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LE MAGAZINE Né : sur France 5 Age : 15 ans Evénement : mardi 26 février à 20.35 En direct et en public Heureux événement Nom : le magazine de la santé parents : france 5 et 17juin média né le : 26 janvier 1998 à 13.15 suivi médical : Marina carrère d’encausse michel cymes benoît thevenet Quinze ans déjà que les Français les consultent dans le seul magazine du PAF en direct et au quotidien dédié à la santé et au bien-être. Quinze ans de témoignages, d’analyses, de reportages, de décryptages et d’expertises. Quinze ans aussi de bonne humeur, de complicité, d’émotions et de fous rires partagés. A l’antenne sur France 5 depuis 1998, Le Journal de la santé, devenu en 2007 Le Magazine de la santé, a bien grandi au fil des années. En 2000, Marina Carrère d’Encausse a rejoint Michel Cymes à la présentation. Deux médecins à l’antenne : une première à la télévision, un gage de rigueur et de légitimité pour aborder simplement les questions les plus pointues. Le journaliste Benoît Thevenet a su trouver sa place au sein du duo. Rédacteur en chef depuis plus de dix ans, il sait aussi, en bon joker, « se glisser dans les chaussons » de l’un ou l’autre, voire des deux, pour animer l’émission en compagnie de chroniqueurs et d’experts. Chaque jour, au programme de ce rendezvous qui fait la part belle à l’interactivité, un journal, un dossier, l’interview d’un invité et des chroniques. Le feuilleton In vivo, un tout en images réalisé une semaine durant dans un service hospitalier ou d’urgences, vient compléter un magazine au cours duquel les téléspectateurs peuvent poser toutes leurs questions par SMS ou Internet. événement Le 26 février à 20.35 eN DIRECT ET EN PUBLIC 15 ans… C’est l’occasion pour Michel Cymes, Marina Carrère d’Encausse et Benoît Thevenet de remercier, dans une émission spéciale de près de deux heures, les téléspectateurs, les témoins et les médecins qui ont contribué au succès du Magazine de la santé. Le mardi 26 février à 20 h 35, les trois présentateurs recevront donc en direct et en public patients et spécialistes de santé pour évoquer, au travers de discussions en plateau et de reportages, leur combat contre la maladie ou le handicap et les avancées de la médecine dans des domaines tels que la chirurgie cardiaque, les cancers ou les greffes. L’émission sera notamment entrecoupée de retours en images sur les débuts du Magazine de la santé et sur les coulisses de l’émission. Au programme, également, un quiz sur le corps humain et des expériences. 3 Dates clés antécédents familiaux 7 – 13 – 17 – 26 – 52 – 78 – 110 Ce ne sont pas les numéros gagnants du loto. Mais ce sont néanmoins ceux d’une grille gagnante. Cette suite croissante reflète sur quinze ans les durées quotidiennes en minutes des émissions santé de Marina Carrère d’Encausse et Michel Cymes sur France 5. « Etes-vous certains que vous aurez suffisamment d’infos médicales pour tenir 7 minutes d’antenne chaque jour ? » C’est ainsi que le directeur des programmes de l’époque accueillit la première proposition de 17 Juin Média pour une émission quotidienne consacrée à la santé. C’était en janvier 1998, la chaîne s’appelait La Cinquième, chaîne de la connaissance et de la découverte. Très vite, Michel Cymes est rejoint à la présentation par la rédactrice en chef Marina Carrère d’Encausse, et Le Journal de la santé passe de 7 à 13, puis à 17 minutes. Il est programmé à 13 h 15. En janvier 2002, un jeune journaliste santé devenu rédacteur en chef, Benoît Thevenet, introduit les premiers chroniqueurs, dont, déjà, l’intarissable Gérard Collard. 6 Les téléspectateurs remplissent le carnet de rendez-vous quotidien des docteurs Cymes et Carrère d’Encausse. La preuve est faite que l’on peut parler du corps et de sa santé à la télévision sans tabous, sans jargon et avec même une pointe d’humour carabin. 