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Bruits de comptoirs
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Le light pèse lourd !
Les producteurs de boissons aux fruits misent cette année sur l’innovation dans les variétés
«basses calories». En effet, l’aspartame étant définitivement mis de côté, la Stevia devient
désormais l’édulcorant star, au fort pouvoir sucrant, sans les calories.
Orangina Schweppes France a vu sa part de marché croître sensiblement grâce à sa nouvelle
recette light d’Orangina, «Miss O », détentrice d’une croissance de 30% en volumes par rapport à
l’année précédente. Fort de ce succès, le groupe souhaite désormais développer de nouveaux
parfums.
Pepsi Max, dont le lancement est prévu courant du mois, lance quant à lui une nouvelle boisson, «Pepsi Next»
détenant 30% de sucres en moins et aucun édulcorant artificiel. Une campagne de publicité sera lancée entre le mois
d’avril et septembre pour promouvoir ses ventes.
Enfin, Red Bull lance une recette zéro sucre, zéro calorie, mais apportant toujours la même énergie. La nomination «
Sugar Free » est désormais remplacée par «Zéro calorie», à l’image de la tendance générale en soft drinks.
Le parfum maracuja vient enrichir la gamme Granini Destiné à la consommation hors domicile, il sera disponible dès ce mois-ci en format PET d’1
litre. Eckes Granini, leader des jus de fruits ambiants, assure que malgré la crise et la baisse de
fréquentation en Cafés Hôtels Restaurants, la marque enregistre une augmentation de 5% en
volume. Il est donc fort à parier que cette nouvelle recette appuiera encore davantage une
présence déjà très marquée de Granini dans les points de vente.
Le petit jaune rosit
Dès le mois d’avril, la marque Pastis 51 sera disponible dans les Cafés Hôtels Restaurants (CHR)
avec une déclinaison rosée de sa recette historique. Cette nouvelle robe, plus légère en goût,
à 35° d’alcool et aux extraits de fruits rouges, est destinée à attirer une population plus jeune
et féminine. Le marque souhaite en effet changer les codes, apporter davantage de fraîcheur et
une nouvelle expérience sur le marché. L’innovation porte donc sur une boisson moderne,
conviviale et accessible. Une fois dilué dans 7 doses d’eau et une cascade de glaçons, le 51 Rosé
prend une savoureuse couleur orangée.
.
Kro change de look
A la veille de ses 350 ans et pour la 6ème fois, la marque a décidé de revoir le design de sa
bière. De la bouteille à la canette, tous les formats sont concernés par ce changement. La
modification principale réside en la prédominance du blason, placé au cœur de cette identité
afin de regagner son attractivité et son statut de
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L’étiquette blanche
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gardent leur place sur le col de la bouteille. Sa silhouette s’affine et pour accompagner ce
relooking, un nouveau verre frappé du blason Kronenbourg apparaîtra sur les zincs à compter du
mois de juin.
France Boissons inaugure une nouvelle plateforme logistique
Située en Gironde dans la zone industrielle de Beychac & Cailleau, elle a pour vocation
d’alimenter les cinq sites d’Aquitaine, qui eux-mêmes livrent les Cafés Hôtels Restaurants en
boissons de la région. Ce nouveau site va traiter près de 27 300 tonnes de marchandises. Avec
ses quais de chargement et ses logiciels de gestion performants, la qualité de service et la
traçabilité de ses stocks seront optimisées.
C10 lance « La demie Sort de l’Ombre »
A travers cette opération, le distributeur-grossiste en boissons souhaite mettre en avant la demibouteille de vin, du 15 mars au 15 avril, auprès de ses clients Cafés Hôtels Restaurants (CHR).
L’objectif étant d’accompagner les patrons d’établissement dans l’animation de leurs ventes et
la refonte de leur carte des vins, C10 propose d’offrir 12 demi-bouteilles de 37,5 cl pour
l’achat de 24 bouteilles de 75 cl du même vin, parmi une sélection de 11 références.
Aujourd’hui, la bouteille de 75 cl ne représente plus que 58.3% des achats en restauration.
Parallèlement, la demi-bouteille répond à d’autres problématiques telles que la consommation
responsable dans un contexte économique délicat.
