Un mur vidéo Mitsubishi pour assurer la tranquillité des cités

Transcription

Un mur vidéo Mitsubishi pour assurer la tranquillité des cités
Un mur vidéo Mitsubishi pour assurer la tranquillité des cités parisiennes
LES DONNEES
LOCALISATION DU PROJET
Région Parisienne, France
INSTALLATION PAR
Videosonic
CLIENT
GPIS
DATE D’INSTALLATION
Juillet 2008
APPLICATIONS
- Vidéosurveillance
PRODUIT INSTALLE
- 4 x VS50XLWF50U
CONTACT
Mitsubishi Electric Europe B.V.
Yves Astafieff
Tel : +33 1 55 68 55 68
GPIS
Didier Desous
Tel : +33 1 58 60 20 30
Galilée Sécurité Electronique
Olivier Pradel
Tel : +33 1 41 74 15 68
Videosonic
Eric Cartier
Tel : +33 1 75 01 60 40
Référence du document :
COM_fra_Cas-client_GPIS
Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de Surveillance (GPIS)
protège les résidents et les immeubles des principaux organismes de
logement social de la capitale depuis un centre de contrôle ultra
moderne, équipé d’un système d’affichage Mitsubishi de grande
taille.
LE BESOIN DU GIPS
Pour répondre à leurs obligations légales en matière de protection et
de gardiennage des immeubles et de leurs abords immédiats (article
1719 du code civil : le bailleur est obligé par contrat … d’assurer la
jouissance paisible du preneur pendant la durée du bail ; application
des conventions de gestion urbaine de proximité signées avec
l’Etat), les principaux bailleurs sociaux parisiens ont formé leur
propre structure spécialisée : le Groupement Parisien Inter-bailleurs
de Surveillance (GPIS). La mission de cet organisme est de renforcer
le sentiment de sécurité des locataires en protégeant les parties
communes des immeubles (hall d’entrée, garages) et leurs alentours
par le biais de 260 caméras vidéo et de 44 équipes de surveillance
mobiles. Quatorze sites parisiens ont ainsi été équipés d’un réseau
de vidéo-protection raccordé à un serveur local qui conserve les
images numérisées en Mpeg-4 (4 CIF) pendant quinze jours, comme
la loi le stipule. Ces serveurs locaux sont reliés par liaisons SDSL au
poste de commandement opérationnel, installé boulevard Berthier,
où des opérateurs visualisent les images en direct sur un écran
Mitsubishi de 2,8 mètres de diagonale. Celui-ci est constitué de
quatre caissons rétroprojecteurs associés à un processeur de
découpe électronique qui gère l’entièreté de la surface et peut créer
à la demande de multiples fenêtres de diverses tailles. Depuis leur
poste de travail les opérateurs choisissent la configuration
d’affichage qu’ils désirent, sélectionnent les caméras sur un ou
plusieurs sites et les visionnent sur des surfaces qu’ils élargissent ou
diminuent au gré des besoins imposés par leur mission. « Nous
répondons aux préoccupations des bailleurs sociaux pour qui la
question de la tranquillité dans les groupes immobiliers est un enjeu
de premier plan, indique Didier Desous, directeur opérationnel de
GPIS. Concrètement, nous prenons en compte la législation qui
place les bailleurs en situation explicite d'opérateur en matière de
surveillance et de gardiennage de leurs immeubles. Pour ce faire,
nous agissons avec professionnalisme et éthique en formant
juridiquement et techniquement nos personnels, nous offrons un
véritable service aux locataires qui nous font confiance puisqu’ils
n’hésitent plus à se nommer lorsqu’ils nous appellent. Enfin nous
permettons aux bailleurs d'approfondir leurs connaissances sur la
situation et l'évolution de leur patrimoine », conclut Didier Desous.
