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L’HISTOIRE
Au début des années 90, juste après la chute du mur de Berlin, un jeune
groupe américain au style musical radical et surprenant, atteint une
notoriété soudaine et extrême en quelques mois, prenant ainsi de cours
toute l’industrie musicale. Il s'appelle Nirvana. Alors que le groupe
s'atèle, par la voix de son leader Kurt Cobain, à résister au mercantilisme
grimpant en conservant une attitude artistique intègre ; le marché de la
musique profite de ses idéaux, le récupère jusqu'à créer, comble de
l'écart entre le profit et la foi artistique, un style vestimentaire appelé
« Grunge ». Kurt Cobain met fin à une supercherie, dont il est devenu
malgré lui l’artisan, en se suicidant au printemps 1994 en pleine tournée
mondiale. Ce spectacle témoigne de la trajectoire météorique du
groupe et de son chanteur, de 1989 à 1994.
« Avec une réjouissante inventivité, la compagnie La Boite à Outil a parcouru
en mots et en musique le mythe de Kurt Cobain » Gilles Renault – Libération
– juillet 2012
« Un spectacle patchwork bien boutiqué, à la frontière des genres, qui
restitue le parcours chaotique d'un jeune homme. » Martine Piazon –
Froggy’s Delight – juillet 2012
(Nirvana: Dave Grohl, Kurt Cobain, Krist Novoselic - 1993 )
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LE TEXTE
« Journal » de Kurt Cobain, dont sont extraits la plupart des textes, est le récit intime et
clairvoyant d’un long chemin conduisant vers la mort. Avec humour, le chanteur oscille
entre une lucidité profonde sur la société qui l’entoure et qui le détruit, et un idéal
artistique contestataire qui le mainteint en vie. C’est le seul témoignage de ce type que
nous possédons dans la milieu de la musique qui regorge de disparitions prématurées
d’artistes, le fameux et macabre « club des 27 » dont font partie, Jimi Hendrix, Janis Joplin,
Jim Morrison, Brian Jones, Amy Winehouse et… Kurt Cobain. Seule la disparition de ce
dernier est pour moi une tragédie, parce qu’inéluctable, annoncée dans les paroles de ses
chansons autant que dans ses écrits, puis exécutée par l’intéressé. La mort de Kurt Cobain
n’a rien d’accidentel, elle est fatale. C’est pourquoi son passage à la scène me semble si
intéressant.
A l’orée des années 90, la trajectoire météorique de Kurt Cobain, sorte d’idéal
artistique, n’est possible que parce elle s’inscrit dans une époque nouvelle : un monde
(presque) innocent, où la vitesse de la communication, les stratégies de vente, les sources
d’exploitation d’image balbutient encore. Dans ce contexte, le succès puis la chute de
Nirvana font office de garde fou ou d’épouvantail. Le suicide de Kurt Cobain, pour nous
public, spectateur, consommateur, acteur de notre vie, soulève une multitude de
questions, dont la plus importante : faut-il refuser le compromis ou accepter de se
vendre ?
Il m’a semblé essentiel de contrebalancer le point de vue du chanteur avec d’autres
textes ; les extraits de l’ouvrage « Nirvana, La Véritable Histoire » d’Everett True
remplissent ce rôle. L’auteur, par le biais de témoignages de proches du groupe, nous
révèle au fil des pages la personnalité complexe et paradoxale du leader de Nirvana, sans
complaisance. Cobain a toujours ardamment désiré le succès, mais s’en est toujours
protégé.
LA SCENE
Je ne peux pas envisager la mise en scène de ce spectacle sans une imbrication profonde
des textes de Kurt Cobain et de sa musique. Cette double matière première est son acte
de naissance: le spectacle ne sera pas théâtral, il ne sera pas musical, mais bien les deux.
Ce ne sera pas un « biopic » mais bien une interprétation, en direct, de textes de Cobain
et de la musique de Nirvana.
L'histoire de Nirvana se racontera au travers du parcours des comédiens sur le plateau. Ce
sont eux qui éprouveront le parcours du groupe, sans que le spectateur ait l’impression
d’avoir affaire à des personnages. Il s’agira donc de « démystifier le mythe », comme le
désirait si ardemment Kurt Cobain. Mon objectif est que les spectateurs l’imaginent au
moment où il écrivait ses textes, et se laissent surprendre par sa créativité, son humour et
la force de ses compositions. Nous partirons des souvenirs personnels que nous avons
gardés de l’artiste et du groupe, les émotions qu’ils ont pu nous inspirer. Je dirigerai les
comédiens pour que le jeu recrée la vitalité et l’énergie communicative des concerts
live. Nous jouerons sur une distanciation que les comédiens garderont avec leur rôle. Ils
s’appelleront par moment sur le plateau par leur véritable prénom et auront des points de
rendez-vous précis ouverts à l’improvisation.
