Texte de présentation

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MONU 2016
MODÉLISATION DES NATIONS UNIES DE VANCOUVER
TEXTE DE PRÉSENTATION
OMS
SUJET A :
Renforcer la sensibilisation et améliorer l’accessibilité des
médicaments et des technologies essentiels pour traiter et
prévenir le diabète
SUJET B :
La salubrité de l’environnement et la santé des enfants
MONU Vancouver 2016
Chers délégués,
Je m’appelle Nadhem Rojbi et je suis ravi d’être président de l’Organisation mondiale de la Santé
(OMS) cette année. Dans le dernier an, je me suis beaucoup intéressé aux modélisations de
l’Organisation des Nations Unies et j’ai participé à trois différentes conférences, dont les deux plus
grandes étaient en anglais. Maintenant, je suis fier d’avoir la chance d’être président lors de la
première conférence francophone qui rassemble les élèves francophones de la ColombieBritannique, MONU Vancouver 2016.
Je suis un élève de la 12e année à l’École Secondaire Jules-Verne. Couramment, je suis en train de
compléter mon diplôme du Baccalauréat Internationale. À part le travail et les applications
universitaires, je me permets du temps libre pour faire n’importe quoi, comme raconter des blagues,
discuter avec amis et participer à des modélisations de l’ONU. Je suis très passionnée par les
modélisations et de finalement pouvoir donner à des adolescent la chance de prendre des décisions
d’importance globale est un phénomène inoubliable. J’espère créer une expérience plaisante pour
tous les déléguées qui vont me joindre dans l’OMS, qu’ils soient débutants ou expérimentés. J’ai
hâte à vous voir en avril et à entendre les idées que vous apporterez à la discussion.
Pour les sessions de l’OMS cette année, j’ai choisi deux sujets que je trouve intéressants, courants,
importants, mais surtout amusants à débattre ; “La sensibilisation, la prévention et le traitement du
diabète” et “La salubrité de l’environnement et la santé des enfants”. L’augmentation rapide des cas
diabétiques et des mortalités reliées au diabète est très alarmante. Le diabète est un sujet assez
connu, mais qui est rarement évalué en profondeur. Je coirs que le sujet sera une excellente
occasion pour des débats intéressants qui peuvent être saisies facilement par tous les délégués. De
même, la salubrité de l’environnement et la pollution est un sujet très connu et qui est grandement
discutés ces jours-si. La santé de l’enfant joue un rôle très important dans la santé mondiale et les
facteurs environnementaux présentent des risques à leur santé. Le sujet est beaucoup plus vague et
controversé, ce qui mènera à des débats agités et divers. Pour les deux sujets, les délégués devraient
avoir les connaissances nécessaires pour représenter leur pays et pouvoir facilement prendre la
parole et partager de nouvelles idées. Chaque délégué devrait participé à la hauteur de ces
capacités !
Je vous souhaite une bonne période de préparation pour la conférence et si vous avez des questions,
n’hésitez pas à me contacter par e-mail sur [email protected] et je vous aiderais du mieux
que je peux. Enfin, bienvenue à l’OMS, à MONU Vancouver 2016 !
Cordialement,
Nadhem Rojbi
Président de l’Organisation Mondiale de la Santé
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L’Organisation Mondiale de la Santé
L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), créée en 1948 et dont le siège se retrouve à Genève en
Suisse, est une institution spécialisée de l'Organisation des Nations Unies (ONU) composée de 194
états membres. L’OMS est responsable de la santé au sein du système de l’ONU et a comme but
d’amener le monde à un niveau de santé le plus élevé. L’OMS prend le rôle de dirigeant dans les
affaires de santé internationale et cherche à promouvoir les recherches médicales, créer des normes
de santé à travers des investigations et offrir l’assistance, le soutien, la supervision et l’évaluation
des notions de santé dans les pays du monde. Au sein de la santé publique et mondiale, l’OMS
mène une politique de prévention ainsi qu’une politique de traitement pour arrêter la propagation de
maladies et d’épidémies ou promouvoir des habitudes de santé saine.
Sujet A : Renforcer la sensibilisation et améliorer l’accessibilité des médicaments
et des technologies essentiels pour traiter et prévenir le diabète
Vue d’ensemble
Chaque année, plus de 16 millions de décès à travers le monde sont causés par des maladies nontransmissibles (MNT) [1]. Une grande partie de ces décès, environ 80 %, se déroule dans les pays
en développement et les communautés vivent sous le seuil de la pauvreté [1]. Des maladies comme
le cancer, les problèmes cardio-vasculaires ou le diabète, sont devenues parmi les plus grandes
causes de décès partout dans le monde et leur importance n'est pas sensibilisée. L'opinion publique
accorde moins d'importance aux MNT en soulignant l'idée qu'ils ont un impact seulement sur les
populations vieillissantes ainsi que le fait que les MNT ne sont pas contagieux et donc ne peuvent
pas se propager et causer une épidémie.
Pourcentage des MNT chez les personnes âgées de moins de 60 ans comparé au nombre total de MNT [2]
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En 2013, les MNT ont causé la mort de 8 millions de personnes âgées de moins de 60 ans,
principalement dans les pays en voie de développement [2]. De plus, la nature des MNT signifie
que les patients sont malades pour des plus longues périodes et nécessitent donc plus de soin
médical. Ainsi, les MNT ont un impact très significatif sur l'économie d'un pays et sur les systèmes
de santés. Le prix économique pour prévenir ces maladies et fournir les soins nécessaires augmente
sans cesse et les pays en développement en souffre le plus [2]. L'OMS estime qu'environ deux tiers
des mortalités causées par les MNT sont causées par des facteurs connus et qu'une demie de ces
décès sont reliés aux systèmes de santé qui ne peuvent pas répondre de manière efficace aux besoins
médicaux des patients [1]. L'OMS a donc pris l'initiative pour sensibiliser ces maladies et les
prévenir. Malgré les effectives prises par l'OMS, des maladies transmissibles, comme le diabète,
deviennent de plus en plus communs.
