Karaoké liké - Ville de Colomiers

Transcription

Karaoké liké - Ville de Colomiers
K araok é
l i ké
LA CORRIDA
FRANCIS CABREL
Depuis le temps que je patiente
Dans cette chambre noire
J’entends qu’on s’amuse et qu’on
chante
Au bout du couloir ;
Quelqu’un a touché le verrou
Et j’ai plongé vers le grand jour
J’ai vu les fanfares, les barrières
Et les gens autour
Dans les premiers moments j’ai cru
Qu’il fallait seulement se défendre
Mais cette place est sans issue
Je commence à comprendre
Ils ont refermé derrière moi
Ils ont eu peur que je recule
Je vais bien finir par l’avoir
Cette danseuse ridicule...
Est-ce que ce monde est sérieux ?
Est-ce que ce monde est sérieux ?
Andalousie je me souviens
Les prairies bordées de cactus
Je ne vais pas trembler devant
Ce pantin, ce minus !
Je vais l’attraper, lui et son chapeau
Les faire tourner comme un soleil
Ce soir la femme du torero
Dormira sur ses deux oreilles
Est-ce que ce monde est sérieux
Est-ce que ce monde est sérieux ?
J’en ai poursuivi des fantômes
Presque touché leurs ballerines
Ils ont frappé fort dans mon cou
Pour que je m’incline
Ils sortent d’où ces acrobates
Avec leurs costumes de papier ?
J’ai jamais appris à me battre
Contre des poupées
Sentir le sable sous ma tête
C’est fou comme ça peut faire du
bien
J’ai prié pour que tout s’arrête
Andalousie je me souviens
Je les entends rire comme je râle
Je les vois danser comme je succombe
Je pensais pas qu’on puisse
autant
S’amuser autour d’une tombe
Est-ce que ce monde est sérieux ?
Est-ce que ce monde est sérieux ?
Si, si hombre, hombre
Baila, baila
Hay que bailar de nuevo
Y mataremos otros
Otras vidas, otros toros
Y mataremos otros
Venga, venga a bailar...
Y mataremos otros
LA JAVANAISE
SERGE GAINSBOURG
J’avoue j’en ai bavé pas vous mon
amour
Avant d’avoir eu vent de vous mon
amour
Ne vous déplaise
En dansant la Javanaise
Nous nous aimions
Le temps d’une chanson
À votre avis qu’avons-nous vu de
l’amour?
De vous à moi vous m’avez eu mon
amour
Ne vous déplaise
En dansant la Javanaise
Nous nous aimions
Le temps d’une chanson
Hélas avril en vain me voue à l’amour
J’avais envie de voir en vous cet amour
Ne vous déplaise
En dansant la Javanaise
Nous nous aimions
Le temps d’une chanson
La vie ne vaut d’être vécue sans amour
Mais c’est vous qui l’avez voulu mon
amour
Ne vous déplaise
En dansant la Javanaise
Nous nous aimions
Le temps d’une chanson.
OSEZ JOSEPHINE
ALAIN BASHUNG
A l’arrière des berlines
on devine
des monarques et leurs figurines
juste une paire de demi-dieux
livrés à eux
ils font des petits
ils font des envieux
à l’arrière des dauphines
je suis le roi des scélérats
à qui sourit la vie
marcher sur l’eau
éviter les péages
jamais souffrir
juste faire hennir
les chevaux du plaisir
osez, osez Joséphine
osez, osez Joséphine
plus rien ne s’oppose à la nuit
rien ne justifie
usez vos souliers
usez l’usurier
soyez ma muse
et que ne durent que les moments doux
durent que les moments doux
et que ne durent que les moments doux
osez, osez Joséphine
osez, osez Joséphine
plus rien ne s’oppose à la nuit
rien ne justifie
LE VENT NOUS PORTERA
Noir Désir
Je n’ ai pas peur de la route
Faudra voir, faut qu’on y goûte
Des méandres au creux des reins
Et tout ira bien (là)
Le vent nous portera
Ton message à la Grande Ourse
Et la trajectoire de la course
Un instantané de velours
Même s’il ne sert à rien (va)
Le vent l’emportera
Tout disparaîtra mais
Le vent nous portera
La caresse et la mitraille
et Cette plaie qui nous tiraille
Le palais des autres jours
D’hier et demain
Génétique en bandoulière
Des chromosomes dans l’atmosphère
Des taxis pour les galaxies
Et mon tapis volant dis ?
Le vent l’emportera
Tout disparaîtra mais
Le vent nous portera
Ce parfum de nos années mortes
Ce qui peut frapper à ta porte
Infinité de destins
On en pose un et qu’est-ce qu’on en retient ?
Le vent l’emportera
Pendant que la marée monte
et Que chacun refait ses comptes
J’emmène au creux de mon ombre
Des poussières de toi
Le vent les portera
Tout disparaîtra mais
Le vent nous portera
EMMENEZ MOI
CHARLES AZNAVOUR
Vers les docks où le poids de l’ ennui
Me courbe le dos
Ils arrivent le ventre alourdi
De fruits les bâteaux
Ils viennent du bout du monde
Apportant avec eux
Des idées vagabondes
Aux reflets de ciel bleu