Un centre opérationnel en veille permanente
Le nouveau centre de commandement opérationnel
du GPIS est conçu comme un poste de veille
permanente mais il fonctionne essentiellement la
nuit, lorsque les équipes mobiles se substituent aux
gardiens résidents.
L’architecture réseau du dispositif permet de
remonter en permanence des images des différents
lieux sous protection et de les exploiter selon les
règles définies par la Commission Nationale
Informatique et Liberté (CNIL), les autorités judiciaires et policières, et les bailleurs. La vidéo est
utilisée pour lever les doutes, suite au déclenchement d’une alarme ou à la suite d’un appel
téléphonique d’un habitant. Elle sert aussi à assister les équipes mobiles durant leurs patrouilles ou
leurs interventions et à superviser leur action, en complément des liaisons radios permanentes. La
vidéo est également utilisée pour identifier les auteurs d’un délit, cet usage étant soumis à des règles
strictes (seulement quatre personnes du GPIS sont habilitées à extraire des images qui sont munies
d’un filigrane électronique pour éviter toute modification).
La
salle
de
supervision
du
Centre
de
commandement opérationnel est organisée de telle
façon que les deux opérateurs en poste et leur
chef, en position surélevée, aient une vision
complète sur le mur écran Mitsubishi. La maîtrise
d’œuvre de l’installation a été confiée à la société
Galilée-Sécurité
Electronique,
une
entreprise
spécialisée dans les équipements de protection qui
a assuré l’intégration complète de la solution.
« Outre la définition ergonomique et le choix de
l’ameublement,
nous
avons
travaillé
sur
l’intégration des moyens vidéo et informatiques
dans une optique totalement évolutive puisque
nous utilisons des technologies qui changent très rapidement », commente Olivier Pradel, responsable
de la société. Nous avons également développé un outil plus efficace, plus opérationnel et plus
convivial, sans pour autant modifier l’effectif ou la composition du personnel dédié à cette tâche.
De plus, notre client souhaitant ne plus utiliser de moniteurs
vidéo traditionnels, nous avons opté pour un mur d’images et
donc, sélectionné un spécialiste pour intégrer au mieux cet
équipement dans notre solution ».
C’est l’entreprise Videosonic qui a assuré l’installation de
l’écran géant et a développé les interfaces de commande
matérielles et logicielles. « Notre choix s’est porté sur les
cubes de rétro-projection de Mitsubishi qui répondaient le
mieux à nos impératifs d’exploitation », confie Eric Cartier, cogérant de la société spécialisée dans les installations
audiovisuelle et multimédias d’entreprise.
Une référence en matière d’affichage électronique
Le mur d’images installé dans le centre de
commandement opérationnel du GPIS est constitué
de quatre caissons Mitsubishi de 50 pouces de
diagonale écran, empilés selon une matrice 2x2, ce
qui donne une surface d’affichage totale de 3m2
(2,034 m de large et 1,526 m de hauteur hors
socle). Ces caissons sont dotés d’une ouverture
frontale ce qui donne aux techniciens une
accessibilité
totale
pour
les
opérations
de
maintenance courante. La face avant s’extrait du
caisson et bascule complètement à l’horizontale,
libérant ainsi l’accès à l’intérieur du caisson. Le bloc
imageur est ainsi à portée de main comme la
connectique, ce qui facilite les modifications
éventuelles du câblage. Autre avantage de l’accès en
façade, l’application du mur d’images, épais de
seulement 66 cm, directement sur la paroi du local
sans qu’il soit nécessaire de réserver un espace de
circulation. La ventilation des cubes tient d’ailleurs
compte de cette possibilité et le maintien en
température des organes internes, dont la lampe, se
fait de façon optimale, sans bruit excessif. L’image
est créée par l’intermédiaire d’un module DMD
(Digital Micromirror Device, module numérique à
micro-miroirs) piloté par un processeur DLP (Digital
Light Processor, processeur numérique de lumière),
tous deux fournis par Texas Instruments. Cette
technologie, largement employée pour le cinéma
numérique en salle ou à la maison, repose sur le
principe suivant. Une source lumineuse éclaire une
matrice de 1024 X 728 micro-miroirs métalliques de 14 microns de côté, chacun représentant un pixel
de l’image à projeter. Le signal vidéo entrant est analysé par le DLP qui module ensuite l’inclinaison
des micro-miroirs selon 12 angles possibles, en fonction des quantités de lumière affectées à chaque
pixel et à chaque couleur. Les trois couleurs primaires sont insérées par l’intermédiaire d’une roue
codeuse qui tourne dans le faisceau lumineux avant que celui-ci ne passe au travers du bloc optique.
