Genre in Presse 2014 - Programme des Nations Unies pour le

Programme des Nations Unies pour le développement
REVUE DE PRESSE - GENRE
Période: Juillet 2013 à Août 2014
Journaux revus: - L’Express de Madagascar (2)
- La Gazette de la Grande Ile (9)
- Midi Madagasikara (7)
- Newsmada regroupant Les Nouvelles, Courrier, Reflet (15)
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sur EXPRESS de MADAGASCAR
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A chaud
10.07.2014 | 7:35
http://www.lexpressmada.com/blog/actualites/a-chaud-70-13752
Le genre face au conflit et la gestion du budget
Un atelier portant sur deux thèmes, à savoir « le genre et le budget de l’État » et « le
genre et la gestion de conflits » se tiendra ce jour au siège du Programme des NationsUnies pour le développement (PNUD) à Andraharo. Les enjeux du rendez-vous seront
présentés lors de la cérémonie d’ouverture.
Mobilisation
08.03.2014 | 7:24 Magazine0
http://www.lexpressmada.com/blog/magazine/mobilisation-6751
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Les résultats des dernières élections législatives ont
démontré que « le sort » des femmes participant aux
élections dépend des partis sous les couleurs
desquelles elles se présentent.
« Si les groupes de bonne réputation présentent des
femmes, c’est sûr qu’elles seront élues », commente
Noro Ravaozanany.
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Selon la présidente du CNFM, il est très important de mobiliser les partis pour qu’ils
présentent 50% de femmes et 50% d’hommes dans les circonscriptions électorales. Si le
nombre des femmes arrivées à Tsimbazaza a augmenté, c’est bien parce que certains
partis ont joué le jeu. A Antananarivo, la plateforme des alliés de l’ancien président de
laTransition (MAPAR) a présenté dans les six circonscriptions quatre femmes en tête de
liste, et celles-ci ont toutes été élues.
En vue des prochaines élections, le Programme des Nations unies pour le
développement (PNUD), à travers le Projet d’appui au cycle électoral de Madagascar
(PACEM), soutient la préparation des femmes souhaitant briguer des postes de décision.
Un projet similaire, mis en œuvre par Gender Links, organisation régionale œuvrant pour
la promotion du genre en Afrique australe et appuyé financièrement par l’Union
européenne, est mené dans seize communes de quatre régions.
« Nous avons retenu Melaky et Diana d’une part, et Anosy et Androy d’autre part, pour une
approche comparative, les deux premières étant les régions où il y a le plus de femmes
conseillères communales à Madagascar, les deux autres étant celles où il y en a le moins
», explique Ialfine Papisy, représentante à Madagascar de l’ONG
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Sur LA GAZETTE DE LA GRANDE ILE
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Femmes malgaches: Des potentiels non exploités
(Societe/Societe) - Mercredi, 09 Juillet 2014 06:49
http://www.lagazette-dgi.com/index.php?
option=com_content&view=article&id=41092:femmes-malgaches-des-potentiels-nonexploites&catid=42:societe&Itemid=57
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De passage à Madagascar, Odette Kabaya, Chef d’Unité Genre et autonomisation des
femmes du Centre Régional pour l’Afrique du PNUD a rendu une visite au Ministère de
la Population et de la Promotion des femmes afin de renforcer les partenariats entre le
Pnud et le gouvernement malgache ce lundi dernier.
Durant son passage à Madagascar, son objectif est de renforcer le savoir-faire des
employés du Pnud afin qu’ils puissent travailler coude à coude avec le gouvernement
pour assurer l’autonomisation des femmes.
Situation des femmes à Madagascar
Le cas de Madagascar est particulièrement délicat car si les femmes ne sont pas victimes
d’opression majeure, elles n’occupent pas pour autant une place de choix dans la société
en générale. Cette position plus ou moins confortable de la situation féminine explique en
partie l’absence d’une véritable révolution féminine dans l’île. Et pourtant, la situation est
encore alarmante car dans le cadre de l’étude de l’Afrobaromètre, il a été prouvé que 23%
des malgaches considèrent que les garçons doivent être priviligiés dans la scolarisation
plutôt que les filles. Ce qui explique que sur les 64.5% de la population sont analphabètes,
61 % sont d’entre eux sont des femmes. En effet, dans la conscience malgache,
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nombreux sont ceux qui considèrent encore les femmes comme des meubles fragiles
(fanaka malemy) destinées à être prise en charge tôt ou tard par un homme. Cette réalité
sociale explique en partie le taux de chômage des femmes qui est enregistré à 4,6% entre
2009 et 2013. Pourtant, les femmes sont particulièrement actives dans le domaine
agricole car elles composent 51,8% des 13,3 millions la population agricole à Madagascar.
Contraintes la plupart des temps aux travaux ingrats, elles consacrent en moyenne 75 %
de leurs temps à des activités non commerciales et ménagères. Les femmes malgaches
subissent la violence car selon les statistiques de 2013 jusqu'à 7 femmes sur 10 sont
battues par leurs conjoints. Des violences qui restent souvent impunies étant donné que
les victimes préfèrent
se taire et subir.
Œuvrer pour l’autonomisation des femmes
C’est le défi majeur actuellement étant donné que de nombreuses femmes malgaches
sont complètement indépendantes de leurs conjoints, une des raisons favorisant la
violence à leur égard. Pour commencer, des centres d’écoutes et de conseils juridiques
ont été mis en place afin que ces femmes soient prises en charge et ne constituent pas
une perte pour la société. Les études menées à Madagascar, ont permis de comprendre
que les femmes manquent cruellement de formations. C’est certainement le blocage de
ces dernières pour trouver un travail et gagner dignement leur vie. Il est certainement plus
bénéfique de se tourner vers l’agriculture car les ménages ayant une femme à leur tête
(17 % des ménages ruraux) sont aussi productifs que les ménages dirigés par les
hommes.
« Nous avons une multitude de programmes pour l’autonomisation des femmes, mais
quand on parle de l’équité sociale, il n’est pas seulement question des femmes mais de
toutes les entités de notre société. La situation des femmes est d’actualité vu leur nombre
et le fait qu’elles peuvent apporter plus de contribution dans le développement de notre
pays » a souligné le Ministre de la Population et de la Promotion des femmes à l’issue de
cet entretien qui promet un nouveau départ pour les femmes malgaches.
Y.L
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Salon EFOI Madagascar: Passer à l’action et au
concret
(Culture/Culture) - Vendredi, 06 Juin 2014 06:13
www.lagazette-dgi.com/index.php?option=com_content&view=article&id=40340:salonefoi-madagascar-passer-a-laction-et-au-concret&catid=64:newsflash&Itemid=67
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« Il est grand temps pour le pays de passer à l’action et au concret », a annoncé le
ministre de l’Industrie, le Dr Rolland Jules Etienne, dans le discours d’ouverture du 1er
Salon du Savoir-faire féminin qui a lieu du 5 au 7 juin au parvis de l’Hôtel de ville, à
Analakely.
« Le temps des projets éternels est fini », a-t-il poursuivi, tout en encourageant la bonne
initiative du gent féminin comme acteur dynamique pour le développement économique et
social, mais aussi en tant que représentantes et ambassadrices du pays à l’extérieur, du
moins dans la région de l’Océan indien. Appuyé et organisé par le PNUD, l’EFOI
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Madagascar ( Entreprendre au Féminin de l’Océan indien) compte se développer dans
tous les secteurs d’activités pour les femmes entrepreneurs. Promouvoir les entreprises
membres, développer les capacités managériales et techniques, défendre les intérêts
professionnels, sociaux et économiques, créer des réseaux forts et avantageux et enfin
établir des partenariats internes et internationaux solides. Tels sont, entre autres, ses buts,
en dehors de l’atteinte de l’Objectif 3 du Millénaire pour le Développement : promouvoir
l’égalité de genres et l’autonomisation des femmes. « L’EFOI veut également intégrer le
secteur informel, pérenniser l’entreprenariat et l’assurance qualité dans les affaires, ainsi
que de favoriser des opportunités pour toutes les femmes et les communautés », d’après
Fatma Samoura, représentante du PNUD à Madagascar.C’est pourquoi elle organise
aussi le concours EFOI Awards 2014 pour sélectionner les entreprises légales, en vue de
participer au prochain Salon du Savoir-faire Féminin de l’Océan indien à Nordev SainteClotilde, à l’Ile de La Réunion, du 10 au 12 octobre prochains.
Créée en août 2007 et présidée par Sylvia Pages, l’EFOI collabore avec plusieurs
partenaires nationaux et internationaux (PNUD, EDBM, ITBM ou International Trade
Board of Madagascar, CITE, le GEM ou Groupement des Entrepreneurs de Madagascar,
Le Jeune Patronat de Madagascar, Solidis Garantie et les Chambres de Commerce et
d’industries, entre autres. L’agroalimentaire, l’artisanat, le bâtiment et travaux publics,
l’édition, la formation, la gemmologie, l’hôtellerie et restauration, les services, le textile et le
mode et enfin le tourisme figurent parmi ses secteurs d’activités. L’EFOI a également déjà
participé à des activités internationale comme le Programme « African Women’s
Entrepreneurship Programme aux USA en 2012. Pour ne citer
que cela.
