Argument - (france) - t2g theatre de gennevilliers centre dramatique
Transcription
Argument - (france) - t2g theatre de gennevilliers centre dramatique
© Marc Domage. Avec l'aimable autorisation du Musée Nissim de Camondo / Les Arts Décoratifs Pascal Rambert Argument [22 janvier – 13 février 2016] Représentations [22 - 30 janvier] du mardi au samedi 20h30 / dimanche 16h30 / relâche lundi Représentations [31 janvier - 13 février] mardi et jeudi 19h30 / mercredi, vendredi, samedi 20h30 / dimanche 15h / relâche lundi Tarifs : de 7€ à 24€ Réservation : sur place ou par téléphone au 01 41 32 26 26 / du mardi au samedi de 13h à 19h ou [email protected] et en ligne sur : www.theatre2gennevilliers.com Service de presse : Philippe Boulet — 01 41 32 26 10 — [email protected] Pascal Rambert Argument [22 janvier – 13 février 2016] texte et mise en scène, Pascal Rambert scénographie, Daniel Jeanneteau lumière, Yves Godin musique, Alexandre Meyer costumes, Anaïs Romand maquillage, coiffure, Laure Talazac assistant à la mise en scène, Thomas Bouvet avec Marie-Sophie Ferdane, Laurent Poitrenaux et (en alternance) Nathan Aznar et Anas Abidar voix dans le noir, Denis Podalydès sociétaire de la Comédie-Française Durée estimée : 2h Création le 6 janvier 2016 au CDN Orléans/Loiret/Centre. Le texte Argument est édité aux éditions Les Solitaires intempestifs. Production déléguée T2G − Théâtre de Gennevilliers centre dramatique national de création contemporaine Coproduction CDN Orléans/Loiret/Centre, La Comédie de Reims Remerciement Madame Savéria Coste pour "Garancia" Du 22 au 30 janvier, il est possible de voir en première partie, De mes propres mains, de Pascal Rambert, avec Arthur Nauzyciel : à 19h en soirée et à 15h en matinée le dimanche. ++ [mercredi 27 janvier à 15h] Rencontre à lʼÉcole des Beaux-Arts de Paris avec Anaïs Romand, créatrice des costumes Argument. (entrée libre) [samedi 6 février de 13h à 19h] Lecture continue de textes de Pascal Rambert. Une sélection de textes de lʼauteur dʼArgument, lus en continu au Plateau 3. (entrée libre, renseignement [email protected]) [samedi 13 février à 18h] Rencontre philosophique 3/4 avec Mlaten Dolar en regard du spectacle Argument (entrée libre sur réservation) En tournée 2016 6 au 8 janvier 12 au 15 janvier 29 et 30 mars CDN Orléans/Loiret/Centre La Comédie de Reims, Reims Comédie de Caen Argument "On imaginerait une lande, près de la mer, près des falaises. Elle se tiendrait en cheveux, son beau cou pâle, presque vert, sous la lune. Il menacerait. Il brandirait le médaillon. Il y aurait des pleurs. Sa chevelure en bandeaux serait dans le vent. Au loin, l'enfant, se tiendrait muet. Elle serait dans son lit, sa belle peau attaquée. Toussant. Sa chevelure en bandeaux sur ses épaules vertes. Mourante. Il serait à genoux sur la tombe. Son frac ouvert sous la pluie, la lune. Ses pleurs seraient une rivière. Au loin, l'enfant, se tiendrait muet. Puis le ciel se chargerait de pluie. Il la déterrerait. Il voudrait, à nouveau, voir son beau visage vert. Sa peau blanche sous la lune. Sa chevelure en bandeaux. Morte, elle se lève du tombeau dans la nuit. Et parle. Voici l'histoire de Louis, Annabelle et l'enfant Ignace sous la lune, à Javille, l'année 1871." Pascal Rambert Argument, la nouvelle création de Pascal Rambert, renvoie à lʼhistoire de la Commune, au travers dʼune scène de ménage tragique et magique où les