Echinacea in today`s world
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RAPPORT DE CONFÉRENCE Echinacea in today’s world Société royale de Médecine Londres (Royaume-Uni) 27 septembre 2012 Research Research Introduction Le National Institute of Allergy and Infectious Disesases (National Institutes of Health) estime que le nombre de cas de refroidissement atteint un milliard par an rien qu’aux Etats-Unis(1,2). Les refroidissements sont jugés responsables de 100 millions de consultations médicales, d’environ 42 millions de jours d’absentéisme scolaire et de 148 millions de jours d’activité restreinte. Le coût total de ces maladies s’élève à 39,5 milliards de dollars US(3). De manière générale, les infections respiratoires sont les maladies les plus fréquentes dans l’ensemble des pays occidentalisés. Elles incluent les refroidissements, les infections grippales et la grippe, qui se manifestent par des symptômes très divers pouvant aller d’un nez légèrement bouché à des grattements de gorge, des maux de tête pulsants, une toux profonde et de la fièvre(4). Les patients souffrant d’épisodes même légers n’ont rien de plus pressé qu’un traitement aigu qui soulage leurs symptômes et améliore leur sensation d’indisposition générale. Les rhumes et la grippe sont causées par une grande variété de virus, dont le rhinovirus, le coronavirus, le virus respiratoire syncytial (VRS), le métapneumovirus, le bocavirus et enfin, les virus parainfluenza et influenza(2). A part les infections à influenza, le parainfluenza, le VRS et même les rhinovirus – très répandus – peuvent générer une morbidité et une mortalité non négligeables(5,6). Les complications les plus connues sont l’otite moyenne, la sinusite, la bronchite et la pneumonie, et les refroidissements favorisent les exacerbations de l’asthme, en particulier chez les enfants(7). La vaccination est un moyen efficace de combattre les infections à influenza, mais il n’existe actuellement aucun principe actif pharmacologique qui protège des autres virus respiratoires. Le développement d’un traitement préventif général des infections respiratoires est freiné par la multiplicité des virus et leur forte tendance aux mutations. Une autre approche fait appel à la capacité de notre corps de se défendre lui-même contre les virus pathogènes. C’est ici qu’intervient le rôle unique joué par la rudbeckie rouge (Echinacea purpurea). Les médicaments autorisés à base d’Echinacea purpurea sont enregistrés dans les indications suivantes : soutien du système immunitaire, prophylaxie et traitement aigu des refroidissements et de la grippe. Au cours des dernières années, les expériences acquises avec de nouveaux virus respiratoires modifiés et les points faibles connus des traitements disponibles (p. ex. résistances/tolérance) ont conduit les chercheurs à se focaliser sur un extrait végétal particulier tiré d’Echinacea purpurea (Echinaforce®) pour une étude plus approfondie de son potentiel(8). Lors d’un congrès scientifique qui s’est tenu à Londres en septembre 2012, des experts en virologie et en immunologie ont discuté des dernières découvertes sur Echinaforce®. Les derniers résultats de la plus grande étude mondiale de prévention basée sur l’utilisation Echinacea ont été présentés à cette occasion. 2 PRÉSENTATIONS SÉLECTIONNÉES L’activité antivirale d’Echinaforce® Prof. Pleschka, Université de Giessen, Allemagne La prédominance virale dans les infections grippales (grippe et refroidissements) a été abondamment relevée. Des virus sont impliqués dans 90 à 95% des épisodes de type grippal(6). Trois articles scientifiques majeurs, parus de 2009 à 2011, ont rapporté le pouvoir d’Echinacea d’inhiber un large éventail de virus respiratoires in vitro(9-11). Une activité antivirale a été décelée contre l’influenza A/B (H3N2, H1N1, H5N1, H7N7 et S-OIV), le virus respiratoire syncytial (VRS) et l’herpès (HSV). Des données de recherche très récentes, non encore publiées, indiquent que les coronavirus et les virus parainfluenza sont également sensibles à l’extrait, ce qui confirme la théorie selon laquelle Echinaforce® inhibe largement les virus à membrane. 