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Textes, musiques, voix, piano, Rhodes : Léo Chevalley ; Basse, batterie : Romain Gachet ; Son, coproduction : Massimo Bonomo, Studio Carte Postale Contact : Léo Chevalley - Ch. des Rottes 8 - CH-1615 Bossonnens [email protected] - www.leochevalley.net - +41(0)79 686 78 22 C’est un oiseau bizarre C’ n’est pas une pie Il n’est pas très bavard C’ n’est pas un paon Tout comme le Montespan C’ n’est pas un coq, un pic, un pélican Choucas, toucan Il y’a tout un bazar Autour d’ son nid Il a des p’tites manies Ce vieil hibou Est-ce donc un marabout Non, pour le coup Il s’agit du coucou Jamais il ne décolle Maudit aéroplane Tous les voisins cancanent Le coucou est nidicole « Le coucou » extrait Origine et titre La conception de ce troisième album résulte d’un besoin viscéral d’associer des mots à des sons, d’explorer de nouvelles palettes d’écriture et de composition, de raconter des histoires, d’exprimer des humeurs, de jouer des rôles, de m’amuser de situations. Ce besoin dormait au fond de moi durant une période où je me suis investi dans d’autres projets à caractère purement instrumental. Puis un jour, il m’est revenu. J’ai alors écrit et composé une première chanson : « Un beau gosse ». Puis une deuxième, une troisième, … C’est à la cinquième que le concept d’un nouvel opus a germé. En fait, j’ai composé dix-huit chansons et onze d’entre elles se répartissent sur les quatorze plages de cet album. A l’origine, il y a donc ma passion pour la chanson. Le fait de vivre, respirer, m’épanouir, évoluer au travers de l’écriture, la composition et l’interprétation. L’album s’intitule « Tout un bazar », car il s’est construit autour de différents personnages, animaux et objets correspondant à mon quotidien, mon univers, mon entourage, mon tempérament ... Il y a Kitty, Zelda, La Palice, Alice, Tournesol, Anatole, Aline, Marilyn, Ludivine, BB, Le Caire, Ushuaïa, le coucou, le pélican, Godard, Scorsese, Terrasson, Gershwin, Trenet … Dans ces chansons, je nomme les êtres, les endroits ; je décris des situations tantôt sensibles, tantôt cocasses. Dans ces chansons, j’interprète soit un rôle de narrateur, soit un rôle de composition, comme ce matou baratineur ou cette épouse volage qui joue les Emma Bovary. Mais j’ai toujours à portée de main, en coulisse, mon propre personnage que je rappelle parfois, le temps d’une phrase, d’une allusion. Sur cet album, tout est prétexte à écriture et à jeu de mots, de rimes, de sonorités, d’association d’idées, un peu comme si la forme menait au fond. C’est d’ailleurs dans cet ordre-là que la majorité des textes ont été écrits. L’album s’intitule « Tout un bazar », car il s’articule autour des différents styles musicaux que j’explore au long de mon parcours musical. Dans un contexte résolument jazzy, il y a une alternance de blues, de swing, de rythmes sud-américains, de ballades et d’ambiances cabaret, tout en préservant les formes propres à la chanson à texte. L’album s’intitule « Tout un bazar », car, dans sa formule duo, il propose différents styles d’orchestration, différentes instrumentations et de ce fait différents climats accompagnant les mélodies, les mots, les interprétations. Il y a là aussi une alternance entre les plages basse-piano, Rhodes-batterie, piano solo, basse solo, piano-batterie, basse-piano-batterie, Rhodes-bassebatterie. A deux, nous avons cherché à varier les atmosphères, les ambiances sonores et rythmiques durant toute l’élaboration du projet. Je suis matou, maton, mateur Le m’as-tu-vu baratineur Sur l’écran pâle de ta peau nue Je m’ fais des toiles par le menu J’ t’ai dans la peau Ludivine La lutine Sur le divan, je prends mes aises Tel un affranchi de Scorsese Je fais, chez Deray, des longueurs Et chez Ozon, des profondeurs « Matou, maton, mateur » extrait 2 Les artisans de cette réalisation Léo Chevalley Il est né en Suisse, à Vevey. Issu d’une