A. Clément
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ASEFEMA : Un précieux soutien pour les
personnes victimes de maltraitances
(Societe/Societe) - Vendredi, 11 Avril 2014 03:42
www.lagazette-dgi.com/index.php?option=com_content&view=article&id=39138:asefemaun-precieux-soutien-pour-les-personnes-victimes-demaltraitances&catid=42:societe&Itemid=57
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ASEFEMA ou « Association pour la sensibilisation et l’éducation des femmes et enfants
maltraités », s’est fixée comme objectifs depuis sa création en 1998,
de promouvoir et aider la population victime de violences dans le développement de ses
activités, de donner une qualification professionnelle aux habitants afin de lutter contre la
pauvreté et enfin, d’améliorer le niveau de vie de la population. Cela étant, toutes les
catégories de personnes sont concernées par ses activités, les enfants, les jeunes, les
femmes etc., du moment que ces personnes font face à des problèmes auxquels elles
nécessitent de l’assistance.
Pour les enfants, l’ASEFEMA s’active à réinsérer ceux non scolarisés ou déscolarisés
précocement pour diverses raisons, tout en leur assurant régulièrement un repas par jour.
Les jeunes marginalisés ne sont pas en reste puisqu’ils bénéficient, pour leur insertion
profesionnelle, d’une formation à l’emploi. Quant aux femmes, victimes pour la plupart de
violences en tout genre, elles sont accompagnées dans leurs démarches juridiques et
bénéficient également de formations professionnelles visant à assurer leur autonomie.
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Enfin, pour les salariés, des formations sont programmées à leur intention en vue d’en
faire des employés qualifiés, capables d’exécuter des travaux et des tâches sur lesquels
ils sont appelés à prendre des initiatives et des responsabilités…
La journée d’hier a été pour l’ASEFEMA, marquée par la sortie de fin d’études pour 30 de
ses pensionnaires dont 20 issus du siège de l’association à Ambolokandrina et les 10
autres, du centre de Mahatony qui a été créé, soit dit en passant, en 2012. Ce fut
l’occasion pour le directeur de l’établissement, Ranaivoson Jean Chrysostome lors d’une
rencontre avec les médias au ‘Tour Sahavola à Antsahavola’, de résumer succinctement le
parcours de l’association durant ces 16 années d’existence.
« En 2005, il y a eu la mise en place d’un centre d’alphabétisation du programme ‘Action
Scolaire d’Appoint pour les Adolescents Malgaches’ (ASAMA), programme initié par le
PNUD. Cela a été renforcé l’année suivante par un autre programme, relatif cette fois-ci à
un soutien psychosocial. Une école des parents a été ainsi créée dans le but de
sensibiliser ces derniers, en particulier ceux en situation difficile, sur la notion de
parentalité et sur le travail des enfants », a notamment souligné le responsable, avant de
continuer.
« Dans un souci de continuité en 2009, le programme post-ASAMA a été initié à l’intention
des adolescents qui n’avaient pas, à l’époque, l’opportunité de continuer leurs études
faute de moyens financiers. L’on s’est intéressé par la suite en 2010, à la réinsertion
professionnelle des jeunes femmes marginalisées en les accompagnant juridiquement et
professionnellement (…) Nos activités ont continué normalement en dépit de la crise, vu
que plusieurs ministères nous ont soutenus à savoir, celui de la Jeunesse, de la Formation
professionnelle, de la Fonction publique et des lois sociales, du Tourisme. Ce précieux
soutien nous a permis de mettre en place un programme de formation professionnelle en
langues, tourisme et hôtellerie (…) Enfin, je tiens à souligner que jusqu’à ce jour, seules
les cotisations des membres constituent les sources de financement de ce programme ».
Recueillis par Elia R.
Future assemblée nationale: Les femmes,
victimes d’autres femmes
(Societe/Societe) - Mercredi, 15 Janvier 2014 07:28
www.lagazette-dgi.com/index.php?option=com_content&view=article&id=36891:futureassemblee-nationale-les-femmes-victimes-dautres-femmes&catid=42:societe&Itemid=57
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30 femmes sur 151 postes de députés à pourvoir. Le maigre score des candidates aux
législatives était attendu si on se réfère à l’enquête Afrobaromètre sur la perception du
genre à Madagascar en 2013. Près de 6 Malagasy sur 10 estiment que les femmes
devraient avoir les mêmes chances d’accès à un poste électif. La moyenne en Afrique est
de près de 7 personnes sur 10. Outre la position de Madagascar en dessous de la
moyenne africaine en termes de perception du genre, le pays affiche un recul net sur la
question entre 2005 et 2013. En 2005 en effet, 8 Malagasy sur 10 pensaient que les
femmes devraient avoir les mêmes chances que les hommes pour l’accès aux postes
électifs. Afrobaromètre, une série comparative d’enquêtes d’opinion publique couvrant 35
pays africains, ne se prononce pas sur le pourquoi de ce recul. Malgré tout, on peut
l’expliquer par certains faits ayant marqué le paysage politique et médiatique de ces
dernières années. Ainsi, les candidates malheureuses aux législatives sont probablement
les victimes de certaines femmes déjà dans l’arène politique et/ou médiatique. Ces
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dernières sont propulsées sur la scène médiatique mais s’affichent en tant qu’alliées sans
relief d’un parti ou d’une mouvance politique.
Elles se comportent en tant que simples exécutantes qui font toujours référence à leur
patron, même dans leurs interventions et actions publiques. Elles ne font donc aucune
preuve d’initiative à même de renverser la tendance qui est celle de la mauvaise
gouvernance et du manque de créativité dans la gestion des affaires de la Nation et en
politique. Dans ce cas, ces politiciennes ne sont pas aptes à apporter la différence, alors
que la femme est censée être plus sensible, donc plus réceptive aux problèmes des
autres et prompte à proposer des solutions. Sinon, certaines femmes politiques et/ou des
médias intégrés dans le monde politique, donnent un visage acariâtre et agressif de la
femme en politique. Une frange de l’électorat n’est pas attirée par ce profil. Ces dernières
années pourtant, le paysage politique version féminine est dominé par ces deux
catégories de femmes politiques. De quoi détourner l’électorat des candidates aux
législatives. Mais il faut aussi souligner que de mémoire d’électeur, l’argent n’a jamais tant
parlé que lors des dernières présidentielles et législatives.
A part les candidates présentées par des partis ou groupes politiques puissants, côté
argent, rares sont toutefois les candidates à disposer d’une fortune pour faire face à leurs
concurrents masculins. Malgré tout, la gent féminine a fait bonne figure car elle
représentera près de 20% des membres de la future assemblée nationale. Seulement, le
pays est encore loin de l’objectif africain qui est de 30% pour l’année 2012. Il faudra
atteindre les 50% en 2015. A l’heure actuelle, les femmes représentent 17,8% du Congrès
de la transition (CT) et 12% du Conseil supérieur de la transition (CST). Ce taux est de
26% au niveau du gouvernement. Madagascar affiche ainsi les taux les plus bas dans les
pays de la SADC. Les scores sont encore médiocres au niveau des collectivités
décentralisées : les femmes maires représentent 2% du total contre 2,6% pour les chefs
de fokontany, d’après des données du PNUD.
Fanjanarivo
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Enquête de l’INJ et du PNUD: Les préoccupations
des jeunes malgaches dévoilées
(Culture/Culture) - Vendredi, 27 Décembre 2013 06:52
www.lagazette-dgi.com/index.php?option=com_content&view=article&id=36455:enquetede-linj-et-du-pnud-les-preoccupations-des-jeunes-malgachesdevoilees&catid=64:newsflash&Itemid=67
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... 2013, du Pnud Madagascar en action, s’est intéressée à la perception qu’ont
les jeunes de la vie nationale, de la conduite des affaires publiques, ainsi qu’à leur
centre d’intérêt concernant l’éducation, …
Ils ont pu ainsi avoir un aperçu national, régional et par tranche d’âges des
préoccupations quotidiennes des jeunes Malgaches.
L’enquête, peut-on lire dans le Bulletin d’information - N° : 002 Octobre 2013, du
Pnud Madagascar en action, s’est intéressée à la perception qu’ont les jeunes de la
vie nationale, de la conduite des affaires publiques, ainsi qu’à leur centre d’intérêt
concernant l’éducation, l’emploi, la santé et l’environnement.
