Dossier Artistique S&P / 2017
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Dossier Artistique S&P / 2017
Création 2016 DOSSIER ARTISTIQUE LA SOUCOUPE ET LE PERROQUET un spectacle de PAUL PASCOT très librement inspiré de la soucoupe et le perroquet, documentaire de STRIPTEASE diffusé sur France 3 en 1993 Production Friche la Belle de Mai / École Régionale d’Acteurs de Cannes avec le soutien du FIJAD Fonds d’insertion pour jeunes artistes dramatiques de la Région et de la DRAC PACA, dans le cadre de leur mobilisation pour accompagner la professionnalisation des jeunes artistes formés à l’ERAC. avec le soutien de la Chartreuse-CNES LA SOUCOUPE ET LE PERROQUET (ou mise en bouche des étoiles) Ecriture et mise en scène : Paul PASCOT Collaboration artistique & aide à l’écriture : Julie CARDILE Comédiens : Paul PASCOT, Florine MULLARD Voix Off : Julien BREDA Regard complice & précieux: Christian JEHANIN Travail corporel : Aurélien DESCLOZEAUX Création Lumière : Nanouk MARTY Construction décor : Christian GESCHVINDERMANN Régisseur général & Lumière : Neills DOUCET ou Florian LECOMTE Régisseur son : Pauline PARNEIX Musique : Soyons modernes, Combo Belge © photographies : Olivier QUERO / Tony Mayer Spectacle conseillé à partir de 13 ans - Durée 60 min ! UNE HISTOIRE Ils ont une heure et sont deux sur le plateau. Ils sont Corinne & Didier. Ils s’aiment. Ce sont deux moitiés retrouvées. LUI, rêve de prendre de la hauteur, PAR-ANORMALEMENT. ELLE, garde Cricri, le cadavre de son perroquet mort depuis des années et ne fait qu’essayer d’aider Didier à accomplir son rêve. Mais il ne lui dit pas TOUT, vous savez. Ah non, il sait que ça pourrait être COMPROMETTANT pour l’avenir du PROJET. NOTE DE L’AUTEUR En 2015, je découvre grâce à Julie CARDILE un documentaire datant de 1993 s'intitulant la Soucoupe et le Perroquet (Émission Strip-tease sur FR3, réalisée par Frédéric SIAUD). Une vieille maman et son fils de 50 ans habitent ensemble. Elle s'occupe des récoltes, de l'assemblage des poireaux, qu’elle vend ensuite au marché. Elle garde un perroquet mort depuis 17 ans dans une boîte à chaussures, ce perroquet, qui prend toute la place dans son testament. Puis Lui et sa soucoupe volante en “bois bionique” qu'il est en train de finir en plein milieu de leur jardin. Autour de cet engin “bionique”, il n'y a plus d'herbe, à force de réfléchir en marchant. Oui oui, et il décollera de manière "PARANORMALE"... Je suis tout de suite conquis par la poésie émanant de ce vieux reportage. Je pose alors naïvement cette question à Julie CARDILE : « Et alors ? Ça a décollé ? ! », ce à quoi elle a tout de suite répondu: « non, non, lui est parti en prison pour pédophilie et elle, elle est morte ». Voilà, le départ simple, clair et précis de cette aventure. Touché par une “poésie”, leur rêve, j'ai rêvé. Puis compris que derrière l’élaboration, la construction d’un rêve, même poussé, il y a des souterrains sous ses fondations qui peuvent le rendre instable, fragile, dangereux. Je commence, grâce à cette Soucoupe et à ce Perroquet, à réfléchir à deux étrangetés au rapport inconcevable, inimaginable. Aucune reproduction / parodie de l’épisode ne me tente. Il y aura un rêve d’envol, un perroquet mort, deux personnages et pas de rapport Mère / Fils. Ils deviennent des amants naissant du mythe d’Aristophane, développé dans Le Banquet de Platon, sur l'origine de l’amour. Un qui rêve de s’envoler et dont le rêve prend toute la place au sein de leur couple. Et Une qui s'immisce au maximum dans le rêve de l’autre, n’ayant comme