Monin tout en chocolat
Les barmaids et barmans disposent désormais de deux nouvelles saveurs pour servir des
cocktails créatifs : le sirop de chocolat blanc et le sirop de chocolat cookie. La première
recette, avec ses douces notes de vanille, peut être servie avec du vin blanc pour un cocktail
onctueux très féminin. Le second, aux saveurs de biscuit au beurre et aux pépites de chocolat,
peut être travaillé avec du lait pour proposer des milkshakes savoureux et originaux.
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Echos des DCHD
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Le nouveau visage de la facturation
L’ère de la dématérialisation tend vers son apogée, au détriment de
l’industrie papetière qui peu à peu, perd du terrain face aux progrès
technologiques. Le système de facturation en entreprise bénéficie de ces
avancées et permet dorénavant de remplacer le papier par un support
numérique. Une bonne pratique qui, au-delà d’économiser du temps et de
l’argent, présente une excellente opportunité pour le distributeur-grossiste
en boissons d’inscrire son entreprise et ses collaborateurs dans une logique
de développement durable. Emerge également depuis 2 ans, le système de
facturation embarquée, permettant l’édition de la facture directement chez le
client Café Hôtel Restaurant (CHR).
Ces deux pratiques se développent progressivement au sein de nos
entreprises, soucieuses de communiquer leur engagement environnemental, en interne et en externe.
Dématérialiser sa facturation, pourquoi ?
A l’heure où la préservation de l’environnement joue un rôle grandissant dans la
stratégie de nos entreprises, les solutions pour limiter notre empreinte carbone se
multiplient. Les responsables de sites accompagnent quotidiennement leurs
collaborateurs dans une politique active de consommation responsable. Les bonnes
pratiques sont mises en exergue et parmi elles, la dématérialisation de la facturation.
Située au cœur de la démarche de modernisation de nos entreprises, certaines entités
l’ont mise en pratique, bénéficiant ainsi de nombreux avantages.
Tout d’abord, cette démarche permet d’éditer un nombre illimité de factures, en
diminuant sensiblement les frais postaux et d’archivage, un gain financier non négligeable à l’heure où la profession
est mise à mal par les taxations de part et d’autre. Ensuite, les transmissions sont accélérées, tout comme leur
traitement ; en effet, la rapidité d’envoi par informatique, comparée à celle par voie postale, n’est plus à prouver. Enfin,
les bénéficiaires jouissent d’une plus grande sécurité puisque les erreurs de saisies se font plus rares et le suivi de
l’envoi des factures est plus rigoureux.
La dématérialisation présente donc des enjeux majeurs en termes de productivité, vous permettant de simplifier vos
process dans l’utilisation et la transmission des données. Elle engage aussi votre entité sur l’économie d’énergie. La
dématérialisation est donc promise à un bel avenir !
«Nous venons d’installer un programme afin d’envoyer aux clients le désirant, nos factures en PDF, suite à la
demande de certaines institutions. Nous sommes certes en phase de démarrage mais nous avons pour conviction que
ce procédé nous permettra d’accéder à un process simplifié et une économie de papier, puisque nous archivons nos
factures sur le serveur.»
Etablissement Lapique Boissons – Jean Jacques LAPIQUE
Pour aller plus loin, la facturation embarquée, une innovation développée pour les distributeurs-grossistes en
boissons :
Auparavant, les responsables logistiques éditaient une pile de factures de marchandises
clients en trois exemplaires, les remettaient aux chauffeurs-livreurs avant leur départ en
tournée, pour les remettre en retour signés au service chargé de les pointer.
Pour certaines entreprises de notre branche, ce temps est révolu avec le système de
«facturation embarquée». En effet, ce nouvel outil permet de supprimer l’édition des
factures à l’entrepôt et d’en déporter l’impression chez le client à la livraison. Après avoir
enregistré la déconsigne et fait signer le client sur le boitier PDA, le livreur imprime la
facture en temps réel sur sa mini-imprimante portable. Au retour de tournée, après
contrôle du vide à l’aide du PDA, celui-ci est déchargé. Les doubles de factures destinés
à l’entreprise sont soit édités, soit conservés sur le serveur
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Les étapes de fonctionnement du système
1/ Au départ du camion : les factures clients chargées sur le terminal PDA, la veille,
peuvent être réactualisées si besoin et au tout dernier moment, permettant ainsi de
greffer quelques ajouts de produits ou livraisons de dernière minute.
2/ En livraison client, le chauffeur livreur suit l’ordre de sa tournée directement sur le
PDA ; il réalise toutes les opérations habituelles de saisie sur son PDA : la déconsigne,
les encaissements, les commentaires, les annotations de marchandises non livrées, les
reprises éventuelles…
3/ Après la signature électronique du client sur le PDA, la facture est éditée en temps
réel et remise au client.