famille de musiciens et d’enseignants, il évolue dès son plus jeune âge dans l’univers des sons et des mots. Il étudie le piano classique dans la classe d’Odette de Tervaux, concertiste parisienne, et développe immédiatement avec son instrument une relation fraternelle. En parallèle, il chante dans un chœur d’enfants et découvre ainsi la richesse du répertoire francophone. Très vite, il affirme son envie d’écrire et composer des chansons. Une enfance bercée de variété française, de musique classique et chorale ainsi que l’étude du piano jazz dans les classes de Richard Pizzorno à Fribourg et Thierry Lang à Montreux lui offrent un large horizon d’inspiration. En 2003, il se lance dans la réalisation d’un premier album : « Etre, renaître… ». Suivront plusieurs concerts, sa participation aux premières rencontres professionnelles de la chanson romande organisées par le Théâtre du Crochetan et, en 2008, un deuxième album : « Les passantes », réalisé à Paris. Au fil des ses pérégrinations musicales, il collabore avec plusieurs artistes d’expressions différentes dont Carlos Baumann, Elisabeth Barbey, Popol Lavanchy, Benjamin Cuche, Zedrus, Georges Bodossian, Patrick Bron, ... Alternant entre le jazz, la chanson, la musique chorale et la musique de théâtre. Romain Gachet Né le 30 novembre 1977 en Gruyère, en Suisse, il commence la guitare vers quinze ans. Il étudie durant cinq ans la guitare jazz à Fribourg, puis passe à la basse électrique et continue à se former à la Swiss Jazz School de Berne (deux ans) et à l’Ecole des Technologies Musicales de Genève (un an). En 2000, il fonde avec trois autres musiciens (Grégoire Gachet, Yvan Braillard et Fabien Charrière) le groupe de fusion Underschool Element. Durant ses dix années d’existence, le groupe produit un EP, deux albums studio, un album live acoustique et un DVD. Il se voit récompensé du titre « talent le plus prometteur de Suisse » dans le cadre des M4Music 2002 de Zurich et remporte aussi un tremplin rock à Paris en 2004. Avec ce groupe, Romain a l’opportunité de jouer plus de 200 concerts sur des scènes de Suisse romande, de Suisse allemande, de France, d’Autriche et du Brésil. Parallèlement, Romain intègre d’autres projets. Aimant le mélange des styles, il se produit avec différentes formations du rock au jazz en passant par la musique tzigane ou le hip-hop. Il accompagne à la guitare, durant deux ans, le violoniste Jean-Christophe Gawryziak dans son projet Primasch and the Tzigan Dream Collector. Il joue aussi la basse dans le groupe de jazz-hiphop du pianiste Florian Favre, Freez.b. Il intègre aussi, à la basse, le band du guitariste Steve Fragnière dans ces deux projets de textes et musique soit, Le projet Bouvier et Le projet Netton Bosson. Massimo Bonomo Originaire de Naples, il commence par travailler l’orgue pour devenir plus tard pianiste professionnel. En 1979, il tourne en Argentine avec le chanteur italien Gianni Nazzaro. Il s’installe ensuite définitivement en Suisse. En 1991, il joue avec un groupe de latin jazz, ABAKUA. Il fait ensuite la connaissance de Steve Pasche et joue dans le NO SQUARE TRIO avec qui il enregistre son premier disque. C’est à cette période qu’il crée le studio d’enregistrement « Carte Postale » à Lausanne. Parallèlement, il s’associe pour créer le label AMORI dont l’objectif est de produire des musiques du monde. En 2002, Massimo joue dans une nouvelle formation sous le nom « And the Bop Jazz trio » avec le contrebassiste Alain Dessauges et Steve Pasche (standards jazz). En 2008 et en 2009, il participe au spectacle du Chœur de l’Usine à Gaz de Nyon : « La Soupe aux lettres ». De 2009 à 2010, il participe à plusieurs concerts avec le chanteur Vincent Bigler. En 2011 il joue dans 4 et « Gil Reber » et le « 15 juillet à cinq heures », spectacle de Nicolas Harsch (BOH Company). En 2012, « Le temps des gitans », spectacle de danse et poésie (Moudon). Il collabore actuellement avec les chanteuses Jenny, France Hamel, Monica Medaina, Marie-France Lochanski et le chanteur Nilo D Janeiro, tous quatre, auteurs, compositeurs, interprètes. Actuellement, son studio d’enregistrement est basé à Savigny. 