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Pour éviter tout problème d’identification, j’ai volontairement distribué la parole de Kurt
Cobain à plusieurs comédiens et, toujours dans cette optique, confié sa figure à une
femme, Marie Nicolle ; de même Courtney Love (la femme du chanteur) sera
principalement interprétée par un homme (Thomas Matalou). Les autres seront interprétés
par des hommes, qui incarneront tantôt les musiciens du groupe (Chris Novoselic et les
différents batteurs du groupe) tantôt les journalistes ou encore Courtney Love.
Le décor permettra de retracer le parcours de Kurt Cobain : les éléments le composant
resteront les mêmes mais l’univers qu’ils créeront se métamorphosera au fil du spectacle.
Le point de départ sera la chambre du chanteur où tout à démarré, puis un studio
d’enregistrement, haut lieu de son labeur, et enfin, une salle de concert où le mythe s’est
créé. Cette progression se matérialisera tout au long du spectacle grâce à l’utilisation des
objets et éléments de décor présents sur le plateau dès le début du spectacle et à leur
détournement, à la succession d’états lumineux radicalement opposés et aux
changements de costumes effectués par la comédiens à vue ou en coulisse.
LA MUSIQUE
Je me souviens encore aujourd’hui avec précision de ma première écoute d’un morceau
de Nirvana ; jamais musique contemporaine ne m’avait parue aussi contrastée : à la fois
puissante et douce, mélodique et bruyante, joyeuse et triste. C’est la force des
compositions de Kurt Cobain : l’utilisation simultanée des tonalités mineures et majeures,
dont la perception varie en fonction de l’humeur de l’auditeur. Comment traduire cette
impression sur scène avec des musiciens ? Certainement pas en jouant les chansons « à la
manière de »… Nirvana. Il m’a paru essentiel d’interpréter (au sens premier) l’ensemble
des chansons jouées par les acteurs, en poussant la perception de chaque morceau à son
paroxysme, jusqu’à en tirer l’essence qui me semblait première. Le choix des interprètes a
été guidé par ce désir d’interprétation : il n’a jamais été question de réunir de musiciens
capables de reproduire le son du groupe Nirvana tel que nous le connaissons tous (il est
préférable de recourir à la diffusion de morceaux originaux enregistrés, ce qui est la cas
dans le spectacle), j’ai préféré proposer à des acteurs de se laisser aller à leur fantaisie
musicale et à des musiciens de formation classique d’apporter leur point de vue sur la
musique de Nirvana. Ce doux mélange des genres nous permettra au cours du spectacle,
d’écouter des chansons interprétées a capella, au violon, au violoncelle, à l’accordéon, à la
guitare acoustique au piano, au vibraphone, aux percussions… Tout en espérant, comme
on le dit dans le jargon théâtral, rester le plus fidèle possible… à l’auteur. Frédéric Jessua
(Marie Nicolle, Thomas Matalou Mélie Fraisse,
Liam Morrissey & Charles d’Oiron - Photo :
Frédéric Jessua)
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POUR FINIR
Ce spectacle autour de Nirvana évoque une période où les choix sont déterminants ; la fin
des années 80 et le début des années 90. Kurt Cobain en a pris conscience et « Here we
are now, entertain us » (refrain de son tube « Smells Like Teen Spirit ») sorte d’hymne de
la jeune génération qui assisté à la chute du mur de Berlin, sonne déjà comme le refrain
cynique de notre société, où l’incursion de l’image dans la sphère individuelle fait partie
du jeu, où l’addiction aux écrans, quels qu’ils soient, petits ou grands, réduit notre champ
de vision, où on résume tout, de généralisations en généralisations toujours plus abusives,
et où une chaine de restauration rapide ont choisi comme signature de leur campagnes
de publicité mondiales le titre d’une chanson de Nirvana, « Come as you are ». La boucle
est bouclée, c’était annoncé…
(Pochette de l’Album « Nevermind » - 1991)
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KURT COBAIN
Il nait le 20 février 1967 à Hoquiam dans le nord de l'état de Washington. La famille
Cobain s'installe à Aberdeen, une bourgade de bucherons pluvieuse au nord de l'état qui
possède le taux de suicide le plus élevé du pays. De son propre avis, son enfance fut
heureuse jusqu'à l'âge de 8 ans, quand divorcent ses parents. Il devient renfermé,
maussade et écrit sur le mur de sa chambre : "Je hais maman, je hais papa, papa hait
maman, maman hait papa, tout ça me rend triste". De plus, il ne s'intègre pas à la vie en
société de cette petite ville. Associable à l’école, il parle peu aux autres élèves et fait
l'objet de moqueries. Recueilli par son oncle, celui-ci va l'initier à la musique en lui offrant
sa première guitare pour son anniversaire, le 20 février 1981. Avec son unique ami, Buzz
Osbourne, chanteur des futurs Melvins, il assiste à des concerts de punk, et découvre le
punk et le hard-rock des années 70. Il rencontre ainsi Chris Novoselic, fils d'un émigré
croate. Kurt monte alors un premier groupe qu'il baptise Fecal Matter. Quelques mois
plus tard, il envoie une cassette à Chris qui lui propose alors de fonder un nouveau
groupe. En 1985, à quelques semaines de l'équivalent du bac, Kurt abandonne le lycée
pour se consacrer entièrement à la musique. Il se met à goûter à l'héroïne.