9 8 Titre viral FFU/ml (106) 7 6 5 4 3 2 1 0 Témoin 0.1 µg/ml 1.0 µg/ml 10 µg/ml 50 µg/ml Concentration d’Echinacea Figure 1: Echinacea exerce une inhibition dose-dépendante sur le virus influenza H5N1. Une réduction significative de la réplication est observée à des concentrations physiologiques(7). Une activité inhibitrice similaire est observée sur d’autres virus respiratoires à membrane. Nous avons trouvé que l’extrait modifiait la structure des récepteurs externes du virus influenza (hémagglutinine) nécessaires pour pénétrer dans la cellule. Les données suggèrent qu’Echinaforce® prévient l’infection en interférant avec le processus de réplication virale à la première étape possible (entrée du virus dans la cellule) (figures 2a et 2b). La réplication intracellulaire n’est toutefois pas affectée par l’extrait, ou ne l’est qu’à de plus fortes concentrations. 3 PRÉSENTATIONS SÉLECTIONNÉES Figure 2a) La réplication intracellulaire du virus peut être visualisée par coloration histologique de la protéine nucléocapsidique (NP, en vert; le noyau est coloré en bleu). 2b) En présence d’Echinacea, l’infection et, partant, la réplication sont toutes deux inhibées in vitro. Même des traitements répétés des virus Influenza par Echinacea n’ont pas causé l’apparition de souches résistantes, tandis qu’en présence d’un inhibiteur de la neuraminidase (Oseltamivir), les germes n’on pas tardé à développer des souches résistantes au principe actif (figure 3, barres blanches). Un constat intéressant est que les virus résistants à Oseltamivir restent sensibles à Echinaforce® (données non présentées). 120 100 Titre viral (%) 80 60 40 20 0 1er cycle 2e cycle Témoin EF 3e cycle Oseltamivir Figure 3: Même des cycles répétés de traitement par Echinacea (EF) n’ont pas eu pour effet de sélectionner des souches résistantes du virus H5N1, comme le montre le résultat obtenu avec l’inhibiteur de la neuraminidase Oseltamivir. 4 PRÉSENTATIONS SÉLECTIONNÉES Les effets immunologiques d’Echinaforce® Dr. M. Ritchie, Université de Londres, Royaume-Uni Un système immunitaire intact est une condition nécessaire à l’efficacité des défenses immunitaire et d’une bonne santé(12). Cependant, un argument récemment avancé est qu’une simple stimulation du système immunitaire en prévention d’un refroidissement ou d’une grippe est peut-être tout sauf souhaitable(5). Dans ce contexte, notre groupe en Ecosse a voulu explorer les effets immunologiques d’une prophylaxie par Echinaforce®. Après une période de pré-inclusion de deux jours (l’inclusion définissant la «ligne de base», c.-à-d. les valeurs initiales), les volontaires ont pris des doses orales d’Echinaforce® pendant huit jours(13). Des prises de sang ont été effectuées chaque jour et les paramètres immunologiques mesurés après stimulation ex vivo par SEB/LPS. L’extrait a réduit le taux de protéines pro-inflammatoires (TNF-α und IL-1β) dans la population totale, un effet qui s’est poursuivi même après quelques jours de traitement. Fait intéressant, les effets sur l’interféron gamma antiviral (IFN-γ) ou sur les molécules chimiotactiques (IL-8 ou MCP 1) dépendaient des constitutions respectives des volontaires dans la phase de pré-inclusion. Chez les volontaires dont la production initiale (à l’inclusion) d’IFN-γ, d’IL-8 et de MCP-1 était basse, le traitement par Echinacea a induit une synthèse supplémentaire de ces substances signal (de 18% à 49% par rapport à leur valeur initiale définie comme 100%). Par contre, il n’y a pas eu de hausse supplémentaire chez les volontaires qui produisaient ces facteurs à des taux élevés à l’inclusion (figure 4, barre bleue). IFN-γ MCP/IL-8 **  **  80 100 120 Changement en pourcents p. r. à la valeur initiale (100 %) 140 80 100 120 140 Changement en pourcents p. r. à la valeur initiale (100 %) Figure 4: Ces données indiquent que les effets d’Echinacea sur la production de médiateurs immuns (cytokines et chémokines) dépendent de la constitution initiale de l’utilisateur. L’IFN-γ antiviral et les protéines chimiotactiques (p. ex. MCP/IL-8) n’ont été significativement induits que chez les personnes dont la production de ces substances avant le traitement était basse (barre jaune). Ce soutien sélectif de la réponse immunitaire a aussi été observé chez des patients qui faisaient état d’un plus haut niveau de stress ou avaient déjà présenté une sensibilité plus élevée aux refroidissements. Cette étude clinique indique qu’Echinacea soutient les systèmes immunitaires affaiblis et renforce la résistance dans les périodes de stress accru ou de plus grande sensibilité aux infections de type grippal. Elle montre également qu’un système immunitaire performant n’est pas surstimulé par Echinacea. 