr aits de pièce de théâtre ont provoqué de longs applaudissements mêlés aux youyous qui fusaient de toutes par ts. La responsable de la pédagogie, Mlle Naït Bélaïd Melkhir, nous confier a : « Toutes les sections de l’association Iqr a des différentes daïr as de Tizi-Ouzou sont là pour fêter ensemble cette J our née du Savoir, ô combien impor tante pour ces femmes qui ont fait d’énor mes progr ès dans leur alphabétisation. Ensuite, un défilé de mode a mis en relief tous les genres de robes kabyles, avec les par ticular ités et spécificités de chaque r égion. Dans l’apr ès-midi, la section de Tir mitine a pr ésenté la pièce de théâtr e « Massinissa et Sinophobies » de Hamida Aït El Hadj. « Elle a été inter pr étée par six comédiens de la section de Tir mitine et d’autres localités », nous pr éciser a le pr ésident de la section Selmani Kamel, qui dir a à ce propos : « Ver s la fin de la pièce, Massinissa et Syphax ne se sont pas tués pour une femme comme on voulait nous le faire avaler ! ». Des cadeaux et des diplômes seront remis aux par ticipantes. Mme Djouher Hachemi, pr ésidente de l’association « Femme active » nous dir a d’emblée : « Il faut enr ichir l’espr it ber bèr e par la pr oduction, l’union, la force et non par la division ». Elle nous r évèler a son progr amme d’action : « Le progr amme de l’association s’étaler a jusqu’au 1er J uin, J our née de l’enfance. Nous allons reprendre le thème sur les tour nées autour des fléaux sociaux. Nous pensons aussi au Ramadhan ». La pr ésidente nous confier a encor e : « L’association Femme active s’atèle à cr éer le Pr ix du meilleur établissement secondair e et du meilleur CFPA qui s’illustr ent autour de la cr éativité, la pédagogie, la discipline entre autres éléments simulateur s de bonne conduite et d’effor ts. L’espr it de la concur r ence doit r epr endr e sa place. Un questionnaire sur l’évaluation des r ésultats au niveau des lycées fait par tie de notre progr amme ». Pour clore la jour née, la section d’Aïn El Hammam a gr atifié l’assistance d’une tr ès belle prestation de haut niveau (thivoughar ines) sur le thème qui a r éuni tout ce beau monde, la J our née du Savoir. Les festivités continuer ont et se combiner ont avec celles de la double commémor ation du Pr intemps ber bère et du Pr intemps noir que la Kabylie s’appr ête à célébrer. Arous Touil L’association Assirem marque l’évènement à Larbâa Nath Irathen À l’occasion de la J our née du Savoir, l’association culturelle Assirem, fr aîchement cr éée, a pr épar é un progr amme r iche et var ié. Une conférence a eu lieu au niveau de la bibliothèque communale, sise au niveau du chef-lieu, avec comme thème le progr amme « Soroban pour tous ». Une foule compacte est venue y assister. Le public était nombreux à cette communication animée par Abou Khoubaïb, directeur génér al de Dar El Hikma sur le dit progr amme, basé sur un instr ument boulier japonais (un instr ument de calcul japonais). Selon ce spécialiste, cette technique ayant fait ses preuves aider a à coup sûr les enfants en difficultés. En effet, c’est un progr amme complet et entier pour le calcul men- tal et le développement de l’intelligence, chez l’enfant. C’est un progr amme éducatif conçu pour la tr anche d’âge compr ise entre 4 et 14 ans. Il por te une vision complète du développement dont la philosophie est issue des or ganismes éducatifs et des familles. Cela nécessite des méthodes, outils et str atégies pr atiques dont le but est de développer l’intelligence de l’enfant de façon globale, sur tout l’intelligence mathématique et logique. Tout cela dans un climat ludique qui per mettr a à l’enfant d’avoir confiance en lui. Plusieur s études sur le développement des capacités et per for mances du cer veau ont démontr é que seules 2 à 3 % des facultés du cer veau sont utilisées. La major ité des gens n’utilisent que l’hémis- phère gauche de leur cer veau dans l’exécution des tâches quotidiennes et dans l’apprentissage. Alor s que l’hémisphère droit reste inutilisé, donc sous développé. C’est ce qu’a donné à r éfléchir aux spécialistes en la matière. Et le boulier, ou le Soroban, reste une solution mir acle qui a démontr é son efficacité. Selon le conférencier, le boulier J aponais est un instr ument qui a été testé dans 80 pays dans le monde, et ce depuis une année. L’Algér ie l’a elle aussi adopté. A cet effet, deux adhérentes de ladite association ont été for mées pour prendre en char ge les nouveaux enfants qui seront inscr its. Cela s’étaler a sur deux ans, 2 heures par semaine, dur ant les week-ends ou les mar dis apr ès-midi. La pr ésidente de l’as- sociation nous expliquer a : « Notre objectif est de prendre les enfants en char ge et de nous r approcher d’eux, d’être toujour s à leur écoute. Et nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir afin de n’oublier aucun enfant ». Toutes les per sonnes que nous avons approchées nous diront qu’elles souhaiter aient voir ce progr amme sur pied et lancé. Ce fut également une occasion pour l’association de lancer un appel pour qu’un local plus spacieux et plus adéquat soit affecté au progr amme, afin que les enfants puissent suivre les cour s nor malement. Y. Z. Ouadhias Inter-écoles à l’occasion de la Journée du Savoir L’école des trois frères Tifrani, haut la main L ’école pr imaire des trois fr ères Tifr ani a r éussi à occuper le haut du podium apr ès avoir glané la totalité des points possibles, lor s de l’inter-écoles or ganisé à l’occasion de la célébr ation de la jour née du savoir coïncidant avec le 16 avr il de chaque année. La compétition or ganisée par l’APC des Ouadhias, en collabor ation avec le secteur de l’éducation local, à la salle des fêtes communale, a dr ainé une nombreuse assistance (élèves, parents, enseignants, inspecteur s, dir ecteur s, autor ités locales et de nombreux invités). Les chér ubins des 5 écoles que compte la commune, ont, faut-il le signaler, montr é de tr ès bonnes choses. Apr ès une compétition cognitive qui a dur é toute l’apr èsmidi, l’école Tifr ani a fait un par cour s sans fautes en r épondant cor rectement à l’ensemble des questions. Rappelons que les questions ont por té sur les mathématiques, Tamazight, le fr ançais, l’Ar abe et la cultur e génér ale. Toutefois, tr ois écoles ont obtenu la même note 18/20 chacune. Il fallait les dépar tager avec d’autres épreuves, et là, c’est devenu inter minable. Question sur question et les tr ois écoles tenaient bon. La compétition est montée de plusieur s cr ans. Il fallait d’autr es questions en tamazight pour classer les écoles de Remous Saada, Abane Ramdane et Tagmount El Djedid. Du coup, la première place est revenue à l’école Tifr ani, la seconde à Abane Ramdane, La 3ème à Remous Saâda, la 4e à Tagmount El Djedid Aïn El Hammam La commune n’en dispose pas encore À quand un stade communal ? C eux qui ne connaissent Aïn El Hammam que de nom s’étonnent, une fois qu’ils y viennent, de découvr ir des communes des plus pauvres en infr astr uctures spor tives au niveau de la wilaya, voire du pays. La jeunesse locale n’a d’autres moyens de s’adonner à ses loisir s favor is que les petites aires de jeux, souvent de dimensions infér ieures à celles d’un ter r ain de basketball. Le ter r ain de football, r éclamé depuis que celui que leur a légué l’ar mée fr ançaise qui l’utilisait comme ter r ain d’aviation a été « détour né » pour la constr uction d’un hôtel, n’a jamais vu le jour. À différentes repr ises, des P/APC en