La combinaison du bloc optique Mitsubishi et de la matrice DMD donne un taux de contraste de
1600/1 pour une luminosité de 800 cd/m2 (1000 cd/m2 en mode haute luminosité). Avantage
appréciable du DMD par rapport aux dalles LCD ou plasma : une image fixe ne marque pas l’écran, ce
qui est primordial dans le cas d’une application d’affichage à multiples fenêtres. Les cubes Mitsubishi
retenus pour l’équipement du GPIS sont dotés de l’option de changement de lampe automatique ce
qui est indispensable pour assurer la continuité du service. L’ampoule haute pression de réserve entre
en service en moins de 10 secondes. Toutefois des procédures d’alerte par pop up ou email peuvent
être programmées pour procéder à un échange préventif en cas de faiblesse constatée. L’éventuel
changement de la roue codage « couleurs » intègre un mode de sauvegarde des caractéristiques de
réglages qui simplifient la remise en exploitation. De même le circuit Digital Color Space Control de
Mitsubishi analyse les écarts de luminosité et de colorimétrie entre les cubes d’un même mur et gère
les rectifications nécessaires. Chaque cube est équipé d’un senseur qui effectue une mesure toutes les
deux secondes et corrige la luminosité de l’ensemble par échange de données avec les cubes
adjacents. Un circuit de gradation numérique rehausse la luminosité à la périphérie de l’écran de
chaque cube et l’unifie sur l’ensemble de l’écran. Un autre circuit développé par Mitsubishi assure le
redimensionnement et la linéarisation (ou correction de gamma) des images grâce à un traitement
calculé sur 12 bits. Celui-ci gère aussi le désentrelacement et éventuellement le changement de la
fréquence image. Le cube utilisé dans l’application GPIS, référencé VS50XLWF50U dans le catalogue
Mitsubishi, affiche une résolution VGA de 1024x768, ce qui donne une résolution totale de 2048 x
1536 pour un mur à quatre modules dont la diagonale écran mesure 100’’ soit 2,8m.
Afficher dans de multiples fenêtres
Au centre de commandement opérationnel du GPIS, le découpage des fenêtres et l’affichage de la
mosaïque d’images résultante sont gérés par la voie de traitement électronique PXW 6-10-6 de
Datapath, un constructeur partenaire de Mitsubishi France pour les installations de moyenne
importance. Ce PC industriel est animé par un ensemble
de processeurs Dual Quad-Core Xeon d’Intel cadencé à
2,3 GHz, doté de 4 Go de mémoire vive RAM. Il tourne
sous Windows XP et son système d’exploitation comme
l’application d’affichage sont installés sur un couple de
disques configurés en miroir RAID 1. Ces disques sont
extractibles à chaud comme le sont les trois
alimentations électriques redondantes qui sécurisent le
fonctionnement de l’ensemble. Le châssis a reçu deux
cartes d’affichage au format PCI à quatre sorties DVI-I,
chacune d’elles comportant 32 Mo de mémoire DDRAM
et supportant des résolutions allant jusqu’à 2048x1536
(QVGA). Le client logiciel embarqué VNC permet
d’afficher le contenu des cartes graphiques des PC
distants connectés au mur par le biais de cartes réseaux Gigabits paramétrées indépendamment l’une
de l’autre. La voie de traitement PXW 6-10-6 de Datapath peut recevoir des extensions par adjonction
interne de cartes ou d’un châssis complémentaire.
