Compte rendu de la réunion - Agence de l`eau Rhône Méditerranée
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Compte rendu de la réunion - Agence de l`eau Rhône Méditerranée
COMITE DE BASSIN RHONE MEDITERRANEE COMMISSION GEOGRAPHIQUE DURANCE Avignon le 15 octobre 2010 Compte rendu de la réunion Présidée par : Mme Cécile HELLE, Présidente de la Commission Géographique, Vice-Présidente du Conseil Régional de Provence-Alpes-Côte d'Azur ; M. André BERNARD, Vice-Président de la Commission Géographique, Membre de la Chambre d’Agriculture de Vaucluse. Siégeaient également à la tribune : Laurent NEYER, Directeur Adjoint de la Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement (DREAL) ; Gabrielle FOURNIER, Directrice Régionale de l’Agence de l'Eau Rhône Méditerranée et Corse à Marseille. Egalement présents : Alain PIALAT, Directeur de l’Agence de l’Eau Rhône Méditerranée et Corse ; Michel DANTIN, Président du Comité de Bassin Rhône Méditerranée ; Laurent FAYEIN, Président du Conseil d’Administration de l’Agence de l’Eau Rhône Méditerranée et Corse. ----------------A l’ordre du jour de la Commission Géographique : - Le Schéma Directeur d’Aménagement et de Gestion des Eaux (SDAGE) adopté par le Comité de Bassin en décembre 2009 ; - la déclinaison du programme de mesures 2010-2015 sur le territoire ; - la gestion du déficit de la ressource en eau : les études Volumes Prélevables ; - points d’informations spécifiques : le SOURSE initié par la Région Provence Alpes Côte d’Azur, R2D2 programme de recherche sur les évolutions climatiques en Durance CEMAGREF/EDF et état d’avancement de la politique sur le Rhône au regard du SDAGE. Madame Cécile HELLE Présidente de la Commission ouvre la séance en rappelant que suite aux dernières élections régionales, elle a été désignée par le Comité de Bassin Présidente de la commission géographique Durance. Elle rappelle le rôle important des commissions géographiques lieux de débats et d’échanges. Les dernières commissions géographiques se sont réunies en févier 2009 à Sainte Tulle. Monsieur François LELEU, conseiller municipal d’Avignon, nous accueille en soulignant l’importance de l’eau pour cette ville, particulièrement pour le fleuve Rhône à travers les projets de protection des digues de la Barthelasse. La ville d’Avignon est partie prenante du Rhône et de la Durance et à ce titre, elle participe à la dynamique collectivité/Etat sur à la fois le Plan Rhône et le Plan Durance. Cécile HELLE introduit les points à l’ordre du jour, rappelle que sur le SDAGE le travail est engagé et doit permettre de traiter les grands enjeux de la problématique de l’eau. Nous sommes à un moment clé de l’engagement de la dynamique. 1 Elle rappelle que la Commission Territoriale de Bassin (CTB) Durance se réunit l’après-midi, ouverte uniquement aux membres du Comité de Bassin. Cette commission est chargée de la synthèse des débats afin de la rapporter au Comité de Bassin. Enfin, dans le cadre de la volonté de l’Agence de l’Eau d’organiser des Commissions Géographiques plus éco responsables, Cécile HELLE a rappelé les efforts de l’Agence de l’Eau pour réduire «l’empreinte écologique» de cette réunion (co-voiturage, dématérialisation des documents, produits biologiques, …). Compte tenu de l’ordre du jour, il est prévu plusieurs temps de débats pour que les membres de la Commission puissent s’exprimer. Cécile HELLE encourage les participants à poser leurs questions et exprimer leurs réactions pour que les membres de la CTB puissent les faire remonter