PDF Press Kit - Transistor Girl
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Transistor Girl Après un premier EP publié début 2014, l’histoire se poursuit pour Transistor Girl. Pas de page qui se tourne, non. Plutôt un chapitre inédit qui s’ouvre pour le groupe genevois avec quatre titres aux mélodies magnétiques. L’ambiance se précise, les musiciens s’affirment, la fragilité et l’émotion se portent toujours en bandoulière. Comme une revendication, une obsession assumée qui s’exprime haut, fort mais toujours avec douceur. Intimiste et instinctive, la pop alternative de Transistor Girl souligne les contours de son univers. Glorious s’y inscrit comme une nouvelle étoile. Glorious le 2ème EP de Transistor Girl Quelques mois sont passés depuis Treading on Flames. Toujours tournée vers l’essentiel, la pop alternative de Transistor Girl gagne en densité et en intensité. La voix est toujours troublante, le son est plus ample, sa texture plus veloutée. Et pourtant, ils ne sont que trois. Une guitare, une basse et une batterie… Un minimalisme choisi et assumé pour cet EP entièrement acoustique. Pour enregistrer Glorious, Christopher Drew et Christophe Bugnon, les fondateurs du groupe, se sont à nouveau entourés du producteur Renaud Millet-Lacombe. Mais également, pour la première fois, du batteur Alberto Malo, connu pour ses collaborations avec Sophie Hunger, Jacques Higelin, Anna Aaron ou Tricky. Il pose sur Glorious une signature sonique et rythmique particulière qui fait vibrer les quatre nouveaux titres de Transistor Girl. Sur le dernier titre, Black Rose, Transistor Girl a aussi invité le grand trompettiste italien Mauro Maur dont le timbre puissant a accompagné les compositions d’Ennio Morricone pendant presque vingt ans. Une subtile touche de western moderne qui clôt ce nouvel opus aux sonorités envoûtantes. www.transistorgirl.com/press.html www.facebook.com/transistorgirl Promo (suisse romande) Edgar Cabrita [email protected] Promo (suisse allémanique) Lautstark Music GmbH frank lenggenhager [email protected] Booking [email protected] sortie : 14 novembre 2014 BIOGRAPHIES Chris drew - auteur-compositeur, guitare, chant Christophe Bugnon - compositeur, arrangeur, basse Chris joue de la guitare depuis l’âge de 15 ans. C’est au Christophe Bugnon pratique la basse depuis plus de 20 lycée qu’il rencontre Toby May qui deviendra son prin- ans. Son goût prononcé pour la scène le conduit très rapi- cipal associé au travers de différents projets. Notamment dement à travailler avec de nombreuses formations mu- durant sa période d’études au Berklee College of Music, à sicales, lui permettant d’acquérir une solide expérience Boston aux USA, avec le Sara Wheeler Band. scénique, tant en Suisse qu’à l’étranger. Il participe à la création de trois groupes avec lesquels il compose et en- En 2004, Chris et Toby fondent le duo Catcha. En paral- registre plusieurs albums. Il est également engagé en tant lèle, Chris est le guitariste du groupe Aloan où il fait la que musicien de studio sur l’enregistrement de plusieurs rencontre de Christophe Bugnon. En 2010, après deux al- disques, dont certains ont été largement diffusés sur les bums et de nombreux périples, Catcha est dissout. ondes suisses et étrangères. De 2001 à 2011, Christophe Bugnon est le bassiste attitré du groupe genevois Aloan, artistes avec lesquels il a joué : sur scène et en studio. Il participe à l’enregistrement des Blair Cunningham, John McKenzie, Mathias Kuenzli, Sara albums « We Play », « Better in Springtime » et « Pretty Wheeler… Freaks ». scènes : artistes avec lesquels il a joué : Paléo Festival (CH), Eurockéennes de Belfort (F), Rock Aloan, Métro, Laurence Revey, PapaFred (fondateur), Garden (UK), Réservoir (F), Paradise Club (USA)… Dusty (fondateur), Cachemir (fondateur), Catcha, Fullsteps, Time machine, Jaïlyna... artistes avec lesquels il a enregistré : Aloan, Jaïlyna, Catcha, Edin Said (EMI