Bulletin info n°16 sept 2005

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Bulletin info n°16 sept 2005
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16
2003
SPÉCIAL ASSEMBLÉES
GÉNÉRALES Extraordinaire
et Ordinaire
du Samedi 2 août 2003
Je déclare ouverte la tenue de notre Assemblée Générale
- Permettez moi, tout d'abord, de remercier pour leur présence :
- M. Louis BENTAJOU, Conseiller Municipal Chargé de la Vie Quotidienne, représentant le Maire d’Agde
- M. Robert RALUY Maire de BESSAN,
- Les Membres du Conseil Municipal, Majorité et opposition confondues
- Mes remerciements s'adressent, ensuite à vous tous présents dans cette salle ....
- A nos chers adhérents bien sûr, à ceux qui se dévouent dans les organes de Direction de l’Association et à ceux qui
nous apportent le soutien de leur cotisation et parfois, de leur concours sous diverses formes
- mais aussi à tous ceux qui, par sympathie ou par simple curiosité, sont avec nous aujourd'hui.
- avec, en particulier, un signe amical de bienvenue à ceux qui se joignent à nous pour la première fois depuis notre
dernière Assemblée.
I - Assemblée Générale Extraordinaire : MODIFICATIONS DES STATUTS
 - Le projet de modifications présenté aujourd’hui a été débattu, amendé et voté par le Conseil d’Administration,
avant d’être proposé à vos suffrages. Les changements sont inspirés des considérations suivantes :
” - 1° - Par la nécessité d’utiliser la nouvelle terminologie en vigueur dans des textes législatifs récents
” - 2° - Par le souhait d’accéder à la requête des représentants de la commission interne dite « Commission des
Propriétaires Riverains de la Mer à La TAMARISSIERE »
” - 3° - Par le souhait de donner plus de considération aux membres d’honneur.
” - 4° - Par le souhait de contraindre les personnes qui exercent une fonction de Direction au Conseil
d’Administration ou au Bureau, ou qui y sont candidates, à être à jour, en permanence, de leurs cotisations
” - 5° - Par le désir de bien préciser les modalités d’établissement du Règlement Intérieur dont il était question à
l’article 6 des Statuts.
” - 6° - Par le désir d’harmoniser les procédures sanctionnant, d’une part, la perte de la qualité de membre et
d’autre part, les incompatibilités des membres du CA ou du Bureau avec certaines fonctions ou comportements
personnels.
” - 7° - Enfin par le souhait
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º de pallier au silence du texte en vigueur sur les conditions des dépôts de candidature au Conseil d’Administration
(article 10 nouveau)
º de renforcer les conditions de majorité pour la validité des votes au sein du Conseil d’Administration
º de modifier la composition du Bureau qui pourrait comprendre entre 8 et 15 membres au lieu de 12 tout en lui
donnant plus de souplesse, et en fixant dans le texte la place attribuée, de droit, au représentant du Collège des
membres d’Honneur.
Le Vote a été approuvé à l’unanimité des présents et représentés
II - Assemblée Générale Ordinaire,RAPPORT MORAL et D’ACTIVITE
Pour nous, ces deux mots devraient rester étroitement associés afin de montrer que, nous concevons l’action associative
dans le cadre d’une certaine moralité.
Je ne me résous à les séparer un instant que pour la clarté de l’exposé.
- a) - RAPPORT MORAL D’ABORD.
 - Avons-nous défendu ce que nous devions défendre et uniquement ce que nous devions défendre ?
La réponse se trouve en grande partie dans le rapprochement des sujets traités avec l’objet de nos Statuts.
Pour les anciens
Cette réponse est aussi facilitée par le fait que de nombreux Dossiers étaient déjà en cours au moment de la dernière Assemblée
Générale.
• - Les Inondations
• - la Tamarissière. (La pinède)
• - le contentieux contre le P.P.R.I.
• - Rochelongue Malfato
• - les plages, la jetée du Grau
• - Tous les nouveaux éléments qui portent atteinte à la qualité du cadre de vie
les bruits, émis par le voisinage ou les établissements recevant du public, nous en parlerons.
l’insécurité avec les problèmes liés à l’annonce des crues
la réglementation non respectée, l’absence de sanctions, le laxisme des autorités.
Pour les nouveaux, citons
• - Notre Participation au Conseil de Développement de l’Agglomération
• - l’agression des Goélands
• - la Tamarissière. ( pour la protection des Dunes et des habitations)
• - Le Canal du Midi
• - Le Palméria
• - l’Usine de Dépollution des Eaux Usées et Traitement des boues
 - Avons-nous mis notre Action au service de vos intérêts et uniquement, de vos intérêts ?
Deux éléments nous incitent à le penser :
º le fait que bon nombre de nos actions ont pour origine les demandes de nos adhérents .
º les constatations relevées dans les réunions de mise en place des Comités de Quartier. Les doléances présentées par les
participants reflétaient le contenu de nos interventions auprès des autorités locales
 - Avons-nous, dans nos actions, respecté l’agrément préfectoral qui nous a été décerné en 97 ?
Dans le domaine de l’environnement, Et Dans le domaine de l’Urbanisme.
º. Notre présence active dans les groupes de travail qui vont concourir à la confection du Schéma d’Aménagement
et de Gestion de l’Eau ( S.A.G.E) doit être considéré comme découlant de l’agrément que nous avons reçu
º Notre participation constructive à la défense de l’Environnement s’est traduite par la confection d’une brochure
destinée à informer la population des modalités pratiques du tri sélectif. Cette brochure indique les différents emplacements des
bacs de réception.
Telles sont les trois principales questions posées dans ce Rapport Moral.
Après nous avoir entendus, après avoir puisé dans le souvenir de toutes les informations que nous avons diffusées, c’est à
vous qu’il appartiendra, , de dire, par votre vote, si vous estimez que nous sommes restés dans l’esprit et dans les limites des
règles à respecter.
En somme, vous êtes réunis solennellement pour jouer le rôle de censeurs chargés de vérifier que les responsables de
l’Association ne se sont pas écartés de la ligne que vous leur avez tracée.
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-b) - RAPPORT D’ACTIVITE,
AGATHE est une Association de Défense. Comment, avec quels moyens s’est-elle efforcée de remplir cette mission ?
• - I - EN VOUS INFORMANT :
a) Par nos propres publications, (1 bulletin et 3 Lettres d’Information)
b) Par 42 articles publiés dans l’Agathois depuis notre dernière assemblée générale
c) Par les interventions de MIDI LIBRE sur les sujets importants comme, par exemple les menaces de la mer à la
Tamarissière.
Rassemblez toutes ces publications et vous aurez le rapport d’activité détaillé de toute l’année
II- Par Une Saine Agressivité POUR FAIRE PROGRESSER NOS DOSSIERS
• - Depuis l’étude de l’affaire
• - en passant par notre déplacement sur le Terrain où nous allons faire connaissance avec la difficulté, comme
- à la TAMA ou au GRAU
ou comme nous l’avons fait de NUIT pour notre lutte contre le BRUIT
→ AU MAIL de ROCHELONGUE
→ AU VILLAGE NATURISTE
→ A L’ILE des PECHEURS
• - puis, en progressant vers la sensibilisation des Pouvoirs de décision
→ par des rencontres avec les responsables
→ par l’envoi d’un courrier pour demander une solution (Goélands)
→ par l’envoi d’un dossier charpenté (Traitement des Boues)
• - en ayant recours, enfin, si nécessaire, au contentieux, au sens le plus large du terme
L’utilisation de ce dernier moyen ne peut être que le résultat d’absence de concertation ou de refus obstinés.
