REVUE DE PRESSE

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Les Furies de Borås
Anders Fager
Horizons pourpres
Parution le 7 janvier 2015
Presse écrite et blog :
« Il se passe des choses curieuses dans les campagnes du sud de la Suède... Les
Furies de Borås serait un peu série Z si le Suédois Anders Fager n'avait de
l'humour noir et un talent... monstre. » Arnaud Gonzague - Le Nouvel
Observateur
« Un auteur différent pour une oeuvre intelligente, suggestive et très spécifique,
mon coup de cœur de début d'année auquel je souhaite un bel essor. »
Eric Vernassière - L’Express.fr
« Un écrivain suédois cultissime. Un régal horrifique. » Jean-Pierre Fontana L’Ecran fantastique
« Dans ce recueil, le Suédois glace le sang sans effets de manche. Chez Lovecraft,
les héros sont, pour la plupart, des marionnettes interchangeables dont la seule
vocation est de narrer et d'éprouver une horreur sans mesure. Anders Fager lui,
veut rendre ses héros attachants - plus douloureuse sera leur perte. »
Alexis Brocas - Le Magazine littéraire
« Ce qui marque chez Fager, c'est ce mélange d'horreur, d'humour noir et de
lucidité… » Alibi
« A la fois fantastique et terriblement réaliste, cela fait très peur, et Anders Fager
en a bien compris les ressorts (...) On a du rock 'n' roll, on a de la peur (...) Je vous
conseille vraiment ce livre - plutôt en pleine journée, pour éviter les cauchemars. »
Nicolas Carreau - En français dans le texte" sur Europe 1
« Vous devriez jeter un œil sur ces nouvelles d'un nom de la littérature horrifique
suédoise... Une dizaine de contes ténébreux. » Baptiste Liger - Technikart
« En treize nouvelles, Anders Fager fait une entrée fracassante dans le haut du
panier. Et sa manière d'inscrire son folklore magique scandinave dans le cadre
d'une chronique sociale réaliste et angoissée est tout bonnement géniale. »
Jérémy Bernède - Midi libre
« On retrouve la dimension scalpel et froide du polar à la scandinave, sauf que
c’est transposé dans du fantastique et dans de l’horreur… Franchement, ça vaut le
détour ! » Michel Dufranne - « Livrés à domicile » sur RTBF
« Puisant dans les grands thèmes de la mythologie ou du folklore, Anders Fager,
concepteur de jeux de rôles passionné de rock, renouvelle le conte horrifique.
Ici, le monstre n'est pas toujours celui que l'on croit. » François Rahier Sud Ouest
« Après les polars venus du froid, le fantastique venu du froid.... Les nouvelles et
les ambiances de Fager ne font pas partie de celles qui s’oublient peu de temps
après avoir été lues. Prenantes, fouillés, souvent fascinantes, elles donnent envie
de plonger plus profondément dans son univers. » Mythologica
« Fager a bien potassé son Lovecraft, il le connaît sur le bout des doigts et s'amuse
à le retranscrire dans la Suède d'aujourd'hui. Mais la démarche est loin d'être
gratuite : il ne se pose pas en simple imitateur, mais produit une œuvre
véritablement originale, où infuse sa nationalité. Le décor est ainsi exclusivement
suédois, voire centré sur 2-3 endroits, dont bien évidemment Stockholm. Pas
besoin de connaître la Suède en détail pour savourer ces textes, mais le décor
choisi leur confère un cachet très intéressant. » Noosfère
« Une œuvre atypique et fascinante... Je me suis pris une claque! Plus qu'un
écrivain, Anders Fager, ancien dyslexique, véritable touche à tout (historien de
l'antiquité, punk rockeur, créateur de jeux de rôles), est un artiste à part....
L'addiction est immédiate. » Cafards at home
« Un auteur à la créativité sans bornes. Un extraterrestre de l’écriture… »
Strange Movies
« Des trois auteurs cités en quatrième de couverture, John Ajvide Lindqvist,
Stephen King et Lovecraft, c'est du génie de Providence que se rapproche le plus
Anders Fager avec ces anciens cultes qui semblent se cacher dans l'ombre, ces
créatures venues de la mer et le côté tentaculaire et indicible des monstres
présents. Un Lovecraft passé au moule d'une littérature plus moderne, plus trash et
plus sexualisé, nous laissant souvent sur les rotules à la fin de ces textes. »
Psychovision
« Vous n'avez jamais rien lu comme Anders Fager. Ce type est fou. ll vous file la
chair de poule en un claquement de doigts, parce qu'il est à la base un génie du
réalisme, il le maîtrise à ce point qu'il peut le briser en trois mots, et faire de la toile
bien crédible qu'il avait peinte le terrain de surgissement d'une atrocité larvée (...)
qui hante le texte avant même de l'avoir complètement pénétré. Fager donne un
autre sens à l'expression « jouer avec nos nerfs ». » Obsküre Magazine
« Anders Fager a une écriture forte, incisive. » Zone Livre
« Une approche dépoussiérée du récit lovecraftien. » Quoi de neuf sur ma pile
« J'aime bien cette idée que l'on n'est pas vraiment dans un recueil de nouvelles
puisqu'elles sont plus ou moins liées entre elles, par des détails, des personnages
communs et qu'on n'est pas non plus dans un roman ou alors un roman avec des
chapitres qui n'auraient rien à y faire, totalement déconnectés du reste de l'histoire.