3 Le Caire, Ushuaïa En survolant Haïti Madère, l’Himalaya Quelques nuits à New Dehli Voyageant à l’envi Avec toi Je côtoie Des paradis Darwin, le Sri Lanka Février en Malaisie Tallinn, Casablanca Octobre en Polynésie « Le Caire, Ushuaïa » extrait Elle est amoureuse D’un beau gosse Une belle gueule Elles lui brossent Les bégueules Un portrait peu banal Ça rend original Elle est amoureuse D’un beau gosse Une belle gueule Elles lui brossent Les bégueules Un portrait sculptural Ça rend nue intégrale « Adieu mon p’tit mari » Qu’elle dit à son mari « J’ vais jouer mon p’tit mari Les Emma Bovary » « Un beau gosse » extrait Il a le toucher d’un Mahatma Free Bud, Free Bud Il a la dégaine d’un Elijah L’étoffe, l’esbroufe Free Bud Oh ! Holly Holly Buddy J’ suis honni, banni Bud, il est béni Il a la Be Bop au bout des doigts Free Bud, Bud, Bud … «Free Bud » extrait 4 Ecriture, composition, réalisation Influences Je me souviens de cette phrase sortie de la bouche d’un conseiller artistique lors des rencontres professionnelles de la chanson auxquelles j’ai participé en mars 2006 : « Tu as quelque chose à développer dans la chanson. Continue ! Tu devrais écouter Bourvil ! » Sur le moment, je n’ai pas capté le rapport entre Bourvil et mon univers. Mais la phrase m’a suffisamment interpellé pour que j’y repense régulièrement par la suite et qu’en fin de compte, je réécoute mes productions d’une autre oreille. Petit à petit, à partir de 2007, je me suis découvert de nouvelles influences. Par exemple : Brassens, Juliette, Lapointe, Barbara, Lemarque… et surtout Nougaro. Je continue mon exploration au fil de mes écoutes et de mes collaborations musicales. En tant que pianiste accompagnateur et interprète, j’ai la chance de faire de belles découvertes tout au long des saisons culturelles. Cette exploration m’a aidé à déceler en moi d’autres manières d’écrire et d’autres approches pour traiter de tel ou tel thème. Surtout, j’ai pris de plus en plus de plaisir à interpréter mes chansons, car la variété d’attitudes et de jeux d’écriture m’a invité à une variété d’attitudes et de jeux d’interprétation. Orchestration, instrumentation Lorsque le concept d’album est apparu, je me suis lancé deux défis : l’orchestrer moi-même et collaborer avec d’autres musiciens. Dans un premier temps, j’ai élaboré les arrangements avec mes moyens informatiques. J’ai réalisé ainsi la maquette de chaque chanson. Cette étape s’est étalée sur plus d’une année durant laquelle j’ai également travaillé l’enregistrement de la voix. S’en est suivi une synthèse qui m’a amené au choix d’une formule duo basse-piano. J’ai donc pris contact avec Romain Gachet. Il s’est intéressé au projet. Nous nous sommes rencontrés et avons joué ensemble, façon jam session. Il a découvert la musique et, de fil en aiguille, notre tandem a évolué dans une bonne entente et une belle écoute. Romain joue de la basse et de la batterie, voire des deux instruments simultanément. L’apport d’un musicien polyvalent ne pouvait que favoriser la variété d’ambiances, de couleurs, d’humeurs répondant à mes aspirations. A deux, nous avons suggéré, épuré, humanisé les orchestrations de base. Romain a beaucoup contribué au développement artistique de cet opus, car il s’est impliqué pleinement, allant même jusqu’à endosser le rôle de conseiller artistique pour les sessions voix. Lors des prises son, nous avons opté pour une formule live, à savoir en passant à travers les morceaux, en déterminant la prise correspondant à une bonne énergie et en effectuant un minimum de montage. Zelda sur tes genoux Donne dans la félicité Ça t’ fait ni chaud, ni frou Car ta Kitty t’a quitté Ouh ! Tu as le blues C’est un blues