le vendangeur - Centre Généalogique de l`Essonne

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le vendangeur - Centre Généalogique de l`Essonne
LE VENDANGEUR
CENTRE GÉNÉALOGIQUE DE L’ESSONNE
DECEMBRE 2013 - BULLETIN 140
ISSN 0758-5667
Sommaire
Louis CHARPENTIER (2ème partie)
4
Propos de cor de chasse
8
George SAND à Palaiseau
10
Les lavoirs en Essonne
14
La fête de Noël dans la Beauce
17
Saint-Germain-lès-Corbeil en photos
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Questions - Réponses
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EDITO
Nous voici arrivés au terme d'une
année assez morose tant sur le plan
économique que politique. D'autre
part, quelles vont être les prochaines mesures concernant le devenir
de notre passion commune, la généalogie au sein des associations de
bénévoles? Gratuité ou non pour la
consultation des données mises en ligne, droit à l'oubli,
mais aussi devoir de mémoire?
En attendant, nous avons tous un objectif pour les quatre
ans à venir, à savoir célébrer la mémoire de la 1ère guerre mondiale.
Une information importante à ce sujet : la CNIL en date
du 10 octobre dernier, autorise la mise en ligne et l'indexation des registres de matricules du recrutement militaire jusqu'à la classe 1921, ce qui facilitera le travail de
recherches sur le parcours militaire des Poilus.
D'autre part, une réunion organisée par les Archives Départementales de l'Essonne, s'est tenue le 16 novembre
dernier à Chamarande, réunissant différentes associations historiques et/ou généalogiques, afin de nous pré-
senter des travaux de recherches en cours sur les monuments aux morts, la gestion des blessés de guerre, la vie
des civils et des enfants pendant cette période, l'aspect religieux avec la mobilisation des prêtres essonniens… Nous
avons aussi reçu des conseils pour faire nos recherches au
sein des Archives Départementales (séries M, O, Q, R, S,
U, J, H) ou Communales (séries D, H, Q).
Un peu d'optimisme : pour notre prochaine Assemblée
Générale, nous nous éloignons de nos lieux de prédilection
pour visiter l'est de notre département, à savoir SaintGermain-lès-Corbeil, où à cette occasion, le père Frédéric
Gatineau nous fera découvrir l'église de cette paroisse.
Nous comptons sur votre participation pour cette journée
du 22 mars 2014, car organiser n'est pas toujours chose
facile et votre présence est notre récompense. Si certains
d'entre vous pensent rencontrer des difficultés pour se rendre à Saint-Germain, qu'ils nous le fassent savoir par mail
ou par courrier pour que nous puissions les véhiculer.
Le Conseil d'Administration se joint avec moi pour vous
souhaiter de bonnes fêtes de fin d’année.
Nathalie PROUX
Assemblée Générale
le samedi 22 mars 2014 à 10h00
Auditorium de l'Espace Victor Hugo
1 place Victor Hugo
91250 Saint-Germain-lès-Corbeil
Nos joies
Philippe DEVINE et son épouse (adh. 310) ont la joie
de vous annoncer la naissance de leur petit-fils
Augustin, né à Bordeaux (33) le 6 décembre 2013,
fils de Sandra DEVINE et de Benoît DUVAL.
Le père Frédéric GATINEAU (adh. 477) a été élu
Président de la Société Historique et Archéologique
du Hurepoix et de l'Essonne en date du 12 octobre
dernier et prendra ses fonctions le 1er janvier 2014.
Toutes nos félicitations à ce nouveau Président.
Réunions 2014 de 14h00 à 18h00
Samedi 18 janvier :
Chilly
Samedi 30 août :
Chilly
Samedi 8 février :
Chilly
Samedi 20 septembre : Chilly
Samedi 15 mars :
Chilly
Samedi 18 octobre :
Samedi 12 avril :
Méréville
Samedi 15 novembre : Chilly
Samedi 24 mai :
Chilly
Samedi 13 décembre : Chilly
Samedi 21 juin :
Chilly
Méréville
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CENTRE GÉNÉALOGIQUE DE L’ESSONNE
Association régie par la loi de 1901. Déclarée en Préfecture de l’Essonne.
Enregistrée sous le n° 0913005622
MEMBRE FONDATEUR & PRÉSIDENT D’HONNEUR
Foulques JOSSEAUME
PRÉSIDENTS D’HONNEUR
Pierre PERROT
Denis WATEL
SIÈGE SOCIAL
Maison des Associations
10 bis rue Ollivier Beauregard
91380 CHILLY-MAZARIN
MEMBRES FONDATEURS
Hervé GIRARD
 Bernard DEGOUTTE
 Général Joseph DELIVRÉ (donateur)
COMPOSITION DU CONSEIL D’ADMINISTRATION
PRÉSIDENTE
Nathalie PROUX
(DIRECTION CENTRE-VILLE, PUIS CINEMA
F. TRUFFAUT)
SNCF/RER, RN20 OU A6, SORTIE CHILLY
BUS 399 (GARES DE MASSY A JUVISY,
ARRET BEAUREGARD)
 : 01.60.49.26.89
(LORS DES RÉUNIONS)
TRÉSORIER
François FORTIN
SECRÉTAIRE
COURRIEL :
[email protected]
Yvette NOUTRE
ADMINISTRATEURS
Ghislaine BATTEREAU
Bernard BRACQ
Gérard CHARDON
Pascal HERBERT
SITE INTERNET :
GENEALOGIE91.FR
(TABLES DES NAISSANCES,MARIAGES ET
DECES EN LIGNE)
(LES 4 DERNIERS BULLETINS)
Daniel HOFFMANN
Jacqueline PICHARD
Bernard ROBIN
RESPONSABLE DU SITE INTERNET
Bernard PROUX
Les articles et documents fournis dans cette revue sont publiés sous l’entière responsabilité de leurs auteurs.
La reproduction même partielle de nos articles est interdite,
sauf autorisation expresse du CGE.
DIRECTRICE DE LA PUBLICATION
Nathalie PROUX
COMITE DE REDACTION
Membres du Conseil d’Administration
MAQUETTE
Nathalie PROUX
Pour être insérés dans le prochain bulletin, tous les textes,
tableaux de cousinage, questions et réponses doivent nous
parvenir
avant le 22 février 2014
Louis CHARPENTIER (1790 - 1892)
Témoin de son siècle (2ème partie)
Article rédigé par Gérard CHARDON, adh. 209
Résumé de la 1ère période: Louis, Reine Stéphanie et leurs enfants partent vivre à Etampes.
Le 16 juin 1823, Louis alors cultivateur à Mauchamps, avait passé un acte de transaction devant Me VENARD à
Etampes [2 E 48/244]. Un litige au sujet d'un égout l'opposait à Charles Sulpice BARROIS son voisin. Le 20 septembre de la même année nous le retrouvons cabaretier 36 (sic) rue St Jacques à Etampes pour la naissance de son fils
Eugène; la présence d'une sage-femme est précisée dans l'acte. Eugène décède deux jours après.
Ce même 20 septembre, selon la Loi, on présente au Maire d'Etampes un enfant déposé le 17 dudit mois au tour de l'hospice; cet enfant, âgé d'un jour, avait sur lui son acte de naissance expédié sur
papier libre et signé LORGET adjoint au Maire de St-Vrain: enfant
né le 8 septembre chez sa mère (non dénommée) âgée de 25 ans, demeurant à St-Vrain et de père inconnu, enfant qui sera nommé Jean Marie
DAVESNE.
Jean Marie est l'un des nombreux enfants abandonnés
o u n a tu r e l s q u i na î t r o n t p e nd a n t l a p é r i o d e
postrévolutionnaire.
Le décret impérial du 19 janvier 1811 précisait :
Titre II.3. Dans chaque hospice destiné à recevoir des enfants trouvés, il y
aura un tour où ils devront être déposés.
Titre II.4. Il y aura en plus dans chaque arrondissement un hospice où les
enfants trouvés pourront être reçus. Des registres constateront jour par jour
leur arrivée, leur sexe, leur âge apparent, et décriront les marques naturelles
et les langes qui peuvent servir à les faire reconnaître.
La lecture des registres d'Etat Civil indique que jusqu'en 1812 il n'y
avait que des naissances d'enfants naturels à Etampes, pour la plupart nés à l'hospice; en 1813, le registre indique 18 enfants naturels
et 7 enfants laissés au tour de l'hospice. Le premier enfant fut trouvé par le portier de l'hospice "dans le tour pratiqué dans l'un des
murs de clôture". L'acte de naissance décrit ses vêtements et précise
que l'enfant est porteur d'un billet signé HEURTAULT curé desservant (sans précision de la commune d'origine), lequel curé précise
que l'enfant, Marie Anne, a été baptisé le 28 juin 1813.
Tour d'abandon
Elle sera nommée Marie Anne JOLIE par le Maire, rédacteur de
l'acte.
Le 27 décembre de la même année, un enfant trouvé dans les mêmes conditions sera nommé Etienne Noël TOURNIQUET...
Le registre de 1823 débute par un modèle d'acte d'adoption; il y aura pour cette année 263 naissances dont 28 enfants
déposés au tour d'abandon et 18 enfants naturels.
Les mères des enfants naturels sont majoritairement des domestiques nées ou demeurant dans les communes voisines
d'Etampes, ou originaires du Loiret et de l'Eure & Loir.
Le 19 novembre 1838, Marie DELAUNAY fille naturelle d'une domestique d'Allainville, fut le dernier enfant déposé
au tour; les années suivantes, suite à la suppression de ce système jugé trop permissif, les enfants abandonnés seront
simplement laissés devant la porte de l'hospice.
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C'est en 1829 que Louis apparaît comme témoin dans les actes de naissance (11 fois) et de décès (31 fois); il est qualifié de cabaretier et forme alors un binôme, soit avec Louis Alphonse MOUCHE un employé de l'hospice, soit avec
Claude Lubin GUERNIER un aubergiste d'Etampes.
Si en 1830 il ne témoigne qu'une seule fois pour un décès, l'année suivante il est présent dans le registre pour 35 décès et 19 naissances. Mais c'est en 1832 qu'il reprend du service en étant témoin pour des décès à 77 reprises pour les
mois de mai et juin, au plus fort de l'épidémie de choléra.
