2012/03

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2012/03
INSTITUT SCIENTIFIQUE DE SANTE PUBLIQUE
QUALITE DES LABORATOIRES MEDICAUX
COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE
COMITE DES EXPERTS
RAPPORT GLOBAL
EVALUATION EXTERNE DE LA QUALITE
DES ANALYSES EN BIOLOGIE CLINIQUE
HEMATOLOGIE/IMMUNO-HEMATOLOGIE/HEMOSTASE
ENQUETE 2012/3
ISP-2012/3/Hématologie/87
Service Qualité des laboratoires médicaux
Rue J. Wytsman, 14
1050 Bruxelles | Belgique
www.wiv-isp.be
ISSN: 2294-3390
COMITE DES EXPERTS
ISP
Secrétariat
Dr. Van Blerk : Coordinateur
Dr. BRUSSELMANS C.
Dr. CHATELAIN B.
Dr. DE CALUWE J-P.
Dr. DEMULDER A.
Dr. DEVREESE K.
Dr. GERARD C.
Dr. GOTHOT A.
Dr. JACQUEMIN M.
Dr. JOCHMANS K.
Dr. MEEUS P.
Dr. PRADIER O.
Dr. RUMMENS J.L.
Dr. VANHONSEBROUCK A.
Mr. WIJNS W.
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fax
02/642.55.21
02/642.56.45
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Tous les rapports sont également consultables sur notre site web:
http://www.wiv-isp.be/ClinBiol/bckb33/activities/external_quality/rapports/_fr/rapports_annee.htm
Réunion du comité d’experts: 29/1/2013
Autorisation de diffusion de rapport: Marjan Van Blerk 13/03/2013
© Institut Scientifique de Santé Publique | Wetenschappelijk Instituut Volksgezondheid, Bruxelles 2013.
Ce rapport ne peut être reproduit, publié ou distribué sans l’accord du WIV-ISP.
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
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FROTTIS H/12004: Sphérocytose héréditaire
Le frottis H/12004 a été envoyé avec les renseignements cliniques et
l’hémogramme suivants:
Cet enfant de 4 ans et demi se présente aux urgences pour altération de l'état
général avec fatigue, inappétence et une fièvre depuis 8 jours malgré un traitement
par antibiotiques. L'examen clinique révèle une pâleur excessive, une petite toux
accompagnée de rhinorrhée antérieure blanche, une splénomégalie majeure et un
foie palpé au rebord costal. Vu le taux d'hémoglobine de 45 g/L, il est rapidement
transfusé. Son hémogramme est alors réalisé.
9
GB: 7.15 x 10 /L
GR: 3.34 x 1012/L
HGB: 94 g/L
HCT: 0.301 L/L
VCM: 90.1 fL
9
Thrombocytes: 231 x 10 /L
Réticulocytose: 15.2 % GR
9
Réticulocytose absolue: 507.7 x 10 /L
Histoire clinique
Un patient âgé de 4 ans et demi présente de la fièvre depuis plusieurs jours. Il est vu
par son médecin traitant qui diagnostique une otite. De l’amoxicilline est prescrite,
sans amélioration de la fièvre.
La biologie réalisée par le médecin généraliste montre une hémoglobine à 45 g/L,
une réticulocytose absolue à 265 x 109/L avec une réaction granulocytaire immature
observée sur le frottis sanguin. Les LDH sont à 2736 UI/L et l’haptoglobine est
indosable. Le patient est hospitalisé et transfusé.
On lui découvre une splénomégalie majeure (11.8 cm), le foie étant palpé au rebord
costal. Pas de lithiase vésiculaire. L’examen rénal ne révèle aucune particularité.
Notons que d’après les parents, le patient n’a jamais présenté d’ictère.
Une sérologie pour le Parvovirus B19 revient positive pour les IgM et IgG, ce qui
atteste d’une infection récente.
Au niveau des antécédents familiaux, le patient est né de mère belge et de père
belgo-italien. Son grand-père est connu pour avoir une anémie méditerranéenne
(thalassémie ?).
Evolution
Quelques mois après cet épisode, le patient est ré-hospitalisé cette fois pour une
gastro-entérite à Campylobacter (Hb: 90 g/L, réticulocytose absolue à 282 x 109/L,
LDH à 775 UI/L et haptoglobine <5 mg/dL). De nouveau, une splénomégalie est
observée. Le patient sera traité par de la clarithromycine.
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
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Suite à ces épisodes d’anémies hémolytiques, le patient reçoit actuellement un
traitement à base d’acide folique.
Examen du frottis sanguin
Le frottis sanguin montre des microsphérocytes. On peut observer des hématies
pincées (‘pincered cells’) laissant suggérer une sphérocytose héréditaire avec
anomalie de type ‘band-3’.
Sphérocytose héréditaire
La sphérocytose héréditaire (SH), également appelée maladie de MinkowskyChauffard, est une maladie constitutionnelle du globule rouge. Elle touche environ
un individu sur 2000 dans la population nord-européenne. La SH fait partie du
groupe hétérogène des anémies hémolytiques régénératives et est caractérisée par
des anomalies des protéines de la membrane des globules rouges menant à une
perte de surface et de déformabilité. Quelques exemples de protéines
potentiellement déficitaires: ankyrine, protéine bande-3, spectrine, protéine 4.2…
Il s’agit d’une maladie autosomique dominante dans la plupart des cas (80%). Dans
le reste des cas, on ne retrouve pas d’anomalie clinique ou biologique chez les
parents. Il peut alors soit s’agir d’une transmission autosomique récessive, soit d’une
mutation de novo.
La sphérocytose héréditaire typique (60-70% des cas) se manifeste dès la prime
enfance et est associée à un ictère, une anémie et une splénomégalie. La forme
sévère (5% des patients) peut engager le pronostic vital.
Dans la forme modérée (20-30% des patients), une compensation médullaire
n’entraîne qu’une anémie modérée. La maladie est alors le plus souvent révélée
suite à une perturbation de cette compensation: infections virales (notamment le
Parvovirus B19), grossesse, efforts physiques importants, hémorragies,…
Diagnostic biologique
Les laboratoires disposent de plusieurs outils diagnostiques. L’analyse du frottis
sanguin permet de mettre en évidence la présence de microsphérocytes (hématies
rondes, hyperdenses, sans pâleur centrale et de diamètre réduit). La présence de
sphérocytes n’est pas spécifique de la sphérocytose héréditaire. En effet, on en
retrouve dans d’autres processus hémolytiques tels qu’une anémie auto-immunitaire,
une réaction post-transfusionnelle, une incompatibilité ABO chez les nouveaux-nés,
… d’où l’importance d’écarter ces possibilités.
L’anémie est généralement normochrome et normocytaire. Les valeurs des
constantes érythrocytaires montrent le plus souvent une élévation du MCHC
(concentration moyenne de l’hémoglobine corpusculaire) ainsi que du RDW (largeur
de la distribution des globules rouges). On observe une réticulocytose importante,
ainsi que des signes d’hémolyse.
Le test de la résistance osmotique met en évidence la diminution du rapport
surface/volume des globules rouges. Lorsque ce rapport est diminué, la résistance
aux solutions hypotoniques est diminuée. Cependant, elle peut être normale dans
30% des cas.
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La cryohémolyse soumet les globules rouges à un stress thermique et
hyperosmotique: les érythrocytes sont mis en suspension dans une solution
fortement hypertonique en sucrose et sont soumis à un changement brusque de
température. Ce test ne dépend pas du rapport S/V mais des propriétés de la
membrane érythrocytaire et paraît plus sensible et plus spécifique que l’étude de la
résistance osmotique.
L’étude de la fixation de l’éosine 5’ maléimide (EMA) en cytométrie en flux peut
s’avérer très utile. Il s’agit d’une sonde fluorescente qui se fixe de façon covalente
sur les groupements –NH2 et –SH accessibles à la surface des GR. Il est admis que
l’essentiel de la fluorescence émise (80%) est due à la fixation de la sonde à un
groupement de la protéine bande 3. Les déficits en protéine bande 3 montrent donc
une diminution de la fluorescence observable. L’avantage de cette technique est
d’utiliser une très faible quantité de sang et de pouvoir être différée de plusieurs
jours (3 à 6 jours selon les auteurs).
L’ektacytométrie en gradient osmolaire, considéré comme test de référence, étudie
la déformabilité et la fragilité des globules rouges soumis à une force de cisaillement
constante générée par un viscosimètre (laboratoires spécialisés).
L’électrophorèse des protéines membranaires en gel de polyacrylamide, ainsi
que des études en biologie moléculaire (en particulier dans les études familiales)
peuvent contribuer à affiner le diagnostic.
Complications
Les complications les plus fréquentes sont une aggravation de l’anémie (en
particulier lors d’épisodes infectieux), la survenue de lithiases vésiculaires
(accumulation de bilirubine), splénomégalie (risque de rupture).
Prise en charge
Un traitement n’est pas toujours indiqué, en particulier dans les formes moins
sévères.
Une supplémentation en folates peut être proposée en particulier chez les enfants.
La splénectomie est indiquée selon l’importance de l’anémie et de sa tolérance
clinique. Le risque infectieux post-splénectomie nécessite une propylaxie antiinfectieuse par l’administration de vaccins, en particulier contre le pneumonocoque,
le méningocoque et l’Haemophilus influenzae b. Une splénectomie partielle est
parfois pratiquée.
Des transfusions sanguines peuvent s’avérer nécessaire.
Tests spécifiques réalisés chez le patient
Cryohémolyse: 28% (<10)
EMA: 42.4% de diminution de fluorescence (un ratio > 21% est considéré comme
positif).
Electrophorèse: profil normal. Noter que le manque de sensibilité de la technique
ne permet pas le diagnostic dans environ 20% des cas.
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
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Discussion
Le patient a présenté deux épisodes aigus d’anémies hémolytiques dans un
contexte infectieux. Soulignons l’importance de l’anémie occasionnée par le
Parvovirus B19 au cours du premier épisode, ayant nécessité une transfusion.
Le test de screening au centre de référence (cryohémolyse) est positif. L’EMA en
cytométrie en flux montre également un ratio augmenté, ce qui atteste d’une baisse
de la fluorescence des globules rouges du patient en contact avec une sonde qui se
fixe principalement sur la protéine bande 3, par rapport à des individus témoins.
L’électrophorèse des protéines de membrane montre cependant un profil normal.
Cette analyse de confirmation montre cependant ses limites par le manque de
sensibilité de la technique qui ne permet pas de confirmer le diagnostic dans environ
20% des cas.
Dans le cas présent, au vu de la morphologie évocatrice des globules rouges
(hématies pincées, microsphérocytes), au vu du test EMA positif, ainsi que de la
présentation clinique, le diagnostic de sphérocytose héréditaire a été retenu. Une
échographie de la vésicule biliaire est programmée pour dans quelques mois et une
étude familiale est en cours (chez les parents ainsi que chez la petite sœur).
Une étude moléculaire par séquençage des gènes impliqués dans la sphérocytose
héréditaire pourrait être proposée, mais il s’agit d’une technique lourde et réalisée
uniquement par des centres hautement spécialisés. L’indication d’une étude
moléculaire est exceptionnelle et est réservée au conseil génétique dans des cas de
sphérocytose héréditaire très sévère.
Notons qu’une ovalocytose mélanésienne peut être évoquée devant une anémie
hémolytique ainsi qu’un test EMA positif. En effet, on observe également une
anomalie moléculaire portant sur la protéine bande 3. Cependant, la morphologie
des globules rouges en hématies pincées n’est pas retrouvée dans les ovalocytoses,
mais bien dans les sphérocytoses héréditaires.
Références
•
Hereditary spherocytosis : Guidelines for the diagnosis and management in children,
Guitton et al, Arch. Pediatr. 2008, Sep;15(9):1464-73
•
Additional erythrocytic and reticulocytic parameters helpful for diagnosis of hereditary
spherocytosis : results of a multicentre study. Mullier et al, Ann. Hematol (2011)
90:759-768
•
Evaluation of the eosin-5-maleimide flow cytometric test for the diagnosis of
hereditary spherocytosis, Loosvel et al, Hématologie 2010 : 16(3):261-3
•
Guidelines for the diagnosis and management of hereditary spherocytosis – 2011
update, Bolton-Maggs et al, British Journal of Haematology, (2011) 156, 37-49
Mr. Jean-François Classen et Prof Bernard Chatelain,
Cliniques universitaires UCL de Mont-Godinne
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
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Résultats des participants
Formule sanguine
Dix-sept participants (9.3%) n’ont pas mentionné la présence de sphérocytes.
Diagnostics proposés
183 laboratoires ont participé à cette enquête.
164 participants (89.6%) ont proposé en premier lieu l’orientation diagnostique
‘pathologie de la lignée rouge’ et 12 participants (6.6%) l’orientation diagnostique
‘processus infectieux, inflammatoire ou toxique’. Deux participants ont proposé en
premier lieu l’orientation diagnostique ‘hémopathie maligne aiguë’ (pas de diagnostic
plus précis), un participant l’orientation diagnostique ‘syndrome myélodysplasique’,
(diagnostic suggéré: LMMC), un autre participant l’orientation diagnostique
‘syndrome lymphoprolifératif chronique’ (diagnostic suggéré: leucémie à
tricholeucocytes (forme variant)/lymphome splénique à lymphocytes villeux) et
encore un autre participant l’orientation diagnostique ‘pathologie de la lignée
plaquettaire’ (diagnostic suggéré: sphérocytose héréditaire). Deux participants ont
mentionné le diagnostic ‘autre’: syndrome lymphoprolifératif (1), pas de diagnostic
plus précis (1).
135 laboratoires (73.8%) ont proposé de réaliser la recherche des anomalies
membranaires des globules rouges comme examen complémentaire.
128 participants (69.9%) ont suggéré le diagnostic de sphérocytose héréditaire.
Le tableau ci-dessous donne un aperçu des diagnostics suggérés par le restant des
participants (n=17):
Diagnostic
Anémie (hémolytique)
Anémie hémolytique auto-immune (suite à une infection virale (EBV, CMV))
Anémie hémolytique suite à une infection virale ou une prise de médicament
Mononucléose
Infection virale/pathologie des GR compliquée d'une infection virale
Hémoglobinopathie (hémoglobinose H?)
Infection
Leucémie myélomonocytaire chronique
Leucémie à tricholeucocytes (forme variant)/lymphome splénique à lymphocytes villeux
Syndrome lymphoprolifératif
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
N
4
4
2
1
1
1
1
1
1
1
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Le tableau suivant reprend le(s) orientation(s) diagnostique(s) des 38 laboratoires,
qui n’ont pas suggéré de diagnostic:
Orientation diagnostique
N
Pathologie de la lignée rouge
Pathologie de la lignée rouge
Processus infectieux, inflammatoire ou toxique
Processus infectieux, inflammatoire ou toxique
Pathologie de la lignée rouge
Hémopathie maligne aiguë
Processus infectieux, inflammatoire ou toxique
Autre
21
8
5
2
1
1
Parmi les 55 laboratoires (30.1%), qui n’ont pas suggéré le diagnostic de
sphérocytose héréditaire, 26 (14.2%) ont néanmoins proposé de réaliser la
recherche des anomalies membranaires des globules rouges comme examen
complémentaire.
Nous attendions des laboratoires qu’ils mentionnent l’orientation diagnostique
‘pathologie de la lignée rouge’ et proposent de réaliser la recherche des
anomalies
membranaires
des
globules
rouges
comme
examen
complémentaire ou qu’ils suggèrent le diagnostic de sphérocytose héréditaire.
29 laboratoires (15.8%) n’ont pas répondu aux attentes.
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
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FROTTIS DIGITAUX H/12004 DIGIT et H/12111 DIGIT
H/12004 DIGIT: Sphérocytose héréditaire
168 participants (91.8%) ont fourni des résultats aussi bien pour le frottis digital que
pour le frottis classique. Le tableau suivant donne un aperçu des résultats:
H/12004
Médiane CV,%
Polynucléaires
neutrophiles
Polynucléaires à
noyau non segmenté
Polynucléaires
neutrophiles + à
noyau non segmenté
Polynucléaires
éosinophiles
Polynucléaires
basophiles
Lymphocytes
Lymphocytes
réactionnels
Lymphocytes totaux
Monocytes
Promyélocytes
Myélocytes
neutrophiles
Myélocytes
éosinophiles
Métamyélocytes
neutrophiles
Métamyélocytes
éosinophiles
Blastes
Autres cellules
Erythroblastes
(/100 GB)
N
H/12004 DIGIT
Médiane CV,%
N
p*
43.0
8.4
162
41.0
7.2
167
<0.0001
3.0
61.8
103
3.4
87.2
134
<0.0001
45.0
8.2
168
44.5
5.9
168
0.0002
3.0
49.4
166
2.0
14.8
167
<0.0001
2.0
37.1
124
2.0
37.1
166
<0.0001
35.0
11.6
158
35.0
12.3
159
0.995
2.0
74.1
86
2.0
111.2
88
0.062
36.0
10.0
13.4
29.7
168
168
3
36.9
11.0
0.5
10.1
22.1
74.1
168
168
9
0.668
0.033
1.9
39.0
118
1.5
49.4
113
0.122
3
2.3
32.9
10
132
2.0
55.6
140
2.0
74.1
0.035
2
0
1.0
103.8
4
242
0.915
1.9
39.0
154
0.002
1.5
74.1
1
181
2.0
74.1
151
*Wilcoxon paired signed rank test
1
plasmatocytes (8), non précisé (4), cellules lympho-plasmocytaires (2), cellules lymphomateuses (1),
lymphocytes atypiques (1), érythroblastes (1), hairy cel? monocytaire? lymphocytaire? (1)
2
non précisé (10), plasmatocytes (5), cellules lympho-plasmocytaires (2), cellules lymphomateuses (2),
lymphocytes atypiques (1), érythroblastes (1), ghost cell (1), noyau nu (1), débris (1)
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
9/112
H/12111 DIGIT: Déficience en glucose-6-phosphate-déshydrogénase
Le frottis digital didactique H/12111 DIGIT a été envoyé avec les renseignements
cliniques et l’hémogramme suivants:
Ce petit garçon (17 mois) de mère grecque et de père italien est admis en pédiatrie
pour ictère conjonctival de survenue récente, fièvre (39 °C) et vomissements
biliaires. Il apparaît abattu et irritable. Ses urines sont foncées. A l’examen clinique,
l’ictère conjonctival et cutané est confirmé, il n’y a ni hépato ni splénomégalie.