2004, année charnière. Changement de décor au sens propre : l’émission est réalisée en direct dans la rédaction, fenêtres ouvertes sur la ville. Changement de durée : 52 minutes et rediffusion à 19 heures. Changement de nom : Le Journal de la santé devient Le Magazine de la santé au quotidien. C’est aussi l’avènement de l’interactivité par SMS et la naissance du feuilleton quotidien 7 minutes pour une vie consacré aux urgences, qui deviendra, en 2011, In vivo et s’ouvrira à tous les théâtres de la santé en France et à l’étranger. En 2007, devant le succès des réponses apportées par les médecins aux questions des téléspectateurs, une nouvelle fenêtre de 26 minutes est ouverte à 14 h 30. Allô docteurs prolonge Le Magazine de la santé. Les années suivantes, Marina, Michel et Benoît jouent également en nocturne avec les Enquêtes de santé mensuelles. Un documentaire suivi d’un débat consacrés aux grands thèmes de santé publique composent un prime time de 110 minutes salué par la critique et l’audience. Quant à Benoît, il s’exprime en solo chaque mois de juillet. Enfin, en 2009, révolution numérique oblige, naît le site Internet allodocteurs.fr, une encyclopédie médicale en images riche de milliers de vidéos, de tchats et d’un suivi permanent de l’actualité santé. portes de leurs services et sans la confiance de centaines de milliers de téléspectateurs qui, jour après jour, ont « ouvert leur poste » et invité chez eux leurs médecins de famille. Merci à eux. Christian Gerin, président de 17 Juin Média Cette courte odyssée de la santé télé n’a été possible que grâce à des équipes d’encadrement, de rédaction, de production et de réalisation mobilisées en permanence et grâce à une chaîne, France 5, partenaire bienveillante et complice. Elle n’aurait pas été possible, surtout, sans la confiance de centaines de témoins qui nous ont ouvert l’intimité de leur corps, sans la confiance de milliers de soignants qui nous ont ouvert les 7 Biographies Personnes à prévenir Marina Carrère d’Encausse Ancienne interne des hôpitaux d’Ile-de-France, Marina Carrère d’Encausse est diplômée en échographie, en santé publique et experte médicale. Elle débute sa carrière de journaliste au Quotidien du médecin, puis à Santé magazine. En 1996, elle présente une chronique santé dans l’émission Parole d’expert sur France 3, avant de rejoindre, en 1998, Le Journal de la santé. Marina Carrère d’Encausse est aujourd’hui coproductrice et coprésentatrice avec Michel Cymes des émissions médicales sur France 5 et directrice des rédactions. Elle est par ailleurs la marraine de la Fondation pour la recherche médicale. Michel Cymes Michel Cymes est médecin. Il exerce dans un hôpital parisien et est, par ailleurs, administrateur de l’ONG La Chaîne de l’espoir. Depuis 1990, il collabore à différents médias. Il a ainsi été chroniqueur santé sur Europe 2 et France Info. Jusqu’en 2008, il anime également sur Europe 1 l’émission médicale Comment ça va bien... merci ! En juillet 2012, il coanime avec Véronique Mounier, sur RTL, l’émission quotidienne On refait la chose. A partir de 1991, Michel Cymes officie à la télévision, où il est le chroniqueur médical de l’émission Télé Matin sur France 2. En 1994, il rejoint La Cinquième, qui deviendra France 5, où il anime les magazines Qui vive et Attention santé. Depuis 1998, il est coproducteur et coprésentateur avec Marina Carrère d’Encausse des émissions médicales quotidiennes de France 5 : Le Magazine de la santé et Allô docteurs. Benoît Thevenet Diplômé de l’école de journalisme de Marseille, Benoît Thevenet arrive à la rédaction de France 2 en 1992. De 1998 à 2002, il est au côté de Jean-Daniel Flaysakier pour s’occuper de la rubrique santé des JT de France 2. Depuis 2002, il est rédacteur en chef du « pôle santé » (Le Magazine de la santé, Allô docteurs, Enquête de santé sur France 5 et des spéciales santé sur France 3) du groupe 17 Juin Média. Complice des deux animateurs, il les remplace régulièrement à l’antenne sur France 5. 