avaient annoncé l’inscr iption dans le cadre des plans sector iels de développement, sans que le projet ne dépasse le domaine des intentions. Le manque de foncier est l’ar gument avancé à chaque fois que les spor tifs r éclament un ter r ain de spor t. Il est vr ai que la plupar t des P/APC étaient plus focalisés sur les coopér atives d’habitations plutôt que d’investir dans le secteur de la jeunesse. D’où le déficit cr ucial actuel en la matière. Faute de moyens devant la faire vivre, l’équipe de football « sénior s » de la J S Aïn El Hammam vient de mettre la clé sous le paillasson, alor s qu’elle a été cr éée depuis moins d’un an. Pour leur première saison en championnat de wilaya, les joueur s malgr é leur bonne volonté du dépar t et enfin la 5 ème place à l’école d’Isli Moussi. La première école a été gr atifiée par un PC por table et 5 tablettes, la 2e, Abane Ramdane, a eu 5 tablettes, et les trois autres des car tables scolair es bien four nis. Signalons que cette belle initiative de l’APC n’a pas tenu toutes ses pr omesses, car les écoles n’ont inter pr été que des chants, il n’y avait pas de théâtre et pas de poésie comme pr évu initialement. L’or ganisation n’était pas des meilleures, des écar ts de langage ont fini par abdiquer, fatigués de se déplacer pour les matchs et les entr aînements. Plusieur s écoles de football s’investissent dans la for mation des jeunes qui n’ont d’autre « champ d’entr aînement » que les aires de jeu que mettent les établissements scolaires à leur disposition. Même si la conjoncture financière du pays impose des restr ictions budgétaires, cer tains secteur s, tels la jeunesse, ne doivent pas pour autant être négligés. Une commune comme Aïn El Hammam, chef-lieu de daïr a de surcroît, ne peut s’accommoder de clubs for mant les petites catégor ies qui dispar aitront une fois qu’ils auront atteint l’âge des sénior s. Si les assiettes de ter r ain pouvant ont été entendus et cer taines questions choisies sont inadaptées à ce genre d’activités, la cor rection a été par fois lar ge et indulgente et par fois trop sévère. La preuve est sans nul doute cette longue sér ie de questions pour dépar tager les écoles. À l’avenir, tout le monde est sensé appor ter sa br ique pour r éussir ce genre d’activités combien impor tantes pour la for mation et l’apprentissage des écolier s. Hocine T. ser vir pour la constr uction d’un stade existent à Michelet, elles relèvent du domaine pr ivé. Pour éventuellement envisager d’y implanter un ter r ain de football, l’Etat doit « mettre la main à la poche » et payer en conséquence. Même si cette option était retenue, les pr ix du mètre car r é au marché par allèle sont sans commune mesur e avec les indemnisations proposées par les ser vices étatiques. Sans être pessimiste, nous pouvons affir mer que beaucoup d’eau couler a encore sous les ponts avant que la commune d’Aïn El Hammam puisse disposer d’un stade r églementaire. A. O. T. 10 « Yal azamul yesɛa azal » d adlis 10 BOUIRA BOUIRA Le lait cru commercialisé dans des conditions lamentables i Lundi 18 avril 2016 n Yiɛellalen! M'Chedallah Il représente un danger pour les consommateurs Il existe des denrées alimentaires de large consommation lesquelles, si elles ne sont pas commercialisées dans les conditions d'hygiène requises, peuvent se transformer en un véritable poison qui provoquerait de sérieux problèmes sur la santé des consommateurs. A E n effet, par mi ces produits alimentaires, il y a le lait cr û. Nous avons remarqué dans plusieur s commerces de l'alimentation génér ale, qui ont pignon sur r ue dans toutes les localités de la daïr a de M' Chedallah, la commer cialisation de cette denr ée pér issable dans plusieur s points de vente sition. Allez savoir si les mamelles des bêtes ont été désinfectées et nettoyées avant la tr aite! Le consommateur qui prend ce genre de produits ignore complètement les conditions dans lesquelles est pr épar é le lait cr û commercialisé, et c'est là que r éside le danger sur sa santé. Ce lait comme, il est connu, n'est pas pasteur isé, ce qui revient à dire qu'il est indubitablement char gé de toutes sor tes de bactér ies et de vir us, lesquels peuvent être mor tels pour les consommateur s de ce genre de denr ées sensibles. À l'approche du mois sacr é de Ramadhan (mois de la consommation excessive par de nouveau hor s de por tée des bour ses de la major ité des citoyens, à l’exception, bien évidemment, de la pomme de ter re. Celle-ci, dont la r écolte de l’ar r ière saison vient d'ar r iver sur le marché, est cédée à 25 DA le kg, d’où le recour s à quelques espèces d’her bes qu’offre généreusement dame nature dur ant toute cette saison pr intanière. Tôt le matin, les mères de familles accompagnées de leur s enfants, se rendent dans les champs, équipées de sacs, de couffins, de binettes ou de couteaux pour cueillir ces her bes et rentrer pour la pr épar ation du déjeuner. La cor vée de la cueillette des asper ges est confiée aux enfants qui doivent aller les cher cher dans les sous-bois et même par endroits, s’enfoncent dans la for êt à la recherche d’un champ d’asper ges, pendant que les femmes s’attellent à dér aciner la car de sauvage et à cueillir les gr ains non encore éclos des coque- licots. Ces der nier s ser vent à la pr épar ation de l’un des plus anciens plats tr aditionnels «Ameqfoul», lequel est un mélange à quantités égales de couscous roulé et de coquelicots. Ce plat consommé sans sauce mais bien ar rosé d’huile d’olive, est accompagné de lait caillé. Pour les sauces, on utilise la car de sauvage que les femmes débar r assent d’abor d de ses pétales pour ne gar der que les tiges, mélangée à une gr ande quantité de poivr e doux et quelques gousses d’ail. Quant aux asper ges considér ées comme un plat de luxe, on les pr épare en sauté mélangé aux œufs brouillés, cor iandre, per sil et ail. Mais, il est aussi fr équent de voir des hommes s’acquitter, euxmêmes, de cette cor vée de cueillette d’her bes sauvages comestibles. Par ailleur s, le sujet assur ément dér angeant inter pelle les pouvoir s publics sur l’alar mante pr écar ité sociale et la chute ver tigineuse du pouvoir d’achat et du niveau de vie. Cette r uée sans pr écédant sur les her bes sauvages est une indis- nettat tefka-aɣ-d aḍrisd'un i tura. Terra ous apprenons membre cutable preuve de la situation, et de l’exécutif de l'APC de i r appelle que l’État ne maîtr ise pas Chor fa que la commission de gr and-chose en matière de r égulawilaya de choix de ter r ain comtion du marché des matières aliposée des repr ésentants de la mentaires, notamment les fr uits et DAS, de la protection civile, de la légumes soumis aux lois d'un mar STP, du ser vice des for êts, et ché débr idé où chaque opér ateur d’un membre de l'exécutif comn’en fait qu’à sa tête et selon ses munal, s’est déplacée, la semaine propres intér êts. Au final, il ne der nière à Tiksir idene, où elle a reste aux citoyens que les her bes mis un avis favor able pour l'assauvages qu’ils doivent disputer siette de ter r ains que l'APC a aux… animaux. Un état de faits dégagée dans cette localité, pour durer a toute la saison du pr inrecevoir le projet d'une école temps soit jusqu’à ce que ces pour autistes. Ceci apr ès avoir her bes commencent à s’assécher été sollicité par une délégation de sous la canicule, à par tir de la mil'or ganisation nationale de la jeujuin. Seulement, ce mois de juin nesse et du tour isme, nous pr éciqui coïncide avec l'ar r ivée du