souvenir que ce perroquet, cette nostalgie déplumée. Elle, Corinne, l’attend Lui, Didier, et cherche les bons mots à lui dire. Je remplace les poireaux par des choux, pour tout ce que cela provoque dans mon imaginaire poétique. Deux “petites gens” confrontées à la simplicité de leur langage poétique ayant comme usage de les rendre autres que de simples humains : des monstres. Paul PASCOT TRAVAIL D’ÉCRITURE Pendant un an, j'ai écrit, cherché la relation que ces deux personnages pouvaient entretenir, leurs faiblesses, leur humour, leurs manques, leurs cauchemars, leurs mots en utilisant cette histoire de soucoupe et de perroquet comme prétexte “à dire”. Prétexte à parler de nos rêves, de l’amour, de la mort, de l’envie. Puis, j'ai finalisé le montage textuel avec l'aide de Julie CARDILE, sans laquelle rien n’aurait pris force. J’ai cherché à inventer leur propre langage, force de parole, procéder à une recherche de réinvention des expressions du langage commun de notre génération, pour nous les faire redécouvrir. Il fallait aussi des mots que les acteurs puissent porter avec leur corps, leur être. Chercher les bons mots, ceux qui permettent de propager leur poésie, et ainsi transformer les acteurs en personnages à la fois touchants et monstrueux. J’ai aussi essayé de bannir toute forme de réalisme. En revisionnant le reportage de Strip- tease, j’ai compris que le langage des deux protagonistes du film, lorsqu’il devenait savant, leur faisait littéralement mâcher les mots. J’ai donc appliqué cette règle au texte théâtral. Certains mots deviennent ainsi comme en MAJUSCULES et forcent les comédiens à se déconnecter de toute forme de “conversation”. Je comprends vite, dans l’écriture, qu’ils pourront se parler entre eux, à eux-mêmes et au public, ce tiers qui s’immisce dans leur quotidien, à la manière de la caméra dans le reportage diffusé sur FR3. Je crois que le texte est avant tout un spectacle. Il est difficile de le concevoir en matière simplement textuelle. Si les 21 tableaux de La soucoupe et le perroquet sont écrits le plus précisément possible, le sens même du texte, noir sur blanc, ne peut exister que grâce à l’univers 3D, inventé et rêvé pour ce spectacle. Comme si l’écriture propre du projet était déjà une écriture de plateau. J’écris pour le plateau. Je n’arrive donc pas à me détacher des corps des personnages et de l’espace dans lequel ils vont évoluer tout au long du spectacle. C’est important car je me défais d’une pression dite d’écrivain. Je ne suis pas écrivain. Je fais, fabrique, invente un spectacle avec un texte qui n’a réellement de sens et d’intérêt que parce qu’il est nôtre. Paul PASCOT Corinne fait un signe pour qu’on baisse le son. Elle prend place dans son perchoir et regarde Didier. Pause. Son regard se pose ensuite sur le public, puis sur Didier, puis sur le public. Elle choisit chaque mot et chaque image avec une précision PARANORMALE. — CORINNE — Il a commencé sa construction il y a 4 ans déjà. Alors c'était certainement une drôlerie qui semait la pagaille sur la route du devant, bien sûr. C'est pour ça la haie maintenant. Comme ça, ça parle, mais pas sous nos fenêtres au moins. Vous savez j'ai tout gardé. Y'a ça. Y'a ça aussi. Et ça. ÇA C’EST POUR LA SÉCURITÉ Elle présente une arme à feu : le sortir délicatement et le pointer vers le public J'ai tout gardé moi. Alors l’article ? l'article ! J’en cherche chaque jour des nouveaux, on sait jamais puis ça fait ma lecture. Voilà Ça, c'est l'article. Le premier, qu'est sorti sur notre PROJET. Le Mardi du 7 en mars 89. Il y