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Itoclames a clmia i s ít i\ í, i o 31 X ÍZC_?_^IJ^____UÍH Eua Sete de Setembro I! 13. • —-—5^^----^2^^^J^5'^F?3'^^ BRÉSIL . ixs:s BI-_c____3_D03Sw__A.ID__rR__ _.»fi':iB.;s_. 8Biu rciÜMUbií&O: XI o & a c t i o a, . »„ííi's i §r B m N li 111 PmUi '¦•¦ Ü.--I É1._J JO-_r_SJSTA.3_ ris; I l ll-iU' |íl:l ano ii yi i i ile L'i'é ,i jriv. |VÍS, D '^"''nU |,xclllsifs ^"i"'»»^ -i>-S"»r i.a iwo, ^lems (•ai.i.iw-&¦ nii-wi.:.(i Un: I,\i.\vi:i ;ur-íi.>'jf'^;^:vv'VxTtf7-ea_ajtí.,u.i-iWk xrvsx móis do Novembro, trois iiulividus parmi coux qui avaient élé incorpores do 1'ivo force, fiirent assomniés h cou ps de batons, porcos do cottps do bayoniicll.es, et decapites cnsuito en prósenco des léinoins, n:, Puus. -.'.-ísxr* trxrXtZOC MTOBnWOCee) x ".rj-war~o«;rvr«auu«t su res qui, cn parei I cas, facilite,il ia, i 1 faut aul que la iiiniieri se jiiMilui- il iii'Un.,|H)iii'vu ui ¦ i ítit som de los iirorecliorcho de ia vérité. faul qo.* coui!)lète ei amplo r iiüii-sotilonioiíl cniilr.) los horbos j.i lice Les officiors ou soldats dti bataillon. soit lati • i- cola, onvuliiraiout rapidomont l|UI. Hio, ?¦> Mars 1; 1. Lliori:/,on poíilique sVibscnrciJ tle l.i pliuitatioii, m;ii> onoorò contro lo pouvaiciit-ils vraiscmblablemonl déJL.es crimes tle Pa^go'l>'il |l'i||il;i.ut ''' po5or conlre leur cbef ? f Son do jour ot li 1't'üid poixj»bis ,':i plus il i culèdii ui. ii.ml. lu mui, 11 osl II y avail aussi dos rcchercbcs u r|u'ob tblo quo, pur IjU lievut! Siitl-Xiiiéricttiiii', publi Un journal de IVio a publió celle seu.Uyy-r coutru los liorljüH, M.Nóry voui; Deux jours aprés, lo cotniiiaudaiil gentes à faire ;i, Taquarcuibò. I n dis- daus son dernier numero, un remar "i mame un arliole dans loquei il est dit ili Iív oarpu, Lopéraüon lu parlor ',] Joaquim Santos arriva au camp; il lil parition de Saiicbcz Caballero è ail de quablo article de plus "llll;'S '!!:l a [nul quelaffairo du Passo-ííondo peut ètre 1 luíniblnot li plus loiíguo du oollos quo ranger les Iroupes cn carré et plaeer date recente. La lerrour règnaí l ('alis aux rolalion:* des deux grau les puis- doivüiit tairo lus inalhoui ii\ osolavos ; considèrée conime terminée. Ce momo au centre les aulres prisonniers solide- cetto localilé. sançcH du Gonlineiit Siul-Amé icain. et il rió igo de luiiis tiiro les soins journal, ajoulail quo les déposilions ment quo il distribua Pòtivait-on, eu ensuite tonto conscionco, garrolés; se L'écrivain fa.il ross.irl.ir ave iiiií* 1 011 IMII . oíl! contre lo soleil pendant lo dos témòins brósiliehs élaicnl contraiului-ínème entre ses soldats deux dou- declarei' conlre le frère du dictalcur mhrvoillõTísü fialiilcfój I s raisb i ctoires à celle.; qui avaient été failos qui j;l!li' «t !'' IVoid ponilanfc Ia nuit : los zaines do Ibuols alors ministre de la guerre et designe poitnaieul faire surgir un ivouilit. I cile pr()iliioteurs ún café Lrouvoraienl poutconfeciionnés avec du precede m me n. cuir tressé de deux doiglsde largour : pour oceupoi* Ia présidoucoà partir ilu ces ligues qui leriniitonl uu rticle oi.ro daus c^:r•, amélioratioiis, inconiiues II est évident que ce journal s'cst trois parmi les prisonniers furoiit dé- l"1' mars 1882 prècédemmenl publié à ee sujei: jiisque-1 i, ios remèdos aux dillicultés faitrécho de bruits qui ont élé píopadont il so plaignoutsi justement. signos pour subir le suppliçc du fouel, írailleurs, il nous parail superílulu ., || iíc siilíil nastle rés uidíe la ques-l gôs pai* dos organes à Ia dévolion du On aclicva ces niallietireux à cotips de d'ènamúrcr toutes les plus loin :•< Dos caféiors sont dono circoiislaiiccs tion tk.<, iMissioiis, eu réaiilé, malérii Santos. présidenl crosse de ftisil. Les lémoins ajouteiíl aggravanlcs que le nouveau procès vienl Ipmotil peu imporlaíite; i! faut ètudiet [nusquo toujours eouverts do llours oit do ti uils, ot comino coux-ci doinaiidout Le dossier du nouvcau propôs iasei résoildre toutes As nutres tlifliciiltés que le commandanl élail présenl ei quil de mellrc en lumièro. oi.iyiroii requòle du gouver íemcnl laurò à la quatro móis pour eompiétor 11 nous sulíit triiiYoquci', conime i|ui pcii.vont conipróinctlre les raiipbrts lour prónail sou malé pendaul le suppUce. iiiaturité, il armo quo ia reco 1 to brésilien, n'a pas encoro élé re ms enLe journal A Pátria a avance timi- cela se pratique daus toute instrucfioii, cordiaux entre cot deux pays». •;<' fait pour ainsi diro saus iuterrttpIre les mains lu ministre des Affaires les de racCtisèc. Ou Cesl doit précèdenls demonty ce s'agissail de répression lésir d,* ré- tion.» probablemenl quil Klrangéres du Brésil. avouer SOlldr.e louíe.s Ir* aulres difiicultés qui conlre des tentativos flagrantes de reLos iiombroux fazendeiros do S. Pauqu'ils sont dèplorables. On ne peul donc encore affirnicr lo, Nous avons Pio, Minas Geraos,.qui lisent dans vu a les foncliúiiiíairos bellion. poussé les deux gouvernemeiils à rien de défiuilif. ío Jornal do Couiinercio, ou aillours, II y a déja un progrès sonsibíe ; on les plus eleves impliques dáiis l aífaire coinplèler leurs armeineiits et á réforMais loules les prêsompüons 1'oni los articlcs do i\[. Nory,selónuoroutcoret 1'atroui. Ces deux itaiiens nicr leur inari.no de guerre. Volpi supposcr que lc gouvcriicineut brési- ne iiic plus formellement, comme au nonf èebappè tainomont do voir un Présilion qui écrit que par mirado aux on ne soutienl début plus que jamais ,1,1.I i .-ii ,. \-1-,,.. I.... , i", : ,,.,.... ., clisposé n'esl à ôtre dupe, une lien 'j-ii'1- (>' pas ío caiu, iguproí oo ([tio suites des tortures quon leur avail, fait ne s'cst passe. tout lo mondo sail au Urésil. Non, Al. Íbis do plus, des déclarations inciison- pareil iniiigées. El, los crimes commis surdes On.succupe boaucoup do propiigando Nefy; ia récolto 11 s'cst donc commis un crime à no so fait pas saus gores et hypocrilcs do sa vóisine la Espagnols, des Français etc. ne lémoi- du café du Urésil, mais il faut avouer ínterruptioit; Corrales comme au Passo-Hondo. la maturation Republique Orien tale. commence gneiit-ils pas du peu de cas que Tou quo los moyens omployés sont parfois d'ordiiiaii*o ou avril daus la "d'informa do Aux demandas Lo Globo, Le journal lions de la fail de 1'existence loujours bien des étraiigcrs daus singuliers. Nous vonons do parcourir líio ilo Janeiro, on ma: dansprovinco cel lede S'. informo, et d'uno grande modération, a Lègation du Brésil à Monlevitleo,il fui la llépubliquo Orienlale! uno brochure inlitulée: Lu. queslion dit Paulo, ot lu cuoillo duro d'ordiuaire exposé, dans une série d'arlicies,loules répotidu de Ia manièrc la plus LiaüAssurémcnt la Franco a bqmbardé Ca/e; ello ost sigtióe do 1 -autour du trois móis ; si o! Io so prolongo plus longla tainc ot insolonte les péripélies de ce arame bideux. plus par le mi- Alger pour des inotifs moins sèrieux. livro introuvablo : Le pays du café, tomps dans certaiuos expieilations, par II existe cinq déclarations faites de- nislre Oriental. Le gouvcnieincnl brésilien nc peut, nous avons nomrué M. SaufAnna Xèry. suite do riusuiiisaiieo do maiu d'oouvre, Elle a été distrtbuéo à profusion vant le Cônsul du Brésil, precises et Enfin, nous ajouterons que pendant sans compromctfre gramnent 1'hon(on cest tant pis pour lo propriétaire qui ne dit pas aux frais do qui), aux visi- ramasso relalent les faits le suilemps oú la seconde cnquèlo eut ncüi* ualioiia!.. ctsans portei* prejudico par torro dos fr.uits trop secs probanles, qui tours do 1'oxposition de café du Balais ot diíliciles à biou vaiits : lieu, lc commandanl Joaquim Santos à sos inlérèls les plus direcls, abanpreparar. do Fludustrio à Paris. Pour 1'édilication do ceux qui ont Uu délachemciil du 2eme Gliasseurs, na pas été siispcndu de ses fouclions donner 1'ailiaide résolue qu'il vienl de Co Brésiliüu apprend aux Iüuropoéns examino uno Íbis dans lour vio uu pied èlanl campe prós Cornúes, pendant lc et qiron n'a adoplè aucttiic des me- prendre. que los eaféiers -.< croissent naturolle- do cafóior, nous voudrioiis 1 ¦ ¦•¦¦¦¦¦¦¦¦— —; :*~,*T'''!7n^*_7V'i-'n -n i le en£sii m europe _____5gg_5™__|__™__gg__j^g-~agaatga M. Néry est aussi cetto étoilo qui bnlle cousacrée par 1'opjni.on de coups d'uno mitrailleuse. C'est-ít-dÍro quelques dans lo flrmameut, ot qui doit couduire soniies compóteutes, esí 1'objot lio perque j'en suis encoro tout étourdt. qiudlos pasteurs de raucion moinlo vers les quo attaque brutale, cltacuu su doM. Néry, roproclie, sur u.i tou railJe ne sais plus quoi grand seignour ttnmensos au-dossus dosquollos iiiande avant tout . plainos leur, à Mme Samsou d-ttvoir intercale disait uu jour : « N'éooutez jamais lo orillo le Cruzeiro. —Quel daus son livro dos photògrapliios ost cot lioiiiiuoqui traite avoc inarquis et moi parlaui l'un de 1'autre, qu'on Un n'a pas eu besoiu jusqn'ici, il est uu ínépmsi.eavalier rOrícontfo ;t la vitrine de tous les uo sommos los nous ne autres papoquo plus airiis, » vrai, d'établir des sorvioes do vojm^os ont accopté ? (Juo vaut-il pour sou cpriip- tiors do la rue ifOuvidor. Ce mot est d'un hoiiuòte liommo. 