Espagne), Metro, Dusty, PapaFred, Fullsteps, Projet Little dream fondation (Phil Collins) sessions au studio Dynemec... scènes : Paléo festival (Chapiteau), Eurockéennes de Belfort, Printemps de Bourges, Palais des Sports de Paris, Zénith de Paris, Zénith de Strasbourg, Montreux Jazz Festival, Cully Jazz Festival, Caribana, Gurten festival, Festival Label suisse, Festival de la Cité, M4music, Heitere Open air, Festineuch, Halle Tony Garnier (Lyon), Arena (passage sur TV nationale pour Mister suisse avec DJ bobo et Stéphane Eicher), Forest National (Bruxelles), Festival Eurosonic (Hollande)... PRESSE Radio (rotation) Interview Radio Interview Press Virus - Zürich Kanal K - Aarau Radio Chico - Goldbach Radio Inside - Zofingen Radio Lora - Zürich Radio Radius - Zürich RTS - La Première (Playlist) Radio Paradiso -RTS La première Option musique Radio Chablais Fréquence banane - Lausanne SRF - Virus - Zürich Radio Mont-Blanc Musical Messe Profil Illustré Edelweiss Interview TV Culture Mix LA VÉRITABLE HISTOIRE DE TRANSISTOR GIRL Transistor Girl est né un soir de novembre. Pluie battante sur Genève, nuit noire et froid glacial. Un temps à ne pas mettre un musicien dehors. Ce soir-là, il fallait en avoir envie - une sacrée même - de se taper deux heures de route dans une vieille VW sans chauffage. Ambiance tape-cul, radio qui grésille, odeur de tabac froid à réveiller les morts. Lancés à tombeau ouvert sur l’autoroute, les deux potes luttaient pour afficher un minimum d’enthousiasme: «Vraiment trop hâte d’y être!» Coincés dans le tas de ferraille, en réalité, chacun pensait tout bas: «Trop hâte de rentrer, j’aurais dû dire non...» Mais ils avaient dit oui. Trois mois plus tôt, au sommet de leur motivation. Oui à ce concert de Fink, sa seule date en Suisse ! Pas question de se laisser aller aux jérémiades, pas question de se défiler. Assister au défilé des bandes blanches sur le bitume détrempé, tailler la route, surtout ne pas penser au froid... Nyon, Morges, Lausanne... Surtout ne pas trop prêter attention au transistor de la voiture qui s’égosille, qui crache un son brut, sale, tant bien que mal... Yverdon, Payerne… Et Berne, enfin ! Faut dire, c’est loin Berne, depuis Genève, un soir d’automne glacial. Garer la caisse, courir sous la pluie pour trouver la salle de concert, faire la queue sur le trottoir, sortir les billets de sa poche... Sortir les billets de sa poche??? Ne pas trouver les billets au fond de sa poche!!! «Putain, y sont où les billets??» «Restés sur la table de la cuisine!»... Transistor Girl est né ce fameux soir de novembre. Une nuit très noire, très froide. Une nuit un peu bizarre au cours de laquelle deux mecs pas très chanceux ont pris une véritable claque. Une claque musicale, un uppercut artistique. Comment ils ont fini par rentrer dans cette salle de concert sans billets? C’est un autre chapitre mais on raconte que ce soir-là, il y a eu du grabuge à l’entrée. A quel moment, très précisément, ils ont décidé de ressortir leurs instruments du placard? L’histoire ne le mentionne pas. Mais cette nuit là, Transistor Girl a pris corps. Des jours durant et des nuits entières. Et puis le premier opus…. Treading on Flames. Il y a quelque chose de terriblement fragile dans la musique de Transistor Girl. Une voix au bord de la rupture, des guitares à fleur de peau et des histoires d’amour, de sentiments égratignés, de destins écorchés. Avec ces premières compositions façonnées à l’instinct, le duo genevois raconte son propre voyage au bout de la nuit et explore les confins d’un songwriting à l’anglaise pour y découvrir des pépites ardentes. Dans ce brasier d’émotions, Transistor Girl trouve son chemin en suivant un fil toujours en tension mais empreint d’optimisme avec des mélodies épurées et intimistes. Une musique envoûtante qui, comme un souffle de vie, sort de l’obscurité pour se tourner vers l’essentiel. Lumineuse et authentique, simple et finalement positive!