Cela est le cas de notre action actuelle pour obtenir 2 rapports sur les émanations de la décharge du Petit Pioch. CADA
=Commission d’Accès aux Documents Administratifs
Cela vient d’être le cas de notre plainte pour vol de la table des mariages à l’ancienne Mairie. Etant précisé que..
Ce moyen est le plus difficile à mettre en œuvre à cause :
o
de son coût
o
des connaissances juridiques nécessaires, acquises ou à rechercher
o
des besoins en temps et en personnes.
o
de certains risques
Aussi, nos efforts sont concentrés sur la recherche d’une solution qui consisterait à mettre sur pied une cellule spécialisée dans la
conduite du Contentieux.
Je me suis, volontairement, refusé à vous infliger une narration longue et fastidieuse de tous les dossiers faisant l’objet de nos
actions.
Sachez, simplement, que nous n’oublions aucun sujet ni aucune personne.
Vous pourrez en obtenir la preuve irréfutable, en posant vos questions à l’issue de la présentation des quelques rapports
que nous avons jugé bon de vous présenter.
Le Président Jean RAVAILLE
Le CAP
Représentant d’AGATHE pour le Cap d’Agde ,avec le concours précieux de Maurice VELTZ pour le secteur du Mole ,de
guy LOUVET pour le mail de Rochelongue ,Georges Coquet pour le quartier naturiste, moi-même pour la Roquille et Maraval,
j’ai été amené à faire certains constats qui gâchent la qualité de vie des résidents depuis des années :Ces points peuvent être
solutionnés à condition de le vouloir !
Les plages :
les plages du mail et Richelieu n’appellent de notre part aucune remarque particulière par contre :
La plage de la Roquille :
l’apport de sable a transformé celle ci en dune, les années passées celle-ci avait été nivelée. (de nombreux trous sur le
rivage)
les tenanciers des plages privées respectent de manière aléatoire le chemin du bord de mer
la douche est défectueuse, mauvais écoulement, création d’un marécage boueux ,le système est à revoir.
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Développement de baraques commerciales de manière anarchique, les piétons ont de plus en plus de difficultés à utiliser
les trottoirs (remarque générale pour le Cap°.
La plage du mail :
Occupation du domaine public au mail sans mesure
Annexion de la plage par des paillotes .Emprise importante des plages privées peu fréquentées par les usagers
La plage du môle
:Nous signalons depuis plusieurs années que l’eau de la plage du Môle par suite de la construction de la digue et du
tombolo n’est pas renouvelée-Si rien n’est entrepris Agathe interviendra auprès de la DDAS.
La Douche de la plage du pêcheur : fonctionne mal, défaut d’évacuation. Nous l’avons signalé à Mme BECHAUX,
conseillère municipale ,qui a fait le nécessaire. Mais là n’est pas le remède, les services techniques doivent revoir la conception de
l’installation.
²Maraval
Les services municipaux ont poursuivi la mise en place de plots en bois à notre demande pour interdire le stationnement
sur les trottoirs de l’avenue de cassiopée, ce qui donne satisfaction.
nous avons demandé et obtenu la création de 2 passages piétons supplémentaires, qu’il faudrait d’ailleurs repeindre
la pose de rochers dans le chemin de Maraval a été obtenue afin de rendre impraticable ce dernier par les véhicules à
moteur(les motos plus particulièrement)
PAR CONTRE malgré nos demandes illustrées de photos l’interdisant se constitue en bas du chemin de maraval- une
installation hétéroclite de caravanes transformées en commerce(1 pizzeria, 1 marchande de légumes, le musée de la moto figurant
sur le guide touristique, 1 poterie)tout cela ressemble à un bidonville. D’année en année cette installation inesthétique se
développe.. Comment ces commerces sont-ils reliés aux divers réseaux(eau, électricité, eaux usées)car les occupants séjournent là
désormais toute la saison. Bien que le terrain soit privé quelle est leur situation au regard de l’urbanisme, des impôts…Nous
attendons de la municipalité qu’elle fasse respecter la loi.
Entrée du quartier naturiste :
Tous les soirs des rencontres homo, hétérosexuelles aux abords du quartier…est-ce de la prostitution passive ou du
racolage La police ne l’ignore pas, j’ai constaté son passage mais elle n’intervient pas pourquoi ?
A proximité nous constatons la présence de camions, de plus en plus nombreux au fil des mois est-ce une aire de
stationnement ? A quels trafics se livre-t-on ?
Toujours à l’entrée de nombreux camping-cars stationnent, la municipalité ne peut-elle envisager de créer un ou plusieurs
parkings pour ce type d’engins comme cela existe dans d’autres stations, parking avec bornes d’alimentation
Pour clore ce chapitre : je souhaiterais que Le Cap d’AGDE soit connu pour ses plages, son soleil, ses animations, son
cadre de vie mais comme un endroit où la pornographie est reine et le fric roi, malheureusement il y a beaucoup d’efforts à faire
pour que cette image soit effacée.
Le bruit : En AGDE il n’y a de bruits qu’à l’ile des loisirs du Cap dit-on ?
Hélas les nuisances sonores sont bien réelles au quartier naturiste et les tenanciers des boîtes ne respectent pas la loi
puisque le tapage se poursuit bien au-delà des 5 heures du matin pour certains. On bafoue la loi en toute impunité !
Les nuisances sonores sont bien réelles au Mail de Rochelongue : pratique du skate-board (nous avions proposé à M le
Maire par lettre du 27/2/03 une solution) mais le bruit de ces engins est couvert par celui des orchestres chaque soir. Les
propriétaires riverains sont obligés de se cloîtrer en fermant toutes leurs fenêtres. La mairie envisage-t-elle de leur installer la
climatisation par ces temps de canicule ? Cette situation déjà dénoncée par le passé est intolérable ! Des actions vont être
engagées par AGATHE, nous avons signalé à qui de droit ces nuisances qu’a-t-on fait pour les atténuer voire les supprimer ?
Rien.Doit-on régler ces problèmes en justice ?
AGATHE a participé aux travaux de la commission bruit, elle n’a pu s’y exprimer faute de temps, elle avait des propositions à
faire
L’insécurité au Cap d’AGDE :
Contrairement aux affirmations la sécurité ne s’est pas améliorée en AGDE a fortiori au Cap d’Agde ce que confirmait
récemment sur FR 3 le responsable de la police
Nous l’avions constaté et notamment au quartier naturiste (augmentation des cambriolages et tentatives, trafic de drogue
et tout ce qui en découle…)Afin d’améliorer la sécurité dans ce secteur particulier il est nécessaire de rétablir la barrière de sortie
du quartier car suite à la malencontreuse nouvelle animation du fitness dans l’ancien cinéma de plein air de pseudo utilisateur de
cette animation en profite pour pénétrer dans le quartier. Cette animation bruyante au possible détériore les conditions de travail
des employés des barrières d’entrée qui ne peuvent plus faire face§
Aucun contrôle de police en matière de vitesse, d’alcoolémie n’est effectué dans ce secteur, cela serait bien nécessaire car
combien dépasse la vitesse autorisée de 30 km/h.
Entretien des espaces verts et équipements urbains :
Les espaces verts en allant de la Roquille vers le secteur de Maraval sont dans un état médiocre nous avons connu un
entretien plus soigné et en particulier il faudrait réhabiliter le parc Lano une véritable jachère ! ..J’attire également votre attention
sur l’étang du bord de mer vers Rochelongue à proximité de la résidence des colonnes de Circée qui n'a pas été nettoyé et qui
engendre beaucoup de désagréments par des odeurs nauséabondes L'entretien des espaces de manière correcte ne doit pas se
limiter à l'entrée du Cap ou du quartier naturiste nous avons connu les saisons passées un meilleur aspect de notre cadre de vie.
