tdr evaluation finale des projets promelvu et proxivet

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tdr evaluation finale des projets promelvu et proxivet
TDR EVALUATION FINALE DES PROJETS
PROMELVU ET PROXIVET
Denis RIPOCHE,
Directeur Régional Afrique Centrale
21 mai 2013
TDR Evaluation finale PROMELVU et PROXIVET
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1. Contexte de la prestation
Le programme cofinancé par la Direction Générale au Développement et mis en œuvre par
VSF Belgique et ses partenaires arrive à son terme fin 2013 après 2 phases présentant chacune
une durée de 3 années. A ce titre et conformément aux engagements de VSF B vis-à-vis de la
DGD, une évaluation externe finale des interventions menées au cours de la phase du
programme 2011-2013 devra être menée à la fin de l’année 2013.
Eu égard à la proximité géographique et aux convergences méthodologiques des projets
menés au Rwanda et en RDC, il est envisagé de pouvoir réaliser en Afrique Centrale une
évaluation conjointe des 2 projets qui y sont menés. Il s’agit de l’Objectif Spécifique n°5
(projet de Promotion d’un service vétérinaire privé de proximité au Sud Rwanda –
PROXIVET Sud Rwanda) et de l’Objectif Spécifique n°6 (projet de Promotion de l’élevage
chez les vulnérables urbains - PROMELVU) du programme qui seraient donc évalués à
travers une seule et même mission de consultance externe.
2. Description de l’Objectif Spécifique 5 : Promotion d’un service vétérinaire privé
de proximité au Sud Rwanda – PROXIVET Sud Rwanda
 Le contexte du projet
Le projet PROXIVET (Projet de promotion d’un service vétérinaire de proximité au Sud du
Rwanda) a démarré en janvier 2008 (phase I : 2008-10_ intervention dans le district de Huye)
et prendra fin en décembre 2013 (phase II : 2011-13 _ intervention dans le district de Huye et
extension à Nyanza). Il vise à renforcer durablement la sécurité alimentaire et les revenus des
familles bénéficiaires grâce à une amélioration des conditions d’élevage et à une approche
intégrée des exploitations.
Il a 4 axes principaux :
1) Appui aux techniciens vétérinaires privés de proximité (fonds de roulement,
renforcement des capacités, moyens de déplacement) et AER (agro-éleveurs relais ou
Community Animal Health Workers) ;
2) Amélioration du bien-être des ménages vulnérables grâce à la mise en œuvre d’une
approche holistique (recheptellisation par le petit élevage, logement des animaux,
formations en techniques de petit élevage, distributions de semences fourragères et
d’arbres fruitiers, jardins de cuisine (kitchen garden)…) ;
3) Renforcement du rôle de femmes membres de l’organisation paysanne IMBARAGA
dans l’exploitation familiale (recheptellisation par le petit élevage, formations en
techniques de petit élevage, distribution des arbres fruitiers, octroi de matériel pour
alléger le travail des femmes,…) ;
4) Renforcement des partenaires locaux (formations, visites d’échange…).
Résumé des réalisations les plus importantes :
Parmi les effets observés les plus importantes, il est à noter la réduction de mortalité chez les
vaches (de 6% à 2,5%) et chèvres (de 10% à 3%). La rentabilité des comptoirs des
vétérinaires privés a augmenté (de 0% à 197%), et le nombre de vétérinaires privés et AER
s’est considérablement accru (de 1 à 4 et de 65 à 74, respectivement).
En ce qui concerne les bénéficiaires directs du projet (femmes vulnérables et femmes
membres d’IMBARAGA), un total de 2,279 ménages ont été recheptellisés à la fin de l’année
2 avec des chèvres, lapins et porcs.
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Les 35 IOV du projet et leur état d’avancement sont détaillés dans le rapport annuel 2012.