GB: 25.8 x 109/L
12
GR: 1.55 x 10 /lL
HB: 45 g/L
HCT: 0.126 L/L
VCM: 81.2 fL
Thrombocytes: 361 x 109/L
Réticulocytose: 5.8 % GR
9
Réticulocytose absolue: 90 x 10 /L
Frottis sanguin
Le frottis se caractérise par une anémie avec anisocytose et poikilocytose. Présence
d’hématies avec un aspect ’fantôme’ (ghost et hemighost).
Résultats des participants
168 laboratoires (91.8%) ont participé à cette enquête et 167 participants ont
proposé un diagnostic.
157 participants (93.5%) ont proposé en premier lieu l’orientation diagnostique
‘pathologie de la lignée rouge’ et 7 participants (4.2%) l’orientation diagnostique
‘processus infectieux, inflammatoire ou toxique’. Trois laboratoires ont mentionné le
diagnostic ‘autre’: malaria (2), pas de diagnostic plus précis (1).
120 participants (71.4%) ont proposé de réaliser la recherche des anomalies
enzymatiques des globules rouges comme examen supplémentaire.
101 participants (60.1%) ont suggéré le diagnostic de déficience en glucose-6phosphate-déshydrogénase (G6PD).
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
10/112
Le tableau ci-dessous donne un aperçu des diagnostics suggérés par le restant des
participants (n=33):
Diagnostic
Thalassémie (majeure)
Hémoglobinopathie/thalassémie
Hémoglobinopathie
Anémie hémolytique auto-immune/hémoglobinopathie
Malaria
Infection à Babésia
Anémie hémolytique
Syndrome hémolytique urémique
β-thalassémie majeure/anomalies membranes des GR
Drépanocytose homozygote
Hémoglobinose H
Crise hémolytique aiguë
Anémie hémolytique (exclure sphérocytose héréditaire))
Infection par le parvovirus chez un enfant atteint d'anémie hémolytique chronique
Sphérocytose héréditaire
N
10
4
3
2
2
2
2
1
1
1
1
1
1
1
1
Le tableau suivant reprend le(s) orientation(s) diagnostique(s) des 34 laboratoires,
qui n’ont pas suggéré de diagnostic:
Orientation diagnostique
N
Pathologie de la lignée rouge
Processus infectieux, inflammatoire ou toxique
Pathologie de la lignée rouge
Pathologie de la lignée rouge
Processus infectieux, inflammatoire ou toxique
Autre
Aucune
25
4
3
1
1
Déficience en glucose-6-phosphate-déshydrogénase (G6PD)
Les anémies hémolytiques héréditaires peuvent se ranger en trois grands groupes
en fonction du type d’anomalies
a)
b)
c)
Les hémoglobinopathies (syndromes drépanocytaires et autres variants de
l’hémoglobine; thalassémies)
Les enzymopathies
Les atteintes membranaires (sphérocytose, elliptocytose)
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
11/112
Parmi les enzymopathies à l’origine d’anémies hémolytiques, la déficience en G6PD
est de loin la plus fréquente: elle est présente chez plusieurs centaines de millions
d’individus, alors que l’ensemble des autres déficits enzymatiques confondus ne
touche que quelques milliers d’individus tout au plus.
La G6PD est une enzyme clé de la voie des pentoses phosphates, qui,
quantitativement, n’est qu’une voie secondaire de la glycolyse, mais qui joue un rôle
important comme fournisseur de NADPH. Son absence des érythrocytes les rend
particulièrement vulnérables aux atteintes oxydatives.
Transmission héréditaire
Le gène de la G6PD est situé sur le bras long du chromosome X et s’exprime dans
tous les tissus de l’organisme. Toutefois, l’effet du déficit enzymatique ne se
remarque que dans la lignée rouge et l’anémie hémolytique en est la manifestation
clinique essentielle. Ce déficit ne s’exprime en général que chez l’homme
(XY hémizygote); s’il peut parfois aussi s’exprimer chez la femme, cela implique que
les deux chromosomes X portent l’anomalie (très rare, femme homozygote). Par
conséquent, l’immense majorité des accidents hémolytiques survient chez des sujets
masculins. Comme pour l’hémoglobine, plusieurs centaines de variants sont connus.
Historique
La déficience en G6PD a été initialement reconnue dans les années 1950 chez des
Noirs américains, traités préventivement par un antimalarique, la primaquine. Mais,
les premières descriptions cliniques du favisme remontent au milieu du XIXème siècle,
dues à des médecins portugais et siciliens. Le terme de favisme lui-même est
introduit par des Italiens dans la littérature médicale en 1894, donc bien avant que
ne soit élucidé le mécanisme de la crise hémolytique.
Répartition géographique (voir carte)
•
Europe occidentale, septentrionale et centrale: déficience absente (sauf
populations originaires des régions à risque)
•
Bassin méditerranéen (principalement, Portugal, Sardaigne, Calabre, Sicile,
Grèce, Chypre, Turquie; dans une moindre mesure, l’Espagne et les pays du
Maghreb)
•
Proche-Orient et Moyen-Orient
•
Afrique Noire
•
Inde et Sud-Est asiatique (Chine méridionale, Malaisie, Thaïlande)
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
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Répartition géographique du déficit en G6PD dans le monde
(Source: site Vigifavisme, FAQ)
Les manifestations de la déficience: 4 présentations cliniques très différentes
Dans l’immense majorité des cas, le sujet porteur d’un déficit en G6PD ne présente
aucun signe d’anémie, ni d’hémolyse. L’examen hématologique, la morphologie
sanguine et la biologie usuelle sont strictement normaux.
Quatre types de tableaux sont associés à la déficience en G6PD :
a)
Une présentation asymptomatique
C’est de très loin la présentation la plus fréquente. Occasionnellement
survient une crise hémolytique aiguë, déclenchée par une infection et/ou la
prise de médicaments. C’est la forme africaine du déficit, rencontrée parmi les
populations noires.
b)
Une présentation asymptomatique, entrecoupée de rares crises hémolytiques
aiguës, déclenchée par les mêmes facteurs, auxquels s’ajoute la
consommation de fèves ou de préparations alimentaires à base de fèves.
C’est la forme méditerranéenne du déficit, rencontrée parmi les populations
de l’ensemble du bassin méditerranéen et en Asie du S-E.
c)
Un ictère néonatal, davantage conséquence de l’immaturité des fonctions
hépatiques que de l’hémolyse; la bilirubine peut s’élever au-delà de 30 mg/dL,
le foie se révélant incapable de conjuguer la bilirubine. L’importance de l’ictère
est telle qu’elle peut nécessiter des transfusions d’échange. Le déficit G6PD
est une cause importante d’ictère néonatal en Grèce, Sardaigne, Chine
méridionale, Malaisie, Thaïlande. Il est rare dans la population noire. Un
dépistage néonatal ciblé a été mis en place dans un certain nombre de pays à
risque.
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
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d)
Une anémie hémolytique chronique. Cette forme sporadique de déficience est
rarissime et n’a aucune répartition géographique élective.
Présentation de l’accident hémolytique
•
La crise hémolytique débute plusieurs heures, voire plusieurs jours après un
contact avec un élément déclenchant.
•
Le pic hémolytique est atteint au bout d’une semaine.
•
L’anémie hémolytique est intravasculaire, s’accompagne fréquemment d’un
ictère et de l’émission d’urines foncées.
•
Les autres lignées de l’hématopoïèse (lignées blanche et plaquettaire) sont
intactes et il n’y a pas de splénomégalie.
•
L’hémolyse cesse tout à fait spontanément (les hématies nouvellement
formées ont une activité G6PD suffisante).
•
Récupération hématologique progressive, correction progressive et spontanée
de l’anémie: le taux d’hémoglobine retourne à la normale après 4 à 5
semaines.
Biologie usuelle (crise hémolytique)
•
Sur le plan hématologique, seule la lignée rouge est affectée: installation
rapide d’une anémie, élévation de la réticulocytose.
•
Les anomalies rencontrées traduisent essentiellement une anémie à caractère
hémolytique, aiguë: effondrement de l’haptoglobine, élévation des LD,
élévation de la bilirubine totale et de la bilirubine non conjuguée.
Morphologie sanguine
•
Elle est strictement normale en dehors des épisodes hémolytiques.
•
Les anomalies sont limitées à la lignée rouge en cas d’accident hémolytique,
mais nullement spécifiques de la déficience en G6PD:
•
Formation de corps de Heinz (se voient aussi en présence de rares variants
de l’hémoglobine (hémoglobines instables, comme Hb Köln), mais rarement
mis en évidence, car disparaissant rapidement et nécessitant une coloration
spéciale (Bleu de crésyl brillant ou Nouveau bleu de méthylène), guère plus
en usage aujourd’hui (utilisée par le passé pour la numération des
réticulocytes).
•
Présence de globules fantômes (ghost red cells), non spécifiques.
•
Polychromatophilie, tardive.
Diagnostic de la déficience en G6PD
a) Le diagnostic de certitude repose sur la mesure de l’activité érythrocytaire en
G6PD. Valeurs de référence : activité enzymatique comprise entre 7.0 et 17.0 U/g Hb.
Comme les hématies les plus âgées sont celles qui ont les activités les plus basses
en G6PD et les plus jeunes (réticulocytes) ont les activités les plus hautes,
l’interprétation du résultat demande à connaître la réticulocytose.
b) La morphologie sanguine n’a qu’un rôle secondaire et la connaissance de l’origine
du patient et du profil de l’anémie hémolytique est infiniment plus importante que
l’examen morphologique.
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
14/112
Facteurs déclenchants
A l’origine de la crise hémolytique, il y a toujours un élément déclenchant que l’on
peut ranger en trois groupes :
a)
Une infection, notamment salmonelloses
b)
La consommation de fèves
c)
La prise de certains médicaments
Quelques remarques concernant la transfusion sanguine et les médicaments
responsables:
a)
De nombreux sites internet fournissent des informations dont la fiabilité laisse
à désirer. Tout et son contraire circulent sur la toile, y compris des informations que
l’on pourrait juger rassurantes, puisqu’elles sont dites émaner de sources médicales.
Un exemple à propos du don de sang par le patient atteint d’un déficit en G6PD:
faut-il interdire? déconseiller? quels sont les risques encourus? Deux avis
diamétralement opposés circulent sur le même site: ‘G6PD deficient should NOT
donate blood’ pour les uns; à l’inverse, d’autres considèrent qu’il n’y a pas de raison
d’interdire le don de sang: ‘I am from Sardinia where about 30 % of the population is
G6PD deficient. I donated blood many times and ALL doctors told me that there are
no problems for both the donator and the receiver’. Il est clair aujourd’hui qu’un sujet
porteur d’une déficience en G6PD NE DOIT PAS donner ni sang, ni moelle osseuse.
b)
Deux médicaments d’usage courant en cas d’infection (aspirine et
acétaminophène/paracétamol) doivent être considérés comme safe, malgré les
nombreux rapports les considérant comme potentiellement hémolytique.
c)
La posologie est au moins aussi importante à connaître que la nature du
principe actif.
d)
Dans l’immense majorité des cas et en dehors du cas particulier du favisme,
le facteur déclenchant une crise n’est la prise d’un médicament potentiellement
hémolytique, mais l’infection et/ou la fièvre.
Médicaments: attitude pratique
De longues listes de médicaments à proscrire chez le patient déficient en G6PD incluant l’aspirine ou l’acétaminophène (paracétamol) aux doses usuelles continuent à circuler ou à être données aux patients. La liste suivante reprend des
médicaments courants dont l’usage peut être recommandé chez le patient déficient
en G6PD:
Médicaments à considérer comme ‘safe’ (bien qu’ils aient été fréquemment cités
comme responsables de crises hémolytiques) aux doses thérapeutiques usuelles
•
Acétaminophène (paracétamol)
•
Acide ascorbique (vitamine C)
•
Aspirine
•
Chloramphénicol
•
Chloroquine
•
Colchicine
•
Isoniazide
•
Phénytoïne
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
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•
•
•
•
•
Proguanil (Paludrine)
Pyriméthamine (Daraprim)
Quinine
Sulfaméthoxazole et triméthoprim (Bactrim, Co-trimoxazole, Eusaprim)
Vitamine K
Agents médicamenteux et chimiques dont le rôle comme agent précipitant n’est pas
contestable (nouveau)
Furazolidone (Furoxone)
Acide nalédixique (Negram)
Nitrofurantoïne (Furadantine)
Niridazole (Ambilhar)
Glibenclamide (Daonil, Euglucon)
Autres sulfamidés hypoglycémiants ???
Rasburicase (Fasturtec)
Sulfone (dapsone)
Naphtalène (boules de naphtaline, utilisées comme agent anti mites)
Ci-dessous sont repris les liens vers deux fichiers établis par les autorités sanitaires
françaises (mise à jour 25/02/2008) et donnant la liste des médicaments à proscrire
ou déconseillés chez le sujet atteint d’une déficience en G6PD.
a) Référentiel ‘Médicaments et déficits en G6PD’ (index par spécialités, 31 pages)
http://ansm.sante.fr/var/ansm_site/storage/original/application/b79ecbe177ba489fe5f9a9eadb59ecba.pdf
b) Référentiel ‘Médicaments et déficit en G6PD’ (index par substances actives, 65 pages)
http://ansm.sante.fr/var/ansm_site/storage/original/application/2734cc2f7ab2d6484d492a34a3ccb67e.pdf
1
Source : AFSSAPS (agence française de sécurité sanitaire des produits de santé, www.afssaps.sante.fr)
devenue depuis 2012 ANSM (agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé)
Pour information, à l’attention de ceux qui consulteraient ces fichiers, nous
qu’au nombre des médicaments formellement déconseillés par les
sanitaires françaises figurent le sulfaméthoxazole et le triméthoprim
Eusaprim, Co-trimoxazole). Cette position diffère fondamentalement
préconisée aux Etats-Unis par E. Beutler (Blood, 2008, p. 20).
signalons
autorités
(Bactrim,
de celle
Favisme
Favisme est le nom donné à l’anémie hémolytique aiguë (potentiellement léthale, par
insuffisance rénale causée par l’hémoglobinurie) résultant de la consommation de
fèves (Vicia faba) par un sujet déficient en G6PD. Ces dernières sont la base de
l’alimentation des populations du bassin méditerranéen et du Proche-Orient, comme
le riz l’est en Asie ou le maïs, le quinoa en Amérique latine: ‘We are Egyptian and
Fava beans are the main ingredient in most of our national dish’, signalait un patient.
La crise hémolytique par ingestion de fèves diffère fondamentalement de celle
rencontrée chez un patient africain: elle est aiguë (apparaît en quelques heures) et
sévère (la numération des hématies peut être inférieure à 1.0 x 1012/L) et la
déficience à l’origine du favisme possède une répartition géographique élective: elle
est présente dans les pays du pourtour méditerranéen, en Asie; elle est absente des
populations d’Afrique noire. L’inhalation des pollens pourrait aussi être à l’origine de
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
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crises hémolytiques. S’il n’y a pas de variations saisonnières du favisme en Europe
occidentale (des fèves fraîches et congelées sont disponibles tout au long de
l’année), il n’en va pas de même dans le bassin méditerranéen et en Sardaigne,
Sicile, Grèce, le favisme connaît un maximum entre avril et août.
Références
BEUTLER E, The hemolytic effect of primaquine and related compounds. A review, Blood, 1959, 14,
pp. 103-139
BEUTLER E, G6PD : new perspectives, Blood, 1989, 73, 1397-1401.
BEUTLER E, Glucose-6-phosphate-dehydrogenase deficiency, New England Journal of Medicine,
1991, 324 (3), pp. 169-174.
BEUTLER E, G6PD deficiency : a historical perspective, Blood, 2008, 111, pp. 16-24 (expérience de
50 ans -1956 à 2006 - de l’un des plus grands spécialistes mondiaux de la déficience en G6PD)
CHAN TK, Chan WC, Weed RI, Erythrocyte hemighosts : a hallmark of severe oxidative injury in vivo,
British Journal of Haematology, 1982, 50, 575-582
DACIE J, Deficiency of glucose-6-phosphate-dehydrogenase deficiency, pp. 364-391, dans The
haemolytic anaemias, vol.1, The hereditary haemolytic anaemias, Churchill Livingstone, 1985.
JOLLY D, LEVY E, Le déficit en G6PD : arguments épidémiologiques et socio-économiques en faveur
de la nécessité d’un dépistage systématique ciblé, Journal d’Economie Médicale, 2010, 28 (1), pp. 1931.
LUISADA A, Favism. A singular disease chiefly affecting the red blood cells. Medicine, 1941, 20, pp.
229-250 (publication ancienne, mais une mine d’informations sur le favisme en Italie)
Site internet de l’Association Française des Personnes atteintes du déficit en
G6PD: www.vigifavisme.com (en particulier, les FAQ).