8 9 Interview Examen des 15 ans Interview de Marina Carrère d’Encausse, Michel Cymes et Benoît Thevenet Le Magazine de la santé fête cette année ses quinze ans d’existence. Selon vous, sur quoi repose son succès ? Marina Carrère d’Encausse : Sur l’intérêt des Français pour la santé au sens large et sur la façon dont on en parle, en étant détendus et dans l’empathie. La complémentarité entre Michel et moi joue certainement aussi beaucoup : nous n’avons pas de tabous et nous pouvons parler de tout, y compris des sujets délicats, quand ils intéressent les malades. Michel Cymes : Sur moi ! [Rires]. Non, plus sérieusement, d’après les retours que l’on nous fait, ce succès tient pour une part à la bonne ambiance présente sur le plateau ; la complicité qui existe entre nous se voit à l’écran. Tout en abordant des sujets très sérieux, il y a toujours un moment où l’on se détend en plaisantant. Même les hypocondriaques les plus sévères arrivent à nous regarder jusqu’à la fin sans tomber malades ! Cette longévité est évidemment liée, également, à la qualité des reportages et de l’émission ellemême, parce qu’amuser les téléspectateurs n’est pas suffisant pour les fidéliser. 12 Benoît Thevenet : Les gens regardent l’émission autant pour apprendre que pour se détendre. Michel et Marina font, je crois, un peu partie de leur famille. Ils nous suivent aussi pour l’expertise que nous apportons sur les sujets traités. Ce qu’ils cherchent chez nous, ce sont des réponses aux questions qu’ils se posent et ce qu’ils attendent, c’est notre capacité à trouver la bonne personne pour leur répondre. Quand vous avez démarré, vous imaginiez que vous seriez encore là quinze ans plus tard ? Michel : Quand on fait de la télé, on ne sait jamais, mais on a toujours été confiants. L’émission a grandi progressivement et ce que je n’avais pas imaginé, c’est qu’elle aurait aujourd’hui un tel succès, une telle image et un tel monopole dans le domaine de la santé à la télévision. Quand on a démarré, il n’était pas possible d’imaginer cela. Benoît : Notre chance, c’est d’avoir quinze ans d’existence ; nous avons eu le temps de construire notre magazine dans la durée. Après avoir démarré avec un rendez-vous de 7 minutes qui a fonctionné, on a pu le faire passer à 17, puis à 52 et à près de 80 minutes aujourd’hui avec Allô docteurs. Tout cela s’est fait au fil des ans sans heurts, avec une équipe qui a évolué tranquillement. Vous avez eu des doutes ? Michel : On a connu parfois des moments difficiles, oui. Quand on a changé de décor, par exemple, il y a un peu plus de quatre ans… Benoît : Cela coïncidait avec l’arrivée des nouvelles chaînes de la TNT. Les deux événements conjugués ont fait que, pendant deux saisons, on a eu chaud. Michel : Pour autant, on n’a pas tout révolutionné, on n’a pas fait venir de nouveaux cerveaux pour changer les choses. La chaîne a continué de nous faire confiance, on s’est serré les coudes et on a trouvé les solutions tout seuls. Quand tout va mal et que l’équipe arrive malgré tout à redresser la barre, les liens, déjà très étroits, ne peuvent que se resserrer. Marina : Oui, et le positif dans tout cela a été qu’il nous a fallu réfléchir à la manière de faire évoluer l’émission. C’est plutôt intéressant de se remettre en cause. Qu’appréciez-vous chez les deux autres ? Michel : Je ne peux pas travailler si je ne suis pas dans une ambiance amicale, affective. Ma vie tourne autour du plaisir et je dois le trouver aussi dans le travail. Cela résume les qualités que j’apprécie chez Marina et Benoît : ce ne sont pas des collaborateurs, mais des amis d’abord. Benoît est un vrai meneur d’équipe, toujours de bonne humeur. Son autre grande qualité, c’est sa tolérance, sa patience vis-à-vis de moi, car je peux être insupportable : je déconne sans arrêt, je ne suis pas toujours disponible parce que je me consacre à d’autres activités. Marina est une amie de vingt ans et ses qualités essentielles à mes yeux – en dehors de son amitié –, c’est d’abattre un travail considérable et de m’accepter tel que je suis. L’essentiel, c’est