 Cadre logique (en annexe)
Cf. annexe Cadre logique (initial et nouveau)
 Partenaire Local Principal
IMBARAGA, formée en 1992, est une organisation d'agriculteurs et d’éleveurs individuels ou
d’agriculteurs / éleveurs regroupés. En tant qu’ASBL d'envergure nationale, IMBARAGA
compte environ 25.000 membres actifs, structurés en associations de 25 à 30 membres,
répandus dans tout le pays. Elle vise à professionnaliser les agro-éleveurs membres.
IMBARAGA accompagne VSFB dans l’exécution du PROXIVET depuis 2008.
 Bailleur
Direction Générale au Développement : 80%
Vétérinaires Sans Frontières Belgique : 20%
3. Description de l’Objectif Spécifique 6 : Promotion de l’élevage chez les
vulnérables urbains - PROMELVU
 Le contexte du projet
Les conflits armés en RDC ont entraîné une destruction du cheptel et rendu la population
locale plus pauvre. Ce qui a conduit le Réseau WIMA à demander à VSFB à intervenir auprès
de cette population à travers le petit élevage. L’analyse contextuelle a montré que le meilleur
appui à la population ne devrait pas se limiter à une simple distribution des animaux mais
devrait inclure aussi les soins vétérinaires de proximité et le renforcement des capacités des
agro-éleveurs et de leurs organisations. Un premier projet, le LUVUPEL (Lutte contre la
Vulnérabilité par le Petit Elevage), focalisé sur le petit bétail à cycle court, a été formulé et
appuyé. Il a été opérationnel en milieu rural des Territoires de Beni et Lubero, de juin 2007 à
décembre 2012, dans la Province du Nord – Kivu.
Comme les villes de la province n’offrent pas des possibilités d’emplois aux
autochtones, les populations urbaines vivent également d’activités agro-pastorales qu’ils
mènent dans leurs parcelles urbaines et de la périphérie. Elles ont alors souhaité que VSFB
puisse les appuyer. Ce qui a conduit à la formulation du second projet. Le projet de
« Promotion de l’Elevage chez les Vulnérables Urbains », en sigle « PROMELVU », est
opérationnel en ville de Butembo depuis janvier 2011 pour 3 ans. Vu l’espace réduit en milieu
urbain, ce projet est focalisé sur le lapin qui est très prolifique et moins exigeant au niveau de
l’alimentation.
Ce projet suit les 5 axes stratégiques suivants :
Axe 1 : Recheptellisation et amélioration génétique consistant à doter en kits d’élevage
400 ménages vulnérables et des jeunes en détresse ;
Axe 2 : Amélioration de la santé animale comprenant l’appui à des vétérinaires privés, les
soins vétérinaires pour les géniteurs distribués, la vaccination de la volaille et la
sensibilisation des agro-éleveurs ;
Axe 3 : Amélioration des conditions d’élevage consistant à doter les bénéficiaires des
logements et cages comme préalables à la réussite de l’élevage du lapin mais aussi à les
sensibiliser sur l’intégration agriculture-élevage ;
Axe 4 : Appui à la commercialisation car le marché joue un rôle important dans la
production.
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Axe 5 : Education nutritionnelle et sanitaire : le projet prévoit des séances d’éducation
nutritionnelle pour que l’activité aide au maximum le ménage dans le cadre de la nutrition et
de l’amélioration de son bien être. D’autre part les bénéficiaires sont sensibilisés à l’hygiène
et à ses relations avec la santé.
Résumé des réalisations les plus importantes :
Comme principales réalisations, le projet a déjà couvert 353 bénéficiaires sur les 400 prévus,
travaille avec 2 cliniques vétérinaires pour les soins auprès du cheptel des bénéficiaires et la
vaccination de la volaille. Le projet a aussi réalisé 90 séances d’éducation nutritionnelle et
sanitaire, 6 démonstrations culinaires sur les différentes recettes du lapin pour promouvoir sa
consommation et est en train de structurer 4 organisations de base des bénéficiaires sous
forme de mutuelle de santé animale.