Bien documenté, mais biaisé, ce site nécessite toutefois une lecture critique : il n’est
fait référence qu’à des agents médicamenteux comme facteur déclenchant une crise
hémolytique. Le rôle de l’infection/de la fièvre est passé sous silence. Ce discours,
qui est aussi celui des autorités sanitaires françaises, est en contradiction avec les
conclusions d’E. Beutler, maintes fois répétées: ‘si le rôle de l’infection n’a pas été
reconnu immédiatement, elle est aujourd’hui reconnue comme le principal facteur
précipitant de l’anémie hémolytique’ (Beutler, 1978, 1991, 2008 ; Glader, 1976). La
position des autorités françaises est parfois aussi en opposition vis-à-vis de l’attitude
prônée aux Etats-Unis; la divergence apparaît très clairement à propos du
triméthoprim et du sulfaméthoxazole (formellement contre-indiqués en France) et de
l’aspirine et du paracétamol (déconseillés en France).
Dr. De Caluwé (Hôpitaux IRIS Sud – site Etterbeek/Ixelles)
Hormis 6 participants, tous les laboratoires belges ont renvoyé les résultats au
moyen de la base électronique (toolkit).
Nous remercions le Dr. M. Chatelain (Clinique Maternité Ste Elisabeth, Namur) de
nous avoir procuré le frottis H/12111 et de nous avoir donné les renseignements
cliniques nécessaires à l’enquête, ainsi que le Prof. B. Chatelain (Cliniques
universitaires UCL de Mont-Godinne) de nous avoir procuré le frottis H/12004, de
nous avoir donné les renseignements cliniques nécessaires à l’enquête et pour le
développement du CD-ROM avec les frottis virtuels.
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
17/112
H/12004
Mode de coloration
May-Grünwald-Giemsa
163
Formule sanguine
Polynucléaires neutrophiles
Polynucléaires à noyau non segmenté
Polynucléaires neutrophiles +
à noyau non segmenté
Polynucléaires éosinophiles
Polynucléaires basophiles
Lymphocytes
Lymphocytes réactionnels
Lymphocytes totaux
Monocytes
Promyélocytes
Myélocytes neutrophiles
Myélocytes éosinophiles
Métamyélocytes neutrophiles
Métamyélocytes éosinophiles
Blastes
Autres cellules
Erythroblastes (/100 GB)
Wright
2
Autre coloration
5
Médiane
43.0
3.0
DS
3.3
2.2
CV, %
7.8
74.1
N
174
109
45.0
3.0
6.6
183
3.0
2.0
35.0
2.0
36.0
10.0
1.5
0.7
4.3
1.5
4.6
3.0
49.4
37.1
12.2
74.1
12.9
29.7
1.8
0.7
41.2
2.0
1.5
74.1
1.5
2.0
1.5
1.5
102.2
74.1
180
135
171
94
183
183
3
129
3
145
2
1
22
164
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
18/112
Anomalies morphologiques significatives
des hématies
Anomalies de taille
Anisocytose
Microcytose
Macrocytose
Anomalies de forme
Poikilocytose
Echinocytes
Acanthocytes
Annulocytes
Schizocytes ('fragmentocytes')
Dacryocytes ('teardrop-cells')
Drépanocytes ('sickle-cells')
Cellules-cibles ('target-cells')
Sphérocytes
Ovalocytes - elliptocytes
Stomatocytes
Anomalies de coloration
Hypochromie
Polychromatophilie
Inclusions
Corps de Howell-Jolly
Ponctuations basophiles/
Corps de Pappenheimer
Parasites intra-érythrocytaires
Anomalies de distribution
Présence de rouleaux
Présence d'agglutinats
Double population (taille)
Double population (coloration)
Néant
+
++
+++
7
125
131
15
23
31
78
30
17
83
5
4
72
153
142
179
155
174
183
176
17
174
166
42
26
36
4
26
9
47
4
4
22
161
57
13
50
175
8
141
37
7
23
9
15
1
2
103
40
2
7
57
2
19
5
183
181
183
96
129
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
2
23
19
48
28
16
7
19/112
Présence d'anomalies significatives des
leucocytes pour le diagnostic
Hypersegmentation des neutrophiles
Granulations toxiques
Corps de Döhle
Hypogranulation des polynucléaires
neutrophiles
Anomalies nucléaires des neutrophiles
Présence de bâtonnets d'Auer
(pseudo)-Pelger-Huet
Masses de Gumprecht
Lymphocytes à chromatine en mottes
Cellules (lympho-)plasmocytaires
Tricholeucocytes ('hairy cells')
Cellules de Sézary
Grands lymphocytes granuleux
Autres cellules lymphomateuses
Lymphocytes réactionnels
Autres leucocytes
Néant
+
183
174
182
9
1
173
9
1
177
183
181
180
181
174
178
183
181
180
143
181
4
2
2
3
2
7
3
1
2
2
3
38
1
2
1
Anomalies des thrombocytes
Frottis thrombopénique
Frottis thrombocytémique
Aggrégats thrombocytaires
Macrothrombocytes
Dysplasie thrombocytaire
(anomalie des granulations)
Néant
182
182
182
171
+
1
1
10
179
4
Autres anomalies
Hyperprotéinémie plasmatique
(coloration de fond)
Parasites extra-érythrocytaires
Néant
+
++
++
+++
1
+++
1
2
++
+++
183
183
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
20/112
Orientation diagnostique
Diagnostic (premier choix)
Pathologie de la lignée rouge
Processus infectieux, inflammatoire ou toxique
Hémopathie maligne aiguë
Autre
Syndrome myélodysplasique
Syndrome lymphoprolifératif chronique
Pathologie de la lignée plaquettaire
N
164
12
2
2
1
1
1
Diagnostic (deuxième choix)
Pas de réponse
Processus infectieux, inflammatoire ou toxique
Pathologie de la lignée rouge
Syndrome lymphoprolifératif chronique
N
139
30
13
1
Diagnostic (troisième choix)
Pas de réponse
Pathologie de la lignée rouge
Hémopathie maligne aiguë
N
180
2
1
Examens supplémentaires
Examen (premier choix)
Recherche des anomalies membranaires des globules rouges
Exploration de l'hémolyse (bilirubine, LDH, haptoglobine, réticulocytes)
Test de Coombs direct
Anamnèse familiale
Sérologie infectieuse
Pas de réponse
Autre
Immunophénotypage
Recherche des anomalies enzymatiques des globules rouges
Aspiration médullaire
Biopsie ostéo-médullaire
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
N
60
59
23
13
8
7
4
3
2
2
2
21/112
Examen (deuxième choix)
Exploration de l'hémolyse (bilirubine, LDH, haptoglobine, réticulocytes)
Recherche des anomalies membranaires des globules rouges
Test de Coombs direct
Anamnèse familiale
Pas de réponse
Recherche des anomalies enzymatiques des globules rouges
Sérologie infectieuse
Recherche d’hémoglobine anormale
Immunophénotypage
Aspiration médullaire
Autre
Paramètres de l'inflammation (CRP)
Bilan hépatique
Cytochimie
Microscopie électronique
N
38
38
27
21
19
9
9
8
4
3
2
2
1
1
1
Examen (troisième choix)
Pas de réponse
Recherche des anomalies membranaires des globules rouges
Anamnèse familiale
Test de Coombs direct
Exploration de l'hémolyse (bilirubine, LDH, haptoglobine, réticulocytes)
Sérologie infectieuse
Recherche d’hémoglobine anormale
Biologie moléculaire
Immunophénotypage
Recherche des anomalies enzymatiques des globules rouges
Bilan hépatique
Paramètres de l'inflammation (CRP)
Autre
Aspiration médullaire
Etude cytogénétique
Imagerie médicale
N
42
37
30
17
14
14
5
5
4
4
3
2
2
2
1
1
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
22/112
H/12004 DIGIT
Formule sanguine
Polynucléaires neutrophiles
Polynucléaires à noyau non segmenté
Polynucléaires neutrophiles +
à noyau non segmenté
Polynucléaires éosinophiles
Polynucléaires basophiles
Lymphocytes
Lymphocytes réactionnels
Lymphocytes totaux
Monocytes
Promyélocytes
Myélocytes neutrophiles
Myélocytes éosinophiles
Métamyélocytes neutrophiles
Métamyélocytes éosinophiles
Blastes
Autres cellules
Erythroblastes (/100 GB)
Médiane
41.0
3.4
DS
3.0
3.0
CV, %
7.2
87.2
N
167
134
44.5
2.6
5.9
168
2.0
2.0
35.0
2.0
36.9
11.0
0.5
1.5
2.3
2.0
0.3
0.7
4.3
2.2
3.8
2.5
0.4
0.7
0.7
1.1
14.8
37.1
12.3
111.2
10.3
22.6
74.1
49.4
32.9
55.6
1.0
1.9
1.0
0.7
103.8
39.0
167
166
159
88
168
168
9
113
10
140
0
4
24
154
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
23/112
Anomalies morphologiques significatives
des hématies
Anomalies de taille
Anisocytose
Microcytose
Macrocytose
Anomalies de forme
Poikilocytose
Echinocytes
Acanthocytes
Annulocytes
Schizocytes ('fragmentocytes')
Dacryocytes ('teardrop-cells')
Drépanocytes ('sickle-cells')
Cellules-cibles ('target-cells')
Sphérocytes
Ovalocytes - elliptocytes
Stomatocytes
Anomalies de coloration
Hypochromie
Polychromatophilie
Inclusions
Corps de Howell-Jolly
Ponctuations basophiles/
Corps de Pappenheimer
Parasites intra-érythrocytaires
Anomalies de distribution
Présence de rouleaux
Présence d'agglutinats
Double population (taille)
Double population (coloration)
Néant
+
++
+++
3
109
123
18
24
24
74
30
19
73
5
2
70
133
131
164
137
161
168
164
19
160
153
29
33
31
3
26
7
51
2
6
1
3
18
90
39
143
56
15
39
162
6
127
38
4
20
8
13
2
2
7
55
3
18
3
168
167
168
100
125
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
1
18
12
39
26
11
5
24/112
Présence d'anomalies significatives des
leucocytes pour le diagnostic
Hypersegmentation des neutrophiles
Granulations toxiques
Corps de Döhle
Hypogranulation des polynucléaires
neutrophiles
Anomalies nucléaires des neutrophiles
Présence de bâtonnets d'Auer
(pseudo)-Pelger-Huet
Masses de Gumprecht
Lymphocytes à chromatine en mottes
Cellules (lympho-)plasmocytaires
Tricholeucocytes ('hairy cells')
Cellules de Sézary
Grands lymphocytes granuleux
Autres cellules lymphomateuses
Lymphocytes réactionnels
Autres leucocytes
Néant
+
++
168
157
168
10
1
162
4
2
163
168
166
168
166
157
163
168
167
165
145
167
4
1
+++
2
2
10
3
1
3
19
1
1
2
3
1
+++
Anomalies des thrombocytes
Frottis thrombopénique
Frottis thrombocytémique
Aggrégats thrombocytaires
Macrothrombocytes
Dysplasie thrombocytaire
(anomalie des granulations)
Néant
168
168
167
160
+
++
1
7
1
165
3
Autres anomalies
Hyperprotéinémie plasmatique
(coloration de fond)
Parasites extra-érythrocytaires
Néant
+
++
+++
168
168
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
25/112
Orientation diagnostique
Diagnostic (premier choix)
Pathologie de la lignée rouge
Processus infectieux, inflammatoire ou toxique
Hémopathie maligne aiguë
Autre
Pas de réponse
Syndrome myélodysplasique
Syndrome lymphoprolifératif chronique
N
152
9
2
2
1
1
1
Diagnostic (deuxième choix)
Pas de réponse
Processus infectieux, inflammatoire ou toxique
Pathologie de la lignée rouge
Syndrome lymphoprolifératif chronique
N
130
27
10
1
Diagnostic (troisième choix)
Pas de réponse
Pathologie de la lignée rouge
Hémopathie maligne aiguë
N
165
2
1
Examens supplémentaires
Examen (premier choix)
Recherche des anomalies membranaires des globules rouges
Exploration de l'hémolyse (bilirubine, LDH, haptoglobine, réticulocytes)
Test de Coombs direct
Anamnèse familiale
Sérologie infectieuse
Pas de réponse
Aspiration médullaire
Biopsie ostéo-médullaire
Immunophénotypage
Recherche des anomalies enzymatiques des globules rouges
Recherche d’hémoglobine anormale
Autre
Paramètres de l'inflammation (CRP)
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
N
55
54
22
12
7
6
3
2
2
2
1
1
1
26/112
Examen (deuxième choix)
Exploration de l'hémolyse (bilirubine, LDH, haptoglobine, réticulocytes)
Recherche des anomalies membranaires des globules rouges
Test de Coombs direct
Anamnèse familiale
Pas de réponse
Recherche des anomalies enzymatiques des globules rouges
Recherche d’hémoglobine anormale
Sérologie infectieuse
Immunophénotypage
Autre
Aspiration médullaire
Cytochimie
Bilan hépatique
N
42
35
22
18
17
10
8
6
5
2
1
1
1
Examen (troisième choix)
Pas de réponse
Recherche des anomalies membranaires des globules rouges
Anamnèse familiale
Test de Coombs direct
Exploration de l'hémolyse (bilirubine, LDH, haptoglobine, réticulocytes)
Sérologie infectieuse
Recherche des anomalies enzymatiques des globules rouges
Recherche d’hémoglobine anormale
Bilan hépatique
Biologie moléculaire
Immunophénotypage
Autre
Aspiration médullaire
Paramètres de l'inflammation (CRP)
Etude cytogénétique
N
38
33
28
13
13
12
9
5
4
4
2
2
2
2
1
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
27/112
H/12111 DIGIT
Formule sanguine
Polynucléaires neutrophiles
Polynucléaires à noyau non segmenté
Polynucléaires neutrophiles +
à noyau non segmenté
Polynucléaires éosinophiles
Polynucléaires basophiles
Lymphocytes
Lymphocytes réactionnels
Lymphocytes totaux
Monocytes
Promyélocytes
Myélocytes neutrophiles
Myélocytes éosinophiles
Métamyélocytes neutrophiles
Métamyélocytes éosinophiles
Blastes
Autres cellules
Erythroblastes (/100 GB)
Médiane
44.0
4.2
DS
3.0
3.1
CV, %
6.9
73.2
N
163
132
47.0
1.4
3.0
168
1.0
2.1
36.0
1.1
37.0
9.0
1.1
2.1
2.0
2.0
0
0.1
1.6
0.9
2.3
1.8
0.7
0.8
0.8
0.8
0
3.5
4.3
80.9
6.1
20.2
70.6
38.8
40.8
40.8
1.0
1.0
9.4
0
0
0.3
0
0
3.2
167
167
152
65
168
168
16
137
13
127
2
31
17
156
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
28/112
Anomalies morphologiques significatives
des hématies
Anomalies de taille
Anisocytose
Microcytose
Macrocytose
Anomalies de forme
Poikilocytose
Echinocytes
Acanthocytes
Annulocytes
Schizocytes ('fragmentocytes')
Dacryocytes ('teardrop-cells')
Drépanocytes ('sickle-cells')
Cellules-cibles ('target-cells')
Sphérocytes
Ovalocytes - elliptocytes
Stomatocytes
Anomalies de coloration
Hypochromie
Polychromatophilie
Inclusions
Corps de Howell-Jolly
Ponctuations basophiles/
Corps de Pappenheimer
Parasites intra-érythrocytaires
Anomalies de distribution
Présence de rouleaux
Présence d'agglutinats
Double population (taille)
Double population (coloration)
Néant
+
++
+++
17
111
142
12
23
17
64
22
7
75
12
2
46
154
150
143
93
160
165
149
133
164
159
21
12
13
12
44
6
3
16
22
3
7
50
2
3
9
20
2
51
2
9
1
1
1
4
103
87
19
45
30
28
16
8
159
4
3
2
136
20
10
2
2
1
165
163
164
157
165
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
4
2
2
2
2
4
11
1
1
3
1
2
6
29/112
Présence d'anomalies significatives des
leucocytes pour le diagnostic
Hypersegmentation des neutrophiles
Granulations toxiques
Corps de Döhle
Hypogranulation des polynucléaires
neutrophiles
Anomalies nucléaires des neutrophiles
Présence de bâtonnets d'Auer
(pseudo)-Pelger-Huet
Masses de Gumprecht
Lymphocytes à chromatine en mottes
Cellules (lympho-)plasmocytaires
Tricholeucocytes ('hairy cells')
Cellules de Sézary
Grands lymphocytes granuleux
Autres cellules lymphomateuses
Lymphocytes réactionnels
Autres leucocytes
Néant
+
++
+++
166
146
168
2
19
3
166
1
1
165
168
168
168
167
167
168
168
166
168
162
168
3
5
1
Anomalies des thrombocytes
Frottis thrombopénique
Frottis thrombocytémique
Aggrégats thrombocytaires
Macrothrombocytes
Dysplasie thrombocytaire
(anomalie des granulations)
Néant
168
167
168
167
+
++
+++
Autres anomalies
Hyperprotéinémie plasmatique
(coloration de fond)
Parasites extra-érythrocytaires
Néant
+
++
+++
167
1
1
1
2
1
1
168
168
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
30/112
Orientation diagnostique
Diagnostic (premier choix)
Pathologie de la lignée rouge
Processus infectieux, inflammatoire ou toxique
Autre
Pas de réponse
N
157
7
3
1
Diagnostic (deuxième choix)
Pas de réponse
Processus infectieux, inflammatoire ou toxique
Pathologie de la lignée rouge
Autre
N
137
19
10
2
Diagnostic (troisième choix)
Pas de réponse
Pathologie de la lignée rouge
Syndrome myéloprolifératif chronique
N
165
2
1
Examens supplémentaires
Examen (premier choix)
Recherche des anomalies enzymatiques des globules rouges
Exploration de l'hémolyse (bilirubine, LDH, haptoglobine, réticulocytes)
Recherche d’hémoglobine anormale
Anamnèse familiale
Test de Coombs direct
Autre
Pas de réponse
Recherche des anomalies membranaires des globules rouges
Aspiration médullaire
Bilan hépatique
N
70
43
20
13
11
5
2
2
1
1
Examen (deuxième choix)
Recherche d’hémoglobine anormale
Exploration de l'hémolyse (bilirubine, LDH, haptoglobine, réticulocytes)
Recherche des anomalies enzymatiques des globules rouges
Pas de réponse
Test de Coombs direct
Anamnèse familiale
Recherche des anomalies membranaires des globules rouges
Sérologie infectieuse
Autre
Cytochimie
Biologie moléculaire
Tests fonctionnels rénaux
N
38
33
32
19
13
12
10
4
3
2
1
1
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
31/112
Examen (troisième choix)
Pas de réponse
Anamnèse familiale
Recherche des anomalies enzymatiques des globules rouges
Recherche d’hémoglobine anormale
Exploration de l'hémolyse (bilirubine, LDH, haptoglobine, réticulocytes)
Recherche des anomalies membranaires des globules rouges
Test de Coombs direct
Sérologie infectieuse
Bilan hépatique
Autre
Biologie moléculaire
Tests fonctionnels rénaux
Paramètres de l'inflammation (CRP)
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
N
50
27
18
18
13
11
11
8
7
2
1
1
1
32/112
HEMATOLOGIE: NUMERATION
Echantillons
Chaque participant a reçu deux échantillons de sang frais (H/12080, H/12081)
prélevés sur EDTA. Les deux échantillons ont été légèrement stabilisés (0.025%
glutardialdéhyde). La distribution des résultats obtenus pour le dosage de
l’hémoglobine confirme l’homogénéité des deux échantillons (CV’s respectivement
de 1.4 et 1.2%).