avait plus d'un mois que Didier avait commencé. Voilà, on voit bien la machine quand même. Enfin. Elle se retourne pour regarder l’ombre de la soucoupe, ou son spectre Elle a poussé depuis, quand même. Et on voit les pieds de Didier. EXTRAIT Elle explose de son rire le plus fou, c’est son rire. Voyez, y'a le gauche et le droit on ne le voit qu'à moitié. Et puis Toc Toc Toc... Je ne sais pas ce qu'il fabriquait dans son Nichon l’appelle comme ça. — DIDIER — Elle dit TOUT elle — CORINNE — Continuant son récit au public IL NE ME DIT PAS TOUT, VOUS SAVEZ. Ah non, Il sait que ça pourrait être COMPROMETTANT pour l'avenir du PROJET. Vous savez, à partir du moment où les choses deviennent MÉDIATIQUES C'est là qu'on sait qu'on a touché juste. Ils ont compris qu'il avait le message dans le coeur. Toc Toc Toc... Vous pouvez garder cet exemplaire. Prenez, c'est tout le plaisir. On avait acheté une quarantaine pour la famille. Mais y'a la JALOUSIE. Alors personne est venu faire la récupération. Vous savez pas. Aussi. Y'a mon cricri. — DIDIER — Corinne, arrête ton spectacle. — CORINNE — Finis la manoeuvre, Didier ! Je m'en vais chercher Cricri. PRESSE Paul Pascot, pour écrire sa pièce La Soucoupe et le Perroquet, s’est très librement inspiré d’un reportage Strip Tease de 1993 qui s’introduit dans la vie d’un monsieur qui tente, avec sa maman, de construire par ses propres moyens une soucoupe volante pour aller rencontrer les extra-terrestres. L’auteur/metteur en scène utilise cette histoire comme un mythe dont il choisit de mettre en valeur certains aspects. Ainsi, la mère de l’émission originale, devient ici la femme ou le « pote » de l’inventeur fou. Sur scène, le décor raconte un certain isolement. Deux structures métalliques figurent l’habitat et le lieu de travail de l’inventeur et de sa « pote ». D’emblée un constat s’opère : les deux « potes » ne vivent plus au même endroit. Quand l’inventeur passe son temps à dormir dans son « nichon » qui est en fait son atelier, sa « pote » (qui n’a pas son mot à dire sur la question) doit vivre seule dans la maison pour faire pousser les choux. On comprend que la quête noble de cet inventeur fou le sépare de sa femme. Très vite, notre réflexion s’articule autour de la notion de folie. Cet homme, qui veut fouler un sol qui n’a jamais été foulé, finit par être seul dans sa quête, aliéné. Sa femme, qui le soutient corps et âme finit par devenir folle avec tant de solitude, et si l’inventeur fou à le « mental du moteur » il n’a pas toujours les mots pour mettre baume au cœur. Peu à peu, l’inventeur magnifique s’apparente à un fou sordide et on comprend que le dénominateur commun de la folie est la solitude. On a ici à faire à un travail efficace qui par certains mots très justes et certaines intui- tions visuelles nous fait frissonner. J’apprécie la langue de Paul Pascot, qui parvient réellement à faire exister ce couple dans un hors du temps proche de nous. Ces gens-là nous ressemblent et ne nous res- semblent pas. On y trouve par ailleurs des fulgurances et des intuitions très justes, qui personnellement, ont su me faire frissonner. Enfin, les deux comédiens portent à deux seuls leur pièce avec tendresse et énergie. Beaucoup d’amour semble-t-il au plateau. (Sébastien Thevenet, www.lesouffleur.net) Départ imminent pour les étoiles ! (...) Si l’on croit au début à deux amoureux fleur-bleue qui se sont rencontrésdans une fête foraine, on sent peu à peu affleurer une sourde violence dans leurs rapports. Le spectacle (est) porté par de jeunes comédiens épatants qui