5 PRÉSENTATIONS SÉLECTIONNÉES Sécurité et efficacité d’Echinaforce® dans la prévention à long terme des refroidissements et des infections grippales Prof. R. Eccles, Université de Cardiff, Royaume-Uni Les infections à virus respiratoires et les maladies de type grippal sont fréquentes d’octobre à avril et un traitement préventif doit être efficace et sûr pendant toute la saison d’hiver. La dernière étude clinique en date, une étude randomisée en double aveugle et contrôlée par placebo, a examiné l’innocuité et l’efficacité d’une prophylaxie par Echinaforce® sur une durée de 4 mois. Les sécrétions nasales de participants atteints d’un refroidissement aigu ont été prélevées et analysées pour la présence de virus respiratoires. Cet essai clinique a été mené au Common Cold Centre de l’Université de Cardiff (RoyaumeUni)(14). Il incluait 755 volontaires, ce qui en fait la plus grande étude jamais réalisée sur Echinacea. Elévation du risque (%) en absence Echinaforce® Elévation du risque sous Placebo 70% * 60% * 50% Figure 5: Le traitement préventif par Echinacea était associé à une diminution du nombre d’épisodes de refroidissement récurrents, de jours de maladie et d’épisodes nécessitant une médication analgésique (*p<0.05 ; ** p<0.01). 40% 30% ** 20% 10% 0% Episodes de refroidissement & jours de maladie Infections récurrentes Episodes avec comédication Risque d’infection virale en absence d’Echinaforce® Elévation du risque (%) 100% Figure 6: Sur toute la période d’étude, 54 infections virales ont été décelées dans le groupe Echinacea et 74 dans le groupe placebo (+37 %, p> 0.05). Curieusement, l’effet le plus puissant a été observé sur les virus à membrane (coronavirus, influenza, parainfluenza ou virus respiratoire syncytial) avec 24 et 47 infections décelées dans les groupes respectifs (p<0.05). 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 6 Infections virales Infection à virus à membrane PRÉSENTATIONS SÉLECTIONNÉES Elévation du risque (%) en absence d’Echinaforce® 90% Figure 7: Les bénéfices préventifs dans les sous-groupes suspects d’affaiblissement de la réponse immunitaire et de sensibilité aux infections respiratoires étaient plus prononcés que dans la population générale. Episodes de refroidissement 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% >2 refroidissements/an Observance >100% score PSS-10 >14 Sommeil 2 - 6h Fumeur Pour ce qui est des événements adverses, des effets médicamenteux indésirables, des valeurs d’analyse sanguines et enfin de l’évaluation de la tolérance par le médecin et le participant, Echinacea a montré sa noninfériorité au placebo. Des risques pour la sécurité rapportés antérieurement tels que l’induction de réactions allergiques ou des cas de leucopénie ou de maladie auto-immune n’ont pas été observés sous traitement par Echinacea. Comme on le voit sur la figure 5, les épisodes de refroidissement et les jours de maladie ont été considérablement plus nombreux sous placebo et une médication analgésique a été nécessaire dans 52 % de plus d’épisodes que sous Echinaforce® (p <0.05). Echinacea a diminué les infections confirmées par test viral, en particulier les infections à influenza, à virus respiratoire syncytial, à parainfluenza et à coronavirus (figure 6). L’effet préventif maximal a été observé chez les participants sujets à des refroidissements infectieux récurrents ; de 100 épisodes chez 43 patients sous placebo, la fréquence a été réduite à 63 épisodes chez 28 patients sous Echinaforce®. Ceci correspond à un rapport de fréquences d’infections récurrentes de 1.59 entre les deux traitements, avec une différence statistiquement significative (p=0.017). Les épisodes récurrents avec test viral positif des prélèvements nasaux ont diminué, passant de 34 à 14 infections. Dans un sous-groupe (N=187) qui avait pris au moins 100% de la dose recommandée, on a rapporté en tout 58 épisodes de refroidissement totalisant 268 jours de maladie sous placebo, contre seulement 36 épisodes et 155 jours de maladie sous Echinaforce®(15), ce qui représente une différence hautement significative en termes d’épisodes de refroidissement et de jours de maladie (61.1 % et 72.9 % respectivement, p <0.0001). L’effet préventif a également été étudié dans un groupe qui se plaignait de stress. Ont été sélectionnés les