Etant donné que les échantillons sont frais, il est de la première importance
d’analyser les échantillons dès leur réception. Le traitement statistique est
uniquement réalisé à partir des résultats obtenus sur les échantillons analysés les
jours 1 et 2 (le jour 0 étant le jour de l’envoi). Les laboratoires sont informés le jour
même (jour 0) par e-mail de l’envoi.
Nous avons utilisé les services de ‘Taxipost 24h’ afin que les échantillons
parviennent aux laboratoires le plus rapidement possible. Presque tous les
participants ont reçu les échantillons le jour 1. Seuls 5 participants ont reçu les
échantillons le jour 2. Il est à noter que 22 laboratoires (10.8%) ont attendu le 2ème
jour pour réaliser les analyses. Un laboratoire a seulement reçu les échantillons le
ème
jour.
3
Hormis 6 participants, tous les laboratoires belges ont renvoyé les résultats au
moyen de la base électronique (toolkit).
Résultats
Les résultats sont satisfaisants.
Réticulocytes
Pour les réticulocytes, le CV, toutes méthodes confondues, est de 21.4% pour
l’échantillon H/12080 et de 26.4% pour l’échantillon H/12081. Les médianes globales
sont respectivement de 1.01 et 1.22% des GR.
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
33/112
Interprétation du rapport individuel
Les informations suivantes sont reprises :
- Votre résultat
- Votre méthode
- La médiane globale M: la valeur centrale des résultats fournis par
l’ensemble des laboratoires toutes méthodes confondues
- SD ou écart type global: mesure de la dispersion des résultats fournis
par l’ensemble des laboratoires
- La médiane de votre méthode M: la valeur centrale des résultats
fournis par les laboratoires utilisant la même méthode
- SD ou écart type de votre méthode: mesure de la dispersion des
résultats de votre méthode
- CV ou coefficient de variation: CV = SD x 100/M (%)
- Z ou distance réduite de votre résultat à la médiane de votre groupe
exprimée en écart type : Z = (R-M)/SD
- U ou écart de votre résultat par rapport à la médiane de votre groupe
exprimé en % :
U = (R-M) x 100/M
- une interprétation graphique de la localisation de votre résultat (R)
par rapport à la médiane (M) basée sur la méthode de Tukey, pour
chaque paramètre et pour chaque échantillon analysé
R:
M:
H:
I:
O:
votre résultat
médiane
percentiles 25 et 75
limites intérieures (M ± 2.7 SD)
limites extérieures (M ± 4.7 SD)
Le graphique global et celui de votre méthode sont exprimés selon la même
échelle, ce qui les rend comparables. Ces graphiques vous donnent une
indication approximative de la position de votre résultat (R) par rapport à la
médiane (M).
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
34/112
Représentation graphique
A côté des tableaux de résultats, une représentation graphique en « box et whisker »
plot a été ajoutée. Elle reprend les éléments suivants pour les méthodes avec au
moins 6 participants:
- un rectangle avec les percentiles 25 (P25) et 75 (P75)
- une ligne centrale qui représente la médiane des résultats (P50)
- une ligne inférieure qui représente la plus petite valeur x > P25-1.5*(P75-P25)
- une ligne supérieure qui représente la plus grande valeur x < P75+1.5*(P75-P25)
- tous les points en dehors de cet intervalle sont représentés par un rond
Comme indiqué dans la figure ci-dessous, les limites (I) reprises dans les graphiques
des rapports individuels correspondent aux lignes inférieures et supérieures des box
plots (à savoir P25 - 1.5*(P75 - P25) et P75 + 1.5*(P75 - P25)) et, dans le cas d’une
distribution normale, à M ± 2.7 SD.
= normale )
O
= P75 + 3* (P75-P25)
(distribution
I = P75 + 1.5* (P75-P25)
x < P75 + 1.5* (P75-P25)
H
P75
LIMITES DE TUKEY
M
H
P50
P25
x > P25 - 1.5* (P75-P25)
I = P25 - 1.5* (P75-P25)
O = P25 - 3* (P75-P25)
O
M - 4.7 s
I
M - 2.7 s
H
P25
M
H
P75
I
M + 2.7 s
O
M + 4.7 s
LIMITES CORRESPONDANTES SI DISTRIBUTION NORMALE
Hématologie, rapport global 2012/3. Date d’impression: 13/3/2013.
35/112
Globules rouges - d (%) : 4.0
METHODE
H/12080
Médiane
1012/L
SD
1012/L
CV
%
N
053 Abbott Cell-Dyn 1200/1300/1600/1700
3.66
1
055 Abbott Cell-Dyn 3200
3.54 3.59 3.61
3.66
4
052 Abbott Cell-Dyn 3500/3700
3.48 3.49
2
042 Abbott Cell-Dyn Ruby
3.29 3.51 3.53
3.57
4
040 Abbott Cell-Dyn Sapphire
3.57
0.05
1.5
13
012 ABX Micros
3.41
1
130 Beckman Coulter Gen-S
3.41
1
150 Beckman Coulter LH 500/750/755/780
3.35
0.05
1.5
27
200 Beckman Coulter Unicel DxH 800
3.42
0.06
1.7
6
074 Siemens Advia 120/2120/2120i
3.51
0.04
1.3
40
064 Sysmex KX 21
3.47 3.50
2
073 Sysmex pocH-100i
3.52 3.57 3.58
3
067 Sysmex XE 2100(D)/XE-alpha/HST 430/XE 5000
3.50
0.04
1.2
48
233 Sysmex XN 1000/XN 2000/XN 9000
3.45
0.06
1.8
8
231 Sysmex XS 1000i/XS 800i
3.45
0.03
0.9
9
060 Sysmex XT 2000i/XT 1800i/XT 4000i
3.50
0.06
1.7
34
Globalement (toutes méthodes confondues)
3.50
0.07
2.0
203
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
36/112
Globules rouges - d (%) : 4.0
METHODE
H/12081
Médiane
1012/L
SD
1012/L
CV
%
N
053 Abbott Cell-Dyn 1200/1300/1600/1700
4.42
1
055 Abbott Cell-Dyn 3200
4.42 4.43 4.45
4.46
4
052 Abbott Cell-Dyn 3500/3700
4.33 4.33
2
042 Abbott Cell-Dyn Ruby
4.08 4.38 4.48
4.50
4
040 Abbott Cell-Dyn Sapphire
4.47
0.06
1.3
13
012 ABX Micros
4.35
1
130 Beckman Coulter Gen-S
4.29
1
150 Beckman Coulter LH 500/750/755/780
4.18
0.06
1.5
27
200 Beckman Coulter Unicel DxH 800
4.25
0.05
1.2
6
074 Siemens Advia 120/2120/2120i
4.38
0.09
1.9
40
064 Sysmex KX 21
4.30 4.37
2
073 Sysmex pocH-100i
4.36 4.39 4.43
3
067 Sysmex XE 2100(D)/XE-alpha/HST 430/XE 5000
4.38
0.04
0.9
48
233 Sysmex XN 1000/XN 2000/XN 9000
4.34
0.05
1.1
8
231 Sysmex XS 1000i/XS 800i
4.33
0.02
0.5
9
060 Sysmex XT 2000i/XT 1800i/XT 4000i
4.39
0.07
1.5
34
Globalement (toutes méthodes confondues)
4.37
0.09
2.0
203
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
37/112
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
40
= 4.63 1012/L
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
38/112
Globules blancs - d (%) : 10.0
METHODE
H/12080
Médiane
109/L
SD
109/L
CV
%
N
055 Abbott Cell-Dyn 3200
3.40 3.70 3.76
3.89
4
052 Abbott Cell-Dyn 3500/3700
4.90 5.00
2
042 Abbott Cell-Dyn Ruby
3.68 3.89 4.00
4.10
4
040 Abbott Cell-Dyn Sapphire
4.81
0.15
3.1
13
012 ABX Micros
4.70
1
015 ABX Pentra/Octra
3.76
1
130 Beckman Coulter Gen-S
4.79
1
150 Beckman Coulter LH 500/750/755/780
4.90
0.14
3.0
27
200 Beckman Coulter Unicel DxH 800
4.61
0.15
3.2
6
074 Siemens Advia 120/2120/2120i
4.60
0.24
5.3
40
064 Sysmex KX 21
4.60 4.60
2
073 Sysmex pocH-100i
4.60 4.80 4.90
3
067 Sysmex XE 2100(D)/XE-alpha/HST 430/XE 5000
4.83
0.13
2.8
48
233 Sysmex XN 1000/XN 2000/XN 9000
4.82
0.11
2.2
8
231 Sysmex XS 1000i/XS 800i
4.65
0.07
1.6
9
060 Sysmex XT 2000i/XT 1800i/XT 4000i
4.80
0.08
1.7
34
Globalement (toutes méthodes confondues)
4.80
0.21
4.3
203
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
39/112
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
40
= 5.30 109/L
60
= 45.2 109/L
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
40/112
Globules blancs - d (%) : 10.0
METHODE
H/12081
Médiane
109/L
SD
109/L
CV
%
N
055 Abbott Cell-Dyn 3200
5.07 5.11 5.21
5.30
4
052 Abbott Cell-Dyn 3500/3700
5.50 5.80
2
042 Abbott Cell-Dyn Ruby
5.13 5.25 5.30
5.80
4
040 Abbott Cell-Dyn Sapphire
5.60
0.10
1.9
13
012 ABX Micros
5.40
1
015 ABX Pentra/Octra
5.00
1
130 Beckman Coulter Gen-S
5.55
1
150 Beckman Coulter LH 500/750/755/780
5.60
0.11
2.0
27
200 Beckman Coulter Unicel DxH 800
5.40
0.04
0.7
6
074 Siemens Advia 120/2120/2120i
5.39
0.22
4.1
40
064 Sysmex KX 21
5.50 5.50
2
073 Sysmex pocH-100i
5.40 5.50 5.60
3
067 Sysmex XE 2100(D)/XE-alpha/HST 430/XE 5000
5.56
0.16
2.8
48
233 Sysmex XN 1000/XN 2000/XN 9000
5.56
0.12
2.2
8
231 Sysmex XS 1000i/XS 800i
5.40
0.07
1.2
9
060 Sysmex XT 2000i/XT 1800i/XT 4000i
5.54
0.16
2.8
34
Globalement (toutes méthodes confondues)
5.50
0.15
2.7
203
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
41/112
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
74
= 4.71 109/L
60
= 54.7 109/L
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
42/112
Hémoglobine - d (%) : 4.0
METHODE
H/12080
Médiane
g/L
SD
g/L
CV
%
N
055 Abbott Cell-Dyn 3200
107 109 110
110
4
052 Abbott Cell-Dyn 3500/3700
102 106
2
042 Abbott Cell-Dyn Ruby
101 105 105
106
4
040 Abbott Cell-Dyn Sapphire
107
1
1.4
13
012 ABX Micros
90
1
015 ABX Pentra/Octra
108
1
130 Beckman Coulter Gen-S
105
1
150 Beckman Coulter LH 500/750/755/780
104
1
1.4
27
200 Beckman Coulter Unicel DxH 800
106
1
1.4
6
074 Siemens Advia 120/2120/2120i
106
1
1.4
40
064 Sysmex KX 21
105 105
2
073 Sysmex pocH-100i
105 107 107
3
067 Sysmex XE 2100(D)/XE-alpha/HST 430/XE 5000
105
1
1.4
48
233 Sysmex XN 1000/XN 2000/XN 9000
104
1
0.7
8
231 Sysmex XS 1000i/XS 800i
104
1
0.7
9
060 Sysmex XT 2000i/XT 1800i/XT 4000i
105
1
0.7
34
Globalement (toutes méthodes confondues)
105
1
1.4
203
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
43/112
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
74
= 111 g/L
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
44/112
Hémoglobine - d (%) : 4.0
METHODE
H/12081
Médiane
g/L
SD
g/L
CV
%
N
055 Abbott Cell-Dyn 3200
124 126 127
127
4
052 Abbott Cell-Dyn 3500/3700
119 126
2
042 Abbott Cell-Dyn Ruby
118 124 125
125
4
040 Abbott Cell-Dyn Sapphire
124
1
1.2
13
012 ABX Micros
106
1
015 ABX Pentra/Octra
126
1
130 Beckman Coulter Gen-S
123
1
150 Beckman Coulter LH 500/750/755/780
121
1
200 Beckman Coulter Unicel DxH 800
122
0
074 Siemens Advia 120/2120/2120i
124
2
0.6
27
6
1.8
40
064 Sysmex KX 21
121 122
2
073 Sysmex pocH-100i
124 124 124
3
067 Sysmex XE 2100(D)/XE-alpha/HST 430/XE 5000
123
1
0.6
48
233 Sysmex XN 1000/XN 2000/XN 9000
122
2
1.8
8
231 Sysmex XS 1000i/XS 800i
122
2
1.8
9
060 Sysmex XT 2000i/XT 1800i/XT 4000i
123
1
1.2
34
Globalement (toutes méthodes confondues)
123
1
1.2
203
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
45/112
Hématocrite - d (%) : 4.0
METHODE
H/12080
Médiane
L/L
SD
L/L
CV
%
N
055 Abbott Cell-Dyn 3200
0.328 0.334 0.342
0.345
4
052 Abbott Cell-Dyn 3500/3700
0.320 0.333
2
042 Abbott Cell-Dyn Ruby
0.310 0.330 0.334
0.335
4
040 Abbott Cell-Dyn Sapphire
0.340
0.004
1.1
13
012 ABX Micros
0.335
1
015 ABX Pentra/Octra
0.339
1
130 Beckman Coulter Gen-S
0.330
1
150 Beckman Coulter LH 500/750/755/780
0.320
0.006
2.0
27
200 Beckman Coulter Unicel DxH 800
0.330
0.007
2.0
6
074 Siemens Advia 120/2120/2120i
0.336
0.007
2.1
40
064 Sysmex KX 21
0.318 0.331
2
073 Sysmex pocH-100i
0.328 0.329 0.330
3
067 Sysmex XE 2100(D)/XE-alpha/HST 430/XE 5000
0.330
0.007
2.0
48
233 Sysmex XN 1000/XN 2000/XN 9000
0.333
0.003
1.0
8
231 Sysmex XS 1000i/XS 800i
0.331
0.003
0.9
9
060 Sysmex XT 2000i/XT 1800i/XT 4000i
0.333
0.004
1.3
34
Globalement (toutes méthodes confondues)
0.332
0.009
2.7
203
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
46/112
Hématocrite - d (%) : 4.0
METHODE
H/12081
Médiane
L/L
SD
L/L
CV
%
N
055 Abbott Cell-Dyn 3200
0.369 0.371 0.382
0.386
4
052 Abbott Cell-Dyn 3500/3700
0.370 0.370
2
042 Abbott Cell-Dyn Ruby
0.350 0.370 0.385
0.386
4
040 Abbott Cell-Dyn Sapphire
0.384
0.005
1.4
13
012 ABX Micros
0.390
1
015 ABX Pentra/Octra
0.373
1
130 Beckman Coulter Gen-S
0.370
1
150 Beckman Coulter LH 500/750/755/780
0.362
0.007
1.8
27
200 Beckman Coulter Unicel DxH 800
0.369
0.004
1.0
6
074 Siemens Advia 120/2120/2120i
0.379
0.009
2.3
40
064 Sysmex KX 21
0.356 0.371
2
073 Sysmex pocH-100i
0.366 0.370 0.380
3
067 Sysmex XE 2100(D)/XE-alpha/HST 430/XE 5000
0.375
0.007
1.9
48
233 Sysmex XN 1000/XN 2000/XN 9000
0.379
0.005
1.4
8
231 Sysmex XS 1000i/XS 800i
0.377
0.004
1.0
9
060 Sysmex XT 2000i/XT 1800i/XT 4000i
0.375
0.007
1.8
34
Globalement (toutes méthodes confondues)
0.375
0.009
2.4
203
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
47/112
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
150
= 0.344 L/L
40
= 0.402 L/L
67
= 0.397 L/L
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
48/112
VCM - d (%) : 5.0
H/12080
METHODE
Médiane
fL
SD
fL
CV
%
N
055 Abbott Cell-Dyn 3200
91.2 92.7 94.7
96.0
4
052 Abbott Cell-Dyn 3500/3700
92.5 93.0
2
042 Abbott Cell-Dyn Ruby
93.4 93.8 94.3
95.2
4
040 Abbott Cell-Dyn Sapphire
