TESTEUR UNIVERSEL POUR COMPOSANTS TROIS PATTES
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TESTEUR UNIVERSEL POUR COMPOSANTS TROIS PATTES
TESTEUR UNIVERSEL POUR COMPOSANTS TROIS PATTES G.TREELS – 10-2010 Ce document est libre de droit. L’auteur souhaiterait simplement être cité, en cas de reproduction. Préambule. La plupart des composants actifs trois pattes peuvent être testés en statique, à l’aide d’un simple ohmètre. Mais, dans le cas d’une grande quantité a tester, la procédure devient vite lassante. D’ou l’idée, de combiner sur un seul appareil, facilité et rapidité de tests, pour ce type de composants. Cahier des charges. Composant à tester : - Transistor PNP Transistor NPN FET et MOSFET canal P FET et MOSFET canal N UJT Triac Thyristor Test non destructif, quelque soit le composant Facilité de connectique, autorisant le test de tout type de boîtier, y compris CMS (dans une certaine mesure) Passage d’un type de composant à un autre, en un instant Pas d’inverseur multi-pôles, chers, et peu faciles a trouver Le moins cher possible (moins qu’un multimètre, bas de gamme) Peu encombrant (la place sur étagère devient rare, au fil du temps) Un seul cordon de mesure, quelque soit le composant Simplicité et clarté d’utilisation Schéma de l’électronique retenue. IC1 est un quadruple inter CMOS. Il va permettre la commutation des Bipolaires et des Fet’s. D1 à D4 nous renseignent sur l’état du composant testé, via un appui sur le bouton « test ». Le seul souci, avec le 4066, c’est le courant toléré. Quelques milliampères, tout au plus. Insuffisant, pour les deux autres composants à tester. D’ou l’utilité de RL. Relais 12V deux contacts travail-repos. Le premier alimente le circuit de test de l’UJT, le second, le circuit de test des Triac-Thyristor. Le test UJT, se fait en dynamique (après pas mal d’essais, c’est , de loin, la méthode la plus fiable). Le réseau R1-C1 fixe la fréquence de relaxation autour de la demi seconde. B1 délivre une jolie dent de scie, peu intéressante, ici. B1, par contre, délivre de belles impulsions, mais très courtes. IC2, câblé en monostable, va nous rallonger ces impulsions, afin qu’elles soient bien visibles, via D5. Le second contact travail du relais, va commander la gâchette du Thyristor (ou Triac). La valeur de R18 est un bon compromis, fonction des différents courants de gâchette de ces types de composants. R17 est importante. Le courant de maintien doit être assez important, pour un Triac. 250 mA est un bon compromis. Là encore, D6 nous informe du bon état du composant. MAIS : le test doit être validé, par une brève coupure d’alimentation, afin de réinitialiser le Triac. Les doubles flèches, correspondent bien évidemment aux six connecteurs de mesures. Typon coté soudures Typon coté composants Câblédessus Câblédessous Le dessin de la façade Le cordon de mesure La chose terminée Quelques remarques. Sur le prototype, les Led’s et le bouton test ont été câblés coté soudure. Les six connecteurs femelles ne sont pas référencés (récup), mais, de nombreuses références sont disponibles sur le marché (le pas est standard). Sur le cordon de mesure, les pinces crocodiles doivent être aussi petites que possible ( pour les tests CMS), comme celles-ci : Liste des composants IC1 : 4066 IC2 : NE555 R1-R5 : 10k R2-R4-R7-R9-R11 : 100k D1 à D6 : Led 20ma R3-R6-R8-R10-R14-R16 : 620 R12 : 1K R13 : 100 R15 : 47K R17 : 47 5W C1-C3 : 4.7µ C4 : 1000µ C5 : 0.1µ RL : Relais 12v 2 ctc TR Bonne réalisation.