de douze La minette à matous Qui s’évertue à user Ses griffes un peu partout T’as plus l’ cœur à l’amuser Ouh ! Tu as le blues Ta Lisa s’est enlisée Zelda grimpe au rideau Avant que de se pourlécher Toi, tu as la libido Qu’est tout près de décrocher Ouh ! Tu as le blues Ton Amy est éméchée « Le Blues de Zelda » extrait 5 Formules Scéniques Duo L’interaction entre musiciens reste un élément essentiel à l’épanouissement musical. Romain et moi avons eu cette quête durant toute la préparation et tout l’enregistrement. Quelle belle source d’énergie en vue des concerts ! La formule a d’ailleurs été choisie dans ce sens-là. En studio, nous avons eu le souci de trouver un son propice à l’écoute sur support audio. Mais notre objectif est de pouvoir restituer nos différents climats en concert, avec, cette fois-ci, l’apport visuel. Dans les grandes lignes, le choix d’instrumentation est basse-piano ou batterie-Rhodes. L’alliage basse-piano favorise un jeu plus aéré laissant une belle place à la voix. L’alliage batterie-Rhodes favorise sur le clavier un registre grave qui fusionne agréablement avec la batterie. Notre intention est de proposer un spectacle rythmé d’une belle variété de styles, d’instrumentations, d’attitudes et d’atmosphères. Suite à une expérience intense vécue en studio, j’ai le projet d’intégrer l’un ou l’autre texte parlé, soit à capella, soit accompagné d’un seul instrument, ainsi qu’une ou deux plages instrumentales. Solo La formule piano-voix des débuts reste d’actualité. Je pense qu’elle s’étoffe au gré des réalisations. Le piano peut restituer une orchestration complète. Ma quête en ce moment est d’épurer au maximum afin de jouer sur les différents registres de l’instrument. Le piano se met résolument au service de la voix qui, avec le temps, a pris de l’assurance. Le piano accompagnateur cède sa place à l’improvisation au fil des chansons. Je demeure, dans l’état d’esprit, un musicien passionné de jazz. Sur l’album, j’ai formaté les morceaux afin de préserver une atmosphère chanson. Sur scène, il y a la possibilité d’ouvrir certaines plages d’impro et d’intégrer aussi quelques morceaux instrumentaux que je développe depuis une dizaine d’années dans d’autres projets. Un monde sans passé Tournerait sans histoire Sans jamais repasser Ses moments noirs Un monde sans futur Comblerait les humains De folles aventures Sans lendemain Nous aurions sans argent Une vie de fortune Et bien plus d’entregent Sans gêne aucune Dans ta rue sans catins Il n’y a pas de bordel Même que sans lupanar Tu perdrais pied « La Palice » extrait Elle eut dans son cortège Tant de magnificences Cavaliers séduisants Et lipizzans au pas Partant, même idylliques Les jeunesses s’abrègent En cette humanité Kitty n’enfanta pas A nulle autre pareille Elle eut bien cette envie Qu’en son sein ne s’éveille Un petit bout de vie « Kitty » extrait 6 « Etre, renaître… », « Les passantes » : quelques extraits de presse Une critique dans le Vevey Hebdo, février 2005 : Léo Chevalley : un talent révélé « Accompagné de son seul instrument, ce talentueux pianiste touche droit au cœur par la sincérité de ses propos, la qualité ciselée de ses textes et la beauté de ses mélodies. Pas de chichi ou de tape-à-l’œil chez ce garçon sensible et intelligent. Il livre de sa voix douce, avec une pudeur poétique, ses joies et ses peines. « L‘envie d‘écrire une chanson me vient lorsque quelque chose m‘étonne, m‘interpelle, me heurte, me fascine, m‘enthousiasme… ». Il aurait eu tort de les garder pour lui !» CG Une critique dans la Gruyère du mardi 26 septembre 2006 : Vingt heures de découvertes « Ambiance plus intime avec Léo Chevalley. Seul au piano, il fait étalage de son talent de chanteur compositeur. Sa voix fragile raconte sa vie, ses bonheurs, ses malheurs… Son duo avec Simon Savoy émeut l’assistance attentive du petit auditorium. Entre deux souvenirs ramenés du Québec, Léo Chevalley séduit