au Comité de Bassin. Point I. Le projet de SDAGE et le programme de mesures de la DCE Matthieu PAPOUIN Directeur de la Planification de l’Agence de l’Eau, rappelle que le SDAGE a été approuvé par le Comité de Bassin en décembre 2009. Il présente le contenu des documents (cf. présentations), rappelle qu’il s’agit d’un dispositif complet qui comprend des orientations et des objectifs, un programme de mesures et un programme de surveillance. Les objectifs et orientations du SDAGE intègrent les objectifs du Grenelle de l’environnement et préparent aussi le lien avec la directive inondations. L’objectif pour 2010 est d’aller vers une mise en œuvre concrète des actions et atteindre ainsi les objectifs dans les délais. Il rappelle que le contenu a été co-construit avec les acteurs locaux. Il présente l’opposabilité juridique du SDAGE aux décisions administratives dans le domaine de l’eau et les modalités du déploiement du SDAGE au niveau local. Les documents relatifs au SDAGE sont aujourd’hui mis à disposition de tous sur le site eaufrance www.rhone-mediterranee.eaufrance.fr. Par ailleurs, la note jointe au dossier apporte des précisions complémentaires sur les données mises à disposition. Il rappelle ensuite que des moyens ont été mobilisés pour la mise en œuvre de ces dispositions, que se soit auprès des services de l’Etat, du 9ème programme révisé des Agences de l’Eau ou grâce à la nouvelle forme de contractualisation (contrats de milieu) qui doit afficher de manière plus explicite les objectifs visés et le lien avec le SDAGE et le PDM. Le SDAGE relance également la dynamique sur les SAGE, avec une mise en compatibilité d’ici 2012 ou des territoires prioritaires pour la mise en œuvre de nouveaux SAGE… Suite à cette première présentation, Cécile HELLE ouvre le débat avec les membres de la Commission sur le projet de SDAGE qui leur est soumis. Les points suivants sont soulevés : Cohérence entre le SDAGE et autres réglementations Cohérence entre contrats de rivière et procédures Inondations Gilles BRIERE du Conseil Général de Vaucluse, excuse son Président, et souhaite aborder la cohérence entre toutes les dispositions réglementaires existantes aujourd’hui, SDAGE et PPRI par exemple, qui peuvent s’avérer contradictoires. Comment gérer ces contradictions ? Il cite l’exemple d’une digue à conforter pour la protection des inondations, dont la ripisylve est classée Natura 2000. Laurent NEYER, DREAL PACA signale qu’il n’y a pas d’approche unique et que ces sujets doivent être traités au cas par cas, avec une anticipation la plus grande possible pour éviter les points de blocage. 2 Révision du SDAGE François LELEU de la ville d’Avignon, illustre la problématique de cohérences réglementaires par l’exemple de la Durance, où il a été demandé à EDF de restituer de l’eau pour la préservation de l’Etang de Berre mais cela a des impacts directs sur la basse Durance en provoquant l’enlimonnement. La Ville d’Avignon se trouve confronter à des travaux de protection plus importants. Laurent NEYER explique qu’une vision élargie de tous ces aspects est effectivement nécessaire avec des approches gestion physique et gestion sédimentaire de tous les milieux concernés. Béatrice ORELLE Conseil Général des Bouches du Rhône, souligne également les relations entre contrat de rivière et PAPI, pour gérer les inondations, un PAPI est nécessaire alors que les contrats de rivière sont des outils de concertation locale, touchant les mêmes acteurs et les mêmes thèmes. Matthieu PAPOUIN précise qu’il y a de