Bon de commande - Union et Solidarité

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Bon de commande - Union et Solidarité
—————————————————————————————————————————— Je commande exemplaire(s) du livre Mes prénoms et nom : _______________ Histoire de la Franc‐maçonnerie à Montluçon au prix de 22€ Mon adresse complète : __________________________________
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__________________________________ Code postal, ville : __________________ Courriel : __________________________ Je joins mon règlement par chèque à l’ordre de U.N.I. Envoyez‐moi mon (mes) exemplaire(s) par la Poste ; je rajoute 4€ de frais de port (France, par exemplaire). Nous consulter pour un grand nombre d’exemplaires, ainsi que pour les frais de port pour l’étranger : [email protected] Préface par Jean Robert Ragache Avant‐propos par le Vénérable Maître Première partie : La Loge « Le Phénix » de 1831 à 1834 Relevé des membres. La porte de la rue de la Fontaine. Le local de la place du Château. La Loge « Le Phénix » de 1848 à 1852 Relevé des membres L’affaire de la Brande des Mottes Le cas Gilbert My La loge de Commentry en 1850 et 1851 L’affaire du déjeuner du 5 octobre 1851 Statistiques Autres franc‐maçons montluçonnais Conclusions Seconde partie : la Loge « Union et Solidarité » : Avant‐propos La fondation de la loge en 1890 Pourquoi la dénomination « Union et Solidarité » ? Les premières années 1890‐1901 Jean Théodore SIRDEY 1900 La création du Chapitre La tour Perrier à Désertines 1901‐1914 1914‐1940 1944 Le réveil de la loge Les faïences maçonniques du musée de Montluçon Quelques figures de francs‐maçons Les Vénérables Maîtres de la loge Bibliographie Un livre de 160 pages Imprimé en quadrichromie format 160x237mm illustrations en couleurs et en noir et blanc A commander à : US125 31 rue de Blanzat 03100 Montluçon [email protected] Notre site : http://union.et.solidarite.free.fr/ Extrait de la préface ...L’Allier est un département maçonnique : Gannat, Moulins, Cusset, Saint‐Pourçain, Vichy et bien sûr Montluçon ont été des lieux d’implantation des loges. Mais quelles différences entre Moulins, la ville administrative, et Montluçon la cité ouvrière ! Car si l’on a toujours travaillé sur l’influence que pouvait exercer la Franc‐maçonnerie sur son environnement culturel, économi‐
que, social et politique, on a moins considéré l’impact de l’environnement sur les loges. Or l’activité économique, les enjeux politi‐
ques, la composition sociologique d’une ville sont déterminants si l’on veut étudier les comportements des frères et les péripéties qui jalonnent la vie d’un atelier… ...Voila donc un ouvrage divisé en deux parties, la première traitant de la Loge « Le Phénix » mais aussi de celle de Com‐
mentry, dans la première moitié du XIXème siècle. La seconde, c’est l’histoire de la Loge « Union et Solidarité » de sa création à la période contemporaine. Les biographies sont nombreuses, permettant d’identifier les frères et de décrire leur action dans le monde profane et cela sans cacher les points positifs comme les points négatifs de la vie des loges. Quant à l’iconographie, elle est remarquable notamment en ce qui concerne les faïences maçonniques du musée de Montluçon, mais de façon générale elle témoi‐
gne de recherches approfondies sur le monde maçonnique régional. Ce livre est donc un maillon important qui permet une meil‐
leure connaissance de la Franc‐Maçonnerie dans notre pays. Jean‐Robert Ragache Ancien Grand Maître du Grand Orient de France Ancien Souverain Grand Commandeur du Suprême Conseil de France du Grand Collège du Rite Écossais Ancien Accepté Lucien DESLINIERES fut le premier Vénérable Maître de la Loge « Union et Solidarité » en 1890. Il était né le 7 décembre 1857 à Vierzon où résidait son père, lui‐même initié à l’âge de 21 ans à Moulins en 1841. Il décéda à Vernouillet le 8 novembre 1937. Il se lança dès l’âge de seize ans dans le journalisme. Il a été initié à Paris le 28 juillet 1884 par la Loge « La Renaissance », puis s’est affilié le 9 novembre 1888 à la Loge « Équerre » nouvellement créée à Moulins. En 1901, il fut membre fondateur et premier Vénérable Maître de la Loge « L’Action Socialiste » à l’Orient de Paris. En 1908, il fut membre fondateur et premier Vénérable Maître de la Loge « La Société Nouvelle », toujours à Paris, loge qui fusionnera avec la précédente en décembre 1910. Il fréquenta aussi la Loge « Les Rénovateurs » à l’Orient de Clichy, aux côtés du docteur ME‐
SLIER ou de Jean‐Baptiste CLEMENT, ou la Loge « Mars et les Arts » à Nantes. Il fut à la fois un militant en Franc‐Maçonnerie et en socia‐
lisme, mais aussi un homme ayant voulu systématiser et faire en‐
trer sa pensée dans un cadre précis et vigoureux. Ce théoricien fut l’auteur de nombreux ouvrages. Il fut aussi pionnier et créateur d’une coopérative viticole en Algérie. Il s’était aussi rallié dans un premier temps à la Révolu‐
tion bolchevique, et il partit pour Moscou au printemps 1920. Il fut nommé directeur de l’enseignement agricole au Commissariat de l’instruction publique d’Ukraine. Mais il rentra très découragé en France. A la fin de sa vie, il prôna la thèse d’un socialisme recons‐
tructeur opposé au marxisme et à ses méthodes.