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Rio (lo Janeiro
lVòvinòós
Pays de 1'Union Pòslald
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(i móis
3 móis
1 an.
2f?500 58000 Kijjnuo
(>})0()0 12|}000
30 franes par an.
Le inonlanl dos aljonncinonls ei des annoncos peul iHro remis h railiniiiislralion
cn liinlires-posle de tous les pays.
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;ur-íi.>'jf'^;^:vv'VxTtf7-ea_ajtí.,u.i-iWk xrvsx
móis do Novembro, trois iiulividus parmi coux qui avaient élé incorpores do
1'ivo force, fiirent assomniés h cou ps de
batons, porcos do cottps do bayoniicll.es,
et decapites cnsuito en prósenco des
léinoins,
n:, Puus.
-.'.-ísxr* trxrXtZOC MTOBnWOCee) x
".rj-war~o«;rvr«auu«t
su res qui, cn parei I cas, facilite,il ia,
i 1 faut
aul que la iiiniieri se jiiMilui- il iii'Un.,|H)iii'vu ui
¦ i ítit som de los iirorecliorcho de ia vérité.
faul qo.* coui!)lète ei amplo
r
iiüii-sotilonioiíl
cniilr.) los horbos
j.i lice
Les officiors ou soldats dti bataillon. soit lati
• i- cola, onvuliiraiout rapidomont
l|UI.
Hio, ?¦> Mars 1; 1.
Lliori:/,on poíilique sVibscnrciJ tle l.i pliuitatioii, m;ii> onoorò contro lo
pouvaiciit-ils vraiscmblablemonl déJL.es crimes tle Pa^go'l>'il |l'i||il;i.ut '''
po5or conlre leur cbef ?
f Son do
jour ot li 1't'üid poixj»bis ,':i plus il i culèdii ui.
ii.ml.
lu
mui,
11
osl
II y avail aussi dos rcchercbcs u r|u'ob tblo quo, pur
IjU lievut! Siitl-Xiiiéricttiiii', publi
Un journal de IVio a publió celle seu.Uyy-r
coutru
los
liorljüH, M.Nóry voui;
Deux jours aprés, lo cotniiiaudaiil gentes à faire ;i, Taquarcuibò. I n dis- daus son dernier numero, un remar "i
mame un arliole dans loquei il est dit
ili Iív oarpu, Lopéraüon lu
parlor
',]
Joaquim Santos arriva au camp; il lil parition de Saiicbcz Caballero è ail de quablo article de
plus
"llll;'S '!!:l a [nul
quelaffairo du Passo-ííondo peut ètre
1 luíniblnot li plus loiíguo du oollos quo
ranger les Iroupes cn carré et plaeer date recente. La lerrour règnaí l ('alis aux rolalion:* des deux
grau les puis- doivüiit tairo lus inalhoui ii\ osolavos ;
considèrée conime terminée. Ce momo
au centre les aulres prisonniers solide- cetto localilé.
sançcH du Gonlineiit Siul-Amé icain. et il rió igo de luiiis tiiro les soins
journal, ajoulail quo les déposilions ment
quo
il
distribua
Pòtivait-on,
eu
ensuite
tonto
conscionco,
garrolés;
se
L'écrivain fa.il ross.irl.ir ave iiiií* 1 011 IMII . oíl! contre lo soleil pendant lo
dos témòins brósiliehs élaicnl contraiului-ínème entre ses soldats deux dou- declarei' conlre le frère du dictalcur mhrvoillõTísü fialiilcfój I s raisb i
ctoires à celle.; qui avaient été failos
qui j;l!li' «t !'' IVoid ponilanfc Ia nuit : los
zaines
do
Ibuols
alors
ministre de la guerre et designe poitnaieul faire surgir un ivouilit. I cile pr()iliioteurs ún café Lrouvoraienl poutconfeciionnés avec du
precede m me n.
cuir tressé de deux doiglsde largour : pour oceupoi* Ia présidoucoà partir ilu ces ligues qui leriniitonl uu rticle oi.ro daus c^:r•, amélioratioiis, inconiiues
II est évident que ce journal s'cst
trois parmi les prisonniers furoiit dé- l"1' mars 1882
prècédemmenl publié à ee sujei:
jiisque-1 i, ios remèdos aux dillicultés
faitrécho de bruits qui ont élé píopadont il so plaignoutsi justement.
signos pour subir le suppliçc du fouel,
írailleurs, il nous parail superílulu
., || iíc siilíil nastle rés uidíe la
ques-l
gôs pai* dos organes à Ia dévolion du On aclicva ces niallietireux à cotips de d'ènamúrcr toutes les
plus loin :•< Dos caféiors sont dono
circoiislaiiccs tion tk.<, iMissioiis, eu réaiilé, malérii
Santos.
présidenl
crosse de ftisil. Les lémoins ajouteiíl aggravanlcs que le nouveau procès vienl Ipmotil peu imporlaíite; i! faut ètudiet [nusquo toujours eouverts do llours oit
do ti uils, ot comino coux-ci doinaiidout
Le dossier du nouvcau propôs iasei résoildre toutes As nutres tlifliciiltés
que le commandanl élail présenl ei quil de mellrc en lumièro.
oi.iyiroii
requòle
du gouver íemcnl
laurò à la
quatro móis pour eompiétor
11 nous sulíit triiiYoquci', conime i|ui pcii.vont conipróinctlre les raiipbrts lour
prónail sou malé pendaul le suppUce.
iiiaturité, il armo quo ia reco 1 to
brésilien, n'a pas encoro élé re ms enLe journal A Pátria a avance timi- cela se pratique daus toute instrucfioii, cordiaux entre cot deux pays».
•;<' fait pour ainsi diro saus iuterrttpIre les mains lu ministre des Affaires
les
de
racCtisèc.
Ou
Cesl
doit
précèdenls
demonty
ce
s'agissail
de
répression
lésir d,* ré- tion.»
probablemenl
quil
Klrangéres du Brésil.
avouer
SOlldr.e louíe.s Ir* aulres difiicultés qui
conlre des tentativos flagrantes de reLos iiombroux fazendeiros do S. Pauqu'ils sont dèplorables.
On ne peul donc encore affirnicr
lo,
Nous
avons
Pio, Minas Geraos,.qui lisent dans
vu
a
les
foncliúiiiíairos
bellion.
poussé les deux gouvernemeiils à
rien de défiuilif.
ío Jornal do Couiinercio, ou aillours,
II y a déja un progrès sonsibíe ; on les plus eleves impliques dáiis l aífaire coinplèler leurs armeineiits et á réforMais loules les prêsompüons 1'oni
los
articlcs do i\[. Nory,selónuoroutcoret
1'atroui. Ces deux itaiiens nicr leur inari.no de guerre.
Volpi
supposcr que lc gouvcriicineut brési- ne iiic plus formellement, comme au nonf èebappè
tainomont
do voir un Présilion qui écrit
que par mirado aux
on
ne
soutienl
début
plus
que
jamais
,1,1.I
i
.-ii ,.
\-1-,,..
I.... , i",
: ,,.,.... .,
clisposé
n'esl
à ôtre dupe, une
lien
'j-ii'1- (>'
pas
ío
caiu, iguproí
oo ([tio
suites des tortures quon leur avail,
fait
ne
s'cst
passe.
tout lo mondo sail au Urésil. Non, Al.
Íbis do plus, des déclarations inciison- pareil
iniiigées.
El, los crimes commis surdes
On.succupe boaucoup do propiigando Nefy; ia récolto
11 s'cst donc commis un crime à
no so fait pas saus
gores et hypocrilcs do sa vóisine la
Espagnols,
des
Français
etc.
ne lémoi- du café du Urésil, mais il faut avouer ínterruptioit;
Corrales
comme
au
Passo-Hondo.
la
maturation
Republique Orien tale.
commence
gneiit-ils pas du peu de cas que Tou quo los moyens omployés sont parfois d'ordiiiaii*o ou avril daus la
"d'informa
do
Aux
demandas
Lo
Globo,
Le journal
lions de la fail de 1'existence
loujours bien
des étraiigcrs daus singuliers. Nous vonons do parcourir líio ilo Janeiro, on ma: dansprovinco
cel
lede
S'.
informo, et d'uno grande modération, a Lègation du Brésil à Monlevitleo,il fui la llépubliquo Orienlale!
uno brochure inlitulée: Lu. queslion dit Paulo, ot lu cuoillo duro
d'ordiuaire
exposé, dans une série d'arlicies,loules répotidu de Ia manièrc la plus LiaüAssurémcnt la Franco a bqmbardé Ca/e; ello ost sigtióe do 1 -autour du trois móis ; si o! Io so prolongo
plus longla
tainc
ot
insolonte
les péripélies de ce arame bideux.
plus
par le mi- Alger pour des inotifs moins sèrieux. livro introuvablo : Le pays du café, tomps dans certaiuos expieilations,
par
II existe cinq déclarations faites de- nislre Oriental.
Le gouvcnieincnl brésilien nc peut, nous avons nomrué M. SaufAnna Xèry. suite do riusuiiisaiieo do maiu d'oouvre,
Elle a été distrtbuéo à profusion
vant le Cônsul du Brésil, precises et
Enfin, nous ajouterons que pendant sans compromctfre gramnent 1'hon(on cest tant pis pour lo propriétaire qui
ne
dit pas aux frais do qui), aux visi- ramasso
relalent
les
faits
le
suilemps
oú la seconde cnquèlo eut ncüi* ualioiia!.. ctsans portei* prejudico
par torro dos fr.uits trop secs
probanles, qui
tours do 1'oxposition de café du Balais ot diíliciles à biou
vaiits :
lieu, lc commandanl Joaquim Santos à sos inlérèls les plus direcls, abanpreparar.
do Fludustrio à Paris.
Pour
1'édilication
do ceux qui ont
Uu délachemciil du 2eme Gliasseurs, na pas été siispcndu de ses fouclions donner 1'ailiaide résolue qu'il vienl de
Co Brésiliüu apprend aux Iüuropoéns examino uno Íbis dans lour
vio uu pied
èlanl campe prós Cornúes, pendant lc et qiron n'a adoplè aucttiic des me- prendre.
que los eaféiers -.< croissent naturolle- do cafóior, nous voudrioiis
1
¦ ¦•¦¦¦¦¦¦¦¦— —; :*~,*T'''!7n^*_7V'i-'n -n
i
le en£sii m europe
_____5gg_5™__|__™__gg__j^g-~agaatga
M. Néry est aussi cetto étoilo qui bnlle cousacrée par 1'opjni.on de
coups d'uno mitrailleuse. C'est-ít-dÍro
quelques
dans lo flrmameut, ot qui doit couduire soniies compóteutes, esí 1'objot lio perque
j'en suis encoro tout étourdt.
qiudlos pasteurs de raucion moinlo vers les quo attaque brutale, cltacuu su doM.
Néry, roproclie, sur u.i tou railJe ne sais plus quoi grand seignour
ttnmensos au-dossus dosquollos iiiande avant tout .
plainos
leur,
à
Mme Samsou d-ttvoir intercale
disait uu jour : « N'éooutez jamais lo orillo le Cruzeiro.
—Quel
daus
son
livro dos photògrapliios
ost
cot
lioiiiiuoqui
traite avoc
inarquis et moi parlaui l'un de 1'autre,
qu'on
Un n'a pas eu besoiu jusqn'ici, il est uu ínépmsi.eavalier
rOrícontfo
;t la vitrine de tous les
uo
sommos
los
nous ne
autres
papoquo
plus airiis, »
vrai, d'établir des sorvioes do vojm^os
ont accopté ? (Juo vaut-il pour sou cpriip- tiors do la rue ifOuvidor.
Ce mot est d'un hoiiuòte liommo.
'S-.vy
do plaisanco, mais du traiu dont los to ?
Oíi diable AI.
vout-il quo PauQu'a-t-il ócrit ( se dit-on, s'il s'a11 me revient k 1'esprit au moment, choses marohent, oela no
manquér
teur
peut
d'una
écrivain
preiiiio sos ínodètes. Atirait-il vouou je prends la plume pour exposor, uno d'arriver bieutòt.
; quollo ost la bàgit
taillo
a gagnée i s'il sagit d'uii lu uu Pão d'Assucar ou un Coreòvado,
mes griefs contre M.