95.6
0.8
0.9
13
012 ABX Micros
98.0
1
015 ABX Pentra/Octra
92.6
1
130 Beckman Coulter Gen-S
95.3
1
150 Beckman Coulter LH 500/750/755/780
95.6
1.1
1.2
27
200 Beckman Coulter Unicel DxH 800
95.9
0.5
0.5
6
074 Siemens Advia 120/2120/2120i
95.7
1.7
1.8
39
064 Sysmex KX 21
91.6 94.5
2
073 Sysmex pocH-100i
91.9 93.0 93.2
3
067 Sysmex XE 2100(D)/XE-alpha/HST 430/XE 5000
93.9
1.6
1.7
48
233 Sysmex XN 1000/XN 2000/XN 9000
96.9
1.4
1.4
8
231 Sysmex XS 1000i/XS 800i
96.8
1.1
1.1
8
060 Sysmex XT 2000i/XT 1800i/XT 4000i
95.1
1.0
1.0
34
Globalement (toutes méthodes confondues)
95.2
1.5
1.6
201
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
49/112
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
200
= 99.7 fL
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
50/112
VCM - d (%) : 5.0
H/12081
METHODE
Médiane
fL
SD
fL
CV
%
N
055 Abbott Cell-Dyn 3200
82.8 83.6 85.8
87.3
4
052 Abbott Cell-Dyn 3500/3700
85.2 88.0
2
042 Abbott Cell-Dyn Ruby
85.0 85.5 85.6
86.2
4
040 Abbott Cell-Dyn Sapphire
86.5
1.0
1.1
13
012 ABX Micros
90.0
1
015 ABX Pentra/Octra
84.4
1
130 Beckman Coulter Gen-S
86.5
1
150 Beckman Coulter LH 500/750/755/780
86.9
0.9
1.0
27
200 Beckman Coulter Unicel DxH 800
87.4
0.7
0.8
6
074 Siemens Advia 120/2120/2120i
86.7
1.3
1.5
40
064 Sysmex KX 21
82.8 85.0
2
073 Sysmex pocH-100i
83.9 84.3 85.0
3
067 Sysmex XE 2100(D)/XE-alpha/HST 430/XE 5000
85.7
1.5
1.7
48
233 Sysmex XN 1000/XN 2000/XN 9000
87.4
1.2
1.4
8
231 Sysmex XS 1000i/XS 800i
86.9
0.7
0.8
8
060 Sysmex XT 2000i/XT 1800i/XT 4000i
85.2
0.9
1.0
34
Globalement (toutes méthodes confondues)
86.1
1.4
1.6
202
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
51/112
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
200
= 91 fL
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
52/112
Thrombocytes - d (%) : 15.0
METHODE
H/12080
Médiane
109/L
SD
109/L
CV
%
N
055 Abbott Cell-Dyn 3200
172 174 182
183
4
052 Abbott Cell-Dyn 3500/3700
172 195
2
042 Abbott Cell-Dyn Ruby
169 172 175
179
4
040 Abbott Cell-Dyn Sapphire
174
4
2.6
13
012 ABX Micros
186
1
015 ABX Pentra/Octra
177
1
130 Beckman Coulter Gen-S
162
1
150 Beckman Coulter LH 500/750/755/780
167
6
3.8
27
200 Beckman Coulter Unicel DxH 800
152
5
3.4
6
074 Siemens Advia 120/2120/2120i
173
8
4.7
40
064 Sysmex KX 21
155 167
2
073 Sysmex pocH-100i
163 170 174
3
067 Sysmex XE 2100(D)/XE-alpha/HST 430/XE 5000
169
7
4.2
48
233 Sysmex XN 1000/XN 2000/XN 9000
162
8
5.0
8
231 Sysmex XS 1000i/XS 800i
164
4
2.3
9
060 Sysmex XT 2000i/XT 1800i/XT 4000i
168
7
4.0
34
Globalement (toutes méthodes confondues)
169
8
4.8
203
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
53/112
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
74
= 97 109/L
52
= 195 109/L
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
54/112
Thrombocytes - d (%) : 15.0
METHODE
H/12081
Médiane
109/L
SD
109/L
CV
%
N
055 Abbott Cell-Dyn 3200
166 166 169
170
4
052 Abbott Cell-Dyn 3500/3700
166 188
2
042 Abbott Cell-Dyn Ruby
180 185 189
193
4
040 Abbott Cell-Dyn Sapphire
169
7
4.4
13
012 ABX Micros
204
1
015 ABX Pentra/Octra
167
1
130 Beckman Coulter Gen-S
147
1
150 Beckman Coulter LH 500/750/755/780
155
7
4.4
27
200 Beckman Coulter Unicel DxH 800
149
4
2.5
6
074 Siemens Advia 120/2120/2120i
170
9
5.0
40
064 Sysmex KX 21
145 162
2
073 Sysmex pocH-100i
166 170 171
3
067 Sysmex XE 2100(D)/XE-alpha/HST 430/XE 5000
157
5
3.3
48
233 Sysmex XN 1000/XN 2000/XN 9000
157
6
3.5
8
231 Sysmex XS 1000i/XS 800i
151
3
2.0
9
060 Sysmex XT 2000i/XT 1800i/XT 4000i
163
7
4.5
34
Globalement (toutes méthodes confondues)
161
10
6.0
203
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
55/112
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
150
= 126 109/L
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
56/112
Réticulocytes - d (%) : 30.0
METHODE
H/12080
Médiane
% GR
SD
% GR
CV
%
N
055 Abbott Cell-Dyn 3200
0.68 0.80 0.84
1.08
4
042 Abbott Cell-Dyn Ruby
0.95 1.08 9.10
3
040 Abbott Cell-Dyn Sapphire
1.41
0.11
7.6
12
015 ABX Pentra/Octra
0.83
1
130 Beckman Coulter Gen-S
1.15
1
150 Beckman Coulter LH 500/750/755/780
1.01
0.30
29.4
26
200 Beckman Coulter Unicel DxH 800
1.01
0.14
14.0
6
074 Siemens Advia 120/2120/2120i
1.10
0.15
13.8
39
067 Sysmex XE 2100(D)/XE-alpha/HST 430/XE 5000
0.91
0.09
9.8
47
233 Sysmex XN 1000/XN 2000/XN 9000
1.23
0.08
6.3
8
060 Sysmex XT 2000i/XT 1800i/XT 4000i
0.99
0.13
13.5
29
Globalement (toutes méthodes confondues)
1.01
0.21
21.4
176
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
74
= 0.21 % GR
42
= 9.10 % GR
150
= 2.21 % GR
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
57/112
Réticulocytes - d (%) : 30.0
METHODE
H/12081
Médiane
% GR
SD
% GR
CV
%
N
055 Abbott Cell-Dyn 3200
1.04 1.11 1.13
1.20
4
042 Abbott Cell-Dyn Ruby
1.12 1.19 13.00
3
040 Abbott Cell-Dyn Sapphire
1.66
0.17
10.3
12
015 ABX Pentra/Octra
0.84
1
130 Beckman Coulter Gen-S
1.22
1
150 Beckman Coulter LH 500/750/755/780
1.34
0.33
25.0
26
200 Beckman Coulter Unicel DxH 800
1.52
0.10
6.3
6
074 Siemens Advia 120/2120/2120i
1.48
0.23
15.8
39
067 Sysmex XE 2100(D)/XE-alpha/HST 430/XE 5000
1.04
0.10
10.0
47
233 Sysmex XN 1000/XN 2000/XN 9000
1.33
0.06
4.5
8
060 Sysmex XT 2000i/XT 1800i/XT 4000i
1.07
0.13
12.5
29
Globalement (toutes méthodes confondues)
1.22
0.32
26.4
176
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
42
= 13 % GR
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
58/112
Réticulocytose absolue
METHODE
H/12080
Médiane
109/L
SD
109/L
CV
%
N
055 Abbott Cell-Dyn 3200
24.0 29.0 39.5
3
042 Abbott Cell-Dyn Ruby
33.4 299.4 380.9
3
040 Abbott Cell-Dyn Sapphire
50.6
5.1
10.1
12
015 ABX Pentra/Octra
30.0
1
130 Beckman Coulter Gen-S
39.2
1
150 Beckman Coulter LH 500/750/755/780
34.2
10.0
29.3
26
200 Beckman Coulter Unicel DxH 800
34.4
6.3
18.3
6
074 Siemens Advia 120/2120/2120i
36.9
5.9
15.9
39
067 Sysmex XE 2100(D)/XE-alpha/HST 430/XE 5000
32.1
3.2
9.9
46
233 Sysmex XN 1000/XN 2000/XN 9000
42.3
2.3
5.4
8
060 Sysmex XT 2000i/XT 1800i/XT 4000i
33.7
4.4
13.2
29
Globalement (toutes méthodes confondues)
35.1
7.3
20.9
174
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
74
= 7.20 109/L
42
= 299.4 109/L
42
= 380.9 109/L
150
= 73.1 109/L
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
59/112
Réticulocytose absolue
METHODE
H/12081
Médiane
109/L
SD
109/L
CV
%
N
055 Abbott Cell-Dyn 3200
46.0 50.0 53.2
3
042 Abbott Cell-Dyn Ruby
53.3 490.1 530.4
3
040 Abbott Cell-Dyn Sapphire
74.6
6.7
9.0
12
015 ABX Pentra/Octra
37.0
1
130 Beckman Coulter Gen-S
52.2
1
150 Beckman Coulter LH 500/750/755/780
56.5
14.2
25.2
26
200 Beckman Coulter Unicel DxH 800
64.5
3.1
4.8
6
074 Siemens Advia 120/2120/2120i
65.3
10.5
16.1
39
067 Sysmex XE 2100(D)/XE-alpha/HST 430/XE 5000
45.7
4.9
10.7
46
233 Sysmex XN 1000/XN 2000/XN 9000
57.0
2.3
4.0
8
060 Sysmex XT 2000i/XT 1800i/XT 4000i
46.2
5.8
12.5
29
Globalement (toutes méthodes confondues)
53.5
14.7
27.5
174
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
42
= 530.4 109/L
42
= 490.1 109/L
.
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
60/112
COAGULATION
Echantillons
Trois échantillons lyophilisés ont été envoyés: un pool de plasmas provenant de
patients sous antivitamines K (CO/11608, AK-Calibrant D, lot 3N11B00,
Technoclone GmbH, Vienne, Autriche) et 2 plasmas héparinés (CO/12103 et
CO/12104, nadroparine (FraxodiR)).
L’activité anti-Xa était de 0.45 UI/mL pour l’échantillon hépariné CO/12103 et de
0.44 UI/mL pour l’échantillon hépariné CO/12104 (Hôpital Erasme, Bruxelles, UZ
Brussel).
Le tableau ci-dessous reprend la moyenne des résultats obtenus par deux
laboratoires experts (Hôpital Erasme, Bruxelles; Cliniques universitaires UCL de
Mont-Godinne) pour les facteurs de coagulation exprimés en pourcentage d’activité
sur ces 3 plasmas:
II
V
VII
X
VIII
IX
XI
XII
CO/11608
19
77
14
10
142
25
75
101
CO/12103
96
98
117
104
142
113
102
101
CO/12104
101
85
102
105
124
114
101
86
Tous les laboratoires belges ont renvoyé les résultats au moyen de la base
électronique (toolkit).
Résultats
aPTT
La valeur médiane des rapports aPTT de l’échantillon hépariné CO/12103 était de
1.21 avec un CV de 5.5%.
La valeur médiane des rapports aPTT de l’échantillon hépariné CO/12104 était de
1.35 avec un CV de 11.0%.
PT
La valeur INR médiane de l’échantillon CO/11608 était de 3.68 avec un CV de 7.1%.
On a demandé aux utilisateurs des réactifs Thromborel S et Innovin s’ils font usage
du PT-Multi Calibrator. Tous les utilisateurs (n=13) du réactif Thromborel S et 49 des
54 utilisateurs (90.7%) du réactif Innovin utilisent le PT-Multi Calibrator.
On a demandé aux utilisateurs du réactif Recombiplastin 2G s’ils font usage de la
trousse ISI Calibrate. Quatre des 50 utilisateurs (8.0%), qui ont répondu à cette
question, utilisent la trousse ISI Calibrate.
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
61/112
Le tableau suivant montre pour l’échantillon CO/11608 la comparaison entre les
résultats INR obtenus avec les réactifs Innovin et Recombiplastin 2G par calcul et
par calibration directe:
Innovin
Recombiplastin 2G
Calcul
Résultats
3.28
3.54
3.60
3.61
3.66
Calcul
Médiane
CV, %
3.58
5.3
N
5
N
46
PT-Multi Calibrator
Médiane
CV, %
N
3.60
6.8
49
ISI Calibrate
Résultats
3.42
3.65
3.72
3.95
N
4
Fibrinogène
Il a été demandé aux laboratoires s’ils déterminent le fibrinogène dérivé du temps de
prothrombine. 26 (19.3%) des 135 laboratoires (68.9%), qui ont répondu à cette
question, le font. Tous les utilisateurs du réactif Recombiplastin 2G de la firme IL
effectuent la calibration à l’aide de plasmas commerciaux lyophilisés (n=19),
excepté 1 participant, qui utilise 4 plasmas frais. Les utilisateurs du réactif Innovin de
Siemens font usage de données fournies dans l’insert du kit (n=6).
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
62/112
Interprétation du rapport individuel
Les informations suivantes sont reprises :
- Votre résultat
- Votre méthode
- La médiane globale M: la valeur centrale des résultats fournis par
l’ensemble des laboratoires toutes méthodes confondues
- SD ou écart type global: mesure de la dispersion des résultats fournis
par l’ensemble des laboratoires
- La médiane de votre méthode M: la valeur centrale des résultats
fournis par les laboratoires utilisant la même méthode
- SD ou écart type de votre méthode: mesure de la dispersion des
résultats de votre méthode
- CV ou coefficient de variation: CV = SD x 100/M (%)
- Z ou distance réduite de votre résultat à la médiane de votre groupe
exprimée en écart type : Z = (R-M)/SD
- U ou écart de votre résultat par rapport à la médiane de votre groupe
exprimé en % :
U = (R-M) x 100/M
- une interprétation graphique de la localisation de votre résultat (R)
par rapport à la médiane (M) basée sur la méthode de Tukey, pour
chaque paramètre et pour chaque échantillon analysé
R:
M:
H:
I:
O:
votre résultat
médiane
percentiles 25 et 75
limites intérieures (M ± 2.7 SD)
limites extérieures (M ± 4.7 SD)
Le graphique global et celui de votre méthode sont exprimés selon la même
échelle, ce qui les rend comparables. Ces graphiques vous donnent une
indication approximative de la position de votre résultat (R) par rapport à la
médiane (M).
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
63/112
Représentation graphique
A côté des tableaux de résultats, une représentation graphique en « box et whisker »
plot a été ajoutée. Elle reprend les éléments suivants pour les méthodes avec au
moins 6 participants:
- un rectangle avec les percentiles 25 (P25) et 75 (P75)
- une ligne centrale qui représente la médiane des résultats (P50)
- une ligne inférieure qui représente la plus petite valeur x > P25-1.5*(P75-P25)
- une ligne supérieure qui représente la plus grande valeur x < P75+1.5*(P75-P25)
- tous les points en dehors de cet intervalle sont représentés par un rond
Comme indiqué dans la figure ci-dessous, les limites (I) reprises dans les graphiques
des rapports individuels correspondent aux lignes inférieures et supérieures des box
plots (à savoir P25 - 1.5*(P75 - P25) et P75 + 1.5*(P75 - P25)) et, dans le cas d’une
distribution normale, à M ± 2.7 SD.