'S-.vy do plaisanco, mais du traiu dont los to ? Oíi diable AI. vout-il quo PauQu'a-t-il ócrit ( se dit-on, s'il s'a11 me revient k 1'esprit au moment, choses marohent, oela no manquér teur peut d'una écrivain preiiiio sos ínodètes. Atirait-il vouou je prends la plume pour exposor, uno d'arriver bieutòt. ; quollo ost la bàgit taillo a gagnée i s'il sagit d'uii lu uu Pão d'Assucar ou un Coreòvado, mes griefs contre M. Íbis de plus, Une damo, uno parisienne, s'étant hoinme qu'il de portant á son spmmet 1'Eglise do la Nery. Sant'Anna guerre. avisóe, il y a quelques móis, do publior Je dois pourlaut élablir cetto diffóJo ne prótonds pas qu'uuo telle áro-u- Ca 11: lana? quelquos notes sur son voj-age au Brésil, J';ivoue quo cGlivautété plus nouveau, rence ; cest quo je uai jamais été l'ami lo correspondant du Jornal s'ost aus- menlation soitlogique.ot jo mo hâte ot roprocher à cos qu'on n aurait do M. Nery, táiit s'en faut! sitôt juté sur sa bonna plume do Tolède. d ajoutor, que vis-íi-vis do AÍ,Néry, elle dessins do manquor pu (1'origiiialitt. Mais je saurai parlor de sa parsouno serait partiotiüòreineut sans valuur.oar Vous croyez que c'est peut-ôtro pour Alais losilliistratioíisdu uiaguiliqueòuavec sincéritó, absolumont conime si jo voux coiriméncer par lui rendre jus- vrago du Dr,. Crevaux sur cotnbattre réfutor les ou critiques FAiuazoue.ont de ne s'ótait rien tice. passe entro nous. jamais été empi'uni.ées á dos pliotograpliíes qui Au-dessusdes animositós, des ranctines. Mino Sainson. l)étrompez-vous ? Cot écrivain n'est pas lo premier couronfc les ritos do Manaós. iJ.-u.v inois Co procede est banal et use : c'ost lo dos antipathie:' uaturelles et instinetivenu ; il s'est acquis uno cortaine noto- avant la publicatiou do co livro à Paris, ves, il y a uno queslion qui primo et vieux jeu. M. Néry profere iusultor, co riété dans un corcle 1'aploinb potit la Revista da £'aposição ifAnlhropopar qui s'impose; c'est l'Lntórôt de la vérité, qui constituo, à mon avis, lo meilleur avec lequel il traite los sUjOts dout il iigia en avait déjà publié un grand procede pour prouvor... qu'on a tort. qui est 1'intérêt du pays lui-mème. ignoro lu premier mot. úombro. Les attributions de M. Nery ne conCette oxócutiou torminée, M. Néry, "a Lohasard, loujours maliu, íít nattre Qui dono so serait avise d'en faire sistentpas simploment, comme^quelques avec la conscionco d'uu hoinmo qui Néry sur la torro do Sauta-Cruz. M. uu griòf á 1'explorateur. Si lo Dr. Cr/;uns se 1'imaginent, à rediger co « Ver gagué honnèlement sou argent, será ouvir e contar » que le « Jornal do sans doute allé so proiueuor sur le bou- _ iMais il quitta sou pays fort jeune,et il vaux,voulautdécrirorAinazone, a achoté dos vues á Manaós, n'en couuut guòra la poésio Commercio » jotte on pàturo aux raf- levard, que par los Aline Samsou,pliptograpliiques voulatt dépeindreRio cliants do dilletanti, Gonçalves fines et aux qui tous los quiuzo Dias ou do Castro La foulo 1'aura coudoyé sans s'en douet sos liabilauts, los a cboisies rue jours. ter; il n'y aura pas eu dattroupoinents Alves. Dorniòromout, dans le but, sans douto, do donner quelque autorité et d'Ouvidor... á moins pourtaut que co Co roz-de-chaussée, qui porto toujours devant lo café do Madrid, à riieure do vráiseuiblaiico k ses écrtts, il no soit rue São-Jose ! un vague parfum de Figaro et sacristie 1'absinthe ; enlin la aura quelque gouvernement Toutes ces attaquos no sont-ollos panachés, serait pourtaut bien suífisant pu so couclier une fois de plus ayant la se decida à venir visiter sa pátrio. pas mesquinos, palitas, rulioules, etcotnmo 11 y tit un séjour do près do pour asseoir solidoment la réputation coníiauce que 1'ordre public ne serait quinze AI. Nery va être dósappòintó, lorsqu'il d'un écrivain. jours ; co qui est vrattneut enorme verra pas encore troublé ! quo lo propre journal auquel il Mais lo corraspondant du Jo -nal do Je ne sais plus à quollo ópoquo un pour uu pansien du boulevard. adresso bi-monsuelleinont sos élucubracommercio a des vues plus jlevéos, Lo cercle dadmirateurs qui no cassa livre parut on Suisse qui niait la gloiro tions, avait déjà traduit on ontier le L'ambition est une belle chose, mèrno de l'entourer, 1'empécha saus doute de de Guillaume Tell. dont, à livre dessein, il ne reproduisait lorsqu'elle faií commettre aux itommes jeter les yeux autour do lui, do voir, de Le Boruo Sénat los critiques défoudit les plug severos ayant de réponquo les plus lourdes bévues, et los plus d'étudior et de comparar. Et uu boau bien soiu de passor sous silenco les"cordre et ordonna quo lo livre fut briilé. matin, notre fortes sottises. psoudo-brésiliens'embarqua roctifs, qui en àtténuent 1'amertume. M. Nery s'est constitué le champion Co trait a quelque chose d'antique pour France, bien persuade que les paiEt comme il será étonné eu apprenaut de la propagando en faveur du Brésil, qui ne manque pas d'une certaine miers du Jardiu Botaniquo nodilleraiont grauen Europa. II sen est assurê le mono- deur, eu rien do ceux do la .Samaritaiue ou de que Fapparition do ce livro, ou, à cote de certaiiiüs exagératioiis so trouvent Mais les tomps sont changés. fou Mabile. pole, et le gouvernement Brésilien lui bon nombro do vérités, na soulevéaucun a décerné un brevêt d'invention) A. G Aujourd'hui, houreusemoiu, on no Co pélerinago à la Santa Cruz ac- orago ni aucuuo indignatiou, D. G.) brúle plus, on discuto, car on a fiai par compli, aotreiido-parisiense dit: « Bien La vérité est parfois na II s'est fait un petit domaine reservo, s'apurcüvoir quo la discussion est peu duro à plus ne íuempèche raaintenaut d'écrire ce entondre, muis colui saitlecoutor dans lequel nul profane no peut poser lo forte que les buchers. ot. qui que jai vu dans mon pays—jai pour en fairo sou fait prouva do forco proiit Mais laissons cos digrossions et re- moi 1'aut'jrité pied ; cest lui qui est le grand prètre, de l'observation dirooce, inoráte et de sagesse. Le Brésil a fait quo dis-je, le Deus ex machina de l'im- venons k notre sujet : justice va être in loco sita, comme disent les physio- boaucoup do saus faite eu deux mots; progrès, migration européenne. que AI. Nery lo^istes. » en douto, et ... s nous touons —¦ à lo coustati-r Qu'est-ce que M. Néry ? et touí La bible nous parle d'uno étoile qui ht los articles les p us autastisques, ,ci. Le livre deM.no Samsou ost est dit. aspiusiuvraisamblablesdesesuccéder rivé guidait jadis les róis Mages allant saau moment psycholog que \o ^s Lorsqu'une çwuvre d'ua mérito relaíií, ,-y ui. a ,x ar.yy, r.pides comme leS[n'éprouvonS iuer 1'ISufant Jesus cians sa crècho ; aucun embarraf l parle i pouvoircitor ilu livro do la Mítdama, parce que nous avons été los preiuiors à Kio à ou fairo uno critique, súvòre mais óquitable; parce quo nous aussi, los Français nous ysoniinos plus -naltraités eucore que ios brésiliéns' co qui nous a réjout iulinimont. C ost un ii.os désavaiitagès do certains critiquos qu ils uosu boruaiit pas à dire IVanoliement, loyaiouiuut, on tontooceasiòii, co qu'ils pousoiit, sur los teuvros d'autriii, saus redouter los iuiluoncos do outonos ; mais qu'ils sbxposout encoro lidos représailles/euse faisant auteurs a lour tout\ Al. Néry, lm. cvlt0 [tíá ^ sagréinonts auquols cette inuladresse potirrait lontraiuor. ou eaehaut soigiioiisemont sos ictivros aux yeux do çoux qui pourraioutso prouonoor sur lour stiicèrUé ou lour oxactitudo. Jo voux parlor du celebro voyago do AZ. Durandaupays du ca/é, dom il a étó st forly'uestiuu; à cotio lieure, il serait plus dtilicile do trouver Al. Duraud k Pio quo la solution doía quadraturo da corcle. Copoudant, losjournaux nous infotment, qua Ibcaasion do PExposition des cates du_ Brésil à Paris, le livro da Al. Nery a étó répaadu avoc uno muinlioeiioe vraiment royalo. Uu ré^imõni; d'iufauterio étatit allé visitei- PExposttion, on a sorvi à ehaquo ííotnmá una tasse da café et un livre do M. Néry. AI. Duraud remplaçait saus douto ia sucro. Comme la brociiure sur la du cato m'a düané bonne envie question de lira 1'introuyable M. Duraud, jo vais me décidor àécriro au colonol do co régimont pour voir si un do sos soldats veut, bien se défaire, en ma faveur, do cette précióstté árchéológique; Enlin, AL Néry parait roprooher {\ 1 autour d êtro vieille— c'ost uu compliment auqiiel les dàmès no sont pai iiisensiblos géuéralemeut. Mais en aüirmaat que Alme Samson ost vmiLo, M. Néry vout-il insinuor parla quo lui est jeune 1 Cétait uuo prooaution vraiment iuuCola se voit do roste à ses écrits. Fantasio, »-» IíO "*Itó«s*>jjfes* <l«i fcfcrôèill P**^'^l*lli*'*^^^i»^ 7. »:(.V, eri entiòr une doscriplion oh il esl de íloura (Popalo, d'aigrotle question niervoilleuse, de ilida (Poiseaux, et pour tinir, do fruil de Ia gousse du cale ; mais Popusculo est si ricbo qú'il suflii de glaner les curiosités. Voici. par exemple, comment, au Brésil, ôn cuoille le café. « Sous Ia conduitd d'uu contro ínailro. iPun intendaut ou feilor,<\es bandes de travailleurs grinipent dans les arrues ! ! ! lis se tienuent perobós sur des échellos et tirent à eux douceinont les branches du caféier. Ils efleuillont Ia brauche entro leurs doigts. et les baios sont recueillies dans des corbeillos, Lorsque les paniers sont pleins,d'autres travailleurs les empor.tent sur leur tète !!! à Ia fazenda. Et maintenant voici comment on le prepare : « Dos femmes et de jeunes négrillons sont employés à. laver le grain dáks des puits