diffusion des épisodes 1, 2 et 3 le Samedi 17 Octobre à 20h40 sur M6
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diffusion des épisodes 1, 2 et 3 le Samedi 17 Octobre à 20h40 sur M6
diffusion des épisodes 1, 2 et 3 le Samedi 17 Octobre à 20h40 sur M6 Prix de la meilleure série de prime-time au 11ème festival de la fiction TV de la Rochelle Prix de la presse de la meilleure série française au 49ème festival de télévision de Monte-Carlo Rome, Ve siècle L’Empire et ses intrigants corrompus décident de soumettre l’Île de Bretagne éternellement rebelle. Tournant l’ancien folklore indigène à son avantage en s’appuyant sur la légende d’Excalibur, le Sénateur Sallustius confie la future Fédération Britto-Romaine au jeune soldat Arturus, Roi désigné par la tradition celte. Mais alors que le jeune Centurion se prépare à hisser les pavillons romains sur son île natale, il est visité par une Fée qui lui commande de trahir la Légion et de restaurer la grandeur bretonne autour d’une table sacrée. Rencontre avec Emmanuel Meirieu Art Director Comment s’est élaboré le design romain, notamment les décors, de ce livre VI ? La « Villa Aconia » est une reproduction extrêmement fidèle de la maison du poète tragique à Pompeï. L’édifice est remarquable car la partie privée et la partie publique y sont parfaitement séparées, ce qui était un des plus grands enjeux pour Alexandre. Le sauna est inspiré des bains des palais de l’Alhambra à Grenade pour le côté oriental, « Milles et une nuit ». Ce n’est pas la Rome Historique, c’est la Rome dont Arthur se souvient : un monde enchanté. Le fait que ce livre se passe essentiellement à Rome lui a-t-il donné un côté plus ensoleillé ? Alexandre voulait le contraste le plus violent possible entre la Bretagne et Rome. On a travaillé sur deux palettes de couleurs : à Rome, on était surtout dans les ocres et en Bretagne, plutôt dans les bleus, les verts et les gris. Ça joue aussi sur le teint des acteurs… Évidemment. En Italie, nous sommes bronzés alors qu’en Bretagne nous sommes très pâles. Je cherchais aussi un contraste très violent avec le Livre V, qui était le premier livre sur lequel j’avais travaillé : il était très « dé-saturé », très monochrome. Celui-ci devait être chatoyant et coloré. À Rome, il y a aussi un jeu sur les diverses classes sociales des personnages, entre les riches et les pauvres : comment avez-vous travaillé cela visuellement? Il fallait absolument raconter l’ascension sociale d’Arthur, le fait qu’il change de monde, ou passe de l’un à l’autre en permanence. L’opposition entre l’ambiance du dortoir de la caserne et la chambre de la villa l’illustre assez bien par exemple. Raconter les classes sociales, cela se fait par la coiffure, les costumes, les étoffes. À ce titre, le quatuor de sénateurs est emblématique : on a pris de très belles matières. Cela crée un vrai contraste entre cette bourgeoisie romaine et les potes d’Arthur dans le ghetto… Il y a un grand nombre de décors différents sur cette saison… Entre les extérieurs et les intérieurs, la Bretagne, Rome et Tintagel, il y a plus de soixante décors différents. Entretien avec Anne-Gaëlle Daval Chef Costumière sur Kaamelott Le défi sur le Livre VI de Kaamelott n’était-il pas de repartir à zéro et créer tout l’environnement romain, qui n’était qu’évoqué dans le reste de la série ? Le vrai point de départ, c’était le rajeunissement des acteurs. On a essayé de penser les visages avant les costumes. En fait, c’est un truc quasi infaisable tant qu’il n’y a pas les essais, et comme il n’y en a pas eu, on est parti un peu comme ça… Il y avait quand même des bases historiques sur lesquelles vous vous êtes appuyés pour le choix des costumes, non ? Pour les figurants, nous sommes allés au musée gallo-romain de Lyon où nous avons fait un petit cours avec une conservatrice. J’avais fait des études d’histoire de l’art, donc j’avais des bases sur le monde antique ; ma sœur est archéologue, plutôt sur le versant celtique, mais elle m’a beaucoup aidé concernant les armes romaines. Dans la partie romaine, il y a un côté étoffes légères, acteurs à peine vêtus… Pour les filles oui, en revanche pour les sénateurs c’est un peu différent car il y avait une demande spécifique d’Alexandre les concernant. Mais oui, il fallait marquer le contraste avec la Bretagne. En fait, on a surtout travaillé sur les couleurs. Les costumes de Kaamelott sont d’ailleurs