le trio que l’on forme, un quatuor, même, avec Christian Gerin, notre producteur. C’est une vraie chance. Benoît : Michel a tout le temps des idées et des projets. De ce fait, il nous force à avancer et à réfléchir, c’est une vraie impulsion qu’il nous donne. Chez Marina, ce que je mettrais en avant, c’est son attention permanente aux autres. Ensuite, ce que j’aime énormément chez l’un comme chez l’autre – chacun a sa manière –, c’est la confiance qu’ils me portent, et cela depuis le début. Marina : Concernant Benoît, j’apprécie sa grande intelligence de travail et sa profonde humanité. C’est un homme d’une culture et d’une curiosité rares. Avec Michel, c’est différent. Nous sommes amis depuis vingt ans, cela fait quinze ans que l’on travaille ensemble, et nos liens sont d’une solidité incroyable. 13 Interview Examen des 15 ans Quel est votre rôle dans l’émission ? Benoît : On n’a pas de rôle dévolu, nous sommes à l’antenne comme on est dans la vie. On est suffisamment différents tous les trois, il nous suffit de jouer avec nos propres caractères : Michel en rajoute un peu dans les blagues, Marina part un peu dans les « Oh, là là ! Michel ! ». Moi, je suis le remplaçant, cela ne fait de doute pour personne, et quand je suis à la place de l’un ou de l’autre, je me mets dans leurs chaussons. Mais je ne cherche pas à les imiter, ce serait peine perdue ! Michel : Celui du patron ! [Rires.] On est trois à la tête de cette émission, plus le producteur, mais il n’y a pas de hiérarchie entre nous, pas de leader et pas de rôle prédéterminé. Celui que j’ai peutêtre, c’est un peu celui du trublion qui sort les bêtises. Marina : Je pense qu’avec Benoît, nous partageons la vision en amont de la fabrication du magazine. Des trois, je suis celle qui est peutêtre le plus à l’écoute des invités, des malades, des témoins que nous recevons sur notre plateau. Quant à l’humour, on l’assume à deux avec Michel, même si nous ne l’exprimons pas de la même manière. 14 Vos journées sont bien remplies. Si vous avez trois heures de liberté, vous faites quoi ? Benoît : Je rentre à la maison pour m’occuper de mes enfants. J’aime bien cuisiner aussi. Ma dernière tentative : des baklavas. Michel : Je fais du sport. Je me suis mis au vélo et, quand je peux, je vais en faire dans la vallée de Chevreuse, sinon je vais en salle faire ma muscu. Depuis un an et demi, j’ai démarré le saxo et cela me passionne. J’ai toujours vécu comme une frustration de ne pas savoir jouer d’un instrument de musique. Marina : Je lis un livre ! La grande passion de ma vie, c’est la lecture et, depuis des années, je dévore un bouquin par jour. Ceux écrits par nos invités bien sûr, mais aussi des essais, des témoignages, de la littérature, des romans policiers… Votre remède anti-train-train ? Benoît : Rien n’est jamais acquis en télévision. Avec les journalistes de la rédaction, on a une espèce de thermomètre : lorsque quelque chose commence à nous ennuyer, on sait que cela ne va pas tarder à ennuyer le téléspectateur et qu’il est alors temps de changer. L’autre remède, c’est Michel, qui peut sortir douze blagues à la minute. Par ailleurs, j’ai la chance d’avoir quatre métiers en main : je suis rédacteur en chef avec une mission éditoriale et présentateur de temps en temps ; je m’occupe aussi du management de l’équipe et j’assure avec Michel, Marina et Christian un travail de production. Comment s’ennuyer ? Michel : Mon seul remède : les projets, les idées ! En fait, dès que je m’ennuie, c’est que je n’ai pas d’idées : des idées nouvelles pour l’émission, pour ma vie personnelle ou professionnelle. Marina : Je n’en ai pas besoin ! L’émission est tellement humainement riche, tellement variée, que pas une fois en quinze ans je n’ai eu le sentiment de m’ennuyer ! Contre quoi êtes-vous vacciné ? Benoît : Contre le pessimisme ! Je suis rarement en colère, je suis quelqu’un d’humeur égale et plutôt optimiste. Je vois rarement la vie en noir et j’aime bien aller de