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La voirie :
Il est plus que temps de donner une cure de jouvence au revêtement de l’avenue de cassiopée en particulier en général au
réseau routier du Cap qui est extrêmement vétuste. Mais j’espère que dans le prochain budget un effort sera fait sur ce point grâce
à l’opération immobilière de l’îlot saint martin.
Equipements :
²Peut-on espérer prochainement la prise en compte de la protection des falaises avec la canalisation définitives des eaux
de pluie qui ravinent le sol, le dégradent en augmentant la fragilité de celles-ci. Il y en a assez de les purger après chaque incident,
qu’en restera-t-il dans quelques années (La disparition de 2 maisons n’aura-t-elle pas suffi)
peut-on espérer la mise en de points lumineux le long de la falaise du Cap, cela fait plus de 20 ans que nous réclamons
une prise en considération de ces falaises, nous envisageons de demander le classement de ce site
peut-on espérer l’installation de bancs pour les piétons qui se promènent sur les chemins qui bordent les plages, un effort
a été fait le long de l’hérault. Enfin nous espérons qu’avec l’appui des comités de quartier, nous obtiendrons enfin ces
améliorations tant attendues.
Pour Conclure : en peu de temps j’ai essayé avec quelques faits d’attirer votre attention sur nos attentes(certaines
perdurent depuis de nombreuses années) et sur notre lassitude d’avoir à signaler toujours les mêmes problèmes alors qu’il existe
des solutions possibles et réalistes à toutes ces nuisances…mais encore faut-il une volonté politique au sens noble du terme pour
que tout cela s’améliore Sachez qu’AGATHE est prête à participer avec la municipalité, la police pour ce qui la concerne, à la
concertation afin de faire aboutir les propositions constructives qu’elle a toujours faites au nom de l’intérêt général
Maurice BERARD.
Le MOLE
Depuis 1972, j’ai réclamé diverses améliorations
Mis à part quelques petits travaux, peu de choses ont été réalisées sur le Môle.
Nous avons vu que pour trouver le WC public, situé derrière la piscine ouvert au public de 11 heures 30 à 18 heures. c’est un
véritable « jeu de piste » . Le reste du temps, il y a la mer et les blanquettes …
•
Il faudrait installer un petit sanitaire comme celui de la Roquille, avec cuvette à la turque et lavabo ceci au milieu des
blanquettes sur la place du jeu de boules.
•
Il faudrait que la douche de la « Plage du pêcheur », devant les Indes Galantes, soit vérifiée presque tous les jours, pour
éviter le déversement sur la plage du trop plein du bac de réception qui est détérioré.
•
Il faudrait creuser, presque chaque jour, une brèche dans le « Tombolo » pour permettre à l’eau de la Roquille de venir
renouveler l’eau de la plage du Môle. Au point de vue sanitaire, c’est une nécessité pour conserver le drapeau vert sur cette
plage.
•
Il faudrait, pour raison de sécurité, continuer à placer une barrière en rondins le long de la promenade de la falaise, ou
continuer les murets.
•
Il faudrait canaliser les eaux de ruissellement de la falaise pour éviter la dégradation du sol, au besoin, goudronner le
Chemin de la falaise.
•
Il faudrait, enfin, installer quelques point lumineux sur la falaise. Il y a, encore, quelques embases de points lumineux qui
existent depuis quelques années.
M. LOGNOS avait pris bonne note en 2002 de nos revendications et nous avait promis de faire réaliser, dés que possible,
certains petits travaux. non réalisés à ce jour Mais, que pour un sanitaire et l’éclairage de la falaise, travaux plus onéreux, il
fallait attendre.
Attendre ? Oui, mais jusqu’à quand
Maurice VELTZ
LE MAIL DE ROCHELONGUE
Les problèmes inhérents à ce secteur ont une dimension telle, qu’ils ont été traités d’une
façon humoristique
Lettre à mon amie,
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Comme tu l’as appris, j’ai acheté un appartement au cap d’Agde dans un quartier résidentiel dit « le Mail de
Rochelongue » sur la plage et au milieu des commerçants.
On accède à la plage par un chemin en bois réservé aux handicapés. A droite, une belle douche, aux pieds un cloaque
verdâtre avec une eau nauséabonde qui circule sous le plancher, la mairie a oublié d’installer une évacuation, l’eau part dans la
plage , vive l’hygiène !
Cette belle plage est très souvent occultée en partie par de longs boudins gonflés qui encadrent des jeux , foot,
volley, tennis. , L’armée vient y recruter des jeunes.
L’ autre partie est bloquée à la circulation par une paillote d’environ 200 transats, on peut y déjeuner .
Pour accéder à la mer on doit effectuer un parcours sportif (pour handicapé)
La plage en fonction des vents et des courants modifie tous les jours sa structure, on y tire aussi des feux d’artifice
et les enfants, le lendemain, ramassent les restes des fusées, c’est la joie !.
La place du Mail qui est encadrée de 3 cotés, par des ensemble de 6 étages est occupée par de grands volumes qui
servent d’avancée aux restaurants. Au milieu ont été aménagés des estrades mobiles, sur lesquelles les orchestres évoluent.,
Ces podiums servant aussi pour les jeux des enfants, sans aucune surveillance, cela est très dangereux .
C’est la joie tous les soirs nous avons des orchestres en général très mauvais, qui font plus de bruit que de musique.
Le responsable des commerçants est un élu de la république, il s’en occupe.
Dans la journée les animations sportives sont sonorisées, ce qui veut dire que toute la journée on doit rester cloîtré.,
même les doubles vitrages n’isolent pas du bruit de la techno et du RAP , l’éclairage municipal fonctionne toute la journée,
c’est la joie.
Les contrôles faits par sonomètre révèlent des niveaux intolérables, dans les appartements tout tremble, tout
vibre, c’est la joie.
Dans ces résidences, certains propriétaires louent, c’est la chienlit, toutes les nuits ont crie, on hurle dans les
coursives, on s’engueule ,ou se saoule
Certaines portes d’appartements sont fracturées , un commerçant injurie les vielles dames en les insultant, c’est la
joie.
La piscine est envahie par des jeunes venant de l’extérieur, ils vous crachent dessus quand on leur demande de
sortir, c’est la joie.
Les chiens pissent dans les ascenseurs .Je pense rentrer à Clermont , je vais faire changer mon adresse électorale
et je pourrai voter pour le maire qui nous apporte tant de joie, je te signale aussi que la police est très efficace, elle
intervient au moindre appel
A bientôt bon baisers
Monique
PS. Viens à Agde en hiver l’Hérault déborde, nous sommes envahis par les goélands qui se nourrissent à la déchetterie c’est
la joie
J’espère revendre mon appartement en faisant une bonne plus value, c’est la joie.
Guy LOUVET
La TAMARISSIERE
Secteur très actif, surtout au cours du dernier trimestre 2003, comme nous vous le rappelions dans notre lettre
d’information n° 18 dans lequel quatre grands problèmes continuent de se poser : à savoir :
1. Le bois de la Tamarissière et l’extension du camping municipal
2. Les agressions de la mer et la protection du littoral plage,
dunes et habitations du bord de mer.
3. Protection et conservation de la zone verte des verdisses.
4. Réseaux routier et électrique, circulation, et circulation des
véhicules sur le quai Cornu et la rue du Commandant Mallet
Reprenons ces 4 points noir dans l’ordre en précisant, autant
que faire se peut, les dernières informations en notre possession
• Concernant le 1er point il faut savoir que le camping Municipal a
déplacé sa clôture en direction du nord pour libérer soi-disant le
littoral plage afin de respecter la loi de reconquête de la bande des
Camping Non autorisé
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100ml . Si le déplacement de la clôture vers le nord a bien été réalisé , il n’en est pas de même de la libération des 100ml
sur le littoral. L’exploitant ne respecte donc pas l’arrêté préfectoral qui n’autorise l’exploitation du camping que sur la moitié
de la pinède (10 hectares sur 20). Photos à l’appui, nous avons fait parvenir un rapport aux Services des « Bâtiments de
France » pour dénoncer cette occupation illégale qui accélère la dégradation du bois.