Après avoir emprunté plusieurs noms, Nirvana est créé en 1988 avec Kurt Cobain au
chant et à la guitare et Krist Novoselic à la basse. Le groupe connait une succession de
batteurs, le dernier et le plus important d'entre eux ayant été Dave Grohl, qui a rejoint le
groupe en 1990. Avec la sortie du deuxième album Nevermind en 1991, Nirvana connait
un succès fulgurant et Kurt est propulsé au rang de rock star internationale. Il est
désormais considéré comme le « porte-parole de toute une génération » et Nirvana
comme le groupe vedette de la « Génération X ». Ceci rend Kurt Cobain très mal à l'aise
et stressé. La même année, il rencontre la guitariste et chanteuse du groupe Hole,
Courtney Love. Ils se marient le 24 février 1992 à Hawaï et s'installent à Seattle. Le 18
août, leur fille, Frances Bean, vient au monde. Cobain focalise son attention sur la
musique, pensant que le message du groupe et sa vision artistique est mal interprétée
par le public. En 1993, ils le défient alors avec un troisième album studio plus radical et
noir : In Utero. Après la sortie de l’album à l'automne 1993, Kurt enchaine les concerts
mais l’héroïne le fait dépérir. Le 3 mars, dans un hôpital à Rome, il fait une surdose
d’alcool et de tranquillisants alors qu’il est soigné pour une bronchite et une laryngite. La
tournée européenne est annulée. Kurt Cobain rentre à Seattle et promet à son entourage
de soigner sa dépendance à l’héroïne, qu’il consomme régulièrement entre autres pour
soulager ses maux d’estomac. Il part en cure à Los Angeles. Il s’enfuit de l’hôpital le 1 er
avril et retourne chez lui à Seattle. Le 8 avril, un électricien venu poser un système
d’alarme chez Cobain le trouve mort dans la serre de sa maison, une balle dans la tête et
une lettre de suicide à son côté. Kurt est décédé depuis 3 jours. Il avait 27 ans.
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NIRVANA
1988 : au fin fond de l’état de Washington, à Aberdeen exactement, Kurt Cobain
(Guitariste et chanteur) et Krist Novoselic (basse) en s’adjoignant les services d’un batteur
Chad Channing forment le groupe Nirvana. Les influences sont le Punk Rock et les Beatles.
1989 : leur premier album « Bleach » enregistré à Seattle voit le jour sous le label
indépendant Sub Pop. Le groupe tourne localement aux Etats-Unis. L’album se vend à 6
000 exemplaires.
1990 : en phase de préparation de son second opus, le groupe se sépare de son batteur
jugé trop limité techniquement et s’adjoint les services de Dave Grohl pour le remplacer.
Le trio part ensuite à la recherche d’un label plus important et fini par signer chez Geffen
Records appartenant au studio multimédia SKG (pour Steven Spielberg, Jerry Katzenberg
et David Geffen).
1991 : L’enregistrement du second album « Nevermind » a lieu aux mois de mai et juin à
Madison dans le Wisconsin. La production est assurée par Butch Vig. La sortie de l’album
est programmée pour septembre. Une mise en place « classique » pour ce type d’album
est prévue par Geffen Records (50 000 aux Etats-Unis et 35 000 au Royaume Uni) sans
promotion particulière. Une petite tournée à l’automne doit accompagner la sortie de
l’album. En août et en septembre le groupe joue quelques dates de concert en Europe
pour se préparer. Le clip de « Smells like teen spirit » commence à passer en boucle sur
MTV la chaine musicale montante ; les radios étudiantes diffusent massivement la
chanson. En trois semaines tous les exemplaires de « Nevermind » sont vendus ; Geffen
Records évite de justesse la rupture de stock (au plus fort de la « vague » l’album se
vendait à 300 000 unités par semaine). Au final « Nervemind » se sera vendu à 10 millions
d’exemplaires aux Etats-Unis et à 27 millions dans le monde. Avec le single phare Smells
Like Teen Spirit, le groupe met en lumière un sous-genre du rock alternatif appelé le
« grunge ». Ceci fit du rock alternatif le genre musical dominant sur les radios et chaines
de télévision musicales aux États-Unis durant la première moitié des années 1990.