par sa générosité et sa complicité avec le public. » YLB Un portrait dans le Presse Hebdo du jeudi 14 décembre 2006 « Tant sur son disque qu’en concert, Léo Chevalley nous fait cadeau d’un intense moment de bonheur hors du temps et des modes. Ses musiques et ses textes possèdent cette remarquable et singulière propriété de paraître à la fois universels et pourtant pleinement uniques. Léo Chevalley témoigne de qualités rares : celles d’un créateur d’émotions, délicat et raffiné, qui sait subtilement effleurer notre âme. » FB Un portrait dans la Gruyère du mardi 19 décembre 2006 : La solitude apprivoisée « Ayant baigné depuis tout petit dans l’univers des sons et des mots, Léo Chevalley ne pouvait qu’être prédisposé à une « carrière ». Assis à son piano, il sourit : « C’est quoi une carrière ? Je ne vois cela que rétrospectivement. Aznavour peut dire aujourd’hui qu’il a fait une carrière, lui qui chantait Je m’ voyais déjà en haut de l’affiche ! ». Doux rêveur, mais réaliste… » MPA Un portrait dans la Liberté du 14 janvier 2009 : Deuxième album parisien « Le Veveysan n’a pas pour autant perdu son âme dans cette aventure parisienne. Au final, ce qui devait être « un produit formaté » est au contraire resté « un album très personnel » : 12 titres de variété écrits et composés pour l’essentiel entre 2004 et 2007, fidèles à leur esprit originel et dans la continuité d’ « Etre, renaître ». Les textes restent ciselés et ludiques, « peut-être écrits avec un peu plus de détachement, d’ironie et d’humour ». Et les atmosphères toujours aussi intimistes, faites de ballades et d’incursions jazz ou latino, sont portées par des mélodies « encore plus épurées ». » Stéphane Sanchez Une critique dans la Gruyère du 15 janvier 2009 : Bossonnens, rive gauche… « Fidèle à son genre, la belle chanson française, Léo Chevalley livre, avec « Les passantes », un bouquet de douze mélodies ciselées, dont l’atmosphère rappelle un peu celle de la Rive gauche parisienne des années 1960-1970. » … « Les paroles sont magnifiques, embrumées de poésie à fleur de mots, de nostalgie, de délicatesse. C’est plein de couleurs pastel où transparaît parfois un peu d’ironie douce. Collant parfaitement aux textes, parfois engagés ou romantiques, la musique et les arrangements sont une réussite. Belles harmonies, airs jazzy, arpèges qui s’envolent.» MPA Une critique dans le Vevey-Hebdo du 27 mars 2009 : « Les passantes » « Une fois de plus, ce pianiste-compositeurinterprète a écrit des textes d’une grande sensibilité qu’il chante de sa voix sincère et remplie d’émotion contenue. La formule pianovoix des débuts a laissé place à un accompagnement musical plus riche, tantôt jazzy, tantôt latino ou cabaret. Un album réussi ! » CG 7 Sommaire, contact Origine et titre 2 Les artisans de cette réalisation 3 Ecriture, composition, réalisation 5 Formules scéniques 6 « Etre, renaître… », « Les passantes » : quelques extraits de presse 7 Sommaire, contact 8 Si partir C’est y rester un peu On emporte avec soi L’aventure Les grands airs mélodieux Mais partir S’en aller sans détour C’est tracer sans rature Préférer l’au-revoir A l’adieu Si partir C’est y rester un peu On garde au fond de soi La chaleur que l’on donne La fraîcheur qu’on reçoit « Partir, c’est y rester un peu » extrait Anatole Pot-de-colle J’ n’en peux plus S’il-te-plaît Lâche-moi les groles Cet air entendu Ce petit refrain convenu Ça vole au raz du sol Du rez et du sous-sol Anatole Grand guignol Dis-moi qui A part toi s’amuse De cette gaudriole Ton disque est rayé Faudrait ausculter Ta bobine R’tourne en fac De médecine « Anatole » extrait Le miroir ébloui Qui te devine jour après nuit Le peignoir où tu gis Alanguie Le chant du cygne chanteur Qui prend son envol Les élans, les humeurs Dont tu raffoles « L’instant » extrait Contact Léo Chevalley Ch. des Rottes 8 CH-1615 Bossonnens +41 (0)79 686 78 22 [email protected] www.leochevalley.net 8