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Zénith, Palais des Sports, Parc des Expositions… LA COMÉDIE MUSICALE-ÉVÉNEMENT 40 artistes sur scène qui chantent, dansent et nous rejouent la divine comédie de l’amour. Priscilla Betti est Alex, Gaétan Borg est Nick. investit les plus grandes salles de France À PARTIR DU 10 MARS 2016 2h30 de show survitaminé pour vivre en live le film-phénomène des années 1980. What a feeling, Maniac, Manhunt… Une bande son de légende et des tubes qui donnent des fourmis dans les jambes ! Enfin la comédie musicale… C’est le 19 juillet 2008, vingt-cinq ans après la première projection du film, que le public a découvert la version live de Flashdance. D’abord au Théâtre Royal de Plymouth, au Sud de l’Angleterre, puis à travers tout le Royaume-Uni. En 2013, pour les 30 ans du film, la comédie musicale a été montée aux Etats-Unis. A tout seigneur, tout honneur, c’est Pittsburgh, la ville décor du film, qui a accueilli l’événement la première, le 1er janvier au Heinz Hall ! La tournée américaine a duré deux ans. Parallèlement, la Suède, patrie d’Abba et de Mamma Mia, réservait un triomphe à l’adaptation scénique, qui faisait ses premiers pas en France, en 2014. PRISCILLA BETTI ex est l A , i o m e « Comm a passion » rs a p e é d é s b o Entre Flashdance et Priscilla, c’est une histoire qui dure. Si elle n’était pas née quand le film est sorti, ses deux sœurs aînées se sont chargées de le lui faire découvrir : « J’avais 7 ans et j’ai immédiatement accroché aux chansons ». Quatre ans plus tard, Prissou (« Je ne renie pas ce surnom ») est une star qui collectionne les tubes (Britney Spears lui remet son premier disque d’or) et remplit l’Olympia ! En 2003, elle sort un single prédestiné, Cette vie nouvelle, adaptation du tube What a feeling. Depuis, Priscilla la chanteuse, a élargi sa palette, goûtant à la comédie dans la série télé Chante. Par défi, en 2013, elle décide de passer le casting de Flashdance qui se monte en France. Priscilla a craqué pour cette femme qui lui ressemble : « Comme moi, Alex est sauvage, décidée et obsédée par sa passion ». Son talent fait le reste et c’est avec une envie décuplée que la jeune artiste reprend à présent son rôle dans la version grand format de la comédie musicale. « Je suis contente de retrouver la troupe avec laquelle j’ai déjà joué 170 fois, déclare tout sourire l’ex-candidate de Danse avec les Stars 6. Les immenses salles dans lesquelles nous nous produisons désormais exigent plus de projection corporelle. Quand je pose le pied sur scène, je sais que je pars pour 2 heures 30 de course permanente. » Un défi qui débute avec une première scène mythique…et physique : « Au début du premier tableau, j’ai trois épaisseurs de vêtements sur le dos : ma combinaison de travail quand je suis à l’usine que j’enlève dans la rue, en passant devant l’école de danse, avant de me retrouver en brassière, guêtres et culotte haute quand débute Maniac ». Et se termine en apothéose avec l’audition d’Alex : « Le final est un solo qui me fait toujours peur, confesse-t-elle. J’occupe, seule, cet immense plateau pendant 1min 20. J’apprécie que la troupe me rejoigne… » Le regard plein d’envie et le sourire communicatif, Priscilla ponctue : « Flashdance, ça donne la pêche ! C’est un spectacle survitaminé où l’on vient faire le plein d’énergie ». PRISCILLA, REINE DE LA DANSE ? C’est avec gourmandise que Priscilla a relevé le défi de participer à la sixième édition de Danse avec les stars, le programme vedette de TF1, qu’elle connait par cœur : « J’ai suivi toutes les saisons ». Dès le début de la compétition, la jeune femme s’est imposée comme une redoutable concurrente. Certains ont rapidement misé sur sa victoire. Prudente, elle tempérait ces ardeurs. « C’est un challenge physique, avouait-elle avant