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Plus que des spectacles,
les propositions des étrangères créations sont des œuvres poétiques polymorphes,
des expériences sensorielles et sensibles,
données à vivre à chaque spectateur et à la richesse de son imaginaire.
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P É D A G O G I Q U E
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Depuis une dizaine d’années, Pierre Tallaron explore et développe une poétique singulière,
qui puise aux sources de l’art contemporain, de la performance et de la musique
expérimentale. Son parcours de voyageur, chercheur, étudiant perpétuel, et sa capacité à
s’entourer d’artistes de tous les horizons témoigne d’ailleurs de cet appétit insatiable de
découvertes et de transdisciplinarité.
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« Quand j’étais artiste associé de 2005 et 2010 au Théâtre Théo Argence, j’ai commencé à
distinguer dans mes mises en scènes ce qui est à entendre de ce qui est à voir. Je souhaitais
permettre à chaque spectateur de faire lui même la synthèse et de devenir peut être ainsi
auteur de ce à quoi il était en train d'assister.
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Plus tard, entre 2011 et 2013, j'ai mis en place le principe de Cinéma préhistorique avec un
collectif de musiciens et de plasticiens. Nous présentions chaque mois une performance lors
de laquelle se conjuguaient un texte, lu, un rapport au son et un rapport à l'image qui
n'avaient pas forcément de lien directs entre eux hormis celui d'exister dans le même espace
temps.
Le public avait ici vraiment la liberté d'être dans une écoute plurielle en faisant le choix d'une
matière, ou en étant au cœur de la rencontre transdisciplinaire. Chacun devenant le chefopérateur de son propre film.
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J'ai pu observer ainsi que les spectateurs pouvaient s'approprier complètement l'œuvre
et voyager dans les espaces de leurs propres imaginaires.
Suite à cette découverte, j'ai fait un lien assez évident entre cette qualité d'écoute large et
libre et la qualité d'écoute de l'enfance. J'ai donc souhaité réaliser des pièces de Cinéma
Préhistorique pour l'enfance.
En effet, ce n'est pas uniquement aux enfants que je souhaite m'adresser ; mais bien à
l'enfance, à cette énergie de l'enfance présente et vivace en chacun, chacune et qui
parfois (voire souvent) reste pelotonnée dans son coin, tant l'on peut s’évertuer à penser et à
croire qu'être au monde, très vite n'est plus une histoire d'enfants ...
Je crois au contraire, que pour être au monde, entièrement, l'énergie de l'enfance est un
talisman premier. Je crois que c'est celui qui garde l'accès à l'étonnement, à
l'émerveillement, à cette capacité de recevoir les choses du monde et de la vie bien avant
la capacité de les juger : recevoir le monde et la vie pour ce que cela est, et non pour ce
que nous pensons que c'est.
J'ai développé pendant plusieurs années une expression poétique autour de cette
conviction, sans avoir fait le lien avec l'enfance. Je travaillais à ce que cette poésie
devienne tangible et partageable. Et ce n'est que très récemment que j'ai découvert que
l'adresse de ce travail, de cette recherche, était l'enfance. J'ai donc le sentiment, à 38 ans,
d'avoir découvert ma langue poétique maternelle … Imaginez ma joie ! ».
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maîtresse des monstres
[cinéma préhistorique pour l’enfance : théâtre - musique - ombres - arts plastiques
adapté de l’œuvre de Michel Ocelot]
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Un spectacle pensé et réalisé comme une œuvre poétique initiatique ;
un espace-temps fertile pour l'imaginaire
dans lequel la question de la peur est traversée
et peut être transformée
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La fable
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Elle est adaptée d’un dessin animé de Michel Ocelot, connu notamment pour la création et
la réalisation des aventures de Kirikou, des films Princes et Princesses et Princesses et dragons
(duquel est tiré La maîtresse des monstres). En voici un résumé :
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D’abord il y a une caverne dans laquelle vivent des hommes, des femmes et
des enfants. C’est une tribu qui vit là depuis toujours, semble-t-il, et passe ses
journées à attendre, dans la terreur quotidienne de monstres effrayants : le monstre
de l’Eau, le monstre des Champignons et au loin le monstre du Passage.