savent trouver la candeur mais aussi la dureté et l’exigence. Sûr que pour eux « La soucoupe est pleine ! » (Chris Bourgue, Janvier 2016, ZIBELINE) L’ÉQUIPE ARTISTIQUE PAUL PASCOT / ÉCRITURE, MISE EN SCÈNE ET COMÉDIEN. Après une formation à l’Ecole départementale de théâtre de l’Essonne en 2010 en CEPIT sous la direction de Christian JEHANIN, Claire AVELYNE, Jean-Louis HOURDIN, Gille DAVID, Clara CHABALIER..., il intègre l’Ecole Régionale d’Acteurs de Cannes en 2012 où il est formé par Valerie DREVILLE, Catherine GERMAIN, Julien GOSSELIN, Agnès REGOLO, Christian ESNAY, Richard SAMMUT... Parallèlement à ses études, il anime un atelier théâtre avec des jeunes à Kinshasa en RDC et dans les quartiers de Courcouronnes en Essonne. En 2015, il écrit et met en scène - avec la complicité de Julie CARDILE - La Soucoupe et le Perroquet avec des élèves de sa promotion. Il sera invité - à l’issue de sa formation en septembre 2015 - en résidence d’écriture au Centre National des Ecritures du Spectacle de la Chartreuse pour ce projet, lui-même programmé au Festival du JT16 au Nouveau Théâtre de Montreuil ainsi qu’au Festival Emergence(s) en Avignon en 2016. Une tournée régionale est en cours de construction pour l’automne/hiver 2016. En tant qu’acteur, Il joue parallèlement en 2015/2016 sous la direction de Jacques ALLAIRE dans son dernier spectacle Le dernier contingent. En 2018, il jouera sous la direction d’AnneLaure Liégeois dans Les soldats de Lenz. FLORINE MULLARD / COMÉDIENNE Parallèlement à ses années au Lycée Voltaire, à Orléans, Florine MULLARD intègre le Conservatoire d’Art Dramatique, sous la direction de Christophe MALTOT, puis de Fabrice PRUVOST. En 2011, elle obtiendra son diplôme d’Etudes Théâtrales (DET), en mettant en scène Faire et se taire. Et avoir de la patience. Moi je ne peux pas , inspiré de Ronald, le clown de Mc Donald, de Rodrigo GARCIA. L’année suivante, elle participe à l’atelier du Lundi, au théâtre de la Colline, dirigé par Sharif ANDOURA. C’est cette même année qu’elle entre à l’Ecole Nationale Supérieure d’Art Dramatique de l’ERAC. Elle y travaille avec Alain ZAEPFELL, Jean- Pierre RYNGAERT, Michel CORVIN, Richard SAMMUT, Agnès REGOLO, Célie PAUTHE, Christian ESNAY, Catherine GERMAIN, Bertrand BOSSARD, Julien GOSSELIN, Valérie DRÉVILLE, Didier GALAS. Avec ce dernier, elle a joué dans La République de Platon d’Alain BADIOU (Festival d’Avignon 2015). En 2016, dans le rôle de Julie, elle joue 1848 : ROMYO ET JULIE, sous la direction d’Hervé Deluge – AdaptaFon de Roméo et Juliette, de Shakespeare/ Tropiques Atrium Scène Nationale de la Martinique. JULIE CARDILE / AIDE À L’ÉCRITURE & COLLABORATRICE ARTISTIQUE Julie CARDILE a suivi les cours du Conservatoire d'art dramatique de Nice dirigé par Cyril COTINAUT de 2007 à 2012. Elle intègre en 2010 le collectif La machine (fondé par d'anciens élèves du Conservatoire de Nice) avec lequel elle joue notamment Prozak et C-O-C dont elle signe la co-écriture. Admise ensuite à l’ERAC (2012), elle est dirigée par Richard SAMMUT, Christian ESNAY, Thomas GONZALES, Agnès REGOLO, Célie PAUTHE, Laurent GUTMAN, Catherine GERMAIN, Valérie DRÉVILLE, Grégoire INGOLD, JeanFrançois PEYRET, Judith DE PAULE, Julien GOSSELIN...Elle sort en 2015. Parallèlement à son activité de comédienne, Julie écrit des nouvelles, dont certaines font l'objet d'adaptations, de performances, de courtes pièces ou encore de court-métrages. LA MUSIQUE La musique de l'album Soyons modernes de Combo Belge vient servir l’action et porter les silences. Cet orchestre qui avait signé la BO de l'émission Strip-tease donne une dimension BD au spectacle. Une radio et d’autres éléments sonores viennent ponctuer le spectacle, diffusant des sons de décollage, de tension, qui temporisent l’espace scénique et mental de Corinne et Didier. SCÉNOGRAPHIE Côté cour, une grande structure métallique de 3,5 m de hauteur pour Corinne. 