le coup d’envoi de l’émission. Il y a aussi le stress de réussir sa chorégraphie de A à Z, sans se tromper et d’offrir un bonne prestation au jury. Mais je vais chercher à me faire plaisir. » AUTOUR DU FILM UNE SORTIE ÉVÉNEMENTIELLE L’HISTOIRE C’est le 15 avril 1983 que Flashdance débarque sur les écrans américains. Plus de 1100 salles de cinéma le programment à travers le pays. Dès la première semaine d’exploitation, le film se hisse en tête du box office. La France a dû patienter jusqu’au 14 septembre pour découvrir à son tour le phénomène. Cette année-là, le film a rapporté 200 M$, dont près de la moitié sur le sol américain. Dans l’Hexagone, Flashdance attire plus de 4 millions de spectateurs et atteint la sixième place au box office, derrière Les Dieux sont tombés sur la tête, L’Été meurtrier, Le Marginal, Les Compères et Le Retour du Jedi. Aux Etats-Unis, il monte carrément sur le podium, précédé du Retour du Jedi et de Tendres Passions. Pittsburgh. La cité métallurgique poursuit son déclin au début de cette décennie 1980. Alexandra Owens, 18 ans, gagne modestement sa vie comme soudeuse dans une aciérie. Le soir, après le travail, Alex se métamorphose. Elle oublie cet univers masculin en se produisant au Mawby’s Bar, un club miteux, où elle entretient sa passion pour la danse : elle rêve d’intégrer la prestigieuse Pittsburgh Dance & Repertory Company. C’est là que Nick, son boss, la remarque. Comme sa meilleure amie Jeanie, il l’encourage à poursuivre son rêve et à passer une audition… LES ACTEURS Jennifer Beals est une inconnue de 20 ans à peine quand elle décroche le rôle d’Alex. Malgré cette gloire soudaine, c’est une carrière discrète qu’elle a choisi de mener, tournant rarement plus de deux films par an. Pas de blockbusters dans cette filmographie, mais quelques incursions du côté de la France avec Dr. M de Claude Chabrol, Le Grand Pardon 2 d’Alexandre Arcady ou Joueuse de Caroline Bottaro, avec Sandrine Bonnaire. C’est la télévision qui a donné un second souffle à la célébrité de la comédienne. Héroïne de la série The L Word pendant six saisons (2004-2009), elle campait une directrice de musée homosexuelle. David Nouri sort de nulle part quand Nick lui tombe dessus ! Au passage, il grille la politesse à Kevin Costner qui lui aussi visait le rôle (décliné par Gene Simmons, le chanteur de KISS). La carte de visite Flashdance permet à David d’enchaîner depuis, sans discontinuer, les apparitions au cinéma, même s’il s’est fait une spécialité des séries télé. Aujourd’hui septuagénaire, il est notamment apparu dans New York, police judiciaire, New York, unité spéciale, The Practice, Cold Case : Affaires classées, Les Feux de l’amour, Star Trek: Enterprise, Les Experts : Manhattan, New York, section criminelle, FBI : Portés disparus, NCIS ou Dr House. LE RÉALISATEUR Surprise, c’est un cinéaste britannique de 42 ans, qui signe cette romance musicale si américaine ! Adrian Lyne a également réalisé le clip du single Maniac qui tourna aussi en boucle sur MTV. La production avait pourtant imaginé confier la caméra à David Cronenberg ou Brian de Palma. En un film, David Lyne s’est taillé une solide réputation à Hollywood où il a enchaîné les succès. Spécialiste des love stories, il a formé quelques couples de légende sur grand écran : Kim Basinger et Mickey Rourke dans 9 semaines ½ (1986), Glenn Close et Michael Douglas dans Liaison fatale (1987) ou encore Demi Moore et Robert Redford dans Proposition indécente (1993). Demi Moore, inconnue dix ans plus tôt, avait failli obtenir le rôle d’Alex dans Flashdance, qu’avait refusé Melanie Griffith. UN SPECTACLE VERSION XXL SIGNÉ CHEYENNE PRODUCTIONS En moins de vingt ans, Claude Cyndecki a imposé sa griffe dans le milieu de la production française. A la tête de la société Cheyenne Productions, cet amoureux