1992 : Le groupe joue devant des salles combles dans le monde entier. 3 simples
supplémentaires sont tirés de « Nevermind ». Une compilation des premières chansons
enregistrées par Nirvana est commercialisée contre l’avis du groupe. Kurt Cobain devient
père en août. La mère est la chanteuse et guitariste du groupe Hole, Courtney Love.
1993 : « In Utero », le second album du groupe est produit par Steve Albini. Il est
enregistré en 15 jours à Cannon Falls dans le Minnesota. Il sort en septembre. L’album,
volontairement moins commercial que le précédent, se vendra à 4 millions d’exemplaires
aux Etats-Unis. En novembre Nirvana participe à l’émission « MTV Unplugged » ; les
chansons sont jouées en acoustique révélant ainsi tout le talent de composition de
Cobain.
1994 : En début d’année le groupe entame la tournée de promotion de « In Utero » en
Europe. Le 04 février Nirvana joue 3 morceaux en direct à Nulle Part Ailleurs sur Canal
Plus ; ce sera son seul passage à la télévision française. Le décès de Kurt Cobain est
annoncé le 8 avril. Le 1er novembre « Nirvana Unplugged in New York » sort. L’album se
vendra à 7 millions d’exemplaires aux Etats-Unis.
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LA BOITE à outils
Développant son univers artistique autour du mystère du « passage à l’acte », Frédéric
Jessua questionne l’Histoire et les passions humaines et déjoue les équilibres par un
travail minutieux sur la direction d’acteur, le pragmatisme des situations et l’atmosphère
scénique. Il crée la compagnie LA BOITE à outils en 2011, après avoir fait ses premiers pas
de metteur en scène à partir de 2007 au sein du collectif acte6 ; il s’agit de produire à
travers cette structure, des spectacles fédérateurs, à une époque semée d’embûches pour
la création artistique, s’appuyant sur l’originalité et le sens de l’innovation des auteurs
(qu’ils soient classiques ou contemporains), la créativité des comédiens et des techniciens,
en réponse à l’insatiable besoin humain de représentation.
Les spectacles, fondés sur le respect du bagage culturel et artistique de chacun, n’hésitant
pas à mêler différents arts, prennent forme et vie en s’appuyant en premier lieu sur le
texte, de manière à établir des partitions originales et précises pour les acteurs et les
techniciens.
KURT COBAIN (peu importe, tant pis…)
Frédéric assiste à l’explosion du grunge en 1991, (il est né en 1967 comme Kurt Cobain), il
découvre ensuite son « Journal » en 2004. En 2010, à l’issue d’une conversation artistique
avec Philippe Adrien, il commence l’élaboration d’un spectacle autour du groupe Nirvana.
En 2012, une courte maquette du spectacle est élaborée par l’équipe artistique à La Loge
Théâtre à Paris, à partir d’improvisations théâtrales et musicales autour des textes et des
chansons du groupe, dessinant les lignes fortes du projet.
(Liam Morrissey, Charles d’Oiron, Marie Nicolle, Thomas Matalou & Mélie Fraisse - Photo : Frédéric Jessua)
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L’EQUIPE (Photos : Frédéric Jessua)
FREDERIC JESSUA (Mise en scène, batterie, ukulélé et chant)
Il se forme au sein du Studio 34 (promotion 2000), au Conservatoire National
Supérieur d’Art Dramatique de Paris (en mise en scène, 2011) et à La Belle
Ouvrage (en production, 2010). Il a suivi des stages de jeu avec Edward Bond (en
anglais) et Jean-Pierre Garnier. Bilingue en anglais, il traduit une pièce
élisabéthaine, The Changeling de Middleton et Rowley. Cofondateur la compagnie
acte6, il participe à la création des spectacles de la troupe en tant que comédien
et directeur de production ; il se lance dans la mise en scène en 2007 puis Il fonde
sa structure fin 2010 : LA BOITE à outils. Il se penche sur le théâtre du Grand
Guignol depuis 2008 ; à ce jour il a mis en scène sept pièces de ce répertoire qu’il
présente sous forme de séries. Il participe au Festival Nouveau Théâtre Populaire
en Anjou comme metteur en scène et comédien depuis 2011. Il écrit, son premier
texte, basé sur son expérience en intervention chez les Pompiers de Paris, avec
lequel il se produit seul en scène au Ciné 13 Théâtre (2011). Il se rend
régulièrement en Suisse où il se produit comme comédien ou metteur en scène. Il
est également photographe et batteur. Il est titulaire d’une Maitrise de Gestion de
l’Université Paris IX Dauphine.