et à le DÉcoivriQÚER. On procede onsuite au pollissago, íi Ia seconde dessication, et, apròs uu triage attentif on transporte ia réoolto.qui esi mise dans des saes d'une contenance de 60 kilos. » Fazendeiros, exportateurs, construoteurs, ingénieurs, et vous tous Brésiliens^ qui vous préoccupez si justement de Ia crise actuello du café, cróez avec de grandes dópenses dos engenhos déjà très-parfaits, invente/ chaque annéo de nouvelles maebines. pour ventiler le grain, pour le dépouiller do sa pulpe, et le séparer, dopour le trier à ce point de vue, passez de boaucoup, Ia ripa de Ceylan ou les pilons des Aulilles, pour que Pon vienne diro dans uu livre, eu quelque sorte oüiciol, que vous lavez le grain daus des puits et que vous laissez à Ia main des femmes et des jeunes négrillons le soin de le décortiquer. Préoccupez-vous de faire connaitré voa produits avec leurs qualités réelles; préparez à grands irais des expositions chez vous ou au-dehors, faites dos confóreucos ou doinaudez-en à des étrangèrs amis de votre pays, pour que tous ces efforts vienuont aboutir à Ia conclusion suivante : « On a prétendu Á iion drcit, peutÊTRW, que certains plaiiteurs brésiliens ne préparent pas leurs produits avoc autant d'art que coux de Ceylan et de Java, ce qui laisse uno légòre amertumo, uno saveur de terroir au café du Brésil. Nous forons remarquei* que ce gout de terroir est loin iPétro désagréablo, et que du reste il s'all'aiblit considérablement si Pou a soin de garder lo café un on deux anslll avantd'eu faire usago, précaatiou qu'il faut iPailleurs prendre pour tous les cafés. Co défáut ou cette qualité quo préseutent tous los cafés authentiques est tròs apprécié desgourmets do PAinérique du Nórd. » Ia necessite do gardor lo café pondaii" doux ans, indique coiniuo moyon do propagando ! I ! Apròs cela,dl faut tiror Póchello, ot nous no sommes copondaut, qu'íi Ia pago lli do cet ótonnant opusculo. A cóté de cette naive.té, ot do ce dófaut' complet do couiiaissancos, il y a Ia noto oomiquo. et si los brésiliens sont surpris do trouver sous Ia plume do M. Néry dos reclamos ti des publications diversos, soigneusement cboisies, los líuropóons ne le soront pas moins de voir invoquor, à propôs de Pae tion physiologiquo du café, Popinion de médecins dont Pautorilé dans les ótudos do cet ordre est encore bien noiivollo. Le fond de tout cela est copondant profondéinent triste et presquo dócourageant pour ceux qui ótudieut le Brésil avautiPen parler, et qui veulent le faire connaitré avec ses ressourcos enormes, ses pi tigres considérablos, son avertii immonse, sans pallier sos dófauls e; sans ílatter sos préjugés. Pour notre compte, co n'est pas sans appréhousion pour 1'avenir que nous voyons cotte propagande des choses du Brésil en Europe conflée en grande partie à des personnalités sans aucun doute bion intentiouuées, mais absolument inhabiles, parco qiPelles no conuaissout pas suffisament PEurope, ou qu'ellos u'ont jamais habite et observe lourpropre pays. Ce n'est pas tout de faire parler de soi, il faut encore lo faire utilement, et Pomploi de certains moyens, ou Ia révélation do cei tainos ignorances est souvent plus préjudiciables quo le silonce. Comme Pa dit lo fabulisto: Rien n'esl plus dangeruux qu'uii malach-oil ami I Mioux vaiulriiit uu shjjo èhuòini I CHEMÍN DE FER DU PÂRÂNÀ anirm&amHÊatasmaatHÊmoaoaanajfamawaiiwaci au km. 04,631 de 03.50 mot. de long.; au km. 05.511 do 58 mot. do long,; au km. 05.831 do 90 met. do long.; au km. 00.250 do 73 mot. do long.; au km. 07.990 do 58 mot. do long.; au km. 08,914 do 58 mot, do long.; an km. 70.974 de 45 mot. do long.; au km. 79.044 do 00 met. do long,; au km. 79.210 do 100 mot. do long.; au km. 79.720 do 140 met. de long. Les tuuirols du chomiii de fer d 11 Paraná sont tous dans Ia deuxiòme saction, Leur longuour qui ost de 1092 mètres se répartit comme suit: Tunnel n. 1 au km, 52.000, de 100 môt. de longuour; tunnel 11. 2aukin, 53.000, de 122 môt ; tunnel n. 3 au km. 58.300, do 250 môt; tunnel n. 4 au km. 00.850, do 45 mòt; tunnel n. Ia au km. 00.570, do 149 môt; tunnel a. 5 au km. 02,700, do 50 môt ; tunnel u. 0 au km. 08.250, de 31 môt ; tunnel 11. 7 au km. 01.050, de 31 mòt ,- tunnel 11. 8 au km. 01,400, do 30 met; tunnel 11. 9 au km. 018 0, de 141 môt; tunnel 11. 10 au km. 01,970, de 52 môt; tunnel u. 11 au km. 05.200, de 150 met; tunnel 11. 11" au km. 05.850, de 87 môt; tunnel n. 1.2 au km. 05.000, do 57 môt; tunnel u* 13 au km. 80.000, do 429 môt. {Roça Nova.) 15 tunuels, 1092 mètres. Le dernier tunnel, celui de Roça Nova, de 429 mòt. de long, so trouvé situe au poiat culminant do Ia ligue, à 955 môt. iPalütude. Les tunnols uos 4, 5, 9, sont les seuls qui n'exigent vêtomeut. 11 et IL' pas do re- Comme il est dit plus haut, lesquantités d'exoavations des tunnols s'élèvent à 87.725 m. cub. et les maçonneries diverses à 8.540 m. cub Ces quantitós se décomposent comme suit : (Suile) Le poids do Ia superstrueture et des Iíxcí i v« 1,5 o a í M piliers métalliques dos pouts de Ia 2asection, s'élòve à 1,635 000 kilogrammes. iei'i'c sèdie 200111. cub. ¦1 liiiiniilo » 1852 Tous les pilliers íaôcaliquòs sont eu ler » Pierresdelaeliées loi 37,-725 111, cub. furgé ; Ia fonte de fer n'est omployée Rooiieliumide 124015 " " súclie 23103 que pour les plaques cfappui à PextréMayoBiaierics tBivei-sos mité des travées. Les murs de soutónemont les plus im- MaçOiincrié ordiiiaire au iiiofluic 4G98 111. cab •> portants sont: Maçou, appai-eillúe. 183IJ » du pierre tio Au km. 51,910, de 139 mot. de leutai lio 551 » ISõlO in.culi gueur ; au km. 5-1.-150 de òá mot. do Rciiiptis. des ci-eux 1-1" j La Sectiou ouveite dos tunnols est de long.; au km. 5-1.000 de 45 mot. de long.; au km 55.101 de 05 met. de 17'"ca. 59. Deux machiiies pei foratrices Tngerlong.; au km. 58 de 50 mot de long.; au km. 00.751) de 01 met. do long.: aobi iravaillont au tuuueldo Roça Nuva. Eu plus des dillicultés créées par les au km. 00 8'Jt de 5'3 met. de long.; au km. 01.270 do 70 met. de long.; ciroon.staucea locaies et Piuiportauce dos au km. 01.935 de 5'J met. do long.; ouvrayes, des ob>iacles iinprévus sonl au km. 02.955 de 05 met. de long., veiius s'opposer à Ia marche régulière au km, 03.310 de 49 met. de long.; des travaux dans ia 21- sectiou. Aux pluies contínuos, sont veiuies se Le gout du terroir produit par une au km. 03.49-1 de 47 met, de long.; do 73 03.791 met. km. au do 1oíi<>v joinilre les lievres et pour mainlenir mauvaiso cueille ou un mau vais desselo bon état sanitaire du personnel, PEuchoniont, considere comme une qualité ; au km. 61.514 du 55 mot. de lo n í Iropriso' du cbeiuin do ler du Paraná a du cróor à Porto de Cima un húpital de 150 lits. En outro des pluios ot des íiévres, los óboulomo.nts considérablos sont vems dótruiro dos ouvragos déjà conscruits. Cost ainsi que les culées de pouts aux kilm. 01.090 ot 01.840 ont Hó ontráinées par des massas enormes do piorres qui so sonl, dótachées do Ia montaguo dans des eiidroits, qui n'étaiont inóuie pas affoctós par les travaux. Un autro ébouloinent, en outrainant Ia tranchée déjà ouvorte qui devait préceder lo viaduc Prósidoiit Carvalho, a reudu nécossaire une modiílcatiou dans le projet, ot par suite, Pabandon do travaux 011 partie achevés. . Pour frauchir Pespaco laissó vide par cot ébouleinonfc, il aurait faliu ailonger lo viaduc de plus do 100 mètres Jn a préféré détouruer Ia ligue vors Ia gaúche, et Ia faire pôaétrer en uu tunuel de 149 mòt, do longuour, en modidant ea momo temps les prenderes disposilious aduptées pour le dit viaduc. En janvier dernier, les ihoudátions sont vouiies apporter leur contigent de dillicultés en augmentant les conséquences dos ébotilements, en outrainant une partie des bois déjà prepares pour i'éohallaudage du peut du S. João, etc, etc. Pour surmouter tous ces obstaclos PEutrepriso française du cbeiuin de lei du Paraná, no recule devant aucun sacruice, et par PimpuLsion donnée aux travaux. elle a mérito un témoinnai/e de satisfaction de Ia part do M. lo Pi'ésideut de Ia Province qui a declare qu'il était impossible de faire plus. (ií suicre) — M t.ayj^Jf,"*-^ jr*«--i" Oongó cio JV1, AmoiOt tio O Ixíii lio ti, tiaiii ís tee cie i?ca. ixce La í-óilaoliun du Ia (.lüpècliu Iclúgi-apliíijuo Ininsiuise luuili ileniiei- par ['Ajjenou llavas, doiinait i entuiidi-u que M. Ihrutiui- ilu Uaòuurt, vçiiait ii Rio un reuiplauuiiiunt du M. ie óointu Ainilot du (Jhaillou. Une lulli-u que M, lu Ministre du Franco nous adrasse it eu sujut, nous appi-enil que son alisenee ne será que leíiiponiiiv.. .Nous pi-euous daus octtu le.ltrç lu reiiscigneinenl suo,ml : M. ju Ministre so reiid un Franoe, uu \ui'uid'(ia coiigc quu lu uiiiusiru a bien \uuiu lui auconluf sur sa duiuaiide, et M. fuut-riui- du liaoourt, premiei- secrélairu .daiiiljassaile, viuni gerpr taLúgatiüii pendaiit sua absuiiue qui dacura six inois. M, Ainelüt du Oliailloii, pat-tira ie lõ avrii proeliaiu. ¦.¦*ftiWiíi;.;r-.í. TivLLUlL\MAÍl*S .iímxeííes, fJM Slai-s La péutiou des frères Peltüor, sullicitauí ta còmmutatioii do Ia poiué de iniírt proiioncéü comre eux, u a pas étè prise en cuhsidération. B^sti-iw, íÃB .'%*Í5»a-riv,— Le ministro plénipolüiiliairo du Brésil à Paris, a signo avec lo gouvoruemont frain.