Si on enregistre, à cette période, une moyenne de 280 décès par an à Etampes, il y aura pour l'année 1832 un pic de
632 décès (dont 254 pour le mois de mai et 87 pour juin) d'où l'obligation de tenir un supplément de registre; cet
ajout de feuillets est le baromètre des événements importants d'une commune en soulignant un surplus de mariages
(retour de la guerre), de naissances (afflux d'enfants naturels ou abandonnés à la sous-préfecture dans le cas d'Etampes), de décès (épidémies, guerres).
A l'état endémique en Inde, le choléra se répand en Europe en atteignant Moscou en
1830, la Pologne et l'Allemagne en 1831, puis Londres, Calais puis Paris en 1832 où il
fera 18.500 victimes. Cette maladie se transmet par ingestion d'eau contaminée par les
matières fécales et provoque la mort en 2 ou 3 jours. L'entassement des familles et le
manque d'hygiène des grandes villes vont faciliter la propagation du fléau. Etampes, par
l'importance de sa population (environ 8.000 habitants) et sa situation sur la route royale
N° 20, comptera 28 décès pour la seule journée du 10 mai, les autres pics de mortalité
étant de 11 et 18 décès pour les 7 et 19 mai.
Après l'épidémie, le Préfet demande l'éloignement des cimetières du centre ville, l'isolement des malades et l'enlèvement des tas de fumier de devant les maisons.
Portrait d'un cholérique
Vers l'année 1840, une nouvelle population vient s'ajouter aux étampois; ce sont les charretiers et terrassiers de la
ligne de chemin de fer du Paris-Orléans, pour la plupart auvergnats et belges cantonnés dans des baraquements le
long de la voie. Au nombre de 1.185 ouvriers en octobre 1841 (*), ils n'apparaîtront pas dans le recensement.
Une rixe entre des membres de ces deux groupes amènera le Maire d'Etampes à demander le renfort de l'armée en
juin 1842 (*).
A l'origine, trois projets étaient prévus pour le trajet de la ligne :
Par Corbeil - la Ferté Alais - Pithiviers (avec embranchement sur Etampes) - Orléans.
Paris - Versailles - Rambouillet - Orléans.
Vallées de l'Yvette, de l'Orge et de la Juine - Etampes - Orléans.
Pour le conseil municipal d'Etampes, il fallut bagarrer car le projet passant par la ville n'était pas le favori de la compagnie du chemin de fer; néanmoins, après plusieurs réunions, des pétitions furent envoyées au Préfet (*). Ces rapports insistaient sur l'importance d'Etampes par sa situation sur la route royale, les faibles pentes du tracé (sauf à
Etampes!) et un trajet plus court. L'approvisionnement de Paris en grains, farines et laines fut aussi un argument décisif.
(*) Archives Municipales d'Etampes
La consultation de l'Etat Civil et des recensements de 1841 renseignent sur l'avancement du chantier. Mentions de
décès de terrassiers à Lardy, Etréchy, Angerville...
Pour l'année 1841, Louis est souvent en binôme avec Désiré CANIVET le concierge du collège, et témoin des naissances et des décès survenus à l'hospice. Cette année-là, trois ouvriers sont accidentés, le premier sur la route royale
de Paris à Toulouse, les deux autres dans les ateliers du chemin de fer.
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En 1842, Louis toujours avec Denis CANIVET, sera témoin à 77 reprises; 16 terrassiers décéderont à l'hospice. Pour
1843, il sera 54 fois témoin.
La ligne du Paris-Orléans est inaugurée le 2 mai 1843; le premier buffet de gare français est installé à Etampes.
Le patrimoine de Louis
Par devant Me LETELLIER à St-Chéron le 12 septembre 1819, Louis, alors vigneron à Mauchamps, avait bénéficié
d'un transport de droits successifs par sa sœur Marie Elisabeth, aussi héritière avec leurs frères et sœurs, pour un
sixième de leur père.
Le 24 avril 1824 devant Me DRAMARD à Etampes, Reine Sophie CHARPENTIER de Paris, son autre sœur, lui
cède ses droits successifs; Louis est cabaretier rue St Jacques à Etampes.
Jean Pierre TROUVE, originaire de Villeconin et mari de Marie Catherine FORCE, la sœur de Reine Stéphanie,
avait acheté en février 1823 l'auberge de "L'Image Ste Barbe" rue St Jacques ainsi qu'une petite maison appelée "Le
Chariot" située à l'angle de la rue St Jacques et de la rue de la Porte Dorée; c'est dans cette maison que Louis sera
marchand de vin-cabaretier.
Par divers actes devant différents notaires, Louis va reconstituer le patrimoine familial :
Notaires : (F) FRANCOIS à Etampes - (G) GUILLAUMERON à Châlo-St-Mars - (H) HAUTEFEUILLE à Etampes - (V) VENARD à Etampes.
- Le 12 mars 1825 (F) donation de ses beaux-parents Jean FORCE et Marie Louise MIALIN. Louis est marchand de
vin rue St Jacques au coin de celle de la Porte Dorée.
- Le 19 avril 1827 (G) Nicolas PIERRE et Marie Catherine CHARPENTIER sa femme, tante de Louis, lui vendent
du matériel pour équiper une auberge (3 lits, 15 draps, 40 chemises de grosse toile, 4 seaux à eau, une marmite et une
chaudière) ainsi qu'une maison et divers biens à Mauchamps et ses environs. Le même jour, ils font leurs testaments
exclusivement en faveur de Louis qui réside alors 74 rue St Jacques.
- Le 15 janvier 1831 (V) Louis reprend le bail de "La Belle Image" rue de la Juiverie, auberge tenue depuis 1823 par
son vieux complice Claude Lubin GUERNIER. Louis est alors aubergiste 47 rue St Jacques.
- Le 19 octobre 1832 (H), François Sulpice et Marie Luce ses frère et sœur transportent leurs droits successifs à Louis
qui est aubergiste rue de la Juiverie.
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- Le 6 janvier 1833 (H), Louis et sa mère, en se portant fort de leurs cohéritiers,
vendent la maison familiale de Mauchamps, sa mère se réservant l'usufruit de la
chambre à feu de ladite maison.
- Le 17 mars 1834 (H), la mère de Louis fait donation entre vifs à ses quatre enfants à la charge pour les donataires de la nourrir et de la loger à tour de rôle.
Elle décédera le 20 juin 1836 chez sa fille Marie Elisabeth à St-Mandé.
Le 18 avril 1836, Louis marie sa fille Reine Ismérie à Jean Baptiste Désiré BARRELIER pâtissier traiteur de la Place St Gilles. Le contrat de mariage avait été
passé le 30 mars précédent à Méréville, commune d'origine du futur.
Médaille de mariage offerte par la municipalité le jour des épousailles
C'est le 11 juin 1841 que Louis achète à la veuve BARON, sa propriétaire, la "Belle Image" (aussi appelée dans un
acte "Bar de la Paix" parcelle n° 1107 du cadastre) pour la somme de 10.000 francs.
Cette vente comprend l'auberge, bâtiment de deux étages avec greniers dessus, caves dessous, cour derrière, porte
cochère donnant sur la rue du Carrefour Doré, ainsi que ses dépendances qui consistent en une écurie et un jardin rue
de la Prison en face de l'auberge.
La "Belle Image" (de nos jours la boutique derrière la pharmacie du Tribunal) était idéalement située dans le quartier
administratif d'Etampes, la rue de la Juiverie étant une des rues commerçantes de la ville, à proximité de l'Hôtel de
Ville, du tribunal, de la prison et de la gendarmerie.
En 1833, Louis voit débarquer au "Robinson Crusoé" (parcelle n° 373 du cadastre, de nos jours la brasserie "Le Renaissance"), rue du Carrefour Doré à l'angle de la rue Damoise (en face de chez Louis), Claude TABOUR, un compagnon d'armes. Ancien grognard du 75ème régiment d'infanterie de ligne, le "Glaude" sera lui aussi médaillé de SteHélène et ancêtre de Bernard BRACQ (adh. 127). Les deux compères ne sont pas concurrents, il y a beaucoup d'assoiffés à Etampes...
Louis va déménager en 1845 pour résider soit à Paris, soit à Bourg-la-Reine (dont les recensements ne sont pas encore
en ligne), commune indiquée comme l'un de ses domiciles successifs dans la matrice cadastrale de Mauchamps.
S'il est témoin à Etampes pour 73 décès du 1er janvier au 8 avril 1845, il n'apparaît plus après cette date; au recensement de 1846, c'est Louis DEJEAN son locataire qui occupe l'auberge.
Lors d'une prolongation de bail à Louis DEJEAN le 6 octobre 1852 devant Me GODIN à Etampes, Louis est dit
propriétaire demeurant 53 rue St Louis au Marais à Paris...
(à suivre...)
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Propos de cor de chasse
Article rédigé par Bernard ROBIN, adh. 215
La lecture des bulletins des cercles généalogiques amis, en particulier, ceux des cercles de Versailles et des
Yvelines font souvent état, en raison de la présence en cette ville d’un château, dès avant Louis XIV, de nombreux corps de métier, très divers, qui gravitaient autour de ce château.
C
’est ainsi récemment, que notre attention était attirée sur celui de fabricant de cors de chasse et, comme l’un des
artisans de cette corporation a convolé en justes noces avec une demoiselle de notre département, il nous a paru
intéressant de s’attarder sur les deux familles.
Pour mémoire, il s’agit du mariage, le 3 juin 1749 à Bièvres (91), de Joseph RAOUL (mais plutôt RAOUX), marchand fabricant de cors de chasse et d’Anne VATTIER (VATIER).
L’époux, installé à Paris, quartier des Quinze-vingt, était mineur mais son père lui avait fait une procuration pour son
mariage, « comme bon lui semblerait », dès le 20 octobre 1746. Il était issu d’une famille de chaudronniers installée à
Nancy (Meurthe et Moselle) depuis 1663. Mais l’origine antérieure semblerait cependant être Girgols (Cantal).