participants dont le score dépassait 14 points sur l’échelle de stress perçu développée par Cohen (PSS-10) (16) . Les épisodes de refroidissement et les jours de maladie ont été significativement plus nombreux dans le groupe placebo, dépassant les taux du groupe traité de 66,6% et 40,7%, respectivement (p<0.05). Des résultats similaires ont été observés chez des participants plus enclins aux refroidissements (>2 épisodes/an) ou manquant de sommeil (<8 heures de sommeil) ainsi que chez les fumeurs, bien que cette dernière population fût très réduite (43 participants) (figure 7). Ces nouveaux résultats confirment qu’Echinaforce® renforce la résistance immunitaire et, parallèlement, agit directement contre toute une série de virus. Il semble donc que nous disposions avec Echinaforce® d’une approche thérapeutique efficace, qui agit non seulement sur l’organisme humain (hôte) mais aussi sur les organismes infectieux – tout en montrant une tolérance plus qu’acceptable. 7 PRÉSENTATIONS SÉLECTIONNÉES L’importance d’Echinaforce® dans le monde d’aujourd’hui Prof. A. Schapowal, Landquart, Suisse La grippe et les refroidissements interfèrent significativement avec la productivité, la forme physique, le bienêtre et la vitalité des personnes atteintes, et grèvent aussi lourdement tout le système de santé. Ces infections peuvent se compliquer p. ex. d’une pneumonie, d’une bronchite ou d’une sinusite, favorisent les exacerbations d’un asthme ou d’une BPCO et sont associées à une morbi-mortalité substantielle. D’un point de vue thérapeutique, les refroidissements et la grippe demeurent un mystère et un véritable défi. L’efficacité de compléments alimentaires (y compris des vitamines et du zinc) est incertaine ; les inhibiteurs de la neuraminidase et les vaccins antigrippe sont inefficaces contre les infections à virus autres que l’influenza. La fréquente utilisation hors indication de plusieurs médicaments, l’emploi inapproprié d’antibiotiques et l’augmentation mondiale des antibiorésistances ne rendent que plus urgent le besoin d’une alternative thérapeutique d’efficacité cliniquement démontrée pour la prévention des infections des voies respiratoires. Les preuves scientifiques à l’appui de l’utilisation d’Echinaforce® ont la pertinence suivante pour la pratique clinique : ü ü ü ü Il représente une solution pour la prévention et le traitement aigu des refroidissements et de la grippe Il possède un large spectre d’activité antivirale Il renforce et module l’activité immunitaire, en particulier dans les périodes de stress C’est un médicament sûr dont l’innocuité est démontrée Les effets immunomodulateurs et antiviraux combinés ouvrent des possibilités thérapeutiques nouvelles et des champs d’application inexplorés aux préparations d’Echinacea, et particulièrement à Echinaforce®. Les recommandations d’emploi se répartissent selon trois scénarios thérapeutiques : Prévention à long terme (sur toute la saison d’hiver) D’un point de vue clinique, la prise préventive à long terme est recommandée aux personnes particulièrement sujettes aux refroidissements et à la grippe qui contractent plus de 3 infections par an. Echinaforce® peut aussi être recommandé pour l’utilisation à long terme chez les enfants, les personnes âgées et les fumeurs – toutes des personnes chez lesquelles les conséquences d’un refroidissement ou d’une grippe peuvent être sévères. Prévention à court terme (quelques semaines à plusieurs mois) Pendant les périodes de stress accru et de manque de sommeil, il est bon d’en compenser les effets négatifs sur le système immunitaire en prenant Echinacea pour renforcer les défenses endogènes. C’est dans ces situations que l’utilisation préventive à court terme d’Echinacea (sur quelques semaines) est utile. Durant les pics d’épidémie virale, chacun est entouré de personnes atteintes de refroidissements contagieux (en public ou au bureau) et exposé à de fortes concentrations de virus actifs sur les surfaces de lieux très fréquentés (rampes d’escalier, téléphones publics, etc.). Ceci constitue probablement le principal scénario d’un usage préventif à court terme d’Echinacea et de ses effets antiviraux démontrés. Traitement aigu (dès les premiers symptômes) La prévention peut n’intéresser qu’un groupe particulier de personnes, mais le traitement aigu des rhumes et de la grippe profite à chacun. Il est alors absolument essentiel d’administrer Echinacea à la première occasion possible, de préférence dès les premiers signes ou symptômes (en général une gorge qui gratte ou des éternuements). En bloquant l’inflammation et la réplication virale à ce stade, on peut limiter le développement de symptômes ultérieurs de refroidissement, ce qui réduit le besoin de décongestifs pour le nez, d’analgésiques, d’antitussifs et la prescription inutile d’antibiotiques. 