nouveaux PAPI, petits ou grands en fonction du coût des travaux, et que les plus petits ont vocation à intégrer les volets Inondations des contrats de rivière. Mireille BRUN chambre d’agriculture de Vaucluse, souhaite savoir dans quelle mesure il sera possible en 2012 lors du bilan du SDAGE à mi parcours de revoir les mesures qui n’auront pas été réalisées (manque de maître d’ouvrages ou de financements) ? Matthieu PAPOUIN Agence de l’eau précise que le bilan est là pour apporter des justifications à l’Europe sur ce qui aura été réalisé ou non. Il sera possible de justifier des modifications en les argumentant sur un rapport coût/efficacité. Point II – Déclinaison du SDAGE et du programme de mesures sur le territoire de la commission géographique et exemple du bassin de la Bléone (Alpes de Haute Provence) Joelle HERVO, Agence de l’Eau à Marseille présente l’état des cours d’eau sur le territoire de la commission géographique (Cf. Présentations), les problèmes majeurs identifiés pour l’atteinte du bon état et l’état d’avancement en 2010 des principaux enjeux du Grenelle (captages prioritaires, continuité écologique, gestion de la ressource, démarches partenariales, zones humides…). L’exemple de la Bléone (04) permet de visualiser sur un bassin versant la déclinaison du SDAGE et du programme de mesures. M. VARCIN Président du Syndicat d’Aménagement de la Bléone (SMAB) et Caroline SAVOYAT chargée de mission contrat rivière de la Bléone, présentent ces éléments sur le bassin. Notamment, M. VARCIN précise dans quelles conditions il a développé une démarche de contrat de rivière sur son territoire en appliquant les trois principes : amitié, proximité et humilité, en ajoutant démocratie et transparence. Pierre GOTTARDI, DDT 04, illustre cet exemple par la déclinaison du programme de mesures, alternant mesures de base issues des directives réglementaires antérieures et mesures complémentaires pour l’atteinte du bon état. Le débat est ouvert par la présidente. Empilement des démarches, délais de réalisation de plus en plus longs… le syndrome de la pyramide inversée Henri PIGNOLY SMAVD, rappelle que le transit sédimentaire qui sera engagé sur la Bléone est très attendu en Durance où il est nécessaire. Il rappelle le rôle de l’Etablissement Public Territorial de Bassin (EPTB Durance) dans la coordination des actions sur le bassin, ce qui représente un champ de collaboration pour le futur. Toutefois, les délais de réalisation des actions de transit sédimentaire sont extrêmement longs et il ne faut pas attendre de résultats avant plusieurs années. Les objectifs de 2015 seront 3 Les contrats de rivière base de la concertation vraisemblablement difficiles à tenir, d’autant plus que les délais d’instruction des travaux sont de plus en plus importants… Il devient très difficile de réaliser une action concrète. Les maîtres d’ouvrage ont un sentiment de pyramide inversée, tout reposant sur leurs épaules… L’empilement des démarches réglementaires rend la réalisation des actions problématique, c’est une réalité à prendre en compte dans la mise en œuvre du SDAGE. Gilles BRIERE souligne de plus qu’il y a risque de télescopage dans les priorités de financements, entre des objectifs Inondation et environnementaux. Il évoque également les surenchérissements au niveau des coûts qu’il semble constater. Noël PITON de la Chambre d’agriculture des Alpes de Haute Provence souligne l’importance pour la Chambre d’agriculture des démarches de type contrats de rivière qui sont des espaces de concertation