Joseph, né à Nancy, est, sans doute, le premier à s’installer à Paris comme faiseur de cor, mais l’un de ses frères, Pierre, resté à Nancy, dit "chaudronnier fondeur de cuivre", est également noté fabricant de cors dans certains actes.
Le fils du couple RAOUX-VATTIER, Lucien Joseph (1753-1823),
sera également facteur d’instruments de musique, trompes de chasse,
cors, installé à Paris, Place du Louvre, paroisse Saint-Germain
l’Auxerrois. Leur petit-fils, Auguste Marcel (1795-1871) sera le dernier à exercer la profession de facteur d’instruments de musique.
On peut donc constater qu’il s’agit de l’évolution normale de cette
famille vers une plus grande adresse dans l’art du martelage du cuivre.
C’est de cette époque que date la fabrication de trompes de chasse,
dignes de ce nom, à cause, en particulier, de la création des fanfares.
Il semblerait que la famille RAOUX ait laissé une forte emprunte
dans la recherche de nouvelles sonorités, mieux adaptées à la vénerie
royale.
Martelage d'un pavillon de trompe
A l’époque moderne, la trompe de chasse, dite d’Orléans, est utilisée
lors des chasses à courre. D’une longueur de 4,545 m. enroulée sur 3
tours et demi, elle est accordée en Ré. Alors que le cor de chasse, ou
cor naturel pour faire oublier son origine rustique, s’est introduit dans
les salles de concert. Utilisé dans les harmonies, la musique militaire,
il est accordé en Mi bémol.
Les mariages étaient courants entre les familles du personnel employé au château de Versailles. Dans cette région de
Bièvres, Saint-Aubin, Igny, résidaient d'ailleurs beaucoup de telles familles.
Parfois même, divers artisans, appelés à intervenir ponctuellement, pouvaient y choisir une épouse, comme dans le
cas cité.
Il est donc probable que Joseph RAOUX, bien qu’exerçant son art à Paris, se soit rendu, pour des raisons professionnelles, plusieurs fois à Versailles, où il a pu rencontrer des membres de la famille VATTIER; Lucien, père de l’épouse,
était en effet Garde des Plaisirs du Roi et son frère, autre Lucien, Officier de la vènerie du Roi.
Lucien VATTIER, père, d’origine Picarde, avait épousé à Bièvres où la famille s’était ensuite installée, une jeune fille
(Marie-Jeanne TESSIER) dont les ancêtres étaient présents en ce lieu depuis plusieurs générations. On trouve, en effet, en 1641, le mariage de son grand-père, Jean TESSIER avec Marie LESINE. Mais ce dernier nom, orthographié
de différentes façons, Lesinne, Lesigne, peut être constaté, au moins, depuis 1613 à Bièvres.
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Musée de la musique
Famille RAOUX (RAOUL)
01
RAOUX Auguste Marcel
° 21/08/1795 Paris (75) † 03/06/1871 Paris (75)
x 01/04/1826 Paris (75)
avec DECLÉ Louise Isidore Désirée
02
RAOUX Lucien Joseph
Facteur d'instruments de musique, trompes de
chasse, cors
° 1753 Paris (75) † 26/01/1823 Paris (75)
x 13/01/1788 Paris (75)
CM 13/01/1788 [Arch. Nat. - ET/XLIV/600]
03
BOQUET Aimée Apolline
° >1763 † 12/05/1847 Paris (75)
04
RAOUX Joseph Marchand, fabricant de cors
° 08/05/1725 Nancy (54) † 21/09/1787 Paris (75)
x CM 02/06/1749 [Arch. Nat. - ET/CXVL/334]
avec VATTIER Anne
08
RAOUX François Chaudronnier
° Nancy (54) † 1749/1750
x 25/01/1715 Nancy (54)
09
MANGEOT Elisabeth
° <1690 Nancy (54) † 1742/1749
16
RAOUX Louis Chaudronnier
° vers 1648 (Auvergne) † 1715/1723 Nancy (54)
17
POLISSARD Elisabeth
° vers 1648 † 01/11/1723 Nancy (54)
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Trompes RAOUX - Fin 18è siècle
Famille VATTIER
01
VATTIER Anne
° 01/09/1723 Bièvres (91) † 1771 Paris (75)
x 03/06/1749 Bièvres (91)
avec RAOUX Joseph
02
VATTIER Lucien Garde des Plaisirs du Roi
° 22/10/1684 Fresneaux-Montchevreuil (60)
† 27/10/1733 Bièvres (91)
x 26/11/1708 Bièvres (91)
03
TESSIER Marie Jeanne
° 08/01/1691 Bièvres (91) † >1748
04
VATTIER Denis Garde des Plaisirs du Roi
† 27/01/1700 Achères (78)
x 05/10/1671 Fresneaux-Montchevreuil (60)
05
COCQUELIN Magdeleine
† >1708
06
TESSIER Pierre Fermier-laboureur
° 16/11/1653 Bièvres (91) † 11/02/1716 Bièvres (91)
x 17/11/1681 Bièvres (91)
07
PIART Jeanne
°26/12/1656 Bièvres (91)
08
VATTIER Jacques
° 09/07/1623 Fresneaux-Montchevreuil (60)
x 14/05/1646 Fresne-Léguillon (60)
09
LANGLOIS Catherine
° 03/05/1628 Fresne-Léguillon (60)
12
TESSIER Jean
x 17/11/1641 Bièvres (91)
13
LESINE Marie
14
PIART François Charpentier
† 01/08/1684 Bièvres (91)
15
HARÉE Renée
° 1635 † 01/05/1710 Bièvres (91)
16
VATTIER Nicolas
17
DESCAMPAUX (DECAMPEAUX) Claude
18
LANGLOIS Jehan
† 04/03/1632 Fresne-Léguillon (60)
19
NICOLLE Louise
Texte adapté de l’article publié dans le bulletin n° 103 du CGVY. Les éléments généalogiques sont extraits des recherches effectuées par Madame Jacqueline LUCE, adhérente de ce cercle, que nous félicitons pour son excellent travail .
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Les écrivains en Essonne
George SAND à Palaiseau
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Article rédigé par Jacqueline PICHARD, adh. 341
A
mantine Aurore Lucile Dupin voit le jour à Paris le 1er Juillet 1804.
Par son père Maurice Dupin (1778-1808) elle est l'arrière-petite-fille
du Maréchal de Saxe, lui même fils naturel du Roi de Pologne. Sa mère
Antoinette Sophie Victoire Delaborde (1773-1837) est d'une ascendance
beaucoup moins glorieuse, Maurice Dupin l'aurait trouvée sur les pavés
de Milan, c'est pourquoi elle sera difficilement acceptée par Madame Dupin de Francueil née Marie Aurore de Saxe, sa belle-mère.
Son père Maurice meurt d'une chute de cheval alors qu'elle n'a que quatre
ans.
Son éducation va être confiée à sa grand-mère paternelle, elle va donc
passer toute son enfance au domaine de Nohant dans l'Indre.
Cette grand-mère va avoir une grande influence sur la petite Aurore; cette
femme imprégnée des idées des lumières lui donne un précepteur Deschartres; plus tard le couvent des Dames Augustines anglaises à Paris
viendra parfaire l'éducation reçue au domaine familial.
Amantine Aurore Lucile Dupin (1808-1876)
Toute sa vie, Aurore (devenue George) restera infiniment attachée à Nohant où elle a passé une enfance si heureuse.
Nous connaissons ses romans champêtres (La mare au diable, François le
Champi, la Petite Fadette etc.) qui lui ont été inspirés par sa vie à Nohant.
Toutefois elle va laisser une œuvre très importante : romans, essais, pièces de théâtre comme on va le voir par la suite.
Au printemps 1822, elle fait la connaissance du Baron François Casimir Dudevant qu'elle
épouse en hâte le 17 septembre suivant, notamment pour fuir de nombreux prétendants
intéressés par la grande fortune que lui a laissée sa famille.
Deux enfants naissent de cette union : Maurice (1823-1889) et Solange (1828-1899) avec
laquelle elle aura des relations conflictuelles et qui épousera le sculpteur Auguste Clésinger.
En 1831, elle quitte son mari (grossier personnage et coureur de jupons avec qui elle ne
s'était jamais entendue, pour suivre à Paris son jeune amant Jules Sandeau. Ils commencent ensemble une carrière de journalistes au Figaro et écrivent en commun un roman
"Rose et Blanche".
Jules Sandeau
Puis, elle écrit seule "Indiana" sous le pseudonyme George Sand; suivent
"Valentine" et "Lélia" en 1833, ce dernier roman rencontre un grand succès
qui vaut à George Sand d'entrer définitivement dans le cercle des grands
écrivains de son temps et lui permettra de vivre de sa plume.
Plus tard elle se lie d'amitié avec la comédienne Marie Dorval qui collabore
à l'écriture de "Cosima", pièce de théâtre de George créée le 29 avril 1840 à
la Comédie Française avec Marie Dorval dans le premier rôle.
George Sand la scandaleuse
Marie Dorval
Elle n'est pas la seule femme de son époque à prendre l'habit masculin afin
d'accéder à des lieux interdits aux femmes (fosses de théâtre, bibliothèques,
procès publics, etc.); elle s'en explique dans son autobiographie "Histoire de
ma vie", tout d'abord pour des raisons économiques, les vêtements masculins étant infiniment moins coûteux que les féminins, car à son arrivée à
Paris, elle s'est trouvée fort démunie, son mari ayant gardé autorité sur sa
fortune personnelle et sa propriété de Nohant (merci le Code Civil de l'époque, les femmes étant de perpétuelles mineures passant de l'autorité parentale à celle du mari).
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Ce sont sa liberté de mœurs et d'esprit, son indépendance, le refus de l'idéal féminin de l'époque, le rejet du mariage qui
font scandale. Ses trois premiers romans Indiana, Valentine et Lélia sont des brûlots contre le mariage. Engagés pour la
réhabilitation de la femme ainsi que George Sand le formulait, ses romans s'ouvrent ensuite à la révolte sociale en faveur des ouvriers et des pauvres, puis à la révolte politique contre la royauté et pour la République.
