Assistant Bulletin

Transcription

Assistant Bulletin
Edit. resp: Catherine Van Huyck
Modus Vivendi A.S.B.L.
Rue Jourdan, 151
B-1060 Bruxelles
Tél. : 00 32 (2) 644 22 00
Fax. : 02 32 (2) 644 21 81
http://www.modusvivendi-be.org
Mars 2010
N°57
www.modusvivendi-be.org
Dans ce numéro :
Edito
News
Cannabis - Héroïne
Colloques & Co
Formations
Publications
Prochain numéro :
Mai 2010
Pour insérer une info,
notre nouvelle adresse mail est
ouverte toute l’année !
Nos prochains numéros sortent en
mai, juillet, septembre, et novembre.
[email protected]
Tél : 00 32 (2) 644 22 00
Fax : 00 32 (2) 644 21 81
Avec le soutien de la Cocof
Brèves de Comptoir, etc.
Bimestriel d’information destiné aux associations actives
en matière de Réduction des Risques associés à l’usage des drogues (RdR)
Edito1
Le rapport 2009 de l’asbl
Eurotox, sur l’usage de drogues
en Communauté française,
propose pour la deuxième fois
(après l’alcool en 2005) un
« focus » sur un point
particulier : le dopage. Celui-ci
est l’occasion, après avoir dressé
le constat du manque de réelles
actions de prévention en
Communauté française, de
suggérer un certain nombre de
pistes qui pourraient faire
progresser ce dossier. En voici
quelques unes :
Sanctionner les systèmes. Plutôt
que de s’en prendre
systématiquement aux lampistes
(les athlètes), certains songent à
punir plus sévèrement leurs
dirigeants et leurs cadres en cas
de dopage avéré, estimant que
la responsabilité de ce qui se
passe dans leur équipe ou dans
leur délégation leur incombe.
Organiser des campagnes de
prévention et d’information.
L’article 2 du décret qui régit la
lutte contre le dopage en
Communauté française le
stipule bien : « Le
Gouvernement organise des
campagnes d'éducation,
d'information et de prévention
et de la Région Wallonne
1
L’éditorial n’engage que la responsabilité
de son auteur.
relatives à la promotion de la
santé dans la pratique du sport,
en veillant notamment à
sensibiliser la population, et
plus particulièrement les
sportifs et leur entourage, sur le
respect des impératifs de santé
dans ces pratiques. ». Or, de
telles campagnes sont pour ainsi
dire inexistantes en
Communauté française. Il serait
juste de renverser la balance.
Ouvrir un numéro vert. Il faut
ouvrir un « numéro vert »
gratuit et surtout anonyme pour
les
sportifs
amateurs ou
professionnels confrontés au
dopage. Cela permettrait aux
sportifs de sortir de l’isolement
lié à ce phénomène et de
recevoir des conseils de santé
publique qui pourraient leur
être salutaires dans la gestion de
leur carrière.
« Antennes
Médicales
de
Prévention du Dopage ». Cet
exemple venu de France
pourrait être une piste. En effet,
si après évaluation scientifique
(et n° vert) on se rend compte
qu’une partie non négligeable
des demandes de traitement
actuelles font suite à des
trajectoires de consommation
qui viennent du sport intensif et
du dopage, il pourrait être
intéressant d’élargir dans ce
sens l’approche de certains
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Mars – Avril 2010
centres ou départements, ou
services de traitement existant
déjà.
Travailler sur l’après-carrière.
Une des pistes très peu
explorées et proposées
notamment par Christophe
Bassons, coureur cycliste
pourfendeur du dopage, ce qui
lui a coûté sa carrière, est
d’offrir la possibilité aux sportifs
de travailler sur leur avenir
après la carrière sportive. Peutêtre même que les organismes
chargés de la lutte antidopage,
si ce sont des organismes
étatiques, pourraient proposer
des stages d’orientation et des
formations spécifiques en cours
de carrière sportive, en
partenariat avec les offices de
l’emploi comme Actiris et le
Forem. Après tout, n’oublions
pas que le champion (mondial)
de boxe Béa Diallo, « nouveau
Belge » reconverti avec succès à
la politique (échevin PS à
Ixelles), est également licencié
en sciences économiques.
Légaliser et réduire les risques ?
Certains scientifiques
proposent, comme dans la
réduction des risques telle que
nous la connaissons, une
éducation du citoyen à exercer
son libre arbitre et sa
responsabilité face à la
consommation d’adjuvants à la
performance physique. Hélas,
vu les énormes intérêts en jeu
(pays avides de « héros
positifs », sponsors à la
recherche de demi-dieux
hyper-performants), les
instances médicales sportives
2
(des fédérations sportives
nationales et du Comité
International Olympique- CIO,
notamment), se retrouvent
régulièrement soit réduites au
silence (CIO), soit coupables
elles-mêmes de couvrir des
pratiques douteuses. Dès lors,
légaliser et encadrer
impliquerait à tout le moins
pour les médecins épris de santé
et pas de performance de
« prendre le pouvoir » dans ce
type d’instances. Le corps
médical hippocratique est-il
vraiment le bon instrument
pour cette guerre ? Par ailleurs,
la deuxième question soulevée à
nos yeux par une éventuelle
légalisation est celle d’un simple
déplacement du problème. Si
des pratiques bien encadrées
permettent à des athlètes de
s’améliorer « artificiellement »,
ou « médicalement », tout en
restant en bonne santé, soit.