-ais uno couventiün pour Ia protection de Ia propriété dos invontions ot produits industriols dos deux pays. Mossíbío, ®íí Mars. — Lo volcan Lítna ost eu éruptiou, et Pinteusite du phenomeno est telle que Pou oraint de grands desastres. Les ehvirohs ilu cralóresont secoués violommont, car Peruptiou ost accoaipagaée do vielonts treinblemonts do torro. La populatión do Catane est tròs effrayée et 011 craint que los épisodos de Peruptiou do 1813 so ronouvellent. ^imÃNCE "~ A Ia Chambre des deputes, dans Ia séauce du 24 févrior, Pordre du jour ayant appelé Ia dis.mssiou d'uuo intorpellatiòn tio M, Joli bois sur Ia declaration fa; to par lo gouvornament de droits supérieurs pour défendre Ia Republique (Voir Ia DéclarcUion minislá?Helle du 22 févrior, publiée daus notre dornier nutnéro) M. Julos Ferry, présideut du conseil, ministre de Pinstruction publique et dos beaux-arts, s'est declare prèt à saisir daus Ia question poséo par M. Jolibois, ce qui lui paraissait suscoptible cPexpliòation, Ju nu votulrais poiu-tanl, a-l-il ajoulú, un aucimo faeon engager une disuussion de droit publie el eonslilulioiinel, ni sur eus inots « droit supérinur du Ia Itúpiibliqiic », que le gouverneinenl a inseres dans son programme, aeuupter i[u'il su lasse ici, en quelque sorte, une uonfúrenuo sur les droits du goiiveriieinunt rópublicaiu. Nous 11'avons pas cetto ambilion ; nous somiiios yenus i vous eomiue un gòiivenieinout pardussus lout pratique uí sonsé ; nous vous avons dil : ¦( La liõpiibliquo n'est pas un püril. Si ello élail eu péril, elle prcndráit conseil do sen droit siipói-ieiu-, » Cos pavoles ohoquent notre bonorable iiilerpelhileiir, Qiresl -ee que e'cst que le droil supúrieiu- de Ia Itópubiiqiio'.' Cette expression nu coiilionl ni du graneis 11; de lénebroux 111 yst ires. Lu droil supúricur de Ia Republique est le droit qu'ont tous les gouver"droit neiiieiils lòrsipi'ils sont en péril : o'est le ile lügiliiue deíeuse, Sij'ai cru pouvoir iliiv iju!ilèxistoit un droit supérieiir de Ia ilépubliquc. e'esl parce que Ia Republique úlaul lequivalent mème do Ia souveraiiielé nalionale, élant Ia souveraineté nalionale, \ ivanlo, agissanto ul gõuvernanle, Ia Républiqiie élant legouvcrm-nient du Ia souvei-aiueté nationalc, il 111'a paru. 00 ume il parait, je crois ít Li grande inajorilé de culto Asseinblée et à Vimaieiise majorité d^> gons 0]^. liou sons, quo ou goiivcmeiuent de souverainoté nalionale possètle plus quu loul nutro le droil et lu devoir ifuser de Ia legitimo défonse. Maiiileiiaut, inessiuurs, quels pouvo.irs, quuls moyens de tlúlunsu le droit de Ia llépulilique conipreml-il ul coniportc-l-il ? ici, uu n'ost plus iniu intcrpcllatiüu, c'esl une consultatiüii quo me deinaiidc M. Jolibois, ¦ie ne me sons pas digne de Ia lui ilouuei'.. ,\. ni scule1uoi.1l 1'liouorable M oiiijois esl na aes homnies politiquos lus |)lus iiiiportanls de.sou parli ul du cetto Assembléo ; niaisil esl uu avocal cininenl, un ciinsullc épruiivc ; ilaélú prociirciu-giiiuiraljuris. • il sail iiiieüx que mni, d'nne lacoii plus conjplefo et plus approfüiidie, de quollo irianiúro les vüriicinciils pouvenlso ilélendru controles7 gòií^ conspii'ateiu's, '¦ t: *3. J!^!!e^gfS^^;^^^yiB..Tg«aaaiaonBeaaaar.-.- - „ sou ciour se gontler d'une émotion in- Ia gaiété daus les yeux, nue enorme Uai t'a dit ?.'.., ERNEST DAUDET solliciinde àlasortie de Penfant, remiu coimue, Sa more preuait àsesyoux uno botto de roses a Ia main, vers lo lit de Tout se sait, et si a sa uourrico. 11. m aime toujours. voulais saje pbysiononne nouvello, graudissait, 011- sa femme. vou- aussi oíi tu passes taut de louguos On apportait une tablo toute o I noblio, paréo 011 quelque sorte cPune sorvie Bonjuur, migiibn.no, íit-ii eu se heures, loin do moi it me fut poussée conu-e le lit do serait faoile long martyre du qui venait auréolo Martho' qii-elle sur le lit et eu posant ses do le tlécouvrir. Le cliagrin de Ia jeune femme do laisser discròtoment devinor, sans penchaut «'était ièvres surje front do Marthe, après lui envoló. Üents Àísiirémeut. Tu n aurais avec elle comme vouloir ea racouter les póripéties. avoir od'oi't sos Ueurs. Jo ifai pu ie 1.11 intorrogor qU'à avecunenla.it;jotuut illm tômòignait une ; je ne uieiuirais pas. Tu mo donnos à déjeuner ? dit voir co matin ; Jussac ost venu mè teudre sollicitude. Mme Berteux Eíie Laitira plus prós cPelle et iniirsen Mme Berteux à sa íillo, Cherclíor ot j'ai du l'accoinpagiier chez taitsevanouir ses craintes, se XV repreunira à sou oroille : Tu restes ! s'écria joveusement ton poro. Mais, avant de partir, j'al eu nait à espérer quo 1'avenir de sa tille Jure-moi soin de massurer que ta nuit avait élé tu 11 ciais pas chez serait doux, exemptAPorages. Le Marthe. que renas (Suite) bonne. une fenifne ! s acheyait; 011 vmt avertir Denisís Alors momo que tu ne m aurais , ue •— Embrasse Cette foi o ! baibutia-t-il, le saim Lony Mal..-cot demaudait à le v oir ot Lm lils, répondit Marthe li faut me pardonner, j'on ignorais Ia pas écrit, c'était mon projot. 1'attendait dans son cabiuet Tu (lójeuiieras là, prós do moi, rouge do plaisir, Ü11 va Poihportor : auxjoues; causo ; cest depuis quelques jours seu•-.—¦ Josuis do sou Pheure sommeii. c'est .obligó de reprendre ma Jure ou .S"est-ce lemout quo, sous Pompire de mos angois- avoc Denis ; car j'ospòre bien qual va croirai je tu me que l . liberto, ma chorie, ost dit-il à sa femme. beau pas qu'il ses, j'ai compris los ti.01.in.es et deviné ron.lrer. trompes, Déjà, lit Mar lhe tristement. 11 to ressomblo, répliqua Doais Ji>jurequejo.iio te íroinpe pourquoi, ta vie duraut, tu as été si M"iç Berteux s'étaij{ levéo pour so Tu vois, Tony Malécot est pas, là. mallieureuso. Mais ton pró pré exemplo, rapproolior du borceau. obéissanl. répliqua-t-il avec vivacité. Je suis allé Mais, quand il será Maintenant, tu pouma mère, mo dicte ma couduite ; si, au ê.lle souriait, parti, aucércle,j'ai sur son Puis il tendil ia main a sa bello-inere jouó, jai perda, et j'V ras revonir. penehée peLit-fils début, tu avais proteste, répondu à Pof- réveilló, eX son coíur s'ópauouissait ¦sins retouriiépour mo rattraper, Quand il será lit et se rapprocha do du sa femme.parti, ce será íense par un óelat... dan-- une béatilude profunde au poetaLos cercles Pheure daller à Ia Lourse. sont do mau vais II lieux ne faut pas liiabituer à sortir Je nê sais ce i|iii seiait arrivó : ele do cos bras freios qui s'agitaiont o Yòusjóuezdonc à laEourse, sans veiiir me dire adieu, reprit Marthe dit Mürtbe iue ia fraiiohise de soií Denis? mais, témoin tio Ia division de tos pa- de ces lòyres roses 1P0Í1 s'onvolait 111 mari achevait de désarmor Pro inets- demanda Mnie Berteux à demi-voix, iPun acceni avoc de. inquietude". doux reet devenue doux. í " mo.noloae toi-mème, murmure reuts, qiieserais-tu moi tio n y pas retouriier. Jouor, cest bcaucoup Ton baiser ufa manque ce madire, má Cest donc pour moi quo tii t'es .Madame Ia comtesso, voilà M. h proche. mero, répoudit-il ; j'y fats ,1'eu pi-üiuls Pengagemout tin, et j'ai pleuró ! et n quüiquog ai y comto, d'.i, on entrant tout-à-coup, 1; sacviiiée, ma more ! raros operauoa-, d après ios conséils aucun mérito ; cest m ixHo de Tu ! as de Animal do Jussac ! pieuré Cest pour toi, mon enfant. Hail- >< bonnesocar v, joyeuso do Ia nouvellt M; berteux. Mais ce nest ia moitié de Ia nuit autour cPuuò passer lá co pas table qui a li n'est pas si coupablo quo tu lo de sou accouchéo. leurs, ajouta-t-ello après 11:1 silonce, qipollo apporta.it baccarat : au matin, uu a l,^ uerfs my ature. Jy vais surtout pour sur. Merci, ina sumi', répondit Marthe, d|s, mon ciiéri. Tu pou vais bien !e lais- en capitula le, voillor des laierots qui nous sont Denis est boi), il ost gónéreux ot i! comlliuns, à lui et n Ilioi. t'aii.10. Tu réussiras à assurer ton em- qui sontait renaitre sa tranquilli é. ser cinq minutes ei vonir... Je m óiais bien apeivuo du mau—- Xo vous 1 ús^oz Cest vrai ! J'ai eu lort. pire sur im. Ah ! si toa poro lui avail Voulo/-voiis dire à Ia nõuri ioo de prenpas entraíuer par vais état des tieus, répondit Marthe ea ( 1 exemple spécalateürs, dre Bébé ot prevenirá Poilicoque iiòii.dos ressemblé !... Üh ! mon ami, jo vois bion qu'il est grand scellaut dan teudre baiser cutiu courte je vous en supplio, continua•Céciié. La, Elle s'arròia sur cette allusion au ilójeimerons ici ; ma fomnie do chainijré temps quo jo me relevo, Denis; tu tac- explicatiou. Mais je to pardoaiie eu ia- bourse ne porte pas bonheur nous Stíl'viraaux coutumerais trop vi te à te passer de moi. veur do tes bonnes passe, no voulant pas en ttire davanlage ! Jetais gons. Si votre beau frère daiguaitjeunes proniesses. » bonne so va, Ne allait de me siour c'est s Ia crainte inutilo sorfir Li m'è. si daus tu osais absurde tout a Pheure, ajouta-t-elle on coutor pas, paruitre pour plaindre il ne vous y aurait ordres. Elle le blàmer. nier, tu inari ou 111'obligorais dut se ranger Ces Marthe à te sou executei' ne sadressaut do jamais en-* da à sa mère, qui revenait voye. tos | parler ';lo V otre placo n'e&t pas là. sontait • p iiir lai^íc* passer Denis, 11 s'avauçait, reütrées tardives, aumilieu de Ia nuit. de soa cjto, après avoir assiste avec releva pas ses pardos; mais > m PERATERTIS! (à suivre.) eSBt <*• rWOHsMi/ÇOl* «Um JTÍrAwH :t . T..i:i...:. i. ,¦,... . . , . Í-" A iieiij um, repouso r./',,,,,n.... do .1,. -\r Après uno M. Joltbois, Ia titro houoríflqiio, II laíssora à son sou: ¦ le slahililé gniivm-uoineulalo, Un esl Ias Ibiirnirait asuiróniout un oxcolíonl su- Siiüiòili c.uil.o foto qui marquora daiís los clòtut'0 n ótó prononcóo : un onlru <lu sucrétairc ilMítiit la diroclio i dos uilairos igitali eis sir-riles, ei celle lassilml ivorsolle jci. ;i un líbiv.tti.