Íbis de plus,
Une damo, uno parisienne, s'étant hoinme qu'il
de
portant á son spmmet 1'Eglise do la
Nery.
Sant'Anna
guerre.
avisóe, il y a quelques móis, do publior
Je dois pourlaut élablir cetto diffóJo ne prótonds pas qu'uuo telle áro-u- Ca 11: lana?
quelquos notes sur son voj-age au Brésil,
J';ivoue quo cGlivautété plus nouveau,
rence ; cest quo je uai jamais été l'ami lo
correspondant du Jornal s'ost aus- menlation soitlogique.ot jo mo hâte ot
roprocher à cos
qu'on n aurait
do M. Nery, táiit s'en faut!
sitôt juté sur sa bonna plume do Tolède. d ajoutor, que vis-íi-vis do AÍ,Néry, elle dessins do manquor pu
(1'origiiialitt.
Mais je saurai parlor de sa parsouno
serait partiotiüòreineut sans valuur.oar
Vous croyez que c'est peut-ôtro pour
Alais losilliistratioíisdu uiaguiliqueòuavec sincéritó, absolumont conime si
jo voux coiriméncer par lui rendre jus- vrago du Dr,. Crevaux sur
cotnbattre
réfutor
les
ou
critiques
FAiuazoue.ont
de
ne
s'ótait
rien
tice.
passe entro nous.
jamais
été empi'uni.ées á dos pliotograpliíes qui
Au-dessusdes animositós, des ranctines. Mino Sainson. l)étrompez-vous ?
Cot écrivain n'est pas lo
premier couronfc les ritos do Manaós. iJ.-u.v inois
Co procede est banal et use : c'ost lo
dos antipathie:' uaturelles et instinetivenu ; il s'est acquis uno cortaine noto- avant la
publicatiou do co livro à Paris,
ves, il y a uno queslion qui primo et vieux jeu. M. Néry profere iusultor, co riété dans un
corcle
1'aploinb
potit
la
Revista
da £'aposição ifAnlhropopar
qui s'impose; c'est l'Lntórôt de la vérité, qui constituo, à mon avis, lo meilleur avec lequel il traite los sUjOts dout
il
iigia
en
avait
déjà publié un grand
procede pour prouvor... qu'on a tort.
qui est 1'intérêt du pays lui-mème.
ignoro lu premier mot.
úombro.
Les attributions de M. Nery ne conCette oxócutiou torminée, M. Néry,
"a
Lohasard, loujours maliu, íít nattre
Qui dono so serait avise d'en faire
sistentpas simploment, comme^quelques avec la conscionco d'uu hoinmo
qui
Néry sur la torro do Sauta-Cruz.
M.
uu griòf á 1'explorateur. Si lo Dr. Cr/;uns se 1'imaginent, à rediger co « Ver gagué honnèlement sou argent, será
ouvir e contar » que le « Jornal do sans doute allé so proiueuor sur le bou- _ iMais il quitta sou pays fort jeune,et il vaux,voulautdécrirorAinazone, a achoté dos vues
á Manaós,
n'en couuut guòra la poésio
Commercio » jotte on pàturo aux raf- levard,
que par los Aline Samsou,pliptograpliiques
voulatt
dépeindreRio
cliants
do
dilletanti,
Gonçalves
fines et aux
qui
tous los quiuzo
Dias ou do Castro
La foulo 1'aura coudoyé sans s'en douet sos liabilauts, los a cboisies rue
jours.
ter; il n'y aura pas eu dattroupoinents Alves. Dorniòromout, dans le but, sans
douto, do donner quelque autorité et d'Ouvidor... á moins pourtaut que co
Co roz-de-chaussée, qui porto toujours devant lo café do Madrid, à riieure
do
vráiseuiblaiico k ses écrtts, il no soit rue São-Jose !
un vague parfum de Figaro et sacristie 1'absinthe ; enlin la
aura quelque
gouvernement
Toutes ces attaquos no sont-ollos
panachés, serait pourtaut bien suífisant pu so couclier une fois de plus ayant la se decida à venir visiter sa pátrio.
pas
mesquinos,
palitas, rulioules, etcotnmo
11 y tit un séjour do près do
pour asseoir solidoment la réputation coníiauce que 1'ordre public ne serait
quinze
AI. Nery va être dósappòintó, lorsqu'il
d'un écrivain.
jours ; co qui est vrattneut enorme verra
pas encore troublé !
quo lo propre journal auquel il
Mais lo corraspondant du Jo -nal do
Je ne sais plus à quollo ópoquo un pour uu pansien du boulevard.
adresso
bi-monsuelleinont sos élucubracommercio a des vues plus jlevéos,
Lo cercle dadmirateurs qui no cassa
livre parut on Suisse qui niait la gloiro
tions,
avait
déjà traduit on ontier le
L'ambition est une belle chose, mèrno
de l'entourer, 1'empécha saus doute de
de Guillaume Tell.
dont,
à
livre
dessein, il ne reproduisait
lorsqu'elle faií commettre aux itommes
jeter les yeux autour do lui, do voir,
de
Le
Boruo
Sénat
los
critiques
défoudit
les plug severos ayant
de
réponquo
les plus lourdes bévues, et los plus
d'étudior et de comparar. Et uu boau
bien soiu de passor sous silenco les"cordre et ordonna quo lo livre fut briilé. matin, notre
fortes sottises.
psoudo-brésiliens'embarqua roctifs,
qui en àtténuent 1'amertume.
M. Nery s'est constitué le champion
Co trait a quelque chose d'antique pour France, bien
persuade que les paiEt comme il será étonné eu apprenaut
de la propagando en faveur du Brésil, qui ne manque pas d'une certaine
miers
du
Jardiu
Botaniquo nodilleraiont
grauen Europa. II sen est assurê le mono- deur,
eu rien do ceux do la .Samaritaiue ou de que Fapparition do ce livro, ou, à cote
de certaiiiüs exagératioiis so trouvent
Mais les tomps sont changés.
fou Mabile.
pole, et le gouvernement Brésilien lui
bon nombro do vérités, na soulevéaucun
a décerné un brevêt d'invention) A. G
Aujourd'hui, houreusemoiu, on no
Co pélerinago à la Santa Cruz ac- orago ni aucuuo
indignatiou,
D. G.)
brúle plus, on discuto, car on a fiai par compli, aotreiido-parisiense
dit: « Bien
La vérité est parfois na
II s'est fait un petit domaine reservo, s'apurcüvoir quo la discussion est
peu duro à
plus ne íuempèche raaintenaut d'écrire ce entondre, muis colui
saitlecoutor
dans lequel nul profane no peut poser lo forte que les buchers.
ot.
qui
que jai vu dans mon pays—jai pour en fairo sou
fait prouva do forco
proiit
Mais laissons cos digrossions et re- moi 1'aut'jrité
pied ; cest lui qui est le grand prètre,
de l'observation dirooce, inoráte et de sagesse.
Le Brésil a fait
quo dis-je, le Deus ex machina de l'im- venons k notre sujet : justice va être in loco sita, comme disent les physio- boaucoup do
saus
faite eu deux mots;
progrès,
migration européenne.
que AI. Nery
lo^istes. »
en
douto,
et
...
s
nous
touons
—¦
à
lo coustati-r
Qu'est-ce que M. Néry ? et touí
La bible nous parle d'uno étoile qui
ht los articles les p us autastisques, ,ci. Le livre
deM.no
Samsou
ost
est
dit.
aspiusiuvraisamblablesdesesuccéder rivé
guidait jadis les róis Mages allant saau moment psycholog que
\o ^s
Lorsqu'une çwuvre d'ua mérito relaíií, ,-y ui. a ,x ar.yy, r.pides comme leS[n'éprouvonS
iuer 1'ISufant Jesus cians sa crècho ;
aucun embarraf l
parle i
pouvoircitor
ilu livro do la Mítdama,
parce que nous
avons été los preiuiors à Kio à ou fairo
uno critique, súvòre mais óquitable;
parce quo nous aussi, los Français nous
ysoniinos plus -naltraités eucore que
ios brésiliéns' co qui nous a réjout
iulinimont.
C ost un ii.os désavaiitagès do certains
critiquos qu ils uosu boruaiit
pas à dire
IVanoliement, loyaiouiuut, on tontooceasiòii, co qu'ils pousoiit, sur los teuvros
d'autriii, saus redouter los iuiluoncos do
outonos ; mais qu'ils sbxposout encoro
lidos représailles/euse faisant auteurs
a lour tout\ Al. Néry, lm. cvlt0 [tíá ^
sagréinonts auquols cette inuladresse
potirrait lontraiuor. ou eaehaut soigiioiisemont sos ictivros aux yeux do
çoux qui pourraioutso prouonoor sur
lour stiicèrUé ou lour oxactitudo. Jo
voux parlor du celebro voyago do AZ.
Durandaupays du ca/é, dom il a étó
st forly'uestiuu; à cotio lieure, il serait
plus dtilicile do trouver Al. Duraud k
Pio quo la solution doía
quadraturo da
corcle.
Copoudant, losjournaux nous infotment, qua Ibcaasion do PExposition
des cates du_ Brésil à Paris, le livro da
Al. Nery a étó répaadu avoc uno muinlioeiioe vraiment royalo. Uu ré^imõni;
d'iufauterio étatit allé visitei- PExposttion, on a sorvi à ehaquo ííotnmá una
tasse da café et un livre do M. Néry.
AI. Duraud remplaçait saus douto ia
sucro.
Comme la brociiure sur la
du cato m'a düané bonne envie question
de lira
1'introuyable M. Duraud,
jo vais me décidor àécriro au colonol do co régimont
pour voir si un do sos soldats veut, bien
se défaire, en ma faveur, do cette
précióstté árchéológique;
Enlin, AL Néry parait roprooher {\
1 autour d êtro vieille— c'ost uu compliment auqiiel les dàmès no sont pai
iiisensiblos géuéralemeut.
Mais en aüirmaat que Alme Samson
ost vmiLo, M. Néry vout-il insinuor
parla quo lui est jeune 1
Cétait uuo prooaution vraiment
iuuCola se voit do roste à ses écrits.
Fantasio,
»-»
IíO "*Itó«s*>jjfes*
<l«i
fcfcrôèill
P**^'^l*lli*'*^^^i»^
7.
»:(.V,
eri entiòr
une doscriplion oh il esl
de
íloura (Popalo, d'aigrotle
question
niervoilleuse, de ilida (Poiseaux, et pour
tinir, do fruil de Ia gousse du cale ;
mais Popusculo est si ricbo qú'il suflii
de glaner les curiosités.
Voici. par exemple, comment, au
Brésil, ôn cuoille le café. « Sous Ia
conduitd d'uu contro ínailro. iPun intendaut ou feilor,<\es bandes de travailleurs grinipent dans les arrues ! ! ! lis
se tienuent perobós sur des échellos et
tirent à eux douceinont les branches du
caféier. Ils efleuillont Ia brauche entro
leurs doigts. et les baios sont recueillies
dans des corbeillos, Lorsque les paniers
sont pleins,d'autres travailleurs les empor.tent sur leur tète !!! à Ia fazenda.
Et maintenant voici comment on le
prepare : « Dos femmes et de jeunes négrillons sont employés à. laver le grain
dáks des puits et à le DÉcoivriQÚER. On
procede onsuite au pollissago, íi Ia seconde dessication, et, apròs uu triage
attentif on transporte ia réoolto.qui esi
mise dans des saes d'une contenance de
60 kilos. »
Fazendeiros, exportateurs, construoteurs, ingénieurs, et vous tous Brésiliens^ qui vous préoccupez si justement
de Ia crise actuello du café, cróez avec
de grandes dópenses dos engenhos déjà
très-parfaits, invente/ chaque annéo de
nouvelles maebines. pour ventiler le
grain, pour le dépouiller do sa pulpe,
et le séparer,
dopour le trier
à
ce point de vue,
passez de boaucoup,
Ia ripa de Ceylan ou les pilons des
Aulilles, pour que Pon vienne diro dans
uu livre, eu quelque sorte oüiciol, que
vous lavez le grain daus des puits et
que vous laissez à Ia main des femmes
et des jeunes négrillons le soin de le
décortiquer.