sur lesquels il faut s’appuyer plutôt que sur les contraintes réglementaires. Particulièrement sur la Bléone où les ressources en eau sont très mal connues, l’étude des volumes prélevables devrait apporter des éléments et ne pas poser de grosses difficultés pour l’atteinte des objectifs à l’horizon 2015/2021. Point III – Gestion du déficit de la ressource : les études Volumes prélevables (EVP) Philippe PIERRON Agence de l’Eau à Marseille, présente la démarche proposée pour ces études (Cf. Présentations), l’objectif étant le retour à l’équilibre entre l’offre et la demande afin d’éviter une gestion récurrente de la crise. Proposées sur les territoires prioritaires du SDAGE, elles sont portées soit par les stuctures locales soit par l’Agence de l’eau. A fin 2012, l’ensemble des études devra être terminé pour une mise en cohérence des prélèvements avant fin 2014. La conduite de ces études requiert la participation de tous les acteurs et la construction d’un véritable projet pour le territoire. Un débat est ouvert sur ce point par la présidente. Une démarche concertée ...mais un gouffre entre usagers et réglementation Face à l’accumulation des contraintes pour l’agriculture… …Des inquiétudes sur l’avenir Noël PITON de la Chambre d’agriculture des Alpes de Haute Provence apprécie l’énergie déployée et la méthode de travail adoptée mais souligne qu’il y a un gouffre avec les usagers sur le terrain. La superposition des différentes démarches et l’accumulation des réglementations sont telles qu’il devient difficile pour la profession agricole de tout suivre. Les études volumes prélevables conduites sur certains cours d’eau ne laisseront pas de marges de manœuvres pour les usagers. Il a déjà été beaucoup fait par les agriculteurs, fédération d’ASA : mise en place de comptages, tours d’eau, participation aux ZRE, arrêté sécheresse…les Etudes Volumes Prélevables vont avoir un impact réglementaire fort qui risque de compromettre l’économie locale, les protocoles d’évaluation des débits minimum posent problème… André BERNARD, Vice-président de la commission et représentant la chambre d’agriculture de Vaucluse, précise que l’empilement des contraintes dans un contexte de crise économique tendue rend les agriculteurs inquiets. La procédure de partage de la ressource est en soi une bonne chose mais si ces études n’offrent plus de marges possibles, les irrigants vont avoir tendance à surévaluer les besoins…Il est nécessaire de caler les règles du jeu, les irrigants sont acteurs du territoire. Il demande plus de souplesse dans l’application des règles. 4 Inondation et Santé les préoccupations des citoyens Gabrielle FOURNIER, directrice régionale de l’agence de l’eau, lui répond que ceci est à voir dans un objectif moyen et long terme, les difficultés se sont pas à sous estimer. Un mode de partage de la ressource est à trouver suite aux EVP pour faire face aux déséquilibres, dans une connaissance aussi fine que possible des réalités économiques locales. Il faut donner des pistes pour avancer ensemble dans un projet de territoire. Laurent NEYER souligne effectivement l’importance du volet économique, social dans le projet d’aménagement du territoire sur la base d’un équilibre connaissances/usages. Fabienne GUYOT Canal Centre Crau Alpilles, déclare que les contrats de rivières sont de bons outils et qu’il existe également les contrats de canaux qui permettent la concertation autour des grands canaux. Les enjeux sociaux sont importants, elle demande que soient associés les irrigants