-ito. uiiialos du liigu-liio lliiiiiinoiiso. rcdiiil le inuinenl au silonce ei M. Jolibüls niéine au ol, ainsi couraíitoH du n.misturo do IMiistríiotioii pour jour proposé par ¦'> Io d.',lin au li I,, 1'anv ,1 moi '''' »' s l.-.ti «1 • nous poriiioitra do roposer rospect les ui uilenu ,,u i.., adsersaire-i ,oi'i| ooiiou : publique et dirigora lui-uiòinQ la poli- poiiriuitjjiyiii unirei- deMinl lui. Mu ne saurail 1111 siuiplo pliiuiitil, iifavaíl appoió à '"'' ,1-nnle's ju-. tu'à ¦;. |] ,|,., uxorcieos « La Chambre, resíduo à Pair rospoclor Ia li- tiqun gòiiôr tio du eaoiiipp !l s'o I no- '!.ui ¦• uiliaiítM' uu pi !¦. fii irable a\èu,>i,ii>nl ; rpiii;dir Ia lia no niagistratiiro mi (|tios- ¦ uixquuls lus bals du oo soir voul los horló ifidividiiollo dos ciloyons saus exeopliuii tamineut en lundu iivoc M, (Jhnl louiol- .•','>l presque une lunedo iniel, ei iiuiis .|í>.i--t*.>-i — ''""• ,i" m i sorviraí do nem auíorjió do eiMilraiiiilro. olsaus dislinclio , i-ofuse iPuntorisoi* ou d'apIa laçou siiivaiilo : Lacour, potic que lautos les dopèohos o oi-. \i:'ii\ : eeiis jiii s'(''IÍ!\üiiI de lous le, ¦¦¦;.•. proiivera.iicitne n -sure qui aurail pour bitl d'y Jo i'assi inblerai tous ces fouctiouiiai'|ii" leminiiib rede M. ,l:ik>s 1'erry, parses ;"'U' ¦ jiorler alleinle, i i doliors des prescriplions dti importantes qu'il recovrait 'le nosag-mls ¦i 'les ei l'AI!Tlt; lIOMJÍliltÜÍAliH -' ' "iuliiu.ot je los coiiihtiunorai i'-';:-' pu- si il ii ri,-, repiuido ii loules .,-• ,¦>droilcoiiiniuu, cl passo ii 1'orilre du jour.» à Pélranger, ou i[it'il lotu'ailressijrail, -tpr .Í'{i[)'ròs t rô,, la traditioii d>.:< a lail nailrc. joüx a étó repous é par MOI voix conlre 31. lui soiout régulíòrement cotriiiuiniquéss, pórances qu'il HUPPPTPN IIPlIliUMADAlUK niioconts : Po chat a niaiigó lu coVdon P i-1 clol' do la sorrttro tio la Et 1'ordt'o du jour siúvant do MM. Hio le -./ -Mars iSS:,\ porto tio Pes journaux républicainos libéraux Ia maison du Cliange ,/,¦ /.; sciiiaine. • büuhoiniiio Po proMargaiue, Lecharbonüior, Liouville ot potit Un comitê composó do súnatours, do soni bion moins ontiiousiastüs, miei* qui so trumporail sorait laiiiuó ., s- |,;|i''- S. Londres S. Ilamb. llainoau : :' iloiiiior un gago ot à ouibrassor l'ac- i.o ,- • Mars ||-2 V|,| p; r,n Le li.iprcl est ploiu do nidiaujo: ilóputés, de góiieraux ot d'auiiraux, i-i:í « La Chainbrc, appi-oiivaiil tos ilóolái-alions du an)a r.m .• ot presido par Pamiral Jatirégutborry, Comiiioolilu voit, c'esl uu ministòre .-ml,,ri- tricô PI!^t, H'-t 211/2 ri-ni ;' gouvoriicineuL cl oonlanle dans sa fermoló à s'ost forme -' laire. H-! Po serait torriblo. 211 -.' ,,m pour reunir dos sousoriptions laire respectei- les inslittitions rúpublicaiiíos, d,me II est cxtròm uncul loin dVlrc le niinisl.es s,iu\ei-aius dans dor lo soui but d'élever uno statuo ollerls à 11,^)00 au ii l'ordro sjédu et passo jour.» domaiides a llsãln, lóre do nus vr\et. néral Ohànzy. a èté atlopté par 318 voix contro 89. N:Kí;ii.ÜiiÜliílí Qucl qu'il soil, -.ei.,ii notre usage, nous l.illendrous ei a fouivre, i-, |e Est veinio ensuito en disoussion uno jiigeruns avec «lAM.CIIK DU CAFlí riuipartialiló indiilgonto quon doíl , desminisDCianilü "^'àáilt-ijsoi do MM. Laisaiit, Oourintorpcllatiou l.i*s enlróos depuis le 1- uiars se sonl óiovóesii Ires qui arrivenl tlans des conditions iliiiicilcs. yoiinopar Po in 'ti,lo dos leltres vi,ml. do fairo -• • '-1" I l.fiSljsiiés moaux ot Ernost Lofèvro, reprise par nuoi qii'il lasse, o ms lions coiisolci-on de lui Los \enles se s,,ui ólevóesjourde Xous recevons de M. Ciaiuliclla père la lellro a 'iiõ.úOD saes, uno perto bion sonsiblo ; Kinilo Villeles deslinalions siiiv.-iutes: M. lo prince de Léon, relativo aux me- suivanlejpliisieurs passages de cclle leltre s'mires- eu |iensaiil qu'il ue l;ii'dera [ias , dóm uilror les moi, rédactoiirdu Uil-IJlasii succoinbé pour l-.lals-Unis Slti.Oüi) suros .juo lo goiivcrnenipnt coiuptu sonl .'i a s couipalrinles; lei esl inolifqui nuiis vices.uu giiiivei-iieilioul ., ouli-.i:i'ce ,-i iiue .-,,i, ie - iíou'- a ii i • ni. ti i.lio oi '••m-npo li tf.rili) poitl-tlie, ii aiitorilariSiuo ini-uiu Iravaillera — .;,, j,,'.; eomiiu ii la determina ,iujourd'liiii d.ms nos .lus à Pegarei tios membros publier , age do i reuto hu t aiis. Uivors p,,rls la'.l.lllltl prendro lesuiivriers dos Güliclins, li l'cn\ers — ii la limillos ayant tógiió en Pratico qui ocoui culmines. Villouiot était iucoiilüstablenioiit un borló, Nice le 2 \ ferrier lcS'ò'2, 127). ül ni dos cUroiiiquoiirs.du boulovard los l." slooK esl calculo ii : 27)2.000 saes. peut des oinplois dans Parniéoi pias Pa Justice rend d'abord homniago i\ •i.-.in illãiits. Cher nionsiour Ueleáu. La u.;;//.! esl de :iii,-) reis par kit. A la suite de dóbats auxquels ont pris J ai roça votro totiehanto loi tre ainsi ia valeur porsoniiello dos nioinbres du 8os si qualités porsonuollos, un tompar le députó iuterpollaiit. MM. Paul quò les journaux ot lu dessin do M. cabinel: autior, uno liianour péraiiioiu pi-,mo iXOUVKLLI-S MAItíriiUKS de Cassaynao, lu barou Roille, Pdnioucl Agostini ii,".! d,ni.- au \óritable uiiiiisiòre que uoii: ..;.iul"i.S", ou poroait toujours u io quo íroiis ave/, ou la boutó cio poiuto l.evap. Saeoie, esl arrivóOa Marseille lo 17 llobert, Paisaiit et lo ministro do la monvoyei' tle-si loin. Volre lettro à avons cclle fois do\uni nous ; ol il n'en est que do tino ironie, lui avaiont cróós w.ie mars veiianl de rAiuórique du Sud. oii moi de bien doux óveillé ,le souvouirs imporlaiil diilei-uiinei' ilistiugiléo ; 1'idce d.no; ia plus ie vap. /.,/ Franee, osl dus uqu"il repri'-- placo guerre, la Chambre a adopté pai* 87(3 parti le ir> de |,t ¦nome villo oui, cher inonsiour, jo mo sütivions d,.' senie, i-.ti bien ! sur co [luinl, aiieuno illiisiou .n-.vaius do la uo.ii.vollo pléía.iò pour lin, ei |a |»|U(a> voix contro i(Jl Purdro tlu jour qui góuór;itioil. Lfiiouveau nionsiour vou o père, do tous les vôtres ircsl possibie. I..- pays avail doiino a i.i Liuun- Cétait uu vrai lils d,', liabolais, ot sos vap. /¦:,/,•, de Ia Uoval ll.ul, esl suit. et fie vous liièmu, uialgró quo se'.-ou- bre I,- uiaudal ,1,- faire une polillipie de progivs ¦ iailtioséclaiaiüiit ;i chaquu ligíio couinie liasse a 1'ei-ii.iiuliu,-,, le -Jo mars, a desliiialioa lil' li li I. « Pa Chambre, appròuvaiit Pusagc vuiurs sòient .--i loin do, nous. Po ma- ',,1 continuo le luoiiveinenl ciiiitraire, ei nous un bouquet do fusòüs, 'Janeiro . Lo vap. Ville dr AVo de esl arrivóo que, d'après sos tléoiaratious, io gou- Lheui' quo mu e.tu o la. porco du mon avons un uiiuisíéro ,ie rósislanco, Sus óorits lUtiiout oiupreints tPuiro -1 I oi-n.aiiibuco le 21 mars, Venaiit d-Kiirone ot a siuvi pour llio, vernemeut ;t fait dus droils qü'il tiotit pauvre lils, mort à ia lleur do son age, A 1'iii.lói'ieur, le cabinel représentera cei-lai- ^ai.-to cOiíiiiiuuicativo. Le vap, Uironde, venanl de 1'Auióriiiuo du des lois sur Porgaiiisatioii do Partuép, Coutos los lu tires quo-j-3 roçois ile toutes neiuciil une polititpic ãului-ilairç. llélas ! Vrilioiuout n!ost plus et In binl, esl passe a Lisboiinu le 2(1 mars. ; | lus du ii Fordre partie* d ii mondo sont un atloüoissejour.» passe l.evap. Uritannia, osl parli de Lisbonne Pa i' ran.ee ost tròs-hésitatlte, notivelie dosa mort nous causo uno vépom* inout à ma pomo. Je vous ruinercie, I Ameriqiiedu Sud le 22 mars. 151 lo rond homnuige a ia persoiinalité ritabío (loul.eur. Nous présontons noclior nionsiour, du votre bonito iiiitia"liou Vapours arrivés: coiiiplimonts do coudolé;iuces à sos vailAu Sénat, .e lor mars, a eu la tive, davoir pense d mui dans mon ma- nu .',j.. uualloniel-uacour ; in.it.-> uilo redisoussion iiio.iódiate d'mie int- rpella- lheur. Soyez mon interpreto aupròs de douto lo-; tlióorics lanuliores aux nou- tanis cámarados du Utl-Bias parmi les- Le 18 marsí— Angl, liulmiis dc Liverpool. il latsse un vide qui sora bion pranç. Ilenri IV, do Saídos. tioa do M. lo gónéral Uobort au niinis- vos amis pour h.-.s reuieroier ou mon Vüiitix tüiuistres dus ali,tiros étraimèros [lieis Le li) d A:iigf. Borgliese, iN'o\v-\'ork. dillicilo ;i oumbler. de la tioiü ,) pari qu ils out prPo à ma oi do 1 tutériour : Angl. Maskelfne, do la IMala. |-| tre tle la guerre sur Pinterprétation et uilos-leur coiribien je suis sonLe 20 ii " Lemnos. de Livcrpaol. peiue loi du PJ mai do ia 1831 recente conu.ie fera, que pourra faire .\l Clialloniel-LaLe 21 ,. Ali. Ceará-, de Ia 1'lala. siblo à leurs inanifestations do syr-:pa^ Le 22 .; « Ünenos-Ayres, do liamcour, dans les conditions dillíciles que iui crócnl certíànt Pétatdes oífioiors. Ej^iii-iâsi-tí s&ãàjoií-o ihie ot do resréts. '.' ei ses doclarations son hóiirg. sccpliqíics passe lioberfc a leriniué sou Al; lo general » » Pa lec.tiire tio voi.ro louro et d ;s iM-aiiç. Ville de. Santos, deSantino trisi.o fatalitó seinble poursuivre .