l’avant. Michel : Contre le défaitisme ! Pour moi, face à un problème, il y a toujours des solutions, toujours des moyens de s’en sortir. C’est facile de dire cela quand on est dans une situation comme la nôtre, c’est vrai… Mais bon, baisser les bras, je ne sais pas faire. Je suis vacciné aussi, je crois, contre l’égocentrisme et la mégalomanie. Marina : Contre pas grand-chose ! Je suis toujours aussi sensible, heurtée par beaucoup de sujets, toujours aussi susceptible et on peut toujours m’énerver aussi facilement. Un rêve, lequel ? Michel : J’adorerais jouer un rôle de vrai médecin dans une fiction. Benoît : Oh, j’en ai plein ! Ce que je ferais bien, entre autres, ce serait d’ouvrir une auberge, une table d’hôtes. C’est un projet auquel je pense souvent. D’ailleurs, tous les trois, on adore cuisiner et on se verrait bien aux commandes d’une émission culinaire. Marina : Je suis en train d’en réaliser un en écrivant en ce moment un roman. Un autre de mes rêves serait d’animer une émission littéraire. Une question de téléspectateur qui vous a marqué ? Michel : Je me souviens du SMS d’une femme qui m’avait estomaqué : « Je viens d’accoucher, mon mari a une maîtresse. Comment savoir si l’enfant est de moi ? » Scotchant, non ? Benoît : Ce qui est toujours perturbant, ce sont les gens qui envoient des SMS d’appel au secours. Je me souviens d’un texto qui nous a semblé indiquer une urgence médicale. Comme les messages nous parviennent de façon anonyme, nous avons pris la décision de répondre à la personne sans savoir si c’était ou non un canular : « Si ce que vous dites est vrai, foncez aux urgences ! » Pour vous, quelles avancées majeures la médecine a-t-elle réalisées ces quinze dernières années ? Benoît : Il n’y a pas eu de progrès révolutionnaires, mais la médecine avance à petits pas dans de nombreux domaines. Le traitement des cancers par exemple est aujourd’hui de plus en plus personnalisé. Un autre progrès, c’est que l’on ouvre de moins en moins l’abdomen lors des interventions chirurgicales : la cœlioscopie est désormais devenue une routine. Michel : Le vaccin contre le papillomavirus pour les adolescentes est une révolution dans la prévention du cancer du col de l’utérus. On en connaîtra les résultats dans quelques années. Marina : Le développement des cellules souches, celui de la thérapie personnalisée contre le cancer et l’amélioration de la prise en charge de la douleur me semblent trois beaux progrès. Il y en aura d’autres ! Propos recueillis par Beatriz Loiseau et Christine Guillemeau 15 Courbe de croissance Le Magazine de la santé a effectué en 2012 sa meilleure rentrée sur les cinq dernières saisons, recueillant sur les mois de septembre à décembre une part d’audience de 7,4 %. L’émission rassemble chaque jour quelque 761 000 téléspectateurs. Un résultat satisfaisant dans un contexte concurrentiel de plus en plus difficile. Questionnaire santé Interactif depuis 2004, Le Magazine de la santé a vu la participation des téléspectateurs doubler. 750 000 messages Internet et SMS ont été reçus depuis 2004. 100 000 messages arrivent chaque année. PdA 10 Records de participation 9 « En finir avec les douleurs chroniques » (26/1/2012) : 2 9 6 2 messages. « Quand la thyroïde se dérègle » (15/2/2012) : 2 7 1 0 messages. « Les médicaments sous surveillance » (31/1/2011) : 2 2 9 3 messages. 8 Les sujets qui font réagir les téléspectateurs 7,4 7 6,9 6,3 6,4 • La contraception • L’allaitement 6,4 • La thyroïde Sources des messages 6 Web : 7 8 % Twitter : 1 4 % 5 sept. - déc. RENTRée 2008 2009 2010 2011 2012 SMS : 8 %. Source : French TV. Sources : Médiamat / Médiamétrie – Base nationale. 