convictions conservatrices sʼopposent aux forces révolutionnaires, sur fond imaginaire de toile de Jouy. Année 1871, la Commune organisait lʼinsurrection contre le gouvernement issu de lʼAssemblée nationale qui venait d'être élue au suffrage universel et ébaucha pour Paris une sorte dʼautogestion. Sur ce fond historique et à Javille, un bourg imaginaire de Normandie, Pascal Rambert écrit lʼhistoire de Louis, figure du patriarche conservateur, dʼAnnabelle, son épouse atteinte sans doute dʼune angine de poitrine et de leur fils Ignace. Dans cette scène de ménage violente et ordinaire où, morte, la femme sort du tombeau pour prendre la parole et où lʼenfant sʼen remet à la lune, les tensions sont exacerbées. Il sʼagit dʼune sombre histoire de jalousie déclenchée par un médaillon suspect aux yeux du mari. Quant à Ignace, il se pourrait bien quʼil se mette à voler au-dessus de la lande avant de hululer tel un oiseau nocturne. Pascal Rambert a écrit cette pièce sur mesure pour les deux interprètes principaux : Marie-Sophie Ferdane et Laurent Poitrenaux, se laissant guider par leur personnalité. M.-C.V. Entretien avec Pascal Rambert Quʼest-ce qui est à lʼorigine de lʼécriture dʼArgument auquel vous pensez depuis 2 ans ? Pascal Rambert : Pour des raisons qui ne mʼont pas été données, la base ce sont les corps : la bouche de Marie Sophie Ferdane et la façon de bouger de Laurent Poitrenaux. Leurs corps mʼont envoyé des messages ; m'ont renvoyé à une autre époque : en 1871. Aux préraphaélites anglais, par exemple, près du peintre et poète Dante Gabriel Rossetti et l'histoire avec son épouse et muse, l'artiste Elisabeth Siddal, modèle pour tous les peintres de cette époque. Elle en est morte d'ailleurs. À sa mort, il a enterré ses poèmes dans sa tombe puis, à court d'argent il les a déterrés pour les publier. Cʼest lʼépoque aussi de Mallarmé que jʼaime beaucoup. D'une certaine invention de la langue. Cʼest la France de la Restauration, de la Commune. Ce nʼest pas dans vos habitudes. Oui, cʼest un monde que je ne connais peu et que je nʼavais jamais abordé dans mes pièces contemporaines. Mais, cʼest une France qui me plaît et m'effraie : cette France étouffante, aux appartements avec de grosses tentures, sous la lumière au gaz, où des vies se fanent qui me repousse quant à ses valeurs conservatrices. Jʼai surtout un goût pour le XIXe siècle et ce court moment que fut la Commune. À la Goutte dʼOr je passe souvent devant la plaque dédiée à Louise Michel. Cela me ramène régulièrement à cette époque qui mʼinterroge, me charme. Pourtant vos trois personnages nʼont rien de très charmant, ce couple qui se déchire jusquʼà la mort avec ce pauvre Ignace, lʼenfant ballotté. Je ne fais évidemment pas ici une pièce historique. Le couple, comme beaucoup a quitté Paris pour la province au début de la Commune, lui, Louis, avec des convictions de bourgeois réactionnaire, un chef de famille avec des valeurs. Elle, Annabelle, plus rebelle, lit, écrit : ce qui fait peur aux hommes. Quant à lʼenfant, il me touche. Il est lʼexpression de la façon dont les enfants sont manipulés, dirigés par nos propres affects. Quʼest-ce que lʼon inscrit dans la chair de nos enfants ? Jʼai eu la chance dʼavoir une enfance sans problème. Mais si le manque d'amour est une torture parfois l'inverse tue plus sûrement. Alors Ignace s'envole et Annabelle sort de la tombe pour prendre la parole. Oui, Ignace, il