Le diabète
Le diabète est une maladie non-transmissible et est une des plus grandes causes de décès dans les
pays en développement. Tout comme d'autres MNT, le diabète est principalement relié à l'obésité, à
la consommation d'aliments gras, à la malnutrition et à l'inactivité physique [2].
Le diabète est une maladie chronique causée par un défaut dans l'utilisation de l'hormone insuline
produite par le pancréas et qui résulte en une concentration élevée de Glucose dans le sang, connue
comme une hyperglycémie [3]. Il existe différents types de diabètes causées par différents facteurs
et qui nécessite différents traitements. Les deux types principaux sont le diabète de type 1 et le
diabète de type 2.
Le diabète de type 1
Le diabète de type 1 se caractérise par une production insuffisante ou par le manque de production
d’insuline [4]. Plus souvent retrouvé chez les enfants, les adolescents et les jeunes adultes, le
diabète de type 1 touche environ 10 % de la population diabétique du monde [5]. Les personnes
diabétiques de type 1 nécessitent des injections quotidiennes d’insuline pendant toute leur vie afin
de compenser pour l’absence de l’hormone dans le corps [5]. L’état de santé d’une personne
diabétique de type 1 ne peut être déterminé avec certitude qu’à travers des diagnostiques médicales
et des prises de sang.
Les causes exactes du diabète de type 1 et l’effet de la maladie sur les cellules pancréatiques sont
encore inconnues de nos jours [5]. En général, le système immunitaire d’une personne atteinte de la
maladie attaque les cellules pancréatiques qui produisent l’insuline [6]. La condition du patient
évolue sur plusieurs années et les cherches essayent encore de trouver comment et pourquoi cette
attaque est déclenchée [5]. Les chercheurs estiment que le diabète de type 1 est principalement
causé par des facteurs génétiques ou environnementaux [6].
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Le diabète de type 2
Le diabète de type 2 est la forme la plus fréquente de diabète, environ 90 % de la population
diabétique du monde, qui résulte de l’utilisation inadéquate de l’insuline par le corps [4]. Le diabète
de type 2 peut être soigné et se manifeste généralement chez les adultes âgées de 40 ans ou plus à
cause de malnutrition, d’inactivité physique et d’obésité [6].
Le traitement du diabète de type 2 peut se limiter à des modifications dans le style de vie, mais peut
demander, dans des cas plus sérieux, de l’attention médicale [6]. Le diabète de type 2 est aussi
diagnostiqué à travers des prises de sang [7]. Le diabète de type 2 peut plus facilement causer
d’autres maladies, principalement des problèmes cardiovasculaires et peut ne présenter aucun
symptôme pendant de longues périodes [6].
Situation courante
Couramment, il y a 347 millions de personnes diabétiques dans le monde. D’ici 2030, les experts
estiment que le diabète deviendra la 7e principale cause de décès dans le monde [8]. Chaque année,
le taux de diabète et d’obésité augmente partout dans le monde, surtout dans les régions pauvres.
Même si le diabète est largement répondue et ses symptômes sont reconnues à travers le monde, la
grande majorité de la population ne lui accorde pas une grande importance. Plusieurs programmes
de sensibilisation envers les diabètes cherchent principalement à avertir les populations des risques
et à promouvoir un différent style de vie pour prévenir la maladie.
Le traitement du diabète, plus spécifiquement le diabète de type 1 et les cas plus sérieux du diabète
de type 2, nécessite certains médicaments, technologies et soins médicaux qui, selon l’économie
d’un pays, peuvent être difficiles à acquérir [2]. Aujourd’hui, le diabète affecte aussi une grande
partie des jeunes et des enfants dans les communautés pauvres [3].
Changement dans le taux de mortalités et de disabilités reliées à la diabète de 1990 à 2010 [2]
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Le diabète dans les pays développées
Dans les pays développés, le diabète n’est pas une grande cause de décès, mais son augmentation
rapide est alarmante. Plusieurs régions riches ont un pourcentage très élevée de population
diabétique, mais les systèmes de santé nécessaires pour les traiter. La majorité des pays avec une
économie puissante investissent dans les recherches contre les MNT et dans la fabrication de
médicaments et de technologies de base. Les personnes diabétiques ont donc l’accès facile à un
traitement.
Il existe cependant d’autres problèmes concernant le diabète. Dans ces pays, une grande majorité de
la population n’est pas sensibilisé face à la maladie. Le manque d’éducation, principalement face à
la nutrition, cause la création de nouvelles générations qui sont plus susceptibles à la maladie.
Plusieurs personnes dans les pays développés adoptent des styles de vies qui les mettent en risque.
La consommation d’aliments gras et l’inactivité physique en sont les plus grands facteurs [9].
D’autres facteurs comme le tabagisme et l’alcoolisme peuvent aussi appauvrir la condition d’une
personne malade et causer le développement d’autres MNT. D’autre part, dans la majorité des pays
développés du monde, les communautés pauvres souffrent aussi du diabète, car le traitement ou un
changement de style peut avoir un coût élevé.