Préoccupez-vous de faire connaitré
voa produits avec leurs qualités réelles; préparez à grands irais des expositions chez vous ou au-dehors, faites
dos confóreucos ou doinaudez-en à des
étrangèrs amis de votre pays, pour que
tous ces efforts vienuont aboutir à Ia
conclusion suivante :
« On a prétendu Á iion drcit, peutÊTRW, que certains plaiiteurs brésiliens
ne préparent pas leurs produits avoc
autant d'art que coux de Ceylan et de
Java, ce qui laisse uno légòre amertumo, uno saveur de terroir au café du
Brésil. Nous forons remarquei* que ce
gout de terroir est loin iPétro désagréablo, et que du reste il s'all'aiblit considérablement si Pou a soin de garder lo
café un on deux anslll avantd'eu faire
usago, précaatiou qu'il faut iPailleurs
prendre pour tous les cafés. Co défáut
ou cette qualité quo préseutent tous los
cafés authentiques est tròs apprécié
desgourmets do PAinérique du Nórd. »
Ia necessite do gardor lo café pondaii"
doux ans, indique coiniuo moyon do
propagando ! I !
Apròs cela,dl faut tiror Póchello, ot
nous no sommes copondaut, qu'íi Ia pago
lli do cet ótonnant opusculo.
A cóté de cette naive.té, ot do ce dófaut' complet do couiiaissancos, il
y a
Ia noto oomiquo. et si los brésiliens
sont surpris do trouver sous Ia plume
do M. Néry dos reclamos ti des publications diversos, soigneusement cboisies,
los líuropóons ne le soront pas moins de
voir invoquor, à propôs de Pae tion
physiologiquo du café, Popinion de médecins dont Pautorilé dans les ótudos
do cet ordre est encore bien noiivollo.
Le fond de tout cela est copondant
profondéinent triste et presquo dócourageant pour ceux qui ótudieut le Brésil
avautiPen parler, et qui veulent le faire
connaitré avec ses ressourcos enormes,
ses pi tigres considérablos, son avertii
immonse, sans pallier sos dófauls e;
sans ílatter sos préjugés. Pour notre
compte, co n'est pas sans appréhousion
pour 1'avenir que nous voyons cotte
propagande des choses du Brésil en Europe conflée en grande partie à des personnalités sans aucun doute bion intentiouuées, mais absolument inhabiles,
parco qiPelles no conuaissout pas suffisament PEurope, ou qu'ellos u'ont jamais habite et observe lourpropre pays.
Ce n'est pas tout de faire parler de
soi, il faut encore lo faire utilement, et
Pomploi de certains moyens, ou Ia révélation do cei tainos ignorances est souvent plus préjudiciables quo le silonce.
Comme Pa dit lo fabulisto:
Rien n'esl plus dangeruux qu'uii malach-oil
ami I
Mioux vaiulriiit uu shjjo èhuòini I
CHEMÍN DE FER DU PÂRÂNÀ
anirm&amHÊatasmaatHÊmoaoaanajfamawaiiwaci
au km. 04,631 de 03.50 mot. de long.;
au km. 05.511 do 58 mot. do long,; au
km. 05.831 do 90 met. do long.; au
km. 00.250 do 73 mot. do long.; au
km. 07.990 do 58 mot. do long.; au
km. 08,914 do 58 mot, do long.; an
km. 70.974 de 45 mot. do long.; au
km. 79.044 do 00 met. do long,; au
km. 79.210 do 100 mot. do long.; au
km. 79.720 do 140 met. de long.
Les tuuirols du chomiii de fer d 11 Paraná sont tous dans Ia deuxiòme saction,
Leur longuour qui ost de 1092 mètres
se répartit comme suit:
Tunnel n. 1 au km, 52.000, de 100
môt. de longuour; tunnel 11. 2aukin,
53.000, de 122 môt ; tunnel n. 3 au
km. 58.300, do 250 môt; tunnel n. 4
au km. 00.850, do 45 mòt; tunnel n.
Ia au km. 00.570, do 149 môt; tunnel
a. 5 au km. 02,700, do 50 môt ; tunnel
u. 0 au km. 08.250, de 31 môt ; tunnel
11. 7 au km. 01.050, de 31 mòt ,- tunnel
11. 8 au km. 01,400, do 30 met; tunnel
11. 9 au km. 018 0, de 141 môt; tunnel
11. 10 au km. 01,970, de 52 môt; tunnel
u. 11 au km. 05.200, de 150 met; tunnel
11. 11" au km. 05.850, de 87 môt; tunnel
n. 1.2 au km. 05.000, do 57 môt; tunnel
u* 13 au km. 80.000, do 429 môt. {Roça
Nova.) 15 tunuels, 1092 mètres.
Le dernier tunnel, celui de Roça
Nova, de 429 mòt. de long, so trouvé
situe au poiat culminant do Ia ligue,
à 955 môt. iPalütude.
Les tunnols uos 4, 5, 9,
sont les seuls qui n'exigent
vêtomeut.
11 et IL'
pas do re-
Comme il est dit plus haut, lesquantités d'exoavations des tunnols s'élèvent
à 87.725 m. cub. et les maçonneries diverses à 8.540 m. cub Ces quantitós se
décomposent comme suit :
(Suile)
Le poids do Ia superstrueture et des
Iíxcí i v« 1,5 o a í M
piliers métalliques dos pouts de Ia 2asection, s'élòve à 1,635 000 kilogrammes. iei'i'c sèdie 200111. cub.
¦1 liiiiniilo
»
1852
Tous les pilliers íaôcaliquòs sont eu ler
»
Pierresdelaeliées loi
37,-725 111, cub.
furgé ; Ia fonte de fer n'est omployée Rooiieliumide 124015 "
" súclie
23103
que pour les plaques cfappui à PextréMayoBiaierics tBivei-sos
mité des travées.
Les murs de soutónemont les plus im- MaçOiincrié ordiiiaire au iiiofluic 4G98 111. cab
•>
portants sont:
Maçou, appai-eillúe. 183IJ
»
du pierre tio
Au km. 51,910, de 139 mot. de leutai lio
551
»
ISõlO in.culi
gueur ; au km. 5-1.-150 de òá mot. do Rciiiptis. des ci-eux 1-1" j
La Sectiou ouveite dos tunnols est de
long.; au km. 5-1.000 de 45 mot. de
long.; au km 55.101 de 05 met. de 17'"ca. 59.
Deux machiiies pei foratrices Tngerlong.; au km. 58 de 50 mot de long.;
au km. 00.751) de 01 met. do long.: aobi iravaillont au tuuueldo Roça Nuva.
Eu plus des dillicultés créées par les
au km. 00 8'Jt de 5'3 met. de long.;
au km. 01.270 do 70 met. de long.; ciroon.staucea locaies et Piuiportauce dos
au km. 01.935 de 5'J met. do long.; ouvrayes, des ob>iacles iinprévus sonl
au km. 02.955 de 05 met. de long., veiius s'opposer à Ia marche régulière
au km, 03.310 de 49 met. de long.; des travaux dans ia 21- sectiou.
Aux pluies contínuos, sont veiuies se
Le gout du terroir produit par une au km. 03.49-1 de 47 met, de long.;
do
73
03.791
met.
km.
au
do
1oíi<>v joinilre les lievres et pour mainlenir
mauvaiso cueille ou un mau vais desselo bon état sanitaire du personnel, PEuchoniont, considere comme une qualité ; au km. 61.514 du 55 mot. de lo n í
Iropriso' du cbeiuin do ler du Paraná a
du cróor à Porto de Cima un húpital
de 150 lits.
En outro des pluios ot des íiévres,
los óboulomo.nts considérablos sont vems dótruiro dos ouvragos déjà conscruits. Cost ainsi que les culées de
pouts aux kilm. 01.090 ot 01.840 ont
Hó ontráinées par des massas enormes
do piorres qui so sonl, dótachées do Ia
montaguo dans des eiidroits, qui n'étaiont inóuie pas affoctós par les travaux.
Un autro ébouloinent, en outrainant
Ia tranchée déjà ouvorte qui devait préceder lo viaduc Prósidoiit Carvalho, a
reudu nécossaire une modiílcatiou dans
le projet, ot par suite, Pabandon do
travaux 011 partie achevés. .
Pour frauchir Pespaco laissó vide
par cot ébouleinonfc, il aurait faliu ailonger lo viaduc de plus do 100 mètres
Jn a préféré détouruer Ia ligue vors Ia
gaúche, et Ia faire pôaétrer en uu tunuel de 149 mòt, do longuour, en modidant ea momo temps les prenderes disposilious aduptées pour le dit viaduc.
En janvier dernier, les ihoudátions
sont vouiies apporter leur contigent de
dillicultés en augmentant les conséquences dos ébotilements, en outrainant une
partie des bois déjà prepares pour i'éohallaudage du peut du S. João, etc,
etc.
Pour surmouter tous ces obstaclos
PEutrepriso française du cbeiuin de lei
du Paraná, no recule devant aucun sacruice, et par PimpuLsion donnée aux
travaux. elle a mérito un témoinnai/e
de satisfaction de Ia part do M. lo Pi'ésideut de Ia Province qui a declare qu'il
était impossible de faire plus.
(ií suicre)
— M t.ayj^Jf,"*-^ jr*«--i"
Oongó cio JV1, AmoiOt tio
O Ixíii lio ti, tiaiii ís tee cie i?ca. ixce
La í-óilaoliun du Ia (.lüpècliu Iclúgi-apliíijuo
Ininsiuise luuili ileniiei- par ['Ajjenou llavas,
doiinait i entuiidi-u que M. Ihrutiui- ilu Uaòuurt,
vçiiait ii Rio un reuiplauuiiiunt du M. ie óointu
Ainilot du (Jhaillou.
Une lulli-u que M, lu Ministre du Franco nous
adrasse it eu sujut, nous appi-enil que son alisenee ne será que leíiiponiiiv..
.Nous pi-euous daus octtu le.ltrç lu reiiscigneinenl suo,ml : M. ju Ministre so reiid un Franoe,
uu \ui'uid'(ia coiigc quu lu uiiiusiru a bien \uuiu
lui auconluf sur sa duiuaiide, et M. fuut-riui- du
liaoourt, premiei- secrélairu .daiiiljassaile, viuni
gerpr taLúgatiüii pendaiit sua absuiiue qui dacura six inois.
M, Ainelüt du Oliailloii, pat-tira ie lõ avrii
proeliaiu.
¦.¦*ftiWiíi;.;r-.í.
TivLLUlL\MAÍl*S
.iímxeííes, fJM Slai-s La
péutiou des frères Peltüor, sullicitauí
ta còmmutatioii do Ia poiué de iniírt
proiioncéü comre eux, u a pas étè prise
en cuhsidération.
B^sti-iw, íÃB .'%*Í5»a-riv,— Le ministro
plénipolüiiliairo du Brésil à Paris, a
signo avec lo gouvoruemont frain.-ais
uno couventiün pour Ia protection de Ia
propriété dos invontions ot produits
industriols dos deux pays.
Mossíbío, ®íí Mars. — Lo
volcan Lítna ost eu éruptiou, et Pinteusite du phenomeno est telle que Pou
oraint de grands desastres. Les ehvirohs ilu cralóresont secoués violommont,
car Peruptiou ost accoaipagaée do vielonts treinblemonts do torro. La populatión do Catane est tròs effrayée et
011 craint que los épisodos de Peruptiou
do 1813 so ronouvellent.
^imÃNCE "~
A Ia Chambre des deputes, dans Ia
séauce du 24 févrior, Pordre du jour
ayant appelé Ia dis.mssiou d'uuo intorpellatiòn tio M, Joli bois sur Ia declaration fa; to par lo gouvornament de droits
supérieurs pour défendre Ia Republique
(Voir Ia DéclarcUion minislá?Helle du
22 févrior, publiée daus notre dornier nutnéro) M. Julos Ferry, présideut du conseil, ministre de Pinstruction publique et dos beaux-arts, s'est
declare prèt à saisir daus Ia question
poséo par M. Jolibois, ce qui lui paraissait suscoptible cPexpliòation,
Ju nu votulrais poiu-tanl, a-l-il ajoulú, un aucimo faeon engager une disuussion de droit
publie el eonslilulioiinel, ni sur eus inots « droit
supérinur du Ia Itúpiibliqiic », que le gouverneinenl a inseres dans son programme, aeuupter
i[u'il su lasse ici, en quelque sorte, une uonfúrenuo sur les droits du goiiveriieinunt rópublicaiu.