\otis lo saurous Incnlòl, Laveiur ne inius discours par la présoiitation cPiui Por- journaux quo voes avo/, ou 1'obligean :o i .,tos. eln-itie point, parco (pie la tmaiubrcnc laisscra ia tiir.iirc Recreio bruritalicO. Après io u -¦' » Angl, Magellan, de Liverpool. de uiehYoyer et quo ju garderai tlaus a certaiiieiaenl Ponipositeur W aro du jour motivo, ainsi couçu : Alvarenga, '' voici Pártiste » le iiiiuisterj •SMüitdego pas Saídos. preudre unc altíliibp ro qui lioiube, a sou lour, victiuié Le. 7 mars—Ang. Delambrii, Londres «pe Sénat, coinptaut sur lo rospect colleciion do toiu ceilx quo j'ai reçi ?, liiik agressivo. poitr '» " I1-1 será pour moi uu bion uottx souve, tr Moridügo, pour Santos Los "egartls se lournonl égalemenl \ers 11. de la erituilu éptdóuiie qui sévit en ce dos garanuos qui depuis cinquaute ans » » branç. Ville Je Santos, de vous et do l ou te votre famillo q le \V'ii| lock-liousseaii, minislro iiiomént, poup de fiülõrieiii''. protégent Poiai des olliciers, passo a ai si bion oònutie, Santos. j » Aí. Itiboiro avait tenu uno [d;tco dis:,'" persouuage s'esl fail, ., ia Iríbuno, 1'apòíi-e 20. Angl; Kuben. pour Santos lordre du jour.» ^l*" " AAwA-e/io/t-, pour Soulliaiiq*-. J ai lo plaisir do vous Giivo\'or u iü d'iuie liii-se de goitv, rneiiiuiil 1'ouei.ureiiieiil tlán- iingiiotí sur les priucipalü.s scòues do Mais M. Juios Pei'.'y a demande Porleu Pislioutio, ot la do mon rouiãrquable Il scrail liumiuu lutorprólils, der- gcretisc. à reprouilro la Coiisphotograplne pauvre " >• .vil. Ceara, pour llainhoiirg; I dre Uu jour pur et simple, en di.-.tnt: nier lirutje hélas ! oi la íuieune, qui lilution tle Itíjá, .-i cela lui ólail possibie. Cosi tation do l'Acure do Aloiière lui aváit; Krani;. Henri i V, pour |e llavro ' » une serie de Itoulior du gouvoriieiiient rcpubli- dós ie début, conquis la sympathio du Anel. Q/lngurs, pour Now-Vork « Pe gouvernement estimo que ce o,..t celle do sou ínaiheuroux père. YAl'liUIlS ,VTl'l'.\-Í)lJS Recovez, clíer Alonsiòur, mes sincòres caiu. ,lu.-,|ii'a qitel polui tl'arbilran>e poussera-t- public do Rio; voto niarquéra do ia laoou la }uus corLe27). ¦> Aconcagua, du Chili il ses expcrieiices'! I'ar qucls procedes noús Po talenl du AP Ribeiro était rehaussé rocio, la plus conforme aux príncipes de saluiations. *-,v'Villa de Kio Janeiro, du, dolera-lril tlu pouvoir forl d.mi il a éló si sou- pardos qualités personnoPlos ; il avait, la sôparatiou dos pouyoirs, d'unu part, Votro tout dévoiié. llavro vunl tjiiestíon dans ces ttoruíers tenips'.' uu lou tos oceastous, prèté sou concours \ ÃPEUIIS EN PAHTANCE quele Sénat ue trouve on aucuue laçou CrAJtHETTA PtítlE, Hcarn, Souiiue loule, i" cabinel est siiilisainiiieiil pour dos ojuvros do charité et tio ltbo- he 27.. pour Marseille la responsabilité tlu gouvortieinout on2'1Mondegu, pour Soutltamplíoiuogciie, ei vos. rátton coui[iüsó d liomincs desola a la baulçtir ^üs tictus Uuut il sa^it, que í» ton ';M t'ao^e Pal' ile indal, leur m Aconcagua, " interpréiée élé bien loi a Pt Au dernier inonient, on nous informo ; et, d atitre llordcaux pour Ville <=« l*P"ür la prouiiòro fois, [leui-èlre, depuis que de Santos, p. lei lavre, part, que lo í òuat a conliance dans la quo Mino. Pslher do Carvalho sorait à la Itcpiilüiqiíe e.Mste, le pays ei la Ciiaintiro mui lour ;iãi Sãijoi t,lí3 lia sagesse, dans ia íermetè et dans le bon gravo.tneiu attéiiíto ii'cpotisont vouloir du y ¦uvernoiuoüt qui est sur Oótslsii-ííltsoini pas clial en pociio ei s.tvenl oxacleíJ>iBí.ist'<í'i*itíÍ!o Co íatt ost datii.tut, plus tristo quo iiicul, a quoi s'cn lonir .-ai' les intenlioiis tios eos ces banes.» artisles, tous trois trós jouues, sont La nouveau ministòre s'ost presente |'"-'otivüiiiaiii , c arrivos etisemble do Portugal, il i-^ubsiclio.s IltfOA-aiúos ,K: Mis au scralin, 1'ordre du jour pur ot y a par M La dovisc du noiueau niiuislèro est: «Attlodevaut ies Chambres Guilherme niois ;i Belle^arda.- Co no quelques peiue, simplo a étó adopté par i51 voix contro pas dans une* 1'ilé a I intcrio.tu', prostige ., rex.lci-ieur I » simple noticedo bullotin bibliographique Pas journaux républicains 1'aecuailqui! 110. Xous avoiis toul inlcrõi . ee que l'expérionco esl possibie do rendre comple duiio ouivre do lent assez favorableineíit, toar, ou lé- tle cetlc politique se poursu;\e jusquaii boul; celle imporlance. nioigiiaiit do leurs déliaiices pour ies L'ouvi-age est diviso en Irois Tkouí>h itai.h;nni.; Piouui.—Avec de pariies: la pre-, H Pe Journal Officièl a publió le 28 tendances auloritaire.s de la plupart tlu micro parlie.cüiilieul les citations aveccommeiH três modestos étèiueuts, culto Iroupe a laii-üs ; Ia deuxiimie los cilations M iévrier los décrots nonimaut los sous- sos menibres. dósiguóes et róussi à;gaguer Ia sympathio du public. la Iroisioiiio uu indico bibliognipliiquo. Pa iiápübíique à AiTòtoiis-uous iiiis co>; les les aniirs fretnçaise, qui m secrétaires d'lStat. 11 y en a oitiq, tous Uu moinem qu'on a étaüli un para liei o L-ouvrage de M. Ilellegarde est un véritable. tendances ne déplatsout point, e>t Lou to (ICtMãyile snicant .S' Lue) entre ie prix du-- placos oi lo taleút dos WÊ deputeí, savoir; Irósor tLórudilion ; on y suit sansellbrt Ia liliã\'o\iy vous souvene^jSans auoun dou- arttstes, nous uavous plus qu'à íious lioiij dans les langues AlM. Marguo, à Pintérieur, Noirpt, à à PentlioUsiásuie : françaiso ot portugaise, do ot à^uous declarei* satisfaits. inibüCCiUs, cüg te, uus des jeuM cuc amu.soaiou! aiuusomeiic Jdcliuer ,.)1U. lo,. Le cabinel nouveau nous parait fail poit jeti.ü uonuccius, la justiço et aux ciiltes; Durauii, à corlauies idées ou (teceríamos e.vpressions 'ce"i";i''1'L,'"'s Grispino bJvnani , ei faiuilies Pon des douue oit lu lebres euiployóes dos gages ot Í'instrtictiòn publique; Pabuze, aux li- rcpuiitlre ii Ia lois ii Ia situalioii parloinenla,,.,, par de grands ócrivaiiis ou do aux líóccssilcs de la p ilitique góiiórale ei ii Il',,' ai oii los aiiiuiidosso pattíiiteu batsors uieii ^'OÇutorc^mi oté interpretes d'uuo grands oralours. et Paihaut, íuauiero aux trej travaux uances, coiivoiiable. Un donuece pu- leule de 1'üpiiiiPn publique. Si uniis hu sonhai- iouoros sur des j o tios fràiches ut vuI frciions pour exemple : E Urdo | ,,o.i' Linda de U/iuriióúÀuti qui, nous )miUy blies. lous de grand ciour Ia biouventie, ee n'esl pas lou toes, '.•rJe\, pai-ulesdofexordedtt on sütiiiites panógyrique do obitendra persiiadés—n P incident couiique qui sest passo Cos deux deruiors faisaieut partie du tant paree qti'il coiiiple tlans sos raugs quelquo.spa,- Sainl 1'iert-e .fAlcautara, it inoius do Ia succès prononco cliapello lus ouvráges soa-au quo ineàu*e Príncipe Lmuns dc nos inoilleurs amis, nous savous qti'ils uioròrédí qui unpérialo le 111 (jolobre 1854, S précédont niiuistèré. ¦pcriai a evoque eu mui eu souvenir loin- l ont precede sur la scouè dit Polopar le moina sont plus disposós ii euvisager dans le pouvoir iH-aiicisque do Monle-Alveruc. Lettre de M, G-amloctía Pére Eevue do Ia presse FAiMTASSlE ~ les dovoirs ei la respousabililó qu-il iiiippsc, AP Tirard, ministre des íiuances, dé- les inoycus qu-ij procure d,.- servir ia cause íposera tròs prochainoment sur le bir a laqticllo on a voité ses forces, que le vain ,¦! fugilil' cclal qiril apporte avec hu. (Jo qui ,i,,u trejau do la Cli tnibre ie budget (to ISSÍ. faire Ia force de ce ministòre, e esl qu'il nutis il||§ou plutòt une partiu de co btulget, co proiucl, par sa couiposition nicmc ei avani '.®qu'on a]qiello io budget òrdinaive, ¦ — loule rédacliou de prograinuie, I,; reinar aux car ,i ii ... tia présentatiou du büdgefc extradrdi- príncipes de goiivei-neinent donl la luõcoiiiiaisóÈiiairo será diíleróe ius-.iu'à la liu dos sauce a oii do si faclicuses conscquenccs au detlans et aii dehors tlans Ia póriodo que nous ve[iiégociations qui vont ètro engagées nons de ti'a\erser. avec les grandes Compaguies. bolou la , ... ,, , , òiecle , , , ;i. Pi , applaiuPt laçon dou ¦ isolution interyiendra, les Po qui graud Iravaux do chointns de fer soro it contitiués par" les Compaguies ou po irsuivis par 1'Ptat qui lus a eominencés, et tlans co dernier cas un appel au creu:;, public doviendrait ne cessaire. Ajotttons que le ministro des iPuuiees fera reutrer eotte a ,iój au btid-j-ot ordinaire los 1'rais d iiiíretien du corns iPoccupation do Tiii isiu, qui s'éiévent à ^õ millions pour Patiuée et qui avaient gété jusqu'ici cousidóios comnie dépenses M. Juios Purry a combine ses choix, dans io but d'obtenir uue uiajoriió plus uouibret.se: tain. A propus drino couttístatio.i outro lu direeiour du theatre ei sou propriécairo, lo public qui, cjuu fois, u avait pas ou la pomo tio rotoiur sos placos au bureau a pu joitir du spectáclo inédíc d uno sui io do fonctiouuaires plus ou moins gradés s'arrôi;aul les uu> los autres uu auivaut Peoiielle oliroinatiquo üe latitorne que leur confere leur grade. Cest 1 ii)'Ouno, lo modesto, 1 iuiiine ageut do Pautorité, qui eiitro lo preiuier ou scène; ii metia main au collotdu paiticulier ; survienc ie /iscai qui n'otaut pas du tiiòtne avis quo 1 urbano Lartète a son tom*. Arrivo io suüdeleçjado qui,apròs avoir eucoudu ies raisons dos plaigiiaiits, coudaitute le uscal a la prisoli. Alais Pt ventio tle Pavòoat du Les Ilumines qm í',',il partie du cabinel du 21 fóvrier sonl Iros-cüunus pa,- leurs laloiils et ¦¦•i ivui leur expòrieuco ¦ *i*v»*w *l«. < «"«V i t i i > in, i ee 0'JIM v.'