= normale )
O
= P75 + 3* (P75-P25)
(distribution
I = P75 + 1.5* (P75-P25)
x < P75 + 1.5* (P75-P25)
H
P75
LIMITES DE TUKEY
M
H
P50
P25
x > P25 - 1.5* (P75-P25)
I = P25 - 1.5* (P75-P25)
O = P25 - 3* (P75-P25)
O
M - 4.7 s
I
M - 2.7 s
H
P25
M
H
P75
I
M + 2.7 s
O
M + 4.7 s
LIMITES CORRESPONDANTES SI DISTRIBUTION NORMALE
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
64/112
PT(sec)
CO/11608
METHODE
Médiane
sec
SD
sec
CV
%
N
018 Instrumentation Laboratory HemosIL Recombiplastin 2G
39.8
1.1
2.8
52
019 Kordia TriniCLOT PT Excel S
51.3
1
011 Siemens Innovin
37.4
3.2
8.5
54
012 Siemens Thromborel S
37.5
3.3
8.7
13
006 Stago STA Neoplastin CI PLUS
36.4
1.5
4.2
60
017 Stago STA Neoplastin R
55.7
1.8
3.2
21
Globalement (toutes méthodes confondues)
38.4
3.0
7.7
201
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
65/112
PT(sec)
CO/12103
METHODE
Médiane
sec
SD
sec
CV
%
N
018 Instrumentation Laboratory HemosIL Recombiplastin 2G
10.6
0.3
2.8
52
019 Kordia TriniCLOT PT Excel S
14.7
1
011 Siemens Innovin
11.1
0.4
3.3
54
012 Siemens Thromborel S
11.5
0.4
3.9
13
006 Stago STA Neoplastin CI PLUS
12.9
0.4
3.2
60
017 Stago STA Neoplastin R
13.9
0.3
1.9
21
Globalement (toutes méthodes confondues)
11.4
1.6
13.7
201
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
11
= 9.8 sec4
11
= 8.7 sec1
11
= 8.6 sec1
11
= 9.5 sec2
11
= 9.7 sec3
19
= 14.7 sec
1
Déterminé avec BCS XP
Déterminé avec BFT II
3
Déterminé avec ACL TOP
4
Déterminé avec CA-560
2
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
66/112
PT(sec)
CO/12104
METHODE
Médiane
sec
SD
sec
CV
%
N
018 Instrumentation Laboratory HemosIL Recombiplastin 2G
11.6
0.4
3.5
52
019 Kordia TriniCLOT PT Excel S
16.1
1
011 Siemens Innovin
11.1
0.4
4.0
54
012 Siemens Thromborel S
12.4
0.6
4.8
13
006 Stago STA Neoplastin CI PLUS
13.9
0.4
2.7
60
017 Stago STA Neoplastin R
14.1
0.4
2.6
21
Globalement (toutes méthodes confondues)
12.0
1.9
15.4
201
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
11
= 9.5 sec3
11
= 8.6 sec1
11
= 8.7 sec1
11
= 9.3 sec2
17
= 18.7 sec
19
= 16.1 sec
1
Déterminé avec BCS XP
Déterminé avec BFT II
3
Déterminé avec CA-560
2
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
67/112
PT(%)
CO/11608
METHODE
Médiane
%
SD
%
CV
%
N
018 Instrumentation Laboratory HemosIL Recombiplastin 2G
20.0
1.5
7.4
51
019 Kordia TriniCLOT PT Excel S
17.0
1
011 Siemens Innovin
16.0
1.5
9.3
54
012 Siemens Thromborel S
19.8
1.0
5.2
13
006 Stago STA Neoplastin CI PLUS
21.0
1.2
5.8
60
017 Stago STA Neoplastin R
16.0
0.0
21
Globalement (toutes méthodes confondues)
19.5
3.7
19.1 200
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
68/112
PT(%)
CO/12103
METHODE
Médiane
%
SD
%
CV
%
N
018 Instrumentation Laboratory HemosIL Recombiplastin 2G
101.0
3.0
2.9
51
019 Kordia TriniCLOT PT Excel S
97.0
1
011 Siemens Innovin
98.0
4.2
4.2
54
012 Siemens Thromborel S
99.9
3.5
3.5
13
006 Stago STA Neoplastin CI PLUS
100.0
3.5
3.5
60
017 Stago STA Neoplastin R
100.0
0.7
0.7
21
Globalement (toutes méthodes confondues)
100.0
4.4
4.4
200
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
12
= 88.2 %
18
= 82.0 %
6
= 116 %
6
= 112 %
6
= 126 %
6
= 111 %
11
= 113 %
17
= 112 %
18
= 111 %
18
= 118 %
18
= 113 %
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
69/112
PT(%)
CO/12104
METHODE
Médiane
%
SD
%
CV
%
N
018 Instrumentation Laboratory HemosIL Recombiplastin 2G
90.4
6.3
7.0
51
019 Kordia TriniCLOT PT Excel S
83.0
1
011 Siemens Innovin
96.4
4.4
4.6
54
012 Siemens Thromborel S
86.2
5.6
6.4
13
006 Stago STA Neoplastin CI PLUS
90.0
5.6
6.2
60
017 Stago STA Neoplastin R
99.0
3.7
3.7
21
Globalement (toutes méthodes confondues)
93.0
6.7
7.2
200
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
17
= 61 %
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
70/112
PT(INR) - d (%) : 15.0
CO/11608
METHODE
Médiane
SD
CV
%
N
018 Instrumentation Laboratory HemosIL Recombiplastin 2G
3.59
0.21
5.8
52
019 Kordia TriniCLOT PT Excel S
4.36
1
011 Siemens Innovin
3.60
0.21
5.8
54
012 Siemens Thromborel S
3.45
0.13
3.9
13
006 Stago STA Neoplastin CI PLUS
3.81
0.22
5.8
60
017 Stago STA Neoplastin R
3.90
0.13
3.2
21
Globalement (toutes méthodes confondues)
3.68
0.26
7.1
201
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
11
= 3.02
11
= 4.47
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
71/112
PT(INR)
CO/12103
METHODE
Médiane
SD
CV
%
N
018 Instrumentation Laboratory HemosIL Recombiplastin 2G
0.99
0.03
3.0
52
019 Kordia TriniCLOT PT Excel S
1.05
1
011 Siemens Innovin
1.00
0.02
2.2
54
012 Siemens Thromborel S
1.00
0.01
1.5
13
006 Stago STA Neoplastin CI PLUS
0.99
0.04
3.7
60
017 Stago STA Neoplastin R
0.99
0.02
2.2
21
Globalement (toutes méthodes confondues)
0.99
0.02
2.2
201
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
6
= 0.87
6
= 1.10
6
= 1.09
6
= 1.09
11
= 1.10
11
= 1.10
18
= 1.09
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
72/112
PT(INR)
CO/12104
METHODE
018 Instrumentation Laboratory HemosIL Recombiplastin 2G
019 Kordia TriniCLOT PT Excel S
Médiane SD
1.07
0.05
CV
%
N
4.8
52
1.16
1
011 Siemens Innovin
1.01
0.01
1.5
54
012 Siemens Thromborel S
1.10
0.02
2.0
13
006 Stago STA Neoplastin CI PLUS
1.07
0.04
3.8
60
017 Stago STA Neoplastin R
1.01
0.04
3.7
21
Globalement (toutes méthodes confondues)
1.05
0.06
5.6
201
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
6
= 0.95
11
= 0.90
11
= 0.95
11
= 0.96
17
= 1.35
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
73/112
aPTT(sec)
CO/11608
METHODE
Médiane
sec
SD
sec
CV
%
N
010 Instrumentation Laboratory HemosIL SynthasIL
47.4
2.1
4.5
31
009 Instrumentation Laboratory IL Test APTT-SP
67.2
5.6
8.3
19
022 Kordia MDA Platelin LS
39.4
1
025 Kordia TriniCLOT aPTT HS
44.4 48.0 48.5
58.3
4
012 Siemens Actin FS
41.6
1.9
4.5
45
013 Siemens Actin FSL
45.6
1.8
3.9
22
014 Siemens Pathromtin SL
64.7 72.6 75.7
3
006 Stago STA CK PREST
46.5
1.0
2.2
8
008 Stago STA-Cephascreen
47.9
1.2
2.5
37
005 Stago STA-PTT A
73.3
3.9
5.3
31
Globalement (toutes méthodes confondues)
47.5
11.5
24.2
201
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
12
= 32.9 sec
6
= 122 sec
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
74/112
aPTT(ratio) - d (%) : 15.0
CO/11608
METHODE
Médiane
SD
CV
%
N
010 Instrumentation Laboratory HemosIL SynthasIL
1.57
0.08
5.2
22
009 Instrumentation Laboratory IL Test APTT-SP
2.24
0.16
6.9
18
021 Kordia MDA Platelin LS
1.36
1
025 Kordia TriniCLOT aPTT HS
1.55 1.56 1.66
1.66
4
012 Siemens Actin FS
1.58
0.09
5.6
42
013 Siemens Actin FSL
1.67
0.10
6.2
21
014 Siemens Pathromtin SL
2.08 2.08 2.30
3
006 Stago STA CK PREST
1.57
0.06
3.8
7
008 Stago STA-Cephascreen
1.65
0.07
4.0
37
005 Stago STA-PTT A
2.19
0.12
5.6
31
Globalement (toutes méthodes confondues)
1.65
0.38
22.9
186
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
10
= 1.34
12
= 1.30
12
= 1.32
6
= 4.07
12
= 3.731
1
Probablement dû à une valeur erronnée du ‘plasma normal’ utilisée pour le calcul du rapport aPTT
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
75/112
Interprétation
N
Total
%
> limite supérieure +20%
184
201
91.5
Entre limite supérieure et limite supérieure +20%
17
201
8.5
Méthode
4*
5*
Total
Instrumentation Laboratory HemosIL SynthasIL
4
27
31
Instrumentation Laboratory IL Test APTT-SP
1
18
19
Kordia MDA Platelin LS
1
0
1
Kordia TriniCLOT aPTT HS
1
3
4
Siemens Actin FS
4
41
45
Siemens Actin FSL
1
21
22
Siemens Pathromtin SL
0
3
3
Stago STA CK PREST
0
8
8
Stago STA-Cephascreen
5
32
37
Stago STA-PTT A
0
31
31
* 4. Entre limite supérieure et limite supérieure +20%
5. > limite supérieure +20%
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
76/112
aPTT(sec)
CO/12103
METHODE
Médiane
sec
SD
sec
CV
%
N
010 Instrumentation Laboratory HemosIL SynthasIL
35.6
0.9
2.6
31
009 Instrumentation Laboratory IL Test APTT-SP
39.5
1.5
3.9
19
022 Kordia MDA Platelin LS
35.9
1
025 Kordia TriniCLOT aPTT HS
36.1 39.3 39.4
43.3
4
012 Siemens Actin FS
31.2
1.2
3.8
45
013 Siemens Actin FSL
32.3
1.1
3.4
22
014 Siemens Pathromtin SL
38.3 38.7 41.7
3
006 Stago STA CK PREST
36.1
0.9
2.4
8
008 Stago STA-Cephascreen
34.7
0.7
2.1
37
005 Stago STA-PTT A
41.8
1.1
2.7
31
Globalement (toutes méthodes confondues)
35.0
4.3
12.3
201
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
12
= 27.3 sec
12
= 24.8 sec
6
= 68.6 sec
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
77/112
aPTT(ratio) - d (%) : 15.0
CO/12103
METHODE
Médiane
SD
CV
%
N
010 Instrumentation Laboratory HemosIL SynthasIL
1.17
0.04
3.2
22
009 Instrumentation Laboratory IL Test APTT-SP
1.31
0.08
6.2
18
021 Kordia MDA Platelin LS
1.24
1
025 Kordia TriniCLOT aPTT HS
1.12 1.24 1.37
1.39
4
012 Siemens Actin FS
1.19
0.07
6.2
42
013 Siemens Actin FSL
1.18
0.07
6.3
21
014 Siemens Pathromtin SL
1.15 1.22 1.24
3
006 Stago STA CK PREST
1.20
0.06
4.6
7
008 Stago STA-Cephascreen
1.20
0.04
3.1
37
005 Stago STA-PTT A
1.26
0.06
4.4
31
Globalement (toutes méthodes confondues)
1.21
0.07
5.5
186
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
10
= 1.01
12
= 0.92
6
= 2.29
12
= 2.791
1
Probablement dû à une valeur erronnée du ‘plasma normal’ utilisée pour le calcul du rapport aPTT
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
78/112
Interprétation
N
Total
%
Entre limite supérieure et limite supérieure +20%
103
201
51.2
Entre les limites de référence
95
201
47.3
> limite supérieure +20%
3
201
1.5
Méthode
3*
4*
5*
Total
Instrumentation Laboratory HemosIL SynthasIL
25
6
0
31
Instrumentation Laboratory IL Test APTT-SP
3
15
1
19
Kordia MDA Platelin LS
1
0
0
1
Kordia TriniCLOT aPTT HS
1
3
0
4
Siemens Actin FS
26
19
0
45
Siemens Actin FSL
10
12
0
22
Siemens Pathromtin SL
1
2
0
3
Stago STA CK PREST
4
3
1
8
Stago STA-Cephascreen
19
17
1
37
Stago STA-PTT A
5
26
0
31
* 3. Entre les limites de référence
4. Entre limite supérieure et limite supérieure +20%
5. > limite supérieure +20%
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
79/112
aPTT(sec)
CO/12104
METHODE
Médiane
sec
SD
sec
CV
%
N
010 Instrumentation Laboratory HemosIL SynthasIL
37.8
0.9
2.3
31
009 Instrumentation Laboratory IL Test APTT-SP
46.7
2.4
5.2
19
022 Kordia MDA Platelin LS
44.0
1
025 Kordia TriniCLOT aPTT HS
42.8 45.6 48.1
48.5
4
012 Siemens Actin FS
33.4
1.2
3.6
45
013 Siemens Actin FSL
36.9
1.4
3.8
22
014 Siemens Pathromtin SL
37.1 39.3 41.8
3
006 Stago STA CK PREST
40.4
1.7
4.1
8
008 Stago STA-Cephascreen
39.8
1.3
3.2
37
005 Stago STA-PTT A
50.6
2.4
4.8
31
Globalement (toutes méthodes confondues)
39.0
6.2
15.8
201
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
12
= 23.4 sec
5
= 63.9 sec
6
= 77.9 sec
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
80/112
aPTT(ratio) - d (%) : 15.0
CO/12104
METHODE
Médiane
SD
CV
%
N
010 Instrumentation Laboratory HemosIL SynthasIL
1.24
0.04
3.0
22
009 Instrumentation Laboratory IL Test APTT-SP
1.58
0.10
6.1
18
021 Kordia MDA Platelin LS
1.52
1
025 Kordia TriniCLOT aPTT HS
1.38 1.48 1.55
1.59
4
012 Siemens Actin FS
1.26
0.07
5.9
42
013 Siemens Actin FSL
1.35
0.07
5.5
21
014 Siemens Pathromtin SL
1.02 1.25 1.34
3
006 Stago STA CK PREST
1.34
0.07
5.0
7
008 Stago STA-Cephascreen
1.37
0.06
4.3
37
005 Stago STA-PTT A
1.51
0.09
5.9
31
Globalement (toutes méthodes confondues)
1.35
0.15
11.0
186
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
10
= 1.08
12
= 0.87
14
= 1.02
5
= 1.94
6
= 2.60
12
= 2.931
1
Probablement dû à une valeur erronnée du ‘plasma normal’ utilisée pour le calcul du rapport aPTT
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
81/112
Interprétation
N
Total
%
Entre limite supérieure et limite supérieure +20%
117
201
58.2
> limite supérieure +20%
64
201
31.8
Entre les limites de référence
20
201
10.0
Méthode
3*
4*
5*
Total
Instrumentation Laboratory HemosIL SynthasIL
6
25
0
31
Instrumentation Laboratory IL Test APTT-SP
0
2
17
19
Kordia MDA Platelin LS
0
0
1
1
Kordia TriniCLOT aPTT HS
0
2
2
4
Siemens Actin FS
11
32
2
45
Siemens Actin FSL
1
16
5
22
Siemens Pathromtin SL
0
3
0
3
Stago STA CK PREST
0
6
2
8
Stago STA-Cephascreen
2
24
11
37
Stago STA-PTT A
0
7
24
31
* 3. Entre les limites de référence
4. Entre limite supérieure et limite supérieure +20%
5. > limite supérieure +20%
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
82/112
Fibrinogène - d (%) : 15.0
CO/11608
Médiane
g/L
SD
g/L
CV
%
N
Clauss
2.63
0.25
9.6
174
010 Instrumentation Laboratory HemosIL Fibrinogen C
2.53
0.19
7.6
25
029 Instrumentation Laboratory HemosIL QFA Thrombin
2.50
0.24
9.5
10
METHODE
023 Kordia MDA Fibriquik
2.58
1
026 Kordia TriniCLOT Fibrinogen
2.79
1
014 Siemens Multifibren U
2.70
0.23
8.4
7
015 Siemens Thrombin Reagent
2.42
0.16
6.6
51
006 Stago STA Fibrinogen
2.75
0.10
3.5
79
PT derived
2.57
0.29
11.3
22
025 Instrumentation Laboratory HemosIL Recombiplastin 2G
2.58
0.25
9.8
18
012 Siemens Innovin
2.35 3.30
2
013 Siemens Thromborel S
2.09 2.33
2
Globalement (toutes méthodes confondues)
2.61
0.25
9.7
196
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
12
= 3.3 g/L
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
83/112
Interprétation
Médiane/résultat
g/L
N
Total
%
2.62
193
196
98.5
2.23, 2.52
2
196
1.0
2.73
1
196
0.5
Entre les limites de référence
Entre limite inférieure –20% et limite inférieure
> limite supérieure +20%
Méthode
2*
3*
5*
Total
Clauss
1
173
0
174
Instrumentation Laboratory HemosIL Fibrinogen C
1
24
0
25
Instrumentation Laboratory HemosIL QFA Thrombin
0
10
0
10
Kordia MDA Fibriquik
0
1
0
1
Kordia TriniCLOT Fibrinogen
0
1
0
1
Siemens Multifibren U
0
7
0
7
Siemens Thrombin Reagent
0
51
0
51
Stago STA Fibrinogen
0
79
0
79
PT derived
1
20
1
22
Instrumentation Laboratory HemosIL Recombiplastin 2G
1
16
1
18
Siemens Innovin
0
2
0
2
Siemens Thromborel S
0
2
0
2
* 2. Entre limite inférieure –20% et limite inférieure
3. Entre les limites de référence
5. > limite supérieure +20%
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
84/112
Fibrinogène - d (%) : 15.0
CO/12103
Médiane
g/L
SD
g/L
CV
%
N
Clauss
3.41
0.30
8.9
174
010 Instrumentation Laboratory HemosIL Fibrinogen C
3.20
0.23
7.2
25
029 Instrumentation Laboratory HemosIL QFA Thrombin
3.19
0.56
17.5
10
METHODE
023 Kordia MDA Fibriquik
3.60
1
026 Kordia TriniCLOT Fibrinogen
3.52
1
014 Siemens Multifibren U
3.50
0.15
4.4
7
015 Siemens Thrombin Reagent
3.19
0.20
6.4
51
006 Stago STA Fibrinogen
3.58
0.16
4.3
79
PT derived
3.38
0.39
11.4
22
025 Instrumentation Laboratory HemosIL Recombiplastin 2G
3.42
0.36
10.6
18
012 Siemens Innovin
2.85 3.10
2
013 Siemens Thromborel S
2.23 2.34
2
Globalement (toutes méthodes confondues)
3.40
0.30
8.9
196
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
15
= 2.59 g/L
15
= 1.36 g/L
13
= 2.34 g/L
13
= 2.23 g/L
14
= 4.03 g/L
6
= 4.37 g/L
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
85/112
Médiane/résultat
g/L
N
Total
%
Entre les limites de référence
3.40
193
196
98.5
< limite inférieure –20%
1.36
1
196
0.5
Entre limite supérieure et limite supérieure +20%
3.60
1
196
0.5
> limite supérieure +20%
4.37
1
196
0.5
Interprétation
Méthode
1*
3*
4*
5*
Total
Clauss
1
171
1
1
174
Instrumentation Laboratory HemosIL Fibrinogen C
0
25
0
0
25
Instrumentation Laboratory HemosIL QFA Thrombin
0
10
0
0
10
Kordia MDA Fibriquik
0
1
0
0
1
Kordia TriniCLOT Fibrinogen
0
1
0
0
1
Siemens Multifibren U
0
6
1
0
7
Siemens Thrombin Reagent
1
50
0
0
51
Stago STA Fibrinogen
0
78
0
1
79
PT derived
0
22
0
0
22
Instrumentation Laboratory HemosIL Recombiplastin 2G
0
18
0
0
18
Siemens Innovin
0
2
0
0
2
Siemens Thromborel S
0
2
0
0
2
* 1. < limite inférieure –20%
3. Entre les limites de référence
4. Entre limite supérieure et limite supérieure +20%
5. > limite supérieure +20%
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
86/112
Fibrinogène - d (%) : 15.0
CO/12104
Médiane
g/L
SD
g/L
CV
%
N
Clauss
3.88
0.37
9.6
174
010 Instrumentation Laboratory HemosIL Fibrinogen C
3.60
0.28
7.8
25
029 Instrumentation Laboratory HemosIL QFA Thrombin
3.89
0.30
7.8
10
METHODE
023 Kordia MDA Fibriquik
4.16
1
026 Kordia TriniCLOT Fibrinogen
4.07
1
014 Siemens Multifibren U
4.10
0.10
2.4
7
015 Siemens Thrombin Reagent
3.62
0.24
6.7
51
006 Stago STA Fibrinogen
4.06
0.21
5.3
79
PT derived
3.99
0.60
15.1
22
025 Instrumentation Laboratory HemosIL Recombiplastin 2G
4.14
0.40
9.7
18
012 Siemens Innovin
3.40 3.68
2
013 Siemens Thromborel S
2.99 3.17
2
Globalement (toutes méthodes confondues)
3.89
0.39
10.0
196
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
13
= 2.99 g/L
6
= 4.65 g/L
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
87/112
Médiane
g/L
N
Total
%
Entre les limites de référence
3.70
126
196
64.3
Entre limite supérieure et limite supérieure +20%
4.14
70
196
35.7
Interprétation
Méthode
3*
4*
Total
Clauss
110
64
174
Instrumentation Laboratory HemosIL Fibrinogen C
22
3
25
Instrumentation Laboratory HemosIL QFA Thrombin
6
4
10
Kordia MDA Fibriquik
0
1
1
Kordia TriniCLOT Fibrinogen
0
1
1
Siemens Multifibren U
5
2
7
Siemens Thrombin Reagent
41
10
51
Stago STA Fibrinogen
36
43
79
PT derived
16
6
22
Instrumentation Laboratory HemosIL Recombiplastin 2G
13
5
18
Siemens Innovin
1
1
2
Siemens Thromborel S
2
0
2
* 3. Entre les limites de référence
4. Entre limite supérieure et limite supérieure +20%
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
88/112
D-DIMERES
Echantillons
Les laboratoires, qui effectuent l’analyse des D-dimères en routine, ont reçu deux
échantillons lyophilisés: CO/12097 et CO/12101. L’échantillon CO/12101 provenait
d’un donneur sain. L’échantillon CO/12097 a été préparé à partir d’un plasma d’un
donneur sain additionné d’un pool d’échantillons avec des valeurs élevées en
D-dimères provenant de différents patients, afin d’obtenir un éventail suffisant de
D-dimères dans le mélange et éviter les problèmes de spécificité entre les
différentes trousses.