Nous 11'avons pas cetto ambilion ; nous somiiios yenus i vous eomiue un gòiivenieinout pardussus lout pratique uí sonsé ; nous vous avons
dil : ¦( La liõpiibliquo n'est pas un püril. Si ello
élail eu péril, elle prcndráit conseil do sen
droit siipói-ieiu-, » Cos pavoles ohoquent notre
bonorable iiilerpelhileiir,
Qiresl -ee que e'cst que le droil supúrieiu- de
Ia Itópubiiqiio'.'
Cette expression nu coiilionl ni du graneis 11;
de lénebroux 111 yst ires. Lu droil supúricur de Ia
Republique est le droit qu'ont tous les gouver"droit
neiiieiils lòrsipi'ils sont en péril : o'est le
ile lügiliiue deíeuse,
Sij'ai cru pouvoir iliiv iju!ilèxistoit un droit
supérieiir de Ia ilépubliquc. e'esl parce que Ia
Republique úlaul lequivalent mème do Ia souveraiiielé nalionale, élant Ia souveraineté nalionale, \ ivanlo, agissanto ul gõuvernanle, Ia Républiqiie élant legouvcrm-nient du Ia souvei-aiueté
nationalc, il 111'a paru. 00 ume il parait, je crois
ít Li grande inajorilé de culto Asseinblée et à
Vimaieiise majorité d^> gons 0]^. liou sons,
quo
ou goiivcmeiuent de souverainoté nalionale
possètle plus quu loul nutro le droil et lu devoir
ifuser de Ia legitimo défonse.
Maiiileiiaut, inessiuurs, quels pouvo.irs,
quuls
moyens de tlúlunsu le droit de Ia llépulilique
conipreml-il ul coniportc-l-il ? ici, uu n'ost
plus
iniu intcrpcllatiüu, c'esl une consultatiüii
quo me
deinaiidc M. Jolibois, ¦ie ne me sons pas digne
de Ia lui ilouuei'.. ,\. ni scule1uoi.1l 1'liouorable
M oiiijois esl na aes homnies politiquos lus
|)lus iiiiportanls de.sou parli ul du cetto Assembléo ; niaisil esl uu avocal cininenl, un
ciinsullc épruiivc ; ilaélú prociirciu-giiiuiraljuris.
• il
sail iiiieüx que mni, d'nne lacoii
plus conjplefo
et plus approfüiidie, de quollo irianiúro les
vüriicinciils pouvenlso ilélendru controles7 gòií^
conspii'ateiu's,
'¦
t:
*3.
J!^!!e^gfS^^;^^^yiB..Tg«aaaiaonBeaaaar.-.- - „
sou ciour se gontler d'une émotion in- Ia gaiété daus les yeux, nue enorme
Uai t'a dit ?.'..,
ERNEST DAUDET
solliciinde àlasortie de Penfant,
remiu
coimue, Sa more preuait àsesyoux uno botto de roses a Ia main, vers lo lit de
Tout se sait, et si
a sa uourrico. 11. m aime toujours.
voulais
saje
pbysiononne nouvello, graudissait, 011- sa femme.
vou- aussi oíi tu passes taut de louguos
On apportait une tablo toute
o I
noblio, paréo 011 quelque sorte cPune
sorvie
Bonjuur, migiibn.no, íit-ii eu se heures, loin do moi
it
me
fut poussée conu-e le lit do
serait
faoile
long
martyre
du
qui
venait
auréolo
Martho'
qii-elle
sur
le lit et eu posant ses do le tlécouvrir.
Le cliagrin de Ia jeune femme
do laisser discròtoment devinor, sans penchaut
«'était
ièvres surje front do Marthe, après lui
envoló.
Üents
Àísiirémeut. Tu n aurais
avec elle comme
vouloir ea racouter les póripéties.
avoir od'oi't sos Ueurs. Jo ifai pu ie 1.11 intorrogor
qU'à avecunenla.it;jotuut
illm tômòignait une
; je ne uieiuirais pas.
Tu mo donnos à déjeuner ? dit voir co matin ; Jussac ost venu mè
teudre sollicitude. Mme Berteux
Eíie Laitira plus prós cPelle et iniirsen
Mme Berteux à sa íillo,
Cherclíor ot j'ai du l'accoinpagiier chez
taitsevanouir ses craintes, se
XV
repreunira
à
sou
oroille
:
Tu restes ! s'écria joveusement ton poro. Mais, avant de partir, j'al eu
nait à espérer quo 1'avenir de sa
tille
Jure-moi
soin de massurer que ta nuit avait élé
tu 11 ciais pas chez serait doux, exemptAPorages. Le
Marthe.
que
renas
(Suite)
bonne.
une fenifne !
s acheyait; 011 vmt avertir Denisís
Alors momo que tu ne m aurais
, ue
•—
Embrasse
Cette
foi o ! baibutia-t-il, le saim Lony Mal..-cot demaudait à le v oir ot
Lm lils, répondit Marthe
li faut me pardonner, j'on ignorais Ia pas écrit, c'était mon projot.
1'attendait dans son cabiuet
Tu (lójeuiieras là, prós do moi, rouge do plaisir, Ü11 va Poihportor : auxjoues;
causo ; cest depuis quelques jours seu•-.—¦ Josuis
do
sou
Pheure
sommeii.
c'est
.obligó de reprendre ma
Jure ou
.S"est-ce
lemout quo, sous Pompire de mos angois- avoc Denis ; car j'ospòre bien qual va
croirai
je
tu
me
que
l
.
liberto,
ma
chorie,
ost
dit-il à sa femme.
beau
pas qu'il
ses, j'ai compris los ti.01.in.es et deviné ron.lrer.
trompes,
Déjà, lit Mar lhe tristement.
11 to ressomblo, répliqua Doais
Ji>jurequejo.iio te íroinpe
pourquoi, ta vie duraut, tu as été si
M"iç Berteux s'étaij{ levéo pour so
Tu vois, Tony Malécot est
pas,
là.
mallieureuso. Mais ton pró pré exemplo, rapproolior du borceau.
obéissanl.
répliqua-t-il
avec vivacité. Je suis allé
Mais, quand il será
Maintenant,
tu pouma mère, mo dicte ma couduite ; si, au ê.lle souriait,
parti,
aucércle,j'ai
sur
son
Puis il tendil ia main a sa bello-inere
jouó, jai perda, et j'V ras revonir.
penehée
peLit-fils
début, tu avais proteste, répondu à Pof- réveilló, eX son coíur s'ópauouissait
¦sins retouriiépour mo rattraper,
Quand il será
lit
et
se
rapprocha
do
du
sa
femme.parti, ce será
íense par un óelat...
dan-- une béatilude profunde au poetaLos
cercles
Pheure
daller à Ia Lourse.
sont
do
mau
vais
II
lieux
ne faut pas liiabituer à sortir
Je nê sais ce i|iii seiait arrivó : ele do cos bras freios qui s'agitaiont o
Yòusjóuezdonc à laEourse,
sans veiiir me dire adieu, reprit Marthe dit Mürtbe iue ia fraiiohise de soií
Denis?
mais, témoin tio Ia division de tos pa- de ces lòyres roses 1P0Í1 s'onvolait 111
mari achevait de désarmor Pro inets- demanda Mnie Berteux
à
demi-voix,
iPun
acceni
avoc
de.
inquietude".
doux
reet
devenue
doux.
í
"
mo.noloae
toi-mème,
murmure
reuts,
qiieserais-tu
moi tio n y pas retouriier.
Jouor, cest bcaucoup
Ton baiser ufa manque ce madire, má
Cest donc pour moi quo tii t'es
.Madame Ia comtesso, voilà M. h proche.
mero, répoudit-il ; j'y fats
,1'eu pi-üiuls Pengagemout
tin, et j'ai pleuró !
et
n
quüiquog
ai
y
comto, d'.i, on entrant tout-à-coup, 1;
sacviiiée, ma more !
raros operauoa-, d après ios conséils
aucun mérito ; cest m ixHo de
Tu
!
as
de
Animal
do
Jussac
!
pieuré
Cest pour toi, mon enfant. Hail- >< bonnesocar v, joyeuso do Ia nouvellt
M; berteux. Mais ce nest
ia moitié de Ia nuit autour cPuuò passer
lá
co
pas
table
qui
a
li n'est pas si coupablo quo tu lo de
sou accouchéo.
leurs, ajouta-t-ello après 11:1 silonce, qipollo apporta.it
baccarat : au matin, uu a l,^ uerfs my ature. Jy vais surtout pour sur.
Merci, ina sumi', répondit Marthe, d|s, mon ciiéri. Tu pou vais bien !e lais- en capitula le,
voillor des laierots qui nous sont
Denis est boi), il ost gónéreux ot i!
comlliuns,
à lui et n Ilioi.
t'aii.10. Tu réussiras à assurer ton em- qui sontait renaitre sa tranquilli é. ser cinq minutes ei vonir...
Je m óiais bien apeivuo
du mau—- Xo vous 1 ús^oz
Cest vrai ! J'ai eu lort.
pire sur im. Ah ! si toa poro lui avail Voulo/-voiis dire à Ia nõuri ioo de prenpas entraíuer par
vais état des tieus, répondit Marthe ea (
1
exemple
spécalateürs,
dre Bébé ot prevenirá Poilicoque iiòii.dos
ressemblé !...
Üh !
mon ami,
jo vois bion qu'il est grand scellaut dan teudre baiser cutiu courte
je vous en supplio, continua•Céciié. La,
Elle s'arròia sur cette allusion au ilójeimerons ici ; ma fomnie do chainijré temps quo jo me relevo, Denis; tu tac- explicatiou. Mais je to
pardoaiie eu ia- bourse ne porte pas bonheur
nous Stíl'viraaux
coutumerais trop vi te à te passer de moi. veur do tes bonnes
passe, no voulant pas en ttire davanlage !
Jetais gons. Si votre beau frère daiguaitjeunes
proniesses.
»
bonne
so
va,
Ne
allait
de
me
siour
c'est
s
Ia
crainte
inutilo
sorfir
Li
m'è.
si
daus
tu osais absurde tout a Pheure, ajouta-t-elle on coutor
pas,
paruitre
pour
plaindre
il ne vous y aurait
ordres.
Elle
le
blàmer.
nier,
tu
inari
ou
111'obligorais
dut
se
ranger
Ces
Marthe
à
te
sou
executei'
ne
sadressaut
do
jamais en-*
da
à sa mère, qui revenait voye.
tos
|
parler
';lo
V otre placo n'e&t pas là.
sontait • p iiir lai^íc* passer Denis, 11 s'avauçait, reütrées tardives, aumilieu de Ia nuit. de soa cjto, après avoir assiste avec
releva pas ses pardos; mais >
m
PERATERTIS!
(à suivre.)
eSBt
<*• rWOHsMi/ÇOl* «Um JTÍrAwH
:t
.
T..i:i...:.
i.
,¦,...
.
. , .
Í-"
A iieiij
um, repouso
r./',,,,,n.... do
.1,. -\r
Après
uno
M. Joltbois, Ia titro houoríflqiio, II laíssora à son sou: ¦ le slahililé gniivm-uoineulalo, Un esl Ias
Ibiirnirait asuiróniout un oxcolíonl su- Siiüiòili
c.uil.o foto qui marquora daiís los
clòtut'0 n ótó prononcóo : un onlru <lu sucrétairc ilMítiit la diroclio i dos
uilairos igitali eis sir-riles, ei celle lassilml ivorsolle jci. ;i un líbiv.tti.-ito.
uiiialos
du liigu-liio lliiiiiinoiiso.
rcdiiil
le
inuinenl
au
silonce
ei
M.