Sur le plan sentimental, on lui connait de nombreux amants et quelques passions qui l'influencèrent : l'écrivain Jules
Sandeau, le poète Alfred de Musset, l'avocat Michel de Bourges, le musicien Frédéric Chopin entre autres.
Elle vit une passion avec Marie Dorval la comédienne qui lui inspira son roman Lélia puis une brève liaison avec Prosper Mérimée.
Alfred de Musset
Michel de Bourges
Frédéric Chopin
Prosper Mérimée
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De 1835 à 1837, son amant et avocat Michel de Bourges défend
ses intérêts; ardent républicain et futur député aux idées républicaines et socialistes. C'est lui également qui la défend au procès
en séparation de corps d'avec Casimir Dudevant et obtient qu'elle
récupère sa propriété de Nohant.
Elle rencontre Chopin en 1836 et reste avec lui de 1838 à 1847;
leur liaison fut compliquée, ils sont d'abord amis puis amants et
Chopin tombant malade leur relation devient chaste pour s'apparenter à une relation mère-fils; les enfants de George Sand supportant mal cette relation, cela en a précipité la fin.
En 1849 elle rencontre Alexandre Manceau, graveur de talent,
invité par son fils à Nohant. Très vite le séjour à Nohant
d'Alexandre devient pour lui une résidence à demeure; il va devenir le secrétaire de George et son amant, leur relation va durer
quinze ans jusqu'à la mort d'Alexandre.
En 1864, elle laisse le domaine de Nohant à son fils Maurice et sa
belle-fille Lina, qui lui ont donné plusieurs petits-enfants qu'elle
adore; malheureusement l'un d'eux un petit garçon va mourir en
bas âge ce dont elle aura un immense chagrin.
En 1849, elle avait déjà perdu une petite fille Jeanne âgée de cinq
ans.
Portrait de George Sand par Alfred de Musset
Villa habitée par George Sand et Alexandre Manceau à Palaiseau
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Séjour à Palaiseau
La situation entre George et Alexandre est mal acceptée par Maurice, d'autant plus qu'Alexandre est phtisique et devient un danger pour leur santé.
Alexandre est de plus en plus mal, il va acheter avec la contribution de George une maison à Palaiseau. L'installation est tout d'abord un grand bonheur;
George est séduite par l'environnement "un paysage admirable, un vrai Ruysdael" s'écriera-t-elle.
A 60 ans, elle travaille plus de 12 heures par jour et reçoit entre deux séances
d'écriture entre autres amis, Alexandre Dumas et le Prince Napoléon.
Malheureusement l'état de santé d'Alexandre s'aggrave et il décède dans la
maison de Palaiseau en 1865.
Alexandre Manceau
Maurice hérite de la propriété; en 1869, il charge sa mère de la vente de cette
maison qui a beaucoup compté dans la vie de George; elle aimait beaucoup sa "cambuse" comme elle appelait cette
petite maison.
Elle ira finir ses jours à Nohant où elle décède le 8 Juin 1876. Elle sera accompagnée à sa dernière demeure par de
nombreuses personnalités : Flaubert, Renan, Dumas fils, le Prince Napoléon, Paul Meurice (auteur de pièces de
théâtre et metteur en scène) lira le discours de Victor Hugo qui commence ainsi "Je pleure une morte et je salue une
immortelle".
La maison de Palaiseau est aujourd'hui une propriété privée et a été agrandie par
les actuels propriétaires. Elle ne se visite pas.
Sources :
M.T Baumgartner "George Sand à Palaiseau".
Musée Palaisien du Hurepoix.
Un grand merci à Madame Baumgartner pour son aimable accueil.
Propriété de George Sand à Nohant
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Les lavoirs en Essonne
Article rédigé par Yvette NOUTRE, adh. 341
Longtemps, la lessive s’est faite au bord de la rivière,
d’une marre ou d’une source, sur une pierre inclinée ou
une simple planche, sans abri. C’est à la fin du XVIII ème
siècle qu’un besoin d’hygiène croissant se fait sentir en
réaction aux épidémies.
Pour favoriser leur développement, en février 1851, une
loi impose l’aménagement de lavoirs ouverts à tous, ou
plutôt à toutes, déterminant leur emplacement par rap-
port aux sources ou fontaines pour ne pas polluer l’eau
potable.
Le lavoir est un lieu social dans chaque village, c’est
l’endroit où les femmes se retrouvent une ou plusieurs
fois par semaine pour laver et échanger les dernières
nouvelles du village ou de la région. Il fait partie du patrimoine rural de proximité.
Témoins des grands et des petits moments de nos villages, les lavoirs évoquent le souvenir d’une époque révolue et
rappellent le dur labeur de nos grands-mères.
On peut définir trois sortes de lavoirs en fonction des emplacements retenus pour leur construction ou plus précisément par l’origine de l’eau qui les alimente. Il existe des lavoirs de rivière, de source ou de mare.
Les lavoirs de rivière
Les lavoirs de rivière publics ou privés, sont construits sur une rive le long d'un
cours d'eau. Ils sont plutôt de forme rectangulaire, l’accès se faisant par une ou
deux portes donnant sur l’arrière. La toiture à un, deux ou trois versants est en
tuiles plates ou ponctuellement en ardoises et déborde pour protéger les lavandières. Elle est soutenue par des poteaux en bois posés sur des dés de pierre pour
que le bois ne soit pas en contact avec l'eau. Les murs sont construits en pierre
du pays montés en mortier de chaux. Une lice est parfois ajoutée, pièce de bois
permettant d'étendre le linge.
Le sol légèrement en pente pour l’écoulement des eaux est le plus souvent en
pavés de grès, les margelles de lavage sont des petites dalles en grès.
Le Val-Saint-Germain
Quelques fois, le sol mobile est constitué d’un plancher en bois accroché à un système avec chaînes permettant en cas
de crues de lever l’ensemble pour une mise hors d’eau.
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Le lavoir de source à Courances
Les Lavoirs de source
Les lavoirs de source ont pour caractéristique d’être constitués d’un bassin muni d’une vanne permettant de recueillir
l’eau. Leur fond est généralement pavé ou dallé pour en faciliter le nettoyage. Certains lavoirs peuvent être mixtes
(source ou rivière). Installés au bord d’une rivière, ils possèdent un bac de lavage ainsi qu'un bassin de rinçage permettant de mettre en réserve et de faciliter le travail des lavandières.
Le lavoir de mare de Saint-Jean-de-Beauregard fut inauguré le 30 juillet 1889. Il
est construit en meulière avec un toit couvert de tuiles. Un mécanisme muni de
grandes roues permet de relever le plancher pour le mettre hors-d'eau.
Les lavoirs de mare
Les lavoirs de mare sont les moins nombreux en Essonne. Ils sont de petites dimensions, et ont comme inconvénient
de polluer rapidement la mare dont l'eau se renouvelle peu. En effet, leur alimentation en eau croît irrégulièrement
puisqu’elle est liée au ruissellement des eaux de pluie.
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L’art de la lessive autrefois
Les ballots de linge s’entassent prêts à être lavés, le premier geste consistant à frotter le linge très sale.
Au lavoir, la laveuse lave et frotte le linge avec une brosse en chiendent, le battoir et le savon. Le linge est rincé, tirebouchonné et jeté dans un baquet, la lessive alors commence, on la nomme la «buée». La laveuse se rend alors dans
une buanderie équipée d’une chaudière en fonte avec un robinet qui permet de faire couler de l’eau très chaude chargée d’alcalis dans un récipient et d’arroser continuellement le linge, cela s’appelle «couler le linge». Le linge est ensuite
plongé dans un bain à l’eau de javel.
Le rinçage peut commencer, on charge le linge encore mouillé dans un bac que l’on hisse sur une brouette et la laveuse s’en retourne au lavoir.
Ce procédé sera ensuite remplacé par la lessiveuse que l’on pose sur un trépied à gaz ou sur une cuisinière.
La lessiveuse est un récipient rond à couvercle métallique muni d’un double fond amovible et d’un champignon de
même hauteur que la lessiveuse part lequel sort l’eau bouillante.
Les lavoirs ont été abandonnés progressivement à partir des années 1960 à la suite de l’installation de l’eau courante
chez les particuliers et à l’apparition des machines à laver le linge.
L’abandon de leur utilisation à beaucoup contribué à leur disparition, et ceci jusque dans les années 1980 où une prise
de conscience patrimoniale s’est faite jour.
Il conviendrait de leur redonner vie en allouant une nouvelle raison d’être à l’usage des randonneurs ou comme lieu
de repos pour la population.
Recette du savon de grand-mère
(tirée de «La boîte à lumière – les gagne-misères» de Gérard Boutet
½ tasse d’eau
1 tasse de suif de bœuf
2 cuillères à café de cristaux de soude
Immergez lentement les cristaux de soude dans l’eau froide et chauffez. Faites ramollir le suif à
part. Mélangez les ingrédients et battez jusqu’à obtenir une crème homogène. Versez la préparation dans un bol et couvrez d’un carton. Démoulez après une journée, laissez durcir pendant une
bonne quinzaine de jours avant l’emploi.
Bonne lessive à tous
La fête de Noël dans la Beauce
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Article rédigé par Nathalie PROUX, adh. 586
la fin du XVIIIe siècle, les fêtes de Noël furent très populaires dans nos campagnes.
J usqu’à
Tous les Beaucerons allaient à la Messe de Minuit; et, quoique très croyants et même pratiquants, ils n’étaient point ennemis ni de la bonne chère, ni de la vieille gaîté gauloise. La Messe
de minuit était précédée de la Procession des Bergers et suivie du Réveillon.
La coutume du Réveillon s’est perpétuée jusqu’à nos jours; mais la Procession des Bergers , profondément naïve à son
origine, dégénéra à l’époque de la grande Révolution, en manifestations marquées de chants obscènes et de danses
scandaleuses : le clergé la supprima.
La Procession des Bergers
Dans les temps anciens, les bergers de Beauce considéraient la nuit de Noël comme leur nuit à eux. Ils défilaient en
procession à travers la plaine, derrière un lumignon brandi bien haut au bout d'une perche, tout à la fois évocation de
l'étoile du berger et de l'astre des rois mages.