Participation
196 laboratoires ont participé à cette enquête. Tous ont utilisé une méthode
quantitative.
Les réactifs STA-Liatest D-DI (Stago, 37.8% des participants) et Innovance D-dimer
(Siemens, 24.0% des participants) ont été le plus fréquemment employés.
Tous les laboratoires belges ont renvoyé les résultats au moyen de la base
électronique (toolkit).
Résultats
Méthodes quantitatives
Etant donné que 2 unités sont utilisées (mg/L D-dimères et mg/L FEU (Fibrinogen
Equivalent Unit)) et qu’il n’y a pas de facteur de conversion exact, nous n’avons pas
réalisé de traitement global des données.
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
89/112
Le tableau suivant donne un aperçu des résultats des laboratoires qui ont mentionné
une interprétation erronée (reprise en rouge):
Labo
Réactif
Cut-off
mg/L
1
2
3
4
5
6
7
8
9
10
11
12
13
14
15
16
17
18
19
20
IL D-Dimer
IL D-Dimer
IL D-Dimer 500
IL D-Dimer HS 500
IL D-Dimer HS 500
Immulite D-Dimer
Innovance D-Dimer
Pathfast D-Dimer
STA-Liatest D-DI
STA-Liatest D-DI
STA-Liatest D-DI
STA-Liatest D-DI
STA-Liatest D-DI
STA-Liatest D-DI
STA-Liatest D-DI
Triage D-Dimer
Tina-quant DDI2
Tina-quant DDI2
Tina-quant DDI2
Tina-quant DDI2
Non mentionné
0.230
0.500
0.500
0.500
0.500
0.500
0.500
0.500
0.500
0.500
0.500
0.500
Non mentionné
0.500
0.100
0.500
0.500
0.500
0.500
CO/12097
mg/L
0.222
0.192
0.525
0.983
0.590
0.859
0.970
1.380
0.930
0.840
0.818
0.860
0.810
0.746
0.770
0.553
0.544
0.515
0.508
0.490
Interprétation
+/+
+
+
+/+
+
+
+/+
+
+
+/+
+/+/+/-
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
CO/12101
mg/L
0.153
0.128
0.382
0.503
0.480
0.503
0.370
0.730
0.330
0.440
0.386
0.500
0.590
0.439
0.242
0.177
0.193
0.233
0.296
0.290
Interprétation
+/+
+/+
+/+
+/+/+
+/-
90/112
D-dimères (QUANTITATIF)
METHODE
CO/12097
Médiane
mg/L
SD
mg/L
CV
%
mg/L FEU
002 BioMérieux Vidas D-Dimer Exclusion (II)
039 Instrumentation Laboratory HemosIL D-Dimer 500
037 Instrumentation Laboratory HemosIL D-Dimer HS 500
036 Mitsubishi Pathfast D-Dimer
038 Roche Cobas Integra Tina-quant DDI2
032 Siemens Immulite D-Dimer
N
193
1.128
0.096
8.5
0.525
0.923
1
0.058
6.3
1.380
0.530
25
38
1
0.039
7.3
0.859
6
1
035 Siemens Innovance D-Dimer
0.950
0.069
7.2
47
006 Stago STA-Liatest D-DI
0.830
0.073
8.8
74
mg/L D-dimères
3
022 Biosite Triage D-Dimer Test
0.553
1
011 Instrumentation Laboratory HemosIL D-Dimer
0.192 0.222
2
Globalement (toutes méthodes confondues)
196
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
11
= 0.222 mg/L
11
= 0.192 mg/L
36
= 1.380 mg/L
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
91/112
Interprétation
N
Total
%
186
196
94.9
+/-
7
196
3.6
-
3
196
1.5
+
Méthode
-
+/-
+
Total
mg/L FEU
1
7
185
193
BioMérieux Vidas D-Dimer Exclusion (II)
0
0
25
25
Instrumentation Laboratory HemosIL D-Dimer 500
0
1
0
1
Instrumentation Laboratory HemosIL D-Dimer HS 500
0
0
38
38
Mitsubishi Pathfast D-Dimer
0
0
1
1
Roche Cobas Integra Tina-quant DDI2
1
3
2
6
Siemens Immulite D-Dimer
0
0
1
1
Siemens Innovance D-Dimer
0
1
46
47
Stago STA-Liatest D-DI
0
2
72
74
mg/L D-dimères
2
0
1
3
Biosite Triage D-Dimer Test
0
0
1
1
Instrumentation Laboratory HemosIL D-Dimer
2
0
0
2
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
92/112
D-dimères (QUANTITATIF)
METHODE
CO/12101
Médiane
mg/L
SD
mg/L
CV
%
mg/L FEU
002 BioMérieux Vidas D-Dimer Exclusion (II)
039 Instrumentation Laboratory HemosIL D-Dimer 500
037 Instrumentation Laboratory HemosIL D-Dimer HS 500
036 Mitsubishi Pathfast D-Dimer
038 Roche Cobas Integra Tina-quant DDI2
032 Siemens Immulite D-Dimer
N
192
0.415
0.021
5.2
0.382
0.433
1
0.034
7.9
0.730
0.293
25
38
1
0.064
22.0
0.503
6
1
035 Siemens Innovance D-Dimer
0.390
0.028
7.1
47
006 Stago STA-Liatest D-DI
0.340
0.073
21.6
73
mg/L D-dimères
3
022 Biosite Triage D-Dimer Test
0.177
1
011 Instrumentation Laboratory HemosIL D-Dimer
0.128 0.153
2
Globalement (toutes méthodes confondues)
195
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
11
= 0.153 mg/L
11
= 0.128 mg/L
6
= 0.590 mg/L
36
= 0.730 mg/L
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
93/112
Interprétation
N
Total
%
185
195
94.9
+/-
6
195
3.1
+
4
195
2.1
-
Méthode
-
+/-
+
Total
mg/L FEU
183
5
4
192
BioMérieux Vidas D-Dimer Exclusion (II)
25
0
0
25
Instrumentation Laboratory HemosIL D-Dimer 500
1
0
0
1
Instrumentation Laboratory HemosIL D-Dimer HS 500
36
1
1
38
Mitsubishi Pathfast D-Dimer
0
0
1
1
Roche Cobas Integra Tina-quant DDI2
6
0
0
6
Siemens Immulite D-Dimer
0
1
0
1
Siemens Innovance D-Dimer
47
0
0
47
Stago STA-Liatest D-DI
68
3
2
73
mg/L D-dimères
2
1
0
3
Biosite Triage D-Dimer Test
0
1
0
1
Instrumentation Laboratory HemosIL D-Dimer
2
0
0
2
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
94/112
ANTITHROMBINE
Echantillons
Les laboratoires, qui réalisent le dosage de l’antithrombine en routine, ont reçu deux
échantillons lyophilisés: CO/12100 et CO/12102. Les deux échantillons provenaient
de donneurs sains.
Participation
84 laboratoires ont participé à cette enquête.
Tous les laboratoires belges ont renvoyé les résultats au moyen de la base
électronique (toolkit).
Résultats
Un participant a réalisé le dosage de l’antithrombine par une méthode
immunologique.
Tous les autres laboratoires ont réalisé le dosage de l’antithrombine par une
méthode fonctionnelle. 43 participants (51.2%) ont utilisé une méthode basée sur la
thrombine (CO/12100: médiane: 98.0% et CV: 5.8%, CO/12102: médiane: 92.0% et
CV: 4.5%) et 40 participants (47.6%) une méthode basée sur le facteur Xa
(CO/12100: médiane: 97.5% et CV: 4.2%, CO/12102: médiane: 91.0% et CV: 6.2%).
Tous les laboratoires ont interprété le résultat obtenu pour l’échantillon CO/12100
comme normal. Hormis 2 participants, tous les laboratoires ont interprété le résultat
obtenu pour l’échantillon CO/12102 comme normal.
Le tableau suivant donne un aperçu des résultats des laboratoires qui ont mentionné
une interprétation erronée (reprise en rouge):
Labo
Réactif
CO/12100
%
1
2
Berichrom Antithrombin III
HemosIL Liquid Antithrombin
92.5
85.0
Interprétation
Normal
Normal
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
CO/12102
%
84.9
78.0
Interprétation
Borderline
Diminué
95/112
Les tableaux suivants donnent un aperçu des réactifs utilisés et des résultats
obtenus:
ANTITHROMBINE ANTIGENE
METHODE
010 Beckman Immage AT3
CO/12100
Médiane
mg/dL
SD
mg/dL
CV
%
30.0
1
Globalement (toutes méthodes confondues)
1
ANTITHROMBINE (ACTIVITE FIIa)
METHODE
011 Roche AT Cobas c
N
CO/12100
Médiane
%
SD
%
CV
%
88.0 96.0 96.0
96.0 101.0
N
5
014 Siemens Berichrom Antithrombin III
94.7
5.2
5.4
7
010 Stago Stachrom AT III 3
100.0
6.7
6.7
31
Globalement (toutes méthodes confondues)
98.0
5.7
5.8
43
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
96/112
ANTITHROMBINE (ACTIVITE FXa)
METHODE
CO/12100
Médiane
%
SD
%
CV
%
N
010 Chromogenix Coamatic Antithrombin
89.0 93.0 96.0
98.0 100.0
5
011 Hyphen BioMed Biophen AT
101.0
1
012 Instrumentation Laboratory HemosIL Liquid Antithrombin
97.0
4.4
4.6
27
015 Siemens Innovance Antithrombin
97.5
1.6
1.7
7
Globalement (toutes méthodes confondues)
97.5
4.1
4.2
40
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
12
= 84 %
12
= 85 %
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
97/112
Interprétation
N
Total
%
Normal
84
84
100
Méthode
1*
2*
3*
Total
Antigène
0
0
1
1
Beckman Immage AT3
0
0
1
1
Activité FIIa
0
0
43
43
Roche AT Cobas c
0
0
5
5
Siemens Berichrom Antithrombin III
0
0
7
7
Stago Stachrom AT III 3
0
0
31
31
Activité FXa
0
0
40
40
Chromogenix Coamatic Antithrombin
0
0
5
5
Hyphen BioMed Biophen AT
0
0
1
1
Instrumentation Laboratory HemosIL Liquid Antithrombin
0
0
27
27
Siemens Innovance Antithrombin
0
0
7
7
* 1. Diminué
2. Borderline
3. Normal
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
98/112
ANTITHROMBINE ANTIGENE
METHODE
010 Beckman Immage AT3
CO/12102
Médiane
mg/dL
SD
mg/dL
CV
%
27.0
1
Globalement (toutes méthodes confondues)
1
ANTITHROMBINE (ACTIVITE FIIa)
METHODE
011 Roche AT Cobas c
N
CO/12102
Médiane
%
SD
%
CV
%
83.0 90.0 90.0
91.0 97.0
N
5
014 Siemens Berichrom Antithrombin III
87.1
5.3
6.0
7
010 Stago Stachrom AT III 3
93.0
3.7
4.0
31
Globalement (toutes méthodes confondues)
92.0
4.1
4.5
43
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
10
= 105 %
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
99/112
ANTITHROMBINE (ACTIVITE FXa)
METHODE
CO/12102
Médiane
%
SD
%
CV
%
N
010 Chromogenix Coamatic Antithrombin
84.0 93.0 95.0
97.0 102.0
5
011 Hyphen BioMed Biophen AT
91.0
1
012 Instrumentation Laboratory HemosIL Liquid Antithrombin
90.0
4.1
4.5
27
015 Siemens Innovance Antithrombin
92.5
4.9
5.2
7
Globalement (toutes méthodes confondues)
91.0
5.6
6.2
40
Pas repris dans le graphique
Méthode
Résultat
12
= 74 %
12
= 78 %
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
100/112
Interprétation
N
Total
%
Normal
82
84
97.6
Borderline
1
84
1.2
Diminué
1
84
1.2
Méthode
1*
2*
3*
Total
Antigène
0
0
1
1
Beckman Immage AT3
0
0
1
1
Activité FIIa
0
1
42
43
Roche AT Cobas c
0
0
5
5
Siemens Berichrom Antithrombin III
0
1
6
7
Stago Stachrom AT III 3
0
0
31
31
Activité FXa
1
0
39
40
Chromogenix Coamatic Antithrombin
0
0
5
5
Hyphen BioMed Biophen AT
0
0
1
1
Instrumentation Laboratory HemosIL Liquid Antithrombin
1
0
26
27
Siemens Innovance Antithrombin
0
0
7
7
* 1. Diminué
2. Borderline
3. Normal
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
101/112
IMMUNO-HEMATOLOGIE
Participation
32 laboratoires étrangers (Finlande, France (16), Luxembourg (10), Monaco,
Norvège, Pays-Bas, Royaume-Uni, Suède) et 188 laboratoires belges ont participé à
cette enquête.
Vous trouverez ci-dessous les résultats des laboratoires belges.
Hormis 3 participants, tous les laboratoires belges ont renvoyé les résultats au
moyen de la base électronique (toolkit).