 Cadre logique PROMELVU (en annexe)
Cf. annexe Cadre logique (initial et nouveau)
 Partenaire Local Principal du Projet PROMELVU
Le réseau WIMA est une plateforme régionale de 32 acteurs de développement des territoires
de Beni et Lubero, Province du Nord Kivu en RDC, agréée par l’Etat. Sa mission est d’assurer
un appui institutionnel et méthodologique à ses membres en vue de contribuer à la sécurité
alimentaire et la bonne gouvernance pour le bien être de la population du Nord Kivu. Il a son
siège social à Butembo.
 Bailleur
Direction Générale au Développement : 80%
Vétérinaires Sans Frontières Belgique : 20%
4. Objectifs de la mission
Chaque évaluation a pour objectif premier d’apprécier dans quelle mesure les objectifs du
projet ont été atteints.
Une évaluation doit être élaborée de manière à relever de façon exhaustive les forces et les
faiblesses de l’intervention, sachant qu’il y a à apprendre aussi bien des forces que des
faiblesses d’un projet.
Les cinq critères majeurs devant être analysés dans toute évaluation sont la pertinence,
l’efficience, l’efficacité, l’impact et la durabilité. Etant donné que cette mission s’inscrit dans
le cadre d’une évaluation finale, il sera porté une attention plus particulière à la mesure des
impacts et de la durabilité.
Au final, les objectifs de la mission sont donc les suivants :
- examiner la pertinence de l’intervention (résolution des problèmes identifiés lors de la
formulation), les niveaux de réalisation et de performance de l’action (efficacité et
efficience) ex. : analyse de la pertinence de l’activité recheptellisation selon les
différentes espèces (lapins, caprins, porcins…) et leçons tirées pour de telles
interventions sur une prochaine phase…
- analyser la mise en œuvre du projet en rapport avec les critères de la GCP (approche
stratégique, méthodologie de suivi/évaluation, degré de mise en œuvre des
recommandations des monitorings précédents…) ;
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-
-
-
établir avec le projet, le partenaire local et les groupes bénéficiaires un bilan final du
projet en vue d’identifier les points forts et les points faibles de l’intervention, analyser
le degré d’appropriation et d’utilisation effective des services du projet, déterminer les
effets et impacts de l’intervention et dégager les mesures éventuelles à prendre pour
renforcer la pérennisation des actions ;
établir un bilan global de la prestation aux fins d’une capitalisation efficace au sein des
structures partenaires (succès, difficultés rencontrées, erreurs à éviter dans le futur,
méthodologies validées) ;
formuler des recommandations claires et fixer des délais d’exécution pour les actions
prioritaires à mener en vue de la fin de la prestation mais aussi pour conforter et
orienter les choix stratégiques futurs.
5. Méthodologie
Le prestataire est libre de proposer une méthodologie de travail pour autant qu’elle soit
participative.
La mission organisera des séances de travail et des entretiens avec le personnel projet et les
partenaires et parties prenantes impliqués dans la mise en œuvre du projet (organisations
paysannes, ONG locales ou internationales, autorités, services techniques…). Elle visitera les
zones d’intervention et s’entretiendra avec les populations cibles et bénéficiaires
intermédiaires (CVR ou VPP, AEV ou AER,…). Un atelier d’évaluation participative sera
organisé avec des représentants des bénéficiaires. Une séance de restitution interne des
observations et recommandations clôturera la prestation que ce soit au Rwanda ou en RDC.
6. Résultats attendus
La mission produira les documents suivants :
o Un aide mémoire par projet comprenant les principales conclusions et recommandations
faites par la mission. Ce document, qui constituera la base du rapport provisoire, sera
présenté et remis sous format informatique au PLP et à VSF B à la fin de la mission.
o Le rapport provisoire sera élaboré par le consultant. Ce rapport sera basé sur les données
collectées lors de l’évaluation. Le consultant portera une attention particulière à
l’établissement des conclusions et recommandations de la mission en veillant aux aspects
opérationnels et stratégiques pour assurer une consolidation, un développement et une
pérennisation des actions lors d’une nouvelle phase ou de l’après projet. Il prendra en
considération les commentaires formulés lors des différents monitoring et missions
d’appui.