Jolibüls
niéine au
ol, ainsi couraíitoH du n.misturo do IMiistríiotioii
pour
jour proposé par
¦'> Io d.',lin au li I,, 1'anv ,1 moi
''''
»'
s
l.-.ti
«1
•
nous poriiioitra do roposer
rospect les ui uilenu ,,u i.., adsersaire-i ,oi'i|
ooiiou :
publique et dirigora lui-uiòinQ la poli- poiiriuitjjiyiii unirei- deMinl lui. Mu ne saurail 1111 siuiplo pliiuiitil, iifavaíl appoió à '"'' ,1-nnle's ju-. tu'à ¦;. |] ,|,., uxorcieos
« La Chambre, resíduo à Pair rospoclor Ia li- tiqun
gòiiôr tio du eaoiiipp !l s'o I no- '!.ui ¦• uiliaiítM' uu pi !¦. fii irable a\èu,>i,ii>nl ; rpiii;dir Ia lia no niagistratiiro mi (|tios- ¦ uixquuls lus bals du oo soir voul los
horló ifidividiiollo dos ciloyons saus exeopliuii
tamineut en lundu iivoc M, (Jhnl louiol- .•','>l presque une lunedo iniel, ei iiuiis .|í>.i--t*.>-i — ''""• ,i" m i sorviraí do nem auíorjió do eiMilraiiiilro.
olsaus dislinclio , i-ofuse iPuntorisoi* ou d'apIa laçou siiivaiilo :
Lacour, potic que lautos les dopèohos o oi-. \i:'ii\ : eeiis jiii s'(''IÍ!\üiiI de lous le, ¦¦¦;.•.
proiivera.iicitne n -sure qui aurail pour bitl d'y
Jo i'assi inblerai tous ces fouctiouiiai'|ii"
leminiiib rede M. ,l:ik>s 1'erry, parses
;"'U'
¦
jiorler alleinle, i i doliors des prescriplions dti importantes qu'il recovrait 'le nosag-mls ¦i 'les ei
l'AI!Tlt; lIOMJÍliltÜÍAliH
-' ' "iuliiu.ot je los coiiihtiunorai
i'-';:-'
pu- si il ii ri,-, repiuido ii loules .,-• ,¦>droilcoiiiniuu, cl passo ii 1'orilre du jour.»
à Pélranger, ou i[it'il lotu'ailressijrail,
-tpr
.Í'{i[)'ròs
t
rô,,
la
traditioii
d>.:<
a lail nailrc.
joüx
a étó repous é par MOI voix conlre 31. lui soiout régulíòrement cotriiiuiniquéss, pórances qu'il
HUPPPTPN IIPlIliUMADAlUK
niioconts : Po chat a niaiigó lu coVdon
P i-1 clol' do la sorrttro tio la
Et 1'ordt'o du jour siúvant do MM.
Hio le -./ -Mars iSS:,\
porto tio
Pes journaux républicainos libéraux Ia maison du
Cliange
,/,¦
/.;
sciiiaine.
•
büuhoiniiio
Po proMargaiue, Lecharbonüior, Liouville ot
potit
Un comitê composó do súnatours, do soni bion moins ontiiousiastüs,
miei* qui so trumporail sorait
laiiiuó
., s- |,;|i''- S. Londres S. Ilamb.
llainoau :
:' iloiiiior un gago ot à ouibrassor l'ac- i.o ,- • Mars ||-2 V|,| p; r,n
Le li.iprcl est ploiu do nidiaujo:
ilóputés, de góiieraux ot d'auiiraux,
i-i:í
« La Chainbrc, appi-oiivaiil tos ilóolái-alions du
an)a
r.m
.•
ot presido par Pamiral Jatirégutborry,
Comiiioolilu voit, c'esl uu ministòre .-ml,,ri- tricô PI!^t,
H'-t
211/2
ri-ni
;'
gouvoriicineuL cl oonlanle dans sa fermoló à s'ost forme
-'
laire.
H-!
Po serait torriblo.
211 -.'
,,m
pour reunir dos sousoriptions
laire respectei- les inslittitions rúpublicaiiíos,
d,me
II
est
cxtròm
uncul
loin
dVlrc
le
niinisl.es
s,iu\ei-aius
dans
dor
lo
soui
but
d'élever
uno
statuo
ollerls
à
11,^)00
au
ii
l'ordro
sjédu
et
passo
jour.»
domaiides a llsãln,
lóre do nus vr\et.
néral
Ohànzy.
a èté atlopté par 318 voix contro 89.
N:Kí;ii.ÜiiÜliílí
Qucl qu'il soil, -.ei.,ii notre usage, nous l.illendrous
ei
a
fouivre,
i-,
|e
Est veinio ensuito en disoussion uno
jiigeruns avec
«lAM.CIIK DU CAFlí
riuipartialiló indiilgonto quon doíl , desminisDCianilü "^'àáilt-ijsoi
do
MM. Laisaiit, Oourintorpcllatiou
l.i*s
enlróos
depuis le 1- uiars se sonl óiovóesii
Ires qui arrivenl tlans des conditions iliiiicilcs.
yoiinopar
Po in 'ti,lo dos leltres vi,ml. do fairo -• • '-1"
I l.fiSljsiiés
moaux ot Ernost Lofèvro, reprise par
nuoi qii'il lasse, o ms lions coiisolci-on de lui
Los \enles se s,,ui ólevóesjourde
Xous recevons de M. Ciaiuliclla père la lellro
a 'iiõ.úOD saes,
uno perto bion sonsiblo ; Kinilo Villeles deslinalions siiiv.-iutes:
M. lo prince de Léon, relativo aux me- suivanlejpliisieurs passages de cclle leltre s'mires- eu |iensaiil qu'il ue l;ii'dera [ias , dóm uilror les moi, rédactoiirdu
Uil-IJlasii succoinbé pour l-.lals-Unis
Slti.Oüi)
suros .juo lo goiivcrnenipnt coiuptu sonl .'i a s couipalrinles; lei esl inolifqui nuiis vices.uu giiiivei-iieilioul ., ouli-.i:i'ce ,-i iiue .-,,i, ie - iíou'- a ii i • ni. ti i.lio oi
'••m-npo
li tf.rili)
poitl-tlie, ii
aiitorilariSiuo ini-uiu Iravaillera — .;,, j,,'.; eomiiu
ii
la
determina
,iujourd'liiii
d.ms
nos
.lus
à
Pegarei tios membros
publier
, age do i reuto hu t aiis.
Uivors p,,rls
la'.l.lllltl
prendro
lesuiivriers dos Güliclins, li l'cn\ers — ii la limillos ayant tógiió en Pratico qui ocoui culmines.
Villouiot
était
iucoiilüstablenioiit
un
borló,
Nice le 2 \ ferrier lcS'ò'2,
127). ül ni
dos cUroiiiquoiirs.du boulovard los
l." slooK esl calculo ii :
27)2.000 saes.
peut des oinplois dans Parniéoi
pias
Pa
Justice rend d'abord homniago i\ •i.-.in illãiits.
Cher nionsiour Ueleáu.
La u.;;//.! esl de :iii,-) reis par kit.
A la suite de dóbats auxquels ont pris
J ai roça votro totiehanto loi tre ainsi ia valeur porsoniiello dos nioinbres du
8os
si
qualités
porsonuollos, un tompar le députó iuterpollaiit. MM. Paul quò les journaux ot lu dessin do M. cabinel:
autior,
uno liianour
péraiiioiu
pi-,mo
iXOUVKLLI-S MAItíriiUKS
de Cassaynao, lu barou Roille, Pdnioucl Agostini
ii,".! d,ni.- au \óritable uiiiiisiòre que uoii: ..;.iul"i.S", ou poroait toujours u io
quo íroiis ave/, ou la boutó cio
poiuto
l.evap.
Saeoie,
esl arrivóOa Marseille lo 17
llobert, Paisaiit et lo ministro do la monvoyei' tle-si loin. Volre lettro à avons cclle fois do\uni nous ; ol il n'en est que do tino ironie, lui avaiont cróós w.ie mars veiianl
de rAiuórique du Sud.
oii
moi
de
bien
doux
óveillé
,le
souvouirs
imporlaiil
diilei-uiinei'
ilistiugiléo
;
1'idce
d.no; ia
plus
ie vap. /.,/ Franee, osl
dus uqu"il repri'-- placo
guerre, la Chambre a adopté pai* 87(3
parti le ir> de |,t
¦nome villo
oui, cher inonsiour, jo mo sütivions d,.' senie, i-.ti bien ! sur co [luinl, aiieuno illiisiou .n-.vaius do la uo.ii.vollo pléía.iò
pour lin, ei |a |»|U(a>
voix contro i(Jl Purdro tlu jour qui
góuór;itioil.
Lfiiouveau
nionsiour vou o père, do tous les vôtres ircsl possibie. I..- pays avail doiino a i.i Liuun- Cétait uu vrai lils d,', liabolais, ot sos
vap. /¦:,/,•, de Ia Uoval ll.ul, esl
suit.
et fie vous liièmu, uialgró quo se'.-ou- bre I,- uiaudal ,1,- faire une polillipie de progivs ¦ iailtioséclaiaiüiit ;i chaquu ligíio couinie liasse a 1'ei-ii.iiuliu,-,, le -Jo mars, a desliiialioa
lil' li li I.
« Pa Chambre, appròuvaiit Pusagc vuiurs sòient .--i loin do, nous. Po ma- ',,1 continuo le luoiiveinenl ciiiitraire, ei nous un bouquet do fusòüs,
'Janeiro
. Lo vap. Ville dr AVo de
esl arrivóo
que, d'après sos tléoiaratious, io gou- Lheui' quo mu e.tu o la. porco du mon avons un uiiuisíéro ,ie rósislanco,
Sus óorits lUtiiout oiupreints tPuiro -1 I oi-n.aiiibuco le 21 mars, Venaiit d-Kiirone ot
a siuvi pour llio,
vernemeut ;t fait dus droils qü'il tiotit pauvre lils, mort à ia lleur do son age,
A 1'iii.lói'ieur, le cabinel représentera cei-lai- ^ai.-to cOiíiiiiuuicativo.
Le vap, Uironde, venanl de 1'Auióriiiuo du
des lois sur Porgaiiisatioii do Partuép, Coutos los lu tires quo-j-3 roçois ile toutes neiuciil une polititpic ãului-ilairç.
llélas ! Vrilioiuout n!ost plus et In binl, esl passe a Lisboiinu le 2(1 mars.
; |
lus
du
ii
Fordre
partie* d ii mondo sont un atloüoissejour.»
passe
l.evap. Uritannia, osl parli de Lisbonne
Pa i' ran.ee ost tròs-hésitatlte,
notivelie dosa mort nous causo uno vépom*
inout à ma pomo. Je vous ruinercie,
I Ameriqiiedu Sud le 22 mars.
151 lo rond homnuige a ia persoiinalité ritabío (loul.eur. Nous présontons noclior nionsiour, du votre bonito iiiitia"liou
Vapours arrivés:
coiiiplimonts do coudolé;iuces à sos vailAu Sénat, .e lor mars, a eu
la tive, davoir
pense d mui dans mon ma- nu .',j.. uualloniel-uacour ; in.it.-> uilo redisoussion iiio.iódiate d'mie int- rpella- lheur. Soyez mon interpreto aupròs de douto lo-; tlióorics lanuliores aux nou- tanis cámarados du Utl-Bias parmi les- Le 18 marsí— Angl, liulmiis dc Liverpool.
il latsse un vide qui sora bion
pranç. Ilenri IV, do Saídos.
tioa do M. lo gónéral Uobort au niinis- vos amis pour h.-.s reuieroier ou mon Vüiitix tüiuistres dus ali,tiros étraimèros [lieis
Le li) d
A:iigf. Borgliese, iN'o\v-\'ork.
dillicilo ;i oumbler.
de
la
tioiü
,)
pari qu ils out prPo à ma oi do 1 tutériour :
Angl. Maskelfne, do la IMala.
|-| tre tle la guerre sur Pinterprétation
et uilos-leur coiribien je suis sonLe 20 ii
"
Lemnos. de Livcrpaol.
peiue
loi
du
PJ
mai
do
ia
1831
recente
conu.ie fera, que pourra faire .\l Clialloniel-LaLe 21 ,.
Ali. Ceará-, de Ia 1'lala.
siblo à leurs inanifestations do syr-:pa^
Le 22 .;
« Ünenos-Ayres, do liamcour, dans les conditions dillíciles que iui crócnl
certíànt Pétatdes oífioiors.
Ej^iii-iâsi-tí s&ãàjoií-o
ihie ot do resréts.