Il met en scène Peu Importe, Tant pis d’après le journal de Kurt Cobain et la
musique de Nirvana à la Loge Théâtre (2013) en résidence au CENTQUATRE,
L’Amant de la Morte de Maurice Renard au Théâtre 13 (2013) et au CNSAD (2011),
Les Détraquées d'Olaf et Palau au Théâtre 13 (2013), à La Loge Théâtre (2011) au
Théâtre Berthelot (Montreuil) et au Ciné13 Théâtre (2009), Crime dans une Maison
de Fous d’Alfred Binet et André de Lorde, Sabotage de Charles Hellem et Pol
d’Estoc et Sous la Lumière Rouge de Maurice Level et Etienne Rey et Pol d’Estoc au
Théâtre Boulimie Lausanne, CCN Neuchâtel et au Théâtre du Moulin-Neuf Aigle
(2012), Tailleur pour Dames de Georges Feydeau au Théâtre Berthelot Montreuil et
au Théâtre Sorano Toulouse (2012) au Festival NTP de Fontaine-Guérin (2011), La
Chambre d'Harold Pinter au Théâtre du Moulin-Neuf (2011), L'Atroce Volupté de
Georges Neveux et Max Maurey au Théâtre du Beauvaisis et au Cine13 Théâtre et
au Théâtre du Ranelagh (2009), Tics de René Berton au Théâtre du Moulin-Neuf
(2008), Jules César de William Shakespeare au Théâtre 14 (2008), Gabegie 11 de
Jean-François Mariotti au Studio de l’Ermitage (2008), Le Misanthrope de Molière
au Théâtre Berthelot de Montreuil (2007) et Le Roi Lear de William Shakespeare au
Théâtre du Moulin-Neuf (2006).
Acteur il joue sous la direction de Sébastien Rajon (« Peer Gynt » d’Ibsen et « Le
Balcon » de Jean Genet), Frédéric Ozier (« The Changeling » de Thomas Middleton
et William Rowley, « Dans La Solitude des Champs de Cotons » de Bernard-Marie
Koltès, « Les Bacchantes » d ‘Euripide et « Les Iles Kerguelen » d’Alexis
Ragougneau, Franck Berthier (« La Régénération » d’Italo Svevo), Valia Boulay (« Le
Parc » de Botho Strauss), Yves Burnier (« Dom Juan » de Molière, « La Double
Inconstance » de Marivaux, « Lux in Tenebris » de Bertolt Brecht, « La Mort du Bailli
Gessler » d’alexis Ragougneau, Jean-François Mariotti (« Gabegies 7 et 13 »),
Isabelle Siou (« La Pensée » de Leonide Andreiev), Carole Anderson (« The Real
Inspector Hound » de Tom Stoppard), Léo Cohen-Paperman (« Macbeth » de
William Shakespeare), Lazare Herson-Macarel (« Le Cid » de Corneille), Sacha
Todorov « Le Petit Poucet » de Charles Perrrault), Julien Romelard (« Lustucru « de
Pierre Gripari), Jo Boegli (« La vie de Galilée » de Bertolt Brecht) et Thomas
Matalou (« Parce que l’amour est aussi un théâtre » de Louis Aragon) en se
produisant entre autre au Théâtre 13, à l’Athénée Théâtre Louis-Jouvet, à
l’Espace la Comédia, au Théâtre 14, à l’Etoile du Nord, au Ciné13 Théâtre, au
Théâtre des Déchargeurs, au Théâtre du Ranelagh et au Théâtre de la Tempête. Il
anime des ateliers d’acteurs : écriture et l’improvisation au Théâtre Romain
Rolland de Villejuif, sur le Grand Guignol au Théâtre du Beauvaisis, sur
Shakespeare et Claudel au Studio 34 à Paris, sur les monologues au Théâtre 13.
Enseignant au LFTP depuis 2010 : stages d’interprétation sur le Grand Guignol,
le Théâtre Elisabéthain et Harold Pinter. Il organise à Paris en 2013 une revue de
3 pièces courtes de Grand Guignol au Théâtre 13, en 2011 un festival d’écriture
contemporaine autour des Faits Divers au Ciné13 Théâtre, en 2009 un festival de
deux mois autour du Grand Guignol au Ciné13 Théâtre. Il intervient en milieu
scolaire dans le cadre de ses productions au Théâtre du Beauvaisis, au Théâtre de
Rungis et à l’Etoile du Nord. Au cinéma il joue sous la direction de Norman
Jewison, Jacques Bral et Sarah Léonor. A la télévision pour le compte du Vrai
Journal de Karl Zéro et de Groland sur Canal Plus, et à des caméras cachées pour
le compte du Grand Piège sur M6.