De mirage
Traînant un parfum poivrées
De pays inconnus
Et d’éternels étés
Où l’on vit presque nu
Sur les plages
Moi qui n’ai connu toute ma vie
Que le ciel du Nord
J’aimerais débarbouiller ce gris
En virant de bord
Emmenez-moi
Au bout de la terre
Emmenez-moi
Au pays des merveilles
II me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil.
Dans les bars à la tombée du jour
Avec les marins
Quand on parle de filles et d’amour
Un verre à la main
Je perds la notion des choses
Et soudain ma pensée
M’enlève et me dépose
Un merveilleux été
Sur la grève
Où je vois tendant les bras
L’amour qui comme un fou
Court au-devant de moi
Et je me pends au cou
De mon rêve
Rejoignent leur bord
Moi je rêve encore jusqu’au matin
Debout sur le port
Emmenez-moi
Au bout de la terre
Emmenez-moi
Au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil
Un beau jour sur un rafiot craquant
De la coque au pont
Pour partir je travaillerai dans
La soute à charbon
Prenant la route qui mène
A mes rêves d’enfants
Sur des îles lointaines
Où rien n’est important
Que de vivre
Où les filles alanguies
Vous ravissent le coeur
En tressant m’a-t-on dit
De ces colliers de fleurs
Qui enivrent
Je fuirai laissant là mon passé
Sans aucun remords
Sans bagage et le coeur libéré
En chantant très fort
Emmenez-moi
Au bout de la terre
Emmenez-moi
Au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil
Emmenez-moi
Au bout de la Terre
Emmenez-moi
Au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait moins pénible au soleil
TOUTE LA MUSIQUE
QUE J’AIME
Johnny Hallyday
Toute la musique, que j’aime
elle vient de là elle vient du
blues
les mots ne sont jamais les
mêmes
pour exprimer ce qu’est le blues
J’y mets mes joies, j’y mets mes
peines,
et tout ça ça devient le blues
je le chante autant que je l’aime
et je le chanterai toujours
Il y a longtemps sur des guitares
des mains noires lui donnaient le
jour
pour chanter les peines et les
espoirs
pour chanter Dieu et puis
l’amour
la musique vivra tant que vivra
le blues
Le blues ça veut dire que je
t’aime
et que j’ai mal à en crever
je pleure mais je chante quand
même
c’est ma prière pour te garder
Toute la musique que j’aime
elle vient de là elle vient du
blues
les mots, les mots, les mots ne
sont jamais les mêmes
pour exprimer ce qu’est le blues
J’y mets mes joies, j’y mets mes
peines,
et tout ça ça devient le blues
je le chante autant que je l’aime
et je le chanterai toujours
Il y a longtemps sur des guitares
des mains noires lui donnaient le
jour
pour chanter les peines et les
espoirs
pour chanter Dieu et puis
l’amour
la musique vivra tant que vivra
le blues
Le blues ça veut dire que je
t’aime
et que j’ai mal à en crever
je pleure mais je chante quand
même
c’est ma prière pour te garder
toute la musique que j’aime
elle vient de là elle vient du
blues
les mots ne sont jamais les
mêmes
pour exprimer ce qu’est le blues
CENDRILLON
TELEPHONE
Cendrillon pour ses vingt ans
Est la plus jolie des enfants
Son bel amant, le prince charmant
La prend sur son cheval blanc
Elle oublie le temps
Dans ce palais d’argent
Pour ne pas voir qu’un nouveau jour se lève
Elle ferme les yeux et dans ses rêves
Elle part, jolie petite histoire (x2)
Cendrillon pour ses trente ans
Est la plus triste des mamans
Son prince charmant a foutu l’camp
Avec la belle au bois dormant
Elle a vu cent chevaux blanc
Loin d’elle emmener ses enfants
Elle commence à boire
A traîner dans les bars
Emmitouflée dans son cafard
Maintenant elle fait le trottoir
Elle part, jolie petite histoire (x2)
Dix ans de cette vie ont suffit
A la changer en junkie
Et dans un sommeil infini
Cendrillon veut voit finir sa vie
Les lumières dansent
Dans l’ambulance
Mais elle tue sa dernière chance
Tout ça n’a plus d’importance
Elle part
Fin de l’histoire
Notre père qui êtes si vieux
As-tu vraiment fais de ton mieux
Car sur la terre et dans les cieux
Tes anges n’aiment pas devenir vieux
Une dizaine de titres pour une heure de
musique en live et en choeur !
A l’occasion de la fête de la musique
organisée en partenariat avec la
Fédération
Association
Columérine
(FAC), les enseignants et les élèves du
conservatoire proposent un karaoké
géant sous la houlette du département
des musiques actuelles amplifiées du
conservatoire.

Documents pareils