'.'
ei
ses
doclarations
son
hóiirg.
sccpliqíics
passe
lioberfc
a
leriniué sou
Al; lo general
»
»
Pa lec.tiire tio voi.ro louro et d ;s
iM-aiiç. Ville de. Santos, deSantino trisi.o fatalitó seinble poursuivre
.\otis lo saurous Incnlòl, Laveiur ne inius
discours par la présoiitation cPiui Por- journaux quo voes avo/, ou 1'obligean :o
i .,tos.
eln-itie point, parco (pie la tmaiubrcnc laisscra ia tiir.iirc Recreio bruritalicO. Après io u
-¦'
»
Angl, Magellan, de Liverpool.
de uiehYoyer et quo ju garderai tlaus a certaiiieiaenl
Ponipositeur
W aro du jour motivo, ainsi couçu :
Alvarenga,
''
voici
Pártiste
»
le
iiiiuisterj
•SMüitdego
pas
Saídos.
preudre unc altíliibp ro qui lioiube, a sou lour, victiuié Le. 7 mars—Ang. Delambrii,
Londres
«pe Sénat, coinptaut sur lo rospect colleciion do toiu ceilx quo j'ai reçi ?, liiik agressivo.
poitr
'»
"
I1-1
será pour moi uu bion uottx souve, tr
Moridügo, pour Santos
Los "egartls se lournonl égalemenl \ers 11. de la erituilu éptdóuiie qui sévit en ce
dos garanuos qui depuis cinquaute ans
» »
branç. Ville Je Santos,
de vous et do l ou te votre famillo q le \V'ii| lock-liousseaii, minislro
iiiomént,
poup
de fiülõrieiii''.
protégent Poiai des olliciers, passo a ai si bion oònutie,
Santos.
j
»
Aí.
Itiboiro
avait tenu uno [d;tco dis:,'" persouuage s'esl fail, ., ia Iríbuno, 1'apòíi-e
20.
Angl; Kuben. pour Santos
lordre du jour.»
^l*" "
AAwA-e/io/t-, pour Soulliaiiq*-.
J ai lo plaisir do vous Giivo\'or u iü d'iuie liii-se de goitv, rneiiiuiil 1'ouei.ureiiieiil tlán- iingiiotí sur les priucipalü.s scòues do
Mais M. Juios Pei'.'y a demande Porleu
Pislioutio,
ot
la
do
mon
rouiãrquable
Il
scrail
liumiuu
lutorprólils,
der- gcretisc.
à reprouilro la Coiisphotograplne
pauvre
"
>•
.vil. Ceara, pour llainhoiirg;
I dre Uu jour pur et simple, en di.-.tnt:
nier lirutje hélas ! oi la íuieune, qui lilution tle Itíjá, .-i cela lui ólail possibie. Cosi tation do l'Acure do Aloiière lui aváit;
Krani;. Henri i V, pour |e llavro
'
»
une serie de Itoulior du gouvoriieiiient rcpubli- dós ie début, conquis la sympathio du
Anel. Q/lngurs, pour Now-Vork
« Pe gouvernement estimo que ce o,..t celle do sou ínaiheuroux père.
YAl'liUIlS ,VTl'l'.\-Í)lJS
Recovez, clíer Alonsiòur, mes sincòres caiu. ,lu.-,|ii'a qitel polui tl'arbilran>e poussera-t- public do Rio;
voto niarquéra do ia laoou la }uus corLe27). ¦> Aconcagua, du Chili
il ses expcrieiices'! I'ar qucls procedes noús
Po talenl du AP Ribeiro était rehaussé
rocio, la plus conforme aux príncipes de saluiations.
*-,v'Villa de Kio Janeiro, du,
dolera-lril tlu pouvoir forl d.mi il a éló si sou- pardos qualités personnoPlos ; il avait,
la sôparatiou dos pouyoirs, d'unu part,
Votro tout dévoiié.
llavro
vunl tjiiestíon dans ces ttoruíers tenips'.'
uu lou tos oceastous, prèté sou concours
\ ÃPEUIIS EN PAHTANCE
quele Sénat ue trouve on aucuue laçou
CrAJtHETTA PtítlE,
Hcarn,
Souiiue loule, i" cabinel est siiilisainiiieiil pour dos ojuvros do charité et tio ltbo- he 27..
pour Marseille
la responsabilité tlu gouvortieinout on2'1Mondegu,
pour Soutltamplíoiuogciie,
ei
vos.
rátton
coui[iüsó
d
liomincs
desola
a
la
baulçtir
^üs tictus Uuut il sa^it, que
í»
ton
';M t'ao^e Pal'
ile
indal,
leur
m
Aconcagua,
"
interpréiée
élé
bien
loi
a
Pt
Au dernier inonient, on nous informo
; et, d atitre
llordcaux
pour
Ville
<=«
l*P"ür la prouiiòro fois, [leui-èlre, depuis que
de Santos, p. lei lavre,
part, que lo í òuat a conliance dans la
quo Mino. Pslher do Carvalho sorait à
la Itcpiilüiqiíe e.Mste, le pays ei la Ciiaintiro mui lour
;iãi Sãijoi t,lí3 lia
sagesse, dans ia íermetè et dans le bon
gravo.tneiu attéiiíto
ii'cpotisont
vouloir du y ¦uvernoiuoüt qui est sur Oótslsii-ííltsoini
pas clial en pociio ei s.tvenl oxacleíJ>iBí.ist'<í'i*itíÍ!o
Co íatt ost datii.tut, plus tristo
quo
iiicul, a quoi s'cn lonir .-ai' les intenlioiis tios eos
ces banes.»
artisles, tous trois trós jouues, sont
La nouveau ministòre s'ost presente
|'"-'otivüiiiaiii
,
c
arrivos etisemble do Portugal, il
i-^ubsiclio.s IltfOA-aiúos
,K:
Mis au scralin, 1'ordre du jour pur ot
y a
par M
La dovisc du noiueau niiuislèro est: «Attlodevaut ies Chambres
Guilherme
niois
;i
Belle^arda.- Co no
quelques
peiue,
simplo a étó adopté par i51 voix contro
pas dans une*
1'ilé a I intcrio.tu', prostige ., rex.lci-ieur I »
simple noticedo bullotin bibliographique
Pas journaux républicains 1'aecuailqui!
110.
Xous avoiis toul inlcrõi . ee que l'expérionco
esl
possibie do rendre comple duiio ouivre do
lent assez favorableineíit, toar, ou lé- tle cetlc
politique se poursu;\e jusquaii boul;
celle imporlance.
nioigiiaiit do leurs déliaiices pour ies
L'ouvi-age est diviso en Irois
Tkouí>h itai.h;nni.; Piouui.—Avec de
pariies: la pre-,
H
Pe Journal Officièl a publió le 28 tendances auloritaire.s de la plupart tlu
micro parlie.cüiilieul les citations aveccommeiH
três
modestos
étèiueuts,
culto
Iroupe
a laii-üs ; Ia deuxiimie los cilations
M iévrier los décrots nonimaut los sous- sos menibres.
dósiguóes et
róussi à;gaguer Ia sympathio du
public.
la Iroisioiiio uu indico bibliognipliiquo.
Pa
iiápübíique
à
AiTòtoiis-uous
iiiis
co>;
les
les aniirs
fretnçaise,
qui
m secrétaires d'lStat. 11 y en a oitiq, tous
Uu moinem qu'on a étaüli un
para liei o
L-ouvrage de M. Ilellegarde est un véritable.
tendances ne déplatsout point, e>t Lou to
(ICtMãyile snicant .S' Lue)
entre ie prix du-- placos oi lo taleút dos
WÊ deputeí, savoir;
Irósor tLórudilion ; on y suit sansellbrt Ia
liliã\'o\iy vous souvene^jSans auoun dou- arttstes, nous uavous plus qu'à íious lioiij dans les langues
AlM. Marguo, à Pintérieur, Noirpt, à à PentlioUsiásuie :
françaiso ot portugaise, do
ot
à^uous
declarei*
satisfaits.
inibüCCiUs, cüg
te, uus
des jeuM
cuc amu.soaiou!
aiuusomeiic Jdcliuer
,.)1U. lo,.
Le cabinel nouveau nous parait fail poit
jeti.ü uonuccius,
la justiço et aux ciiltes; Durauii, à
corlauies idées ou (teceríamos e.vpressions 'ce"i";i''1'L,'"'s
Grispino
bJvnani
,
ei
faiuilies
Pon
des
douue
oit
lu lebres euiployóes
dos gages ot
Í'instrtictiòn publique; Pabuze, aux li- rcpuiitlre ii Ia lois ii Ia situalioii parloinenla,,.,,
par de grands ócrivaiiis ou do
aux líóccssilcs de la p ilitique góiiórale ei ii Il',,'
ai oii los aiiiuiidosso pattíiiteu batsors uieii ^'OÇutorc^mi oté interpretes d'uuo grands oralours.
et
Paihaut,
íuauiero
aux
trej
travaux
uances,
coiivoiiable.
Un donuece
pu- leule de 1'üpiiiiPn publique. Si uniis hu sonhai- iouoros sur des j o tios fràiches ut vuI
frciions pour exemple : E Urdo | ,,o.i' Linda de U/iuriióúÀuti qui, nous
)miUy
blies.
lous de grand ciour Ia biouventie, ee n'esl pas lou toes,
'.•rJe\,
pai-ulesdofexordedtt
on
sütiiiites
panógyrique
do
obitendra
persiiadés—n
P incident couiique qui sest passo
Cos deux deruiors faisaieut partie du tant paree qti'il coiiiple tlans sos raugs quelquo.spa,- Sainl 1'iert-e .fAlcautara,
it
inoius
do
Ia
succès
prononco
cliapello
lus
ouvráges
soa-au
quo
ineàu*e Príncipe Lmuns dc nos inoilleurs amis, nous savous qti'ils uioròrédí
qui unpérialo le 111 (jolobre 1854,
S précédont niiuistèré.
¦pcriai a evoque eu mui eu souvenir loin- l ont precede sur la scouè dit Polopar le moina
sont plus disposós ii euvisager dans le pouvoir
iH-aiicisque do Monle-Alveruc.
Lettre de M, G-amloctía Pére
Eevue
do Ia presse
FAiMTASSlE ~
les dovoirs ei la respousabililó qu-il iiiippsc,
AP Tirard, ministre des íiuances, dé- les inoycus qu-ij procure d,.- servir ia cause
íposera tròs prochainoment sur le bir a laqticllo on a voité ses forces, que le vain ,¦!
fugilil' cclal qiril apporte avec hu. (Jo qui ,i,,u
trejau do la Cli tnibre ie budget (to ISSÍ.
faire Ia force de ce ministòre, e esl qu'il nutis
il||§ou plutòt une partiu de co btulget, co
proiucl, par sa couiposition nicmc ei avani
'.®qu'on a]qiello io budget òrdinaive,
¦
— loule rédacliou de prograinuie, I,; reinar aux
car
,i
ii
...
tia présentatiou du büdgefc extradrdi- príncipes de goiivei-neinent donl la luõcoiiiiaisóÈiiairo será diíleróe ius-.iu'à la liu dos sauce a oii do si faclicuses conscquenccs au detlans et aii dehors tlans Ia póriodo que nous ve[iiégociations qui vont ètro engagées
nons de ti'a\erser.
avec les grandes Compaguies. bolou la
,
... ,,
, , òiecle
,
, , ;i. Pi
,
applaiuPt
laçon dou
¦
isolution
interyiendra, les Po
qui
graud
Iravaux do chointns de fer soro it contitiués par" les Compaguies ou po irsuivis
par 1'Ptat qui lus a eominencés, et tlans
co dernier cas un appel au creu:;, public
doviendrait ne cessaire.
Ajotttons que le ministro des iPuuiees
fera reutrer eotte a ,iój au btid-j-ot ordinaire los 1'rais d iiiíretien du corns
iPoccupation do Tiii isiu, qui s'éiévent
à ^õ millions pour Patiuée et qui avaient
gété jusqu'ici cousidóios comnie dépenses
M. Juios Purry a combine ses choix,
dans io but d'obtenir uue uiajoriió plus
uouibret.se:
tain.
A propus drino couttístatio.i outro lu
direeiour du theatre ei sou propriécairo,
lo public qui, cjuu fois, u avait pas ou
la pomo tio rotoiur sos placos au bureau
a pu joitir du spectáclo inédíc d uno sui io do fonctiouuaires plus ou moins gradés s'arrôi;aul les uu> los autres uu
auivaut Peoiielle oliroinatiquo üe latitorne que leur confere leur grade.