Voici, d’après M. Adolphe Lecocq (1814-1881), la description de cette cérémonie beauceronne, rédigée en 1867 :
"Chaque année, les bergers d’un certain nombre de paroisses limitrophes se donnaient rendezvous, dans l’une de ces paroisses, afin de représenter dans l’église du village pendant la messe de
minuit l’adoration des bergers à Bethléem. Chacun d’eux devait, sous peine d’une amende, se
trouver avec la jeunesse de son village au rendez-vous le 24 au soir, à 11 heures, à la porte de
l’église désignée. Chaque berger devait avoir sa bergère qui menait en laisse un mouton enrubanné et lui-même devait accompagner de son hautbois les chants d’allégresse qui signalaient
l’entrée dans l’église.
Dans chacun des villages beaucerons, le dernier coup de l’Angélus du soir de la veille de Noël avait à peine retenti
que tous les jeunes gens et toutes les jeunes filles, ainsi que les bergères, conduisant le mouton traditionnel et les bergers, tenant en main leur hautbois ou musette, se rendaient à la porte de l’église de leur paroisse. Là, un premier
chant de Noël était exécuté. Chaque village avait ses chants de Noël de prédilection, lesquels étaient le plus souvent
frondeurs. Rendus dans le langage naïf ou patois du cru, ils étaient pleins de malices, d’équivoques ou d’allusions à
certains faits locaux.
Au jour solennel, la Procession se dirigeait vers la demeure du curé et se rendait ensuite dans toutes les fermes et
habitations marquantes de la paroisse, pour faire entendre d’une manière bruyante et le plus souvent cacophonique,
de vieux Noëls séculaires. Cette procession grotesque était escortée par des gamins et éclairée par des lanternes faites
de papier huilé et découpé qu’on appelait, dans quelques endroits, colinettes. Au centre de ces appareils apparaissait une chandelle fixée à un bâton,
le tout ressemblait beaucoup à nos modernes lanternes vénitiennes. Si
l’habitant, à la porte duquel on s’arrêtait, était généreux, il offrait aux musiciens et aux chanteurs des rafraichissements ainsi que quelques pièces de
monnaie de billon destinées à l’achat des herbes nécessaires à la nourriture des moutons, lesquels étaient supposés devoir se rendre à Bethléem.
Vers dix heures, la cloche du village, mise en branle, annonçait la Messe
de minuit qui ne devait être célébrée que pour les vieillards et les chefs de
maison, seuls assistants puisque le départ des bergers, qui avait lieu dans
le même moment, entraînait à sa suite toute la jeunesse vers l’endroit de
la réunion où se trouvait la grande crèche.
A deux cents pas de ce burlesque cortège marchait un jeune garçon qui
portait, élevée au bout d’une longue perche, une lanterne allumée et garnie de verres. Dans l’obscurité, cette lanterne figurait l’étoile apparue aux
bergers et aux mages pour les guider vers l’étable de Bethléem, lors de la
naissance du Sauveur.
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18
C’était dans l’une des paroisses où s’élevait un porche ou chapiteau, à l’entrée de l’église, que
s’établissait la grande crèche. On vit, dans certains villages, le bœuf et l’âne traditionnels installés, vivants, sous le porche auquel on accolait une petite construction, en appendice. Si le
porche faisait défaut, c’était dans l’église même et en face de l’autel de la Vierge que l’on disposait la crèche.
A onze heures sonnant à l’horloge du village où avait lieu le rendez-vous, tous les bergers,
groupés en cercle avec leurs bergères autour de la crèche, exécutaient, soudainement et à l’unisson, plusieurs des anciens Noëls, les plus renommés de la contrée.
Un instant après et comme à l’improviste les paroisses qui avaient appris ou composé un
Noël nouveau se mettaient en devoir de le faire entendre ; on eût dit qu’entre tous les chanteurs s’engageait une sorte de lutte musicale et poétique.
Tout d’abord les Noëls se succédaient autour de la crèche, répétés par les gens qui,
n’ayant pu trouver place dans l’église, se tenaient sur le parvis et dans le cimetière
environnant l’église. Puis les chants se confondaient ; les moutons, le bœuf et l’âne
mêlaient à ce concert leurs cris discordants ; la cloche faisait entendre son plus joyeux
carillon. Alors, pour compléter cette cacophonie indescriptible, musettes et hautbois
attaquaient les vieux airs de menuets et de gavottes ; c’était le commencement des
danses qui s’exécutaient dans le cimetière, sans respect pour la cendre des morts."
En certains lieux, les bergers et les bergères s'empressaient à qui irait le premier ou la
première à l'office de la Messe de minuit dans la croyance que celui ou celle qui irait
en premier aurait cette année-là les plus beaux agneaux de la paroisse.
Une dicton disait : si la lune éclaire pendant la Messe de minuit, les bergeries et les
récoltes ne prospèreront pas, le contraire aura lieu s'il fait obscur.L’office terminé,
jeunes et vieux, bergers et bergères, reprenaient le chemin de leur village respectif
pour aller fêter le Réveillon.
Danse des bergers 14è s.
La bûche de Noël et le Réveillon
En rentrant à la maison, nos chanteurs assoiffés et affamés, trouvaient, tout préparés et fumants, les mets destinés à
fêter le Réveillon. Les immenses plats en terre grise étaient placés, dans la vaste cheminée, sur la cendre chaude, près
de la bûche traditionnelle.
Cette bûche était appelée, suivant les localités : tréfoué, trifoué ou trifouyeau (en latin tres foci, trois feux). Elle était
toujours la plus grosse que l’on pût trouver, c’était la plus grosse partie du tronc de l’arbre, ou même la souche, on
appelait cela la coque de Noël et était destinée à alimenter la cheminée pendant les trois jours que durait la fête de
Noël.
C’était le grand-père, quelques fois le plus jeune enfant qui,
après l’avoir aspergé d’eau bénite, y mettait le feu en se signant et en prononçant à haute voix : "In nomine Patres et
Filii, et Spiritus Sancti. Amen !"
La coutume consistait à mettre cette bûche au feu la veille de
Noël sans la laisser brûler complètement (sans flamme), afin
d’entretenir une constante chaleur dans la pièce où se réunissaient, avant et après les offices, mais principalement avant et
après la Messe de minuit, tous les membres de la famille. Puis
on la remettait au feu un petit peu chaque jour et ce jusqu'à la
fête des Rois.
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Les fêtes terminées, cette bûche était conservée à moitié
calcinée sous le lit (comme lors du feu de la Saint-Jean).
Sa présence garantissait de la foudre et de l'incendie de la
maison. Elle était considérée comme pouvant guérir de
nombreuses maladies des gens et des animaux, en buvant
de la poudre de bûche dans un peu d’eau.
A onze heures, tous les jeux, tous les plaisirs cessaient.
Dès les premiers tintements de la cloche, on se mettait en
devoir d’aller à la messe, on s’y rendait en longues files
avec des torches à la main. Avant et après la messe, tous
les assistants chantaient des Noëls, et on revenait au logis
se chauffer à la bûche et faire le Réveillon dans un joyeux
repas.
Tradition de la grande bûche de Noël. Dessin de Léo,
Lhermitte paru dans Le Monde illustré du 1er janvier 1884
La fête de Noël étant commencée dès le coucher du soleil
de la veille, de cet instant à celui de la messe de minuit,
on ne pouvait plus travailler ; ainsi, dans les veillées ou
vellouers, les femmes ne filaient pas, ne tricotaient pas,
mais elles cousaient, parce que « la bonne Vierge avait
raccommodé les couches et les langes de l’Enfant-Jésus ».
En général, dans la Beauce, coudre n’était pas travailler,
et tous les domestiques raccommodaient leurs effets le
dimanche.
Au retour de la Messe de minuit, les bestiaux eux-mêmes devaient prendre part
à la fête : on les éveillait pour leur donner à manger.
On servait au Réveillon des cochelins, petites pâtisseries feuilletées ovales ou
losangées (ou en forme de petit bonhomme) saupoudrées de grains en sucre rose
et blanc et qui servaient aussi d'étrennes ainsi que des nieules, sorte d'échaudés,
additionnés de cendre de sarment de vigne.
Cochelin
Sources :
Mémoires et dissertations sur les antiquités nationales et étrangères publiés par le Société Royale des Antiquaires de
France – Tome premier – Paris 1817 : Fête de Noël (Discours lu à l’académie celtique le 9 juin 1808)
Chroniques, Légendes, Curiosités et Biographies Beauceronnes, par Ad. Lecocq - Chartres, Pelrot-Garnier, 1867
Revue des traditions populaires - Tome XI - Décembre 1896
Origine et histoire de la Bûche de Noël d’après « La nuit de Noël dans tous les pays » paru en 1912
Le folklore de la Beauce et du Perche par Félix Chapiseau Tome I Editeurs G.P. Maisonneuve & Larose 1968
http://moulin.chauffour.free.fren forme
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St-Germain-lès-Corbeil en photos
ou sa transformation en un siècle
Collection privée de Daniel HOFFMANN, adh. 335
Coteau de Saint-Germain-lès-Corbeil
Rue des Fours à Chaux et Montagne de Saint-Germain
Route de Corbeil et Place du Château
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Le vieux Marché
Cadastre Napoléonien - Le vieux Marché
Le Vieux Marché
Le Vieux Marché
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C
Questions - Réponses
ette rubrique est réservée en priorité aux questions concernant directement l’Essonne.
Une même question ne sera publiée qu’une seule fois en l’espace d’une année.
Pour vos réponses, merci de mentionner la référence exacte Pour être insérées dans le prochain
de la question avec la date d’envoi et du numéro d’adhérent. bulletin, les questions et réponses
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Tableau des signes généalogiques
Pensez à utiliser les signes généalogiques pour rédiger
vos questions ou réponses :
° : naissance
b : baptême
† : décès
(†) : inhumation
x : mariage
x1 : premier mariage
QUESTIONS
Q. 140/01
BALANÇON - SAINSARD
Rech. Asc. de Jean BALAÇON ° 30/05/1617 Guigneville
(45) † 16/01/1657 Guigneville (45), x Martine SAINSARD. Un fils Jean BALAÇON ° 10/05/1657 Guigneville
(45), x 12/07/1682 Jeanne FILATREAU.