mois ser a l'adjoint au maire. Le ter de Ramadhan ver r a les pr ix des r ain en question mitoyen de plumatièr es alimentair es fair e un sieur s infr astr uctures étatiques nouveau bond. Rares seront les d'utilité publique est d'une chefs de familles qui pour r ont super ficie de 05 hectares, selon assurer un repas équilibr é à leur s notre inter locuteur. Si on progénitures. O. S. constr uit cette école (la première Les herbes comestibles comme palliatif ne fois de plus, nous assistons à une spectaculaire r uée sur les her bes comestibles, notamment la car de sauvage (Thaghediouth), les asper ges (Isequimen), le coquelicot (djahvoudh), entr e autr es, à tr aver s l’ensemble des r égions de la daïr a de M’Chedallah. C’est de nouveau de longues colonnes de femmes et d’enfants qui prennent d’assaut les champs à la recherche des her bes sauvages comestibles destinées à gar nir le fond des mar mites et remplacer les légumes dont les pr ix ont connu une ver tigineuse ascension qui ne semble pas vouloir s’ar r êter, depuis le début de l'année. Prenons, à titre d’exemple, quelques légumes : l’oignon à 70 Da, la carotte à 60 Da, le piment ver t et la tomate à 120 da, les ar tichauts à 80 Da et l'har icot ver t à 140 DA (ces deux légumes vont de pair ). Cela, pour ne citer que ces matières à lar ge consommation qui se sont mises Chorfa Un terrain avalisé par la commission technique à Tiksiridene sans aucun respect des conditions d'hygiène. Le lait cr û, de vache ou de chèvre, est embouteillé dans des emballages en plastique usagés, qui contenaient de l'eau minér ale aupar avant. Il est mis dans des bouteilles de 1.5 L directement apr ès la tr aite des vaches ou des chèvres, sans aucune tr an- Nouvelle flambée des prix des légumes U excellence) et de la saison estivale, la vente du lait cr û et ses dér ivés en dehor s des cir cuits for mels pose de sér ieux pr oblèmes, et menace même la santé des consommateur s. Pire encore, de temps à autre, des vendeur s à la sauvette étalent des bouteilles de petit-lait et des morceaux de beur re pr épar és ar tisanalement sur les tr ottoir s en s' adonnant à leur vente en toute impunité. Est-il judicieux de r appeler que la wilaya de Bouir a a connu, l'été der nier, une épidémie épouvantable de la br ucellose humaine, laquelle a touché une cinquantaine de per sonnes, et ce, non sans cr éer une vér itable psychose par mi les habitants de cette wilaya. Seule la pr évention et la vigilance peuvent enr ayer ces problèmes qui pèsent sur la santé du consommateur. Y. Samir Bechloul Ramassage des déchets ménagers Un casse-tête pour les villageois L es mesures d’austér ité sur les dépenses publiques imposées aux communes suite aux chutes des pr ix de pétrole ont un impact dir ect sur la vie du citoyen. En effet, à Bechloul, les activités de la voir ie n’ar r ivent malheureusement pas à toucher l’ensemble des localités relevant de cette commune eu égar d au manque des moyens de tr anspor t. À Bouaiche, bour g situé à quelques cinq kilomètres à l’Est du chef-lieu communal, le ser vice de r amassage des or dures ménagères n’est pas assur é par les collectivités locales. Ce sont les villageois, eux-mêmes, qui se prennent en char ge et chaque ménage se débar r asse de ses détr itus en fonction des moyens dont il dispose. Et comme toutes les parcelles foncières de la localité appar tiennent à des pr ivés, la tâche est devenue donc impossible aux responsables locaux de songer à trouver une alter native, ne ser ait-ce que tr ansitoire, en attendant l’ar r ivée d’un budget qui leur per mettr a d’acquér ir les moyens nécessaires. Devant cet état de fait, les villageois tentent tant bien que mal à évacuer leur s déchets ménager s et ne pas les laisser s’amonceler à l’effet d’éviter la prolifér ation des rongeur s de tout genre mais sur tout les sanglier s qui r ôdent dans les par ages à la recherche de la nour r iture. D’ailleur s, beaucoup par mi ces citoyens se plaignent de la pr ésence en noctur ne de ces bêtes sauvages qui détr uisent tout sur leur passage et menacent même la vie des villageois. S. M. Vers la réalisation d'une école pour autistes N au niveau de la wilaya de Bouir a), ser ait d'un appor t considér able pour les centaines d'enfants autistes mar ginalisés de la r égion et de la wilaya de Bouir a, dont les parents sont dans le désar roi total, quant à leur pr ise en char ge. Rappelons qu'au niveau de la commune de M'Chedallah, une autre école pour enfants attar dés mentaux est en cour s de r éalisation- les tr avaux sont en voie d’achèvement- au niveau de Vou Aklane, à proximité du nouvel hôpital. Oulaid Soualah Arim 18 yebrir 2016 11 Tallit C M D J N Awelleh ddurt yezrin, yell-ad wawal deg usebtar-a ɣef”tenfult n tezrawin n tmazight” (bulletin d’Etudes Berbères) d-yefɣen ɣer tezrigin Achab. Yura-d umeskar : “ wakken ad tishil taɣuṛi n isebṭaren yellan deg zzmam , amur ameqqran seg tewriqin-is yettuɛawed-asen-t tira ( uran-t s wudem atrar) ama deg ayen yeɛnan asekkil neɣ tirawalt( ortographie).” Dɣa da i d-tella tucḍa, imi ur tettuɛawed ara tira, teqqim kan akken yuɣ lḥal tura di tazwara. Ad aɣ-surfen imeɣriyen d tezrigin Achab Yessefk ad d-tuɣal tesɣunt “Tafsut” [email protected] C M J N T C M J N ikwal, nneqma tettawi-d ayen yelhan. Tikwal, nnmara tettṛuẓu ifadden i wayen yellan( neɣ yettban) d awezɣi. Tikwal nnif yettleqqim afriwen i lebɣi. Akka dɣa i d-tella deg iseggasennni n tmanyin n lqern yezrin imi kra n wagguren kan deffir tedyanin n ibrir 1980, ddaw leɛnaya n Mass Salem Chaker, zdin kra n yinelmaden n tesdawit n Tizi Wezzu akked d kra n yimusnawen refden acqirew : asnulfu n yiwet n tesɣunt ara yilin d lemri n umennuɣ ɣef yidles ama- ziɣ akked tutlayt-is. Asnulfu ara yilin d dduḥ n wayen umi qqaren imiren “ amussu adelsan amaziɣ( MCB)”. Akka i d-tlul tesɣunt “ Tafsut “ ɣef tecfa tsuta-nni ileḥḥun akken tufa mačči akken tebɣa. Tasuta-nni i d-nejren abrid i usekcem n tutlaytnneɣ ɣer uɣerbaz. Iḥettmen s wammud n yiseflan( sacrifices) akked leɛtab ɣef udabu amesbaṭli yeṭṭfen zzman n leḥkem si 62 ɣer ass-a akken ad tuɣal tmaziɣt di tazwara d “tutlayt taɣelnawt” n tmurt uqbel ad tensex di tamen- dawt n tmurt , ɣer taggara agi, d tutlayt tunṣibt. Tasuta yeṛẓan isula ɣer tira n wungalen akked tulissin , ɣer tira timeɣnest, ɣer usebded n umezgun akked sinima s taqbaylit armi, ass-a tasekla akked tẓuri taqbaylit tufa abrid-is ɣer yimal, imi deg iseggasen-agi ineggura mačči d izli n tmezgunin , n isura akked yedlisen i dyettnulfun s tutlayt-nneɣ. Ulamma s lketra n tidi akked idammen ( mačči d yiwen umeɣnas n yidles amaziɣ( aqbayli) i kecmen leḥbus, mačči d izli i yem- muten - abeɛda di tafsut taberkant- , mačči d izli i yenfan si tmurt ) ayen akken i d-yettbanen di tazwara n iseggasen n 70 d targit ( d asxurref ɣer icenga n tjaddit) yuɣal assa d tilawt zdat wallennneɣ , ttnallen-t ifassen ( « Ayen akken id yeǧǧa da Lmulud / deg igenni iban am rrɛud/ wissen ma tḥulfam I timiqqwa. » , i dyenna Matoub Lounes). Mebla ccekk tasɣunt Tafsut tella d tazwart( ma yella ma mačči d llsas) akken ad tefsu tsekla teqbaylit , as id iban yimal akked iswiyen wuɣur ara tesfillit. Necfa amek nettraǧu s ccuq yal uṭṭun ara d yeffɣen akken a nemmeɣ deg isebṭaren-is yeččuren d tussna, d ameyez akked d usmendeg ɣer tikli dima ɣer zdat( ay iṭij ḥader a teɣliḍ/ la nleḥḥu madam telliḍ/ nuggad ad aɣ id yelḥeq yiḍ/ iḍul s anga ara nṛuḥ . Is yeqqar Lounis Ait Menguellet deg tallit-nni). Tasɣunt n tafsut id tteffeɣen s wudem uffir( ddaw