Cest 1 ii)'Ouno, lo modesto, 1 iuiiine
ageut do Pautorité, qui eiitro lo preiuier
ou scène; ii metia main au collotdu
paiticulier ; survienc ie /iscai
qui
n'otaut pas du tiiòtne avis quo 1 urbano
Lartète a son tom*. Arrivo io suüdeleçjado qui,apròs avoir eucoudu ies raisons
dos plaigiiaiits, coudaitute le uscal a la
prisoli. Alais Pt ventio tle Pavòoat du
Les Ilumines qm í',',il partie du cabinel du
21 fóvrier sonl Iros-cüunus pa,- leurs laloiils et
¦¦•i
ivui
leur expòrieuco
¦
*i*v»*w
*l«. < «"«V
i t i i > in,
i
ee 0'JIM
v.'*-" 1 ui t;uui
L~-'J **
sonl < de
I i;3
; vi.
polítnpie
par
j
H'yiiviivi.
[¦¦
j l'1
Ilumines de gouveriiemeiil, donl Ia plupart uni U aceusé cliauge üiontÓL ia Uice des ev
déjà lail leurs preio.es; ipielques-iuis d' ..Uv | nenienls ; a son Votii', :1 invico ie subdti
eux sonl au premir raug dos oralottrs du i ir- legado á .so coustituer prisouuter ; ouliii
lemeul. lis joigiient a des eapaeilús j>'olili(j ies arrive io Chol' ou Pol.ee,,.
iN.oüá avons cru un iiioineiit qu'il surincoiiteslables le prostige de 1'cloquence ; ii : ms
ces litros nou.- croyons que la Ciiambro ei ie gtraii uu íiiiuisito qui einprisonuerait
ie Chuf de 1'otieo ei puis emuile... un
pays leur tcronl le meiileiir acciieii.
UlCUiilU.
L'atttour rappolle dans ses noles
qU0 co mofc
date de la róvoliition de Juillet 18110.
Aux con.d. Massenot, frère du célebre auteur cossions lardivcsdii roi Louis 1'liilippo. Lamard llérodiado, ost do passage à Rio, ve- Une rópondit siinpleuiont, eu eiitondant grondor
au deiiors 1'orage populairo .- // at trop
intui do. liiteuos-Ayres,
idrd l
Nous estiuioiis
Ai. Ilellegarde vient do
M. Massenot eompte ramenor uno rendre uu immeiisoque
serviço aux ócrivaius brósitroupe du comediu ot draine dont los lions
et porlugais. La preinière partie
qui vient
princ patix stijets sui-om empruntés à de parailre,sera suivie tle
autres
plusicurs
volu,
la Gomàdie tfrunçuise, à VOdóon et mes.
I
an dudüoUlc; cot empresário va en
A u.vi liatlor da 11\ a u. s t
ri a
outro, fairo une nouvelle tentativopour
:S;ioional.- II inauquail it lindustrie
nuamouur Sara li Peruliardt ii Pio ot à
lionale uue publiealion spóciale.
Pjiienos-Ayres'. P'engagenient de M""
La nouvelle publication
que nous avons sous
Agar est cortam.
les yeux, nous parail remplir aiíiplenjeiít
cc bul.
.Nous trouvons dans lo
premier numero de rePai., dks Tuxentus et des Políticos. marquables articles sur fóconouiie indtislrielle,
— Ce sor, Sainudi, aurout luu
dans le 1'iniltislrie Nalionale, LAgrieullure pratique. J
íocai do ces doux Sociótés los bals de Ues dounócs slatisliques três
prócieuses elo.
ia lin du careuiu, qui, nous Pespèroils,
1 to vista Agrícola do Imperial
ins*
serout aussi briliauts que coux du Car- tituto Plunüriensa de Agricultura
redigóe
naval.
Al. le Coiiseiller .\icolau Joaquim Aloreira par
—
Cetre re\ ue a pour but de vulgariser
aupròs
des agrieulleurs cerlains procedes de
cullure
Ci.LU Ci.:.\n.v1!.viii-xsk.— Pu éhigaiit et encore
employés dans le
pays. Klle oonstiar..sU)C!-aUaitj veitn doré sur tranche tue aussi peuuu
guide précioux pour ccux
qui veuiiuiiò auuonçatl quun giaud bãl
paro ei lent sadonuer à des cultures speciales. La remasque devait avoir lieu ce soir, dans vue cui.l.e.it,
enoutre. des donuees statistumes
les salons iuxueux du Club.
t IMC II
I 1lles
l,W
I I ...
*
*-'olls"lter
'
a
tous les fois ... veut
•
,, les ,.,se
vs
qu'on
Alais
u'etaut
'iiagistral plus nane en
grade qui enverra.t tout le ministèro geunr sur ia
pai lie huiiudodu ecudrez.
AP Jules Ferry euteud que ia présiLe itoiivêau intiiislère bõnéliciera toul daijord
iuanquait uu»
il^ •^
ne '"«"'tcui
de ia uras.,
..
musique
que uom
preparatifs
eU." lor,uor u"ü idw du ^veloppeinènt de
uence du Conseil ue sou pas un simple du besoin qui s'esl si impéneusemeat uiaiuiestc d'ülieubacü a cette
pas
paS enPagricuN
,,; tr
í a du
r reuvoyer
potiie sceue
i oui icu.o
teuuiuts, io !oiuo
'a| turo au lü-ósit.
sWê fcP''il0r''uulire;í—
,
1
Pu 1 Cnips o-t tout
au nouveau cabuic-t:
aussi favora. io
A
I^e MoHsager du Btr/Sail.
¦iit|iMiiiiinirinii: n iiiriii iimiiiinini nim nmiiij i
Oesíoflption
do
1'ápparoll
au.l-oui.utl<j.u.o. iiulioaloiir el oxlinuloiir
da feu, invento par M. Folix Balir (do Varsovio).
ltolaofio 1'ocmuiai'io, orgnnuú
sur Ia domamlo ilo S. líx. M. io Chof ilo Polico,
pour les proposilions do fournituros do médicaments aux inftrjjierios de VAsile] do Mondicitú
et inaisohs dõ détcation par M. lo Dr. João
Pires Farinha.
Uinlào Módica.—Numero du móis do
fóvrier.
ggK&Cudos sobro a lil>ortaoão
dos escravos no I3i.-ay.li. par
. M. .Anizaut Furtado;—Elude éeononiitpie d'uno
haute porloe, dans laquolle scnl exposós tos
meilteurès metliodes h adoptor pour faire disparailro resdavsge du Brésil sans eauscr do erise
au pays.
Les journaux, le Voltaire, la Gajette lutarnalionale el le Bulletin Maçonnique de
Paris,
ainsi que Ia Tribuna /Nacional de BuenosAyres, onl bien voulu aecopler 1'écÍiaiigo avec
le Messager du Brésil.
L'1íconosuste Fiunç.ais» (bureaux, 2, eili
Bergòre) rédaoteur en ehef, M. Paul LoroyBeaulieu, inembre de 1'Jnslitut.—Prineipaüx
articles du n. du 17 fóvriór.—Lá baisse dn
prix du blo et la liattsse du prix. du paia.—-Lc
socialismo parlemeiitaire el les luis spèeiales.-Les importations et les exportalions do Ia
Franee.—La siluation eixmóiniqiie do la llongriò.
—Lo inoiivenienl de la population eu Franco
pendanl 1'anuée 1881.— L'industrio des trausporls ináritínies dans 1'oxlrènip Orient.—Les
chambres de cominerce tninçaises à l'étraiigér.—
La deite publique de la Grèce.—llevueóconomique.—Nouvelles d'outre-iner.—Kevue iínniòbiliòre. — Parlie coinuierciale.—Parlie linanpièré.
El Mundo Artistiso, journal de musique,
tliéiltre, litlórature et üeaux-arts, publiú a lluenos-Ayres, par la maison llarluianii, donne cn
supplémeul dans sun numero du 25 fèvricr, uu
Mocturne pour piano, par Cli. liovy Lysbecg.
La Nouvelle Kevue. — (llureaux, 23 lloiilevard Poissonniére).—Sommaire de la livraison
du 15 levrier.—Cíeoiuie Sa.nd : Lettrcs a Gustave, Flaitberi.—íiL Eu ile Lutei. : les citemins de fer el le budget.—M. IIeii.mii.I) KeyNOLfl : Correspondance de Louis A/1'.— M.
Ernest üaudet: L a Car mel ile (première parlie).—Al. Jules Coute: UEcuie Française
de Jiome.— U. Anatoi.e Fhasue: Le Fetít
Bonhomme ftihj.—M. Fuancís Pittié: rPoésies.— M. 11. de KoitMEit: Kevue du Théátre
(Drame et LouiédieJ.
BALIVEftNES
Lejeudi saint, on sert de ia mortie
chez M. X. Nbonbo, qui ordmairement ue peut pas la soullnr en redemande irois fois.
La more três surprise lui demande
la cause de cet explu.t.
Cest pour qu'il n'en reste
plus
demain,
repoud níioiiho.
pour
ru>u
V?
CHARGEURS RÉUS
131 Rua Sete de Setembro 131
Le vaponi'
7I;£EI.$ESA;l!l:t).S
[íistallaiiòi] d'unc typpoTaphío amóricaiiie, avec machine LIBERTY
pour les
Iravaiix do luxe tels que:
Factupós, Ciiculaires, Eiilèles de leLires. Momorandüms,
Prix-couraiits, Caiies-annoiices
el. eu general luas les imprimes de commercc el, industrie
partira potii'
Rj.li
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)|J
li íi ü
U.&
,'ui"tii.-,.;:
avee escales à BAHIA, lo 28 mars à midi
CONISÜLAT DE FRA^CS
Lo vaponr
A
PSRNAáBUGO
l.e piibliucslpróvoiiii que PIítaíii.issejibst m
Pi.iofoiiiiAPiiiR du sietir FHANlIOiS
LAlíADlIv.
sdno.rua do Bardo da Vicloruth Pkií.vajíhuiíÍ
Icès liieii a.dnilani!,' parsa élienlòle brósilicnmet ctrangòre, esl mis en vento par suile du dii,:c
do sou propriélairc.
L'l''.l:ililissoniont será mis on adjndicalinn I,
loavril prooliaiii, et adjngó au
pliis oilianl el
dernier eiicliónsseur.
Pour Ious reiiseignemoiils, s'adrcsse;' au
Coívsulat ue Fiiàxce à PliitNAMilUCO.
SPÍCiAWTJí POUR OARTIDS DE VISITE
Í\M M EIQ IIMÍEÕ
^•>^>t;^^f^5«
Iitipressícacl^ixv-agüssoientifiiiiiés et Httêralres oomm©
atliiiidu dMÍUHOPK ei escalos, le 28mars,
parlira pour
Pour passages ele, s'n
Tradüction en français des puyrages publiés en portugais
aux ;i'.'enls:
Aa^ucíi^ Loulba £u G.
«Sn
i \. usx
|P-
A i ! í* n d
: a
líríl
M. 50. BAKliN
Pour riiisuription de noiivcaiix souiólairos.
ou los deinantlosde áeoottrs, s'iuiressoi'íui biirciui
de Ia Soeióté, iuje nova uo Ouvidor ,\. 3(5 loirles jours de -i 1/2 à õ lieures.
Pour le comitê, lo seerétaire.
Spii-, .
C.h.
COiNSOLATS Á m
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IjÍTjÃÍnlIUO
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Le capeiii'
FiiAxia:.— liua dn Gciicrãl Câmara n. ."iõ.
AuTOiiaiE-iloNiiiiiE. — llua ,iit Allandega li. 40.
Itai.ie.—liua da Quitanda n. ¦!'.>.
Slis.se.—Una dos ünrivesn. 10] A.
PoiiTUiiAi,.—Praea da Constituiçào n. 38.
0;t i>. i joj-ja ai 1;.i'o
lisi'.\ii,SE.- liua oiv tU> Setembro n. CS.
arrivó dMiUHpPií p.-.i' lo ÜIO Dii LA PJ.ATA
ÁxiiLETEiiiiE.—Travessa de D. Manuel u. 2.
parúrá pour
l-.TATs-U.Ms.—iíua du Visconde do llattiia n. 30, J3ai.'coSou ü ;>.
Pays-IIas.—liua Fresca u, ,r>.
Ai.i.E.MA(i.\E.—Una da Allandega n. »3.
d c: sj cs
llússiE.—llua Primeiro de Março n. 71.
rs":iplOí9.
Danemahic.—llua do Thcophilo Ütlouin. 50.