ne sait que faire devant l'affrontement dur et violent de ses parents. On le voit souvent dans la vie : les enfants au milieu dʼune querelle ne savent pas comment réagir mais, en silence, ils enregistrent tout. Alors oui, Ignace s'envole et Annabelle sort de sa tombe, après avoir été victime des paroles et des coups de la jalousie de son époux qui se déchaîne parce qu'il a trouvé un médaillon. Le théâtre permet de faire ce que rien d'autre ne permet : faire voler un enfant, ressusciter une femme. Et toute ma vie, je ferai revivre sans doute ces femmes mortes pour quʼelles parlent. Je donnerai si possible et le mieux possible une forme à ce désir fou qui nous habite : vivre toujours, ne jamais mourir. Le théâtre lʼautorise. Donner aussi une forme au désir cannibale de l'espèce humaine. Clôture de lʼamour était la forme visible d'une rupture à travers le langage. Répétition l'explosion à fragmentation d'un groupe. Argument ce sont les flèches empoisonnées, silencieuses, que adultes, nous enfonçons dans le corps de nos enfants. Nous nous entre-dévorons. Vous avez la foi ? Non. Mais la présence insupportable de la religion en ce moment m'oblige à y réfléchir. Mais ce sera plus présent dans ma prochaine pièce Actrice que j'écris pour les acteurs russes du Théâtre d'Art de Moscou. Ceci dit "la foi" est un vrai sujet. Cʼest lié aux années qui passent ? Ce que je ressens aujourdʼhui est un moment déceptif, un retour à une forme de restauration, malheureusement. Dans ma génération, on défendait des idées révolutionnaires, assez belles, on défendait lʼavortement, le droit d'aimer qui on voulait, on nʼétait pas obligé dʼêtre attaché à un territoire. Il y avait une sorte d'énergie humaniste. Aujourd'hui quelque chose sʼest retourné que je ressens avec beaucoup de chagrin. Quelque chose s'est fermé. Les êtres se sont fermés. Jʼai mis fin à mes délices de jeunesse liés à la recherche romantique de la mort. J'ai des centaines de projets partout dans le monde. Par exemple avec l'auteur et metteur en scène Japonais Oriza Hirata on s'est juré quʼon ferait ensemble un projet en 2042, quand on aura 80 ans. Je nʼai pas vu le temps passer. Des jeunes gens me parlent de mes mises en scènes, de mes textes, les montent et moi je ne mʼattendais pas à mourir et tout à coup, j'ai 50 ans. Et ça me plaît de vieillir. Écrire à lʼimparfait, cʼest le bonheur. Propos recueillis par Marie-Christine Vernay, 2014. Pascal Rambert Pascal Rambert (1962) est auteur, metteur en scène, réalisateur et chorégraphe. Il est directeur depuis 2007 du T2G - Théâtre de Gennevilliers qu'il a transformé en centre dramatique national de création contemporaine, lieu exclusivement consacré aux artistes vivants (théâtre, danse, opéra, art contemporain, cinéma). Les créations de Pascal Rambert sont présentées internationalement : Europe, Amérique du Nord, Afrique de Nord, Russie, Asie. Ses textes sont édités en France aux Solitaires intempestifs mais également traduits et publiés dans de nombreuses langues : anglais, russe, italien, allemand, japonais, mandarin, croate, slovène, polonais, portugais, néerlandais, danois, espagnol, catalan. Ses pièces chorégraphiques, dont la dernière Memento Mori créée en 2013 en collaboration avec lʼéclairagiste Yves Godin, sont présentées dans les principaux festivals ou lieux dédiés à la danse contemporaine notamment