aux différentes études. Anne-Lise MULLER de l’Union Régionale Vie et Nature (URVN) rappelle que la préoccupation des citoyens porte aussi sur les aspects santé et inondation. Le SDAGE doit prendre en compte ces préoccupations. Les associations sur le terrain peuvent participer à ces démarches. Elle signale le prochain congrès FNE qui aura pour thème l’agriculture et se déroulera à Marseille. Didier VINCENT de l’Agence Régionale de la Santé (ARS) Rhône Alpes précise qu’il faut prendre le volet sanitaire au sens large en lien avec les inégalités sociales et économiques. Il souligne de plus un sujet important au niveau mondial : le lutte contre l’érosion des sols. Cécile HELLE clot cette partie du débat en soulignant que toutes ces préoccupations et les efforts réalisés sont à partager et qu’il y a encore des efforts à faire dans ce sens. La région est soumise à une pression démographique, touristique, économique importantes, il est légitime de se poser la question de l’avenir de cette ressource. Cette réflexion est à conduire dans le cadre du SOURSE à l’échelle de toute la région. Point IV – le Schéma d’Orientations pour une Utilisation Raisonnée et Solidaire de la Ressource en Eau (SOURSE) initié par le Conseil régional Provence Alpes Côte d’Azur Béatrice MAYEN et Sandrine PLAGNOL du Conseil régional présentent respectivement les attendus du Schéma et le diagnostic qui a été réalisé dans le cadre des Assises régionales de l’eau (Cf. présentations). Le SOURSE est un outil d’anticipation qui permettra d’éviter les gestions de crise. Il pose les bases d’une démarche stratégique et technique. Il y a adéquation entre cette démarche et les EVP, le SDAGE et ses orientations fondamentales ou les démarches locales. L’échelle de temps est à moyen et long terme, à l’objectif 2030. La démarche Assises et SOURSE participe d’une co-construction partenariale pour la définition d ‘une gouvernance de l’eau à l’échelle régionale. Les déclinaisons possibles pourront être un volet d’hydraulique agricole, une réflexion sur le rôle des stuctures de gestion dans la cadre de la réforme territoriale. Il y a là une inquiétude des acteurs de l’eau et le Conseil Régional a émis un vœu pour le soutien à la démarche juridique des EPAGE. Pas de question sur ce point. Point V – Risque, Ressource en eau et gestion Durable de la Durance en 2050 (R2D2 2050) Gabrielle FOURNIER, présente le projet de recherche conduit par le CEMAGREF et EDF, en partenariat avec la société du Canal de Provence et ACTEON, répondant ainsi à un appel d’offre 5 national du MEEDDM (Cf. présentations). L’objectif est de progresser sur une vision prospective de la ressource en eau en Durance dans un territoire fortement anthropisé et dans le cadre du changement climatique. Ce projet permettra de fournir les grandes tendances d’évolution du bassin de la Durance pour que les acteurs de l’eau puissent adapter leur stratégie d’utilisation de la ressource. Cette étude devrait débuter fin 2010. Pas de question sur ce point. Point VII – Information sur l’avancement de la politique sur le Rhône, déclinaison du SDAGE et Plan Rhône Gabrielle FOURNIER présente également le déclinaison du SDAGE sur l’ensemble de l’axe du Rhône (Cf. présentations). Cette présentation est prévue dans chacune des commissions géographiques afin de donnner un aperçu de la cohérence d’ensemble de la démarche et de la gouvernance qui est mise en place. Un point annuel de l’état d’avancement du Plan Rhône et de la mise en œuvre du programme de mesures seront