BAPTISTE CHABAUTY (Guitare acoustique, vibraphone, ukulélé et chant)
Baptiste se démarque par la singularité de son parcours. Il
obtient son Prix de percussions au Conservatoire de
Strasbourg en 2005, ainsi que son Diplôme de Spécialisation
en musique de chambre, jusqu’en 2007 il enseigne les
percussions et joue dans l’Orchestre Philharmonique de
Strasbourg, de Mulhouse et de Besançon, sa ville natale. Mais
c’est à travers ces collaborations avec la compagnie bisontine
du Théâtre EnVie (9 spectacles et plus de 80 représentations
depuis 2002) qu’il trouvera son véritable mode d’expression et
découvrira, d’abord comme chanteur, et musicien, la scène
théâtrale. Il commence alors une formation de comédien à
Paris au conservatoire Francis Poulenc dans la classe de
Stéphane Auvray Nauroy, puis il intègre l’année suivante, en
2008, la Classe Libre du Cours Florent. Il y travaille avec JeanPierre Garnier, Mathieu Genet, Isabelle Duperray, Leslie
Chatterley et Daniel Martin. Sorti d’école depuis deux ans, il joue au festival d’Avignon
2010 et 2011 dans Le Dindon de Georges Feydeau mis en scène par Fanny Sidney ; aux
Arènes de Nanterre, dans J’Eprouve, écrit et mis en scène par Léon Masson ; à la Maison
du Comédien Maria Casarès dans une pièce écrite et mise en scène par Joséphine Serre,
Volatiles ; dans Platonov mis en scène par Benjamin Porée au Théâtre de Vanves en 2012 ;
ainsi que sur la tournée nationale des Trois Soeurs de Tchekov mis en scène par Volodia
Serre.
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MELIE FRAISSE (Violon, ukulélé et chant)
Diplômée d’un premier Prix de violon et d’un Premier prix de
musique de chambre au Conservatoire National de Région de
Montpellier, elle entre au Conservatoire National Supérieur
de Musique de Paris dans la formation supérieure aux métiers
du son en 2001. Elle aborde l’harmonie avec Isabelle Duhat et
l’arrangement avec Marie-Jeanne Serero. Après un mastère
spécialisé en management de Grands projets à HEC, elle
réalise une mission de conseil chez AZ/Universal music. Elle
mène aujourd’hui une carrière de violoniste dans les
musiques actuelles : violoniste de studio pour le film, de
scène pour la chanson et le théâtre, et en parallèle une
carrière de compositeur et arrangeur de musiques
d’illustration : jingles pour la publicité, musique de films. Elle
anime d'autre part des ateliers d’initiation à l’improvisation et
aux outils de studio à la Cité de la Musique dans le cadre de
la folie musique dirigée par Christophe Rosenberg. Dans la compagnie
héautontimorouménos depuis 2005, elle réalise des musiques originales pour les pièces
de Jean-François Mariotti, musiques d’illustration au violon, bandes enregistrées de
musique et bruitages concrets. Elle écrit en 2011 une comédie musicale "Gabegie :
Apocalypse 2012" jouée au théâtre Berthelot de Montreuil en Janvier 2012. Actuellement
dans l'écriture d'un Concert/Spectacle pour le Théâtre du Châtelet dans le cadre des
"Concert Tôt" dédiée à un jeune public, elle continue l'écriture d'un album de musique
pop à son nom.
LIAM MORRISEY (Violoncelle, ukulélé et choeurs)
Après avoir obtenu le Bachelor of Music (diplôme universitaire
de musicien concertiste) de l'Australian National University en
2007, il s'établit à Canberra où il crée et dirige la société
Playing Around Music, dont le but est de promouvoir les plus
talentueux musiciens locaux. Il a depuis donné plus de 400
concerts, en tant que soliste, chambriste, musicien d'orchestre
et membre de groupes aux influences musicales très diverses.
Pendant deux ans, avant de s'installer à Paris en 2010, il est
aussi le violoncelliste solo du Griffyn Ensemble, et membre de
l'Orchestre Symphonique de Canberra. Ses compositions,
jouées par le Contemporary Music Ensemble de l'Australian
National University, attirent alors l'attention et les éloges du
célèbre compositeur australien Jim Cotter. En plus de ses
collaborations en musique classique, Liam a eu le plaisir de
jouer, enregistrer, et participer à des emissions avec les
musiciens de jazz Sally Greenaway et Austin Buckett, tous deux récompensés par de
nombreux prix. Par sa passion pour l'improvisation, il a gagné l'attention de la scène
avant-gardiste de Canberra et a pris part à des manifestations artistiques originales,
comme les représentations théâtrales improvisées Tableaux Vivants, un projet très
particulier qui continue encore avec succès. Passionné de pédagogie, Liam est enfin un
professeur expérimenté, ayant notamment enseigné le violoncelle au sein de l'Université
de Canberra.