du grand spectacle n’est en pas à son coup d’essai. C’est à lui que l’on doit les récents succès des tournées Stars 80, Danse avec les stars, Les Bodin’s ou The Voice. « Mon ADN c’est le partage, confie-t-il. Je tiens à produire des spectacles de qualité, populaires et à un budget accessible pour les spectateurs ». Sa marque de fabrique, ce sont aussi ces scènes gigantesques où se mêlent la chanson, la danse, l’acrobatie, la magie, la vidéo, le son et l’image : « Le divertissement total à l’américaine est la base de l’entertainment ». Avec Flashdance, le producteur est tombé sur une pépite, comme il les aime. A sa sortie, il se souvient avoir vu le film une vingtaine de fois. Un coup de foudre. Il y a deux ans, il découvre par hasard, l’adaptation scénique au théâtre du Gymnase de Paris et décide de le reprendre en main. « Je me suis tout de suite dit qu’il fallait donner de l’air à ce spectacle et que les titres résonnent. J’ai opté pour des grandes scènes de 25 mètres d’ouverture et de 15 mètres de profondeur où les danseurs peuvent s’exprimer, des écrans géants qui prolongent les éléments de décor, une vingtaine de danseurs… J’ai conçu un spectacle avec beaucoup de lumière et de son, un peu comme pour Stars 80, et des artistes de qualité, Priscilla Betti en tête. Le film fut l’un des plus gros succès des années 1980, il fallait garder l’ampleur du phénomène ! J’ai voulu remettre Flashdance dans son écrin. En faire un diamant. » Pour promener sa comédie musicale version XXL sur les routes de France, le producteur prévoit six semiremorques, car il a bien l’intention de transformer les Zénith et autres Palais des Sports en boîte de nuit : « Quand résonneront les tubes de cette bande-son incroyable, il faut qu’on se lève et qu’on danse dans la salle » UN OSCAR POUR GIORGIO Giorgio Moroder avait déjà réalisé le doublé en 1979, couronnée de l’Oscar et du Golden Globe de la meilleure musique de film pour Midnight Express. Il récidive avec Flashdance qui obtient l’Oscar de la meilleure chanson originale (What a feeling) et deux Golden Globes (meilleure musique de film et meilleure chanson originale pour What a feeling). Moroder fait même la passe de trois en 1987, grâce à son tube Take my breath away, BO de Top Gun. UNE BO DE LÉGENDE 30 MILLIONS DE DISQUES Depuis sa sortie, plus de 30 millions de vinyles et CD se sont écoulés dans le monde. • La bande originale initiale ne comporte que 10 titres : ne figurent notamment pas sur l’album Gloria, la reprise du tube d’Umberto Tozzi (1979) par Laura Branigan qui fut numéro 1 aux Etats-Unis, I love rock’n’roll de Joan Jett (reprise du standard des Arrows) et l’adagio d’Albinoni. • Giorgio Moroder qui a signé plusieurs morceaux de la BO (Flashdance... What a Feeling, Love theme, Lady, Lady, Lady) a imaginé le premier une adaptation scénique en 2001, composant même de nouveaux titres. Le projet n’a pas abouti. • Cette bande-son d’exception comporte en outre le slow de Kim Carnes I’ll Be Here Where the Heart Is, dont la voix rauque plébiscitée deux ans plus tôt grâce à son tube Bette Davis Eyes, fait encore merveille et Romeo de Donna Summer. • Les singles Flashdance... What a Feeling, chanté par Irene Cara et Maniac, composé et interprété par Michael Sembello, ont tous deux été classés numéro 1 au Billboard américain. Nommé au Grammy Award de la meilleure chanson de l’année 1984, le trophée échappe à Sembello, au profit de Sting, compositeur du tube Every Breath You Take de Police. • Auteur d’un unique tube mondial, Michael Sembello est un “requin de studio” qui a collaboré avec de nombreuses stars (Stevie Wonder, Barbra Streisand, Diana Ross). Son visage est inconnu du grand public, mais il a signé les BO de quelques blockbusters (Cocoon, Gremlins, Independence Day). • L’album Flashdance a été le premier