Geneviève BRIAT, adh. 640
Réponse :
02
BALAÇON Jean
x Martine GAUCHER (nom indiqué sur l'acte de
mariage de leur fils Jean)
04
BALAÇON Barthélémy
x 14/07/1613 Guigneville (45)
05
BENOIT Simone
06
BALAÇON Roger
07
MAILLARD Etiennette
L'Amicale du CGE
Q. 140/02
BAUDOIN - MARQUIS
Région Videlles (91), rech. Asc. et M vers 1650 de Mathurin Antoine BAUDOIN † 26/03/1676 Videlles
(91), x Anne MARQUIS † 05/12/1678 Videlles (91).
Une fille Louise BAUDOIN (21 ans) x 03/02/1682 Videlles (91) avec François DANGIN. Marin MARQUIS oncle
maternel.
Robert RENAUDON, adh. 425
Q. 140/03
BAUDRY - MARQUIS
Région Mondeville (91), rech. Asc. et M ca 1656 de Jean
BAUDRY x Perrine MARQUIS. Un fils Pierre BAUDRY x CM 18/06/1686 Perthes-en-Gâtinais (77) avec
Marie SABAS.
Robert RENAUDON, adh. 425
Q. 140/04
BERGERAT - LECOMTE
Rech. Asc., M et tous renseignements concernant Pier-
x2 : deuxième mariage
cm : contrat de mariage
)( : divorce
s.p. : sans postérité
s.a. : sans alliance
ca : environ
y : même lieu que acte précédent
fa : fille
fs : fils
re BERGERAT x vers 1663 avec Anne LECOMTE.
Enfants tous mariés à Morigny-Champigny (91), notamment Anne BERGERAT x 30/06/1682 avec Thomas
ROUSSEAU.
Maryse PETIT-CHAILAT, adh. 618
Réponse :
Une piste : Pierre BERGERAT ° 17/08/1634 Etampes StMartin (91), fils de Pierre, P. : Pierre BELLIER, M. : Cantienne LEGENDRE.
L'Amicale du CGE
Q. 140/05
BUARD
Rech. Décès > 1719 de Sainte BUARD x 11/07/1661
Cheptainville (91) avec Jean BAUCHAIS.
Geneviève BRIAT, adh. 640
Q. 140/06
CHABOT - NOTTA
Rech. Asc. de Nicolas CHABOT x 30/10/1674 Boutigny-sur-Essonne (91) avec Catherine NOTTA.
Gisèle JULLEMIER, adh. 567
Réponse :
02
CHABOT Nicolas
x 30/10/1674 Boutigny-sur-Essonne (91)
03
NOTA Catherine
04
CHABOT Marin tisserand
† < 30/10/1674
05
VENANDE Marie ° ca 1619
† 29/12/1674 Boutigny-sur-Essonne (91)
06
NOTA Vincent berger
07
TRICOT Catherine
L'Amicale du CGE
Q. 140/07
CHAPELLE - DELANOUE
Rech. Asc. et BM de Jean CHAPELLE † 17/12/1673
Janvry (91) x Elisabeth DELANOUE † 13/03/1672
Janvry (91). Une fille Antoinette CHAPELLE °
24/01/1657 Janvry (91) x CM 20/08/1684 Montlhéry (91)
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avec Nicolas HERSON.
Geneviève BRIAT, adh. 640
Q. 140/08
CHEVALIER
Département 28, rech. Décès de Marguerite CHEVALIER x 30/06/1698 avec André DORAT.
Jean-Paul DORAT, adh. 279
Réponse :
Le mariage a eu lieu à Tillay-le-Péneux (28). Le décès de Marguerite a eu lieu avant le remariage de son époux le
17/01/1707 à Tillay-le-Péneux (28) avec Jeanne BOUE.
L'Amicale du CGE
Q. 140/09
DAUBIGNARD - DUBIE
Région Monnerville (91), rech. asc. & M ca 1660 de Martin
DAUBIGNARD x avec Berthranne DUBIE.
Benoît MAURY, adh. 72
Q. 140/10
DORAT - FILLAU
Département 28, rech. BMS de Pierre DORAT x avant
1700 avec Renée FILLAU.
Jean-Paul DORAT, adh. 279
Réponse :
Le mariage a eu lieu le 16/07/1696 à Oinville-Saint-Liphard
(28) : "… bénédiction nuptiale à Pierre Doret fils de feu Eloy
Doret et de Marie Benard de la paroisse dudit Alainville d'une
part et à Renée Fillot fille de Jean Fillot et de Marie Bouclet de
cette paroisse Doinville d'autre part, en présence de Louis Benard,
Germain Doret tous deux oncles, Jean Fillot, Noël Forien…".
L'Amicale du CGE
Q. 140/11
DORAT - PICHARD
Département 28, rech. BS de Louis DORAT x 07/02/1634
Germignonville (28) avec Louise PICHARD.
Jean-Paul DORAT, adh. 279
Q. 140/12
DORAT - SOYER
Département 28, rech. BMS de Jacques DORAT x avant
1600 Germignonville (28) avec Martine SOYER.
Jean-Paul DORAT, adh. 279
Q. 140/13
DORAT - GOUSSE
Département 28, rech. BMS de Jean DORAT x Marie
GOUSSE (°1624 † 1699).
Jean-Paul DORAT, adh. 279
Réponse :
Le décès de Marie GOUSSE a eu lieu le 09/05/1699 à Tillayle-Péneux (28).
L'Amicale du CGE
Q. 140/14
DRAMARD - HAUTEFEUILLE
Région Gironville (91), Etampes (91) ou Morigny-Champigny
(91), rech. M ou CM avant 1652 de Lazare DRAMARD x
avec Marie HAUTEFEUILLE.
Benoît MAURY, adh. 72
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23
Q. 140/15
FOURNEAU - GOIX
Région Montlhéry (91), rech. CM vers 1677-1678 de Pierre
FOURNEAU x 11/01/1678 Montlhéry Ste-Trinité (91)
avec Louise GOIX.
David AUDIBERT, adh. 766
Q. 140/16
GALLOT - COQUET
Région Villeconin (91), rech. Asc. et M vers 1620 de Pierre
GALLOT fils de Charles l'Aisné GALLOT et de Anne COCHETEAU x Françoise COQUET. Postérité à Villeconin
(91).
Nathalie PROUX, adh. 586
Q. 140/17
GASTEAU - JULLEMIER
Rech. Asc. de Toussaint GASTEAU x 12/09/1679 Boutigny-sur-Essonne (91) avec Anne JULLEMIER.
Gisèle JULLEMIER, adh. 567
Réponse :
02
GASTEAU Toussaint
x 12/09/1679 Boutigny-sur-Essonne (91)
03
JULLEMIER Anne
04
GASTEAU Gabriel
05
GRENIER Marie
06
JULLEMIER Nicolas
26/11/1657 Boutigny-sur-Essonne (91)
07
LEFEBURE Renée
12
JULLEMIER Toussaint
14
LEFEBURE Thomas
L'Amicale du CGE
Q. 140/18
GUILLIER - CRAPET
Région Gometz-la-Ville (91), rech. CM vers 1698 de Eloy
GUILLIER x 06/10/1698 Gometz-la-Ville (91) avec Marie
CRAPET.
David AUDIBERT, adh. 766
Q. 140/19
HELIE - CHAUMEAU
Région Milly-la-Forêt (91), rech. Asc. et M ca 1634 de Louis
HELIE x Clémence CHAUMEAU. Une fille Marguerite
HELIE x CM 16/08/1654 Perthes-en-Gâtinais (77) avec Jacques TABOUREAU.
Robert RENAUDON, adh. 425
Q. 140/20
HEUDELINE - LEPORTIER
Rech. Asc., M et tous renseignements concernant Charles
HEUDELINE x avant 1703 avec Marie LEPORTIER.
Naissance de leur fils Jean ca 1703 (date et lieu?), descendance à Marcoussis (91). Les HEUDELINE étaient "taupiers"
à Marcoussis, mais n'étaient sans doute pas natifs de là. Jean
HEUDELINE x 08/02/1734 Marcoussis (91) avec Marguerite
DELAVANNE.
Maryse PETIT-CHAILAT, adh. 618
Q. 140/21
JAMET - PELLE
Je recherche une photo de l'acte de mariage du 24/10/1689
PAGE
24
à Ormoy-la-Rivière (91) entre Jean JAMET et Marie PELLE.
Benoît MAURY, adh. 72
avec Françoise BOULET ° ca 1641 & † 22/04/1701 Cerny
(91). Un fils Pierre LAGRAIN ° 17/12/1663 Cerny (91)
Yvette NOUTRE, adh. 341
Q. 140/22
LEFORT - CHAUMEAU
Région Milly-la-Forêt (91), rech. Asc. et M ca 1634 de Antoine LEFORT x Nicole CHAUMEAU. Une fille Clémence LEFORT x CM 05/07/1654 Chailly-en-Bière (77) avec
Jacques MIGNON.
Robert RENAUDON, adh. 425
Q. 140/29
MARIGNIER
Rech. Asc. de Jacques MARIGNIER ° 07/01/1665 Boutigny-sur-Essonne (91), fils de Pierre MARIGNIER et de Marie
BONNARD.
Gisèle JULLEMIER, adh. 567
Réponse :
01
MARIGNIER Jacques
02
MARIGNIER Pierre
x 24/07/1663 Boutigny-sur-Essonne (91)
03
BOUVARD Marie dt Mespuits (91)
06
BALAÇON Roger
07
MAILLARD Etiennette
L'Amicale du CGE
Q. 140/23
JOSSELIN
Rech. Asc. et M de Pascal JOSSELIN dit Vesq, doreur
sur cuir à Paris en 1622, x avant 1621 avec Jeanne LEROUX,
fille de Lyénard et de Michelle VILLAIN. Descendance à Leuville (91). Rech. le mariage de leur fils Nicolas JOSSELIN x
Magdeleine LORET.
Maryse PETIT-CHAILAT, adh. 618
Q. 140/24
JULLEMIER
Rech. Asc. de Gabrielle JULLEMIER veuve de Jean TRICOT, x2 04/02/1684 Boutigny-sur-Essonne (91) avec Vincent
HUET.