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THOMAS MATALOU (Accordéon, effets spéciaux, ukulélé et choeurs)
Après avoir suivi une formation au Cours Florent dans les classes de Michel Fau, Eric Ruf,
Christophe Garcia, Sandy Ouvrier, il rejoint la compagnie d’Olivier Py, avec qui il entame à
partir de 2005 un travail de trois années sur le spectacle Les
Vainqueurs, puis sur L’eau de la vie et La jeune fille, le diable et le
Moulin adaptés des contes de Grimm en tournée durant la saison
06-07, dans toute le France. Parallèlement il participe à un stage
dirigé par Claude Degliame et Jean-Michel Rabeux à Toulouse, à
la suite duquel il lui est permis de rencontrer Sophie Rousseau,
avec qui il travaillera sur Le Songe de Juliette une petite forme
précédant la tournée du Songe d’une nuit d’été mis en scène par
Jean-Michel Rabeux, durant la saison 06-07 en tournée. Il reprend
un rôle dans Le Chapeau de Paille d’Italie d’Eugène Labiche mis
en scène par Olivier Balazuc pour la tournée de janvier 2007 dans
toute la France. En 2008, il participe à la création du Collectif
DRAO Nature morte dans un Fossé de Fausto Paravidino ; le
spectacle sera joué à Avignon, au Théâtre 71 à Malakoff et en
tournée. Il participe ensuite à la création d’un conte de Grimm La vraie fiancée écrit et mis
en scène par Olivier Py, aux Ateliers Berthier en décembre 2009. Parallèlement, il rejoint
l’Outil de la Ressemblance, compagnie suisse en résidence au Théâtre du Passage de
Neuchâtel pour leur nouveau travail autour de Kafka sur le rivage d’Haruki Murakami. En
janvier 2010 il joue dans la création de Vertige des animaux avant l’abatage de Dimitris
Dimitriadis mis en scène par Caterina Gozzi aux Ateliers Berthier de l’Odéon. En 2011 dans
Bérénice de Racine mis en scène par Laurent Brethome en tournée et dans Shut your
Mouth création du collectif DRAO d’après Bergman, Fosse et Norèn en Avignon.
Formation en piano classique pendant 10 ans ; joue du saxophone.
MARIE NICOLLE (Accordéon, ukulélé et chant)
Formée au Conservatoire National Supérieur d’Art
Dramatique (Promotion 2004, professeurs Daniel Mesguich,
Joël Jouanneau, Jean-Marie Patte, Philippe Adrien, Brigitte
Jaques, Eric Ruf) et à la classe libre de l’Ecole Florent
(Professeurs Jean-Pierre Garnier et Sandy Ouvrier). Au théâtre,
elle a joué dans Les Enfants d’Edward Bond mis en scène par
Jean-Pierre Garnier, dans Les Juives de Robert Garnier mis en
scène par Eric Génovèse, dans Meurtre d’Hanokh Levin mis en
scène par Clément Poirée, dans Macbeth de Shakespeare mis
en scène par Matthew Jocelyn, dans Les Chants de Maldoror,
Premier Chant de Lautréamont mis en scène par Thibaut
Corrion, dans Le Mental de l’équipe d’Emmanuel Bourdieu et
Frédéric Bélier Garcia mis en scène par Denis Podalydès et
Frédéric Bélier Garcia ainsi que dans L’ Acte Inconnu, écrit et
mis en scène par Valère Novarina, Un Miracle Ordinaire
d’Evguéni Schwartz mis en scène par Laure Favret. Elle a
également travaillé avec Pauline Bureau sur les projets Dix, Un songe, une nuit d’été,
Embarquement 5’32’’, 5mn avant l’aube, Roméo et Juliette, Lettres de l'intérieur, La
Disparition de Richard Taylor, Roberto Zucco, Modèles et La Meilleure part des Hommes.
Formation en guitare classique. Accordéon. Jonglage.
12
CHARLES D’OIRON (Non présent sur scène cette saison, membre du projet)
Après des études de philosophie, Il intègre le Laboratoire de Formation au Théâtre
Physique en 2010 et travaille sous la direction de Maxime Franzetti (Molière, Brecht,
Barker), Thomas Bouvet (Rambert), Alexandre Ethève (Dario
Fo en masque expressif), Frédéric Jessua (théâtre
élisabéthain), Thomas Condemine (Claudel), Jean Pierre
Garnier (Brecht). Il joue le rôle d'Ulysse dans Homériade
mis en scène par Nicolas Grosrichard et crée sa première
mise en scène, Stabat Mater Furiosa; pièce pour neuf
acteurs dans l'obscurité lors du Festival mise du LFTP au
Théâtre du Baléti. il travaille ensuite avec Benjamin Porée
dans Platonov au Theatre de Vanves, Thibaut Pérenoud
dans Le Misanthrope au Château de Fargues, avec Frédéric
Jessua dans Peu importe tant pis (maquette pour une
création sur Kurt Cobain) au Théâtre de la loge. En 2013 il
est engagé sur un long métrage de César Vayssié et
travaillera en préparation du film dans divers CDN avec
Boris Charmatz et Dimitri Chamblas, Mathilde Monnier,
Yves Noel Genod et Philipe Quesne. Parallèlement à son
métier d'acteur il compose de la musique pour divers
supports (publicités, documentaires) et pièces de Théâtre.