*-" 1 ui t;uui L~-'J ** sonl < de I i;3 ; vi. polítnpie par j H'yiiviivi. [¦¦ j l'1 Ilumines de gouveriiemeiil, donl Ia plupart uni U aceusé cliauge üiontÓL ia Uice des ev déjà lail leurs preio.es; ipielques-iuis d' ..Uv | nenienls ; a son Votii', :1 invico ie subdti eux sonl au premir raug dos oralottrs du i ir- legado á .so coustituer prisouuter ; ouliii lemeul. lis joigiient a des eapaeilús j>'olili(j ies arrive io Chol' ou Pol.ee,,. iN.oüá avons cru un iiioineiit qu'il surincoiiteslables le prostige de 1'cloquence ; ii : ms ces litros nou.- croyons que la Ciiambro ei ie gtraii uu íiiiuisito qui einprisonuerait ie Chuf de 1'otieo ei puis emuile... un pays leur tcronl le meiileiir acciieii. UlCUiilU. L'atttour rappolle dans ses noles qU0 co mofc date de la róvoliition de Juillet 18110. Aux con.d. Massenot, frère du célebre auteur cossions lardivcsdii roi Louis 1'liilippo. Lamard llérodiado, ost do passage à Rio, ve- Une rópondit siinpleuiont, eu eiitondant grondor au deiiors 1'orage populairo .- // at trop intui do. liiteuos-Ayres, idrd l Nous estiuioiis Ai. Ilellegarde vient do M. Massenot eompte ramenor uno rendre uu immeiisoque serviço aux ócrivaius brósitroupe du comediu ot draine dont los lions et porlugais. La preinière partie qui vient princ patix stijets sui-om empruntés à de parailre,sera suivie tle autres plusicurs volu, la Gomàdie tfrunçuise, à VOdóon et mes. I an dudüoUlc; cot empresário va en A u.vi liatlor da 11\ a u. s t ri a outro, fairo une nouvelle tentativopour :S;ioional.- II inauquail it lindustrie nuamouur Sara li Peruliardt ii Pio ot à lionale uue publiealion spóciale. Pjiienos-Ayres'. P'engagenient de M"" La nouvelle publication que nous avons sous Agar est cortam. les yeux, nous parail remplir aiíiplenjeiít cc bul. .Nous trouvons dans lo premier numero de rePai., dks Tuxentus et des Políticos. marquables articles sur fóconouiie indtislrielle, — Ce sor, Sainudi, aurout luu dans le 1'iniltislrie Nalionale, LAgrieullure pratique. J íocai do ces doux Sociótés los bals de Ues dounócs slatisliques três prócieuses elo. ia lin du careuiu, qui, nous Pespèroils, 1 to vista Agrícola do Imperial ins* serout aussi briliauts que coux du Car- tituto Plunüriensa de Agricultura redigóe naval. Al. le Coiiseiller .\icolau Joaquim Aloreira par — Cetre re\ ue a pour but de vulgariser aupròs des agrieulleurs cerlains procedes de cullure Ci.LU Ci.:.\n.v1!.viii-xsk.— Pu éhigaiit et encore employés dans le pays. Klle oonstiar..sU)C!-aUaitj veitn doré sur tranche tue aussi peuuu guide précioux pour ccux qui veuiiuiiò auuonçatl quun giaud bãl paro ei lent sadonuer à des cultures speciales. La remasque devait avoir lieu ce soir, dans vue cui.l.e.it, enoutre. des donuees statistumes les salons iuxueux du Club. t IMC II I 1lles l,W I I ... * *-'olls"lter ' a tous les fois ... veut • ,, les ,.,se vs qu'on Alais u'etaut 'iiagistral plus nane en grade qui enverra.t tout le ministèro geunr sur ia pai lie huiiudodu ecudrez. AP Jules Ferry euteud que ia présiLe itoiivêau intiiislère bõnéliciera toul daijord iuanquait uu» il^ •^ ne '"«"'tcui de ia uras., .. musique que uom preparatifs eU." lor,uor u"ü idw du ^veloppeinènt de uence du Conseil ue sou pas un simple du besoin qui s'esl si impéneusemeat uiaiuiestc d'ülieubacü a cette pas paS enPagricuN ,,; tr í a du r reuvoyer potiie sceue i oui icu.o teuuiuts, io !oiuo 'a| turo au lü-ósit. sWê fcP''il0r''uulire;í— , 1 Pu 1 Cnips o-t tout au nouveau cabuic-t: aussi favora. io A I^e MoHsager du Btr/Sail. ¦iit|iMiiiiinirinii: n iiiriii iimiiiinini nim nmiiij i Oesíoflption do 1'ápparoll au.l-oui.utl<j.u.o. iiulioaloiir el oxlinuloiir da feu, invento par M. Folix Balir (do Varsovio). ltolaofio 1'ocmuiai'io, orgnnuú sur Ia domamlo ilo S. líx. M. io Chof ilo Polico, pour les proposilions do fournituros do médicaments aux inftrjjierios de VAsile] do Mondicitú et inaisohs dõ détcation par M. lo Dr. João Pires Farinha. Uinlào Módica.—Numero du móis do fóvrier. ggK&Cudos sobro a lil>ortaoão dos escravos no I3i.-ay.li. par . M. .Anizaut Furtado;—Elude éeononiitpie d'uno haute porloe, dans laquolle scnl exposós tos meilteurès metliodes h adoptor pour faire disparailro resdavsge du Brésil sans eauscr do erise au pays. Les journaux, le Voltaire, la Gajette lutarnalionale el le Bulletin Maçonnique de Paris, ainsi que Ia Tribuna /Nacional de BuenosAyres, onl bien voulu aecopler 1'écÍiaiigo avec le Messager du Brésil. L'1íconosuste Fiunç.ais» (bureaux, 2, eili Bergòre) rédaoteur en ehef, M. Paul LoroyBeaulieu, inembre de 1'Jnslitut.—Prineipaüx articles du n. du 17 fóvriór.—Lá baisse dn prix du blo et la liattsse du prix. du paia.—-Lc socialismo parlemeiitaire el les luis spèeiales.-Les importations et les exportalions do Ia Franee.—La siluation eixmóiniqiie do la llongriò. —Lo inoiivenienl de la population eu Franco pendanl 1'anuée 1881.— L'industrio des trausporls ináritínies dans 1'oxlrènip Orient.—Les chambres de cominerce tninçaises à l'étraiigér.— La deite publique de la Grèce.—llevueóconomique.—Nouvelles d'outre-iner.—Kevue iínniòbiliòre. — Parlie coinuierciale.—Parlie linanpièré. El Mundo Artistiso, journal de musique, tliéiltre, litlórature et üeaux-arts, publiú a lluenos-Ayres, par la maison llarluianii, donne cn supplémeul dans sun numero du 25 fèvricr, uu Mocturne pour piano, par Cli. liovy Lysbecg. La Nouvelle Kevue. — (llureaux, 23 lloiilevard Poissonniére).—Sommaire de la livraison du 15 levrier.—Cíeoiuie Sa.nd : Lettrcs a Gustave, Flaitberi.—íiL Eu ile Lutei. : les citemins de fer el le budget.—M. IIeii.mii.I) KeyNOLfl : Correspondance de Louis A/1'.— M. Ernest üaudet: L a Car mel ile (première parlie).—Al. Jules Coute: UEcuie Française de Jiome.— U. Anatoi.e Fhasue: Le Fetít Bonhomme ftihj.—M. Fuancís Pittié: rPoésies.— M. 11. de KoitMEit: Kevue du Théátre (Drame et LouiédieJ. BALIVEftNES Lejeudi saint, on sert de ia mortie chez M. X. Nbonbo, qui ordmairement ue peut pas la soullnr en redemande irois fois. La more três surprise lui demande la cause de cet explu.t. Cest pour qu'il n'en reste plus demain, repoud níioiiho. pour ru>u V? CHARGEURS RÉUS 131 Rua Sete de Setembro 131 Le vaponi' 7I;£EI.$ESA;l!l:t).S [íistallaiiòi] d'unc typpoTaphío amóricaiiie, avec machine LIBERTY pour les Iravaiix do luxe tels que: Factupós, Ciiculaires, Eiilèles de leLires. Momorandüms, Prix-couraiits, Caiies-annoiices el. eu general luas les imprimes de commercc el, industrie partira potii' Rj.li . "" )|J li íi ü U.& ,'ui"tii.-,.;: avee escales à BAHIA, lo 28 mars à midi CONISÜLAT DE FRA^CS Lo vaponr A PSRNAáBUGO l.e piibliucslpróvoiiii que PIítaíii.issejibst m Pi.iofoiiiiAPiiiR du sietir FHANlIOiS LAlíADlIv. sdno.rua do Bardo da Vicloruth Pkií.vajíhuiíÍ Icès liieii a.dnilani!,' parsa élienlòle brósilicnmet ctrangòre, esl mis en vento par suile du dii,:c do sou propriélairc. L'l''.l:ililissoniont será mis on adjndicalinn I, loavril prooliaiii, et adjngó au pliis oilianl el dernier eiicliónsseur. Pour Ious reiiseignemoiils, s'adrcsse;' au Coívsulat ue Fiiàxce à PliitNAMilUCO. SPÍCiAWTJí POUR OARTIDS DE VISITE Í\M M EIQ IIMÍEÕ ^•>^>t;^^f^5« Iitipressícacl^ixv-agüssoientifiiiiiés et Httêralres oomm© atliiiidu dMÍUHOPK ei escalos, le 28mars, parlira pour Pour passages ele, s'n Tradüction en français des puyrages publiés en portugais aux ;i'.'enls: Aa^ucíi^ Loulba £u G. «Sn i \. usx |P- A i ! í* n d : a líríl M. 50. BAKliN Pour riiisuription de noiivcaiix souiólairos. ou los deinantlosde áeoottrs, s'iuiressoi'íui biirciui de Ia Soeióté, iuje nova uo Ouvidor ,\. 3(5 loirles jours de -i 1/2 à õ lieures. Pour le comitê, lo seerétaire. Spii-, . C.h. COiNSOLATS Á m te\ tt\ 'a! '- ów V.'. -'i-í-s x. ^-i ¦-:- .* (' \ ?.«<*,';,.*; .•fc.v,*t.:',;,í-*-- ',-! f? ''. r"f:?-r'. iK\<1 .. t A £ ' -.-:¦ y K â i . 131 . \! '-33 ^ # ^.,rçs.T;rírTíKESj; *i Jifí.Ui'» VAI-EÜR ii- IjÍTjÃÍnlIUO L0r>Q:l > r ^jVÒHoal."^^^^ Le capeiii' FiiAxia:.— liua dn Gciicrãl Câmara n. ."iõ. AuTOiiaiE-iloNiiiiiE. — llua ,iit Allandega li. 40. Itai.ie.—liua da Quitanda n. ¦!'.>. Slis.se.—Una dos ünrivesn. 10] A. PoiiTUiiAi,.—Praea da Constituiçào n. 38. 0;t i>. i joj-ja ai 1;.i'o lisi'.\ii,SE.- liua oiv tU> Setembro n. CS. arrivó dMiUHpPií p.-.i' lo ÜIO Dii LA PJ.ATA ÁxiiLETEiiiiE.—Travessa de D. Manuel u. 2. parúrá pour l-.TATs-U.Ms.—iíua du Visconde do llattiia n. 30, J3ai.'coSou ü ;>. Pays-IIas.—liua Fresca u, ,r>. Ai.i.E.MA(i.\E.—Una da Allandega n. »3. d c: sj cs llússiE.—llua Primeiro de Março n. 71. rs":iplOí9. Danemahic.—llua do Thcophilo Ütlouin. 50. Io '.iõ .Mars á iiiiilí. ájJ_EDE'ETiNonvÈ«u.—Una 1'lieopiiilo ülloiii n. si. Pour ii-.M.-i, passagos ei. loules íiifúrmatioiis Cpnkiíd. AuoExri.vE.—luta da yiiiíanda n. 11,. s'adi'essor che/. los consicnalairos Uiiuiiuav.—llua Primeiro de Março 41. Paii.uiuav.—llua Primeiro do Marcou. Dõ. Kiixl Talais áb G. 34 34 RUA DA ALFÂNDEGA O.u. cloiüaiiclo i>oai' io iiiUKSSAÚliíl J.IÜ UilíisiL» un o o ii courtióidaanojicos conuai.siaiH Xjívh. ia yiiioo. Vitkíi' í tu rins Jo Tiaínres Proçreaaives Bi! g . r.m.-ciii-.vruxBi.AMis " [, ÇriJLSIVH -ji'iiiillSi«r»iU'íl!»