Rapport sur la formation MIRA Du 22 au 23 mai 2012, a eu lieu à

Rapport sur la formation MIRA Du 22 au 23 mai 2012, a eu lieu à Djibouti, un atelier de formation sur le MIRA1 organisé par le bureau régional de OCHA au profit des points focaux des clusters des agences des Nations Unies, les partenaires du gouvernement de Djibouti (ministères et services spécialisés). Le but de la formation: 
Rendre familier les outils et les directives du IASC nécessaires dans les évaluations (initiales et approfondies) qui font partie du processus classique dans les urgences humanitaires, surtout au cas où un sinistre inattendu se produisait. N.B : cette méthode peut aussi bien s’adapter à toute situation humanitaire, même dans les situations de sinistres lentes et prévisibles comme la sécheresse (cas de Djibouti). 
Renforcer les capacités des acteurs humanitaires pour la révision à mi parcours du CAP 2012 de Djibouti qui interviendra courant fin mai‐début juin 2012. L’atelier de formation a été ouverte par Mme Ndeye Ticke Ndiaye, Représentante Résidente de la FAO à Djibouti et Coordinatrice Résidente par intérim du système des Nations Unies à Djibouti. Elle a souligné entre autre l’importance d e cette formation pour tous les acteurs humanitaires de Djibouti, surtout au moment où ils se préparent à la révision à mi parcours du CAP 2012 et appelé à une participation active de tous au cours de cette formation. Le premier jour de la formation a été consacré essentiellement à la présentation des différentes étapes du MIRA dont : 
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Les données de base (COD2 / FOD3) La revue des données secondaires Les interviews importantes à réaliser Les échantillons Le contenu des questionnaires La planification de l’évaluation Ces présentations ont été suivies de discussions qui ont abouti à des recommandations. Pour le contenu de la formation, cf. les documents remis lors de l’atelier. Recommandations : Situations recommandations Responsables 1 Nécessité que la formation MIRA soit élargie aux membres de tous les clusters de Djibouti. Après la formation des clusters leasds, former aussi les membres des clusters (si possible en français) sur le 1
Multi Sectoral Initial Rapid Assement Common Operational Datasets 3
Functional Operational Datasets 2
HCT avec l’appui de OCHA‐EA Deadline Observations ASAP A discuter avec les agences et le gouvernement pour voir s’ils peuvent prendre en charge la location de la salle, les pause‐
MIRA suivi d’un exercice pratique sur le terrain appliqué au contexte de Djibouti café et les repas. OCHA pourra payer le voyage des formateurs. 2 Manque de formation des experts nationaux sur le projet sphère, le CAP, les principes humanitaires et LEGS Organiser une HCT avec l’appui ASAP formation sur à de OCHA‐EA leur profits sur ces thèmes à Djibouti A discuter avec les agences et le gouvernement pour voir s’ils peuvent prendre en charge la location de la salle, les pauses‐
café et les repas. OCHA pourra payer le voyage des formateurs. 3 Les partenaires du gouvernement ne sont pas informés sur le processus du CAP et des différents « Appels » rendant difficile la disponibilité des données à collecter à chaque échéance Communiquer ces OCHA‐EA différents deadlines aux partenaires du gouvernement pour faciliter les compilations des données ASAP Infos à partager avec le ministère de l’Intérieur 4 Manque d’une équipe d’évaluation inter sectorielle à Djibouti et renforcement du dialogue et de la compréhension mutuelle entre les agences et les partenaires du gouvernement Organiser un rencontre UN‐
Gouvernement pour s’entendre sur la mise en place d’une équipe conjointe d’évaluation. Coordinatrice Résidente avec l’appui de OCHA‐
EA ASAP Recommandation déjà émise lors de l’atelier sur le Plan de Contingence 5 Absence de OCHA à Djibouti Plaidoyer pour obtenir la présence de OCHA à Djibouti (au moins la présence d’un staff dans le pays) en attendant que les différents mécanismes de la Coordinatrice Résidente et OCHA‐EA ASAP Un recrutement d’un staff local pour une présence de courte durée est en cours