ELISE CHIEZE (assistanat)
Après s’être formée au Studio 34 Formation-Création où elle rencontre ses futurs
partenaires de jeu, Elle participe en 2006 à la création de la Compagnie de l’Incartade,
dirigée par Coralie Salonne. S’ensuit plusieurs créations dont « Périclès » de Shakespeare
et « Les Visionnaires » de Jean Desmarets de Saint Sorlin mis en scène par Coralie
Salonne, puis « Le Baiser dans la Nuit » de Maurice Level mis en scène par Jonathan
Hume. En parallèle de cette vie de troupe, elle joue dans « Anna et la pierre du Voyage »
un spectacle mis en scène par Amandine Blanquart (10 représentations en milieu scolaire
à Paris) et collabore au sein de la « La Cicadelle » une compagnie spécialisée dans les
spectacles pour enfants où elle joue dans de nombreuses écoles et théâtres d’Ile de
France sous la direction de Marie-Aline Cresson. Elle participe à différents courts-métrages
sous la direction notamment de Julien Rey ou Elisabeth Draguet. Sa rencontre avec
Frédéric Jessua en 2008 l’initie à la mise en scène : elle l’assiste sur « Tics » de René Berton
au Théâtre du Moulin-Neuf en Suisse puis sur « L’Atroce Volupté » de Georges Neveux et
Max Maurey (Théâtre du Beauvaisis) et « Les Détraquées » d’Olaf et Palau (Théâtre
Berthelot de Montreuil). En 2009 elle participe au festival de 6 pièces de Grand Guignol
« Ca Bute à Montmartre » organisé par Frédéric Jessua au Ciné13 Théâtre, au Théâtre du
Ranelagh, au Théâtre Berthelot de Montreuil puis en tournée en Suisse ; elle assure
l’assistanat artistique et organisationnel et joue sous la direction de Jonathan Hume,
Isabelle Siou et Frédéric Jessua. Depuis 2010, elle réalise en parallèle de son parcours de
comédienne un master de Direction et Conception de Projets Culturels à La Sorbonne
Nouvelle. Tout en continuant son parcours de comédienne (tournée de Grand Guignol en
Suisse et reprise « Les Détraquées » à la Loge Théâtre à Paris en 2011), elle étudie
actuellement la façon dont on les artistes et le public décodent la crise économique au
Théâtre de la Colline à Paris et au Teatro Valle à Rome.
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GENERIQUE
ACTEURS MUSICIENS
Mélie Fraisse Violon, ukulélé & chant
Marie Nicolle Accordéon, ukulélé & chant
Baptiste Chabauty Guitare acoustique, vibraphone, ukulélé & chant
Frédéric Jessua Batterie, ukulélé & chœurs
Thomas Matalou Accordéon, ukulélé, effets spéciaux & chœurs
Liam Morrisey Violoncelle, ukulélé & chant
TECHNIQUE
Alice Versieux Lumière
Les comédiens sous le regard de Lora Guillot Costumes
Elise Chièze Assistanat
Frédéric Jessua Mise en scène
SOURCES
Kurt Cobain Journal
Everett True La Véritable histoire de Nirvana
Wikipedia L’Encyclopédie Libre
Improvisations des comédiens
VIDEO
Extrait concert Nirvana Unplugged in New York
Clip idéo Smells like teen spirit
Interview MTV 1993
MUSIQUES DIFFUSEES
Nirvana Serve the servants
Trentemoller Smells like teen spirit (remix)
Nirvana Heart Shaped Box
Nirvana Milk it
Neil Young Hey, hey, my, my
MUSIQUES INTERPRETEES
Nirvana Dumb (Accordéon, violon & voix)
The Beatles Michèle (Guitare & voix)
Nirvana Breed (Violoncelle, violon & voix)
Nirvana In Bloom (A capella)
Nirvana All Apologies (Ukulélés)
Nirvana Lithium (Texte, piano, violoncelle & violon)
Nirvana Territorial Pissings (Texte, piano, vibraphone et percussions)
Nirvana Something in the Way (Violoncelle, violon, accordéon & voix)
Nirvana My Girl (Accordéons, violon, piano, violoncelle, batterie & voix).
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CONTACTS
(Marie Nicolle, Thomas Matalou, Liam Morrissey, Mélie Fraisse & Charles d’Oiron - Photo : Frédéric Jessua)
LA BOITE à outils (spectacles vivants)
10-12, avenue Rachel – 75018 Paris
www.la-bo.eu
Frédéric Jessua (spectacles) 06 80 17 88 18 – [email protected]
Elise Chièze (compagnie) [email protected]
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