Groupe sanguin
Les globules rouges de l’échantillon I/1210 étaient du groupe O Rh D positif de
phénotype ccEe et Kell négatifs.
Les globules rouges de l’échantillon I/1212 étaient du groupe O Rh D positif de
phénotype CcEe et Kell positifs.
Réaction de Coombs directe
La réaction de Coombs directe était négative pour les deux échantillons.
Tests de compatibilité
L’échantillon de sérum I/1215 contenait un anticorps anti-K et était incompatible avec
les globules rouges I/1212. L’échantillon de sérum I/1213 ne contenait pas
d’anticorps irréguliers.
Le tableau suivant reprend le titre de l’anticorps:
Anticorps
Anti-K
LISS-Coombs sur colonne
64
Un laboratoire hospitalier (probablement une inversion d’échantillons) et un
laboratoire privé n’ont pas mentionné l’incompatibilité entre les globules rouges
I/1212 et le sérum I/1215.
69 participants (47.6%) ont réalisé l’identification des anticorps irréguliers et ils ont
tous mis en évidence l’anticorps anti-K. Un laboratoire hospitalier a de plus
mentionné un anticorps anti-Lea.
96.6% des laboratoires ont mentionné le degré d’agglutination retrouvé. Le tableau
suivant reprend le pourcentage de participants pour chaque degré d’agglutination:
Sérum
I/1215
GR
I/1212
+
0%
++
11.4%
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
+++
77.9%
++++
10.7%
102/112
Le tableau suivant reprend, pour les différentes méthodes, le nombre de laboratoires
qui n’ont pas décelé l’incompatibilité entre le sérum I/1215 et les globules rouges
I/1212 (N-), le nombre de laboratoires qui ont mentionné le degré d’agglutination
(N+) retrouvé et le pourcentage de participants pour chaque degré d’agglutination:
Méthode
Sérum I/1215 GR I/1212
Diamed
WaDiana/ID-Gelstation/IH1000
Diamed
Gel/Méthode manuelle
Ortho-Clinical Diagnostics
Autovue
Ortho-Clinical Diagnostics
Gel/Méthode manuelle
Autre + non précisé
N-
N+
+
++
+++
++++
0
35
0%
20.0%
80.0%
0%
1
53
0%
11.3%
86.8%
1.9%
0
30
0%
6.7%
76.7%
16.7%
0
1
19
3
0%
5.2%
63.2%
31.6%
Anticorps irréguliers
L’échantillon de sérum I/1217 ne contenait pas d’anticorps irréguliers.
Un laboratoire hospitalier et un laboratoire privé ont mentionné la présence
d’anticorps irréguliers.
Système ABO
L’échantillon I/1210 appartient au groupe sanguin O.
Réponses reçues: 188
Réponses
O
Nbre de réponses
188
%
100
L’échantillon I/1212 appartient au groupe sanguin O.
Réponses reçues: 188
Réponses
O
Nbre de réponses
188
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
%
100
103/112
Système Rhésus (D)
L’échantillon I/1210 appartient au groupe sanguin Rh positif (D positif).
Réponses reçues: 188
Réponses
Rh positif (D positif)
Nbre de réponses
188
%
100
L’échantillon I/1212 appartient au groupe sanguin Rh positif (D positif).
Réponses reçues: 188
Réponses
Rh positif (D positif)
Nbre de réponses
188
%
100
Sous-groupes Rhésus (C,c,E,e)
L’échantillon I/1210 appartient au sous-groupe ccEe.
Réponses reçues: 180
Réponses
ccEe
CcEe*
Nbre de réponses
178
2
%
98.9
1.1
*Probablement une inversion d’échantillons
L’échantillon I/1212 appartient au sous-groupe CcEe.
Réponses reçues: 180
Réponses
CcEe
ccEe*
Nbre de réponses
177
3
%
98.3
1.7
*2/3: probablement une inversion d’échantillons
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
104/112
Réaction de Coombs directe
La réaction de Coombs directe est négative pour l’échantillon I/1210.
Réponses reçues: 176
Réponses
Négatif
Nbre de réponses
176
%
100
La réaction de Coombs directe est négative pour l’échantillon I/1212.
Réponses reçues: 176
Réponses
Négatif
Positif
Nbre de réponses
174
2
%
98.9
1.1
Compatibilités
L’échantillon de sérum I/1213 est compatible avec l’échantillon de globules rouges
I/1210.
Réponses reçues: 145
Réponses
Compatible
Incompatible
Nbre de réponses
142
3
%
97.9
2.1
L’échantillon de sérum I/1213 est compatible avec l’échantillon de globules rouges
I/1212.
Réponses reçues: 145
Réponses
Compatible
Incompatible
Nbre de réponses
143
2
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
%
98.6
1.4
105/112
L’échantillon de sérum I/1215 est compatible avec l’échantillon de globules rouges
I/1210.
Réponses reçues: 145
Réponses
Compatible
Incompatible
Nbre de réponses
144
1
%
99.3
0.7
L’échantillon de sérum I/1215 (anti-K) est incompatible avec l’échantillon de
globules rouges I/1212.
Réponses reçues: 145
Réponses
Incompatible
Compatible
Nbre de réponses
143
2
%
98.6
1.4
Recherche d’anticorps antiérythrocytaires
Il y a absence d’anticorps antiérythrocytaires dans l’échantillon de sérum I/1217.
Réponses reçues: 175
Réponses
Absence
Présence
Nbre de réponses
173
2
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
%
98.9
1.1
106/112
Information concernant
diagnostic in vitro
les
dispositifs
médicaux
de
Le service de Biologie clinique de l’Institut Scientifique de Santé Publique est, depuis
2001, l’Autorité Compétente pour les dispositifs médicaux de diagnostic in vitro
(DIV).
L'un des objectifs de la cellule DIV est d’informer les utilisateurs et les fabricants de
DIV. Dans ce cadre une session d’information concernant ces dispositifs ainsi que la
vigilance du marché a été réalisé en mai 2006 pour les coordinateurs qualité des
laboratoires cliniques.
Par le biais de cet annexe nous tenons à vous informer de l'interaction nécessaire en
cas d'incidents impliquant des diagnostics in vitro, et ce entre vous en tant
qu'utilisateur, la cellule DIV comme autorité compétente belge et ces collègues
autorités compétentes dans l’UEE.
Dispositifs médicaux de diagnostic in vitro
Le cadre juridique des dispositifs médicaux de diagnostic in vitro (DIV) est donné par
l'Arrêté Royal du 14/11/2001 relatif aux dispositifs médicaux de diagnostic in vitro au
niveau belge (1). Cet Arrêté est la transposition de la directive européenne 98/79/CE
(2).
Un “dispositif médical de diagnostic in vitro” consiste en un réactif, un produit réactif,
un matériau d’étalonnage, un matériau de contrôle, une trousse, un instrument, un
appareil, un équipement ou un système, utilisé seul ou en combinaison, destiné par
le fabricant à être utilisé in vitro dans l’examen d’échantillons provenant du corps
humain, y compris les dons de sang et de tissus, uniquement ou principalement
dans le but de fournir une information:
- concernant un état physiologique ou pathologique ou
- concernant une anomalie congénitale ou
- permettant de déterminer la sécurité et la compatibilité avec des receveurs
potentiels ou
- permettant de contrôler des mesures thérapeutiques.
Les récipients pour échantillons, tel que les pots d’urine ou les tubes de prélèvement
sanguins, sont également considérés comme des dispositifs médicaux de diagnostic
in vitro.
Les produits de laboratoire à usages généraux en ne sont pas des dispositifs
médicaux de diagnostic in vitro.
Hématologie, rapport global 2012/3. Date de publication: 13/3/2013.
107/112
Exigences à respecter
Le diagnostic in vitro doit satisfaire aux exigences essentielles figurant dans l'annexe
I de la Directive 98/79/CE et l’AR concerné. Ces exigences essentielles concernent
la sécurité des produits de diagnostic in vitro à la fois pour l’état clinique des patients
et pour la sécurité des patients, utilisateurs ou tiers. Elles visent également la qualité
des produits et exigent que les performances analytiques et diagnostiques indiquées
par le fabricant soient démontrées, tel que la sensibilité, la spécificité, la précision, la
répétabilité, la reproductibilité, les interférences et les seuils de détection. La
documentation technique du fabricant doit démontrer que le DIV satisfait à toutes les
exigences (essentielles) applicables.
Les exigences essentielles ne sont pas suffisamment détaillées pour pouvoir
imposer des exigences techniques au fabricant. Les normes harmonisées (EN)
traduisent les exigences essentielles en spécifications techniques. Par ce fait, les
DIV ayant été fabriqués selon les normes harmonisées applicables, sont présumés
conformes aux exigences essentielles correspondantes. Le fabricant est cependant
libre d'utiliser ou non les normes harmonisées, afin de respecter les exigences
essentielles.
Contrôle du marché: la surveillance des produits, des incidents et actions
correctives
Le fabricant doit mettre en œuvre une procédure systématique pour le suivi des
produits mis sur le marché, pour le traitement et l’évaluation de plaintes et de
rapports d'incidents des utilisateurs et pour la mise en œuvre de mesures correctives
et préventives.
Un «incident» est défini comme (AR du 14/11/2001):
a) tout dysfonctionnement, défaillance ou altération des caractéristiques et/ou des
performances d'un dispositif, ainsi que toute inadéquation dans l'étiquetage ou les
instructions d'utilisation susceptibles d'entraîner ou d'avoir entraîné, directement ou
indirectement, la mort ou la dégradation grave de l'état de santé d'un patient, d'un
utilisateur ou d'autres personnes;
ou
b) toute raison d'ordre technique ou médical liée aux caractéristiques ou aux
performances d'un dispositif et ayant entraîné, pour les raisons visées au point a), le
rappel systématique par le fabricant des dispositifs du même type.
Un DIV ne causera que très rarement un dommage direct, tels qu’une infection, une
brûlure ou coupure, à un patient, un utilisateur ou un tiers. Les incidents sont
généralement caractérisés par des dommages indirects pour le patient, suite à une
information erronée fourni par le DIV défaillant.
À l'appui des dispositions légales concernant les incidents, les obligations du
fabricant et des Autorités Compétentes, les échanges d'informations entre les parties
concernées et la mise en œuvre d’actions correctives ont été incorporés dans un
guide pratique (MEDDEV), développés au niveau européen (3).
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Fait important, repris par ce MEDDEV, est que les dommages indirects survenus en
raison d'une décision médicale ou d’une action prise sur base des informations
obtenues avec une DIV défaillant sont également considérés comme ‘grave
détérioration de l'état de santé d'un patient’ si conduisant à:
- un diagnostic erroné
- un diagnostic retardé
- un traitement inadéquat ou retardé
- une charge supplémentaire d’analyses pour le patient
- une transfusion/transplantation de matériel inadéquat
Il convient également de noter qu'un incident ne doit pas avoir effectivement entraîné
la mort ou une dégradation grave de l'état de santé d'un patient, utilisateur ou tiers.
Si, par hasard, le technicien ou le clinicien est en mesure de prévenir que de tels
dommages ont eu lieu, il s'agit également d'un incident. En effet, dans un autre
laboratoire, ou dans d'autres circonstances, le même dysfonctionnement, la même
défaillance ou altération des caractéristiques et/ou des performances d'un DIV
pourrait provoquer la mort ou une dégradation grave de l'état de santé d'un patient,
utilisateur ou tiers.
En cas d'incident avec un DIV, il est de la responsabilité du fabricant d’en établir les
causes ainsi que les risques encourus et d’entreprendre les actions correctives
nécessaires.
Notification d’incidents
Les fabricants de diagnostics in vitro ont l’obligation de notifier immédiatement la
cellule
DIV
de
tout
incident
impliquant
leurs
DIV.
Les fabricants utilisent à cet effet un formulaire qui a été développé au niveau
européen. Ce formulaire est soutenu par XML, et peut donc être intégré dans le
logiciel de réseau du fabricant.
Cette information est consultable sous la rubrique 2.12 Market surveillance de la
page web:
http://ec.europa.eu/health/medical-devices/documents/guidelines/index_en.htm
Les laboratoires de biologie clinique, les centres de transfusion et les personnes
responsables pour l’acceptation et/ou la délivrance des dispositifs médicaux de
diagnostic in vitro sont tenus de signaler chaque incident à l'Autorité belge
compétente pour les DIV (AR 14/11/2001, chap. V, article 7 , § 3).
La cellule DIV a développé un formulaire spécifique, en Word, pour les notifications
d’incidents par les utilisateurs.
https://www.wivisp.be/ClinBiol/bckb33/activities/competent_authority/_down/Formulaire-notificationincidents-utilisateurs.doc
Nous demandons aux laboratoires de biologie clinique et aux personnes
mentionnées ci-dessus d’inclure ce formulaire dans leur système qualité.
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Ce formulaire comprend un certain nombre de champs à compléter, nécessaire pour
pouvoir évaluer le problème. Il est crucial que toutes les informations pertinentes,
telles que l'identification du DIV, les numéros de lot/de série, les circonstances de
l'incident, si d’application les actions correctives déjà entreprises par l'utilisateur, etc.
soient communiquées de manière claire à la cellule DIV. Au plus l’information est
complète, plus efficace sera le processus ultérieur. Il est également important de
nous indiquer si l'utilisateur a déjà eu contact avec le fabricant et si celui-ci a déjà
proposé des mesures correctives. Avec cette information complémentaire les
collaborateurs de la cellule DIV pourront contacter de façon appropriée le fabricant
pour s’assurer du bon suivi de son investigation.
Le rôle de l'Autorité compétente DIV en cas d'incident
Après la signalisation d’un incident par le fabricant, la cellule DIV analyse l'évaluation
des risques effectuée par le fabricant, et vérifie les mesures correctives proposées
par le fabricant. Si nécessaire, la cellule DIV peut demander l’intervention d’une
commission d’évaluation.
Après réception d’une notification d'incident par un utilisateur (laboratoires de
biologie clinique, centres de transfusion, ou autres personnes), une personne
responsable pour l’acceptation et/ou la délivrance du DIV, par le distributeur ou
l'importateur, la cellule DIV en informe fabricant du DIV concerné, puis suit la même
procédure que décrite ci-dessus.
Si des mesures correctives doivent avoir lieu, il est important que tout utilisateur du
DIV concerné soit informé.
Pour les actions correctives qui ont lieu au niveau belge, la cellule DIV demande
également une copie de la lettre ‘Field Safety Notice’ qui est envoyée aux utilisateurs
concernés. La cellule DIV demande également une liste des utilisateurs belges
concernés. Cela se fait aussi bien pour les fabricants de produits DIV établis en
Belgique, que pour les fabricants établis hors Belgique.
Ceci démontre l'importance d'un niveau de communication efficace au niveau
européen: un échange international d'informations concernant les mesures
correctives est d'une importance primordiale. Plusieurs procédures de coopération
internationale entre les autorités compétentes existent. La cellule DIV informe ses
collègues de l’UEE des incidents et/ou des mesures correctives prises à la suite
d'incidents en Belgique et/ou prises par les fabricants belges. Elle est à son tour
informée des actions correctives réalisées en raison de l'incident dans le reste de
l’UEE ou même dans le monde entier si elles concernent des DIV mis sur le marché
dans l’UEE.
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En conclusion
La Directive DIV vise la sécurité des dispositifs médicaux de diagnostic in vitro ainsi
que des produits qualitatifs aux performances analytiques et diagnostiques de
qualité supérieure.
Le fabricant est incité à évaluer activement les nouveaux développements, les
nouvelles connaissances (scientifiques), les changements dans l'état de l'art, et -en
particulier- les incidents et de traduire cette information en une amélioration des
produits, en actions préventives et/ou correctives éventuelles. La gestion des
risques, et la considération des risques associés à l'utilisation du DIV vis-à-vis du
bénéfice pour le patient sont essentielles.
Il est donc impératif que les incidents soient signalés et analysés, afin que par le
biais de mesures correctives efficaces ils puissent être évités.
Les laboratoires belges de biologie clinique constituent un maillon important dans ce
processus.
C’est pour cela que la cellule DIV vous demande d’inclure dans le système qualité
de votre laboratoire le formulaire pour les notifications d’incidents par les utilisateurs.
La cellule DIV compte sur votre coopération et vous remercie d'avance.
Pour de plus amples informations:
http://www.wivisp.be/ClinBiol/bckb33/activities/competent_authority/_fr/competent_authority.htm
ABRÉVIATIONS
UE / CE
UEE
DIV
AR
Communauté européenne
Communauté économique européenne
dispositifs médicaux pour diagnostic in vitro
Arrêté Royal
1
Arrêté Royal relatif aux dispositifs médicaux de diagnostic in vitro du 14/11/2001,
Moniteur belge du 12/12/2001
2
Directive 98/79/CE du Parlement européen et du Conseil du 27 octobre 1998
relative aux dispositifs médicaux de diagnostic in vitro.
Texte consolidé:
eurlex.europa.eu/LexUriServ/LexUriServ.do?uri=CONSLEG:1998L0079:20090807:e
n:PDF
3
MEDDEV 2.12/1 rev.6 Medical devices vigilance system
http://ec.europa.eu/consumers/sectors/medical-devices/files/meddev/2_12_1rev_6-12-2009_en.pdf
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Van Nerom Anne, DVM, PhD
Coordinateur
Autorité Compétente pour les dispositifs médicaux de diagnostic in vitro
Service Qualité des laboratoires médicaux
Institut Scientifique de Santé Publique
Rue Juliette Wytsman 14 - 1050 Bruxelles - Belgique
T +32 (0) 2 642 50 40 - F +32 (0) 2 642 56 45
www.wiv-isp.be
Fin
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