Ce qui fait dire que notre camping Municipal est à « géométrie variable » avec des emplacements « sauvages » qui
continuent d’exister en bord de plage.
Le deuxième volet de ce problème concerne l’abattage prévu d’un certain nombre d’arbres jugés malades au plan
phytosanitaire et devant être remplacés nombre pour nombre par des espèces plus appropriés au site et au climat . Les
Bâtiments de France ont été alertés par nos soins, et la commission des sites s’est réunie déjà à 2 reprises sur ce sujet.
Précédent l’une de ces réunions en Août 2003, AGATHE a invité l’un des membres de cette commission à venir sur place, se
rendre compte des problèmes posés et des dangers que pouvaient faire naître un abattage incontrôlé de ces magnifiques
arbres, souvent centenaires , à des fins louablement intéressantes sur le plan phytosanitaire, mais dangereusement
exposées au regard de l’intérêt commercial
• Le Deuxième point concerne la protection de la plage de la Tamarissière et des dunes, suite au coup de mer de Décembre
2002, qui avait emporté une grande partie de la dune proche de la jetée.
Devant la gravité de la situation et l’urgence d’y apporter remède les riverains ont estimé devoir attirer l’attention
des pouvoirs publics relayés en cela par AGATHE, qui a accepté de créer une commission spéciale dont l’objet principal serait
d’engager, si nécessaire, une action contentieuse, afin d’accélérer les études techniques déjà lancées en 1998, par la
Municipalité précédente, auprès de la SOGREAH ingénierie.
Les service techniques de la ville d’Agde consultés à ce sujet nous ont répondu que les études pour la protection de
la plage étaient pratiquement terminées ; M. Druille responsable de l’Environnement nous a assuré que « rien ne peut être
sérieusement programmé avant 2004 » Espérons que Neptune et Eole ne viennent pas contrecarrer le programme établi au
cours de cet hiver.
En ce qui nous concerne, nous resterons vigilants : le dossier est prêt et déjà dépassé auprès de l’avocat de notre
association.
• Le 3éme point se rapporte aux verdisses, cette zone verte située à l’ouest de notre commune , qui s’étend sur plusieurs
hectares à partir du CLOT, en passant par Vias et jusqu’à Béziers Est en bord du Canal.
Depuis de longues années, AGATHE a toujours défendu la protection de ce site unique, comparable au BAGNAS,
quand à la richesse qu’il présente sur le plan de la faune (oiseaux migrateurs) et de la flore.
Plusieurs solutions ont été proposées dans le passé , par les Municipalités précédentes (ASTREV etc ), mais force
est de constater aujourd’hui qu’aucune n’est réellement satisfaisante . Bien au contraire, la situation empire chaque année.
Les Verdisses ressemblent de plus en plus à un immense dépotoir rassemblant toute sorte de déchets (carcasses
de voitures, de machine à laver etc….).
Un autre danger guette cet espace à protéger d’urgence, c’est celui du « Mitage », entendez par là le morcellement
des propriétés foncières vendues pour inconstructibles, et qui, d’années en années, se couvrent d’abris saisonniers en dur,
venant compléter caravanes et autre mobil-homes.
Une Municipalité courageuse et responsable devrait mettre un terme à cette dégradation intolérable, et faire
inscrire la protection des Verdisses dans le plan d’aménagement et de la préservation du Littoral du Languedoc Roussillon.
• Le 4éme point noir est celui qui porte sur les réseaux. Réseau routier d’abord et circulation des véhicules sur le Quai
Cornu et sur la rue du Commandant MALLET, notamment pendant la période estivale avec l’afflux important de touristes
venant séjourner au Camping Municipal ou dans les différentes locations offertes dans notre station familiale.
A plusieurs reprises nous avons demandé aux élus et aux services techniques de la ville, de venir sur place prendre
conscience de l’importance de ce problème. Le résultat obtenu est bien maigre aux regard des nuisances subies, et de la
dangerosité qui persiste.
Une signalisation maigrichonne à l’entrée du Quai interdisant la circulation des plus de 15 tonnes, mais qui l’on ne
distingue pas bien et qui n’empêche pas la venue de ces gros porteurs venant buter sur un mini-rond point leur interdisant
matériellement d’aller plus loin.
Ces incidents se renouvellent plusieurs fois au cour de la saison sans qu’aucune fois une solution ne soit envisagée. Il
ne reste plus au routier qu’à essayer de faire marche arrière au milieu d’une file de voitures ininterrompues qui bloque tout
le Quai .
Cette situation ne peut plus durer, les riverains en ont assez , comme ils en ont assez , qu’à certain moment de la
journée, et notamment après 20 heures, le quai Cornu serve de piste de vitesse, aux motos, scooters et autres voitures.
Les services de police alertés ne réagissent pas souvent, et les contrevenants continuent leur rodéo dangereux dans
l’obscurité régnante et les halos de lumière patrimoniaux
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Plusieurs riverains se sont exprimés soit directement au Maire soit auprès d’AGATHE pour que des ralentisseurs
soient posés temporairement sur le quai, comme cela a été fait au Grau d’Agde, et pour que la circulation piétonne puisse se
faire sans danger , en bord de l’Hérault .
Réseau électrique, ensuite. En bout de ligne, après le dernier transformateur, la fourniture d’électricité a été
interrompue à plusieurs reprises. Le réseau est vétuste et nécessite des travaux efficaces afin d’éviter les sérieux
inconvénients subis par les abonnés. Les Services compétents de l’E.D.F. , contactés par nos soins, ont répondu à nos
questions en nous faisant savoir que la remise en état de cette fin de ligne serait réalisée avant la fin de l’année. Toutefois,
la réinstallation de la ligne ne prendra pas en compte l’aspect esthétique (sous-terre, par exemple) des travaux, puisque la
municipalité ne souhaite pas y participer financièrement
En conclusion je dirais que notre station mérite que ces problèmes soient réellement pris en compte, et qu’ils
trouvent solution pour le bien non seulement des riverains de la Tamarissière, ( très peu nombreux électoralement parlant, il
est vrai !) mais de tous les Agathois, et de tous les amoureux de cette station touristique.
Henri MINANA
Le GRAU
LES COMITES DE QUARTIER
Le 9 juillet avait lieu au Grau la dernière des 6 réunions destinée à mettre en place le Comité de quartier du GRAU
et de la TAMARISSIERE prévu pour associer les Agathois à l’évolution de leur cadre de vie.
Dès l’ouverture de la séance, M. le Maire explique le fonctionnement et la mise en place de ce comité :
- il aura pour rôle de proposer des projets concernant les questions relatives à la voirie, la propreté, la sécurité,
ainsi qu’à l’aménagement des espaces publics ( mobilier urbain, éclairage ... )
- il se réunira de manière informelle autant que de besoin, et pourra occasionnellement faire appel aux élus
accompagnés des techniciens compétents, lors de leurs réunions de travail, afin de vérifier la faisabilité et le coût des
propositions. Ils fera également remonter aux élus les problèmes rencontrés au sein de leur quartier.
- il sera composé de 15 membres choisis parmi les candidats qui auront au préalable fait acte de candidature. C’est
M. le Maire qui procédera au choix des candidats, en fonction de certains critères, notamment la répartition géographique
des candidats au sein du quartier.