à déloger Thriller de Michael Jackson, qui trônait en haut du Top 100 américain depuis dix-sept semaines. Mais deux semaines plus tard, le King of Pop retrouvait son rang… IRENE CARA, QUEL DIAMANT ! Enfant star dans son pays, Irene Cara atteint la notoriété mondiale à 20 ans, en 1980, grâce au film Fame, réalisé par Alan Parker, dont elle campe l’héroïne principale, Coco Hernandez, et interprète également la BO. Le single Fame, qu’elle a composé, propulse la jeune Américaine au sommet des charts internationaux. Trois ans plus tard, elle récidive, avec le single Flashdance... What a Feeling. Co-auteure du titre avec Georgio Moroder, elle en a couché les paroles le jour-même de l’enregistrement, lors du trajet qui la conduisait au studio… Elle décroche le Grammy Award de la meilleure chanteuse pop en 1984. ndonne « Quand on abaeu ses rêves, on m rt » C’est la réplique culte du film ! Un encouragement lancé par Nick à Alex et qui a porté ses fruits. PHILIPPE HERSEN : LE METTEUR EN SCÈNE DÉMÉNAGE ! Sur scène, il a produit Delon, Baffie et Depardieu, mais aussi Yves Lecoq à la radio et Bernard Tapie la télévision… Avant tout cela, Philippe Hersen a fait ses gammes en montant les concerts de Gloria Gaynor, James Brown et Stevie Wonder. « La musique a toujours été présente dans ma démarche artistique, explique-t-il. J’avais évidemment vu le film à sa sortie, dont je suis instantanément devenu fan et j’essayais depuis quelques années d’acquérir les droits de la comédie musicale Flashdance, que je suis allé voir à Stockholm. J’ai dû montrer patte blanche. J’ai fait comprendre aux ayants droit américains que je voulais monter un show à l’américaine, digne des meilleurs spectacles de Broadway. Tom Hedley, qui a aussi écrit le scénario du film et Robert Cary, avaient lu dans le « New York Times » un papier élogieux sur la pièce « Suite 2806 », inspirée de l’affaire Strauss-Khan que j’avais montée à Paris et qui les a mis en confiance ». Pari gagné ! La French touch du metteur en scène ? « J’ai coupé plusieurs chansons pour ramener le spectacle de 3h10 à 2h30 et j’ai donné un côté très sexy aux scènes de cabaret ». Et que dire de la fameuse scène de la douche, qui sert d’ailleurs d’affiche au spectacle ? « C’était un grand défi, résume Philippe Hersen, mais quel résultat ! » Près de quarante danseurs et comédiens occupent le plateau, pendant qu’une quinzaine de techniciens s’affairent en coulisse. « Flashdance est une marque très forte, avec quantité de tubes, mais c’est avant tout une belle histoire d’amour ». MARJORIE ASCIONE : UNE CHORÉGRAPHE EN OR La danse, elle a ça dans le sang. Lyonnaise, Marjorie puise ses racines en Espagne, par sa mère et en Italie, par son père. Elle avoue un goût inné pour le flamenco, mais jeune ado, elle prend des cours de modern jazz et suit des stages auprès de Redha. Sa maîtrise de littérature en poche, c’est avec Bruno Vandelli et Bianca Li que la jeune femme se perfectionne et se distingue. Kamel Ouali la nomme danseuse capitaine dans Les 10 commandements. Grâce à lui, Marjorie joue aussi la prof de flamenco à la Star Academy. Son CV s’allonge à vue d’œil : danseuse (Autant en emporte le vent, Le Roi Soleil), assistante chorégraphe (Gladiateur, Romeo et Juliette, Mozart l’Opéra Rock, Cléopâtre, Dracula …), chorégraphe (Mugler Follies). Sur les vastes scènes de Flashdance, elle laisse aller sa créativité avec exigence et virtuosité, servie par des danseurs qui occupent l’espace avec gourmandise. Les spectateurs en ont des fourmis dans les jambes. GAÉTAN BORG : NICK A RETOUVÉ ALEX Etaient-ils faits pour se rencontrer ? Comme Priscilla, c’est en 2003 que Gaétan foule pour la première fois la scène de l’Olympia. Il a 23 ans et impressionne dans la troupe du spectacle musical hommage à Claude François, Belles, belles, belles. C’est