Le rapport provisoire sera transmis, au plus tard 15 jours après la mission de terrain sur
support informatique au coopérant VSF B lié à chaque projet, au PLP et à la Direction
Régionale. Chaque coopérant VSF B disposera de 15 jours pour centraliser les
commentaires relatifs à l’OS dont il a la charge et les transmettre au consultant.
o Le rapport final sera rédigé par le consultant en veillant à intégrer les commentaires
transmis par les coopérants VSF B. Ce rapport sera remis en 3 exemplaires papier et sous
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support informatique aux coopérants VSF B et à Direction Régionale dans un délai
maximum de 8 jours après envoi des feedbacks relatifs au rapport provisoire.
7. Organisation de la mission
Calendrier de la mission
Le demandeur laisse au candidat le soin de proposer un calendrier d'exécution de la mission
d'évaluation et plus largement de la prestation complète (temps de préparation puis
rapportage).
Il est cependant souhaité que la mission n'excède pas un total de 20 jours sur le terrain, y
inclus le déplacement entre la zone du PROXIVET au Rwanda et la zone du PROMELVU en
RDC (1 à 2 jours maximum de transfert).
Pour des raisons pratiques, le demandeur souhaite que la mission se déroule durant le mois
d’octobre 2013.
Logistique
La logistique de la mission est assurée par les moyens des projets qui seront prévus et mis en
place conformément au calendrier retenu.
Les projets mettront à disposition du prestataire le petit matériel nécessaire au bon
déroulement de la mission. Ainsi et à cet effet, une liste du matériel souhaité devra être
détaillée dans l'offre technique.
8. Conditions financières
Prestation
Le paiement de la prestation se fera sur base d'une facture émise au début de la prestation,
selon la répartition suivante :
1ère tranche : avance au démarrage
2ème tranche : à la remise du rapport provisoire
3ème tranche : à l'acceptation finale du rapport
30%
30%
40%
Frais de mission
Les frais de mission comprennent les per diem, les frais de logement, les frais de visa et le
transport international.
Le paiement des frais de mission se fera selon la répartition suivante :
1ère tranche : avant la prestation
2ème tranche : à la fin de la prestation sur le terrain
TDR Evaluation finale PROMELVU et PROXIVET
: 50 % de l'estimation des frais
: complément frais
6/15
Le prestataire remettra une note de frais comprenant les factures relatives aux frais engagés
pour la mission.
9. Modalités pratiques
Le dossier de candidature sera transmis sous format informatique et devra comporter :
- une offre technique ;
- une offre financière ;
- le CV du consultant.
L'offre technique reprendra clairement un descriptif de la méthodologie proposée, une
proposition de calendrier, un listing du matériel souhaité pour accomplir la mission et un
listing des documents souhaités pour consultation avant mission (les documents ne seront
transmis qu'au prestataire retenu).
L'offre financière reprendra clairement les honoraires et une estimation détaillée des frais de
mission.
Le dossier de candidature doit être envoyé par e-mail au plus tard le 10 Juillet 2013 aux
adresses suivantes :
- Siège VSFB : [email protected]
- Direction régionale VSFB : [email protected]
- Coopérant Rwanda : [email protected]
- Coopérant RDC : [email protected]
Le choix du prestataire sera arrêté, après analyse des offres, pour le 15 Juillet 2013.
10. Coordonnées du demandeur
Bureau Régional Afrique Centrale
Kagugu
Kigali
Tel.: + 250 (0)7 87 77 33 74
Directeur régional Afrique Centrale : [email protected]
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TDR Evaluation finale PROMELVU et PROXIVET
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Annexe 1 : Cadre logique initial PROMELVU
Baseline
A1
A2
A3
Sources de vérification*
Objectif spécifique 6 : Réduire l'incidence et la profondeur de la pauvreté urbaine par la promotion
du petit élevage
Hypothèses et risques**:
Indicateur 1 : Le SDAM est amélioré d'au
moins 20 % (de 3,3 à 4)
0%
20%
Indicateur 2 : Le nombre moyen de
repas/j en période de disette (oct. à déc.)