Après cet exposé, M. le Maire donne la parole aux personnes présentes, mais aucune question n’a été posée sur la
mise en place et le fonctionnement de ce comité qui était pourtant le but de cette réunion.
Par contre, toutes les questions ont fait état des doléances des résidants et des saisonniers du Grau, savoir :
- la disparition de la plage entre l’épi émissaire de St. Vincent et le bloc sanitaire jouxtant le terrain de boules,
- les descentes de plage dénudées servant de plongeoir au milieu des rochers, desquels émergent des fers à béton,
- la suppression des concessions de plages qui prennent un maximum de place, alors que la plage est déjà réduite,
- la création de véritables trottoirs ou de pistes cyclables avenue du Littoral et route de Guiraudette, et plus
précisément là où le besoin se fait sentir,
- l’évacuation des eaux pluviales au lotissement du Lavandin programmée depuis 1996,
- la mise en place d’un plan de circulation fiable au Grau et plus précisément autour de la place de la République où il
devient de plus en plus difficile de circuler,
- l’arrêt de l’occupation anarchique du domaine public, notamment boulevard du Front de mer, où les terrasses des
commerçants empêchent la circulation
- la suppression des odeurs provenant de la station d’épuration
- les problèmes de bruit et d’insécurité, et l’action inefficace tant de la police municipale que Nationale pour les
faire cesser,
- la propreté des rues et des trottoirs encombrés de crottes de chiens.
Ceci dit, je dois faire observer que toutes ces questions et quelques autres, notamment les pontons et la darse de
l’eglise sont toujours d’actualité et font partie, entre autres, du cahier de doléances qu’AGATHE n’a cessé de présenter aux
municipalités successives depuis de longues années. Elles sont la démonstration que ce que nous avons demandé depuis
longtemps représentait, de manière réelle, le souci des résidents de ce secteur. Une démonstration qui a pu se vérifier,
d’ailleurs, dans toutes les réunions déjà tenues dans la ville pour la mise en place de ces comités.
9
Dès lors, la question peut se poser de la différence qu’il y aurait entre AGATHE structurée sur la ville en sept
secteurs dans lesquels oeuvrent des bénévoles dont le seul souci est de faire remonter aux élus les problèmes rencontrés au
sein de leur secteur, et les Comités de quartier au nombre de sept également, forts chacun de quinze membres dont la
détermination devrait être la même.
La seule différence pourrait résider dans le fait que l’une
- AGATHE -oeuvre depuis plus de vingt ans pour la qualité de la vie dans Agde, sans être toujours reconnue par les Pouvoirs
Publics locaux, sinon comme un contre Pouvoir gênant, alors que l’autre - le Comité de quartier - serait mis en place par la
Municipalité et les 15 membres le composant désignés par le Maire en fonction de critères que lui seul connaît. Il est à
craindre à ce moment là que le choix soit déterminé dans l’espoir d’une collaboration plus compréhensive ?
AGATHE aura toujours l’avantage sur ces Comités d’être une association entièrement indépendante, ce qui ne veut
pas dire être une forme d’opposition politique, d’être aussi une structure parfaitement installée dans son local de la rue de la
poissonnerie à Agde, avec son matériel informatique et photocopieur, avec ses bénévoles entièrement disponibles, ce qui
permet des interventions à tout instant, dès que cela s’avère nécessaire.
Cependant, malgré ces craintes, nous ne sommes pas opposés aux Comités de quartier, nous y sommes même
favorables et prêts à y participer honnêtement si certains d’entre nous sont choisis par la municipalité.
Nous sommes persuadés à ce moment là qu’AGATHE en concours avec ces Comités pourra arriver plus rapidement, à
faire aboutir ses justes revendications
Le Président d’Honneur Roger SUAU
AGDE VILLE .
I - Quel est le bilan pour le centre ville, ?
Il faut reconnaître que les résultats sont insuffisants eu égard aux différents sujets en cours, un bon nombre de
sujets évoqués lors de l’assemblée générale de 2002 restent d’actualités, alors que d’autres, aussi importants,
surgissent en ce moment
Un seul dossier que nous avions considéré la saison dernière comme positif est celui de la piscine Tournesol
suite aux différents accords que nous avons eu à l’époque avec M. TOBENA conseiller Municipal, Adjoint chargé des
sports. Nous avions convenu de rallonger l’ouverture d’un mois , nous avions alors considéré cela comme satisfaisant.
Malheureusement pour les usagers et particulièrement pour les personnes âgées, ces promesses n’ont pas été tenues.
Bien au contraire, malgré un affichage annonçant la fermeture pour la fin Août, nous avons eu la désagréable surprise
d’être informé de sa fermeture pour le 12 Juillet, 2 jour avant par une autre affiche.. Les promesses n’engagent que
ceux qui y croient.. Nous considérons que l’Elu municipal M. TOBENA, n’a pas tenu sa parole et s’est moqué de
l’ensemble des usagers. L’on a préféré ouvrir celle du Mole se trouvant en bord de plage, qui devait être fermée pour
des raisons budgétaires.
Nous persistons à penser et sommes bien conscients que tout ne peut pas être réalisé tout de suite, mais
l’amélioration du centre ville peut découler d’une politique d’aménagement à long terme, mûrement réfléchie et
discutés basée sur des plans PLURIANUELS, qui pourraient permettre de comprendre et surtout d’accepter les
différentes étapes ( voiries, éclairage, circulation, etc….)Au lieu de cela, les rares crédits sont investis au coup par
coup, sans aucun effet d’ensemble sur le cœur de la Ville . On semble attendre la politique inventée ailleurs et traduite
sur notre ville par des subventions départementale comme c’est le cas pour les pistes cyclables et le programme de
l’amélioration de l’habitat.
II - Ce que nous continuons, inlassablement, à réclamer
1.
L ‘aménagement de parkings, promis durant la Campagne électorale
2.
La planification des Investissements également promis par secteur de la ville
3.
Un Schéma urbain pour la circulation et les transports de liaison entre les quatre grands quartiers de la ville.
4.
La remise en état de la piscine tournesol. à peu de frais et éventuellement la construction d’une nouvelle
piscine
5.
L’équilibre entre la grande distribution et le commerce de proximité, pour sauver le centre ville.
6.
La création d’un Musée archéologique dans le centre Historique, également promis par nos élus.
Malheureusement, nous ne voyons, aujourd’hui, aucun signe concret pouvant permettre de croire à sa réalisation, bien
au contraire ! Ne serait-il pas souhaitable que l’on puisse présenter au public les trésors, en attente, résultants des
10
fouilles locales !
7.
La mise en place d’une véritable politique de la Culture basée en priorité sur l’Authenticité de
notre Cité sans pour autant refuser toute modernité Le respect de notre patrimoine classé ou non.
Respect de tout ce qui contient l’empreinte du passé, et, si nécessaire, engager ou soutenir les
démarches en vue de l’inscription de nouveaux sites à classer, par exemple les berges de l’Hérault, le
bois de la Tamarissière
8.
De terminer d’aménager le quartier des Halles en prenant en compte la réhabilitation de l’église St. SEVER.
9.
Une volonté politique d’organiser une protection efficace des administrés, contre les agressions et les
incivilités
10.
L’aménagement du square PICHEIRE, sans pour autant couper les arbres qui existent
11.
Pour ce qui concerne les autorisations d’occuper le domaine public, une information matérialisée par
marquage au sol.
12.
Une surveillance de nuit pour le parking de notre Dame. La nuit, seules les voitures d’une certaines catégorie
d’habitants ne subissent pas d’agression ? pourquoi ?
13.