A la demande du GPIS, il est déjà prévu d’augmenter le
nombre et le type de sources vidéo affichées sur le mur
d’images Mitsubishi. Sont ainsi programmés, l’affichage de
cartes des quartiers de Paris pour géolocaliser les véhicules de
patrouille qui transmettent en continue leurs coordonnées GPS,
la cartographie des cités et groupes d’immeubles sous
surveillance avec les zones de couverture des caméras ou
encore la réception d’une chaîne de télévision d’information. Le
dispositif composé du mur écran et de sa voie de traitement
électronique peut également connaître une extension physique
par adjonction de nouveaux cubes et multiplication des flux
vidéo à visualiser.
Une offre conçue pour une large gamme d’applications
La famille d’équipements d’affichage en salle proposée par Mitsubishi Electric répond aux besoins de
nombreuses applications dans les domaines de la vidéo protection ou de la vidéo surveillance
(espaces publics et privés, poste de commandement de police), du monitoring de réseau
(télécommunications, routes, chemin de fer, infrastructures de transport et de distribution d’eau ou
d’électricité), de contrôle de processus industriels (lignes de production, centrales énergétiques) ou
encore de spectacles (plateaux et régies de studios de télévision).
Mitsubishi Electric propose trois gammes de cubes, fonctionnant tous en rétroprojection DMD, avec
des tailles de diagonale écran de 50’’, 67‘’ et 80’’, offrant des résolutions XGA ou SXGA. Ces cubes
peuvent constituer des murs écrans allant jusqu’à une dizaine de modules de large sur trois à cinq
modules de haut, selon la taille des caissons, avec une possibilité de maintenance par la face avant
sur certaines références en 50’’ et 67’’.
Mitsubishi Electric propose par ailleurs deux types de découpe électronique sur plateforme matérielle
de type PC industriel. La voie de traitement électronique
PC VC-X3000 de Mitsubishi gère jusqu’à 64 flux vidéo en sortie et peut recevoir plus de 256 sources.
La plate-forme informatique est animée par un processeur Dual Core Xeon d’Intel cadencé à 1,66 GHz
et doté de 1 Mo de mémoire. Elle tourne sous Windows XP Professionnel for Embedded Systems et
dispose d’un disque dur de 80 Go, capacité doublée en option pour monter en configuration RAID1.
L’alimentation électrique et les ventilateurs sont redondés par sécurité pour assurer des plages de
fonctionnement continues (24 h/7 j). La capacité
graphique est extensible par addition de cartes,
chacune gérant quatre canaux vidéo.
La voie de traitement VC-X3000 contrôle de
nombreux paramètres de fonctionnement d’un
ensemble de cubes comme le contrôle de la
luminosité, le changement de lampe, la mise
sous tension et les principaux réglages. Grâce à
un logiciel client, installé sur un PC distant,
l’administrateur du système paramètre le mur et
distribue les droits d’accès aux opérateurs.
Ceux-ci sont dotés de leurs propres PC et souris,
repérés à l’écran par un code couleur, et
interviennent à l’écran sur les éléments qui
ressortent de leur compétence.
Le processeur d’insertion graphique VC-MK3000 associé à la voie de traitement électronique VCX3000 constitue une solution évoluée pour gérer en temps réel des sources vidéo synchronisées DVI
et VGA. Grâce au logiciel D-Wall, il est possible de contrôler un ensemble de fenêtres générées par
les deux systèmes et affichées sur une même surface d’écran.
Quelques chiffres
Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de
Surveillance (GPIS) a été créé en avril 2004.