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« Selon les résultats de l’enquête, qu’ils habitent à la campagne ou en ville,
l’alcoolisme, la drogue, l’avortement, les cas de grossesses précoces, le phénomène
des mères célibataires constituent les sujets principaux de préoccupation de nos
jeunes de 15 à 24 ans », rapporte Jacky Rakotoarison, directeur national du projet
auprès de l’Institut National de la Jeunesse (INJ).
« Cette situation interpelle quand on connaît le poids de la jeunesse dans le
développement à Madagascar. Il faut que des mesures soient prises pour répondre
au mieux aux besoins de nos jeunes », poursuit-il.
Toujours selon cette consultation, les lacunes en information, mais aussi la culture,
la tradition, la timidité ainsi que le manque de volonté constituent par ordre
d’importance, les freins à la participation des jeunes à la vie sociale. « La
participation à la collecte des préoccupations des jeunes était une aventure
passionnante », confie Nirina Andriamalala, superviseur d’enquête dans la région
de Vakinakaratra. « Je n’ai pas personnellement traité les données, en revanche les
échanges avec les jeunes enquêteurs m’ont permis d’appréhender ce que vivent les
jeunes dans la région. Nous avons peur de nous exprimer, nous n’aimons pas trop
les paperasses, mais nous nous attendons à des changements après ce genre de
consultation », ajoute-t-elle.
Et d’après toujours le bulletin, l’enquête traditionnelle réalisée par le consortium
national pour la participation citoyenne du 15 mars au 5 avril 2013 représente la
première étape de la collecte des préoccupations des jeunes. Une enquête faisant
appel aux nouvelles technologies de l’information et de la communication, notamment une consultation par
message téléphonique (SMS) et par les réseaux sociaux, ainsi que des ateliers
régionaux seront organisés afin de cerner davantage les préoccupations des jeunes
malgaches et de mieux cadrer les initiatives en faveur des jeunes.
En outre, la même source indique qu’un atelier de renforcement des capacités des
institutions et des acteurs de développement en matière de suivi et évaluation des
programmes de promotion de la jeunesse a été également organisé cette année.
L’INJ et le PNUD visaient à doter d’outils les institutions et les acteurs, travaillant et
évoluant dans les secteurs de l’emploi et du renforcement de capacité des jeunes
afin de mieux prendre en considération les résultats des consultations sur les
préoccupations des jeunes et mieux les intégrer dans leurs stratégies élaborées en
faveur de la jeunesse malgache.
L’INJ, avec l’appui du PNUD, a également fait l’état des lieux sur les mécanismes
pour la collecte d’avis, l’écoute des jeunes et des projets « orientés jeunes », afin
de mieux informer la stratégie nationale de promotion de la jeunesse malgache. La
Grande Ile compte actuellement plus de 21 millions d’habitants dont la moyenne
d’âge est de 18 ans. Plus de 5,7 millions de jeunes du pays sont âgés de 10 à 24
ans. Selon une étude de l’Observatoire des droits de l’enfant de la région océan
Indien, ce nombre sera multiplié par deux en 2025.
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De jeunes artistes se mobilisent: pour le retour de
la démocratie à Madagascar
(Societe/Societe) - Lundi, 04 Novembre 2013 07:08
www.lagazette-dgi.com/index.php?option=com_content&view=article&id=35361:dejeunes-artistes-se-mobilisent-pour-le-retour-de-la-democratie-amadagascar&catid=42:societe&Itemid=57
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Antananarivo, 29 octobre. Depuis le vendredi 25 octobre, quelques huit millions de
Malgaches se sont rendus aux urnes dans le cadre d'élections présidentielles
maintes fois reportées.
Selon les observateurs, la participation féminine a été importante. Il faut dire qu'il y
a eu tout un travail en amont pour obtenir un tel résultat. Par exemple le
Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et la
Commission Électorale Nationale Indépendante pour la Transition (CENI-T) ont
trouvé une façon originale d'attirer la population aux urnes et lui faire prendre
conscience de l'importance de la démocratie.
Cela s'est fait par des bruits de tambours pour faire accourir les gens, des chants
pour les détendre et ensuite leur lancer des messages clés. C'est ainsi que les
services du groupe de Batucada afro-brésilien, formation à 100% féminine, ont été
retenus pour œuvrer pour le retour de la démocratie dans la Grande Ile. Ce groupe
nommé Bloco Malagasy et issue de l'organisation non-gouvernementale Bel Avenir,
a mobilisé plus de 3000 personnes avec sa caravane de sensibilisation.
«Nous avions deux semaines pour sillonner les régions du Nord-Ouest et celles du
Sud du pays avec notre caravane. A chaque animation, beaucoup de gens, des
hommes comme des femmes, sont venus nous voir et ont écouté notre message.
Nous avons fait ces animations pendant 15 jours sans relâche et les filles ont été
très fortes et constamment engagées », explique Tokiniaina Florette, leader de la
troupe.
Contactée par téléphone alors qu'elle se trouvait encore sur la route au retour à
Toliary, ville d'où est originaire la troupe, Lory, une jeune de 18 ans, déclare qu'elle
ne sent même pas la fatigue peser sur elle. C'est avec joie qu'elle raconte comment
elle a vécu ces deux semaines de sensibilisation. «J'ai été impressionnée par le fait
que les gens venaient nous voir évoluer. Je me suis sentie à l'aise car en chantant
et en dansant, je savais que j'étais en train de faire un travail d'éducation du peuple
», explique-t-elle.
C'est dans le cadre du Projet d'Appui au Cycle Électoral (PACEM) que le PNUD et la
CENI-T que Bloco Malagasy a été contacté. Ces organismes ont compté sur le
talent et l'énergie de ces jeunes filles pour contribuer à assurer le retour de la
démocratie.
Pour les principales concernées, bien qu'elles aient fait passer le même message
sur le même répertoire, chaque spectacle était différent. Il était constitué de
rythmes de percussions malgaches couplées à des animations théâtrales dans les
rues pour évoquer les différentes étapes du processus électoral, à savoir les
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motivations pour aller voter, où et quand le faire, comment utiliser le bulletin
unique et l'importance de l'inscription des femmes sur les listes électorales et leur
participation le jour du scrutin.
En tout, Bloco Malagasy, c'est 20 filles divisées en deux groupes qui se produisent
lors des spectacles. Le PNUD et la CENIT ont ciblé les régions ayant le plus faible
taux de pourcentage de participation féminine au processus électoral. Cette
sensibilisation et cet encouragement à aller voter s'est donc adressée
principalement aux femmes de ces régions. Dans chaque ville visitée, elles ont été
nombreuses à venir écouter les Bloco Malagasy.
Parfois elles étaient seules mais la plupart du temps, elles étaient accompagnées de
leurs maris et de leurs bébés et enfants. «Je préfère que des messages de ce type
soient délivrés par ces jeunes filles. Elles sont sincères et ne font pas des serments
d'ivrognes comme le font les politiciens. Les voir jouer de ces instruments musicaux
est aussi un plaisir. C'était joli à écouter », souligne Jeannette Razafindriaka, une
citadine de Morondava, une des villes visitées, qui a eu l'occasion de venir écouter
la troupe Bloco Malagasy.
Il n'y a pas que les électeurs et les électrices qui en sont sortis gagnants. Cette
initiative a permis aussi aux jeunes filles de Bloco Malagasy de se responsabiliser.
L'exercice a été une valorisation des droits des femmes et une exhortation à leur
participation au processus électoral comme le demande le Protocole de la SADC sur
le Genre et le Développement.
Fanja Razafimahatratra est journaliste freelance à Madagascar. Cet article fait partie
du service de commentaires et d'opinions de Gender Links.
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Techniques d’exportation: 25 femmes
entrepreneurs en formation
(Economie/Economie) - Vendredi, 18 Octobre 2013 06:36
www.lagazette-dgi.com/index.php?
option=com_content&view=article&id=35072:techniques-dexportation-25-femmesentrepreneurs-en-formation&catid=45:newsflash&Itemid=58
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Ces femmes reconnues comme ayant du potentiel à l’exportation suivent une
formation sur les techniques d’exportation du 14 au 18 octobre à la Chambre de
commerce et d’industrie d’Antananarivo.
Ces techniques inculquées par une experte internationale en la matière portent,
entre autres, sur les méthodes d’analyse préalables aux exportations, les
différentes étapes du processus d’exportation dont la préparation de l’offre, l’étude
de marché, les négociations commerciales, la logistique et le transport
international, le financement aux exportations, etc. Les aspects pratiques de la
formation sont renforcés par des ressources locales spécialisées dans des domaines
liés à l’exportation. Citons les banques, la douane, le transit, les structures
d’appui… Notons que ces formations s’adressent à des femmes travaillant dans des
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filières porteuses et cadrent dans le positionnement de Madagascar comme futur
grenier de l’océan Indien. L’atelier est d’ailleurs de l’initiative d’Entreprendre au
féminin océan Indien - Madagascar (EFOI-Mada). Il a l’appui technique du PNUD et
la collaboration technique de l’International trade board of Madagascar (ITBM). A
travers cette formation, les femmes entrepreneurs de Madagascar devraient profiter
des opportunités commerciales tant régionales qu’internationales qui se présentent.