Si vous aimez sortir des sentiers battus, si vous aimez ne pas lire toujours la même
chose, laissez-vous tenter par ce recueil. » Blog Lyvres
« ... Une autre image de la jeunesse scandinave que celle, bien lisse, que l’on peut
communément avoir. Enfin, toujours cette pointe d’humour noir, d’ironie acide qui
rend le tout aussi amusant que révulsant. » Blog Encore du Noir
« Les furies de Borås est un recueil incontournable. Il semble que la Suède ait
déniché son Jean Ray. » Blog du Soleil Vert
« On a dévoré Les Furies de Borås, recueil de nouvelles horrifiques du Suédois
Anders Fager qui ressuscite dans ses contes sanguinolents les pires créatures
d’épouvante… » Néon Magazine
« Fager est un créateur de mythes modernes de très haute volée, à l’imagination
inépuisable. » Kulturdelen
« Les Furies de Borås ne parlent pas seulement de monstres.
Tout comme l’auteur de L’Exorciste, Fager enracine le surnaturel au cœur même
de la réalité. (…) Anders Fager a créé un véritable univers.» Aftonbladet
« Il était presque impossible de se lancer dans le genre de l’horreur en Suède
après John Ajvide Lindqvist, mais Anders Fager a réussi ce pari de main de maître :
prose acérée et sentiment d’épouvante omniprésent. » Dagens Nyheter
« Les Furies de Borås s’avère un recueil très recommandable dont il serait
dommage d’ignorer le charme vénéneux et l’étrangeté inquiétante. » Yossarian –
sous les galets, la page…
« Il faut bien dire qu'Anders Fager ne se contente pas d'essayer de nous glacer le
sang, il veut aussi nous immerger dans le glauque, le sale, le gluant, l’écœurant. Le
« pire » étant qu'on en redemande après chaque nouvelle ! » Les lectures
de cachou
« On est là, de toute évidence, devant de l’excellente littérature fantastique, comme
on n’en avait probablement pas lu depuis longtemps (hélas…). » Belial
« Vous l’aurez compris : Les Furies de Borås est un recueil de très grande qualité.
À vrai dire, je le trouve même salutaire, en cette triste époque où le fantastique est
le plus souvent réduit à peau de chagrin, quand il n’est pas noyé dans la bit-lit…
Mais même au-delà : cela faisait très longtemps que je n’avais pas lu un aussi bon
livre d’horreur contemporain. Indispensable ! » Welcome to Nebalia
« Au final, un recueil des plus satisfaisants transposant l'horreur cosmique de
Lovecraft en Scandinavie... Dépaysant, déjanté. » Les lectures d’Efelle
« La prose de Fagers est précise, descriptive et évocatrice. Il décrit de manière
efficace les milieux qu’il visite et les états d’esprit des protagonistes de ses
histoires. » Quoi de neuf sur ma pile
« Un vrai beau recueil de nouvelles d’horreur, mélange de King, Lovecraft et
Barker, fou, angoissant, drôle, à vous laisser caché sous la couette ou derrière
votre coussin préféré, l’œil aux aguets et l’oreille à l’affût du moindre grincement
pour le reste de vos vacances! » Un dernier livre avant la fin du monde
« Les récits sont habiles, bien menés, à plusieurs niveaux de lecture, bref, une
distraction très excitante pour tout amateur de lovecrafteries. » Le pendu
« Lire Anders Fager et ses Furies de Borås, c’est comme si on assistait à
l’émergence d’un être issu d’une copulation sous acide entre H. P. Lovecraft et
Stephen King. » Actu SF
« Inutile de jouer inutilement les prolongations : Les Furies de Borås est un
bien beau rejeton qui ne saurait dépareiller votre bibliothèque, lovecraftienne
ou non… » Le fictionnaute
« La prose d’Anders Fager entretient des relations plus que privilégiées avec le
visqueux, le grouillant, le putréfié. (...) La quatrième de couverture
cite King, Lindqvist et Lovecraft, mais je crois que Fager se suffit très bien à luimême… » Mes imaginaires
« Sans aucune faute de goût, Les Furies de Borås propose la synthèse d'une
multitude d'éléments horrifiques de la façon la plus élégante possible.
Proprement terrifiant la plupart du temps, le recueil incarne ce qui se fait de
mieux dans le genre, dans la droite lignée d'un Lovecraft ou d'un Barker. »
Just a word
« Des textes horrifiques qui évoquent à la fois Stephen King pour la manière
de cerner l’état d’esprit des personnages et l’horreur sous le quotidien, et H.P.
Lovecraft pour l’aspect fantastique et la magie. Un recueil hautement
recommandable. » Les lectures de Xapur
Les librairies :
Sélection Feedbooks livres de la rentrée
Sélection Librairie Monet Québec
« Un succès, vous dis-je. Alors, amateurs de fantastique et d’horreur laissez-vous
tenter par ce recueil à la beauté glaciale. On compare souvent son auteur à
Lovecraft ou Stephen King. Pourquoi pas, moi je trouve qu’il a son propre style, plus
sexy que Lovecraft, plus rock’n’roll encore que King, et cette fois avec l’imaginaire et
le folklore nordique, presque plus brutal et glaçant que ses confrères américains. »
La Librairie Fantastique
« Le meilleur recueil suédois de l'année, catégorie nouvelles horrifiques à
tentacules ! » Xavier Vernet Librairie Scylla, Paris
« J’ai dévoré ce livre… » Antony Mignard Decitre Part-Dieu Lyon
« En treize nouvelles qui, parfois, s’interpénètrent, Anders Fager distille une
ambiance inquiétante où l’horreur vient brutalement perturber le quotidien » Marc
Rauscher Page des Libraires Librairie Majuscule-Birmann à Thonon-les- Bains
« J'ai tout juste adoré! Moi qui ne suis pas très fan du genre dans la littérature, là j'ai
passé un très bon moment. » Antoine Mallet espace culturel Leclerc Rennes