ufus) tezdi ulawen n imeɣṛiyen –is ɣer imenɣi ɣef lasel, ɣer imenɣi ɣef nnif. Isebṭaren ttarun, deg-s, imussnawen imeqranen ( ama wid n tmurt am Salem Chaker, Ferhat Mhenni, Mouloud Mammeri,; Said Sadi, Hend Sadi, …neɣ wid n Libya, n Lmaruk, n Tunes.. ) d wid lqayen , i zeggin takka ɣef ayen ɣebban lesnin. Didṛisen yerran tafat i wallen iffuden( niqal) awali( awali n tidet yefren). Yal taɣuṛi-nsen tettawi d askaksi gar inelmaden ɣef acuɣeṛ d wamek ddan timsal. Yal asebter i tekkes amendil rran icenga n lasel ɣef yidles amaziɣ s umata. Mačči kan d anecta imi tasɣunt n tafsut tekcem diɣen aḥric n unadi deg annar n tanilest ( lingusitique) imi aṭas n w uṭṭunen id yeffɣen s ddemma i wayen-nni. Amedya uṭṭun n umawal n tusnakt( lexique des mathématiques ) neɣ amawal n tasegda( architecture). Tasɣunt n tafsut talla diɣ d tannagit ɣef iɣeblan iḥuzan imeɣnasen yellan deffir talalit n usqamu n izerfan n w umdan( ligue des droits de l’homme) yettwasnen s yisem "azerruy n Lemdiya" ( proces de media). Di tilawt tasɣunt n tafsut ( id yellan d aseɣzef n tanfult n tezrawin timaziɣin n tesdawit n Paris Vincent ) d aktay( mémoire) n umussu adelsan amaziɣ iɛabben acḥal d aseggas tanegmit n yidles amaziɣ. Tasɣunt n tafsut d aɣerbaz n umeɣnes akked usnulfu , d asurif ɣer yiseɣ, ɣer timlillit d yiman-nneɣ. Ɣef aya isekf i teẓrigin yeṣɛan teqbaylit d iswi ad alsen-t asiẓreg ( éditer) n uṭṭunen n tasɣunt n tafsut id yeffɣen i merra. Ilaq asufeɣ n wuṭṭun-agi akka tura amer tasuta tamirant ad tedlu ɣef uḥric ameqqran n umezruy-nneɣ atrar , amezruy ara sen-yilin d rkiza akken ad qazmen imal , acku xas nenwa yella kra , taluft ( tidet kan) Mazal tefri acku kra d kra kan werǧin yella d wakali. A.S Hamid 12 Arim 18 yebrir 2016 Tallit D izurar ɣef yidurar I IMKECHRENE mkechrène, d taddart tamezwarut n tama n umalu deg lɛerc n Wat Wagennun. D taddart n 38 n yimeɣras. ‘’Ur wwiḍen ara 38 n yixxamen i yellan deg lgirra-nni. Dagi i bbumbardint, i tikkelt tamezwarut, ṛruplanat n Fransa.’’ I aɣ-d-yenna Mass Hammad Hamidouche, dɣa netta d mmi-s n umeɣras. Am tudrin n leqbayel, imezdaɣ n Imkechrène, ula d nutni, tcudd tmetti-nsen ɣer tedyanin akked tmucuha. Akka ara naf taqṣidt n uɣilas, n lgirra, n Jeddi Ɛli Gueɛrab…atg Takerḍa n taddart. I mkechrène, d taddart gar tudrin n tɣiwant n Ait Aissa Mimoun deg lɛerc n Wat Wagennun. D nettat i d tamezwarut ɣer umalu n lɛerc-agi. Tella uqbel taddart Tahanouts, ɣef wakken i aɣ-d-nnan. Zedɣen deg-s ugar n 1000 n yimdanen. Ɛlayet ɣef lebḥar s 600 n lmitrat. Tesɛa tilisa akked At Khelfats, seg usamar ; ma seg umalu ad naf Ifouzar ; seg ugafa tella Makouda ; seg unẓul ad naf Boussoir. Tebḍa taddart d idrumen. Idrumen-a, llan-d ɛlaḥsab n warraw n jeddi-tsen amezwaru. Wagi d Jeddi Ɛli Gueɛrab. Ccix-agi yesɛa 5 warrac akked teqcict, ihi yal yiwen yesɛa adrum-is : At Amar Oukaci, Iamrache, At Chabane, At Yahia, At Slimane, akked Issoulame.Ayen yeṭṭfen lwelha-nneɣ deg taddart-a, d akken xas ulamma Jeddi-tsen yesɛa lǧameɛ ziknni anda ttẓallan, meɛna ass-agi lǧameɛ yuɣal d tajmaɛt kan i temlilit n yimezdaɣ mačči i tẓallit. ‘’Dagi ɣurneɣ, ttẓallan deg uxxam, ur nesɛi ara lǧameɛ.’’ I aɣ-d-yenna yiwen umezdaɣ. Isem ‘’Imkechrène. Ahat, amdan mi ara isel awal-agi neɣ teznuzuḍ. Syin i d-yekka wawal- agi ihi, imi llan yimezwura-nsen ttemqacaren. cict.’’ Syin tneggez-d tsedda-nni fellas, tewwi-as ameẓẓuɣ-is.’’ Imkechrène deg lgirra-nni. Tagi d tadyant n 3 n yimeɣras : Hammad Said, Rahim Ramdane Abderrahmane akked Mimouni Ali Hend Ou Said. Llan deg tmadaɣt n Tejjuṭ asmi xedmen lɛesker n fransa ratissage dinna. Tameddit mi kkren lɛesker-nni ad d-ruḥen, walan yiwen deg-sen mi d-yesṭuṭec. Syin yekker umennuɣ gar-asen. Iṛumyen-nni, ɣillen aṭas n yimjuhad i yellan din, sawlen i yimḍebbren-nsen. Syin, ceyyɛen-asen-d rruplanat, bdant kkatent ɣer umadaɣ-nni. Acu kan d lɛesker n fransa i ttḥazen, ɣelḍen gar-asen, nɣan azal n 100 xas ulamma glan s tlata-agi n yimjuhad. Wwin Yiṛumyen sin yimjuhad, ur asen-tenid-fkan ara armi ttraḥen. Kra n wudmawen. Rahim : d acennay mechuren ladɣa s Amezruy d tmetti. Zik, Imkechrène, uqbel ad ṭṭfen tasawent-agi n tura, llan zedɣen deg tama n wadda iwumi qqaren Tiḥerqatin: mazal ar tura later n yixxamen-nsen iqdimen. Syin d afella, ulin-d d asawen ɣer tqacuct n udrar. Amezwaru-nsen qqaren-as Jeddi Ɛli Gueɛrab, seg-s i d-frurin. Ha-tt-an, dɣa, teqṣidt-is. Jeddi Ɛli Gueɛrab, amezwaru ɣer taddart. Imkechrène, ad ixemmen ɣer umyag ‘’Qqcer’’ i wakken ad as-yefk anamek. Acu kan, ɣef wakken i aɣ-d-nnan, awal Imkechrène yekka-d seg umyag ‘’mqacar’’, meḥsub ttemsewwaq deg ssuma (négocier) mi ara d-tettaɣeḍ teqqim yemma-s 3 n wussan mebla lmakla. Mi ceyyɛen akli-nsen i wakken ad d-yawi alim deg utemmu, yufa-t dinna. Yewweḍ-d s axxam, yenna-s i yemma-s :’’ a lalla, mmi-m ha-t-an deg utemmu.’’ Tekker yemma-s, tesseɣres lḥiǧab-is, truḥ s tazla ɣer wanda akken yella. Mi tewweḍ, tḥawet-it i wakken ad yuɣal s axxam, yugi. Syin, kkren ruḥen ɣer temɛemmert deg Ɛezzuzen. Yeɣra ayen yeɣra, syin yenna-s Ccix-is : ‘’tura kečč leqraya dayen, ha-tt-an tegmart awi-tt, ay anda teḥbes, tzedɣeḍ din’’. Yekker Jeddi Ɛli Gueɛrab, yewwi-d taserdunt-nni. Tleḥḥu, tleḥḥu armi d Imkechrène, dɣa teḥbes. Seg yimir i tebda tudert d tnezduɣt deg taddart-a. Asmi meqqer, yuɣal yesɛa arraw-is, yesɛa 5 warrac akked teqcict. Syin, ttwaxel- Ha-tt-an tedyant n Jeddi Ɛli Gueɛrab ɣef wakken i aɣ-tt-id-yenna Mass Hamid Berkani : ‘’Yemmut baba-s, yeǧǧa-t-id d awḥid d ameẓyen. Yella yezdeɣ deg ukessar, deg Zehla. Yekker ɛemmi-s yerra yemma-s u yesɛa-d yid-s 7 warraw-is, meḥsub Jeddi Ɛli Gueɛrab, yesɛa 7 watmaten s yemma-s. Atmaten-agi-ines, ur qbilen ara beṭṭu gar-asen. Nnan ulamek netta, weḥd-s, ad yawi amur, nekni deg sebɛa, ad nawi amur. Ihi, i wakken ad t-nɣen, kkren segrarben-t. qen-d yiderman ɛlaḥsab n warrawagi-ines, ula d taqcict-nni s udrum-is. Taddart tebḍa akka : adrum n At Amar Oukaci, adrum n Iamrache, adrum n At Chabane, adrum n At Yahia, adrum n At Slimane akked udrum n At Issoulasse. Amḍiq Uɣilas. Zik, yezdeɣ yizem, tasedda d warrawnsen deg yiwen umḍiq. Tekker tsedda-nni, tuker-d agrud u tefka-t i warraw-is ččan-t. asmi inuda baba-s n uqcic fell-as, yufa tabernust-is gar warraw n yiezm, deg umḍiq-agi. Seg zzɛef-nni, yekker yezla iɣilasen-nni akken ma llan. Mi d-yuɣal yizem ɣer umekkan-a, yufa-d arraw-is mmezlen. Yefhem sebba, yerra-d ttar deg tsedda-nni. Akka i aɣ-tt-id nnan yimezdaɣ n tama-agi. Ttawin-d awal, diɣ, ɣef tsedda yeččan ameẓẓuɣ n yiwen urgaz. Nnan-d : ‘’ruḥen Wat taddart i wakken ad nɣen tasedda, acu kan ur as-ssawḍen ara. Yewweḍ yiwen ɣer din, dɣa, yenna-asen : ‘’ah ya lɛerc terna tem- tezlit-is ‘’yya-d ad am-iniɣ’’. Yemmut ass 13 deg furar 2010 deg leɛmer-is 50 n yiseggasen. Yusa-d i wakken ad yawi yemma-s ɣer Fransa. Mi iruḥ ad iṣubb ɣer temdint n Tizi Uzzu netta d umeddakel-is, yeḥbes wul-is deg ubrid. Ur yehlik, ur yelli kra yellan, ɣef wakken i aɣ-d-yenna gma-s Chabane. Ali Mebtouche : d amyaru iminig. Gar wayen yura, ad naf adlis ‘’Pour l’honneur d’un village’’, 2011. Yeffeɣ-d, diɣ, s yisem-nniḍen ɣer tezrigin Edilivre ‘’Le Bagnard de Kabylie’’, 2015. Deg taggara, ad snemreɣ ameddakel Mohamed Benkanoun, Hammad Hamidouche, Rahim Chabane, Berkani Hamid akked yimezdaɣ n taddart Imkechrène akken ma llan. Hocine.M Arim 18 yebrir 2016 C M J N Iselmaden n Tizi Ouzou bedden d yiselmaden n “Boudouaou” A ss n ahad 13 deg yebrir iselmaden n Tizi wezzu ur xdimen ara ruḥen ad bedden tama n yiselmaden yesuturen azref-nsen akken ad ṭṭfen imukan-nsen i lebda , imi llan wid ixedmen d iseggasen ur ṭṭifen amkan-nsen ur ttwaxelṣen meqqer , ulsend ayen yeḍran yid-sen , d ayen ur iqebbel wallaɣ, deg Bumerdes gganen deg berra Bouira s ddaw n lbican , llan wid yeǧǧan tiwaculin-nsen , llant tid d-ixelqen ula d berru imi ṭṭsent deg berra , anect-a yakk imi bɣant azref –nsent , qqimen i laẓ, i fad, ageffur-nni yezrin yuwet fell-asen,ass n ahad usan-d yiselmaden yetabaɛen cnapest akken ad ilin i lmend n yiselmaden –agi yettwaḥeqqren, mmeslayen yid-sen nnan-asen aqlaɣ yid-wen alamma iban-d uzref-nwen, am wakken ɛeddan deg useggas n 2011 ad ɛaddin 2016, ulac amgired gar yiselmaden imi lemden akk deg tseddawiyin , yerna inelmaden n Tizi Wezzu yal aseggas d nutni i d imezwura , mači kan akka llan deffir-nsen yiselmaden , ayen yesewhamen deg tmurt-nneɣ ad ak-inin ulac tadrimt maca ma d Maǧda Ilmeẓyen n at leqsar ssuturen tamkerḍit C M J N S suturen ilmeẓyen n tɣiwant at leqsar di lwilaya n tubiret aseggem n temkerḍit ixerben acḥal ayagi imi tella teldi azal n 2 iseggan tuɣal teɣlaq dayen yeǧǧan arrac n taddart četkayen yal tikelt ame na ulac win id -yerran i teɣri nsen acku ttafend iman nsen ulac akk anda ara lemden ladɣa imi id -qerreb ikayaden yemxalafen ama d BAC , BEM , ladɣa inelmaden n ukayad n taggara BAC axaṭar ttnejma en qqaren d tirebbuya gar-asen akken ad m awanen d acu kan ayagi ur d-yelli ara ttafen uguren aṭas , am wakken tamkerḍit -a tella tes a akk ttawilat ama d tiktabin, neɣ d tizeɣwa n tɣuri s yin akkin tuɣal texreb akk tuɣal ur tes in walu ayagi ktar n 2 iseggasen ar Asgiǧǧi n 50 twaculin Y ella-d wass lareb a d asgiǧǧi n 50 twaculin yellan ttidirent deg ixxamen d iqdimen di tɣiwant n in l elwi id yezgan deg umalu lwilaya n tubiret ɣer yixxamen ijdiden i yes an akk ttawilat ilaqen i tmeddurt n umdan , ayagi yekcem deg ahil ixeddmen iwakken ad ksen akk ixxamen ixerben meḥsub d iqdimen bɣan ad aɣlin di tɣiwant , Si tama nniḍen tella d tagnit lferḥ i lfayda n twaculin -agi yellan yellan ttidirent di lmeḥna d lmizirya seg ixxamen-a yettazalen d t Rumi id-yusan akken ad tecnu ad tawi imelyaren, ma d iselmaden –agi mi tneḥwaǧen ad asen-nsiwlen mi fukken ad ten –deqqren ayagi ur yelhi ara ɣeḍlen azal ila uselmad , arẓan ttrebga deg tlemmast uzagur, nessaram i yiselmadenagi ad d-ifrir fell-asen tagut , yal cedda tettabaɛ-itt talwit. Zakia Ben yahia Z ass-a d wussan mazal di yir liḥala , ɣef waya sḥasfen ilmeẓyen n tama-agi ɣef yimḍebren n tɣiwant imi ur tt qe den ara d annect-agi iten-yeǧǧan ttuɣun i widte na temsalt akken ad d-rren lwelha nsen ɣef weɣbel-a s useggem-ines deg ussanagi meḥsub ssuturen tifrat s l ejlan . iḥemmalen n waman d lexsas n wallalen n tudert am trisiti , aman n tisit ayagi akk yerra tmeddurt nsen d taberkant d cedda imi d ixxamen yellan si tallit nni ucengu , asgiǧǧiagi yella-d s lmendad imḍebren tɣiwant di tegnatin igerzzen mebla ma yella-d cwal neɣ taxessart . Asgiǧǧi-a Asgiǧǧi-a setreḥbent merra tiwaculin id -yesfayden seg yixxamen s ijdiden imi d tagnit ara sen-yeksen leḥzen d cedda- nni iten-ixenqen acḥal d iseggasen-aya . Tamnadt n qerruma tettidir di lmizirya T tidiren imezdaɣ n zwatna di tɣiwant qerruma ibe den azal 75 ikilumiṭren ɣef tmanaɣt n tubiret di tegnatin n lmizirya d lmeḥna imi ɣaben wallalen n tudert di taddart-agi yenḥafen ladɣa di tallit nni taberkant , d acu kan leɣyab iṣenfaren i lfayda n twaculin yerra tameddurt nsen yal ass d iɣublan d wuguren ttnernin ayagi akk d imḍebren yuggin ad d-rren tamuɣli nsen ɣer tama-a , am wayen Ssumam ye nan lexsas n waman tisit imi abarraǧ ur yeb id ara ɣer taddart ame a s an lexsas deg usafar-a d annect-agi iten-yeǧǧan ttaɣend tiṣiṭirin waman s suma yettawḍen ɣer ssuma 800 , 1200 idinaren , Rnu ɣer yiɣublan nniḍen aseggem n ubrid imi yergel yexsar , Ssuturen tazeqqa n tujya , daɣen axxam n yilmeẓyen , tiẓeɣwa n waddal yemgaraden. Cetkayen daɣen ɣef tnezduɣin n rrif imi tuget n tɣi- Tizegzewt, ijeǧǧigen, tizizwa,tafsut,... "T C M J N tbut, ttbut, mṛaḥba yissem a tafsut/ Lhu, lhu, ass-a yidem aṛa nezhu!", akka i yecna unaẓuṛ amuqṛan Meksa deg yiwwet geṛ tezlatin-is. Akka ihi, ussan-a d tafsut, ddunit akk ttazegzawt deg tama-agi n Ṣummam, i dyezgan deg twilayt n Bgayet. Ijeǧǧigen, tizegzewt, tizizwa i gemṛen, tafukt iṭij yeḥma, ifṛax cennun,...d-ussan i geṛzen. Yal yiwen yufa iman-is deg tefsut-agi, imi aṭaṣ n yimdanen i meṛḥen akka deg tiẓegwa akken ad ksen ɣef ulawen nsen. Deg wussan n tɣimit (jours de repos) medden ttefɣen aken ad magṛen taf- 13 Taddart/taɣiwant sut. D-imdukal neɣ d ttiwaculin s lekmal nsen-t, ttṛuḥun ɣeṛ lexla akken ad meṛḥen ad feṛḥen. Yuɣ lḥal ussan-a d-iṭij, ageffuṛ iɛedda seg syagi, yeṛṛa ddunnit akk ttazegzawt. Ihi wid yettṛuḥu-n akka ɣeṛ lexlawi ttawin yid-sen aɛwin akken ad sɛeddin taswiɛt yelhan. Ayagi dayen yessefṛaḥen aṛṛac imeẓyanen, imi wigi tteksen-d ijeǧǧigen, tteglilizen deg wadal (laḥcic), ttuṛaṛen tuqqaṛ lakked dabex. Tafsut-agi mači d-imdanen kan i ssifeṛḥen, ula d yiɣeṛṣiwen ufan iman-nsen, imi amɛic nsen yella s lkutṛa. Laḥcic, tuga, aman, yella kulec wanin sfaydent si tedwilin n tnezduɣin ḥaca taddart nsen i yiɣaben , d acu kan akk ayen ttidiren akka maci d tikelt i cetkayen i yimḍebren ame na yiwen ur dyerri s tifrat i yiɣublan , ɣef waya imezdaɣ n zwatna ssaramen melmi ara dyecraq yiṭij fell-asen s tifrat iɣublan ad idiren di lehna d telwit . Abdelhak Menas awid kan lmal-ik ad ikes. Imeksawen feṛḥen aṭaṣ imi yegma laḥcic deg laxla ɣeṛ wanda ttawin lmal-nsen aken ad ksen. Tugdi-nni i ten-yewwin imi tɛeṭṭel taɣaṛt (la sécheresse) deg lexṛif akk d tegṛest-nni i ɛddan, tefsi am wedfel seddaw yiṭij, imi tuṛa ageffuṛ yewwet s waṭaṣ ussanagi inegguṛa. Ayagi yeǧǧa ssumat n wemɛic n lmal udeṛent-d ussan-agi deg leswaq. Akka lbuṭa n-uṣaɣuṛ yenzan 650 idinaṛen tudeṛ-d ussan-a alaṛmi d 500 idinaṛen. Mači dimeksawen kan i yufan imannsen deg tefsut-agi, ula d-ifellaḥen feṛḥen aṭaṣ. Ccek-nni iten ikecmen imi xuṣen igeffuṛen yekkes tuṛa, imi tafellaḥt-nsen temnaɛ seg taɣaṛt. Igṛan n yiṛden lakked ttemẓin "ḥlan", tiyedṛin, tizellafin ttizegzawin, ttaččaṛen-t cwiṭ cwiṭ d lḥeb, waqil tamegṛa attelhu aṭaṣ deg wagguṛ-agi n magu. Ulac ccek! Ula d-azemmuṛ yeḥla-d ussan-agi, imi wten igeffuṛen s waṭaṣ deg tmuṛt-nneɣ. Taggaṛa-agi tizemṛin ǧǧuǧegen-t, dayen yessefṛaḥen aṭaṣ. Lebyuṛ, issafen, tiliwa, d laɛwanṣeṛ zaden deg-sen waman ayagi yegla-d s wayen yelhan i tfellaḥt deg tama-agi n Ṣummam. Syphax Y. Dris Gemmac « Ma yella xesren warrac-nneɣ d tasnawit-nsen i d sebba... » Ɣ as yettelḥam-d ukayad n BAK, aṭas n wussan i beṭṭlen yinelmaden n tesnawit Maɛuc Idris deg Tsexriwt. Dɣa, s yisem-is d aselway n tdukkla n Krun (asqamu n taddart), daɣen d aselmad deg uɣerbaz alemmas n Tizwal, nesteqsa Idris n Ayt Ɛmer ed Ḥmed (Gemmac) ɣef rray-is deg tegnit-a! D acu akka i la iḍerrun deg tesnawit Maɛuc Idris? Akken i t-id-uriɣ yakan deg yiwet n tiɣri ; d inelmaden n useggas amezwaru ed wis sin i xeddmen tagant (grève) ur ttaǧǧan ḥedd ad yekcem, acku ur qbilen asɛeddi n yikayaden-nsen deg yunyu, yettusemma deg remṭan. Netta ur yezmir unemhal ad asen-d-yeg kra. Taɣtest-a (décision) tekka-d seg uɣlif (le ministère). Ma yella akken-nni, yaḍra ibanasen-d wahil n usɛeddi deg remṭan? Ur ẓriɣ. Ẓriɣ kan belli ula d inelmaden n uɣerbaz alemmas ad sɛeddin akk deg wayyur-n. Ihi, yettban-iyi-d ad asen-d-yili ttawil ed tegnit igerrzen i waya. Acimi deg wussan n tagant ur tettsubbum, kunwi s yibabaten, ad teskecmem tarwa-nwen? Nella nettaṭar i wannect-nni maca ur as-nezmir yal ass. Mačči d tidak i d tifrat. Aya d ccɣel n