4/ Au retour du camion en entrepôt, après contrôle des retours de vides, le PDA est
déchargé et la génération automatique du double de la facture pour archivage est
préparée au format A4 et conservée sur le serveur de l’entreprise.
Les avantages de ce système sont multiples tant en gain de productivité, de réduction des coûts et de la simplification
de la tâche du chauffeur-livreur. En fin de journée, il n’est plus nécessaire de passer par la case « impression des
factures ».
La facturation embarquée tend donc vers le zéro papier dans l'entreprise puisque les documents ne sont pas imprimés,
ils sont numérisés et archivés sur serveur.
Ils ont fait ce choix…
«Ce système, mis en place dans le courant 2012, est très innovant tout en permettant de valoriser le personnel. En
effet, nous avons, grâce à l’arrivée de ces boitiers PDA, procédé à la réorganisation des services administratifs afin de
redéfinir les tâches de chacun, plus qualifiantes. Les coûts d’impression sont considérablement réduits puisque nous
consommons nettement moins de papier et l’archivage est facilité. Cependant, le réel bénéfice est situé dans la
simplification des process et le contrôle au retour, beaucoup plus efficace. Nous avons, grâce aux PDA, accès à
l’ensemble des produits livrés, le taux d’erreur est donc quasi nul. Enfin, le chauffeur-livreur, élément clé de notre
profession, est valorisé puisqu’il gère en toute autonomie, l’édition de la facturation dans les Cafés Hôtels
Restaurants.»
Monsieur ROY – établissements SCHOEN
«Ce projet présente de nombreux avantages en termes de gestion administrative : le process est simplifié et les
échanges avec les différents interlocuteurs (fournisseurs, cabinets comptables de nos clients CHR) sont plus fluides.
L’édition des factures et la saisie des déconsignes en fin de journée constituaient une tâche pénible et peu productive.
Désormais le chauffeur-livreur part chaque matin avec sa tournée pré-enregistrée sur le PDA, et une petite imprimante
reliée par Bluetooth. Une fois chez le client, il lui suffit de valider chaque produit en cours de livraison (un levier de
sécurité non négligeable pour limiter les erreurs puisqu’ils sont obligés de revérifier l’ensemble de la commande), faire
signer la facture au client directement sur le PDA, l’éditer sur papier thermique et la donner en mains propres au patron
de l’établissement. Nous, service comptabilité, détenons ainsi sa signature électronique, immense avantage puisque
cet élément est légalement exploitable pour l’apposer sur les documents en format PDF, réclamés par le cabinet
comptable de notre client. De plus, les données stockées dans le boitier sont accessibles durant 99 mois, l’archivage
est ainsi facilité, nous gagnons un temps considérable dans le traitement des demandes.
Le chauffeur-livreur est, quant à lui davantage valorisé et responsabilisé dans sa fonction. Plus généralement, ce
système a permis de fédérer l’ensemble de l’équipe de l’entreprise, du service administratif à la logistique.»
Nathalie MALLET – établissements MESPOULET
Interview de Jean-François BAUMONT, dirigeant de SERIG INFORMATIQUE, la
société déployant la facturation embarquée chez les distributeurs-grossistes en boissons.
Question 1 : Depuis le mois d’avril 2010, cet outil d’édition de factures directement
à la livraison chez le client, existe. Ou en sommes-nous depuis cette date, du côté
des distributeurs-grossistes en boissons ?
A ce jour, une centaine de distributeurs CHD, soit 40 % de nos clients nous ont fait confiance en installant notre outil
COCKTAIL Facturation
livraisons
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des factures ou des bons de livraison dématérialisés. Nous nous étions fixé l’objectif d’équiper 75 livreurs par an et
nous sommes quasiment au double. On peut dire qu’il y a un réel engouement de la part de nos clients distributeurs
CHD pour cet outil.
Question 2 : Percevez-vous des réticences à l’application d’un tel système ? SI oui, Comment les expliquezvous ?
Dans l’ensemble il y a peu de réticences. Les seules qui peuvent subsister chez les distributeurs sont liées à la crainte
du changement d’organisation : zéro papier, dématérialisation de la facture, automatisation des traitements
administratifs. Dans la majorité des cas les objections tombent rapidement après quelques jours d’exploitation. Nos
clients deviennent rapidement les meilleurs promoteurs de COCKTAIL Facturation Embarquée.