18 19 En plateau Consultations des externes Pr Jean Claude Ameisen, médecin et chercheur, professeur d’immunologie à l’université ParisDiderot, président du Comité consultatif national d’éthique Yann Arthus-Bertrand, photographe Florence Aubenas, journaliste Sylvain Augier, animateur de radio et de télévision Michel Aumont, acteur Roselyne Bachelot, ministre de la Santé (2007-2010), ministre des Solidarités et de la Cohésion sociale (2010-2012) Elisabeth Badinter, femme de lettres et philosophe Françoise Barré-Sinoussi, chercheuse en virologie, prix Nobel de médecine en 2008, avec Luc Montagnier Dr Philippe Batel, addictologue Tonino Benacquista, écrivain et scénariste Pierre Bergé, homme d’affaires et mécène Xavier Bertrand, ministre de la Santé et des Solidarités (2005-2007) Enki Bilal, auteur de bandes dessinées et réalisateur Richard Bohringer, acteur Jeannette Bougrab, universitaire, présidente de l’Agence nationale pour la cohésion sociale et l’égalité des chances (2010-2011) Claude Brasseur, acteur Rony Brauman, médecin, ancien 20 président de Médecins sans frontières (1982-1994) François Cavanna, écrivain et dessinateur humoristique Hervé Chabalier, journaliste Patrick Chesnais, acteur, réalisateur et scénariste Philippe Claudel, écrivain et réalisateur André Comte-Sponville, philosophe Yves Coppens, paléontologue et paléoanthropologue, professeur honoraire au Collège de France Philippe Croizon, athlète français ; amputé des quatre membres, il a traversé la Manche à la nage Boris Cyrulnik, éthologue, psychanalyste et psychiatre Mireille Darc, actrice et réalisatrice Marie Darrieussecq, écrivain Dave, chanteur Alain Deloche, chirurgien cardiaque, fondateur de La Chaîne de l’espoir Stéphane Diagana, athlète Franck Dubosc, acteur et humoriste Anny Duperey, actrice Virginie Efira, comédienne et animatrice de télévision Jean-Loup Etienne, médecin et explorateur français Pr Jean-Noël Fabiani, chef de service de chirurgie cardio-vasculaire à l’hôpital Georges-Pompidou, à Paris Dominique Farrugia, humoriste et producteur Claude Finkelstein, présidente de la Fédération nationale des associations d’usagers en psychiatrie Maud Fontenoy, navigatrice Valérie Fourneyron, ministre des Sports, de la Jeunesse, de l’Education populaire et de la Vie associative Jean-Louis Fournier, écrivain, humoriste et réalisateur Irène Frachon, médecin ; a révélé le scandale du Mediator Stéphanie Fugain, fondatrice de l’association Laurette Fugain Jérôme Garcin, journaliste Hervé Ghesquière, journaliste, otage en Afghanistan de 2009 à 2011 Jean-Christophe Grangé, journaliste et écrivain Martin Hirsch, ancien président d’Emmaüs France, hautcommissaire aux Solidarités actives contre la pauvreté (2007-2010), président de l’Agence du service civique Jules Hoffmann, biologiste, membre de l’Académie des sciences et de l’Académie française, prix Nobel de physiologie et de médecine en 2011 Albert Jacquard, généticien et essayiste Laurent Jalabert, ancien coureur cycliste Chantal Jouanno, secrétaire d’Etat à l’Ecologie (2009-2010), ministre des Sports (2010-2011) et sénatrice Axel Kahn, scientifique, médecin généticien et essayiste Bernard Kouchner, médecin humanitaire, cofondateur de Médecins sans frontières et Médecins du monde, ancien ministre Alexandra Lamy, comédienne Pr Laurent Lantieri, chef du service de chirurgie plastique, reconstructive et esthétique de l’hôpital Georges-Pompidou (HEGP) ; a effectué la première greffe totale du visage en France Jean Leonetti, député des Alpes-Maritimes, ministre chargé des Affaires européennes (20112012), auteur de la loi relative aux patients en fin de vie Pr Emmanuel Martinod, chef du service de chirurgie thoracique et vasculaire de l’hôpital Avicenne ; auteur, avec son équipe, de la première greffe d’une bronche artificielle chez un patient atteint d’un cancer du poumon Pr Jean-François Mattéi, ministre de la Santé, de la Famille et des Personnes handicapées (2002-2004), aujourd’hui président de la Croix-Rouge Pr Israël Nisand, responsable du pôle de gynécologie-obstétrique au CHU de Strasbourg Michel Onfray, philosophe et écrivain Jean d’Ormesson, écrivain et éditorialiste, membre de l’Académie française Patrick Pelloux, médecin urgentiste au Samu de Paris Marc Peschanski, biologiste et neurophysiologiste, directeur