passe de 1,3 à 2
1,3
2
1. Les différents acteurs impliqués dans la
lutte contre la vulnérabilité collaborent
efficacement en vue de réaliser des actions
coordonnées et synergiques
2. Les bénéficiaires adoptent les
innovations proposées (techniques
d'élevage, nutrition, santé et planning
familial)
3. La situation sécuritaire est assurée dans
la ville de Butembo et le Grand Nord Kivu
Indicateur 3 : Le taux d'enfants ayant eu
67%
accès à des soins appropriés passe de 67%
à 80%
80%
Indicateur 4 : Le taux de scolarisation
passe de 50% à 65% pour les garçons et
les filles
65%
50%
Résultat 1 : Les bénéficiaires cibles sont identifiés et reçoivent un appui multidimensionnel
Indicateur 1 : 320 ménages vulnérables, dont au moins 25% de
femmes, réalisent un élevage rationnel d'espèces à cycles courts
36
144
Indicateur 2 : 5 OB de bénéficiaires sont opérationnelles et réalisent des 0
activités de solidarité
0
2
Indicateur 3 : Au total 140 séances d'éducation nutritionnelle et
sanitaire ont été dispensées auprès des groupes bénéficiaires
0
18
+50
Indicateur 4 : 6 écoles à but social disposent d'un clapier scolaire qui
ont permis la formation pratique de 1.200 élèves
100
20
0
+400
TDR Evaluation finale PROMELVU et PROXIVET
0
9/15
Hypothèses et risques:
320
1. Les comités "Chaînes de Solidarité"
sont constitués de personnes responsables,
dynamiques et intègres
5
2. Les structures sanitaires collaborent
efficacement aux programmes d'éducation
+72 des ménages
3. Les bénéficiaires sont en mesure
+60 d'apporter leur contribution à la mise en
œuvre de certaines activités (construction,
0
Indicateur 5 : Les clapiers scolaires ont fourni un appui financier à 190
élèves pour le payement du minerval
15
30
+60
+10 traitements vétérinaires.)
0
Indicateur 6 : 78 enfants en situation de précarité disposent d'1 élevage
et assurent leur scolarité
0
10
30
78
Résultat 2 : Les conditions de l’élevage de basse-cour sont améliorées et s’intègrent bien dans le
milieu urbain
Hypothèses et risques:
Indicateur 1 : 30 % des bénéficiaires ont mis en place au moins 1
mesure de protection de leur environnement (graminées et arbustes
fourragers, fruitiers, fosse fumière...)
0%
0% 10%
30
%
Indicateur 2 : La productivité numérique par lapine atteint 15 lapereaux
exploitables /an
5
10
12
15
Les ménages vulnérables disposent tout au
long de l'action des ressources (parcelles,
forces de travail...) pour réaliser les
activités mises en œuvre par le projet
Indicateur 3 : L'exploitation des cobayes / ménage atteint 25 têtes /an
dont 20 pour l'autoconsommation
6
12
18
25
Indicateur 4 : 40% des bénéficiaires valorisent le fumier comme
compost pour leurs champs
0%
10
%
30%
40
%
Indicateur 5 : 30% des familles bénéficiaires ont mis en œuvre au
moins 1 action de protection de l'environnement
0%
5% 15%
30
%
Résultat 3 : Le dispositif de santé animale en milieu urbain est plus efficace et permet une protection Hypothèses et risques:
satisfaisante dans les élevages bénéficiaires
Indicateur 1 : 2 CVU ont intégré une composante "soins vétérinaires de
proximité" dans leurs activités
0
Indicateur 2 : La vaccination contre la NCD atteint 50.000 volailles en
2013
20.0
00
Indicateur 3 : Le taux de mortalité des lapins est réduit de 50 % (de 70
à 35%)
Indicateur 4 : 30% des familles ont eu recours à la "mutuelle de soins
TDR Evaluation finale PROMELVU et PROXIVET
1
2
2
Les ménages vulnérables disposent tout au
long de l'action des ressources (parcelles,
forces de travail...) pour réaliser les
25. 40.000 50.0
activités mises en œuvre par le projet
00