Outre les techniques proprement dites, l’atelier permet aussi aux participantes de
mieux appréhender l’environnement du commerce international et la dimension
genre dans l’entrepreneuriat. La présidence régionale de l’EFOI est assurée par
EFOI-Mada. Ce réseau de femmes entrepreneurs est actif à Madagascar, aux
Comores, aux Seychelles, à la Réunion et à Maurice.
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Stratégie « genre et élections »: Lancement des
ateliers de validation
Mercredi, 07 Août 2013 08:27
www.lagazette-dgi.com/index.php?
option=com_content&view=article&id=33480:strategie-l-genre-et-elections-rlancement-des-ateliers-de-validation&catid=64:newsflash&Itemid=67
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Le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), dans le cadre
du Projet d’Appui au Cycle Électoral 2012-2014 à Madagascar (PACEM), en
partenariat avec la Commission Électorale Nationale Indépendante pour la
Transition (CENI-T), la Plateforme des Femmes en Politique de l’Océan Indien à
Madagascar (FPOI) et le Fonds des Nations Unies pour la Population (UNFPA),
organise une cérémonie de lancement des ateliers provinciaux de validation de la
stratégie « genre et élections ». Cet outil important pour la promotion de l’égalité
entre hommes et femmes dans le processus électoral a été élaboré au mois d’avril
2012 avec la contribution de plusieurs parties prenantes malgaches.
L’objectif de cette cérémonie est de sensibiliser les acteurs malgaches sur
l’importance de l’égale participation des femmes et des hommes à la vie politique
d’une part, et de présenter à la société civile malgache le processus de validation
de cette stratégie d’autre part. Des ateliers provinciaux de validation seront par la
suite organisés à Antananarivo, à Fianarantsoa, à Toliara, à Mahajanga, à Diego Suarez et à Tamatave pendant la période
du 20 au 30 août 2013.
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Échéance des Objectifs du Millénaire pour le
Développement
Mercredi, 10 Avril 2013 08:43
www.lagazette-dgi.com/index.php?
option=com_content&view=article&id=30501:echeance-des-objectifs-du-millenairepour-le-developpement-&catid=42:societe&Itemid=57
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Le PNUD et ses partenaires de Madagascar marquent le jalon des 1 000 jours à
courir
Le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD) et ses partenaires
de Madagascar marquent le jalon des 1 000 jours à courir avant l’échéance des
Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD).
À partir du 5 avril, date effective de l’échéance, jusqu’au vendredi 12 avril, les
bureaux des Nations Unies de par le monde œuvreront avec les instances
gouvernementales, la société civile et les partenaires internationaux pour marquer
de diverses manières l’initiative des « Mille jours d’action pour la réalisation des
OMD ».
« Les OMD représentent historiquement l’effort le plus efficace de lutte contre la
pauvreté au niveau mondial, a dit le Secrétaire général des Nations Unies, M. Ban
Ki-moon. Ils ont contribué à la définition de priorités mondiales et nationales, à la
mobilisation des gens et à l’obtention de résultats remarquables. »
Les huit OMD à atteindre dans des délais déterminés portent sur la pauvreté et la
faim, l’éducation, l’égalité des sexes, la mortalité infantile, la santé maternelle, la
lutte contre le sida, le paludisme et d’autres maladies, la préservation de
l’environnement et la mise en place d’un partenariat mondial pour le
développement.
En Espagne, à Madrid, le Secrétaire général et des jeunes appartenant aux Conseils
espagnol et européen de la jeunesse ont pris part le 4 avril à une manifestation
spéciale pour marquer cette initiative; l’Administrateur du PNUD, Mme Helen Clark,
et d’autres chefs d’organismes et de programmes des Nations Unies, en visite à
l’occasion d’une réunion de haut niveau de l’Organisation, se sont joints à eux.
Depuis l’adoption des OMD par tous les États Membres des Nations Unies en 2000,
les pouvoirs publics, les organisations internationales et les groupes de la société
civile de par le monde ont aidé à réaliser des progrès considérables qui ont apporté
des améliorations notables dans les conditions de vie des populations.
Le taux mondial de l’extrême pauvreté a été réduit de moitié depuis 1990. Un
nombre record d’enfants est scolarisé dans l’enseignement primaire, la parité
garçons-filles ayant été atteinte pour la première fois. Les taux de mortalité
maternelle et infantile ont chuté. Le monde continue de combattre des maladies
meurtrières, telles que le paludisme, la tuberculose et le sida. Depuis 1990, deux
milliards de gens ont eu accès à l’eau potable.
Si au niveau mondial, la cible de réduction de moitié de la pauvreté extrême a été
atteinte, à Madagascar, les perspectives d’atteinte des OMD s’amenuisent avec les
11 sur 29
retards enregistrés dans la résolution de la crise sociopolitique que connaît le pays
depuis quatre ans. En effet la pauvreté touche en 2010 plus des trois quart de la
population, l’insécurité alimentaire frappe plus du tiers de la population. Si en 2008,
avant la crise, le pays avait un espoir d’atteindre quatre OMD sur les huit
(éducation, genre, mortalité infantile, VIH Sida), actuellement, il semblerait que
seul l’objectif N°6 serait en passe d’être atteint. En effet, le pourcentage de
personnes atteint par le VIH/Sida a été contenu sous la barre des 1%.
Pour consolider ces progrès et accélérer l’action, le Secrétaire général a appelé la
communauté internationale à accroître les investissements ciblés dans les domaines
de la santé, de l’éducation, de l’énergie et de l’assainissement, à autonomiser les
femmes et les filles, à se concentrer sur les gens les plus vulnérables, à honorer ses
engagements en matière d’aide et à redoubler d’efforts sur toute la gamme, depuis
les instances gouvernementales jusqu’aux groupes de base, de manière à faire une
différence.
L’initiative du jalon des mille jours offre une occasion de mieux faire connaître les
résultats des efforts de réalisation des OMD et de renforcer la volonté de continuer
de progresser de par le monde, et notamment à Madagascar.
« Plus substantiels seront les résultats obtenus sur les OMD, plus cela permettra de
renforcer la confiance et l’appui en faveur d’un programme de développement
post-2015 audacieux et ambitieux », a déclaré l’Administratrice du PNUD, Mme
Helen Clark.
« Quarante-cinq pays appliquent actuellement le Cadre d’accélération de la
réalisation des OMD, a ajouté Mme Clark, pour formuler des solutions pragmatiques
en vue d’accélérer les progrès dans les domaines où les résultats marquent un
temps de retard et de réduire les disparités qui subsistent à ce jour. »
« Madagascar n’atteindra pas la majorité des cibles des OMD en 2015 en dépit des
efforts qu’il a déjà accomplis pour y parvenir. Néanmoins, Madagascar peut se
rapprocher de ces engagements pour 2015 pour ce qui concerne l’universalisation
de l’école primaire, la promotion de l’égalité des sexes et l’autonomisation des
femmes, la réduction de la mortalité infantile et infantojuvénile, la lutte contre le
VIH/SIDA, le paludisme et la tuberculose, si des mesures énergiques et immédiates
sont prises” a confié Fatma Samoura, Coordinatrice du Système des Nations
Unies à Madagascar…
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Sur MIDI MADAGASIKARA
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Parlementaires : Formation en médiation de conflits!
juil 11th, 2014
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www.midi-madagasikara.mg/politique/2014/07/11/parlementaires-formation-en-mediationconflits/!
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Des participantes à l’atelier sur la prise en compte de la dimension
genre notamment dans la gestion de conflits et du budget
national. (Photo Nary Ravonjy)!
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Le renforcement de capacité des députés en général et des femmes parlementaires en
particulier continue. Ils étaient 43 dont 30 femmes députés à répondre présents à
l’invitation du PNUD pour prendre part à l’atelier de sensibilisation sur la prise en compte
de la dimension genre dans la gestion des conflits, l’élaboration des politiques et du
budget national. Un atelier qui s’est tenu, hier, dans les locaux du système des NationsUnies à Andraharo. L’on a remarqué toutefois, l’absence de Christine Razanamahasoa.
Notons que cet atelier a été animé par les experts en genre et en prévention des conflits
du centre du service régional du PNUD à Addis Abeba, à savoir Awa Diouf et Odette
Kabaya. A travers les échanges sur les perspectives et les bonnes pratiques en matière de
promotion du genre au sein du parlement, cet atelier a permis à ces représentants du
peuple de mieux circonscrire la problématique du genre, de s’imprégner des outils clés
pour mieux mener une médiation de conflits, de déterminer des points essentiels à
prendre en compte quand ils feront le suivi des politiques publiques et adopteront les
textes réglementaires et le budget national.!