présentés en Bureau du Comité de bassin. Sans autre intervention sur le sujet, la Présidente remercie les participants et lève la séance vers 13 h 00. Elle précise que la Commission Territoriale de Bassin se tiendra l’après-midi avec les membres du Comité de Bassin présents. Liste des participants ci-dessous. Toutes les présentations sont disponibles sur le site internet http://www.eaurmc.fr/le-bassin-rhone-mediterranee/le-comite-de-bassinrhone-mediterranee/les-commissions-territoriales-du-bassin-rhonemediterranee/commission-geographique-durance-octobre-2010.html 6 Participants à la Commission Géographique Durance Organisme AGENCE REGIONALE DE SANTE RHONE ALPES ARPE ARPE RRGMA ARS DT VAUCLUSE ARS VAUCLUSE ASSOCIATION MRM CA DU VAUCLUSE CANAL DE CARPENTRAS CANAL DE L'ISLE CANAL DE PROVENCE CANAL SAINT JULIEN CANAL SAINT JULIEN CAVE CCPRO CESR PACA CG 04 CG 05 SERVICE EAU ENVIRONNEMENT CHAMBRE AGRICULTURE 04 CHAMBRE AGRICULTURE 13 CHAMBRE AGRICULTURE 84 CHAMBRE REGIONALE D'AGRICULTURE CLE COULON COMITE DE BASSIN CONSEIL GENERAL 13 CONSEIL GENERAL 84 CONSEIL REGIONAL PACA CONSEIL REGIONAL PACA CONSEIL REGIONAL PACA CONSEIL REGIONAL PACA CONSEILLERE REGIONALE PACA CONTRAT DE CANAL CRAU SUD ALPILLES CPIE ALPES DE PROVENCE DDT 04/SER DDT 05 DDT 84 DDT HAUTES ALPES DDTM 13 DRAAF RHONE ALPES DRAF DRAL RHONE ALPES DREAL PACA SBEP UEMA DREAL PACA SBEP UEMA DREAL PACA SBEP UEMA DREAL PACA SBEP UEMA DSIGE 05 EDF PRODUCTION MEDITERRANEE ETS PLANTIN FDMAPPMA 13 ET 83 FEDERATION DE PECHE 05 FEDERATION DE PECHE 05 FEDERATION DE PECHE 84 MAIRIE DE VITROLLES MAISON REGIONALE DE L'EAU ONEMA Prénom VINCENT FREIHAUT METSU GARCIA DELORME LEBEL MUSCAT PIGNARD AUZIER REIG MOULLIN SARNETTE BREUVART SOUCIET ROSSIGNOL MATHIEU CHOUQUET PITON BAURY BRUN ARNAUD NICOLAS ESPAGNACG ORELLE BRIERE FRANCART MAYEN NALBONE PLAGNOL HELLE GUYOT DE SARTIGES GOTTARDI BARBET GAILDRAUD CANTET ODDOS GERMAIN BAUDEQUIN DUFFY BRUCHET LACAS MICHEL SAVIN PETIT LENORMANT BRUN CONAN DOUCENDE FANTI LALAUZE GENOULAB ARNAUD BEAUDOU Nom DIDIER ANNELISE NICOLAS STEPHANIE LAURIANNE ISABELLE ANTHONY SANDRINE PASCAL LIONEL HERVE YVAN ALAIN FRANK CLAUDE PATRICK ISABELLE NOEL CLAUDE MIREILLE MARIE-THERESE PAUL ANDRE BEATRICE GILLES CHRISTEL BEATRICE OLIVIER SANDRINE CECILE FABIENNE BERTRAND PIERRE CHRISTIAN CATHERINE ERIC AUDREY BERNARD DENIS LOIC PATRICIA JEAN-GUILLAUME JEREMIE JEAN-BAPTISTE ANNE FRANCOIS CATHERINE PATRICE SEBASTIEN DAVID BERNARD PHILIPPE VERONIQUE OLIVIER DOMINIQUE 7 PNR QUEYRAS SDEI SDEI RHONE PROVENCE SIAE BASSIN DE L'EZE SIE MEOUGE SMAB SMAVD SMBVL SMBVL SMOP SOCIETE DE CANAL DE PROVENCE SOCIETE DES EAUX DE MARSEILLE SYNDICAT D'AMENAGEMENT DE LA TOULOUBRE SYNDICAT MIXTE AMENAGEMENT DE LA BLEONE SYNDICAT MIXTE DU BASSIN DES SORGUES UDVN 84 UDVN 84 UNICEM URVN PACA URVN PACA VILLE D'AUBAGNE CHAMBRE AGRICULTURE HAUTES ALPES BLETTERIE REYNAUD BEDRY SERVIERE GILLETAURAY VARCIN PIGNOLY BATUT SIBOURG BONNETAIN PREVOST FOULQUIER XAVIER CEDRIC SYLVAIN SANDRA EMILIE ALEXANDRE HENRI SANDRINE JEAN-CHRISTOPHE VERONIQUE FRANCOIS JEAN COULON HUGO SAVOYAT RHODET BONNEAU SAINTOMER NORMAND BOUARD MULLER LELEU BLANC DEBRUNE CAROLINE LAURENT JEAN-PAUL DIDIER JEAN-FRANCOIS AMANDA ANNELISE FRANCOIS CAROLINE De l’Agence de l’Eau RM et C : Sylvie LAINE, Mattieu PAPOUIN, Jean-Louis SIMMONOT, Gäel LE SCAON, Philippe PIERRON, Jean-Michel EIFFES, Aline HUNAULT, Vincent MAYEN, Joëlle HERVO, Fabien RAIMONDIE, Cécile SANGUINEDE, Gérarldine SENACQ, Hélène JEHTRIT, Philippe GIRODET, Sandra DELAUNAY, Jean Michel CHAZALON, Christel LANNEBERE 8