00
0
70%
60
%
45%
35
%
0%
0% 10%
30
10/15
vétérinaires"
Indicateur 5 : Le taux d'efficacité des interventions sanitaires atteint au
moins 75%
%
0%
50
%
60%
75
%
Résultat 4 : Les productions des élevages bénéficiaires sont écoulées facilement et à juste prix
Hypothèses et risques:
Indicateur 1 : Au moins 3 structures exploitent les résultats de l'étude
"filière" lapin
0
1
3
3
Indicateur 2 : Au moins 2 actions concrètes d'appui à la
commercialisation des lapins sont mises en œuvre
0
0
1
2
Résultat 5 : Les Partenaires sont renforcés dans leurs capacités d'exécution de leurs rôles
Hypothèses et risques:
Indicateur 1 : Le nombre de structures membres réellement
opérationnelles et impliquées dans le fonctionnement du Réseau Wima
passent de 13 à 18
13
14
17
18
Indicateur 2 : Les PTF qui contribuent au fonctionnement et/ou au
renforcement des capacités du Réseau passent de 3 à 5
3
3
4
5
1
2
2
Indicateur 3 : Le PLP a soumis au moins 5 propositions de projet
conformes aux exigences des bailleurs et au moins 2 sont financées
Indicateur 4 : La stabilité du personnel est assurée à au moins 75% sur
les 3 années du projet
TDR Evaluation finale PROMELVU et PROXIVET
1. Les principaux acteurs impliqués dans la
commercialisation des animaux de bassecour sont connus et acceptent de collaborer
avec le projet
2. Le marché local des lapins n'est pas
saturé par la production
1
11/15
Le PLP dispose de ressources propres pour
assumer ses missions
Annexe 2 : Cadre logique nouveau PROMELVU.
Baseline
A1
A2
A3
Sources de vérification*
Objectif spécifique 6 : Réduire l'incidence et la profondeur de la pauvreté urbaine par la promotion du
petit élevage
Hypothèses et risques**:
Indicateur 1 : Le SDAM est amélioré d'au moins 20 % (de 3,3 à
4)
0%
20%
Indicateur 2 : Le nombre moyen de repas/j en période de disette
(oct. à déc.) passe de 1,3 à 2
1,3
2
Indicateur 3 : Le taux d'enfants ayant eu accès à des soins
appropriés passe de 67% à 80%
67%
80%
Indicateur 4 : Le taux de scolarisation passe de 50% à 65% pour
les garçons et les filles
50%
65%
1. Les différents acteurs impliqués
dans la lutte contre la vulnérabilité
collaborent efficacement en vue de
réaliser des actions coordonnées et
synergiques
2. Les bénéficiaires adoptent les
innovations proposées (techniques
d'élevage, nutrition, santé et planning
familial)
3. La situation sécuritaire est assurée
dans la ville de Butembo et le Grand
Nord Kivu
Résultat 1 : Les bénéficiaires cibles sont identifiés et reçoivent un appui multidimensionnel
Hypothèses et risques:
Indicateur 1 : 320 ménages vulnérables, dont au moins 25% de
femmes, réalisent un élevage rationnel d'espèces à cycles
courts
0
36
144
320
Indicateur 2 : 5 OB de bénéficiaires sont opérationnelles et
réalisent des activités de solidarité
0
0
2
5
Indicateur 3 : Au total 140 séances d'éducation nutritionnelle et
sanitaire ont été dispensées auprès des groupes bénéficiaires
0
18
+50
+72
Indicateur 4 : 40 enfants en situation difficile disposent d’un
0
10
30
40
TDR Evaluation finale PROMELVU et PROXIVET
12/15
1. Les comités "Chaînes de
Solidarité" sont constitués de
personnes responsables, dynamiques
et intègres
2. Les structures sanitaires
collaborent efficacement aux
programmes d'éducation des ménages
3. Les bénéficiaires sont en mesure
d'apporter leur contribution à la mise
élevage et assure leur scolarité
Indicateur 5 : 40 enfants en situation de précarité (enfants de
rue) disposent d’un élevage et accèdent aux moyens de survie
0
0
10
40
en œuvre de certaines activités
(construction, traitements
vétérinaires.)