Io '.iõ .Mars á iiiiilí.
ájJ_EDE'ETiNonvÈ«u.—Una 1'lieopiiilo ülloiii n. si.
Pour ii-.M.-i, passagos ei. loules íiifúrmatioiis
Cpnkiíd. AuoExri.vE.—luta da yiiiíanda n. 11,.
s'adi'essor
che/. los consicnalairos
Uiiuiiuav.—llua Primeiro de Março 41.
Paii.uiuav.—llua Primeiro do Marcou. Dõ.
Kiixl Talais áb G.
34
34
RUA DA ALFÂNDEGA
O.u. cloiüaiiclo i>oai' io iiiUKSSAÚliíl
J.IÜ UilíisiL» un o o ii courtióidaanojicos conuai.siaiH Xjívh.
ia yiiioo.
Vitkíi' í tu
rins Jo Tiaínres Proçreaaives
Bi!
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. r.m.-ciii-.vruxBi.AMis "
[,
ÇriJLSIVH
-ji'iiiillSi«r»iU'íl!»üol!Cífc'tíiis»BfW
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1* 4ir--?'.j us
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Íe!|M-JwB'SBit'Hs6ii
f" •««/ ninou
S-ftilTSilá SSíiS^rira
ORíifM -; ,i«W«ía.
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J ^ ;,"'^!.. Sr,lfr3n.nnorili",alte«ut
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C0MMISSAIIIE nE SEHV.IOE
erffi
Istra-fine
&q Ia saxargiiè KIGH1L & L00Q.U1S (ds Grasse)
109 RUA DE S. JOSÉ 109
Ce produit de prein ève qualilé, sans mélangc, d'nn arome parfail, so recommanda
part.iculiiireine.nl aux nién.igòres, reslauraril» de premier ordre et aux vrais courtnets
¥§ :i i p !i ío e 2 IL <¦¦ o ?. > o 1 d 3 £ I na E
<jí-i*..'-. «O»!'.', liu t>2.V?ttil
üépòt chi'/. MM. Kiiaiioiiiooof «& o., llue d'Alfândega 38 et M me
Vo.uv© ííojxi-y. Rua dos Ourives 4"/.
Pri.urc a Ious les íncinbrês du dil att. •. do
Tailletir, propíiülairo de ceie maison, fail
eoinparailre iiierorediüd mars.
/&0S^ri^>3SíMiwS?âtt^ &
pari :ni public qii'il se chargo iln travail ou loni
j,-..A-.i;'.iviJ..'.íivl-ii^vVi;-;!-.»\in.-í!i'i!
genro, sòit vèlúincnls sur inosurü, cdinmc.dc £W AGAÍ)ÈMÍB DE MÉÜECINE D?.! FARíã
Le Secret.'.
toiiie ospòce do réparalions, a\oc elégãiice o!
<--L Cleitwnt;
ert.clii.:).
sE^r,"-'--:^^
^a?
íf
P4
PUIX
....
Après ií jours do róllexion, 1'liunui'ablo seerútaire de la Süèiúló bVuinuiise ue Gyiiinasiiquo
viuiit dócliiror, ilnus lc Juntai do Oonunerofo iln
'>i;i (iourüut,
qu'ii ao relevo que du i-t,iuiiõ (ilont*
sypliiliüi.cji.-u.oas ot Uo lá pèau|
il est seurútaire} oi atujiiel il a rondii eompte cio
sos notes, oi il njoute iju';'i in róuriioii Uu 11 con.
raiit, il a pariu on sun nom.
Si M. Brelon a parlo ou son nom, il n avail
aiifuu coiiiplo á rõüdru ile sos autos au comitê ;
il est dono bion cortaiu, aujotml'uiii, que cé
SPEClALÍSTii;
Monsieur a, par sa lcgureiú, ouyagO lo cumitú oi
que oolui-oi t!ósit'0 Oli'o ilügagó ; mais la dóclaration do M. Brotou no 1'ail qiriijryraver ia pasition du comitê, puisque lui-mCiué nlliriiie ,ju'jl ;i
De 1 i :-) lieures
rendu compte iiueoiniló dos paroles iiiijiniitontos
pronoucóos par lui.
Dana sa ilóolaralion, lo scorótairo ,1o d .Si,j ' ' iiision scieiililKjuo.
clété J?rançaise de Gt/ninaslitjue, n'cssavu pas esl deiioiiveau i Ia disposition de
ses inalados
d'attóuuor lo sons dos aocitsaiions portóos par tous les jours do 1 li. i :i h,, me tio tlozario
1SK
lui conlre lo comitê do la tòto du I i JnilLut
1882, Sou silonoo á ool oi.";u',i esl une eonlirnia»>íj. «jíiiitaí, arttsto cortlonnicr. Bottion, ot los lionorablos inuinlires de co couritó s.iuuoa .Mir uiusure. l'r x moiléròs. (Jl
i|u'imo
individualité sans
vout tüijoiu'd'liui
t'ua cia Carioca— i',:'° éliiíre'.
maudat a voulu t rair luur rüptlutioiV,
Voilà la vérilo.
Eucore qüelques mots :
Monsiour Urcton, soerétairo i.!'iino Sociútó
Maladies de Li fannw et inaladies
Française, davrait savoir:
r.ervatses
1". Quo ee uVst p.is la (!}/mnuMi<i\ie qui esl
:17 ,1 à íj lieures.)
X,
iu:e
ues
ouiúves
franqaise, uiais bien la üociVtó, el quo l',ni doil
diru Sociélé Fruneaise de tíijinuaslique, ot non
Sociélé de Gtjiiutasliquc JtCnuiçaistt.
:)nD
2°. Ün no ,lit pas: (/ proteste le plus profond
mépris, mais; DU i'LL'S
llevisla q ..i.cnal ili.slr.tda ile literatura,arte
Sur oo, jo sijjne :
\ ciências
Labora, asselh', quomoáo laboraci el proderil
o. í. i-orrer. ouííoi', a. rue de
tlbi.
JUUUíLÒ ItplüilS
Dt- SILVA ÃHÃÜJO
C.3
Rua do Goiiüral Gamara
0;i:
M
/mm
,
:-.a J3au mir-érale ferrugineuse aoidulo est la plus riclie en
/h' el en acide carbonique.
c;:.;|
r-elic E-..A.Ü- est sans rivale dans lc tratlcmõnt dos
GÃSTRÂLGjES - REVRES - CHLORGSE - ÂNÉIV1IE
toutoS les íiiiiluilics
et
I
;7
provenant de
UÂPPA-UYRISB-EiHIjEN.-T
i;KSOCIiJTE
^©^
O.pNOESSIONNÀiRÉ.
131,
DO SÂ^JG
Boulevard
Sébastopol à PARIS
-mo-de-Janeiro : HERMANN SCHLOBACK
& GOSTA.
^Deposiiairo à
<teawfíiiaí*«'iW' ^n'tf iv.-jiãDoijaa.'iíiàéawü£&aaaSt Jc-. -^j£S&iiji«£Baici;i:,,{^S£^ii
¦-•J^*,''t!^^»>-'--''-;iu-^í--''--r.(-.-'B"t--.'a^.'i"' "-^^'ii'-^^^ç^^-i^l^---í^^''-^.'^'^''-5^'^''^'.^
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Gouârén de Ganyot sert à préparer une eau de goudron des plus efiicaces et agréable aux
v.,;
|7 estomacsles
Le
plus dcJlicats. Jl puriflo le sang, augmente 1'appétit, releve les forces et possede une grande
dans
loulcs ics inaladies des poumons, les catarrhes de la vessie et les affectiohs des muqueuses.
|.' cUicacité
Í5ciw<ívtss» de ÍSttsyoí a été experimente avec un vcriiable sueces dans les
|3 Le
principaux hôpitaux de
|| Franee, de pelgique et d:Espagne. Pcndant les chaléurs et en temps dépitiémie, il constituo une boisson des
P.Uishygiòniques et présenatrico. Un seul flacon sert à préparer douzè litros d'une boisson des plus salutaires
i-i
Le I5u«iía'02í de GssyoÉ ÀâTFaSÍEilTI^lLlE est veadu
LeDr, L. Coiity,''''n;;,"irf, .c"ex"
en Cacoiis portam sur 1'ótiquelte la s|gnature en trois couleurs
Vcnte au dilail dans la plupart des Pharmacies.
J&>
FnJuricaísíMa et gpos : SUaSsoa L. E^SEür^í ei Ch. rF4S>SS€SS«.^, 19, ync .laeofe, Wawio.
Dr. POHCY
U
> Y AMERICA
liennes. i 'ai'..--;
l'!'.iii..i.!i A.NO lo. .-l 1'L'liLICAClÜ.N
li Juilloü I:-'.;-;: t
rur.cios uv. scsiatuiov
L"n grand nóiubró de fraiifais coiuiit,, sur lc
liu lüiropa, un ano
12 francos.
»
patriotismo du Coiiiiié du rannéo pabsóe jiuiii'
Ln Urazil,
i nesos oro.
yonvoquer ia Culunie.
Se suseribe eu ta adininistration dei M^Toa' la Republique,
.v.i^cv au Brésil,
x^% Vi
KCONOMlÓüKS
UU.\ BlíTIi 1»K SKIliiUHKO "i'/
•
Cl.. biAS KT DOS OUIUVKS I
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í ESTIIE LKS IlUES ,.
riúsilicii ',"•
«wiuuw.,
.Atu
i>ocaí,totüii,;j^,
I
A jipe a lutite iiuu,
I
Jl "uxiUC-o ;.« swu í-ts, to i^»;Spccnii: L-: A. UL. iu foniuio ot voies
Appareils Corre
urinaires.
uiuot: i». kJ,ím,.^.
cio
*#àfv
^."VIS
Aux concours pour les chaires de
SUppléants à 1'Ecole de Médecine :
Lorateur a pris pour thème la question des principes yéneruux ifbygiòne.
Que doit-on faire, s'òcne-t-il cn
atteudaiit le inédecui ?
L'<ll Víí
|,,i
S, ;.. ;
•°,--'. — ú. ma d,i
Son tostament, c'écriu un aiidi Uriniiutyna u. •!.;, ,s,,ij
teur.
' ° ' i'1 ciiirni'-k^'H-.,-vííV "
LiR A,
Íã
U.Uk,'jit
!,„,,„ ue lál-acuito
Vn.
ue taris.
üoiisttllations ii,' ,
a / líourçs ii sou catejooiòtó Lfx^aiioalso
O y .ni n us L i >x u o
^mm ei mmmflÈ
Mlliâill 11 TÜBli- íi
A.isrisro^TOES
IÍMILH ALAPIIII.IPPK comorolò
tou:-i sfsooinpatriotos ottou.!:)
iSois aiixlsj» tiixl out aooompaijiió h sa tlocixíòco clónlouco
son épottso í-oiçrotcóo LK0NTÍN15
ALAPlIlLIPPIi-,-ot leur témolgiib
touto
sa
i-<ioonmiLw.sníií.!<:poür oet aote cio syüixuaLlii©.
•^
IjiiJiJilf
\
DS TÉR*:v:íbi3»T5ÍSÍ«5S oabhf nt o:t q-uçlqnes minutes :<r,s MIGKAIMES et MAUX
^..,
D:., ^.^HW?
TL^b les í>í:íg
J^oleata et les KALADKia DU POIB, Si Ia doso de treis eu quutre perlea ne
jaocíi-íisait. pas po:-cn t apres qvibiquiís i!:stan:.s, ii ccíi-ti-aiiuij
/-j^
^
da contüiuer. Cbaque flacon contient tronte¦ perles. l?our avoir
Cx<-ff',^-^*\
la prodiut biçn prúparé st eiücace, exigei' ia siçn.atiu*e
•^-—•zr—^-.-^j
Li;*íb PSRLSS D'ST1ÍEH sont ie re/nède
excelicr.ee
des perSúUnüS
/"> n
p.ir
'évànóuissemeats
'dfcstoindc.
aQWSüses, sujeite; aux èioiiffémèntSf iwx cràikpes
a::x
CrV^
et
elles dotvent toujours avoir sous la main as prèciiux inéáicatr.cnt, Exieer ia signauire : "t"
5 £<3>t
•arcnv-s
de sulfate de quinine
(deux
e certainc. £:les nc caüsèut grãins)
pur, Aussi leur eiíicucitd dans les cas àô üv:
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