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Ils vivent donc là, à attendre, d’une peur à l’autre, assis sur des rochers ... Seule une
petite fille est debout. Elle surveille.
Un jour, un rat, venu d’on ne sait où, vient lui annoncer qu’elle a le pouvoir de faire
rapetisser et de faire disparaître les monstres, rien qu’en les regardant en face. Elle
est une maîtresse des monstres. Le voyage peut commencer.
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Ensemble, le rat et la petite fille affronteront des monstres de plus en plus effrayants,
apprendront de leurs échecs, et visiteront un à un les cinq mondes sous-terrains qui
séparent la caverne de la surface et de la lumière du soleil…
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La scénographie
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Conception Pierre Tallaron et Charles Tétard
Illustration - Sophie Zazzeroni
Aide à la construction - Manuel Peirera
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L’espace de jeu de 5 mètres sur 4 est constitué de différents sous-espaces, avec au centre Le
Moulimoulos, sorte de mini-yourte-salle-de-projection, qui s’ouvre en son centre pour laisser
apparaître un écran, sur lequel sont mis en lumière, depuis l’intérieur, différents tableaux
peints les uns à la suite des autres, sur un rouleau de plus de 20 mètres de long. Le déroulé de
cette fresque colorée, tableau par tableau, sert de base au jeu et à la narration des
comédiens.
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les personnages
les objets
Habitants de la caverne, monstres de toutes sortes, de l’eau, du feu, des champignons, de la
porte, monstres à mille bras, à 3 yeux… les personnages qui peuplent l’histoire, aux côtés des
deux protagonistes ne manquent pas. Et si beaucoup d’entre eux sont représentés sur le
rouleau illustré, beaucoup ont été construits en volume. Tour à tour, marionnettes, ombres,
couverture de survie dorée, bâche de plastique bleue, ces personnages sont créés de toutes
les matières, manipulés, suggérés, et mis en vie de manière différentes tout au long du
spectacle.
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jeu
Pierre Tallaron
Et Charles Tétard
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La démultiplication des rôles
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Le jeu des comédiens de La
maîtresse des monstres est pluriel et
multiforme.
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Tour à tour, narrateurs, acteurs,
manipulateurs d’ombres ou de
lumières, techniciens, musiciens,
personnages ou marionnettistes, les
deux hommes sur scène explorent les
multiples façons de raconter une
histoire, comme le feraient
naturellement les enfants, qui
incarnent, commentent, manipulent,
prennent différentes voix, s’échangent les rôles et se servent de tout ce que leur corps et leur
environnement proche met à disposition pour faire vivre le monde imaginaire qu’ils créent,
instant après instant.
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L’exploration de la parole, comme langage et musique
Un important travail a été réalisé sur la parole, sur le langage et la sonorité de ce langage. La
redécouverte du plaisir des sons et des syllabes que l’on goûte, la désarticulation des mots,
l’exploration des onomatopées, des tessitures, des rythmes et des textures de voix… Tout
concourt à redonner au langage sa valeur musicale, abstraite, et à faire redécouvrir
l’étrangeté et la beauté des mots, que l’on peut apprivoiser et à qui notre corps peut donner
différentes couleurs.
La musique live (guitare, percussions et chant), qui intervient à deux reprises dans le
spectacle, renforce ce parti pris en donnant une couleur musicale au langage et en faisant
de la musique elle-même un langage, qui teinte un mot d’une couleur autre, véhicule des
images et des émotions, ou même raconte à elle seule une histoire.
Toujours dans l’idée de donner à voir et à vivre plusieurs matières simultanément au
spectateur, des rapports polyphoniques donnent l’occasion à chacun de vivre de façon
unique le spectacle, en accordant de l’attention à l’une ou l’autre des actions, des
narrations; en devenant aussi l’auteur de ce qui est en train de se passer.
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Le travail du choeur
La multiplicité des actions, des voix et des propositions au plateau, ne saurait être possible
sans une écoute mutuelle très intense des deux comédiens. En effet, la présence scénique et
l’écoute sensible du partenaire sont centrales dans le travail de la compagnie.