Question 3 : De quels avantages peuvent bénéficier les distributeurs-grossistes en boissons, à mettre en place
un tel process ?
Les avantages sont multiples mais les points essentiels sont les gains de productivité réalisés.
Par exemple au bureau avant le départ des camions, il n’a plus d’éditions des factures ou des bons de livraisons, plus
de tris ni de classements des documents par tournées. En fin de tournée, au retour des livreurs à l’entrepôt le contrôle
du camion est réalisé directement avec le PDA, les ‘’non livrés’’ et les retours de vides ou de pleins éventuels sont
traités automatiquement sans aucune ressaisie manuelle. Pour le livreur son travail est facilité grâce à l’intégration des
nouvelles technologies de communication dans notre solution : notre progiciel et le terminal PDA utilisé par le livreur
est un « tout en un », GPS pour accéder chez les clients, appareil photo pour un constat de livraison, fonction
téléphone possible... D’un point de vue général l’outil fluidifie la relation avec le client au moment de livraison car plus
aucune mention manuelle n’est portée sur la facture et de plus on récupère la signature électronique du client.
N’oublions pas non plus la crédibilité professionnelle que peut gagner le distributeur auprès de ses clients en mettant
en œuvre un outil qui va vraiment dans le sens du développement durable par le fait que nous sommes en quasi zéro
papier.
Question 4 : Le système actuellement proposé va-t-il subir des évolutions ? Si oui, lesquelles ?
Depuis la commercialisation de COCKTAIL Facturation Embarquée nous sommes à la 3ème mise à jour fonctionnelle
et l’outil est vraiment très abouti. Au quotidien nous réalisons très peu d’assistance aux livreurs et à l’exploitation en
général. Bien sûr nous avons des idées et des retours terrains pour améliorer encore cet outil mais vous comprendrez
que cela relève de notre stratégie d’innovation et nous resterons donc discrets sur le sujet.
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Entrez dans la tendance
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La bière de printemps, une vague d’optimisme sur les zincs
Depuis plus de 6 siècles, les brassins de printemps font irruption dès le mois de mars dans les bars de France et de
Navarre pour annoncer l’arrivée des beaux jours ; un rayon de soleil très
attendu par les patrons de Cafés Hôtels Restaurants (CHR), dans un
contexte général de crise, de hausse des prix des matières premières et
d’augmentation des droits d’accises. En effet, la bière a accusé une
baisse de 7% de consommation dans les lieux de consommation
hors domicile en 2012, selon l’Association des Brasseurs de France.
L’année à venir ne semble pas non plus encourageante tant le climat est
défavorable à la consommation. La bière de printemps est donc une excellente solution pour enrayer cette situation
morose. Les Brasseurs et les distributeurs-grossistes en boissons s’appliquent ainsi à lancer des animations
promotionnelles dans les établissements afin de booster leurs ventes.
Certains brasseurs ont prévu des volumes accrus cette année, tel le groupe
Kronenbourg qui ambitionne d’écouler 12 400 hl dans 8000 CHR (7500 en 2012). Pour
valoriser tout le potentiel gustatif de sa bière de Printemps, Pelforth s’est associé à
Léon de Bruxelles. Ils ont ensemble créé une recette unique, à déguster jusqu’au 12
avril : une cocotte de moules à la Pelforth de Printemps. Kronenbourg ayant abandonné
le territoire des bières de printemps, Pelforth, la 2ème marque du circuit de la
consommation hors domicile, se retrouve être la seule bière de Printemps à
dimension nationale sur le terrain. Prévue en fût de 30 litres, elle est accompagnée d’un
kit composé d’une verrerie dédiée, d’un cavalier de pompe, de sous-bocks, de chevalets
de table et de guirlandes.
Pelforth de Printemps possède une robe ambrée aux reflets cuivrés et une mousse beige claire, fine et crémeuse. Au
nez, elle dégage des arômes à la fois floraux et épicés avec une touche de caramel. En bouche, une sensation de
douceur puis la diffusion d’un parfum de céréales délicatement toastées et de notes intenses d’acacia.