Le diabète dans les pays en développement
Les MNT ont un très grand impact sur les aspects économiques et sociaux d’un pays et leur
traitement et prévention nécessite différents médicaments et technologies essentiels ainsi que la
création de système de santé efficace [10]. La grande partie des pays en développement et des pays
pauvres ou à revenu-moyen n’ont pas les systèmes de soins nécessaires et les besoins médicaux
pour traiter et prévenir le diabète. Les pays en développement cherchent donc à obtenir, ou à
développer les médicaments et les technologies. Cependant, les besoins ne sont pas facilement
accessibles pour les pays pauvres. D’habitude les échanges sont lourdement taxées et le
développement des technologies est très couteux.
Les pays en développement contiennent la grande majorité des décès reliés au diabète dans le
monde. Comparé aux régions développées ou les décès sont facilement évitées, dans les pays
pauvres ou à revenu-moyen, une grande majorité de la population âgée de moins de 60 ans n’est pas
traité et a le potentiel de développe d’autres MNT. La puissance économique en est la principale
raison. À moins d’intervention directe, cette crise va empirer dans ces pays [2].
Autre que les conditions économiques, les conditions sociales de la population joue aussi un rôle
important. Une grande partie de la population ne peut pas payer le traitement du diabète, surtout que
les coûts sont beaucoup plus élevées à cause des systèmes de santé fragiles. De plus, la majorité de
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la population n’est pas sensibilisée face au sujet et dans le monde entier, environ 50% de la
population diabétique n’est pas diagnostiqué [11]. La diagnostique est extrêmement important, car
certains cas de diabète 1 et 2 ne démontrent aucun symptôme pour de longues périodes. La
diagnostique du diabète de type 1 est extrêmement important, car la maladie ne se guérit pas et le
patient nécessite un traitement continue afin de survivre.
La malnutrition et l’inactivité physique est aussi très commune et joue un rôle très important dans le
développement du diabète dans les régions pauvres. Dans certaines de ces régions, les enfants
suivent aussi ce même style de vie et développent des MNT ce qui rend la situation encore plus
grave [12]. Les mauvaises habitudes et la malnutrition sont aussi accentuées par différentes
compagnies qui profitent de la situation pour vendre des aliments malsains. Dans certaines de ces
régions pauvres, il est plus facile d’acheter une boisson gazeuse que d’acheter une bouteille d’eau.
Décès reliés au diabète dans les régions du monde [11]
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Le traitement du diabète
Même si le diabète de type 2 est beaucoup plus commun que le diabète de type 1, la prévention et le
traitement des deux conditions sont très importants. Le traitement nécessite certains médicaments
pour guérir le patient ou pour que le patient reste dans un bon état de santé. Les deux types de
diabète nécessite différents traitements. Le diabète de type 1 nécessite des injections quotidiennes
d’insuline pour garder le patient en santé. Le traitement nécessite aussi un changement dans le
régime et la consommation de certains aliments spécifiques. Le diabète de type 1 demande des
prises de sang fréquentes et des diagnostiques de l’état du patient. Certaines conditions de diabète
de type 1 sont traité par l’utilisation de médicaments comme la Pramlintide ou dans des opérations
pour implanter une pompe à proton dans le corps. Des recherches courantes essayent aussi de créer
des pancréas artificiels qui peuvent créer efficacement de l’insuline. Le diabète de type 2 nécessite
un changement dans le style de vie, mais aussi l’utilisation de différents médicaments comme la
Metformine pour traiter le patient. La technologie pour les prises de sang et la diagnostique sont
aussi importants et nécessaire dans les centre médicaux et les hôpitaux. Des conditions extrêmes de
diabète peuvent demander des chirurgies qui nécessitent une certaine technologie et des docteurs
avec les compétences nécessaires. [13] [14]
Implications de l’OMS
L’OMS soutient quotidiennement les recherches médicales et promeut les habitudes de vie saines.
Chaque année, l’OMS publie plusieurs articles concernant l’alimentation saine [15] avec plusieurs
recommandations. L’OMS promeut aussi la sensibilisation contre les MNT de différentes manières.
Des collectes de données et des investigations sont faites fréquemment afin d’estimer le nombre de
personnes malades dans le monde et trouver des résolutions efficaces. D’ailleurs, l’OMS organise
des journées de sensibilisation comme la journée mondiale de la santé qui se déroule chaque année
le 7 Avril et dont le thème pour 2016 est le diabète. Afin de résoudre la crise des MNT et
l’augmentation des cas diabétiques, l’OMS, ainsi que plusieurs autres organisations de santés
indépendantes ou reliées aux gouvernements internes d’un pays, ont créé un plan d’action pour le
futur afin de minimiser l’effet des MNT sur les systèmes de santé et d’éviter les mortalités [2] [10]
[16]. Le plan d’action a comme but de diminuer le taux de mortalité de 25 % d’ici 2025. L’OMS
s’est établit différents buts et objectifs afin de minimiser l’effet des MNT et espère régler la
situation ; à travers des discussions avec les dirigeants politiques mondiale, en créant des systèmes
de soins efficaces et stables, en modifiant les styles de vie malsains, en encourageant la recherche
scientifique et en surveillant l’état de santé mondiale et les progrès. Ce plan a été établi, mais n’est
pas encore complètement mis en oeuvre. Aussi, le plan prend en considération les MNT en général
et non des cas particuliers comme le diabète.
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Faits et chiffres clés
• Dans certaines régions, le diabète de type 2 est devenue le type de diabète principale chez les
enfants à cause d’habitudes de vie malsaines [12].