Résultat 2 : Les conditions de l’élevage de basse-cour sont améliorées et s’intègrent bien dans le milieu
urbain
Hypothèses et risques:
Indicateur 1 : 30 % des bénéficiaires ont mis en place au moins 0%
1 mesure de protection de leur environnement (graminées et
arbustes fourragers, fruitiers, fosse fumière...)
0%
10%
30%
Indicateur 2 : La productivité numérique par lapine atteint 15
lapereaux exploitables /an
5
10
12
15
Les ménages vulnérables disposent
tout au long de l'action des ressources
(parcelles, forces de travail...) pour
réaliser les activités mises en œuvre
par le projet
Indicateur 3 : L'exploitation des cobayes / ménage atteint 25
têtes /an dont 20 pour l'autoconsommation
6
12
18
25
Indicateur 4 : 40% des bénéficiaires valorisent le fumier
comme compost pour leurs champs
0%
10%
30%
40%
Résultat 3 : Le dispositif de santé animale en milieu urbain est plus efficace et permet une protection
satisfaisante dans les élevages bénéficiaires
Hypothèses et risques:
Indicateur 1 : 2 CVU ont intégré une composante "soins
vétérinaires de proximité" dans leurs activités
0
1
Indicateur 2 : La vaccination contre la NCD atteint 50.000
volailles en 2013
20.000
25000 40.000
50.000
Les ménages vulnérables disposent
tout au long de l'action des ressources
(parcelles, forces de travail...) pour
réaliser les activités mises en œuvre
par le projet
Indicateur 3 : Le taux de mortalité des lapins est réduit de 50
% (de 70 à 35%)
70%
60%
45%
35%
Indicateur 4 : 30% des familles ont eu recours à la "mutuelle
de soins vétérinaires"
0%
0%
10%
30%
Indicateur 5 : Le taux d'efficacité des interventions sanitaires
atteint au moins 75%
0%
50%
60%
75%
TDR Evaluation finale PROMELVU et PROXIVET
2
2
13/15
Résultat 4 : Les productions des élevages bénéficiaires sont écoulées facilement et à juste prix
Hypothèses et risques:
Indicateur 1 : Au moins 3 structures exploitent les résultats de
l'étude "filière" lapin
0
1
3
3
Indicateur 2 : Au moins 2 actions concrètes d'appui à la
commercialisation des lapins sont mises en œuvre
0
0
1
2
Résultat 5 : Les Partenaires sont renforcés dans leurs capacités d'exécution de leurs rôles
Indicateur 1 : Le nombre de structures membres réellement
opérationnelles et impliquées dans le fonctionnement du
Réseau Wima passent de 13 à 18
13
Hypothèses et risques:
14
17
18
Indicateur 2 : Les PTF qui contribuent au fonctionnement
3
et/ou au renforcement des capacités du Réseau passent de 3 à 5
3
4
5
Indicateur 3 : Le PLP a soumis au moins 5 propositions de
projet conformes aux exigences des bailleurs et au moins 2
sont financées
1
2
2
Indicateur 4 : La stabilité du personnel est assurée à au moins
75% sur les 3 années du projet
TDR Evaluation finale PROMELVU et PROXIVET
1. Les principaux acteurs impliqués
dans la commercialisation des
animaux de basse-cour sont connus et
acceptent de collaborer avec le projet
2. Le marché local des lapins n'est
pas saturé par la production
1
14/15
Le PLP dispose de ressources propres
pour assumer ses missions
TDR Evaluation finale PROMELVU et PROXIVET
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