Leffe de Printemps mise cette année sur l’apéritif, cherchant résolument à conquérir cet
instant de consommation dans les CHR. La marque préconise, via des recettes d’Hélène Darroze,
des mariages de saveurs avec des produits de saison tels que des brochettes gourmandes de
légumes ou encore des toasts de fromage frais. Un kit d’animation PLV sera mis à la disposition
des patrons d’établissements ainsi que des sets de table, permettant d’accroître les ventes de
15%, et des verres calices. Elle sera proposée en Perfect Draft et en fût.
Leffe de Printemps se reconnait à son bouquet fruité auquel s'ajoute un délicat parfum épicé de
girofle et de vanille parfaitement combiné à des notes de caramel grillé. Leffe de Printemps est
une bière à l'amertume franche mais équilibrée.
Pour la première fois en CHR, la version Printemps de la Grimbergen, fraîche et légère!
Un choix qui s’explique par les bonnes performances de Grimbergen dans les lieux de
consommation hors domicile, ses volumes ayant été augmentés de 15% en 2012. Pour fêter
cette arrivée, les points de vente seront aux couleurs de la bière de printemps, des verres, des
sous-bocks, des affiches ou encore des cavaliers de pompe ont été développés exclusivement
pour cette occasion.
En bouche, la bière printanière de Grimbergen développe des saveurs d'agrume et de
gingembre, enveloppées dans une dominante de pomme verte. Elle plait beaucoup aux
femmes et séduit également les hommes.
D’autres offres …
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La Météor de Printemps élabore une recette intégrant de légères notes de litchi, lui conférant une robe ambrée.
Conditionnées en fût de 30 litres, elle propose aux patrons de CHR, un sachet de bretzels
présentés dans un panier en osier, des sous-bocks et un cavalier de pompe.
La Ch’ti de Printemps combine cette année trois types de malts et trois houblons
aromatiques. La note fruitée relevée dans cette bière, se révèle grâce
à une levure de haute fermentation. Livrée en fût de 30 litres, elle
s’accompagne d’un kit d’animation composé de verres ch’tis en
format de 25 et 33 cl, d’affiches, de sous-bocks et de cavalier de
pompe.
La Licorne de Mars, d’une couleur ambrée
aux reflets roux, est elle aussi livrée en fût de
30 litres. Elle renouvelle cette année sa
campagne sur le thème du printemps et
décline son nouveau visuel dans un kit, muni
d’un cavalier de pompe, de sous-bocks, de
verres, de mobiles, d’affiches et de chevalets de table.
La petite locale !
Pour célébrer le renouveau de la nature, la Perle Florale puise sa fraîcheur dans les orges de
Printemps et des fleurs de houblon de la dernière récolte ! Un assemblage de malts d’orge de
printemps et de blé confère une robe blonde paille et un moelleux qui s’harmonisent avec une
fermentation produisant une palette aromatique intense. Elle est exclusivement distribuée dans
les bars d’alsace !
Cette offre 2013 reste donc à la hauteur de toutes les espérances, permettant d’espérer de plus
beaux jours pour la bière en France !
Côté Distributeurs-Grossistes en boissons :
C10 souhaite faire de cette arrivée sur les zincs un moment convivial où se mélangent mets et bière de printemps.
L'apéritif étant un moment clé de consommation pour un partage gourmand, C10 propose de servir avec le verre, des
mini-brochettes pour ravir les papilles des clients : tomates confites et féta, mozzarella et jambon sec, chorizo et
fromage de brebis...
France Boissons propose à ses clients CHR d'habiller leur point de vente aux couleurs de la Pelforth de Printemps
en leur offrant un kit complet (6 verres, 100 sous-bocks, 1 planche de stickers, 1 cavalier de pompes, 2 guirlandes, 3
vitrophanies, 2 affiches et 20 chevalets de table) pour 4 fûts de 30 litres achetés.
Cette offre 2013 reste donc à la hauteur de toutes les espérances, permettant ainsi d’espérer de plus beaux
jours pour la bière en France !
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Paroles de pro
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Nous donnons la parole à Chantal Zimmer, déléguée générale de la
Fédération Française de la Franchise, à propos de l’expansion des
établissements chaînés face aux établissements indépendants.
1/ Les restaurants indépendants semblent perdre du terrain face aux franchisés, qui eux, se multiplient sur le
territoire national, que ce soit en restauration traditionnelle ou rapide. Quel en est l’état des lieux ?