Recommandations. Lors de la cérémonie d’ouverture, Jonas Mfouatie, représentant
résident adjoint du PNUD, d’indiquer « en s’adressant à vous, honorables députés et
parlementaires, nous savons pouvoir compter sur les agents de changement que vous
êtes et sur qui le peuple a porté son choix afin que vous puissiez mettre en place les
infrastructures locales et de développement à l’instar de ce qui s’est fait dans d’autres
pays de la région de l’Afrique australe, conformément aux recommandations de la
déclaration de Maseru de septembre 2013 à laquelle Madagascar a souscrit ». Ce
message sera-t-il entendu par les députés ?!
Dominique R.!
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EFOI : Un 1er salon du savoir-faire féminin à
Madagascar!
mar 8th, 2014
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Lors de la signature de convention entre la présidente de l’EFOI, Sylvia Pagès et le
président de l’ITBM, Herintsalama Rajaonarivelo. (Photo : Yvon Ram)!
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www.midi-madagasikara.mg/economie/2014/03/08/efoi-1er-salon-du-savoir-faire-femininmadagascar/!
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Cette plate-forme regroupe actuellement 200 femmes entrepreneures membres si au
départ elles n’étaient qu’au nombre de 20 opérateurs.!
L’Entreprendre au Féminin de l’Océan Indien (EFOI) vient de présenter son programme
d’action pour cette année. Le PNUD s’engage à appuyer à sa mise en œuvre. Au menu,
un 1er salon du savoir-faire féminin se tiendra à Madagascar du 22 au 24 mai prochain.
« L’objectif consiste à découvrir les innovations apportées par les femmes entrepreneures
éparpillées dans tout Madagascar et travaillant dans différents secteurs d’activité. Ce sera
également une occasion d’identifier les produits exportables répondant aux exigences du
marché international », a expliqué Sylvia Pagès, la présidente nationale de cette Plateforme, lors d’une conférence de presse qui s’est tenue hier à la Chambre de Commerce et
d’Industrie d’Antananarivo.!
Débouché. En fait, « nous allons effectuer des tournées dans toutes les régions de l’île
pour sensibiliser les femmes entrepreneures désirant participer à ce premier salon du
savoir-faire féminin avant de procéder à leur sélection. Et celles qui seront sélectionnées
bénéficieront des formations sur l’exportation en partenariat avec l’ITBM (International
Trade Board of Madagascar) et le Cap Export », a-t-elle rajouté. D’ailleurs, une convention
de partenariat entre l’EFOI et l’ITBM a été signée hier. Et c’est à la suite de l’exposition de
leurs produits ou services durant ce premier salon du savoir-faire féminin que la plateforme appuiera les meilleures pour participer au 1er salon du savoir-faire féminin au
niveau régional qui aura lieu du 10 au 12 octobre prochain à La Réunion. « Les avantages
de participer à cette première manifestation d’envergure régionale permettent entre autres,
de trouver des débouchés à leurs produits », a fait savoir Sylvia Pagès.!
200 femmes. Dans la même foulée, la plate-forme des femmes entrepreneures lance
officiellement le trophée « EFOI Award » national. Toutes les femmes entrepreneures quel
que soit leurs secteurs d’activité, de toutes nationalités et de tout âge, et ce, même si elles
ne sont pas encore membres de l’EFOI peuvent y participer. « Trois catégories seront
récompensées en faveur d’entreprise citoyenne, sociale ou environnementale », a précisé
la présidente de l’EFOI. Notons que cette plate-forme regroupe maintenant 200 femmes
entrepreneures réparties sur neuf antennes installées dans tout le pays, si au départ elles
n’étaient qu’au nombre de 20 opérateurs, soit il y a sept ans de cela. Parmi lesquelles, 20
% d’entre elles ont des activités tournées vers l’exportation.!
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Navalona R.!
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8 Mars : Les conditions des femmes, un réel défi pour
Madagascar!
mar 8th, 2014
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www.midi-madagasikara.mg/societe/2014/03/08/8-mars-les-conditions-des-femmes-reeldefi-pour-madagascar/!
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La célébration officielle de la journée internationale de la femme se tient à
Vangaindrano. Au-delà de l’aspect festif, c’est surtout une occasion de réellement
se pencher sur la situation des femmes à Madagascar.!
Le 8 mars, journée internationale de la femme, est une occasion pour les femmes, mais
aussi pour tous les hommes, de faire une réflexion sur les conditions des femmes dans la
société. Egales de droits avec les hommes, du moins en théorie et selon les lois qui
existent à Madagascar, elles ne jouissent pourtant pas des mêmes conditions que leurs
pairs masculins. Cette inégalité est différemment perçue dans les différentes régions de
l’île. Dans la région Atsimo Atsinanana, leurs situations sont bien plus préoccupantes.
Souvent seules à élever leurs enfants, leurs maris les ont abandonnées, à cause d’une
complaisance renforcée par une coutume infligée depuis des siècles, car dans cette
région, le concubinage, voire la polygamie est acceptée. Sans réel engagement légal, les
hommes peuvent ainsi quitter leurs femmes, ou les mères de leurs enfants, sans aucune
obligation quelconque. Et c’est encore la tradition qui explique pourquoi elles n’ont pas le
droit à l’héritage foncier des parents. Mais cette inégalité s’étend aussi vers d’autres
secteurs sociaux, car il y a plus de femmes analphabètes dans cette région, avec
beaucoup d’enfants à charge, et ne possédant ni terres ni ressources. La plupart ne
comptent que sur leurs rizières traditionnelles pour survivre, grâce à une petite culture sur
des terrains empruntés, contre 50 % de la récolte. Certaines doivent alors recourir à des
usuriers pour un peu de fonds, qu’elles doivent ensuite rembourser au double ou même
plus à cause des intérêts.!
Défi. La situation des femmes en général reste donc préoccupante. Et les grands
programmes financés par les grands ONG, tels que le Pnud ou encore les autres
partenaires financiers à travers les petites associations, essaient de combler ce qu’ils
peuvent pour rattraper ces injustices sociales. En 2010, le Pnud lance le projet
d’autonomisation des femmes et des filles mères vulnérables du Sud-Est. Il s’agit de
sensibiliser les populations sur les droits des femmes, et d’appuyer les renforcements de
capacités techniques et organisationnelles, et de professionnaliser les filières porteuses.
Permettant ainsi aux femmes d’être plus autonomes et donc moins dépendantes. Et
comme le conclut le ministre de la Population et des Affaires sociales Olga Ramaroson,
« le défi est que les femmes doivent toujours penser aux solutions non aux obstacles et
problèmes ».!
Anjara Rasoanaivo!
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ENSOMD : Et l’après 2015?!
fév 25th, 2014
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La CR du SNU, Fatma Samoura (à droite), le Vice-PM Botozaza Pierrot et la Vice-PDS
Olga Rasamimanana lors de la visite des stands hier à Analakely. (Photo Yvon)!
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www.midi-madagasikara.mg/societe/2014/02/25/ensomd-lapres-2015/!
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La cérémonie de la présentation des résultats de l’enquête nationale du suivi des
objectifs du millénaire pour le développement s’est tenue, hier, à l’Hôtel de Ville à
Analakely. L’occasion de présenter les 8 tomes que constituent les résultats de
l’enquête.!
La présentation de l’enquête nationale du suivi des objectifs du millénaire pour le
développement (ENSOMD), une enquête réalisée par l’Institut National de la Statistique et
soutenue financièrement par l’UNFPA, ainsi que des autres partenaires techniques et
financiers tels que le PNUD, l’UNICEF, le PAM, l’UN Women, la Banque Mondiale et la
BAD s’est tenue hier à l’hôtel de Ville à Analakely. Une enquête qui brosse la situation de
Madagascar face aux objectifs du millénaire pour le développement. Dans sa globalité,
ces objectifs ne seront pas atteints. Les indicateurs fournis grâce au travail des centaines
d’enquêteurs viennent compléter les données sur quelques secteurs qui n’ont pas été
couverts par l’Enquête Périodique auprès des Ménages de 2010, en tenant compte des
impacts de la crise politique qui a sévi dans le pays entre 2009 et 2013.!
Stratégies. Cette ENSOMD réalisée entre 2012 et 2013 permet alors de mesurer les
progrès (ou pas) vers les atteintes des OMD, à un peu plus d’un an de la date butoir fixée
pour 2015. Des données qui permettent alors de palper les résultats concrets, mais
surtout d’élaborer les nouvelles stratégies de développement dans les domaines où les
efforts ont été vains, et qui méritent alors que l’on intensifie les actions. Des indicateurs
importants pour le pays, d’autant plus que l’élection du nouveau président de la
République implique le renforcement, sinon l’actualisation des activités menées dans le
cadre de la lutte contre la pauvreté. Comme le souligne la Coordinatrice Résidente du
Système des Nations Unies, Fatma Samoura, lors de son allocution à la cérémonie de
lancement, « la publication de ce rapport sur les OMD arrive à bon escient, au moment où
Madagascar est en train de préparer ses stratégies et programmes pour la relance de
l’économie et requiert une base de références fiables et un outil d’aide à la décision et à la
programmation ».!