toujours partis des couleurs. Pour ce Livre VI, Emmanuel Meirieu me donnait des photos et des indications sur les décors, et je mariais les couleurs à cet environnement. Pour les jeunes filles romaines, je voulais des couleurs très douces, pas du tout agressives. Je ne voulais pas refaire ce que j’avais vu dans «Rome», où les costumes prennent toujours énormément de place. En fait, le costume romain est hyper-simple, c’est juste un drapé. Je voulais qu’on voit l’environnement de Rome, avec ce décor très imposant ; on ne pouvait pas en rajouter avec les costumes. Et les armures, sont-elles fidèles à l’époque ? Elles sont plausibles. Les Romains avaient des armures très chargées. Elles ont évolué en fonction de leurs progrès dans l’art de la guerre, notamment les formations militaires et la distance de leurs jets d’armes ! Pour la milice urbaine, ce type d’armures un peu lourdes est plausible, car Rome était ultra-protégé. La milice, c’était juste de la flicaille ! Leur côté encombrant constitue un running gag de la série… C’est comme ça depuis le début, depuis le court-métrage «Dies Irae», où les armures dataient de 8 ou 10 siècles après l’époque traitée. Mais quand on n’a pas le temps de raconter tout le contexte historique, elles posent tout de suite le fait qu’on a affaire à des chevaliers. Ca crée des gags dingues car ce sont de vraies armures, pas des versions plus légères. C’est quelque chose qu’on retrouve effectivement dans le Livre VI. Combien avez-vous créé de costumes pour cette saison ? En tout, entre 450 et 600. Kaamelott, c’est un boulot de dingue. Disons que tout est globalisé, pensé, mais les détails concrets, on les trouve souvent deux minutes trente avant de tourner. Les armures romaines étaient pensées tout comme les costumes barbares ! Après, il y a eu des surprises sur le plateau… Vous parlez du côté barbare, mais un des costumes les plus spectaculaires, c’est le costume Mad Max de Leodagan ! Ça, on l’avait bossé ! Il n’y a pas vraiment de hasard, mais il y a des choses qui se font à la dernière minute. Comme je sais très bien ce que j’ai dans mon stock, et comme je connais très bien Alexandre, je finis toujours par trouver une réponse.. Le saviez-vous? Le tournage du « Livre VI » s’est déroulé à Lyon (Studio 24), en Bretagne, en Haute-Loire et également à Rome dans les studios de Cinecittà. « Kaamelott » est une saga épique comprenant depuis le « Livre I » plus de 400 épisodes de 3’30, 50 épisodes de 7’ et 4 épisodes de 52’. Ce « Livre VI » est composé de 9 épisodes de 40’. 2 soirées de prime ont été consacrées à « Kaamelott », la première le 30 avril 2007, la seconde le 5 novembre 2007. « Kaamelott » a accueilli sur l’ensemble de la série de nombreux invités dont : Guy Bedos, Frédérique Bel, Georges Beller, Valérie Benguigui, Didier Bénureau, Jackie Berroyer, Patrick Bouchitey, Christian Bujeau, Patrick Catalifo, Valérie Cavalli, Alain Chabat, Patrick Chesnais, Christian Clavier, Antoine De Caunes, Emma De Caunes, Lorant Deutsch, Léa Drucker, Virginie Efira, Laurent Gamelon, Roland Giraud, Anouck Grinberg, Tcheky Karyo, Axelle Laffont, Yvan Le Bolloc’h, Bernard Lecoq, François Levantal, Pierre Mondy, François Morel, Claire Nadeau, Géraldine Nakache, Manu Payet, François Rollin, Bruno Salomone, Elie Semoun, Bruno Solo, Barbara Schultz, Marthe Villalonga, Pascal Vincent… La saga « Kaamelott » connait un très beau succès en DVD. A ce jour, plus de 900 000 coffrets DVD ont été écoulés depuis la sortie du « Livre I ». L’intégrale du « Livre VI » sortira en coffrets DVD courant octobre 2009 chez M6 Vidéo. Résumés des épisodes épisode 1 : Miles Ignotus Rome, Ve siècle après Jésus-Christ. L’empire perd peu à peu de son éclat. Le puissant Sallustius, contesté par les sénateurs, pense pouvoir redorer son blason en élaborant un stratagème pour conserver la Bretagne occupée. Pendant ce temps, dans la milice urbaine, Arturus et Manilius, deux jeunes soldats ordinaires, pensent surtout à trouver à manger et à s’échapper de leur caserne. Episode 2 : Centurio Après l’incident à la Villa Aconia, Manilius trouve refuge chez Lycinia. Glaucia mène son enquête pour savoir qui est son complice. Mais au moment de punir Arturus, celui-ci est sauvé par Sallustius qui le nomme centurion. Episode 3 : Præceptores De retour de Bretagne, Servius présente Merlin à Arturus. Manilius, toujours recherché, est dénoncé par Verinus. Arturus rencontre