La franchise, présente dans les principaux secteurs d’activité de l’économie française, confirme son dynamisme avec
des indicateurs qui restent positifs pour l’année 2012. Le nombre de réseaux et de points de vente continuent à
progresser, on comptabilise ainsi 1658 réseaux en 2012 et plus de 65000 franchisés (contre 62041 pour l’année 2011),
soit une augmentation proche de 5 %.
Côté restauration classique et à thème, ces secteurs connaissent des évolutions continues du nombre de leurs
réseaux et de leurs points de vente franchisés. En 2012, on recense ainsi 132 réseaux de restauration rapide (+7,3 %
par rapport à 2011) et 88 réseaux de restauration à thème (+11,3 %), totalisant respectivement 4130 points de vente
franchisés (+10,4 %) et 1182 (+7,3 %).
2/ Comment expliquer ce dynamisme ?
Les fondamentaux du modèle se révèlent efficaces, quel que soit le secteur d’activité, notamment dans la période de
turbulence économique que nous traversons. La franchise, qui unit deux entrepreneurs indépendants – le franchiseur
et le franchisé – confère à chacun des prérogatives nécessaires à la réussite de tous. En effet, le franchiseur
développe un concept et transmet un savoir-faire en l’accompagnant d’une assistance commerciale et technique,
nécessaire au développement de l’activité du franchisé. Ce dernier est garant de l’image de la marque et du
développement de l’activité au niveau local. Le franchisé est un entrepreneur indépendant mais qui n’est pas isolé.
De plus, le franchisé bénéficie d’une formation initiale dispensée par le franchiseur, lui permettant d’acquérir les bases
et le professionnalisme nécessaires pour exercer sa future activité de chef d’entreprise franchisé. La formation
continue lui permet d’approfondir des sujets relatifs à la gestion de son point de vente ou le développement de
nouveaux produits ou services.
D’autre part, le franchisé est en relation régulière avec son franchiseur, qui a en charge la communication nationale, le
marketing mais aussi le développement stratégique
de l’enseigne. De ce fait, le franchisé se consacre pleinement à son activité de commerçant, en bénéficiant de tout
l’accompagnement nécessaire. Un restaurateur franchisé bénéficiera de la communication nationale de son enseigne,
de sa notoriété, permettant d’augmenter la fréquentation de son point de vente.
Un autre point fort de la franchise consiste à instaurer un échange permanent entre le franchiseur et ses franchisés.
De nombreux outils de dialogue sont mis en place par le franchiseur (animateur de réseau, réunion nationale,
convention,…) favorisant ainsi l’échange et le partage des bonnes pratiques, permettant un enrichissement mutuel,
bénéfique au développement de tout le réseau. Pour exemple, 84 % des franchiseurs organisent une convention
annuelle qui rassemble leurs franchisés.
Pour conclure, de nombreux commerçants indépendants choisissent de se tourner vers la franchise car, de par son
organisation structurée et des rôles précisés pour chacun – franchiseur et franchisés – ce système de commerce se
montre performant et démontre sa résistance en période de crise.
2/ Quelle est la position de la FFF concernant la gestion des emballages boissons dans les CHR ?
La FFF est sensible à toutes les actions qui visent à s’engager dans une politique développement durable.
L’environnement est un sujet qui nous concerne tous, professionnels et particuliers, chacun doit se responsabiliser
pour en favoriser sa protection. Le tri et le recyclage sont donc essentiels, notamment pour les emballages plastique et
verre. Les têtes de réseau, les franchiseurs, intègrent donc ces éléments dans leur concept et leur savoir-faire.
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Rumeurs en chaîne
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La psychose de la viande de cheval s’invite dans les chaînes de restauration rapide
Suite au scandale de la découverte de cheval dans de nombreux produits vendus en
Grandes et Moyennes Surfaces (GMS), les consommateurs semblent se détourner
durablement de ces produits devenus suspects. La restauration n’est pas épargnée non
plus puisque, selon une étude menée par Nielsen, 14% des consommateurs déclarent
qu’ils éviteront de consommer des plats à base de bœuf dans les restaurants. Le
segment de la restauration rapide semble subir le plus cette tendance à hauteur de 27%,
l’enjeu pour les chaînés consiste donc à capter ces clients par d’autres formats,
d’autres recettes tout en misant sur les produits frais. Il sera fort à parier que le circuit de boucheries, proposant de
la viande fraîche, va pouvoir tirer son épingle du jeu malgré les prix de vente plus élevés !