L’après 2015? Si à près de un an de la date butoir de 2015, la plupart des OMD ne seront
pas atteints, certains indicateurs ont tout de même fléchi vers la bonne direction en 15
ans. Avant la crise politique de 2009, l’évolution de certains secteurs a même été
encourageante. Mais force est de constater que Madagascar n’atteindra pas ces objectifs.
Des secteurs sociaux qui méritent que l’on s’y investissent, pour améliorer les conditions
primaires de vie de la population malgache, de plus en plus affaiblie notamment depuis la
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crise. Mais ces résultats interpellent également quant à la suite des OMD. Après ces 15
années d’effort, qu’adviendra-t-il du pays ? Et quels seront les nouveaux objectifs à
atteindre, tant au niveau national que mondial, pour que chaque personne vive dans de
meilleures conditions sociales ?!
Anjara Rasoanaivo!
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Législatives : Les femmes plus sensibles au genre!
déc 2nd, 2013
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www.midi-madagasikara.mg/societe/2013/12/02/legislatives-les-femmes-plus-sensiblesau-genre/!
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Les campagnes législatives ont commencé vendredi dernier. Beaucoup de femmes
se sont présentées. Sensibles au genre, elles ont certainement un apport particulier
pour les femmes. Sans pour autant verser dans le féminisme.!
Une femme qui se porte candidate aux législatives est certainement plus courant qu’une
femme candidate aux présidentielles. Mais dans la pratique, cela reste difficile. Pas
seulement parce que la société malgache ne semble pas encore être prête à voir une
femme prendre des décisions, mais aussi parce que les femmes elles-mêmes perpétuent
ce stéréotype. Les femmes n’osent pas, ne font pas le premier pas, elles se laissent ellesmêmes entraîner dans cette configuration où elles ne sont qu’exécutantes. Plusieurs
ONGs et institutions, telles que l’EISA, le Pnud, le CNFM… ont dispensé de plusieurs
formations et renforcement de capacités envers les femmes. Il s’agit d’une sorte de
révision de ce qui est déjà acquis particulièrement sur le droit. Mais les femmes
revendiquent leurs capacités, et ce qu’elles peuvent apporter pour la population. Car
certaines lois sont bancales, ou non appliquées. Les questions relatives à la santé de la
reproduction seraient donc mieux traitées par les femmes, sensibles aux réels problèmes
des femmes. Ces candidates aux législatives qui vont représenter la population, dont les
femmes. Il en est de même pour les droits des enfants, de la femme, du mariage, des
violences envers les femmes… autant de détails que les femmes seraient mieux en
mesure de traiter. « Dans ma commune, certes, il n’y a qu’une femme chef de fokontany
sur 15 » avoue le maire de Tsiafahy, Justin Randriamahefa. « Mais on fait désormais des
efforts en proposant aux candidats de faire une liste zébrée : ainsi, si la 1re liste est une
femme, le 2e devrait être un homme » continue-t-il. Malgré tout, seule la compétence
compte. Alors une femme candidate devrait avoir les mêmes responsabilités qu’un
homme, et être sensible au genre sans verser dans le féminisme.!
Anjara Rasoanaivo!
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Polibrèves!
nov 27th, 2013
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www.midi-madagasikara.mg/politique/2013/11/27/polibreves-2/!
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# Le PNUD à travers le PACEM en partenariat avec la CENI-T et la FPOI a tenu la
deuxième série de renforcement des capacités des femmes candidates aux
législatives du 25 au 27 novembre aux hôtels Colbert et Louvre. Cet atelier intervient
juste avant l’ouverture de la campagne électorale.!
# Série de débats avec quelques candidates aux élections législatives demain à 11h
au centre de presse malagasy. Ce serait une occasion pour ces dernières d’exposer les
raisons qui les ont poussées à se porter candidates.!
recueillis par Dominique R.!
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Antsiranana : Renforcement de capacité des candidates aux ...!
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nov 22nd, 2013
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www.midi-madagasikara.mg/politique/2013/11/22/antsiranana-renforcement-decapacite-des-candidates-aux-legislatives/
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Un atelier de renforcement de capacité des femmes candidates aux législatives s’est tenu
le 20 novembre dernier, à Antsiranana. Portant notamment sur le cadre juridique et les
médias. Avec la participation d’une vingtaine de candidates provenant des différents
districts des régions SAVA et DIANA. Cet atelier a été organisé par la CENI-T, en
collaboration avec la Plate-forme des femmes en politique de l’Océan Indien et le PNUD.
Lors de son intervention, la représentante résidente du PNUD, Fatma Samoura, a tenu à
rappeler qu’« il serait illusoire de parler de développement durable si les femmes qui sont
des artisanes de ce développement ne font pas partie de celles qui votent les lois,
élaborent des stratégies de développement et veillent à leur exécution ».!
Recueillis par Dominique R.!
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Sur NEWSMADA!
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Genre : le Pnud en faveur de la complémentarité
(News/Opinion et debat)
www.newsmada.com/index.php/newsmadarss/5-opinion-et-debat/44983-genre--le-pnuden-faveur-de-la-complementarite
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Écrit par Les nouvelles
Vendredi, 11 Juillet 2014 10:50
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Les femmes parlementaires sont concernées de près par l’élaboration des politiques
publiques et du budget national. Dans un souci de complémentarité entre les hommes et
les femmes au sein de l’Assemblée nationale, le programme des Nations unies pour le
développement (Pnud) a tenu dans ses locaux à Andraharo un atelier de formation pour
les femmes parlementaires hier. « Il ne s’agit nullement d’une concurrence entre les hommes et les femmes parlementaires
mais plutôt d’une complémentarité dans les tâches au sein de l’Assemblée nationale », a
indiqué hier le représentant résident adjoint du Pnud, Jonas Mfouatie. Une cinquantaine
d’élues ont ainsi été conviées à la formation et quarante-trois sont venus. Cependant, une
vingtaine d’hommes parlementaires ont toutefois répondu présents sous prétexte que les
hommes devraient également bénéficier de ce genre de formation. Etant donné que l’atelier est axé sur l’élaboration des politiques publiques et du budget
national, Jonas Mfouatie a fait savoir qu’à travers les échanges sur les perspectives et les
bonnes pratiques en matière de promotion du genre au sein du Parlement, « cet atelier a
permis à ces représentants du peuple de mieux circonscrire la problématique du genre, de
s’imprégner des outils clés pour mener à bien une médiation de conflits, de déterminer des
points essentiels à tenir en compte quand ils feront un suivi ».
« En s’adressant en particulier à vous, honorables députés et parlementaires, nous
savons pouvoir compter sur les agents de changement que vous êtes et sur qui le peuple
malgache a porté son choix afin que vous puissiez mettre en place les infrastructures
locales de paix et de développement », a déclaré le représentant résident adjoint en
faisant référence à l’objectif fixé, notamment la promotion du genre.
Tahina Navalona
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Atelier de renforcement de capacité des
parlementaires : seulement 43 députés ont
répondu présents
(News/Politique)
www.newsmada.com/index.php/politiques/44961-atelier-de-renforcement-de-capacite-desparlementaires--seulement-43-deputes-ont-repondu-presents
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Écrit par Courrier
Vendredi, 11 Juillet 2014 09:33
Comme on l’avait prédit, les députés ont, une énième fois, fait preuve de fort taux
d’absentéisme comme à leur accoutumée lors d’une séance importante. Lors d’un atelier
organisé hier par le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) à son
siège à la Zone Galaxy Andraharo, ils n’étaient que 43 députés sur les 147 à avoir
répondu présents. Pourtant, il convient de noter que cette séance leur a été spécialement
dédiée.
Cet atelier portait sur le thème « La dimension genre en matière de gestion des conflits et
d’élaboration du budget national ». Une occasion pour eux de s’imprégner des idées sur le
développement, mais également une sensibilisation sur la prise en compte de la
dimension genre dans la gestion des conflits, l'élaboration des politiques publiques et du
budget national.
La séance a été animée par des experts en genre et en prévention des conflits du Centre
de service régional du PNUD à Addis Abeba, Awa Diouf et Odette Kabaya.
Imasindia
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La politique en bref
(Divers/Bref)
www.newsmada.com/index.php/component/content/article/16-bref/44889-la-politique-enbref
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Écrit par Les nouvelles
Jeudi, 10 Juillet 2014 10:03
Gestion de budget-Le Pnud au chevet des parlementaires
Le Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) tiendra aujourd’hui, à
Andraharo, dans ses locaux un atelier de sensibilisation sur « le genre et la gestion de
conflits » et « le genre et le budget de l'Etat » a l'adresse des parlementaires. !