tedbelt (administration) n tesnawit i yugin ad d-tesbeyyen iman-is ma tella. Rnu, tagnit-a ur teffiɣ ɣef yiwen... D wid ara yesɛeddin aBAK i yenṭerren ugar. Maca tura waqila atan msefhamen belli wid yesɛeddayen aBAK ad ɣren, ma d wid n yiswiren nniḍen ur ttekcamen alama i asen-tban. Anwa i sebba almi ur ɣrin warrac-nneɣ aseggas-nsen akken ilaq? Nniɣ-t-id ad as-d-alseɣ, d tadbelt n tesnawit i yellan d sebba almi aṭas n wakud i iruḥen i yinelmaden-is. Ihi ala nettat i d sebba seg drus n tzemmar-is. Amek tettwaliḍ lḥal n yisnawanen i yeɣɣaren deg tesnawit n Ayt Smaɛel ? Tura akka, sliɣ uɣalen i tɣuri, rnan xeddem asečču segmi i d-yeɣli akken ublaḍ. Maca ad d-nuɣal ɣer wanda ed wamek yebna s uzrab, lemmer mačči akken ur d-iḍerru wayen yeḍran. Yesteqsa-t: Mhenni Xalifi Akka d wakka 14 « Yal azamul yesɛa azal » d adlis i yewwi-d ad yesɛu yal Azwaw! A hat tikwal ttmaggan da ed din kra n yiqeddicen s wazal-nsen, s waṭas n unadi ed unɛettab, maca ur ttawaḍen ɣer yifassen, ur yettizmir daɣen yiwen ad ten-yaf deg tnedlisin ɣef tsebba-ya neɣ d ta. Adlis i d-yessufeɣ, s tallelt n Tdukkla Tadelsant Adrar n Fad, gma-tneɣ amedyaz anaẓur Lxeyyer Brahimi s uzwel n "Yal azamul yesɛa azal" d yiwen i ur ilaq ad yezgel kra n win yebɣan ad yeṭṭef deg tgemmi-s tangawt (patrimoine matériel) s xilla n uḥraz deg teɣzi n tsutiwin. Deg-s ad yaf yimeɣri ayen akk icudden i uqennuc; swacu i yelha ad t-tebnu tmeṭṭut, anwi d allalen i yettwaseqdacen deg tẓuri-ya alama i ihegga i tuqqda deg uɣud, maca daɣen d acu i d anamek i yesɛa yal azamul yettwareqmen, imi akken i dyeqqar uzwel, yal azamul yesɛa azal, yal irit tebɣa ad d-tini tmeṭṭut kra yes-s, ama ɣef tudert, ɣef lḥif i tettidir, ɣef tumert, ɣef tmussni, neɣ ɣef lebɣi-s yeffren ed wayen akk yellan d tigezzi (lbaḍna) ; d amawal n rrqem, skud zik mi ulac tira ed usenfali ɣef ukaɣeḍ, rrqem yeṭṭef mliḥ amḍiq-nsen. Deg udlis-a, yeɛreḍ umeskar-is, s tallelt n kra n yimdukkal, ad d-yegmer seg temnaḍt n Ayt Smaɛel, sɣur temɣarin ladɣa, ugar n 40 d azamul i d-yettbinen deg tugniwin s usemmi ed kra n usegzi-nsen. D aqeddic i yemuggen deg teɣzi n wayyuren, almi ɣer taggara tefren tdukkla n Udrar n Fad ad t-idtessufeɣ, imi anezgum n tneggarut-a yezga kan d asekfel n wayen akk yellan d idles, n wayen akk yellan d tigemmi, d tangawt neɣ d turtangawt. Assa deg wussan ur d-qqimen waṭas seg-s, maca win i tyebɣan yezmer ad yesnermes (contacter) tidukkla ɣef i dnewwi awal, i ara igen amek ad yaweḍ s ifassen. ǦAMAL D ǦAMILA Ǧ amal d Ǧamila ɣran akken deg uɣerbaz amezwaru armi d tasnawit. Ǧamal yeḥrec aṭas deg leqraya maca yecmet deg ṣṣifa. Ǧamila teqreṣ deg leqraya maca tezyen dayen kan . Ǧamal iḥemmel Ǧamila axaṭer tezyen aṭas.Ǧamila tekreh Ǧamal axaṭer yecmet aṭas. yiwen wass, yenn-as Ǧamal: “Nekk drewceɣ fell-am a tuzyint.Disem-im i d awalim.Bɣiɣ ad zewǧeɣ yid-m akken ad ffɣen warraw-nneɣ d uzyinin am kemm, d uḥricen am nekk”. Terra-as Ǧamila: “Ma te-ddrewceḍ, ruḥ ad t-ruḥeḍ s axxam n yimehbal ma d igerdan zemren ad d-ffɣen d ucmiten am kečč yerna d iɛeggunen am nekk. » Asmi sɛeddan akayad n l BAK, Ǧamal yezger ɣer tesdawit gar yimezwura ma d Ǧamila tuɣal s axxam. Zrin yiseggasen, Ǧamal yeffeɣ-d damejjay n wulawen (Cardiologue). Mhenni Xalifi Yiwen wass, Ǧamila tesɛa uguren n tdawsa deg wul-is. Truḥ ɣer umejjay d Ǧamal i ixeddmen di temnaḍt-nni n at wuccen. Imi itt-wala Ǧamal, yuɣal-d lehlak-is n tayri d amaynut. Ǧamila ilaq-as ucerrig (l’opération). Yekkes-d ul-is iduwat, yerra-t s amkan-is, yura fell-as “I Love you” Yenna-as Ǧamal: “Ilaq ad, tuɣaleḍ aggur id-iteddun akken ad waliɣ ma teḥliḍ akken iwata.” Yezri waggur, tuɣal-d Ǧamila. “Azul fell-am a Ǧamila ! Teḥliḍ mliḥ neɣ ala ?” “Azul fell-ak a ṭṭbib ! Ḥliɣ maca tikwal ttḥulfuɣ amzun akken yettmeslay-d yid-i wul_iw maca ur fhimeɣ ara d acu id-yeqqar.” “S wacu tutlayt id-yettmeslay?” “Cukteɣ s tegnizit” “Twalaḍ a Ǧamila, lukan i teɣriḍ tagnizit tili i tfehmeḍ d acu i yebɣa wul-im! Cfiɣ asmi i neqqar deg uɣerbaz alemmas. Mass. Ḥemmar yettawi-d tamsirt, kemm tettmuquleḍ udemim deg lemri ddaw n tdabut.” « I kečč d acu i tettmuquleḍ?” “Nekk ttmuquleɣ lemri deg udem-im. Uɣal-d aggur niḍen, ad waliɣ ma teḥliḍ. Maca, abrid-a, sell mliḥ i ṣṣut-nni, amer ahat d ṣṣut n wul-iw imi tesliḍ mačči d ṣṣut n wul-im.” “Iwqet akka i tuɣaleḍ d amedyaz? Qqim kan d amejjay, ad tnefɛeḍ meqqar timetti, ad tdawiḍ meqqar timetti , ad t dawiḍ imdanen.” “Akka a Ǧamila, ad dawiɣ ulawen n yimdanen ma d nekk ulac win ara idawin ul-iw.” “Aɛni ula d kečč thelkeḍ ? Dawi imani-ik neɣ teḍra yid-k am uḥeddad nni ur nesɛi tafrut?.” “Kellex kan ɣef wul-iw a Ǧamila! Acḥal n yiseggasen aya akka i txeddmeḍ!” “Ruḥ ad twaliḍ amejjay niḍen!” “Ul-iw yebḍa d iceqfan, ur yelli umejjay i izemren at idawi !”. HEMMAR BUSSAƐD Arim 18 yebrir 2016 Si tmaziɣt di lakul ɣer teqbaylit deg uɣerbaz n Yiɛellalen! A brid yessawen ɣer uɣerbaz ‘’Talah Mohamed’’ n taddart n Yiɛellalen akken yessawen umecwar n umennuɣ i d-tuɣ tmaziɣt seg tefsut n tmanyin ar ass-a. xas ulamma amennuɣ yettkemmil, meɛna tamaziɣt-nni ha-tt-an di lakul, neɣ ɛad deg uɣerbaz, akken i ḥemmlen yinelmaden ad t-id-inin. Nerza ɣer taddart n Yiɛellalen yellan deg tɣiwant n Ait Yahia Moussa acku dinna aselmed n tmaziɣt mačči taḥerfi, mačči d tajerrumt kan deg temsirin : dinna d aselmed n yidles amaziɣ s umata ; d ttrebga ɣef leɛwayed n lejdud, ‘’ayen i d-nnan d wayen i d-ǧǧan’’ ; d tirrugza n yizem n udrar Krim Belkacem i d-ilulen deg taddart-nni. S yiwen wawal, d taqbaylit-nni. Aya, yella-d s lmendad n yiwen uselmad netta d urfiq-is i yefkan azal ameqqran i wayen tettawi tutlayt deg yijifar-is mačči kan d tasnilsit taḥerfit. Tajmilt ad tuɣal i Mass Meziani Mohamed. Deg uɣerbaz-agi, nufa igrawen yettɣennin, yessunuɣen, yetturaren tamezgunt, ddabex uḍar, agraw i d-yelhan s useḥbiber ɣef ugama…lḥaṣun dayen kan i d ttrebga, i d aɣerbaz ara tessirmeḍ i tsuta i d-iteddun, acu kan s…teqbaylit. ‘’Ma ad ɣren warrac-nneɣ tamaziɣt am taɛrabt, ulayɣer ! Neẓra sani ara teddun : ad d-ffɣen d irebraben imaziɣen.’’ Akka i ttxemmimen kra. Mi nekcem ɣer daxel n tneɣrit, nufa inelmaden ḥedqen dayen kan. Tturebban armi ! mi ten-nesteqsa ɣef tmaziɣt, ha-t-an wacu i d-nnan : Boudia Ali : tamaziɣt walaɣ-tt belli d tutlayt lɛali, tuklal ad tili d tunṣibt deg tmurt n Lezzayer. Mi qqareɣ tamaziɣ, aṭas n temsal i lemdeɣ, ladɣa ɣef ledjud-nneɣ d wamek ttidiren. Lemdeɣ amezruy n yimaziɣen. Ihi, ass-a, tewwi-d fell-aneɣ ad tt-nesnerni, ad nessali azal-is. Celia : ttafeɣ mliḥ iman-iw mi ara qqareɣ idṛisen s tmaziɣt. Tamaziqt, teshel, mačči am wakken ttxemmimen wiyaḍ. Ihi win yebɣan ad tt-iɣer, yezmer. D tamaziɣt deg uɣerbaz i yi-d-yeskeflen lejdud-iw, d nettat i yi-d-yemlan amezruy-iw. Batatache Thinhinane nettat tefka-aɣ-d aḍris i tura. Terra iman-is deg umekkan n ubabat i yettweṣṣin mmi-s. ha-tan uḍris n Thinhinane : “Lehyuf (lkif) Lehyuf neqqen yal aseggas ugar n 200 000 n yimdanen deg umaḍal, ttruḥun d asfel. D ayen i yi-ǧǧan ad ugadeɣ fell-ak, am nekk am yimelyan n yibabaten i yettagaden ɣef tarwansen. Ihi, ad ak-id-mmeslayaɣ i wakken ad ak-nhuɣ. Lehyuf, lhan kan i wid i ten-yesnuzun, i yettrabaḥen adrim s uɛemmur. Iqettalen-agi, urǧin tessen-ten nutni i wakken ulac d acu ara ten-yaɣen, ad izmiren ad ak-d-ssiwḍen rrajagi-nsen. Ma d arraw-nsen, ttḥadaren-ten akken ilaq, ama s wučči, ama s lebsa neɣ s tmezduɣt. Lehyuf, ttarran tudert n wid i ten-itessen d ahawec ur nettfakka. Ttekksen-as i umdan nnif-is, sseɣlayen-as leqder-is. Netta ites-iten i wakken ad iḥas s tumert, maca ur tettdummu ara. Ur yeẓri ara belli la ineqq iman-is, la yetthuddu tudert-is ilhan. Yal tikkelt, ul-ik, aqerru-k, aksumik, si tama, la ɛeyyun. Ma d wid i ten-yeznuzun, si tamanniḍen, la ttrabaḥen. Imsixesren-agi ur ssinen la cbaḥa, la rreḥma, ur sɛin tayri deg ulawen-nsen. S ciṭ n rraj-agi ssawaḍen ula d imecṭaḥ ur nesɛi zher ad ɣilen la ttidiren tudert ssaramen. La ak-d-ttmeslayeɣ i wakken ad ak-ḥadreɣ, xas akka meẓẓiyeḍ, ẓriɣ tfehmeḍ-iyi-d. Thinhinane” Ha-tt-an ihi amek nebɣa ad tili tmaziɣt deg uɣerbaz : ad darun yinelmaden ɣef wayen bɣan mačči ad d-ttɛawaden ayen kan i asen-d-qqaren yiselmaden-nsen am les perroquets. Yenna-as winna ‘’Amek ara irebbi uselmad ur netturebba’’. Afud igerrzen i yinelmaden d yiselmaden n uɣerbaz Talah Mohamed. Mebla ma ttuɣ anemhal-is akked yixxadem akken ma llan. H.Moula Sp o r t Aucun changement en tête du classement ! 