• Le World Economic Forum (WEF) estime que les MNT causeraient $21,3 trillion de dommages
dans les pays en développement dans les deux prochaines décennies [2].
• Parmi les maladies les plus mortelles et dangereuses à l’échelle mondiale, le diabète ainsi que les
autres MNT reçoivent le moins de dépenses [2].
• Plus que 347 millions de personnes dans le monde sont diabétiques et 50% ne sont pas
diagnostiqués [11] [17].
• Une maladie cardio-vasculaire est à l’origine de 50 à 80% des décès chez les diabétiques [17].
• Le plan d’action de l’OMS peut aider à éviter 12 millions de décès dans les deux prochaines
décennies.
• Chaque année, environ une moitié des décès reliés aux diabètes sont des personnes âgées de
moins de 60 ans [11].
Résolutions possibles
Le développement d’une crise de MNT et l’augmentation des cas diabétiques n’est pas inévitable.
Malgré les habitudes de vie malsaines, le taux de mortalité a chuté dans des pays comme les ÉtatsUnis où les mesures nécessaires étaient prises pour fournir les soins nécessaires et établir des
systèmes de soins efficaces [2]. Les styles de vie sont cependant nuisible à l’état de la santé
mondiale. De plus, les pays pauvres et à revenu-moyen n’ont pas la capacité économique pour se
procurer les soins nécessaires. Les échanges sont largement taxés et le développement scientifique
est couteux. Par ailleurs, les causes du diabète de type 1 sont aussi inconnues et les recherches
scientifiques ne sont pas grandement soutenus par les gouvernements et systèmes de santé. De plus,
les communautés pauvres dans l’entièreté du monde n’ont pas les moyens de se procurer les
médicaments.
Afin de régler la crise, il faut premièrement renforcer la sensibilisation du diabète. Avec 50% de la
population diabétique qui est non diagnostiqué, il est nécessaire de promouvoir les tests de sang
pour les personnes en risques ou qui démontrent des symptômes. Les pays peuvent aussi inclure des
programmes de santé dans l’éducation, comme le fait le Japon et créer des systèmes de santé qui
facilitent les diagnostiques. Il faut enfin faciliter l’accès aux médicaments et technologie de base.
Les pays développés peuvent par exemple offrir de l’aide aux pays en développement afin
d’avancer les recherches sur le diabète et fabriquer les besoins nécessaires.
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Positions
D’habitude, dans toutes les régions du monde, le diabète coûte entre 2,5 et 15% du budget de santé.
L’économie du pays joue donc un rôle important dans le traitement et la prévention.
Amérique du Nord
Les taux de mortalités reliées au diabète en Amérique du Nord sont très faible. Les systèmes de
santé sont efficaces et les traitements sont disponibles. Les pays comme les États-Unis soutiennent
les recherches scientifiques, mais les compagnies alimentaires valorisent le profit sur les valeurs
nutritives. Ainsi, la population n’est pas sensibilisée et ont majoritairement des habitudes de vie
malsaines avec des taux d’obésité et d’inactivité élevées. Les gouvernements comme celui du
Canada ont créé certaines restrictions et guides alimentaires pour promouvoir les régimes sains.
Amérique Latine
Les taux de mortalité reliées au diabète en Amérique Latine sont élevés dans certaines régions et
faibles dans d’autres. Plusieurs pays ont des difficultés économiques et ne peuvent pas soutenir des
systèmes de santé efficaces. Néanmoins, les traitements sont disponibles dans la majorité des pays
comme l’Argentine, où plusieurs médicaments ont aussi été fabriqués, mais les soins dans les
régions pauvres sont inefficaces. Une grande partie de la population des pays d’Amérique Latine ne
peuvent pas payer les coûts élevés du traitement et presque aucune mesure de prévention est mise
en place. Les gouvernements des pays en développement soutiennent les recherches scientifiques et
la santé mondiale, mais ne prennent pas assez de mesures préventives à cause du coût élevée.
Europe
La grande majorité des pays Européens ne souffrent pas de mortalités reliées au diabète. Les pays
européens ont des économies fortes et stables et des systèmes de santés très avancés. Plusieurs
recherches sont faites en Europe pour créer de nouveaux médicaments. Il y a cependant plusieurs
cas de diabète et un assez grand nombre de personnes qui ne sont pas diagnostiquées.
Asie
Les taux de mortalité reliés aux diabètes sont très élevées dans les parties pauvres de l’Asie.
Plusieurs pays n’ont pas la capacité de créer des systèmes de santé efficace et n’ont pas les
médicaments et la technologie nécessaire. Une très grande partie de la population diabétique n’est
pas diagnostiqué et la population n’est pas sensibilisée. Les habitudes de vie sont cependant saines
dans la majorité des régions. Dans les régions développées de l’Asie, comme le Japon, le traitement
est plus facilement accessible et les gouvernements créent plusieurs programmes de santé et de
sensibilisation.
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Afrique et Moyen-Orient
Plusieurs régions de l’Afrique et du Moyen-Orient sont celles qui souffrent le plus de décès reliées
au diabète. Le diabète n’est pas sensibilisé et le gouvernement ne met pas l’attention nécessaire sur
les recherches et les systèmes de santé avancées. Plusieurs personnes ne sont pas diagnostiquées et
les habitudes de vie sont majoritairement malsaines. Les pays ont aussi plusieurs communautés
pauvres qui ne peuvent pas payer le traitement. Quelques pays cependant ont des systèmes de santé
capable d’effacement traiter le diabète mais les coûts sont très élevées. En outre, les pays plus
modernisés et de revenu-moyen ont des gouvernements qui soutiennent les systèmes de santé et ont
accès aux soins nécessaires à travers des échanges principalement avec l’Europe.