Que des consignes sans ambiguïté soient données aux autorités et responsables pour qu’enfin notre cité ne soit
plus une cité de non droit ou chacun fait ce qu’il veut, (les exemples ne manquent pas, constructions illicites, absence
d’arrêtés municipaux non respect de ceux qui existent…)
Association agréée pour l’Urbanisme et l’Environnement. Elle défend aussi notre Patrimoine communal et notre qualité de la Vie (Bruit, Sécurité,
Hygiène et Propreté, Circulation Stationnement) les problèmes des Impôts locaux. L’Association peut, en outre, apporter une aide à ses adhérents sous
forme de conseils ou d’assistance.
Adresse postale : B.P.909 – Le Grau – 34 304 AGDE Cedex -Permanences tous les samedis matin de 10 h30 à 12 heures à son siège social 2 rue de la
Poissonnerie, centre historique de la cité à AGDE ville
III- Ce que nous ne pouvons accepter
1.
D’oublier que notre association est agréée pour l’urbanisme et pour l’environnement , que M. le Maire
devrait nous faire participer en amont à l’étude de tous dossiers touchant les points cités ci-dessus L’élaboration du
ZPPAUP (zone de protection du patrimoine architectural et urbain et paysagers) s’est faite en partie sans nous. Ces
derniers jours M. le Maire à notre demande a enfin accepté de nous remettre ce dossier avant l’enquête publique. Nous
considérons que c’est une avancée importante et positive, nous ne pouvons qu’être pleinement satisfait . Les
prochaines modifications du PLU (plan local d’urbanisme), et l’élaboration du SCOT (schéma de cohérence
Territoriale) devraient être abordés par le Maire dans le même esprit ! . Nous y comptons .
2.
Les mesures qui paraissent inspirées par le clientélisme, par exemple l’ouverture de la piscine du Mole en lieu
et place de la piscine Tournesol.
3.
L’absence de concertation pour des problèmes importants.
4.
La privatisation accentuée des Quais à Agde
5.
Les grandes décisions touchant à la ville que nous apprenons par la presse
6.
Que l’on privilégie en priorité la construction de centres commerciaux, sans prendre en compte les
aménagements de voirie pour les habitants, aux dépends de la sécurité des piétons (par exemple l’aménagement sans
trottoirs et pistes cyclables permettant la liaison de l’ Hérault en passant par le boulevard des Lucioles ,hyper u , les
Cayrets et terminant par la route de rochelongue ) ?
7.
Que ceux qui respectent la Loi soient pénalisés. Doit-on leur dire : « FAITES COMME LES
AUTRES ! ! ! »
IV La Sécurité, l’Incivilité
Nous sommes témoins tous les jours du profond désarroi des Agathois par le nombre de plaintes que nous
recevons de la part d’un certain nombre de personnes , adhérentes ou non
Nous l’avons aussi constaté lors de la réunion publique organisée par le Maire le 11 juin 2003
pour la mise en place du comité de quartier du centre-ville.
Notre Association est en train de prendre en compte cette réalité de toute urgence. Il serait
souhaitable de ne plus donner l’impression que seuls les petits délinquants ont tous les droits……
Les simples citoyens, ceux qui travaillent, qui ont acheté une habitation, souvent au prix de
sacrifices et qui participent également par leur présence à la réhabilitation du centre-ville, n’aurait il
que le droit de subir en silence. .nous paraît souhaitable et opportun, aujourd’hui, de tout mettre en
œuvre pour inverser cette tendance.
11
Il est nécessaire que les responsables au plus haut niveau sachent ce qui se passe à AGDE ,
c’est ce à quoi nous allons nous atteler
C’est pourquoi nous envisageons diverses actions dont une table ronde qui nous permettrait de
faire connaître notre point de vue et de débattre de ce sujet pour mettre enfin en place .un plan
d’action pour modifier cette conjoncture.
Souhaitons enfin que les Elus comprennent et acceptent un jour que le but que nous voulons c’est
contribuer à la vie de la cité sans faire de politique tout en refusant que l’on nous considère d’une
manière démagogique comme des opposants
Jacques TREILLE
MALFATO-ROCHELONGUE
I - Nous avons abordé l’année 2003 en ayant devant nous d’importants chantiers pour lesquels nous n’avons d’autre ambition
que d’aider à les faire aboutir en donnant aux revendications de nos adhérents tout ce qu’elles ont de parfaitement légitime .
a)
Chemin des Dunes la promesse de M. le Maire faite à notre association lors d’une réunion au mois de mars 2002,
devient une réalité. Le nouveau tracé du chemin des dunes est réalisé avec une emprise de 12metres, une chaussée de 6 ml à
double sens, une piste cyclable, des trottoirs et des espaces verts. Une conduite d’eau sera posée le long du chemin (1200
mètres). Les négociations sont en cours, notamment avec M. Poujol « camping des sables d’or » pour la cession des terrains .
Les premier travaux débuteront au cour du troisième trimestre pour se terminer en 2004.
b)
Route de rochelongue . Nous sommes intervenus auprès de M. le Maire pour attirer, à nouveau, son attention sur les
dangers que comporte la circulation sur la route de rochelongue. Depuis l’ouverture du nouvel Hyper U, la circulation ne cesse
d’évoluer en s’intensifiant. Le tronçon allant du pont de la voie rapide au Ranch constitue un véritable point noir. La chaussée
est très étroite non matérialisée, avec trois virage successif, à distance assez rapprochée et à visibilité réduite. De plus les
accotements sont insuffisants et bosselés du fait d’affleurement de basalte, ce qui met les cyclistes et motocyclistes en
danger et rend le déplacement des piétons problématique et hasardeux.
Monsieur le Maire a été reçu au conseil général le 16 juillet, pour obtenir , rapidement, le déclassement de cette voie, afin
que la commune puisse commencer les travaux d’élargissement .
c)
Chemin du père Morel . Le chemin du père Morel, à l’extrémité de la route de rochelongue, est une voie
poussiéreuse et mal aisée qui, par temps de pluie ou gros orage, se transforme en petit lac rendant impossible tout
déplacement à pied. Les services techniques n’arrivent pas à palier ces inconvénients ! .Nous avons demandé le raccordement
du chemin au réseau pluvial, ainsi que la réalisation d’une voie bi-couche pour que l’accès à ce quartier de plus en plus
urbanisé, bénéficie d’une voirie acceptable.
d)
Chemin de terre et sable. Depuis Noël 2002, les 22 propriétaires riverains du chemin apprécient pleinement le
raccordement de leur parcelle au réseau électrique avec un élargissement de la chaussée à 8 mètres. Ces derniers qui ont
financés entièrement le projet ont organisé sur le terrain le pot de l’amitié en présence des élus M. Frey, M. Druille, et M.
Bentajou. Il s’est déroulé dans une atmosphère joyeuse et très conviviale témoignage de sympathie et de reconnaissance
envers l’équipe qui a lancé le projet et à M. J.P Ivars qui a piloté l’opération avec ténacité, courage et dévouement.
e)
Chemin des Camarines . A l’issu de la réunion du 23 Juillet 2002, M. le Maire a adressé aux propriétaire riverain le
6 septembre 2002 une évaluation approximative du coût de la participation à la voie nouvelle et aux réseaux à partir des
coût globaux de l’opération « clôture, éclairage public acquisition foncière, voirie, adduction d’eau (diam 300) » le coût global
de 252 000 € est à diviser par la superficie de l’opération « 62000 M2 » ce qui donne une participation au M2 de 4€….
Il est rappelé que les acquisition foncière nécessaire à la voie seront effectuées sur la base du prix évalué par les domaine
« actuellement 23€ au M2. Les propriétaires doivent se prononcer sur le principe de leur participation financière qui
nécessite une unanimité des riverains, en sa faveur pour pouvoir aboutir.