pour la première fois Aconia Minor, en charge de son éducation. Episode 4 : Arturi Inquisitio Manilius a été arrêté et envoyé aux geôles. Arturus a chargé Merlin de faire le tour de la Bretagne pour expliquer le retour prochain du fils de Pendragon, et inciter des habitants à s’illustrer par des faits héroïques. Episode 5 : Dux Bellorum Après avoir accompli sa mission à la Villa Aconia, Arturus est devenu chef de guerre, au grand dam de Glaucia, qui cherche toujours à se venger. En Bretagne, Karadoc, Perceval et Bohort essayent eux aussi d’accomplir un exploit. Episode 6 : Nuptiæ Arturus a demandé Aconia en mariage. Elle accepte sa proposition, passant outre le fait qu’elle est déjà mariée. En Bretagne, les chefs de clan finissent par accepter l’idée que si Arturus retire Excalibur, il aura droit au titre de Roi. Episode 7 : Arturus Rex Arturus arrive en Bretagne avec Manilius. Il y rencontre Macrinus, chef fatigué des armées romaines qui occupent l’île depuis des années. Léodagan a prévu une parade à la venue d’un Roi en Bretagne : il compte lui faire épouser sa fille, Guenièvre. Episode 8 : Lacrimosa Le mariage arrangé entre Arturus et Guenièvre va être célébré, en présence de Bohort, Karadoc, Perceval, Loth et leurs familles respectives. Lancelot, devant l’apparition de la Reine, est pris d’un malaise… Episode 9 : Dies Iræ 15 ans après ses classes romaines, Arthur est entre la vie et la mort après sa tentative de suicide. Alité dans la forteresse de Tintagel, il voit sa mère, sa femme et ses chevaliers venir à son chevet. Distribution Rachel Arditi : la Dame des Pierres Marion Creusvaux : Julia Denis Maréchal : Narsès de Byzance Alexandre Astier : Arturus / Arthur Antoine De Caunes : Seigneur Dagonet Alexandre Astier : le courtisan de Mevanwi Pascal Demolon : Spurius Cordius Frontinius Stéphane Margot : Calogrenant, Roi de Calédonie Lionnel Astier : Léodagan de Carmélide Alain Doutey : Publius Desticius Neil Astier : Arthur enfant Josée Drevon : Ygerne De Tintagel Jean-Marc Avocat : Titus Nipius Glaucia Virginie Efira : Berlewen Frédérique Bel : Helvia Etienne Fague : Lionel de Gaunes Anne Benoît : Drusilla Caroline Ferrus : Mevanwi de Vannes Joss Berlioux : le neveu d’Urgan Audrey Fleurot : la Dame du Lac Michel Bernini : Vibius Iuventius Bestia Frédéric Forestier : Aulus Milonius Procyon Jackie Berroyer : Pellinor Brice Fournier : Kadoc Bruno Boëglin : le Chef Viking Nicolas Gabion : Bohort le Jeune Lou Bonetti : Licinia Gil Galliot : Mamercus Flaccus Calvo Carlo Brandt : Méléagant Anne Girouard : Guenièvre Guillaume Briat : le Roi Burgonde Michèle Goddet : Acheflour Christian Bujeau : le Maître d’Armes Gilles Graveleau : Roparzh Patrick Catalifo : Marcus Oranius Lurco Anouk Grinberg : Anna Valeria Cavalli : Aconia Minor Florian Guiot : un fermier de Gaunes Jacques Chambon : Merlin Jean-Christophe Hembert : Karadoc de Vannes Alain Chapuis : le Tavernier Alexis Henon : Galessin d’Orcanie Aude Charlon : la Dame de la Sauvegarde Sophie Hermelin : Numeria Jean-Yves Chatelais : Vibius Pisentius Petrus Tcheky Karyo : Manius Macrinus Firmus Patrick Chesnais : Lucius Sillius Sallustius Stéphanie Lagarde : la Fée Mère Jonathan Chiche : Caius Papinius Eddy Letexier : Hoël, Roi d’Armorique Cyrille Coton-Bonacchi : le Prisonnier François Levantal : Publius Servius Capito Thomas Cousseau : Lancelot Jean-Robert Lombard : Père Blaise Duncan Martin : le jeune Yvain Emmanuel Meirieu : Appius Manilius Contacts Kaamelott, Livre VI : 9 épisodes de 40’ Directeur général adjoint des programmes Une production CALT Production en charge de la production fiction Philippe Bony Producteur délégué Jean-Yves Robin Directeur de la fiction « humour » Yann Goazempis Producteur artistique, auteur & réalisateur Alexandre Astier Conseiller de programmes Aude Thévenin Directeur des productions Hervé Bellech Direction de la Communication Pôle fictions, cinéma, jeunesse Producteur exécutif Marc Stanimirovic Relations presse M6 Axel Danlos Direction de la production T/ 01 41 92 66 75 Stéphane Amphoux [email protected] Directeur artistique Jean-Christophe Hembert Relations presse CALT Jour J Communication Art Designer Michèle Sebbag et Grégory Quiquemelle Emmanuel Meirieu T/ 01 53 93 23 72 [email protected] / [email protected] Costumes Anne-Gaëlle Daval Décors Audric Kaloustian Chef maquilleuse Elisabeth Touboul Chefs coiffure Marc Villeneuve / Patrick Inzerillo