3 niveaux à cette structure : - le sous-sol, où ses choux et son intimité vont de pair - le milieu, son endroit de parole et peut-être aussi le “juste milieu” que Didier a oublié, obnubilé par son Projet. - Un dernier étage avec son lit, son perroquet (ou ce qu’il en reste), sa solitude. Cet endroit, où malgré elle, elle sera bien plus proche des étoiles que lui. Côté jardin, l'atelier de Didier, légèrement surélevé d'un mètre. Son endroit d'apparition / disparition. Son supposé endroit de travail, d'INTIMITÉ. Enfin, un « passage » au centre de la scène devant les deux premiers espaces. Un endroit, dénué d’accessoires, où ils se rencontrent, se frôlent, s’engueulent, parfois blaguent sans jamais réellement réussir à se retrouver. TOURNÉE 2016/17 •Les 7, 8, 9 janvier 2016 au Petit Plateau - Friche la belle de Mai (Marseille) •Les 19 & 20 février 2016 au Nouveau Théâtre de Montreuil •Le 12 mai 2016 au Tinel de la Chartreuse (Villeneuve-lès-Avignon) •Les 09 & 10 novembre 2016 au Théâtre Joliette-Minoterie (Marseille) •Les 17 & 18 novembre 2016 au Bois de l'Aune (Aix-en-Provence) •Le 30 novembre et le 1er décembre 2016 au Théâtre National de Nice - CDN (Nice) •Le 03 mars 2017 au Théâtre Liberté (Toulon) •Les 30 et 31 mars 2017 à La Passerelle – Scène Nationale (Gap) L’ACCOMPAGNEMENT D’UN PREMIER SPECTACLE Depuis 2014, la Friche la Belle de Mai, en partenariat avec l'ERAC, initie une démarche d'accompagnement à la professionnalisation des jeunes diplômés de l'ERAC, à l'échelle du territoire régional et au-delà. Parmi les 4 projets personnels proposés tous les ans par les élèves de 3ème année dans le cadre de leur cursus, il s'agit d'identifier le spectacle qui semble le plus “près de” et le plus “prêt à” être présenté à un large public via le réseau de diffusion professionnel. Le projet choisi est alors produit la saison qui suit la sortie de l'école, selon un cadre et des conditions définis par la Friche la Belle de Mai et l'ERAC, pour une résidence de re-création et une présentation à la Friche où sont, entre autres, invités les principaux opérateurs de la région dans le but d'organiser une tournée la saison suivante. La Friche la Belle de Mai, en partenariat avec l'ERAC et grâce au FIJAD (Fonds d'Insertion pour les Jeunes Artistes Dramatiques financé par la Région PACA et la DRAC PACA), produit la reprise et la tournée du spectacle, en intégrant d'éventuelles participations à des festivals spécialisés dans la programmation de projets issus des écoles nationales d'acteurs. L’objectif est de permettre à ces jeunes artistes formés sur le territoire régional de se confronter - à l’issue immédiate de leur formation - à la réalité de leur métier, de rencontrer un premier réseau de diffuseurs/ partenaires potentiels de projets futurs, et bien-sûr de s'exercer à la rencontre d'un public, d'équipes professionnelles et de réalités différents selon les lieux. L’accompagnement se fait à tous les niveaux de la vie du projet : de la conception à la diffusion, en passant par la production, la communication. CONTACTS Metteur en scène Paul PASCOT 06 69 01 67 06 [email protected] www.soucoupeperroquet.fr diffusion/communication Sophie LEMAIRE 06 17 59 24 95 [email protected]