La maîtresse des monstres est donc rythmée par une multiplicité de petits instants de chœur,
de ponctuations et de silences partagés, qui permettent de mettre le temps et le récit en
suspens, de garder l’attention du public et de prendre conscience du présent de la
narration, toujours renouvelé.
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pistes pédagogiques
A la lecture des pages précédentes
vous aurez sans doute compris que ce spectacle offre une foule de possibilités
pour un travail avec des élèves, en amont ou en aval d’une représentation.
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Qu’il s’agisse du propos Les peurs, rationnelles ou irrationnelles, matérielles ou immatérielles
La transformation de ces peurs, leur démystification ou leur légitimation
La symbolique de la caverne, de l’enfermement, de la nuit, de l’ascension, de la lumière
La relation maître-élève, ou petit frère - grand frère, ou adulte - enfant
La symbolique de l’initiation
Les héroïnes
Qu’est ce qui fait un héros ?
Les Héros d’aujourd’hui
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Qu’il s’agisse du langage
Travail de la musicalité du langage, dans la poésie par exemple
Travail sur les onomatopées
Travail sur le gromelot ou l’esperanto
Rapport entre le son et le sens
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Qu’il s’agisse de la narration
Qui raconte ?
Les différences entre auteur, narrateur, acteur
Le point de vue
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Qu’il s’agisse du corps
Découverte des différentes tessitures et textures de voix
Lien entre la couleur de la voix et le propos tenu
Est ce que la tonalité ne dit pas parfois l’inverse de ce disent les mots prononcés ?
Est-on plus sensible à ce que dit le corps de celui qui parle ou à ses mots
Rythme d’élocution
Travail sur la polyphonie
Ecoute, silence, travail de chœur, de simultanéité etc …
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Les arts
Introduction à la marionnette, au théâtre d’objets, au théâtre d’ombres, à l’art de
l’illustration, à l’oralité et à la poésie sonore.
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Les ateliers proposés
par les étrangères créations
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En relation avec le spectacle La maîtresse des monstres,
les étrangères créations proposent des ateliers pédagogiques de pratiques artistiques.
Adressés à des enfants entre 5 et 10 ans
ces ateliers s’articulent autour des thématiques abordées dans le spectacle
(les monstres, la peur, et la capacité à leur faire face)
et des différentes techniques utilisées, à savoir :
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> Théâtre d’ombres et d’objets :
Réalisation d’un mini-castelet (40x40 cm)
et expérimentation des manipulations d’ombres et d’objets.
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> Arts plastiques :
Réalisation d’un bestiaire de monstres (en format livre ou figurines),
pour jouer à inventer, faire et défaire des monstres.
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> Musique et expérimentations sonores
Expérimentations sonores et musicales (voix, corps et objets)
et compositions de poèmes musicaux.
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Ces ateliers sont proposés sous 3 formes différentes :
> Ateliers d’initiation :
4 heures / 1 intervenant pour 12 enfants / 200€ (matériels compris)
> Ateliers de recherche :
4 ateliers de 4 heures (un atelier de chaque discipline + un atelier supplémentaire de
pratique aux choix des enfants) / 1 intervenants pour 12 enfants / 800€ (matériels compris)
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> Ateliers de création :
Création d’un spectacle de Cinéma Préhistorique
20 heures minimum / 1 intervenant pour 12 enfants / 50€/heure TTC (matériels compris)
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Renseignements artistiques :
Pierre Tallaron
06 73 37 07 11 / [email protected]
Demande de devis et contact administratif :
Mélanie Rebouillat
09 50 518 519 / [email protected]
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la maîtresse des monstres
distribution
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avec pierre tallaron & charles tétard
mise en scène pierre tallaron
scénographie pierre tallaron & charles tétard
Illustration sophie zazzeroni
construction manuel pereira & charles tétard
costumes et conseils artistiques nermin salepci
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technique
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durée 45 minutes
jauge 150 personnes maximum
à partir de 5 ans
spectacle autonome
espace
4 X 5 mètres minimum
une arrivée électrique de 16 ampères
salle obscure
gradinée pour voir ce qui se passe au sol
montage : 2h30
démontage : 1h
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P É D A G O G I Q U E
pierre tallaron
performer,metteur en scène & dramaturge
Initialement formé lors d'un compagnonnage des arts et métiers du théâtre, mis en place par
le Nouveau Théâtre du 8° à Lyon.