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Indemnité de présence !
(News/Editorial)
www.newsmada.com/index.php/editorial/44835-indemnite-de-presence-
!
Écrit par Courrier
Jeudi, 10 Juillet 2014 07:45
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À l’allure où va la situation actuelle dans le pays, notamment à l’Assemblée nationale (AN)
à Tsimbazaza, plus d’un est convaincu de la nécessité d’éduquer ces membres de la
Chambre basse. Dans cette optique, le Programme des Nations unies pour le
développement (Pnud) a jugé utile d’organiser un atelier destiné aux parlementaires,
lequel est prévu se dérouler ce jour à partir de 9 h à son siège à la zone Galaxy à
Andraharo.
D’après les informations, il s’agit d’un atelier de sensibilisation des parlementaires sur « le
genre et la gestion de conflits » et « le genre et le budget de l’État ». Par ailleurs, force est de se demander si les députés sont-ils assez intéressés par ces
thèmes et le sujet en général, ou bien est-ce qu’il y aura encore un fort taux d’absentéisme
à cette séance, tout comme à l’accoutumée de ces parlementaires depuis leur prise de
fonction ? Quoi qu’il en soit, pour la majorité des observateurs, il a été prouvé à plusieurs reprises
que nos députés n’ont guère de motivation à assister aux réunions, sauf pour les séances
spécialement consacrées à l’étude et aux débats sur leurs intérêts et leurs avantages.
A cet effet, les députés ne viendront assurément pas en nombre pour assister à cet atelier
et ils trouveront certainement des (faux) prétextes pour ne pas y participer. A moins qu’il
n’existe une compensation financière, notamment une « indemnité de présence »
distribuée par les organisateurs.
Et pourtant, Dieu sait si nos parlementaires ont besoin de renforcement de capacité, et ce,
dans tous les domaines.
Imasindia/N. Randria
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Promotion du genre : le Pnud soutien le ministère
de la Population
(News/Société)
www.newsmada.com/index.php/societe/44815-promotion-du-genre--le-pnud-soutien-leministere-de-la-population-
!
Écrit par Les nouvelles
Mercredi, 09 Juillet 2014 11:52
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Le programme des Nations unies pour le développement (Pnud) a exprimé sa volonté
de soutenir les initiatives de la Grande île en matière de promotion du genre. La mission
du chef d’unité genre et autonomisation des femmes auprès du centre régionale du Pnud
pour l’Afrique, Odette Kabaya, dans le pays à pour objet de renforcer la capacité des
institutions malgaches dans ce domaine. Cette responsable a été reçue avant-hier soir par
la ministre de la Population, de la protection sociale et de la promotion de la femme,
Eléonore Johasy. Ce département a également manifesté son engagement pour cette
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cause. Selon Eléonore Johasy, « mon département ne voit pas la notion du genre sous le
seul angle d’égalité entre homme et femme. Chaque catégorie de personnes, y compris
les handicapés, les personnes âgées, les jeunes…, doit être considéré afin qu’il ne soit
pas exclus du processus de développement du pays ». « Des appuis spécifiques devront être effectués au profit de chaque catégorie de
personnes jugées vulnérables afin qu’elle puisse avoir au moins son autonomie et cesser
d’être un fardeau pour la nation, la société et la famille », a conclu la ministre de la
Population, de la protection sociale et de la promotion de la femme.
Fahranarison
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Journee mondiale de la femme : les politiques
présents
(News/Politique)
www.newsmada.com/index.php/politiques/36766-journee-mondiale-de-la-femme--lespolitiques-presents
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Écrit par Reflet
Vendredi, 14 Mars 2014 10:08
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La journée mondiale de la femme du samedi 8 mars 2013, a été particulièrement célébrée
à Madagascar. Plusieurs organisations de la société civile ainsi que des groupements
politiques ont en effet apporté leur contribution pour faire avancer les questions liées au
genre dans la Grande Ile. Ainsi, la section malgache de l’entreprendre au Féminin Océan
Indien, en partenariat avec le PNUD a organisé un événement dont l’objectif est d’encourager les femmes à mieux participer dans l’économie malgache. Pour elle, cela
est d’autant plus important que les femmes doivent jouer un rôle important dans la
stratégie de relance de la machine économique malgache gangrenée par cinq ans de crise sociopolitique.
Les handicapés notamment les femmes handicapées ont également participé à cette
célébration. Ils estiment en effet que c’est un moment idéal pour faire avancer non
seulement l’importance des questions liées au genre mais également celles liées à
l’handicap.
Les autorités, comme chaque 8 mars, ont également organisé des événements afférant à
cette célébration. Si on se fie à la législation malgache, les femmes auront droit à une
demi-journée chômée. Certaines entreprises et services publics pourraient par ailleurs
accorder aux femmes une journée chômée même si cela n’a pas été prévu par la loi. Dans
tous les cas, depuis quelques années, la célébration de la journée du 8 mars est entrée
dans les mœurs à Madagascar. !
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Futures élections législatives : première série de
débats demain
(News/Politique)
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Écrit par Courrier
Mercredi, 27 Novembre 2013 10:14
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Même si le second tour de l’élection présidentielle accapare en particulier l’attention des
citoyens, les préparatifs pour les législatives ne sont pas en reste. A ce sujet, la première
série de débats entre les candidats débutera demain. Il s’agit précisément de débats avec
les femmes candidates aux législatives du 20 décembre prochain. Cette première rencontre de ce genre se tiendra demain à partir de 11 heures au Centre
de presse Malagasy, à Antsakaviro. Une grande première dans l’histoire du pays et du
monde de la politique, notamment appuyée par le Pnud entre autres.
Imasindia
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Législatives : les femmes candidates en formation
(News/Politique)
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www.newsmada.com/index.php/politiques/29212-legislatives--les-femmes-candidates-enformation
!
Écrit par Courrier
Mercredi, 20 Novembre 2013 13:24
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La promotion de l’approche genre fait son bonhomme de chemin à Madagascar. Depuis
quelque temps, plusieurs actions de sensibilisation des femmes à prendre part dans la vie
politique se sont de ce fait tenues à travers le pays. Dans ce sens, deux séries d’ateliers
de renforcement de capacités pour les femmes candidates aux élections législatives du 20
décembre prochain sont organisées par le Programme des Nations unies pour le
développement (Pnud) en partenariat avec la Commission électorale nationale
indépendante pour la transition (Cenit) et la Plateforme des femmes en politique de
l’Océan Indien (FPOI). Les domaines juridique et médiatique sont à l’ordre du jour desdits
ateliers. S’inscrivant dans le cadre du Projet d’appui au cycle électoral 2013 - 2014 à Madagascar
(Pacem), la première série d’atelier est prévue de débuter ce jour jusqu’au samedi 23
novembre à Toamasina, ToliarA, Mahajanga et Antsiranana ; tandis que la deuxième série
aura lieu du lundi 25 au mercredi 27 novembre à Fianarantsoa et à Antananarivo. D’après les informations, l’objectif de cette série d’ateliers est de partager avec les
femmes candidates les connaissances techniques et les outils nécessaires pour mieux
préparer leur campagne électorale surtout dans les domaines juridique et médiatique. En
fonction de leurs projets de société, ces femmes candidates vont pouvoir de ce fait se
familiariser à l’élaboration d’une stratégie médiatique efficace. Ces ateliers seront
également l’opportunité d’approfondir les questions liées au contentieux électoral ainsi
qu’au financement des campagnes électorales.
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Imasindia
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Promotion de l’approche genre aux élections :
présentation des 25 candidates aux législatives ce
jour
(News/Politique)
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www.newsmada.com/index.php/politiques/27989-promotion-de-lapproche-genre-auxelections--presentation-des-25-candidates-aux-legislatives-ce-jour
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Écrit par Courrier
Jeudi, 31 Octobre 2013 11:33
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Le taux de participation de la gent féminine dans le domaine de la politique à Madagascar
demeure faible. Le dernier exemple en date remonte au récent scrutin présidentiel où 2
sur les 33 candidats seulement sont des descendantes d’Eve. De ce fait, plusieurs actions
appuyées par le Pnud, entre autres, ont été menées depuis quelque temps à travers l’île,
notamment la sensibilisation des femmes à prendre part dans la vie politique malgache. A
ce titre, l’Institut électoral pour une démocratie durable en Afrique ou Eisa organise une
séance de présentation officielle des 25 candidates aux élections législatives du 20
décembre 2013. La cérémonie est prévue de débuter à 17 h 15, ce jour à l’hôtel Carlton à
Anosy. D’après les informations, l’objectif de cette initiative s’inscrit dans le cadre de la promotion
de l’approche genre à Madagascar. Il s’agit également d’une sensibilisation des femmes
malgaches à avoir le courage de participer davantage dans le domaine de la vie politique
pour la promotion de la démocratie, ainsi qu’à être mieux représentées dans les hautes
sphères de prise de décisions afin de contribuer à une prise de responsabilité dans le
développement effectif du pays.