22 Lundi 18 avril 2016 Division National Amateur (26ème journée) Situation stationnaire que ce soit dans le peloton de tête ou en bas du classement du championnat de la DNA et à l’issue de la 26ème journée disputée vendredi et samedi derniers. Le moins qu’on puisse dire, c’est que les meneurs ont confirmé. À six jour nées de la fin du championnat, la cour se pour la montée en ligue 2 Mobilis reste ouver te entre trois for mations et cela augure une ter r ible fin de saison. En effet, le NARB Reghaïa est allé faire le plein dans la ville de Boumer dès, face au RCB local. Un succès qui per met aux gar s de Reghaïa de consolider leur r ang de leader avec une avance de deux points sur son dauphin, le CR Béni Thour, auteur lui aussi d’une pr écieuse victoire à Amizour devant l’USOA local. Le WAB, qui est plus que jamais déter miné à jouer à fond la car te de l’accession, reste toujour s à l' affût des deux meneur s, avec tr ois points de retar d du leader d’une unité du dauphin. L’USF Bor dj Bou Ar r er idj s’est, pour sa par t, imposée devant l’IB Khemis El Khechna par deux buts à zéro (20). Au milieu du tableau, le MC M’Khadema s’est facilement imposé devant le WR M’sila par trois buts à zéro (3- 0). Alor s que la for mation de Lakhdar ia a sué avant de prendre le dessus sur la lanter ne rouge, la J SM Chér aga. En bas du classement, on assiste à une bousculade entre le CRB Dar Beida et l’USM Chér aga, vainqueur r espectivement de la J S Djidjel, la J S Hey Djabel. L es r ésultats de la 25e jour née du championnat de la division inter-r égions ont été à l’avantage du solide leader, l’US Béni Douala, qui est allée damer le pion au FC Bir El Arch chez lui en s’imposant sur le score de deux buts à 0. Une victoire qui a été acquise gr âce à deux r éalisations signées par Hadj Kaci Kamel à la 35’ et par le capitaine Daoud Mohamed sur penalty tr ansfor mé à la 61’. Un succès qui confir me les intentions des protégés d’Abdenour Hamici et de Hocine Hamcha pour l’accession en division national amateur. Les coéquipier s de Noual n’ont pas r até l’occasion en rectifiant le tir et en se Régionale 1 (27e journée) r achetant du der nier nul concédé à domicile devant l’IRB Ber houm, en s’offr ant les trois points de la victoire et consolident ainsi leur fauteuil de leader avec 50 points dans leur compte. Les gar s d’Ath Douala qui visent l’accession, sont sur la bonne voie, même si ces der nier s sont menacés par l’ES Ben Aknoun qui a battu la J S Azazga 2 à 0. Les deux équipes occupent conjointement la première place, mais avec un avantage pour les Lions d’Ath Douala qui ont gagné en aller r etour devant leur s homologues de Ben Aknoun. À cinq jour nées du baisser du r ideau de la saison footballistique 2015-2016, l’US Béni Douala est bien par tie pour ar r acher une autre accession dans son histoire à un palier supér ieur. Ce qui ser a une première dans l’histoire des clubs de la wilaya de Tizi Ouzou. Le boss Hocine Ammam, le pr ésident du CSA Madjid Hamdad, le manager génér al Dahmane Azem et tous ceux qui sont der r ière l’équipe dans l’ombre, sont mobilisés pour que cette der nière r éalise son objectif en s’offr ant une autre montée. La bande à Abdenour Hamici et Hocine Hamcha ne devr a pas lâcher cette première place et ce jusqu’au sacre final. C’est le seul mot d’or dre chez les camar ades de Azzaz et compagnie. La balle est dans le camp des joueur s qui doivent renouer avec la victoire à domicile et ce dès la prochaine jour née et avec l’espoir de se détacher de leur co-leader l’ES Ben Aknoun qui ser a en appel à l’extér ieur de ses bases. Massi Boufatis Les résultats CA Kouba - NRB Ouled Der r adj 1/1 wayen-nni. ES Ber rouaghia - CRBiOuled Djellal 0/0 OM Rouisseau - WA Rouiba 2/1 A IRB Ber houm - NRB Achir 2/3 USM Sétif - CRB Ain Djasser 1/0 ES Ben Aknoun - J S Azazga 2/0 AT Hassi Messaoud - AS Bor dj Ghdir 1/8 FC Bir El Arch - US Béni Douala 0/2 L e choc de la 27e jour née du championnat de la division r égionale une, entre le MB Bouir a et l’Olympique TiziRached qui s’est déroulé, avant-hier, au stade Said Bourouba de Bouir a, n’a pas connu ni de vainqueur ni de vaincu. La par tie s’est achevée comme elle a commencé, sur le score vier ge de 0 à 0. Un bon point de pr is pour les Olympiens de Tizi-Rached, qui totalisent 34 points dans leur compte aux côtés du CRB Bor dj El Kiffan qui s’est imposé sur un score lar ge de 3 à 0 devant la J S Tichy. L’équipe de Tizi Rached a assur é son maintien en r égionale et peut désor mais se projeter sur la pro- Les résultats EC Oued Smar CRBB Kiffan NR Bouchaoui MB Bouir a a 1-1 3-0 1-0 0-0 i J S Tixér aine J S Tichy DRB Bar n aki yidles O Tizi Rached talla d t Le MB Bouira et l’O Tizi Rached se neutralisent chaine saison et la pr éparer comme il se doit, avec l’objectif d’accéder en inter r égions. Mais ce ser a aussi le cas pour le MB Bouir a qui veut renouer avec ses tr aditions. L’autre club de la wilaya de Tizi-Ouzou, en l’occur rence l’ES Azeffoun, est n revenu bredouille de son déplacement à Alger en s’inclinant 2 à 0 devant une équipe menacée de relégation, l’IR Bir Mour ad Rais. Les Mar ins sont en per te de vitesse ces der r nier s temps, comme le témoigne cette sér ie de trois matchs sans la moindre victoire. L’E Sour El Ghozlane n’a pas pu faire mieux en se contentant d’un nul de deux buts par tout face au CB Sidi Moussa et la J S Akbou a r éussi à battre le NR Dely Ibr ahim 1 à 0, mais reste toujour s menacée de relégation. Le champion, le DRB Bar aki, s’est incliné par la plus petite des mar ges 1 à 0 devant le NR Bouchaoui. L’EC Oued Smar a été tenue en échec par la J S Tixér aine en faisant 1 à 1. Enfin, le match qui a mis aux pr ises l’ESM Boudouaou à l’OC Beaulieu n’est pas allé à sa fin et l’ar bitre de la rencontre a mis fin aux débats avant ter me. Massi Boufatis IB Lakhdar ia - J SM Chér aga 2/1 MC M’khadema - WR M'sila 3/0 RC Boumer des -NARB Reghaia 1/2 USM Cher aga - J S H El Djabel 2/0 US Oued Amizour - CR B Thour 0/1 WA Boufar ik - RC Kouba 1/0 CRB Dar El Beida - J SD J ijel 1/0 USFB B Arreridj - IB Khemis El Khechna 2-0 Samy H. Inter-régions Groupe Centre-Est (27e journée) L’US Béni Douala dicte sa loi Résultats Di tilawt tasɣunt n ES Ghozlane 2-2 CB Sidi Moussa J S Akbou 1-0 NR Dely Ibr ahim ɣef IR Bir Mour ad Rais 2-0 ES Azeffoun ESM Boudouaou-OC Beaulieu (partie arrêtée) u imeq- D- y n , acku xas nenwa M N C M J N Lundi 18 avril 2016 Sp o r t 23 L’USMBA en ligne de mire JSM Béjaïa Reprise des entraînements ce matin Après avoir bénéficié de deux jours de repos bien mérités suite à leur dernier précieux succès en déplacement contre l’ASO Chlef (3-2), les camarades de Bensaha ont rendez-vous ce matin avec le staff technique, au stade de l’UMA, pour entamer les préparatifs de leur deuxième sortie successive, ce vendredi, face à l’USMBA. N ul doute, en effet, que Nait Yahia et compagnie qui ont r epr is confiance en euxmêmes et redonné sur tout le sour ire à leur s suppor ter s consécutivement à ce coup d’éclat r éussi de for t belle manière en ter re Chélifienne, ne vont pas en rester là. Pour preuve, les Béjaouis qui veulent r égler au juste besoin de r amener un point de Sidi Bel Abbes et de l’empor ter une semaine plus tar d devant le CAB à Bejaia pour assurer définitivement son maintien en ligue 2. Dans ce cas de figure, si les Béjaouis par viennent à r écolter quatre autres unités lor s de ces deux prochains rendezvous, le match de la der nièr e jour née face à l’USC en déplacement compter a alor s pour du bonus. B. Ouari Ligue 1 (U-21-25e journée) plus vite la question de leur sur vie, comptent r ééditer dès ce week-end le coup de Chlef face aux gar s de la Mekker a, luttant, pour leur par t, pour leur retour en ligue 1. Ceci dit, le staff technique de la J SMB qui a beaucoup encensé ses joueur s pour leur r endement jugé séduisant contre l’ASO, compte mettre à profit ce nouvel état d’espr it du groupe pour assurer une bonne pr épar ation à son équipe en pr évision du match de l’USMBA dans le but de r evenir avec le meilleur r ésultat possible du stade du 24 févr ier de la ville de Sidi Bel Abbes. Les joueurs fortement primés Les camar ades de Bensaha qui ont r éalisé une belle per for mance, vendredi passé, contre l’ASO, per met- tant du coup à leur équipe de signer une victoir e salutair e pour son maintien en ligue 2, auront, ainsi, droit à une pr ime de vingt (20) millions de centimes, comme il leur a déjà été promis par la direction de Tiab qui ne compte pas lésiner sur les moyens financier s pour les motiver davantage afin de r éaliser l’objectif r echer ché. Pour r appel, la J SMB qui totalise à pr ésent 34 points dans son escar celle aur a Bonne récolte des filles d’Amel Toghza et du BS Bouira Championnat National de Takwondo (Tlemcen) L e championnat National de Takwondo (écoles, benjamins et minimes- filles et gar çons -) qui s’est déroulé les 15 et 16 avr il der nier s dans la wilaya de Tlemcen, a vu la domination de la délégation d’Oum El Bouaghi en gar çons et celle de Bouir a en filles. En effet, cette der nièr e (la délégation de Bouir a) qui s’est déplacée avec 18 athlètes des clubs « Bahdja Spor t » de Bouir a et « Amel » Toghza, est revenue avec une belle r écolte. D’ailleur s, les filles de Toghza ter minent à la première place dans les catégor ies benjamines et minimes, synonyme de médailles d’or, à la deuxième place (ar gent) dans la catégor ie écoles et à la troisième place (bronze) dans la catégor ie minimes. Ainsi, Mihaba Safia, en catégor ie benjamines, et Oumhand Melissa en minimes, s’adjugent la médaille d’Or, Benaouda Chahinez, toujour s du club Amel Toghza, catégor ie écoles, ter mine à la deuxiè- Tizi-Ouzou Handisport et natation me place et Medjdoub Hasna en minimes à la troisième place. Quant au BSB, il ter mine à la première place (Or ), dans la catégor ie écoles fille, et la médaille d’Or a été rempor tée par Zaidi Nour El Houda. Br avo, donc, pour la délégation de Bouir a, notamment pour les deux équipes qui ne r atent aucune occasion pour r epr ésenter dignement la wilaya de Bouir a dans les différ entes manifestations A M’hena spor tives. 13 athlètes de l’ASJHTW Tizi-Ouzou qualifiés S ur les 15 athlètes qui ont par ticipé au meeting national de natation à Bor dj Bou Ar rer idj, vendredi der nier, pour la catégor ie des handicapés de l’équipe de l’ASJ HWTO (association spor tive des handicapés de la wilaya de Tizi-Ouzou), 13 d’entre eux ont décroché la qualif au championnat national et à la coupe d’Algér ie qui se dérouleront respectivement à Mostaganem le 29 du mois cour ant et à Sétif le 07 juin prochain. Les athlètes du pr ésident Ben Hamna Smail et de l’entr aineur Nacer Ziane ont, pour r appel, par ticipé aux épreuves de 50 et 200 mètres nage libre, 50 et 100 mètres dos, 100 mètres br asse, 50 mètres papillon et au relais 4x50 mètres nage libre. Les nageur s de l’ASJ H TiziOuzou ont dominé la compétition en obtenant 13 qualifications sur DIRECTEUR DE LA QUOTIDIEN D’INFORMATION PUBLICATION édité par SARL La Dépêche de Kabylie IDIR BENYOUNES au capital de 300.000 DA Siège social : DIRECTEUR DE Rue Abane Ramdane cité 60 LA REDACTION Lgts Bt A. TIZI-OUZOU CB BNA ROUIBA MOHAND OUAMAR N° 641-0300-300-149-11 BEN MOKHTAR les 15 possibles. M. Ben Hamna, le pr ésident de ladite association, a indiqué, à propos du niveau de cette compétition et des objectifs RÉDACTION-ADMINISTRATION DE LA PRESSE TAHARDJAOUT 01, RUE B ACHIR ATTAR - A LGER E-MAIL : MAISON [email protected] Tél. : 021 66.38.05 Fax : 021 66.37.88 PUBLICITÉ Tél : 021 66.88.02 de son club : « le niveau de la compétition a été acceptable, nos athlètes se sont sur passés et ont r éussi à dominer les débats. La preuve, 13 athlètes sur les 15 qui ont par ticipé, ont obtenu leur qualification au championnat et à la coupe d’Algér ie ». Et d’ajouter : « nous allons faire de notre mieux pour gagner le haut du podium. Les athlètes sont conscients de la tâche qui les attend et l’entr aineur en bon technicien nous fer a gagner Inchallah. Pour ter miner, je tiens à remercier les athlètes, l’entr aineur, l’APC de TiziOuzou, La DJ S et l’APW pour leur pr écieux soutien. Nous ferons tout pour honorer le handispor t Hocine T. de notre wilaya ». BUREAU DE TIZI OUZOU Rue Abane Ramdane cité 60 Lgts Bt A Rédaction : Tél : (026). 12. 26. 77 Fax : (026). 12. 26. 48 PUBLICITÉ : Tél- Fax- (026). 12. 26. 70 BUREAU DE B GAYET Route des Aurès, bt A Tél. : 034 16.10.45 Fax : 034 16.10. 46 L’ES Sétif tenue en échec, l'USMA seule en tête L 'ES Sétif, tenue en échec à domicile par le DRB Tadjenanet (1-1), a r até l'occasion de rejoindre l'USM Alger en tête du classement du championnat de Ligue 1 de football des moins de 21 ans (U-21) à l'issue de la 25e jour née. L'USM Har r ach, vainqueur en déplacement sur le ter r ain du MC Or an (1-0), a rejoint, lui, le CR Belouizdad à la deuxième place avec 47 points chacun, tout en doublant l'ESS (4e). Lor s de la première par tie de cette 25e jour née, l'USM Alger, tr iple championne en titre, s'est imposée à domicile face à la J S Saour a (2-0). En bas du classement, le CS Constantine (14e, 23 pts) s'est incliné à domicile face à l'ASM Or an (3-2). Le DRBT fer me la marche avec 15 points. Résultats 1-4 RC Ar baâ - MC Alger J S Kabylie - NA Hussein Dey 0-0 CR Belouizdad - RC Relizane3-2 2-0 USM Alger - J S Saour a CS Constantine - ASM Or an 2-4 0-1 MC Or an - USM Har r ach ES Sétif - DRB Tadjenanet 1-1 3-2 MO Béjaïa - USM Blida Classement Pts 48 1-USM Alger 47 2-USM Har r ach 47 --CR Belouizdad 46 4-ES Sétif 44 5-J S Saour a 43 6-MC Alger 36 7-USM Blida 33 8-MC Or an 30 9-J S Kabylie 30 --NA Hussein Dey 30 --ASM Or an 28 12-MO Béjaïa 27 13- RC Ar baâ 23 14-CS Constantine 21 15-RC Relizane 16-DRB Tadjenanet 15 B OUi RA Gare routière de Bouira Lot n°1 - 2e étage BUREAU DE IMPRESSION SIMPRAL DISTRIBUTION D.D.K. PUBLICITÉ ANEP Tel. : 026 94. 39. 06 L A DÉPÊCHE Fax : 026 94. 39. 11 DE K ABYLIE J 25 25 25 25 25 25 25 25 25 25 25 25 25 25 25 25. LES DOCUMENTS, MANUSCRITS OU AUTRES ET LES LETTRES QUI PARVIENNENT AU JOURNAL NE PEUVENT FAIRE L’OBJET D’UNE QUELCONQUE RÉCLAMATION