le chorégraphe Redha qui a débusqué ce talent, un jeune homme élevé aux “musicals”, made in Broadway. Mais Gaétan ne se contente pas de danser, il sait aussi chanter. Et ça s’entend ! Dans Chance, où il campe Fred le coursier et dans Piaf, je t’aime, où il joue le mac. En 2007, c’est aux Pays-Bas qu’il poursuit sa route, décrochant rôle titre de la comédie musicale Dirty Dancing. Un triomphe qui lui ouvre les portes d’un autre succès international, Mamma Mia, d’abord en Hollande, puis au théâtre à Mogador, à Paris. Il y aura aussi Avenue Q et les Voca People. Gaétan fait encore partager son expérience à travers des cours de comédie musicale, baptisés La fièvre du lundi soir. On ne se refait pas. Au côté de Priscilla Betti, c’est tous les soirs qu’il donne désormais la fièvre aux plus grandes salles de France venues applaudir Flashdance et danser sur ses hymnes éternels. Nick a retrouvé Alex. Oui, ils étaient faits pour se rencontrer. AU PALAIS DES SPORTS DE PARIS LES 28, 29 ET 30 AVRIL 2016 ET EN TOURNÉE DANS TOUTE LA FRANCE Jeudi 10 mars 2016 Vendredi 11 mars 2016 Samedi 12 mars 2016 Jeudi 17 mars 2016 Vendredi 18 mars 2016 Samedi 19 mars 2016 Jeudi 24 mars 2016 Vendredi 25 mars 2016 Samedi 26 mars 2016 Mercredi 30 mars 2016 Jeudi 31 mars 2016 Vendredi 1er avril 2016 Samedi 2 avril 2016 Dimanche 3 avril 2016 Vendredi 8 avril 2016 Samedi 9 avril 2016 Dimanche 10 avril 2016 Jeudi 14 avril 2016 Vendredi 15 avril 2016 Samedi 16 avril 2016 Dimanche 17 avril 2016 Mercredi 20 avril 2016 Jeudi 21 avril 2016 Vendredi 22 avril 2016 Samedi 23 avril 2016 Dimanche 24 avril 2016 Jeudi 28, Vendredi 29 et Samedi 30 avril 2016 Jeudi 5 mai 2016 Vendredi 6 mai 2016 Samedi 7 mai 2016 Vendredi 13 mai 2016 Samedi 14 mai 2016 Mercredi 18 mai 2016 Jeudi 19 mai 2016 Vendredi 20 mai 2016 Samedi 21 mai 2016 Dimanche 22 mai 2016 Vendredi 27 mai 2016 Le Millesium La Galaxie Zénith Docks Océane Zénith Forest National Arena Zénith Zénith Zénith Zénith Amphitéa 4000 Vendespace Antarès Zénith Sud Le Dôme Palais Nikaïa Zénith Zénith Halle Tony Garnier La Phare Le Palio Zénith Patinoire Meridaeck Zénith Parc des Expositions Palais des Sports Le Kursaal Zénith Zénith Le Liberté Zénith Parc des Expositions Zénith Zénith L’axone Arena Ainterexpo LOCATIONS Produit par Claude Cyndecki, Cheyenne Productions. Présenté en accord avec Nordiska, ApS Copenhague et l’Agence MCR, Marie-Cécile Renauld Paris. Musique : Robbie Roth Adaptation et Mise en scène : Philippe Hersen Traduction : Marie-Astrid Perimony Chorégraphies : Marjorie Ascione Créations lumières : Jacques Rouveyrollis, Jessica Duclos et Laurent Tissot Créations habillages vidéos : Gaël Cabouat Sonorisation : Société WIP * Basé sur le film de Paramount Pictures. Scénario de Tom Hedley et Joe Eszteraas. Livret de Tom Hedley COMMUNICATION Fred Papet avec Laetitia Roubaud - Hervé Mars - Marion Hamon 163, rue du Faubourg Saint Honoré - 75008 Paris Tél : 01 70 69 04 69 [email protected] / [email protected] www.comprod.fr Com’Prod @ComprodRP PRODUCTION Textes : Hugues Berthon - Indécom © Photos : TF1 Gilles Gustine - Productions - D.R. ÉPERNAY AMNÉVILLE DIJON LE HAVRE ROUEN BRUXELLES BREST CAEN ORLÉANS PAU LIMOGES ANGERS MOUILLERON-LE-CAPTIF LE MANS MONTPELLIER MARSEILLE NICE NANCY STRASBOURG LYON CHAMBÉRY BOULAZAC CLERMONT-FERRAND BORDEAUX TOULOUSE LA ROCHELLE PARIS DUNKERQUE AMIENS LILLE RENNES NANTES PERPIGNAN TOULON SAINT-ETIENNE MONTBÉLIARD GENÈVE BOURG-EN-BRESSE Fnac et points de vente habituels Tarifs : de 30 € à 56 € Prestige : 56 € - Cat 1 : 48 € - Cat 2 : 41 € Enfants -12 ans : 30 € FlashdanceTheMusicalOff PRODUCTEUR : Claude Cyndecki CONTACT PRODUCTION : Alexandre Sorin 20, rue de Saint-Pétersbourg - 75008 Paris Tél : 06 80 67 79 56 [email protected] Licence : 3-143386 • Design dossier de presse : www.cheyenne-prod.com