A noter que les femmes sont encore très minoritaires dans le domaine de la politique en
général dans tout le continent africain. Toutefois, on constate un vent de changement ces
derniers temps à Madagascar où les coutumes constituent encore une barrière majeure à
la pratique.
Imasindia
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Entreprendre au feminin : formation aux activités
d’exportation
(News/Actualités)
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www.newsmada.com/index.php/actualites/27241-entreprendre-au-feminin--formation-auxactivites-dexportation
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Écrit par Reflet
Vendredi, 18 Octobre 2013 15:52
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Dans le monde, deux-tiers des 7 milliards d’habitants sont des femmes. Ces dernières
années, la gent féminine a pris une grande place dans la société. De par leurs tâches
quotidiennes traditionnelles, les femmes font office de gestionnaires et de managers dans
la vie de tous les jours. Et depuis lors jusqu’à présent, elles exploitent cette qualité
entrepreneuriale dans la création d’entreprises.
Dans le secteur des affaires, les femmes malgaches ont nettement progressé, si l’on ne
tient compte que des constats des analystes et des organismes. Pour preuve, l’existence
de nombreuses associations de femmes entrepreneures à Madagascar si l’on ne parle
que de l’EFOI ou du « Vondrona MiraLenta ho an’ny Fampandrosoana » (VMLF). Ce
dernier groupement est présent dans les 22 régions et les 119 districts de Madagascar.
C’est une association de droit malgache créée en 2008 à l’initiative de 180 femmes.
L’EFOI-Mada, avec l’appui financier du Pnud, a organisé cette semaine un atelier de
formation sur les techniques d’exportation ; 25 femmes entrepreneures venant de
plusieurs régions reconnues comme ayant du potentiel à l’exportation et œuvrant dans
des filières porteuses ont participé à cette formation. La séance de travail visait à faire
mieux connaître aux femmes participantes les techniques et rouages de l’exportation, à
appréhender davantage l’environnement du commerce international et l’aspect genre dans
l’entrepreneuriat. Les participantes ont été formées, entre autres, sur les méthodes
d’analyse préalable aux activités d’exportation, les différentes étapes du processus
d’exportation, la préparation de l’offre, l’étude de marché, les négociations commerciales,
la logistique et le transport international, ainsi que sur les possibilités de financements
adaptés aux activités d’exportation à Madagascar. Des personnes ressources locales,
spécialisées dans des métiers pouvant influencer les exportations (banquiers, transitaires/
douaniers, fournisseurs d’informations commerciales, structures d’appui…), viendront
renforcer les aspects pratiques de la formation.
L’appui aux femmes entrepreneures locales à améliorer leurs connaissances dans divers
secteurs est un moyen de solliciter l’expertise malgache à partager des connaissances
dans toutes les activités.
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Guide du week-end
(News/Culture)
www.newsmada.com/index.php/culture/25570-guide-du-week-end-
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Écrit par Les nouvelles
Vendredi, 20 Septembre 2013 14:46
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Bloco malagasy au Coliseum
Une pléthore d’artistes sont attendus au Coliseum d’Antsonjombe demain, dans le cadre
d’une campagne de sensibilisation des citoyens sur le retour de la démocratie à
Madagascar. Il s’agit d’une manifestation organisée par le programme des Nations unies
pour le développement (Pnud). A l’affiche, il y aura surtout le groupe Bloco malagasy, Jerry
Marcoss, Melky, Ny Voninavoko, Princio, Dadi Love, Lianah, Tsiliva, Safidy, Francis Turbo,
Onja, Théo Rakotovao du groupe Mikea et Dat’Kôtry.
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La politique en bref
(Divers/Bref)
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www.newsmada.com/index.php/component/content/article/16-bref/22412-la-politique-enbref
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Écrit par Les nouvelles Jeudi, 08 Août 2013 15:07
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Genre-Promotion de la participation des femmes dans la vie politique
Les ateliers de validation de la stratégie sur le genre et les élections ont été lancés hier, à
l'hôtel Carlton. Organisés par le programme des Nations unies pour le développement
(Pnud), ces ateliers ont pour principal objectif de responsabiliser les femmes dans la vie
politique, notamment dans le programme électoral. Les six provinces de Madagascar
bénéficieront ainsi de ceux-ci du 20 au 30 août prochain.
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CENIT/PNUD: Lancement des ateliers de
validation de la stratégie sur le genre et les
élections le 07 Aout 2013 au Carlton Anosy.
(News/Photos)
CENIT/PNUD: Lancement des ateliers de validation de la stratégie sur le genre et les
élections le 07 Aout 2013 au Carlton Anosy. -- PHOTOS -…
www.newsmada.com/index.php/newsphotos/22353-cenitpnud-lancement-des-ateliers-devalidation-de-la-strategie-sur-le-genre-et-les-elections-le-07-aout-2013-au-carlton-anosy
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Écrit par Photonews
Mercredi, 07 Août 2013 19:56
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CENIT/PNUD: Lancement des ateliers de validation de la stratégie sur le genre et les
élections le 07 Aout 2013 au Carlton Anosy.
-- PHOTOS —
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Genre et élections : respect de l’égalité hommefemme
(News/Opinion et debat)
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www.newsmada.com/index.php/newsmadarss/5-opinion-et-debat/22327-genre-etelections-respect-de-legalite-homme-femme
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Écrit par Les nouvelles
Mercredi, 07 Août 2013 13:25
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Toujours dans le cadre du Projet d’appui au cycle électoral (Pacem) 2012-2014, la
cérémonie de lancement des ateliers provinciaux de validation de la stratégie «genre et
élections» se tient, ce jour, à l’hôtel Carlton Anosy. Le programme des Nations unies pour
le développement (Pnud) en est l’initiateur, en collaboration avec plusieurs organes, dont
la Commission électorale nationale indépendante pour la Transition (Cenit).
Ces ateliers se tiendront ainsi dans les six provinces de Madagascar, à savoir
Antananarivo, Fianarantsoa, Mahajanga, Antsiranana, Toamasina et Toliara, du 20 au 30
août prochain.
Ceux-ci consistent ainsi à promouvoir l’égalité entre les hommes et les femmes dans le
processus électoral. Le principal objectif étant ainsi de sensibiliser la population sur
l’importance de la participation des hommes et des femmes dans la vie politique.
La place de la femme dans la société est mise en avant depuis quelques temps. Pas plus
tard que le mois dernier, un autre atelier de formation du même type a été organisé à
Antsiranana, cette fois-ci par l’ONG Gender Links en collaboration avec l'institut électoral
pour une démocratie durable en Afrique, Eisa, et l’ambassade de Norvège. Cet atelier
visait à préparer les femmes candidates aux élections communales aux interviews
radiophoniques et télévisées afin d’éviter les dérapages verbaux. 35 candidates de la
région Diana ont ainsi pu bénéficier de cet atelier.
Recueillis par Tahina Navalona
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Genre et élections : l’atelier de validation ce jour
(News/Politique)
Dans le cadre de la mise en œuvre du Programme d’Appui au Cycle Electoral 2012-2014
à Madagascar (Pacem), le Programme des Nations Unies pour le Développement
(PNUD), en partenariat avec la Commission …
www.newsmada.com/index.php/politiques/22285-genre-et-elections-latelier-de-validationce-jour
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Écrit par Courrier
Mercredi, 07 Août 2013 10:49
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Dans le cadre de la mise en œuvre du Programme d’Appui au Cycle Electoral 2012-2014
à Madagascar (Pacem), le Programme des Nations Unies pour le Développement
(PNUD), en partenariat avec la Commission Électorale Nationale Indépendante pour la
Transition (Cenit), la Plateforme des Femmes en Politique de l’Océan Indien à
Madagascar (FPOI) et le Fonds des Nations Unies pour la Population (Fnuap), organise
demain la cérémonie de lancement des ateliers provinciaux de validation de la stratégie
«genre et élections».
Cette cérémonie de lancement se déroule ce jour à partir de 8 h 30 à l’Hôtel Carlton à
Anosy.
A titre de rappel, cet outil pour la promotion de l’égalité entre hommes et femmes dans le
processus électoral a été élaboré au mois d’avril 2012 avec la contribution de plusieurs
parties prenantes malgaches.
L’objectif de cette cérémonie est de sensibiliser les acteurs malgaches sur l’importance de
l’égale participation des femmes et des hommes à la vie politique d’une part, et de
présenter à la société civile malgache le processus de validation de cette stratégie d’autre
part. Des ateliers provinciaux de validation seront par la suite organisés à Antananarivo, à
Fianarantsoa, à Toliara, à Mahajanga, à Antsiranana et à Toamasina pendant la période du
20 au 30 août 2013.
Imasindia
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