8 PRÉSENTATIONS SÉLECTIONNÉES Conclusion Durant toute la saison d’hiver PRÉVENTION À LONG TERME PRÉVENTION À COURT TERME • Sensibilité à la grippe et aux refroidissements (>3 épisodes/an) • Personnes souffrant d’infections récurrentes • Enfants, personnes âgées ou fumeurs Par intermittences (quelques semaines à plusieurs mois) • Durant les périodes de stress ou de manque de sommeil • Exposition aux personnes infectées durant les épidémies virales Traitement aigu (jusqu’à 10 jours) TRAITEMENT AIGU • Aux tout premiers signes de refroidissement (gorge qui gratte, éternuement) • Augmenter la posologie pour une durée max. de 10 jours Figure 8: Recommandation d’emploi d’Echinacea® d’un point de vue clinique Vu sous l’angle de la pratique clinique du traitement des refroidissements et de la grippe, il est clair qu’Echinacea peut combler une lacune thérapeutique d’une manière unique en son genre. Les faits scientifiques présentés dans cette conférence renforcent notre confiance en l’efficacité d’Echinaforce® dans chacune des trois indications (prévention à long terme, prévention à court terme et traitement aigu) et en tant que solution générale pour la prise en charge des rhumes et de la grippe. Les cliniciens et autres professionnels de la santé disposent dès lors d’un argument puissant pour recommander que chaque ménage ait sous la main une préparation d’Echinacea, et plus particulièrement Echinaforce®, pour pouvoir agir sitôt que les virus des refroidissements et de la grippe se manifestent. 9 Panel d’experts Prof. Ronald Eccles Directeur du Common Cold Centre, Cardiff School of Biosciences, Université de Cardiff (Royaume-Uni) A l’Université de Cardiff, le Professeur Ronald Eccles a créé en 1988 le Common Cold Centre, devenu aujourd’hui un centre d’excellence mondialement reconnu pour ses études cliniques sur les refroidissements banaux et la grippe. Le Prof. Eccles a été l’investigateur principal de plus de 100 études cliniques. Ses travaux de recherche portent pour l’essentiel sur la compréhension et la mesure des symptômes des maladies des voies respiratoires hautes : toux, congestion nasale, pharyngite, écoulement nasal et éternuements. Auteur principal ou co-auteur de plus de 250 publications scientifiques, il possède une expertise exceptionnelle des bases scientifiques des traitements aussi bien alternatifs que classiques des refroidissements. Prof. Dr. Stephan Pleschka Institut de virologie médicale, Université Justus-Liebig, Giessen (Allemagne) Les travaux de recherche du Professeur Pleschka, qui incluent des expériences avec des souches hautement pathogènes, portent principalement sur les interactions virus-hôte qui régulent la réplication des virus influenza. Les mécanismes de pathogénicité et de transmission des virus, en particulier des nouveaux virus influenza, sont étudiés dans son laboratoire de haute sécurité biologique où sont également testées de nouvelles approches thérapeutiques pour combattre les virus influenza. Le Professeur Pleschka a été le coordinateur du projet de recherche international EUROFLU, financé en son temps par des fonds européens ; il participe aujourd’hui à des programmes nationaux et internationaux de recherche sur les virus influenza. Il est membre des facultés du Centre allemand de recherche sur les infections (DZIF) et du Centre pulmonaire des universités de Giessen et de Marburg (UGMLC). Dr. Margaret Ritchie Institute for Optimum Nutrition et Université de Londres (Royaume-Uni) Dr Ritchie, une experte de l’identification de biomarqueurs de l’absorption de composés phytochimiques, mène des études cliniques pour tester l’activité pharmacologique des préparations de plantes médicinales et des alicaments. Nutritionniste enregistrée (Nutrition Science) et membre de la Société Royale de Chimie, elle est actuellement conseillère nationale et inspectrice en sciences et membre du comité de rédaction du Journal of Nutrition and Food Science. Prof. Andreas