Chocolaterie Monbana s’offre un nouveau visage
Pour 2013, l’enseigne souhaite accentuer la perception de son savoir-faire à travers
l’élaboration de ses recettes, en devenant désormais «chocolaterie Monbana». Le logo
est retravaillé et doit être progressivement adopté par l’ensemble de ses points de vente.
D’ici septembre 2013, l’enseigne se donne pour objectif de revoir l’ensemble de ses
outils d’animation commerciale et ses packagings. Un portail dédié à
l’accompagnement des points de vente est déjà ouvert : www.franchisemonbana.com.
Fresh Burritos se lance en franchise
C’est décidé, ce concept de restauration mexicaine né au cœur de Lille il y a 2 ans,
ème
établissement dans un quartier de la capitale du nord, réputée
inaugurera son 2
pour sa vie nocturne. A la carte seront proposées diverses recettes composées de
produits frais, dont la préparation sera établie sous les yeux des clients. Les plats
chauds et l’offre salades seront mis en avant, tout comme l’ambiance chaleureuse et
conviviale. L’objectif désormais : cinq ouvertures par an sur l’ensemble du territoire
national en 2013.
Nicolas revisite son image
Après le relooking de son personnage fétiche l’an dernier, Nectar, l’enseigne souhaite
pour 2013 donner une nouvelle visibilité à sa marque. Elle va renforcer son côté haut
de gamme en ouvrant un service de vins fins, proposant des bouteilles de très grands
crus aux millésimes anciens à commander à l’unité et livrables en deux à trois jours. Des
conseils sont prodigués sur leur bonne date de dégustation et des produits pour
apéritif sont proposés afin d’accompagner agréablement la dégustation. L’agencement
des 479 boutiques est également revisité afin de proposer des espaces bien éclairés,
permettant la mise en valeur des produits. La marque souhaite étendre son rayonnement
national puisqu’elle se déploie prochainement à la montagne et sur les côtes où elle va
renouveler son concept de magasins éphémères. Nicolas va enfin mettre l’accent sur sa
présence sur la toile, en refondant son site de marque et son portail marchand, afin d’espérer une hausse des ventes
par le web.
La solution anti-crise, c’est la qualité !
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A l’heure où la psychose de présence de cheval à la place du bœuf déferle, Le chaîné
Hippopotamus mise sur la traçabilité et la qualité de sa filière viande, sachant que 85%
est d’origine française. L’heure est plus que jamais à une communication qui se veut
rassurante, au vu de l’ampleur des scandales. De plus, l’enseigne étant affectée par la crise économique, elle va
limiter son développement en compte propre et davantage miser sur les franchises.
McDonald’s va servir des frites 100% françaises
C’est l’objectif que s’est imposé l’enseigne avant la fin 2013, afin d’appuyer sa stratégie
d’ancrage local. Pour ce faire, Mc Cain, son fournisseur historique depuis 25 ans, va
multiplier la signature de contrats avec les agriculteurs français, soit 350 au total, qui
cultiveront les pommes de terre pour les frites de McDonald’s. Les surfaces cultivées
augmenteront ainsi de 12% par rapport à l’an dernier, rien que pour le chaîné.
Subway ouvre son 1er restaurant dans le métro
L’enseigne de restauration rapide a ouvert un point de vente dans l’enceinte du métro
marseillais, station Castellane. Ce kiosque, uniquement dédié à la vente à emporter,
est rattaché à un autre restaurant situé à quelques mètres de là, afin d’assurer
l’approvisionnement de pains. Sa proximité permet ainsi au chaîné de répondre à
toutes les demandes et ce, durant tous les instants de consommation.
La Mie Câline veut faire parler d’elle
Le chaîné, en recherche d’une plus grande notoriété, va lancer une vaste campagne de
communication sur la quasi-totalité des médias. Une vague d’affichage en milieu urbain
est déjà programmée pour le mois d’avril et ce dispositif de proximité sera suivi en mai
d’une grande opération de street-marketing. Afin de renforcer sa stratégie digitale, La
Mie Câline lance également un site mobile ainsi qu’une chaîne Youtube et un profil
Pinterest.
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04/04/2013
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Tranches de vie
l'Article | l'E-MAG
Dominique FAUVET, élu président de l’Union Champagne à Avize, dans la Marne.
Il succède ainsi à Serge Lefèvre, qui occupait la présidence de l’union de 13 coopératives depuis 13 ans. Exploitant
viticole, Dominique Fauvet préside la coopérative d’Ambonnay depuis 2006
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04/04/2013