Gisèle JULLEMIER, adh. 567
Q. 140/25
LECOUP - BELOIN
Région Etampes (91), Chalô-St-Mars (91) ou Roinville (91),
rech. BS de André LECOUP ° 29/11/1667 Chalô-St-Mars
(91) et † > 22/11/1735, fils de Pierre et de Jeanne LOISY, x
26/04/1694 Etampes St-Martin (91) avec Jeanne BELOIN °
ca 1673 et † 24/01/1708 Chalô-St-Mars (91). Une fille Louise
LECOUP ° 11/09/1699 Chalô-St-Mars (91).
Micheline JARDIN, adh. 385
Réponse :
Une piste : Jeanne BELOIN est la fille de Henry BELOIN
(BLOUIN) et de Claudine RIVIERE qui ont eu une autre fille
Louise BLOUIN ° 26/01/1676 Estouches (91) et †
27/05/1676 Estouches (91).
L'Amicale du CGE
Q. 140/26
LEFEBURE - NORMANDEAU
Région Dourdan (91), rech. CM avant 1600 de Lubin LEFEBURE x Augustine NORMANDEAU.
David AUDIBERT, adh. 766
Q. 140/27
LEGENDRE - LESPICIER
Rech. Asc. et BMS de Michel LEGENDRE x avant 1688
avec Marie LESPICIER (L'EPICIER) et naissance de leur
fils Michel LEGENDRE dit "La Forest" ca 1688, x 27/08/1720
Marcoussis (91) avec Elisabeth ARRANGER.
Maryse PETIT-CHAILAT, adh. 618
Q. 140/28
LEGRAIN - BOULET
Région Cerny (91), rech. Asc. et BM de Cantien LEGRAIN ° ca 1634 & † 20/05/1699 Cerny (91), x < 1663
Q. 140/30
MARTIN - HUPRAYE
Rech. Asc., M et tous renseignements concernant Toussaint MARTIN x avant 1633 avec Guillemette HUPRAYE. Descendance à Longpont (91), notamment un fils
Jean MARTIN x Espérance FONTAINE.
Maryse PETIT-CHAILAT, adh. 618
Réponse :
CM 20/05/1627 Montlhéry (91) [2E 54/52] entre Toussaint
MARTIN dt à Longpont (91) et Guillemette HUPRAYE dt à
Longpont (91).
Deux pistes à vérifier : Toussaint MARTIN ° 01/11/1604
Montlhéry (91) fils de Jérémie et de Loyse BOUTRI, P. :
François MOREAU, M. : Jehanne LOCHE.
CM 02/11/1647 Montlhéry (91) [2E 54/99] entre Pierre NALIX dt à Longpont (91) et Guillemette HUPRAYE dt à Longpont (91).
L'Amicale du CGE
Q. 140/31
MEUNIER - GANIVET
Région Boissy-le-Cutté (91) ou Bouville (91), rech. BM de
Jacques MEU(S)NIER ° (ca 1706) fils de Pierre et de Simone DUCLOU, avec Jeanne GANIVET/CANIVET (°
21/01/1708 Bouville (91)) fille de Pierre et de Jeanne PETIT.
Yvette NOUTRE, adh. 341
Q. 140/32
QUINTON - LAURENT
Région Angerville (91), rech. Asc. & M ca 1650 de Barnabé
QUINTON x avec Pasquière LAURENT.
Benoît MAURY, adh. 72
Q. 140/33
RE(G)NARD
Région Wissous (91) ,rech. B et x1 de Marie Marguerite
RENARD ° ca 1708 † 28 vendémiaire an VII Lagny (77),
fille de Robert et de Marguerite DAIRE (x 14/11/1707 Wissous (91)), x1 avec Antoine GUICHOT ° 10/05/1711 et †
20/03/1742 Palaiseau (91), x2 18/09/1742 St-Aubin (91) avec
Charles François ANSOU.
Elisabeth HERVE, adh. 704
DECEMBRE
2013
- BULLETIN
140
Réponse :
Marie Marguerite RENARD (25 ans) x1 30/07/1736 Wissous
(91) avec Antoine GUICHOT.
L'Amicale du CGE
Q. 140/34
RENARD - DAIRE
Rech. Asc. et BS de Robert RENARD x 14/11/1707 Wissous (91) avec Marguerite DAIRE.
Elisabeth HERVE, adh. 704
Réponse :
02
RENARD Robert tonnelier dt Juvisy (91)
03
DAIX Marguerite ° 21/06/1683 Wissous (91)
04
RENARD Jean † < 14/11/1707
05
PORCHER Louise
06
DAIX François tonnelier
° ca 1637 † 08/09/1714 Wissous (91)
x 07/02/1678 Wissous (91)
07
GUEZARD Claude ° 17/11/1653 Wissous (91)
† 20/04/1697 Wissous (91)
12
DAIX Pierre † < 07/02/1678
13
THIERRY Jeanne
14
GUEZARD Jean
† < 07/02/1678
x 08/01/1653 Wissous (91)
15
CERISET Claude veuve
(x1 vers 1637 Jean LEBLANC)
L'Amicale du CGE
Q. 140/35
TESSIER - CHARPENTIER
Région Angerville (91), rech. Asc. & M ca 1630 de André
TESSIER x avec Marie CHARPENTIER.
Benoît MAURY, adh. 72
RÉPONSES
AUBIN - MILLON (Q 139/01 Compléments)
08
AUBIN Henry ° 22/08/1708 Cerny (91)
09
PILLEFERT Gabrielle † 05/02/1767 Cerny (91)
16
AUBIN Henry ° 05/09/1674 Cerny (91)
18
PILFERT Jean Baptiste ° vers 1660
† 06/02/1725 Cerny (91)
x 31/01/1679 Cerny (91)
19
PATINEAU Nicolle
° 18/09/1663 Cerny (91)
† 26/12/1730 Cerny (91)
20
RUELLE Charles ° 06/09/1674 Cerny (91)
† 15/03/1740 Cerny (91)
32
AUBIN Gilles † 11/03/1691 Cerny (91)
36
PILLEFERT Jean Baptiste † 04/01/1679 Cerny (91)
37
REBOURS Marie † 24/11/1679 Cerny (91)
39
VERJON Nicolle † 26/11/1679 Cerny (91)
40
RUELLE Cantien † 29/05/1694 Cerny (91)
x 26/06/1673 Itteville (91)
41
DEGOMMIER Geneviève ° 09/08/1654 Itteville (91)
80
RUELLE Cantien ° ca 1609 † 04/09/1693 Cerny (91)
x vers 1643
81
DEMORNAY Dorothée ° 31/01/1623 Cerny (91)
PAGE
88
89
162
163
25
† 22/04/1700 Cerny (91)
MORIN François laboureur
x 01/07/1664 Bouray (91) et non Itteville (91)
ROUILLARD Elisabeth † < 15/11/1698
DEMORNAY Gilles ° 19/10/1570 Cerny (91)
† vers 1631/1632
x 18/02/1601 Maisse (91)
DUVEAU Claudine
Yvette NOUTRE, adh. 341
Maryse PETIT-CHAILAT, adh. 618
LEVASSOR-CAYROL (Compléments article Bulletin 134)
02
SARAZIN Auguste Edouard ingénieur civil
° 20/04/1839 Liège (Belgique)
† 24/12/1887 Paris (75)
x 03/1877
03
CAYROL Louise
° 06/11/1847 Foix (09)
† 16/10/1916 Paris (75)
(x2 17/05/1890 Etretat (76) Emile Constant LEVASSOR)
04
SARAZIN Henri Michel
Capitaine au 3ème régiment d'artillerie
° 1813 † 1845
05
CHARLIER Emilie Caroline ° 1814 † 1904
06
CAYROL Antoine † 07/02/1887 Foix (09)
07
BONNAFONS Jeanne † 09/06/1859 Foix (09)
L'Amicale du CGE
RUSE - MICHAUD (Q 139/20)
02
RUSE (RUZE) François
CM 14/11/1678 minutier de Bois-Herpin (91)
03
MICHAUD Cantienne
04
RUZE Toussaint lab & vigneron de Mennessart
paroisse de Méréville (91)
(x2 NAUDET Jeanne)
x1 CM 29/05/1644 minutier de Méréville (91)
05
HORDESSEAUX Catherine †/1678
06
MICHAUD Pierre laboureur
de Marolles-en-Beauce (91)
07
VAURY Marguerite
08
RUZE Jean
CM 1606 minutier de Méréville (nf)
09
FAGUERET Noëlle
10
HORDESSEAUX Laurent mercier
au Bourg St Père de Méréville (BSPM)
11
LEVESQUEAU Louise
14
VAURY Cantien (grand-père témoin au mariage de
MICHAUD Cantienne)
L'Amicale du CGE
SEVESTRE - JUTEAU (Q 114/68 Compléments)
04
SEVESTRE Jean † 03/10/1697 Oysonville (28) à 62A
vf de PICHARD Marie
x 07/09/1684 Oysonville (28)
05
THOMIN Etiennette 35A
10
THOMIN Jean
11
LESAGE Mathurine
L'Amicale du CGE
PAGE
26
Contrats de Mariage passés dans la région de Gollainville-Ramoulu (45) et concernant des essonniens :
CM le 20/06/1640 [AD45 3E 22984] entre Etienne CITRON (fils de Paul), originaire de Roinvilliers (91) et Pasquière BERTHERAN.
CM le 28/06/1637 [AD45 3E 23006] entre Elye
CONTENTIAN (fils de Pierre et de feue Aymée HUTEAU), originaire de Gironville(91) et Barbe GORAT.
CM le 15/01/1624 [AD45 3E 23003] entre Cantien CORMIER (fils de Jehan et de Simone COURTAULT), originaire
de Brouy (91) et Guillemette HUREAU.
CM le 28/06/1638 [AD45 3E 23003] entre Jehan CAVILLARD, veuf, originaire de Brouy (91) et Hélaine LASNIER.
CM le 16/04/1664 [AD45 3E 24102] entre Cantien FICHET, originaire du Plessis-Paté (91) et Marie VINCENT.