scientifique de l’I-Stem, l’institut des cellules souches Pascal Picq, paléoanthropologue, maître de conférence au Collège de France Matthieu Ricard, moine bouddhiste, interprète français du dalaï-lama, écrivain et photographe Pr Marcel Rufo, pédopsychiatre Pr Didier Sicard, médecin, président du Comité consultatif national d’éthique (1999-2008), auteur d’un rapport sur la fin de vie Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé Delphine de Vigan, écrivain consultations des internes Nordine Attab : geste sportif Dr Philippe Charlier : médecine légale Pr Laurent Cohen : neurologie Dr Robert Cohen : pédiatrie Gérard Collard : les livres Solveig Darrigo : nutrition Dr Christophe Fauré : psy (les mots) Dr Serge Hefez : psy (famille) Gilles Goetghebuer : physiologie du sport Dr Hélène Jacquemin : sexo Thierry Lhermitte : la recherche Dr Sylvain Mimoun : sexo Didier Pleux : psy (ados) Christian Saout : droit des patients David Zavaglia : méta-analyse 21 Prescriptions côté livres Parallèlement à leurs activités télévisuelles, Marina Carrère d’Encausse et Michel Cymes mettent leurs connaissances médicales au service du grand public. Après la collection de petits livres pratiques Le Magazine de la santé (Marabout), parus entre 2005 et 2007, on leur doit la collection Bonjour-docteur (Hachette pratique), une série d’ouvrages conçus sous forme de questions-réponses et abordant des sujets aussi divers que l’alimentation ou la médecine anti-âge. Marina Carrère d’Encausse a publié, en 2011, aux éditions Anne Carrière, Alcool : les jeunes trinquent. Dernièrement, Michel Cymes a publié, aux Editions du Chêne, deux beaux livres : Complètement malades ! (2010) et La Sexualité, que d’histoires ! (2011). 22 côté web Sur la page france5.fr/sante, les internautes ont la possibilité de retrouver, durant sept jours après leur diffusion, l’intégralité du Magazine de la santé et d’Allô docteurs. Ils peuvent également découvrir de nombreux dossiers, ainsi que l’ensemble des références évoquées à l’antenne. Sur le site allodocteurs.fr, les internautes peuvent trouver un suivi permanent de l’actualité santé en France et dans le monde, une encyclopédie médicale en images de 10 000 vidéos, des forums et des blogs. Deux fois par semaine, ils peuvent se joindre à un tchat avec les médecins invités d’Allô docteurs, immédiatement après l’émission. MAGAZINE Le Magazine de la santé Format 52 min Présentation Marina Carrère d’Encausse, Michel Cymes et Benoît Thevenet Réalisation Bernard Faroux, en alternance avec Jean-Pierre Devillers, Antoine Slodre et Norbert Letroll Une production 17 Juin Média, Pulsations avec la participation de France Télévisions Diffusion du lundi au vendredi à 13.40, en direct Directeur de France 5 Bruno Patino Directeur de l’Antenne de France 5 Pierre Block de Friberg Directeur de l’unité Magazines de France 5 Thierry Chiabrero Adjointe du directeur de l’unité Magazines en charge de la société et du décryptage Fabienne Barollier Directrice de la Communication externe de France 5 et des Actions éducatives Laurence Cadenat 01 56 22 92 33 [email protected] Responsable du service de presse de France 5 et des Actions éducatives Frédérique Lemaire-Benmayor 01 56 22 92 51 [email protected] Conseiller de programmes Philippe Broussaud Contacts presse Frédéric Goetz 01 56 22 75 27 [email protected] Valérie Blanchet 01 56 22 92 40 [email protected] Edité par la direction de la Communication de France Télévisions - Janvier 2013 Directeur de la publication Rémy Pflimlin Directrice de la Communication externe de France 5 et des Actions éducatives Laurence Cadenat Réalisation Studio France Télévisions Directeur délégué Eric Martinet Responsable éditoriale France 5 Isabelle Ducrocq Rédaction Christine Guillemeau, Beatriz Loiseau Secrétariat de rédaction Bénédicte Mielcarek Iconographes Catherine Hertel, Aline Songa Graphisme Maëva Da Silva, Clémence Gevrey Crédits photo Nathalie Guyon / FTV France 5 Impression Advence france5.fr