Questions à considérer
1. Est-ce que votre pays accorde l’importance nécessaire à la prévention et au traitement du
diabète ? Est-ce que votre pays appuie les recherches scientifiques sur les MNT ?
2. Est-ce la population de votre pays est sensibilisé face aux dangers, risques, causes et
symptômes du diabète ?
3. Est-ce que votre pays promeut un style de vie sain ? Si oui, comment ? Si non, pourquoi ?
4. Est-ce que votre pays peut fournir les besoins médicaux nécessaire pour les patients atteints
du diabète au sein du pays ?
5. Selon votre politique, est-ce que les pays développées devraient aider les pays en
développement à créer des systèmes de soins efficaces ?
6. Est-ce que votre pays met assez de pressions sur les grandes compagnie alimentaires pour
promouvoir un système alimentaire sain ?
Sources importantes
Ces sources sont très importantes et peuvent vous être très utiles :
• L’Organisation mondiale de la santé (français) : http://www.who.int/fr/
• World Fact Book (anglais) : https://www.cia.gov/library/publications/the-world-factbook/
• Council on Foreign Relations (anglais) : http://www.cfr.org/
• Canadian Diabetes Association (anglais) : https://www.diabetes.ca/
• Diabète Quebec (français) : http://www.diabete.qc.ca/
• American Diabetes Association (anglais) : http://www.diabetes.org/
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• “MNT” country profiles (anglais) : http://www.who.int/nmh/publications/ncd_profiles_report.pdf
• OMS états membres (français) : http://www.who.int/countries/fr/
• NIDDK (anglais) : http://www.niddk.nih.gov/Pages/default.aspx
• Medical Dictionary (anglais) : https://www.nlm.nih.gov/medlineplus/mplusdictionary.html
• Plan d’action contre les MNT (anglais) : http://www.who.int/nmh/publications/ncdinfographic-2014.pdf?ua=1
Bibliographie
[1] WHO. (s.d.). Improving the availability and affordability of essential medicines and basic health
technologies for noncommunicable diseases. Repéré sur : http://www.who.int/nmh/events/ncdcoordination-mechanism-essential-medicines/en/
[2] Council on Foreign Relations. (s.d.). The Emerging Crisis: Noncommunicable Diseases. Repéré
sur : http://www.cfr.org/diseases-noncommunicable/NCDs-interactive/p33802?cid=otrmarketing_use-NCDs_interactive/#!/#progress-possible
[3] Diabète Quebec. (2014). Qu’est-ce que le diabète ?. Repéré sur : http://www.diabete.qc.ca/fr/
comprendre-le-diabete/tout-sur-le-diabete/types-de-diabete/quest-ce-que-le-diabete
[4] OMS. (s.d.). Diabète, thème de santé. Repéré sur : http://www.who.int/topics/diabetes_mellitus/
fr/
[5] Diabète Quebec. (2014). Le diabète de type 1. Repéré sur : http://www.diabete.qc.ca/fr/
comprendre-le-diabete/tout-sur-le-diabete/types-de-diabete/le-diabete-de-type-1
[6] OMS. (s.d.). Mieux connaitre le diabète. Repéré sur : http://www.who.int/diabetes/
action_online/basics/fr/
[7] Diabète Quebec. (2014). Le diabète de type 2. Repéré sur : http://www.diabete.qc.ca/fr/
comprendre-le-diabete/tout-sur-le-diabete/types-de-diabete/le-diabete-de-type-2
[8] OMS. (s.d.). Diabète. Repéré sur : http://www.who.int/diabetes/fr/
[9] WHO. (s.d.). Preventing Noncommunicable diseases: fact sheets. Repéré sur : http://
www.who.int/topics/noncommunicable_diseases/preventing_ncds_factsheets/en/
[10] PATH. (2015). Diabetes Supplies: improving access to essential medicines and technology.
Repéré sur : http://blog.path.org/2015/09/diabetes-supplies-medicines-technologies/
[11] International Diabetes Federation. (s.d.). A letter from the chair of the IDF Diabetes Atlas
Committee. Repéré sur : http://www.idf.org/node/27189?language=ar
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[12] OMS. (s.d.). Quels sont les risques de diabètes chez les enfants?. Repéré sur : http://
www.who.int/features/qa/65/fr/
[13] Mayo Clinic. (2016). Type 2 Diabetes. Repéré sur : http://www.mayoclinic.org/diseasesconditions/type-2-diabetes/diagnosis-treatment/treatment/txc-20169988
[14] Mayo Clinic. (2014). Type 1 Diabetes. Repéré sur : http://www.mayoclinic.org/diseasesconditions/type-1-diabetes/basics/treatment/con-20019573
[15] WHO. (2015). Healthy Diet. Repéré sur : http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs394/en/
[16] WHO. (s.d.). Action Plan. Repéré sur : http://www.who.int/nmh/publications/ncdinfographic-2014.pdf?ua=1
[17] OMS. (s.d.). Faits et chiffres, le diabète. Repéré sur http://www.who.int/features/factfiles/
diabetes/facts/fr/
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Sujet B : La salubrité de l’environnement et la santé des enfants
Vue d’ensemble
Tous les enfants ont besoin d’un environnement sain pour se développer et grandir en santé.