Le GPIS est un organisme au statut juridique
de groupement d'intérêt économique (GIE)
qui associe neuf organismes d’habitation
sociale : Paris Habitat (ex OPAC), la Société
Anonyme de gestion Immobilière (SAGI), la
Régie Immobilière de la Ville de Paris (RIVP),
le
Logement
Français,
la
SAGECO,
l’Immobilière 3F, la société Habitation
Confortable,
la
Société
Immobilière
d’Economie Mixte de la Ville de Paris
(SIEMP), et la Sablière.
Les bailleurs fondateurs ont délégué trois
fonctions au GPIS : assurer la gestion,
l'encadrement et le contrôle des équipes de
surveillance mobile sur les secteurs définis ;
piloter le dispositif et assurer l'interface
entre les bailleurs membres et les services
institutionnels ; garantir la qualité de la
prestation avec une obligation de résultats.
Le patrimoine immobilier surveillé par le
GPIS
comprend 64300 appartements
répartis sur 14 sites.
Le système de vidéoprotection installé et
télé-opéré par le GPIS dénombre 260
caméras de tous types : fixes ou mobiles,
sous caisson étanche, dômes anti-vandales,
dispositif à micro caméra.
Le GPIS réalise 100 000 rondes par an et
9500 interventions sur appels de résidents.
Il dispose pour cela de 44 véhicules de
patrouille géo-localisés et en relation radio
permanente
avec
le
Centre
de
commandement opérationnel.
Le GPIS compte plus de 120 personnels
formés et assermentés.
Le coût de la vidéo-protection est facturé
aux bailleurs au prorata de leurs parcs
immobiliers,
la
ville
participant
au
financement à hauteur de 66%. Aucune
répercussion financière n’est imputée sur les
loyers.
Glossaire des termes techniques
4 CIF : CIF pour Common Intermediate Format.
Format d’image en vidéo numérique défini pour les
applications de visiocommunication (norme H 261 de
l’Union internationale des télécommunications), et
étendu à la vidéosurveillance. Une image CIF
correspond à une matrice de 22x18 macro blocs,
chaque macro bloc étant constitué de 2x2 blocs de
8x8 pixels de luminance ou 1 bloc de chrominance. 4
CIF correspond à quatre fois ces caractéristiques.
DLP & DMD : Digital Light Processor (processeur
numérique de lumière) et Digital Multi Mirror Device
(module numérique multi miroirs), deux dispositifs
brevetés par Texas Instruments, le premier traduit
l’information de luminance d’un signal vidéo en
donnée de commande pour la matrice de micro
miroir, dont chaque élément peut renvoyer la
lumière d’une lampe à forte puissance selon douze
angles différents soit douze niveaux d’intensité.
L’information « couleur » est gérée par un roue
codeuse à segments colorés qui tourne devant le
faisceau lumineux. La quantité de lumière envoyée
séquentiellement au travers de la roue codeuse
détermine l’affichage d’une couleur et son intensité
lumineuse.
Mpeg-4 : MPEG pour Moving Picture Experts Group,
groupe international d’experts définissant les normes
de codage numérique pour l’audio et la video. Le
Mpeg-4 propose des codecs évolués pour l’audio et
la vidéo, appliqués à l’ensemble du champ
multimédia avec des applications comme le VRML
(Virtual Reality Modeling Language étendu), le
support de présentations 3D, de fichiers composites
orientés objet, la gestion des droits numériques, etc.
MPEG-4 se décompose en une suite de normes, les
parties, qui spécifient des types de codage déclinés
en plusieurs profils et niveaux.
SDSL :
Symetric Digital Suscriber Line, ligne
d’abonné numérisée symétrique, liaison numérique
sur paire de fil en cuivre téléphonique qui offre un
débit descendant (au départ de l’abonné) égale au
débit montant, a contrario de l’ADSL, asymétrique.
XGA ou SXGA : eXtended Graphics Array, norme
d’affichage informatique équivalente à une matrice
de 1024x768 pixels, et Super eXtended Graphics
Array correspond à une matrice de 1280x1024.
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