Schapowal MD, PhD, DSc (hon) Spécialiste ORL, Landquart (Suisse) Le Professeur Andreas Schapowal a passé son examen d’Etat de médecine à l’Université de Heidelberg (Allemagne) en 1982. Spécialiste en ORL et en allergologie et immunologie clinique, il pratique activement la médecine de cabinet depuis 1988. Consultant médical auprès du Forum Economique Mondial, ancien chef du service d’ORL à Davos (Suisse) et chargé de cours ORL à la Faculté de médecine de Hanovre (Allemagne), le Professeur Schapowal possède une vaste expérience du traitement des refroidissements et de la grippe. Prof. Michael Heinrich Centre for Pharmacognosy and Phytotherapy, UCL School of Pharmacy, Université de Londres (Royaume-Uni) La conférence était présidée par le Professeur Michael Heinrich, directeur du Centre de pharmacognosie et de phytothérapie à l’Ecole de pharmacie de l’UCL (Université de Londres). Son expertise couvre les domaines de la pharmacognosie, de la phytochimie, de l’ethnopharmacologie et de l’ethnopharmacie. Ses récents travaux de recherche ont porté sur l’exploration des chaînes de valeurs des plantes médicinales, la sécurité des produits phytothérapeutiques et l’emploi de plantes médicinales dans les communautés d’immigrés. Le Prof. Heinrich est membre professionnel de l’Herbal Medicine Advisory Committee (MHRA), Council member et membre du Scientific Advisory Board, IMDEA Alimentación. Entre autres fonctions dans des comités de rédaction, il est rédacteur responsable des Reviews du Journal of Ethnopharmacology et rédacteur en chef du magazine Frontiers in Ethnopharmacology. 10 Références 1. Fendrick AM. Viral respiratory infections due to rhinoviruses: current knowledge, new developments. American Journal of Therapeutics 2003;10:193-202. 2. Adams PF, Hendershot GE, Marano MA. Current estimates from the National Health Interview Survey, 1996. Vital and Health Statistics Series 10, Data from the National Health Survey 1999:1-203. 3. Fendrick AM, Monto AS, Nightengale B, Sarnes M. The economic burden of non-influenza-related viral respiratory tract infectionin the United States. Archives of Internal Medicine 2003;163:487-494. 4. Rotbart HA, Hayden FG. Picornavirus infectons: a primer for the practitioner. Archives of Family Medicines 2000;9(90:913-922. 5. Ackermann J. Ah-Choo!: Twelve Hachett Book Group 2010. 6. Johnston SL. 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Randomized, double blind, placebo-controlled study on long-term prophylaxis with Echinacea purpurea (Echinaforce®). In Phytopharm 2012, St. Petersburg (Poster presentation). 16. Cohen S, Kamarck T, Mermelstein R. A global measure of perceived stress. Journal of Health and Social Behavior 1983;24:385-396. . Research Bioforce AG 9325 Roggwil Suisse [email protected] www.bioforce.ch Echinaforce ® ü Extrait de Rudbeckie rouge (Echinacea purpurea) fraîchement récoltée ü Combinaison de 95% herba et 5% radix ü Extrait éthanolique standardisé ü Plantes issues de nos propres graines ü De culture biologique contrôlée Informations professionnelles abrégées : Echinaforce® comprimés stimulant la résistance, médicamentphytothérapeutique C 1 comprimé contient les extraits (Extr. spissum) correspondant à 380 mg de teinture de plantes fleuries fraîches de rudbeckie rouge (Echinaceae herbae extr. spiss. corresp. Echinacea purp.: Herba T.) ainsi que 20 mg de teinture de racines fraîches de rudbeckie rouge (Echinaceae radicis extr. spiss. corresp. Echinacea purp.: Radix T.) et des excipients (Excip pro compr.) I Pour stimuler les systèmes de défense endogène lors de refroidissements et d‘états fiévreux. P Adultes et adolescents à partir de 12 ans en cas de prédisposition aux refroidissements (prévention): environ une demi-heure avant les repas 2 comprimés 3 fois par jour, à faire fondre dans la bouche ou à prendre avec un peu de liquide. Enfants à partir de 4 ans: 1 comprimé 3 fois par jour. CI Allergie aux composées. Par principe, ne pas utiliser Echinaforce® en cas de maladies auto-immunes, leucoses ou scléroses muliples. Grossesse et allaitement: le médecin jugera de l’opportunité d’un traitement. EI On a observé quelques rares cas de réactions d’hypersensibilité, comme des éruptions cutanées, lors de l’utilisation de préparations à base d’Echinacea. Dans ce cas, le traitement doit être immédiatement interrompu. Liste [D]. Emballages à 120 et 400 comprimés.