CM le 25/05/1625 [AD45 3E 23003] entre ? GAUCHER
(fils de feu Mathieu et de Marie GUIET), originaire de Boigneville (91) et Anne POCHON.
CM en 1639 [AD45 3E 22984] entre Jehan LEBLANC,
veuf de Jehanne BOUYN, originaire de Brouy (91) et Cantienne CITRON.
CM le 11/12/1643 [AD45 3E 22985] entre Charles PECHEUX, originaire de Brouy (91) et Berthélémie
MOYREAU.
CM le 01/01/1628 [AD45 3E 23004] entre Etienne RABEREAU (fils de feu Jehan et de P…. Jehanne), originaire de
Buno (91) et Michelle LARPENTEUR.
CM le 03/02/1671 [AD45 3E 24102] entre Annet RONCERAY (fils de feu Guyon et de feue Françoise MARCHAND), originaire de Boissy-la-Rivière (91) et Jeanne
BONNET.
CM le 22/11/1672 [AD45 3E 24102] entre Léonard SAMBIN (fils de Charles et de Anne ROY), originaire de Boutigny (91) et Marie MICHAU.
L'Amicale du CGE
Originaires d'autres départements, ils sont décédés à Brouy (91)
Décès relevés par Ghislaine BATTEREAU, adh.321
07/03/1736 MAISONNEUVE Martial 56 ans du Pays de la Marche
10/02/1753 X un garçon 17 ans dont on n'a pas son nom, ni l'endroit où il était, sinon qu'il était
d'un petit village près de Fontainebleau (77)
01/12/1806 HUGUENIN Anne Véronique 69 ans née à Saint-Loup (39) en Franche-Comté, dt
Brouy (91), veuve de † Clément BERTHEAU, fille de † Claude et de Anne GAUDICHON
11/06/1807 ROUAULT Marie Madeleine 50 ans ° Engenville (45), veuve de Charles Sébastien NOLLEAU
16/04/1810 GILBON Honorée Ursule 34 ans ° Ramoulu (45), femme de Jean Michel ARVAUX
22/10/1814 BESNARD Pierre Charles Hippolyte 41 ans ° Versailles (78), époux de Marie Catherine DUBOIS
01/01/1819 BESNARD Simon 77 ans ° Mainvilliers (45), époux de Marie VASSE
16/04/1819 FILION Marie Geneviève Renée 36 ans ° Château Neuf (89?), femme de Pierre Pâques BOULERY
12/08/1819 BEAUVALLET Alexis 42 ans célibataire ° Mainvilliers (45)
01/11/1820 PIERRE Charles 40 ans ° Boisse (?), époux de Rosalie SOURCEAU
28/08/1821 SEVIN Marguerite Julie 38 ans ° Audeville(45), femme de Jean François Mathurin MOUCHE
22/03/1825 BRIS Joseph Alexis 41 ans ° Lavaqueresse (02), époux de Marie Jeanne DAGNET
08/05/1825 BEAUVALLET Françoise 85 ans ° Manchecourt (45), veuve de Pierre Alexandre THUAUT
19/12/1825 CHARPIN Julie Anne 20 ans ° Rouvres (45)
23/03/1826 DUCHON Mathurin 72 ans ° Puiseaux (45), veuf de Marie BIJON
07/09/1826 ROCHER Marie Héleine 45 ans ° Césarville (45), célibataire
11/01/1833 LUC Marie 70 ans ° Izy (45), veuve de MALON (en mendiant son pain)
02/09/1833 AUGER Marie Magdeleine 69 ans ° Rouvres (45), veuve de Antoine DÉNÉCÉ
ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE
Vous êtes invités à prendre part à l’Assemblée Générale ordinaire de
l’association qui se tiendra le :
SAMEDI 22 MARS 2014 à 10h00
Espace Culturel et Associatif Victor Hugo (situé au bout du parking du magasin Simply)
1 Place Victor Hugo
91250 Saint-Germain-lès-Corbeil
ORDRE DU JOUR
Rapports moral et financier
Activités pour 2014
Candidatures au Conseil d’Administration
Questions diverses
Les candidatures au Conseil d’Administration doivent
nous parvenir sur papier libre avant l’Assemblée Générale, ainsi que les questions diverses devant figurer
à l’ordre du jour.
Vous pouvez nous renvoyer un pouvoir en cas d’absence à l’Assemblée Générale ordinaire.
Ne remplir le nom du représentant qu’en étant sûr que
celui-ci pourra être présent. Les pouvoirs en blanc
seront répartis entre les membres présents.

POUVOIR POUR L’ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE DU CGE
Coupon à découper et à renvoyer après l’avoir complété avant le 8 mars 2014 au siège du
Centre Généalogique de l’Essonne.
Je soussigné(e) …………………………………………………………………… Adhérent N° ………….. du CGE
Donne pouvoir à M ………………………………………………………….. Adhérent N° ………….. du CGE
Pour me représenter lors de l’Assemblée Générale de l’Association.
Fait à ……………………………………………..…….,
Recopier la mention « Bon pour pouvoir » et signature obligatoire
le ………………………………………………….

APPEL DE COTISATION 2014
Seuls les adhérents à jour de leur cotisation au 22 mars 2014 recevront le bulletin 141 sous format
papier ou pourront accéder au format informatique téléchargeable sur le site internet du CGE.
Mme, Mlle, M. :…………………………………………………………………… Adhérent N° ………….. du CGE
Adhésion 2014 option 1 : Cotisation + abonnement au bulletin version papier
 32 euros
Adhésion 2014 option 2 : Cotisation + abonnement au bulletin version informatique  25 euros
Ci-joint, un chèque d’un montant de ………… euros, libellé à l’ordre du Centre Généalogique de l’Essonne
Fait à ……………………………………………..…….,
le ………………………………………………….
Restaurant
Le Garden Golf
REPAS DE L’ASSEMBLEE GENERALE DU CGE ET
VISITE DE L'EGLISE DE SAINT-GERMAIN-LES-CORBEIL
LE SAMEDI 22 MARS 2014 (12h00)
A l’issue de la prochaine Assemblée Générale de Saint-Germain-lès-Corbeil, nous vous invitons à venir
nous rejoindre au restaurant "Le Garden Golf" à Saint-Germain afin de partager un repas convivial.
L'après-midi sera consacré à la visite privée de l'église de Saint-Germain-lès-Corbeil de 15h00 à 16h30.
Cette visite sera commentée par le Père Frédéric GATINEAU.
Le Garden Golf
6 avenue du Golf
Foie gras maison accompagné de sa brioche
&
Confit de canard et petits légumes de saison
&
Assortiments de fromages et salade verte
&
Fraisier façon maison
91250 Saint-Germain-lèsCorbeil

INSCRIPTION AU REPAS QUI SUIVRA L’ASSEMBLÉE GÉNÉRALE
Coupon à découper et à renvoyer après l’avoir complété avant le 8 mars 2014 à l’adresse de l’association
et accompagné du chèque de règlement d’un montant de 30 euros par personne libellé à l’ordre du « Centre
Généalogique de l’Essonne ».
Mme, Melle, M : …………………………………………………………………… Adhérent N° …………..
du CGE, participera au déjeuner qui sera servi au restaurant "Le Garden Golf" de Saint-Germain-lès-Corbeil
à l’issue de l’Assemblée Générale, le samedi 22 mars 2014 à 12h00, au prix de 30 €.
Nombre de participants :
Ci-joint, mon règlement par chèque de
€, en date du
à l’ordre du « Centre
Généalogique de l’Essonne ».
Fait à ……………………………………………..……., le ………………………………………………….
Signature
Eglise Saint Germain et
Saint Vincent
Espace Culturel et Associatif Victor Hugo
1 Place Victor Hugo
91250 Saint-Germain-lès-Corbeil
Situé au bout du parking du magasin Simply
DECEMBRE
2013
- BULLETIN
PAGE
140
31
LES NOUVEAUTÉS DU SITE INTERNET DU CGE
ET DE LA BASE TRACE AU 4ème TRIMESTRE 2013
N'oubliez d'aller consulter sur notre site internet d'une part, la "recherche d'un patronyme dans les communes de
l'Essonne", le résultat donnera la présence de ce patronyme aussi bien dans les naissances, les mariages que les décès
et réparti par commune., et d'autre part la "recherche des patronymes d'une commune", ce qui vous donnera les variantes orthographiques rencontrées localement.
Tables des naissances
Communes
Bruyères-le-Châtel
Nombre d'actes
Périodes
7 367
1618 - 1802
Tables des mariages Données corrigées et rendues filiatives
Bruyères-le-Châtel
1 415
1640 - 1803
compléments et filiatifs
Tables des décès
Bruyères-le-Châtel
6 396
1640 - 1802
Gif-sur-Yvette
5 163
1616 - 1902
compléments
Actes en vrac mis en ligne au 4ème trimestre 2013
Chaque trimestre de nouveaux actes sont saisis et ceux récemment intégrés dans la base Trace en sont retirés.
Ce trimestre, 5.960 actes ont été saisis dans cette base qui comprend un total de 20.910 actes.
Mme Ghislaine BATTEREAU a tenu le stand du CGE
lors du Salon de la Généalogie à Château-Thierry (02)
le 12 octobre 2013.
M. Pierre PERROT a été mandaté pour représenter
le CGE lors des Assises Fédérales de Généalogie du
7 décembre à Pierrefitte-sur-Seine (93).
Lu pour vous
Pour rester dans l'univers des recherches généalogiques, je vous recommande la lecture de ces deux
romans qui ont été rédigés par Dan Waddell. Cet auteur anglais né en 1972 est le fils d'un célèbre
animateur de télévision. Il a travaillé comme journaliste pigiste pour de nombreux titres de presse Outre-manche.
En 2003, à la naissance de son fils, il s'intéresse à l'origine de sa famille et entame des recherches
généalogiques. Il découvre un secret de famille et réalise combien le passé influe sur la personnalité.
Il imagine alors une série policière autour de la généalogie, où des crimes passés viennent hanter le
temps présent.
Ses deux premiers romans sont "Code 1879", suivi de "Depuis le temps de vos pères" que je vous
conseille de lire dans cet ordre de parution.
Bonne lecture à tous.
Nathalie Proux