A cet effet la commune organisera une réunion d’information au cour du dernier trimestre.
Les indiscutables avancées ne doivent pas occulter la plus essentielle qui reste à venir : C’est l’aménagement des 140 Ha de
notre zone
André REY
Une mention particulière doit être délivré à l’égard de l’association AGATHE qui a mis tout le potentiel de son
organisation au service du démarrage de cette opération
12
Où en est-on pour MALFATO et GRAND QUIST
En début de cette année, M. le Maire se prononçant sur la mise en place des lotissements des CAYRETS et de la
PRUNETTE estimait qu'AGDE_ se trouvait, maintenant, suffisamment dotée en terrains à bâtir.
Notre réaction fût de lui demander, par lettre, si l'urbanisation des secteurs de MALFATO et du GRAND QUIST restait
d'actualité dans ses projets.
Nous n'eûmes qu'une réponse verbale, toute de principe, sur une mise à l'étude de ce qui pourrait se faire.
Pour l'instant, rien n'est venu nous apporter une satisfaction.
Tout ceci, nous fait revenir sur les craintes que nous avions déjà émises sur ce que seraient les directives de la
Communauté d'agglomération, une fois, qu'au 31 décembre prochain, elle se serait dotée d'un schéma de cohérence territoriale, un
S.C.O.T., lequel prendrait en compte, en particulier, à travers d'autres impératifs, la cohérence de l'urbanisation sur tout le
territoire de la communauté.
Il ne faut pas oublier que l'accroissement de la population près de nos rivages amène les autorités nationales à réfléchir
sur ce que serait un report de cette population sur un arrière pays pour lequel on ferait un aménagement particulier.
Récemment, on pouvait lire dans la presse régionale qu'une commission parlementaire se penchait sur le devenir de
l'arrière rivage immédiat afin de trouver des solutions autres que la stricte constructions d'habitations.
En d'autres termes, une application plus sévère de la loi littorale pourrait être mise en oeuvre.
A notre avis, il serait temps que la municipalité se pe nche,, avec vigueur, sur ce qu'il conviendrait de faire pour respecter
toutes les promesses antérieures afin de créer, le plus rapidement possible, un point de non retour qui faciliterait toute négociation
ultérieure, s'il en était besoin.
Nous redisons, aussi, qu'il serait très efficace que les intéressés se constituent en assemblée, informelle pour le début, afin
de mieux peser sur les décisions à prendre, toujours avec le concours de notre association, pour laquelle l'aménagement de ces
secteurs se double d'un sérieux problème d'environnement au regard de toute insécurité et de toute pollution.
Auguste MONSIRMEN
Notre Bulletin d’Information du troisième trimestre est traditionnellement réservé à la
publication des rapports présentés à la tribune de notre Assemblée Générale.
Cependant, nous avons aussi le souci de vous tenir informés des derniers développements
propres à chaque dossier et nous avons fait le point, le cas échéant, sur les nouveaux
sujets.
Dans ce but, nous avons actualisé les rapports et ajouté de nouveaux commentaires.
POUR COMPRENDRE LA TECHNIQUE D’ELABORATION DES IMPOTS LOCAUX (3)
Par opposition aux impôts d’Etat, dont L’I.R.P.P (1) fait partie intégrante, rappelons que les impôts
locaux appelés aussi les quatre vieilles, sont :
- la taxe foncière sur les propriétés bâties (sur les immeubles) due par les propriétaires
- la taxe foncière sur les propriétés non bâties (sur les terrains) due par les propriétaires
- la taxe d’habitation, due par l’occupant du logement
- la taxe professionnelle due par les commerçants
Dans toute la France, dès le début de l’année, les Services fiscaux adressent aux Maires un ensemble
d’informations destinées à leur permettre, avec leur Conseil Municipal, d’établir le budget de la
commune. Les Maires sont souvent impatients et curieux, à juste titre, de prendre connaissance de
ces éléments car ils contiennent, en particulier, l’indication de l’augmentation que l’Etat va appliquer
aux « bases » (2) de l’imposition.
13
La connaissance de ce chiffre est précieuse. C’est elle qui va déterminer la marge de manœuvre
locale et les votes des Conseils Municipaux en fonction de la politique fiscale arrêtée dans la commune.
En effet, la part communale dans la colonne correspondante, sera le résultat de la multiplication de la
base par le taux proposé par le Maire et voté par son Conseil Municipal.
Puisqu’il y a multiplication, plusieurs cas de figure peuvent être considérés.
Premier cas : l’état n’augmente pas la valeur locative (ou la base)
Dés lors, les Maires qui ne veulent pas augmenter les impôts de leur commune demanderont à leur Conseil de
reconduire le taux de l’année précédente. C’est certain, la part communale n’augmentera pas.
Deuxième cas : l’état augmente la valeur locative (ou la base)
Il informe les Maires du pourcentage de cette augmentation. A partir de cet instant, c’est aux Maires et à leur Conseil Municipal
qu’appartiennent, en fin de compte, la décision et la responsabilité de l’augmentation, ou non, de l’impôt. Les Maires savent parfaitement que
• s’ils veulent obtenir une augmentation importante de la part communale des impôts locaux, ils doivent proposer une augmentation du taux
communal. Celle-ci s’ajoutera au taux de l’Etat.
• s’ils ne veulent pas la moindre augmentation, ils doivent annuler les effets de l’augmentation de l’ETAT en diminuant, à due concurrence, le
taux communal, ce qui est, bien en tendu, tout à fait possible. Etant fait observer que la reconduction du taux communal d’une année sur l’autre
(augmentation de 0 % de ce taux) aura, quand même, pour conséquence, une répercussion à la hausse sur les impôts
Que se passe-t-il à AGDE ? La réponse vous sera proposée prochainement, lorsque nous aurons reçu la feuille d’impôt
afférente à la Taxe d’Habitation.
(1) L’I.R.P.P. est l’impôt sur le Revenu des Personnes Physiques, appelé en raccourci : « Impôt sur le Revenu »
(2) Ces bases viennent de la « valeur locative » qui figure sur votre feuille d’impôt de Taxe d’Habitation.. Elles
permettent le calcul de votre imposition dans chacune des colonnes
(3) Vous avez aussi de nombreuses informations au verso de vos feuilles d’impôts locaux
CONCERNANT LE BRUIT.
Pendant la saison écoulée, à deux reprises, nous avons été appelés à nous rendre sur le terrain avec les représentants de la
commune pour assister aux mesures du bruit. Mis en possession des rapports établis, nous attendons la possibilité de faire part de
nos observations aux autorités municipales avant de les livrer à nos lecteurs. Sachez simplement que les règles ne sont pas toujours
respectées. Nous en reparlerons.
CONCERNANT L’ ANCIENNE CARRIERE du PETIT PIOCH.
Après avoir constaté les émanations inquiétantes de fumées et les incendies répétés, nous avions obtenu que les Services
départementaux de la Préfecture demandent à la Commune de faire établir un rapport sur la nature des produits gazeux
incommodant les habitants. Depuis le mois de janvier, nous avons vainement réclamé ces documents. Nous regrettons,
amèrement, d’avoir été contraints de faire appel à l’ intervention de la CADA (Commission d’Accès aux Documents
Administratifs ) pour arriver à nos fins.
Sous cette pression, ce rapport vient de nous être remis. Nous vous communiquerons, prochainement, les faits
constatés.
CONCERNANT La FOIRE AUX ASSOCIATIONS et Les ODEURS de la STATION
D’EPURATION.