L’environnement a plusieurs effets sur la santé mondiale dans diverses régions du monde où les
difficultés environnementales devient de plus en plus importantes et alarmantes. Les enfants, ayant
des systèmes immunitaires fragiles, ont beaucoup plus de difficultés pour résister aux facteurs
environnementaux comme le changement climatique et la pollution. Chaque année, près du tiers
des 6,6 millions de décès d’enfants sont reliées à l’environnement.
Les facteurs environnementaux agissent principalement de manière combinée à d’autres facteurs et
causes des maladies. Ils agissent comme agent catalyseur. Les conditions sociales et économiques,
la pauvreté et la malnutrition sont les facteurs les plus importants qui peuvent être influencées par
les facteurs environnementaux.
Le changement climatique
Le changement climatique constitue une nouvelle menace importante pour la santé publique et
modifie la façon dont il faut protéger les populations vulnérables comme les enfants. Le
changement climatique influe sur les déterminants sociaux et environnementaux de la santé. Il
modifie la qualité de l’environnement et influence l’air pur, l’eau potable, la nourriture et les
logements. Dans les prochaines années, on s’attend à ce que le changement climatique entraine
plusieurs décès supplémentaires par an, principalement dû à des conséquences secondaires comme
la famine, la malnutrition, les conditions de vie malsaines et le développement de certaines
maladies.
La pollution
La pollution est le deuxième facteur environnemental majeur qui influence la santé mondiale et qui,
en partie, est relié au changement climatique. La pollution se manifeste en différentes formes
comme la pollution d’air et de la terre. La pollution d’air est la contamination de l’environnement, à
l’intérieur où à l’extérieur, par des produits chimiques, biologiques ou physiques nocifs.
L’industrialisation joue une très grande partie dans la pollution d’air mais d’autres aspects comme
les moteurs de voitures, les feux de forets et l’utilisation d’appareils de combustion de maison
comme des fours à charbon. La pollution d’air influence directement le système respiratoire et peut
causer le développement de différentes maladies. Plusieurs maladies reliées à la pollution sont
difficile à combattre pour les systèmes immunitaires des enfants.
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La pollution de la terre joue aussi un rôle important dans la santé mondiale. L’utilisation de produits
chimiques ou biologiques nocifs dans l’agriculture en est une des principales raisons. Les pesticides
et les insecticides qui ne sont pas efficacement réglementés causent une pollution du sol qui peut
facilement se propager dans la région avec le vent ou la pluie. La pollution terrestre est aussi causé
par des usines qui disposent des produits nocifs dans l’environnement. Ces produits peuvent
atteindre des sources d’eau ou des plantations végétales et contaminer les sources de nourriture.
Tandis que la pollution d’air est de grande importance dans les pays développés, la pollution
terrestre est principalement située dans les pays pauvres.
L’effet des facteurs environnementaux sur la santé
Entouré d’un environnement unique, l’être humain est facilement influencé par les facteurs
environnementaux. L’environnement peut influencer non seulement l’état physique, mais aussi
l’état psychologique et mentale d’une personne. Certains facteurs environnementaux vont
contribuer au développement de maladies en offrant aux pathogènes un milieu plus agréable. Dans
plusieurs régions humides et tropicales, par exemple, les bactéries et les virus se développent
facilement. Le changement climatique et d’autres difficultés environnementales sont un véritable
défi pour l’OMS, qui tente de maintenir la santé mondiale. Dans le cas des enfants, ceci est une
véritable crises. À cause de leur système vulnérable et du manque des traitements nécessaires dans
les régions pauvres, les facteurs environnementaux engendre plusieurs maladies chez les enfants,
notamment le paludisme.
Situation courante
Les facteurs environnementaux deviennent de plus en plus importants et dangereux. Plusieurs
débats ce sont immergées au sein de la communauté internationale pour tenter de minimiser l’effet
de la pollution et du changement climatique. L’environnement, cependant est beaucoup plus vaste et
même les conditions de vie à la maison peuvent potentiellement jouer un rôle dans la santé et à la
salubrité de l’environnement. Plusieurs précautions sont prises pour essayer de mitiger l’effet de ces
difficultés environnementales sur la santé mondiale, mais nous voyons encore de grands effets sur
la santé des enfants principalement. Aujourd’hui, les problèmes auxquelles font face les enfants sont
nombreux.
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La qualité de l’air
À cause de la pollution et la mauvaise qualité d’air, une grande partie des enfants dans le monde
souffrent de crises d’asthme. L'asthme est la maladie chronique non transmissible la plus fréquente
chez les enfants. Les crises d'asthme sont déclenchées par des facteurs environnementaux tels que la
poussière, le tabagisme passif, les moisissures et les pollens. Moyennant un diagnostic et un
traitement appropriés et la réduction de l'exposition aux facteurs environnementaux de
déclenchement, il est possible d'endiguer la maladie. La plupart des décès liés à l'asthme se
produisent dans les pays a revenu faible ou intermédiaire de la tranche inférieure, où les facteurs de
déclenchement sont très présents et où on manque de médicaments contre l’asthme.
La pollution d’air est une des plus grandes causes de décès chez les enfants avec environ un million
de décès par année, dont la moitié sont relié à la pollution d’air intérieur. La pollution d’air intérieur
est principalement dû à l'utilisation de combustibles solides pour la cuisson. Les infections
respiratoires aiguës, en particulier la pneumonie, sont les maladies les plus meurtrières chez le jeune
enfant. Le tabagisme passif est un autre facteur de risque majeur. Les enfants des pays en
développement sont particulièrement exposés du fait de mauvaises conditions de logement.