Montpellier, Avignon, Utrecht, Genève, Ljubljana, Skopje, Moscou, Hambourg, Modène, Freiburg, Tokyo. Pascal Rambert a mis en scène plusieurs opéras en France et aux États-Unis. Il est réalisateur de courts métrages sélectionnés et primés aux festivals de Pantin, Locarno, Miami, Paris. Sa pièce Clôture de l'amour, créé au Festival dʼAvignon en 2011 avec Audrey Bonnet et Stanislas Nordey connaît un succès mondial. Le texte a reçu en 2012 le Prix de la Meilleure création dʼune pièce en langue française par le Syndicat de la Critique et le Grand Prix de littérature dramatique du Centre national du Théâtre. En 2013, Pascal Rambert a reçu le Prix de lʼauteur au Palmarès du Théâtre. En septembre 2015, Clôture de lʼamour aura été jouée plus de 140 fois. Il crée des adaptations de cette pièce en 9 langues : en russe au Théâtre dʼArt de Moscou, en anglais à New York, en croate à Zagreb, en italien à Modène, Rome et au Piccolo Teatro de Milan, en japonais à Shizuoka, Osaka et Yokohama, en allemand à Berlin et au Thalia Theater de Hambourg, en espagnol à Barcelone dans le cadre du Festival International Grec et à Madrid, Festival de Otoño, et en danois à Copenhague, Aalborg, Aarhus et Odense. Après une tournée française, Une (micro) histoire économique du monde, dansée, créée au T2G - Théâtre de Gennevilliers en 2010, est reprise et adaptée par Pascal Rambert au Japon, Fujimi, Shizuoka et Miyazaki, en Allemagne, Hambourg et Karlsruhe, aux ÉtatsUnis, New York, Los Angeles et Pittsburgh, et en Egypte, au Caire. Son texte Avignon à vie est lu par Denis Podalydès dans la Cour dʼHonneur du Palais des Papes, pour le Festival dʼAvignon 2013. En décembre 2014, au T2G - Théâtre de Gennevilliers dans le cadre du Festival dʼAutomne à Paris, Pascal Rambert crée Répétition, pièce écrite pour Emmanuelle Béart, Audrey Bonnet, Stanislas Nordey et Denis Podalydès. Soixante représentations sont ensuite données en tournée en 2015, à Lyon, Vidy Lausanne, Poitiers, Modène, Strasbourg, Clermont-Ferrand, Paris au Théâtre National de Chaillot, Orléans, Chateauvallon et Valenciennes. Fin 2016, il mettra en scène la version italienne au Teatro Arena del Sole de Bologne. En juin 2015, dans l'espace nu du Théâtre des Bouffes du Nord, Pascal Rambert présente cinq de ses pièces : Memento Mori, Clôture de l'amour, Avignon à vie, De mes propres mains et Libido Sciendi. Il a écrit Actrice pour les acteurs du Théâtre dʼArt de Moscou, ainsi que Lʼenlèvement dʼEurope pour les acteurs du Théâtre National de Zagreb, deux textes quʼil mettra en scène en 2016. Laurent Poitrenaux Après avoir été élève comédien à "Théâtre en Acte", école dirigée par Lucien Marchal, Laurent Poitrenaux a travaillé au théâtre avec de nombreux metteurs en scène comme Thierry Bédard, Christian Schiaretti, Yves Beaunesne, Francois Berreur, Didier Galas, Eric Vigner, Daniel Jeanneteau, Arthur Nauzyciel (avec lequel il a joué Jan Karski, et La Mouette au Festival d'Avignon) et Ludovic Lagarde avec qui il collabore depuis plusieurs années, créant, entre autres, la plupart des textes d'Olivier Cadiot, le dernier en date étant Le Mage en été et avec qui il vient également d'interpréter Harpagon dans L'Avare de Molière. Plus récemment, il a collaboré avec Marcial di Fonzo Bo pour la création de la pièce Une Femme de Philippe Minyana. Au cinéma il a tourné avec Claude Mouriéras, Christian Vincent, Isabelle Czajka, Agnès Jaoui, Mathieu Amalric (La chambre bleue), les