üol!Cífc'tíiis»BfW 5Í !*:-HJ}'.^>T^ 1* 4ir--?'.j us ~~V;:7,. ^. „* Íe!|M-JwB'SBit'Hs6ii f" •««/ ninou S-ftilTSilá SSíiS^rira ORíifM -; ,i«W«ía. ¦.. VÍÍ5Í.Í» J ^ ;,"'^!.. Sr,lfr3n.nnorili",alte«ut ¦í . SAVOHu sulvtnt Ia farmuleda % '!'.' u -°' 5 ctvrt. K "¦•»"!« B '£ »iSÍ,;íi|n.!iavei««»»i»'B.i>r,b? ,.';• ?..'/'Vi «ir«inlimriwlnwllí. D„ TOUT<3-WIIÁÜCM^ ^ ,j, |,i-.-. y. ;i Catto C.T£*.;E adoucit el iilanclu*. ia piaus i Parfcms A ío is lua Souçuels fe g % $ ' avíoüb liquidb , W ¦\ tieHeuri.patmlIm | $ ^rríila'astpasb^.nindoLAT3RlâtilS^J ''..^ aaopws p.. ia raofld.. K 1 || Appl.lcATI'ON "'* ?. g ^cJ tóa ' ' " ";:'• ¦.».'•«"''-M ..i.cj ~ Rtüultat immádlat immádH d <:ii ~ :-::r .VÍ' '"Í;j -:'í „N°t3Cha "ao " """-. r'l?'-'.':!''lff;:'cri=5' OÜTIS ffl| í^ 3;S pp;"í\.. )fc-l,5JUl£ i" íi,,„• r,..¦•.;,-ur ,.U;: No «ult jsmult i I» SUtti, .* .3 UluiM P0Ü0££ l/e tí:!,/,' I oa ff/Z' Bj% {>! hiu l«a Ciloan, *Ml6l!í stlhércnuiiapcau. %||ía l^i^^^^íBí^f'!"^^"' J" "-i^Ur-.^r^vrv-cíii^*^ Produiesmllei M Je li ?êcbe. '^'^^^sáí?-liilliii.ii.aDül, fRjWfÀiHHCÍeti b. €*I5?í'^ã."*$IS1ji5 DESixile r>oiiZ' les Clioveioac. ( SIS J.gJElFI-E)^ /: P3li3 ¦ JiT0^3R.aiCJ^gs 00£TTI?,BFAÇ103SrS. inwwt -¦*;*5í7íiV--'^'-'','r?* i rio Sairit- Mo WIS AUX GOURETS 'ülive vm > ^u MâlSOI COSIOPOLITE ' &a-7S,S^-Igg5SÍ> de L,« LEGRAiMPt Foürnisseur de ia Cour ds Russie. s,-^ K T 1? f" r %r -,\ .ij ^X.J:sí,Xji Jüj w. £» _ TfiÀKfcORTS M'\!ÍIT JS3 A l'0'l FMSp «"ilíSFlllíifô-llílUMíTES » SETE Is BMÜTE ÉTMJIX81LEii la PBAUobtsm parTasag» dt U «©'te <,t\ 1)1! 25 AU 31 .MAUS I6.E4 Aí-c' Wí FRÀKÇAJSE DX BOFA1SAXCÍ C0MMISSAIIIE nE SEHV.IOE erffi Istra-fine &q Ia saxargiiè KIGH1L & L00Q.U1S (ds Grasse) 109 RUA DE S. JOSÉ 109 Ce produit de prein ève qualilé, sans mélangc, d'nn arome parfail, so recommanda part.iculiiireine.nl aux nién.igòres, reslauraril» de premier ordre et aux vrais courtnets ¥§ :i i p !i ío e 2 IL <¦¦ o ?. > o 1 d 3 £ I na E <jí-i*..'-. «O»!'.', liu t>2.V?ttil üépòt chi'/. MM. Kiiaiioiiiooof «& o., llue d'Alfândega 38 et M me Vo.uv© ííojxi-y. Rua dos Ourives 4"/. Pri.urc a Ious les íncinbrês du dil att. •. do Tailletir, propíiülairo de ceie maison, fail eoinparailre iiierorediüd mars. /&0S^ri^>3SíMiwS?âtt^ & pari :ni public qii'il se chargo iln travail ou loni j,-..A-.i;'.iviJ..'.íivl-ii^vVi;-;!-.»\in.-í!i'i! genro, sòit vèlúincnls sur inosurü, cdinmc.dc £W AGAÍ)ÈMÍB DE MÉÜECINE D?.! FARíã Le Secret.'. toiiie ospòce do réparalions, a\oc elégãiice o! <--L Cleitwnt; ert.clii.:). sE^r,"-'--:^^ ^a? íf P4 PUIX .... Après ií jours do róllexion, 1'liunui'ablo seerútaire de la Süèiúló bVuinuiise ue Gyiiinasiiquo viuiit dócliiror, ilnus lc Juntai do Oonunerofo iln '>i;i (iourüut, qu'ii ao relevo que du i-t,iuiiõ (ilont* sypliiliüi.cji.-u.oas ot Uo lá pèau| il est seurútaire} oi atujiiel il a rondii eompte cio sos notes, oi il njoute iju';'i in róuriioii Uu 11 con. raiit, il a pariu on sun nom. Si M. Brelon a parlo ou son nom, il n avail aiifuu coiiiplo á rõüdru ile sos autos au comitê ; il est dono bion cortaiu, aujotml'uiii, que cé SPEClALÍSTii; Monsieur a, par sa lcgureiú, ouyagO lo cumitú oi que oolui-oi t!ósit'0 Oli'o ilügagó ; mais la dóclaration do M. Brotou no 1'ail qiriijryraver ia pasition du comitê, puisque lui-mCiué nlliriiie ,ju'jl ;i De 1 i :-) lieures rendu compte iiueoiniló dos paroles iiiijiniitontos pronoucóos par lui. Dana sa ilóolaralion, lo scorótairo ,1o d .Si,j ' ' iiision scieiililKjuo. clété J?rançaise de Gt/ninaslitjue, n'cssavu pas esl deiioiiveau i Ia disposition de ses inalados d'attóuuor lo sons dos aocitsaiions portóos par tous les jours do 1 li. i :i h,, me tio tlozario 1SK lui conlre lo comitê do la tòto du I i JnilLut 1882, Sou silonoo á ool oi.";u',i esl une eonlirnia»>íj. «jíiiitaí, arttsto cortlonnicr. Bottion, ot los lionorablos inuinlires de co couritó s.iuuoa .Mir uiusure. l'r x moiléròs. (Jl i|u'imo individualité sans vout tüijoiu'd'liui t'ua cia Carioca— i',:'° éliiíre'. maudat a voulu t rair luur rüptlutioiV, Voilà la vérilo. Eucore qüelques mots : Monsiour Urcton, soerétairo i.!'iino Sociútó Maladies de Li fannw et inaladies Française, davrait savoir: r.ervatses 1". Quo ee uVst p.is la (!}/mnuMi<i\ie qui esl :17 ,1 à íj lieures.) X, iu:e ues ouiúves franqaise, uiais bien la üociVtó, el quo l',ni doil diru Sociélé Fruneaise de tíijinuaslique, ot non Sociélé de Gtjiiutasliquc JtCnuiçaistt. :)nD 2°. Ün no ,lit pas: (/ proteste le plus profond mépris, mais; DU i'LL'S llevisla q ..i.cnal ili.slr.tda ile literatura,arte Sur oo, jo sijjne : \ ciências Labora, asselh', quomoáo laboraci el proderil o. í. i-orrer. ouííoi', a. rue de tlbi. JUUUíLÒ ItplüilS Dt- SILVA ÃHÃÜJO C.3 Rua do Goiiüral Gamara 0;i: M /mm , :-.a J3au mir-érale ferrugineuse aoidulo est la plus riclie en /h' el en acide carbonique. c;:.;| r-elic E-..A.Ü- est sans rivale dans lc tratlcmõnt dos GÃSTRÂLGjES - REVRES - CHLORGSE - ÂNÉIV1IE toutoS les íiiiiluilics et I ;7 provenant de UÂPPA-UYRISB-EiHIjEN.-T i;KSOCIiJTE ^©^ O.pNOESSIONNÀiRÉ. 131, DO SÂ^JG Boulevard Sébastopol à PARIS -mo-de-Janeiro : HERMANN SCHLOBACK & GOSTA. ^Deposiiairo à <teawfíiiaí*«'iW' ^n'tf iv.-jiãDoijaa.'iíiàéawü£&aaaSt Jc-. -^j£S&iiji«£Baici;i:,,{^S£^ii ¦-•J^*,''t!^^»>-'--''-;iu-^í--''--r.(-.-'B"t--.'a^.'i"' "-^^'ii'-^^^ç^^-i^l^---í^^''-^.'^'^''-5^'^''^'.^ ^'',' r§"% f® ipà ^f w' sfl 0h W hí£b^ *!íai^ *m? I BicU ,Jí .'í y®m jl vi', v !>.' 59 _fi''. ii' -i ,1 sfeè^ £^iâ Sal w;« i'.i,:-;j mm Pm 121 /ri wi3 ^ni5 ¥.:,> .'n.3 &•-'»,— esS 'r«l?3 r?! fãm? mm 'ísy *1 \^m *êS M> Gouârén de Ganyot sert à préparer une eau de goudron des plus efiicaces et agréable aux v.,; |7 estomacsles Le plus dcJlicats. Jl puriflo le sang, augmente 1'appétit, releve les forces et possede une grande dans loulcs ics inaladies des poumons, les catarrhes de la vessie et les affectiohs des muqueuses. |.' cUicacité Í5ciw<ívtss» de ÍSttsyoí a été experimente avec un vcriiable sueces dans les |3 Le principaux hôpitaux de || Franee, de pelgique et d:Espagne. Pcndant les chaléurs et en temps dépitiémie, il constituo une boisson des P.Uishygiòniques et présenatrico. Un seul flacon sert à préparer douzè litros d'une boisson des plus salutaires i-i Le I5u«iía'02í de GssyoÉ ÀâTFaSÍEilTI^lLlE est veadu LeDr, L. Coiity,''''n;;,"irf, .c"ex" en Cacoiis portam sur 1'ótiquelte la s|gnature en trois couleurs Vcnte au dilail dans la plupart des Pharmacies. J&> FnJuricaísíMa et gpos : SUaSsoa L. E^SEür^í ei Ch. rF4S>SS€SS«.^, 19, ync .laeofe, Wawio. Dr. POHCY U > Y AMERICA liennes. i 'ai'..--; l'!'.iii..i.!i A.NO lo. .-l 1'L'liLICAClÜ.N li Juilloü I:-'.;-;: t rur.cios uv. scsiatuiov L"n grand nóiubró de fraiifais coiuiit,, sur lc liu lüiropa, un ano 12 francos. » patriotismo du Coiiiiié du rannéo pabsóe jiuiii' Ln Urazil, i nesos oro. yonvoquer ia Culunie. Se suseribe eu ta adininistration dei M^Toa' la Republique, .v.i^cv au Brésil, x^% Vi KCONOMlÓüKS UU.\ BlíTIi 1»K SKIliiUHKO "i'/ • Cl.. biAS KT DOS OUIUVKS I ¦ - , í ESTIIE LKS IlUES ,. riúsilicii ',"• «wiuuw., .Atu i>ocaí,totüii,;j^, I A jipe a lutite iiuu, I Jl "uxiUC-o ;.« swu í-ts, to i^»;Spccnii: L-: A. UL. iu foniuio ot voies Appareils Corre urinaires. uiuot: i». kJ,ím,.^. cio *#àfv ^."VIS Aux concours pour les chaires de SUppléants à 1'Ecole de Médecine : Lorateur a pris pour thème la question des principes yéneruux ifbygiòne. Que doit-on faire, s'òcne-t-il cn atteudaiit le inédecui ? L'<ll Víí |,,i S, ;.. ; •°,--'. — ú. ma d,i Son tostament, c'écriu un aiidi Uriniiutyna u. •!.;, ,s,,ij teur. ' ° ' i'1 ciiirni'-k^'H-.,-vííV " LiR A, Íã U.Uk,'jit !,„,,„ ue lál-acuito Vn. ue taris. üoiisttllations ii,' , a / líourçs ii sou catejooiòtó Lfx^aiioalso O y .ni n us L i >x u o ^mm ei mmmflÈ Mlliâill 11 TÜBli- íi A.isrisro^TOES IÍMILH ALAPIIII.IPPK comorolò tou:-i sfsooinpatriotos ottou.!:) iSois aiixlsj» tiixl out aooompaijiió h sa tlocixíòco clónlouco son épottso í-oiçrotcóo LK0NTÍN15 ALAPlIlLIPPIi-,-ot leur témolgiib touto sa i-<ioonmiLw.sníií.!<:poür oet aote cio syüixuaLlii©. •^ IjiiJiJilf \ DS TÉR*:v:íbi3»T5ÍSÍ«5S oabhf nt o:t q-uçlqnes minutes :<r,s MIGKAIMES et MAUX ^.., D:., ^.^HW? TL^b les í>í:íg J^oleata et les KALADKia DU POIB, Si Ia doso de treis eu quutre perlea ne jaocíi-íisait. pas po:-cn t apres qvibiquiís i!:stan:.s, ii ccíi-ti-aiiuij /-j^ ^ da contüiuer. Cbaque flacon contient tronte¦ perles. l?our avoir Cx<-ff',^-^*\ la prodiut biçn prúparé st eiücace, exigei' ia siçn.atiu*e •^-—•zr—^-.-^j Li;*íb PSRLSS D'ST1ÍEH sont ie re/nède excelicr.ee des perSúUnüS /"> n p.ir 'évànóuissemeats 'dfcstoindc. aQWSüses, sujeite; aux èioiiffémèntSf iwx cràikpes a::x CrV^ et elles dotvent toujours avoir sous la main as prèciiux inéáicatr.cnt, Exieer ia signauire : "t" 5 £<3>t •arcnv-s de sulfate de quinine (deux e certainc. £:les nc caüsèut grãins) pur, Aussi leur eiíicucitd dans les cas àô üv: ni rdpu;3;naace, ni dc^ouc et s'avalenc tr:s. taciíemei.t. Les pcr'es cie quinine se conservent Q/í"<X* indéiiniment sans s'akérer. II est absolu.menc indispensable d'e.\iger la signature :' <¦"¦"' jj^i vt-K>— Vonla ou dctail císüe !.i plupart de» Pharmr.i.i»». Fabrioalion st veato ea \\ Ti»p íu ,.w.^ '</«> ' gros : Maison L. FEE3S et Ch. TORCKON, 19, rua Jacob, à Paris. _^_ fiFÍSp: Una pfdJISrí 131,-CMWlèm da la wwqd üouchaud et iievey,- Maçhm? Marinoní