L’eau potable
Les facteurs environnementaux ont un très grand impact sur la qualité d’eau potable. Le
changement climatique, la pollution de l’air, la pollution terrestre ainsi que d’autres éléments sont
tous des facteurs qui peuvent contaminer l’eau et mener au développement de maladie. L’eau étant
une nécessité à la vie est une des plus grandes sources de contact avec des maladies potentielles
dans les régions pauvres. Les facteurs environnementaux qui influencent la qualité d’eau ou même
de nourriture sont responsables de 88% des 1,5 million de décès dû à la diarrhée chez les enfants
chaque année. La diarrhée est la deuxième maladie la plus meurtrière chez les enfants de moins de
cinq ans, chez qui elle cause près d'un décès sur cinq, ce qui représente 760 000 décès par an. Une
grande majorité de ces décès peuvent être imputés à une eau insalubre, un assainissement
inapproprié et une hygiène médiocre. Le traitement de l'eau, son stockage en toute sécurité, le
lavage des mains et l'allaitement exclusif des jeunes enfants peuvent prévenir les maladies
diarrhéiques.
L’intoxication
Plusieurs régions industrielles et agricoles utilisent des produits chimiques qui peuvent facilement
contaminer les sources de nourriture et les milieux de vie. Dans certaines régions en développement
plusieurs enfants sont exposés à des niveaux élevés de produits toxiques, ce qui peut entraîner des
difficultés neurologiques et physiologique. Ces produits sont très dangereux, car ils s’accumulent
dans le corps des enfants à vie. Les enfants sont les plus susceptibles au contact avec ces produits à
cause de leur nature curieuse. Les intoxications chez les enfants peuvent augmenter le risque de
difficultés d’apprentissage et le développement de maladies non-transmissibles comme le cancer de
l’enfant.
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L'utilisation, le stockage et l'élimination sans précaution des pesticides sont aussi une des
principales causes de l'intoxication. On estime que 1 à 5 millions de cas d'intoxications aux
pesticides se produisent chaque année, causant 20 000 décès, notamment chez les enfants. Une
exposition chronique aux pesticides est associée à des difficultés neurologiques et génésiques, ainsi
qu'à des difficultés du développement chez l'enfant. L'exposition peut résulter de l'utilisation de
pesticides dans les jardins, les habitations ou les écoles, de la dérive des pesticides employés dans
l'agriculture, ou de la contamination des aliments ou de l'eau potable. De plus, plusieurs aliments
qui proviennent de fermes où le sol est contaminer vont contenir des produits nocifs.
Les intoxications les plus fréquentes sont dues aux carburants, aux pesticides, aux médicaments et
aux produits toxiques à usage ménager. Le stockage de ces produits hors de la vue et de la portée
des enfants ainsi que l'utilisation d'un conditionnement hermétique pour les enfants peuvent
permettre de sauver des vies. Des centaines de milliers d'enfants âgés de moins de 15 ans ingèrent
accidentellement des substances toxiques partout à travers le monde. Les régions riches ont
d’habitude les soins nécessaires, tandis que cet aspect est plus mortel dans les pays pauvres.
Le changement climatique
La charge de morbidité due au changement climatique est soutenu de façon disproportionnée par les
enfants des pays en développement. Non seulement les enfants sont les plus vulnérables aux effets
immédiats, mais ils devront également faire face aux conséquences sanitaires à long terme. Ils sont
confrontés aux risques de traumatismes et de décès, dû aux inondations et aux températures
extrêmes, ils souffrent d'asthme et de maladies respiratoires plus fréquemment du fait de la
pollution de l'air et ils sont atteints de maladies diarrhéiques, de paludisme et de malnutrition à
cause du changement climatique. Afin de régler cette situation, il faut prendre en considération non
seulement l’état de santé physique, mais aussi l’état mental des enfants.
Implications de l’OMS
L’OMS participe à plusieurs débats concernant l’environnement et la santé mondiale comme la
COP21 où l’OMS avait organisé une rencontre spécifiquement pour discuter de la santé. L’OMS
mène aussi plusieurs recherches sur les effets du changement climatique et de la pollution sur la
santé des enfants et soutien plusieurs recherches pour développer des medicaments efficaces dans
les régions en besoin. L’OMS fournit de l’information sur les effets de l’environnement sur la santé
pour essayer de prévenir les risques, mais la majorité des gouvernements ne soutiennent pas ceci et
l’information n’atteint pas les régions pauvres qui sont le plus en difficulté. L’OMS essaye de
minimiser l’effet de l’environnement sur la santé, mais se concentrait plus, dans les dernières
années, sur la santé du monde au lieu de la santé des enfants.
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Diagrammes et cartes clés
Pourcentage des décès reliés aux facteurs environnementaux chez les enfants.
Résolutions possibles
La crise de la salubrité de l’environnement et la santé de l’enfant est principalement une mission de
prévention. Apart soutenir la recherche et l’exportation des soins et l’amélioration des systèmes de
santé, la résolution principale est de mener des enquêtes pour démontrer à la communauté
internationale l’effet de l’environnement sur la santé. Il faut mettre de la pression sur les
gouvernements et les industries pour prendre en considération les effets sur la santé des enfants.
L’OMS devrait aussi promouvoir des programmes pour promouvoir la santé des enfants dans les
régions en difficultés environnementales. Il faut essayer de trouver une manière les effets de
l’environnement sur la santé d’une approche de soins et d’aide médicale. Il faut aussi trouver un
moyen d’atteindre les communautés en besoin pour aider les enfants.