frères Larrieu (21 nuits avec Pattie), Michel Gondry (Microbe et Gasoil), et plus récemment avec Justine Triet. Marie-Sophie Ferdane Normalienne, agrégée de lettres, Marie Sophie Ferdane a été l'élève de Nada Strancar à l'ENSATT. Puis, elle a travaillé avec Christian Schiaretti, dans L'Opéra de quat'sous, au Théâtre National de la Colline, Claudia Stavisky dans Le Songe dʼune nuit d'été aux Nuits de Fourvière, Richard Brunel à Bussang, Paul Desvaux dans L'Orage dʼOstrovski au Théâtre de la Ville à Paris, Jean-Louis Martinelli dans Bérénice au Théâtre des Amandiers à Nanterre. Suite à ce rôle, elle entre en 2007 à la Comédie-Française pour jouer Célimène dans Le Misanthrope, sous la direction de Lukas Hemleb. Elle y travaillera ensuite jusquʼen 2013 avec C. Hiegel, M. Mayette, J-L. Hourdin, A. Kessler, I. Bonnaud, I. Osthues, E. Daumas, P. Meyer, V. Serre, D. Jemmett, F. Paravidino, P. Pradinas, et L. Pelly. Avec ce dernier, elle joue Macbeth en 2012 aux Amandiers et au TNT à Toulouse. La même année, elle joue La Mouette sous la direction d'Arthur Nauzyciel dans la Cour d'Honneur du Palais des Papes à Avignon, puis au T2G. En 2014, elle joue dans le Songe dʼune nuit d'été mis en scène par Laurent Pelly, et dans Les trois soeurs, mis en scène par Christian Benedetti à l'Athénée. En 2015, elle joue au Théâtre National de Chaillot Vanishing Point, un road movie de Marc Lainé, dans lequel elle chante avec le groupe Moriarty. Le spectacle est également joué à Montréal. Au cinéma, en 2014, elle a tourné avec Philippe Harel Les Heures souterraines, adaptation du roman de Delphine de Vigan. Infos pratiques T2G - Théâtre de Gennevilliers Fondateur Bernard Sobel Direction Pascal Rambert 41 avenue des Grésillons 92230 Gennevilliers Standard + 33 [0]1 41 32 26 10 www.theatre2gennevilliers.com Réservation sur place ou par téléphone au +33 [0]1 41 32 26 26 du mardi au samedi de 13h à 19h télépaiement par carte bancaire Vente en ligne sur : www.theatre2gennevilliers.com Revendeurs habituels : Fnac — Carrefour 0 892 683 622 (0,34 euros/min), fnac.com, Theatreonline.com, 0 820 811 111 (prix dʼune communication locale), Starter Plus, Billetreduc, Ticketac, Crous et billetteries des Universités Paris III, VII, VIII, X, Ticket Théâtre(s) Accessibilité Salles accessibles aux personnes à mobilité réduite. Navettes retour vers Paris Certains soirs, après la représentation, une navette gratuite vous raccompagne vers Paris. Arrêts desservis : Place de Clichy, Saint-Lazare, Opéra, Châtelet et République. Accès Métro Ligne [13 ] direction Asnières-Gennevilliers, Station Gabriel Péri [à 15 mn de Place de Clichy] Sortie [1] puis suivre les flèches rayées rouges et blanches de Daniel Buren Accès Bus Ligne [54] direction Gabriel Péri ; arrêt Place Voltaire Accès voiture - Depuis Paris - Porte de Clichy : Direction Clichy-centre. Tourner immédiatement à gauche après le Pont de Clichy, direction Asnières-centre, puis la première à droite, direction Place Voltaire puis encore la première à droite, avenue des Grésillons. - Depuis lʼA 86, sortie n° 5 direction Asnières / Gennevilliers-centre / Gennevilliers le Luth. Parking payant gardé à proximité. Le Restaurant Au sein du T2G, ouvert avant et après le spectacle. Le Théâtre de Gennevilliers est subventionné par le ministère de la Culture et de la Communication, la Ville de Gennevilliers et le Département des Hauts-de-Seine.