Cette manifestation fournit l’occasion de mieux faire connaître l’existence, le rôle et
l’activité du milieu associatif agathois. Cette année, nous avons pu mesurer, en
partie, l’audience d’AGATHE. Nous avions, en effet, proposé aux visiteurs six
pétitions exprimant diverses doléances. L’une d’entre elles, portant sur les odeurs
de l’usine de dépollution des eaux usées, a réuni sur place, plus d’une centaine de
signatures. Encore ouverte pour quelques jours, cette pétition fait apparaître, à ce
jour, plus de quatre cents paraphes. Cette action nous permettra de réclamer une
réponse de la part des Services que nous avions alertés au mois de juin et auxquels
nous avions posé quelques questions.
Aux témoignages d’intérêt que nous avons recueillis tout au long de cette journée, il
faut ajouter l’augmentation très sensible du nombre de nos adhérents. En outre, l’engagement de nouveaux militants se
féminise. Toutes ces constatations attestent de l’excellence de la santé de notre Association et sont le gage d’une saine
pression en faveur de solutions attendues aux difficultés rencontrées.
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CONCERNANT Le CONTENTIEUX du P.P.R.I.
(Plan de Prévention des Risques lié aux inondations)
Nous avons récemment rencontré Maître GRANDJEAN, l’avocat des causes défendues par notre Association et par nos
adhérents.
Ainsi avons-nous pu faire le point.
L’avocat a mis plusieurs fers au feu. Il a d’abord engagé une première instance devant le Tribunal Administratif de
MONTPELLIER.Contrairement à ce qui s’est passé pour la Commune, le Tribunal ne s’est toujours pas prononcé sur notre
plainte. Cependant, afin de préserver un maximum d’opportunités, Me GRANDJEAN a associé notre Association à l’appel
interjeté par la Commune devant la Cour Administrative d’Appel de MARSEILLE. Il vient également de saisir le Tribunal
Administratif en présentant nos griefs sous une autre forme.
Malgré la longueur des procédures, longueur prévue, non seulement nous suivons très attentivement le dossier, mais nous le
faisons vivre à chaque occasion. Nous invitons ceux qui en douteraient à prendre contact avec l’un de nos responsables. Nous
mettrons à leur disposition toutes les pièces de ce volumineux contentieux.
CONCERNANT le NOUVEAU DOSSIER du CAP
Il s’agit du manège aux sensations fortes dénommé « l ‘ADRENALINE » Il porte bien son
nom. Demandez aux riverains et à tous ceux qui n’apprécient pas ce monument que certains
voudraient comparer à une nouvelle tour Eiffel !
En dehors de l’esthétique très contestable, en contradiction, semble-t-il, avec la conception de
l’amélioration du standing de la Station, en dehors des préoccupations des riverains – ne sontelles pas légitimes ? - afférentes au bruit, aux lumières intenses projetées dans les marinas et au
risque de voir se dévaluer leurs biens immobiliers, il s’avère qu’ à notre connaissance, et
contrairement aux affirmations de M. VIVIER de l’Association « Notre Cap », aucune
autorisation n’a été délivrée, les règles de droit ont donc vraisemblablement été bafouées, tant
en ce qui concerne le Plan d’Occupation des Sols que le Code de l’Urbanisme. C’est donc en
direction de l’aspect juridique que va notre étude avec le concours de notre avocat. Notre
intention est de mettre un terme, chaque fois que nous le pourrons, à toutes les dérives.
La liste de nos actions est déjà longue. Maître GRANDJEAN vient de nous communiquer,
pour avis, deux correspondances à destination respectivement du Maire et du Préfet sur le
point de leur être adressées.
L’ACTIVITE du BUREAU, en BREF, ce TRIMESTRE.
Bien que la période estivale ne soit pas favorable aux contacts, ce trimestre,
- nous avons rencontré pour vous :
→ M. le Maire à deux reprises les 19 août et 03 septembre afin d’examiner les conséquences de la construction sans
autorisation du manège l’Adrénaline.
→ M. VIVIER l’animateur des Commissions du S.A.G.E. (Schéma d’Aménagement et de Gestion des Eaux du fleuve
Hérault ) le 12 août.
→ M. W. STAVIARSKY, journaliste à MIDI LIBRE, à deux reprises, pour nos communications avec le Public, comme
nous l’avions fait le jour de notre Assemblée Générale, avec le nouveau journaliste de l’AGATHOIS.
- nous avons assisté pour vous : à toutes les réunions organisées par M. le Maire destinée à mettre en place les Comités de
Quartiers
- enfin, nous avons écrit pour vous, au sujet de notre cher patrimoine, à M. le Sous Préfet et à M. le Directeur des Voies
Navigables de France en leur communicant nos d’observations relevées sur les dégradations des berges du Canal du Midi.
Il convient de souligner la rapidité avec laquelle ces deux autorités nous ont répondu. Nous leur avons adressé, aussitôt, nos
remerciements.
DIVERS
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1. La numérotation de nos bulletins et lettes d’information pourrait vous désorienter. Aussi nous vous
devons l’explication suivante. Pour faire une place à part à la publication de nos travaux présentés en
Assemblée Générale, nous réservons une numérotation particulière aux « Bulletins d’Information », différente
de la série dans laquelle s’intègrent toutes les autres lettres trimestrielles.
2. Les Adhérents ayant posé une questions écrites lors de l’assemblée générale du mois d’Août,
recevront d’ici peu par courrier individuel la réponse qui nous a été faite par M. le Maire .
3. Faites nous parvenir votre adresse Internet Courriels, si vous le souhaitez, merci
4. Administration Générale
Un nombre important de correspondances nous revient. C’est sans doute parce que vous ne
faites pas connaître assez rapidement vos changement d’adresses ou éventuellement les
erreurs . Aussi, nous vous saurions gré de bien vouloir tirer plus vite que votre ombre et de
nous signaler dés que possible toutes modifications à prendre en compte
Merci à vous
BUREAU d’AGATHE 2003/2004
( Bureau 2003 – 2004 reconduit à l’unanimité par le Conseil d’Administration du 21 août 2003 )
Nom
SUAU
RAVAILLE
VELTZ
MINANA
ABBAL
TREILLE
CELLIER
SABATIER
DUVAL
ARNAUNE
BERARD
CASIMIRO
GARCIA
Prénom
Roger
Jean
Maurice
Henri
Jean Pierre
Jacques
Maurice
Jean Claude
Philippe
Marc
Maurice
Guy
Régis
Fonction
Président d’Honneur
Président Actif
Vice Président
Vice Président
Vice Président
Secrétaire Général
Secrétaire Adjoint
Trésorier
Trésorier Adjoint
Membre
Membre
Membre
Membre
N° de téléphone
04 67 94 76 54
04 67 94 94 88
04.67.26.23.09
04 67 21 00 99
04 67.94.44.42
04 67 94 36 72
04 67.94.92.09
04 67 94 05 69
04 67 21 95 88
04 67 94 44 94
04.67.94.30.15
04 67 94 37 47
04 67 62 05 17
AGATHE - Bulletin d'information - ISSN 1636 - 6190 . Directeur de la publication Jean RAVAILLE. Rédaction Membres du Bureau
.Association au Titre de la loi 1901
- Déclarée parution au Journal Officiel N° 23 du 27 01 1975
- Agréée par Arrêté Préfectoral N° 97 - 1 - 023 pour l'Urbanisme et l'Environnement selon le Code rural et le Code de l'urbanisme
Imprimerie Agathoise Mothes 26 rue jean jacques Rousseau AGDE
AGATHE, BP 909 – Le Grau – 34304 AGDE Cedex
Siège Social : 2 Rue de la Poissonnerie, Centre Historique AGDE – Permanences tous les samedis matin de 10h30 à
12h