Il débute en 1999 un tour de France et d'Europe pour se sensibiliser à différents styles et
approfondir certaines techniques : il travaille entre autres le personnage shakespearien à
l'Institut Français d'Ecosse, l'improvisation au Théâtre du Soleil avec Ariane Mnouchkine, la
manipulation d'objets avec le Turak théâtre, l'acrobatie aérienne avec Alto y corto , l'écriture
chorégraphique avec différentes compagnies de danse bruxelloises (notamment lors d’une
rencontre avec Ian Fabre) et la composition chorale avec Pippo Delbono. Il intègre en 2000
le Théâtricule (plateforme de recherches et de créations scéniques contemporaines).
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Agité par l'idée de se faire rencontrer les disciplines, les styles et les genres, il est, en 2002,
fondateur des étrangères créations.
Metteur en scène de cette entité artistique, il considère l'espace scénique comme étant
avant tout un espace de liberté et de précision, au service d'une parole collective (celle des
sensations, de l'acteur et du spectateur réunis).
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Depuis il continue à développer les possibilités d'un vocabulaire poétique en suivant diverses
formations : L'acteur créateur d'espaces, avec Laurence Mayor, Méthode Alexander avec
Eulalia Seguerra. Technique de voix Roy Hart Théâtre avec Mireille Antoine, La danse Buto
avec Atsushi Takenouchi,...
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En résidence au Centre Culturel Théo Argence de Saint de Priest entre 2005 et 2010, de
nombreux et divers projets sont créés avec les habitants de cette ville parallèlement au
travail de création de la compagnie.
En 2009 la création « Au Cœur » est sélectionnée pour représenter la jeune création française
lors du festival « Premières » organisé par le Théâtre National de Strasbourg et Le Maillon,
scène Européenne.
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Il est depuis 2010 intervenant comme metteur en scène et dramaturge pour le jeune ballet
du CNSMD de Lyon et pour le festival chorégraphique européen itinérant Spider on the
edge.
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Dernières créations (2005/2014)
« Sur le fil », création sonore et photographique, participative et interactive.
« Le vol du rempart » et « Mues », mise en scène pour la compagnie de cirque Mauvais
coton.
« La ville est un trou », de Charles Pennequin, avec un orateur, un musicien et un plasticien.
« La maladie de la mort », de Marguerite Duras, avec une oratrice et une musicienne.
« Un Big-Bang », solo de théâtre d’objets.
« Le corps utopique », de Michel Foucault pour un acteur, un danseur, un musicien, un
plasticien et un chœur d’acteurs non professionnels.
« L’homme qui plantait des arbres », de Jean Giono, avec une chanteuse et un dessinateur.
« Sans Titre-010 », création pour 40 acteurs amateurs, 7 danseurs et 4 musiciens.
« Sans Titre-09 », création pour 20 acteurs amateurs, dont 3 professionnels, un musicien et un
plasticien.
« SOIS », pour un acteur et un musicien avec des écrits de F. Pessoa et G. Luca Pessoa
« Plaies Mobiles », création pour 6 acteurs danseurs et trois musiciens.
« [ R ] », création pour 5 acteurs danseurs et deux musiciens. « Au Cœur », pour quatre musiciens, un orateur et un danseur avec des textes de F. Pessoa
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plus d’informations
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site web de la compagnie avec photos et vidéos
http://etrangeres.wix.com/etrangeres-creations#!les-etrangeres-creations/c10fk
facebook cinéma préhistorique
https://www.facebook.com/cinemaprehistorique?fref=ts
contact artistique et technique
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Pierre Tallaron
06 73 37 07 11
[email protected]
contact
pour
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la programmation
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Mélanie Rebouillat
Le Grand ManiTou
[email protected]
09 50 518 519
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www.legrandmanitou.org