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Les conditions de la santé des enfants concernant l’environnement est un aspect nouveau dans la
santé mondiale, mais qui demande l’intervention immédiate. L’OMS doit donc trouver des
résolutions efficaces, mais devrait prendre de petits pas pour y parvenir, car c’est un aspect inconnu.
Il est aussi essentiel de se créer un plan d’action pour les prochaines années afin de minimiser
l’effet des facteurs environnementaux sur la santé des enfants.
Positions
Les conséquences physiques de la salubrité de l’environnement différent d’une région à l’autre,
selon le degré de pollution et des difficultés environnementales. Outre que les conséquences
physiques, l’état mental de presque tous les enfants dans les régions est aussi influencé par
l’environnement.
Amérique du Nord et Europe
Les pays d’Amérique du Nord et d’Europe n’ont presque pas de décès d’enfants reliées aux facteurs
environnementaux principalement à cause des systèmes de soins efficaces. Les gouvernements
prennent d’habitude les mesures nécessaires pour réguler l’effet environnemental de l’agriculture et
des industries. La majorité des dangers environnementaux dans cette région ce retrouve à la maison
où plusieurs enfants consommes des produits toxiques ménagers. Le tabagisme passif est aussi une
grande cause des maladies d’enfants dans les pays d’Amérique du Nord et de l’Europe.
Amérique Latine
Les pays d’Amérique Latine ne souffrent pas beaucoup des facteurs environnementaux. Les
principaux éléments qui causent les décès des enfants sont des maladies reliées aux climats et à la
pauvreté. Les régions d’Amérique Latine doivent être sensibiliser en ce qui concerne les dangers de
l’environnement et les régions pauvres doivent recevoir accès aux soins essentielles. Il existe
plusieurs cas de pollution causé par l’agriculture et l’industrialisation, mais qui sont éloigner des
logements. Ces cas ne devrait pas cependant être pris à la légère car ils contaminent de grande
régions et dû au climat, peuvent mener à la propagation des toxines et le développement des
maladies.
Asie
Plusieurs régions de l’Asie sont grandement polluées. La Chine étant une des plus grandes forces
industrielles est aussi un des pays les plus pollué au monde ce qui crée un grand risque de santé. La
majorité des enfants atteints de maladies reliées aux facteurs environnementaux peuvent cependant
accéder aux soins nécessaire. Toutefois, une grande partie de la population, dans les régions
pauvres, est à risque.
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Afrique
La région d’Afrique contient le plus grand nombre de décès d’enfant reliés aux facteurs
environnementaux. L’Afrique contient plusieurs régions pauvres qui sont sur-peuplées et où les
enfants sont en contact directe avec des facteurs dangereux. Les communautés pauvres souffrent des
facteurs environnementaux non-seulement à l’extérieur à cause de la pollution des eaux et des
champs agricoles mais aussi à l’intérieur à cause de l’utilisation de carburant et d’autres polluants
aériens.
Questions
• Est-ce que votre pays accorde l’importance nécessaire à la salubrité de l’environnement ? Est-ce
que votre pays appuie les programmes environnementaux ?
• Est-ce la population de votre pays est sensibilisé face aux facteurs de santé des enfants liées à la
salubrité de l’environnement ?
• Est-ce que votre pays peut fournir les besoins médicaux nécessaire pour les enfants atteints de
maladies reliées aux facteurs environnementaux ?
• Selon votre politique, est-ce que la salubrité de l’environnement est un aspect interne du pays
ou fait partie des discussion internationales ?
• Quelle facteurs environnementaux dans votre pays est la plus grande cause de maladies chez les
enfants ?
• Quelle est la position de votre pays face au changement climatique, à l’utilisation de pesticide et
de produits chimique dans l’agriculture et à la pollution causé par l’industrialisation ?
• Est-ce que votre pays a des systèmes de santé pour les enfants ?
• Est-ce que votre pays développent des moyens pour minimiser l’effet des difficultés
environnementales ?
Sources importantes
Ces sources sont très importantes et peuvent vous être très utiles :
• L’Organisation mondiale de la santé (français) : http://www.who.int/fr/
• World Fact Book (anglais) : https://www.cia.gov/library/publications/the-world-factbook/
• Council on Foreign Relations (anglais) : http://www.cfr.org/
• OMS états membres (français) : http://www.who.int/countries/fr/
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• Medical Dictionary (anglais) : https://www.nlm.nih.gov/medlineplus/mplusdictionary.html
• UNICEF (français) : http://www.unicef.org/french/
Bibliographie
• http://www.who.int/features/factfiles/children_environmental_health/fr/
• http://www.who.int/globalchange/climate/fr/
• http://www.who.int/mediacentre/factsheets/fs266/fr/
• http://www.who.int/topics/air_pollution/en/
• http://www.monclimatmasante.qc.ca/public/ma-sant%C3%A9.aspx
• http://www.who.int/features/factfiles/children_environmental_health/facts/fr/
• http://www.who.int/ceh/indicators/en/
• http://www.who.int/globalchange/publications/en/changementclim.pdf
• http://www.who.int/globalchange/fr/
• http://ec.europa.eu/health/ph_threats/climate/docs/com_2009-147_fr.pdf
• http://www.un.org/french/pubs/chronique/2007/numero2/0207p48.html
• http://www.cich.ca/PDFFiles/Climate%20Change%20Brochure%20FRE.pdf
• http://www.unicef.org/french/adolescence/files/Le_changement_climatiqueet_les_enfants.pdf
• http://www.who.int/ceh/capacity/climatechange. pdf
• http://www.who.int/quantifying_ehimpacts/publications/preventingdisease6.pdf
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