Mais cela empêchera-t-il les
« charlatans », les faiseurs de
potions voire les firmes
pharmaceutiques elles-mêmes,
de toujours proposer le petit
plus, la molécule nouvelle,
fulgurante, non encore testée et
potentiellement très
dangereuse ? Et les athlètes, vu
les intérêts en jeu, seront-ils
empêchés de prendre ce risque ?
Pas plus qu’aujourd’hui, selon
nous. Et peut-être même moins,
s’ils sont habitués par un corps
médical honnête et de bonne
foi, à consommer des molécules
en toute légalité. En bref, il
faudrait changer la société avant
de pouvoir appliquer sans…
risques, la légalisation et la Rdr
au dopage sportif.
Le rapport « Dopage » sur
http://www.eurotox.org/images/
stories/docs/dossier_dopage_eur
otox_2009.pdf
News
Nouvelles arrivées
l’équipe de Modus…
dans
Modus a le plaisir d’accueillir de
nouvelles collaboratrices :
Bérénice Libois, responsable du
projet Accueil (Modus Fiesta).
Hélène Briffeuil, responsable du
projet Equipe Mobile.
Un Récupérateur Extérieur
de Seringues Usagées
(RESU) à Anderlecht
Le
Service
Communal
d’Accompagnement
des
personnes Toxicodépendantes
(S.C.A.T – Anderlecht) annonce
l’installation d’un RESU sur sa
façade côté rue de l'Institut.
Celui-ci
est
totalement
sécurisé, inviolable et accessible
24h/24h. Il est destiné à tout
usager de drogues qui veut
déposer ses seringues mais aussi
aux professionnels qui devraient
se débarrasser de celles trouvées
dans l’espace publique (APS,
Balayeurs de rues, Gardiens de
Parcs, …).
Le S.C.A.T s'adresse à tout
Anderlechtois
majeur
présentant une consommation
problématique de drogues :
alcool, drogues, médicaments,
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Mars - Avril 2010
et
leur
offre
un
accompagnement psycho-social
individuel. Ouvert à tous les
usagers quelle que soit leur
situation sociale, ainsi qu'à leur
entourage.
Les travailleurs
sociaux du S.C.A.T. s'adaptent
aux demandes de chacun. Ils
procèdent à des interventions
très variées qui peuvent aller de
l'écoute active, à des remises en
ordre socio-administratives, en
passant
par
des
accompagnements vers des
structures d'aide ou de soins ou
vers des organismes spécialisés.
Dans un souci de gestion
communale
intégrée
des
questions liées à la toxicomanie,
le SCAT mène des actions de
concertation
et
de
sensibilisation
avec
les
partenaires locaux.
Pour plus d'information
contactez le SCAT rue du
Chapelain, 2-4, 1070
Anderlecht ; tél : 02/526 11 71 ;
mail :
[email protected])
Déclaration commune pour
Une politique de drogues
globale et intégrée
Le 25 janvier 2010 nous avons
appris, par communiqué de
presse, que pour la première fois
dans l’histoire de la Belgique,
les ministres et secrétaires
d'État compétents de toutes les
autorités du royaume ont signé
une déclaration commune au
3
sujet de la politique en matière
de drogues. Un événement qui
devrait permettre, à notre pays,
d’entreprendre une politique
drogue commune fondée sur
quatre piliers : la prévention, la
détection
et
l’intervention
précoce, l’assistance y compris
la réduction des risques, la
répression. Bref une veille
histoire réactualisée au parfum
du jour.
L’annonce est celle d’une
grande première, presque sous
entendu une révolution, dans le
paysage belge des politiques en
matières de drogues. Sur le fond
du discours, rien de neuf
pourtant,
la
déclaration
entérine les principes contenus
dans la note gouvernementale
de 2001 intitulée : « une
politique globale et intégrée en
matière de drogues ». Nous
devons nous en contenter. Il
faut y voir une approche
conjointe de la politique des
drogues en Belgique, suggère le
communiqué
officiel
du
gouvernement.
L’événement
serait donc cette capacité
historique, qu’ont eu les
représentants des différents
gouvernements, à signer un
accord sur une politique globale
en matière de drogues décidée il
y a près de dix ans. Une avancée
à la Pyrrhus.
Concrètement
et
dans
l’immédiat pour 2010, on nous
annonce d’une part la mise en
place de la Cellule Générale de
Politique Drogues et de ses 3
groupes de travail - cellule
Contrôle, cellule Coopération
Internationale
et
Cellule
Politique de Santé (qui était la
seule à fonctionner jusqu’à
présent) et d’autre part le
pilotage de la thématique des
drogues dans le cadre de la
présidence belge de l’Union
européenne. « Wait and see ! »
Sachant que la cellule Générale
doit rendre des comptes de
manière annuelle au parlement,
nous ne manquerons pas d’y
être attentifs.
Cette déclaration ne nous
apprend rien de plus, hormis
qu’elle vise à uniformiser les
pratiques entre le nord et le sud
du pays quant aux moyens à
mettre
en
œuvre
pour
l’exécution de la politique
fédérale drogues. Elle ne fait
évidemment pas référence au
test de qualité des produits (par
exemple)
qui
selon,
les
coordinateurs de la Cellule
Générale de Politique en
matière de drogues, Brice de
Ruyver et Claire Rémy font
l’objet de prises de position
différentes entre les ministres
de la santé de la Communauté
française et de la Communauté
Flamande.
Cet accord nous confirme qu’il
est délicat, en Belgique, d’avoir
un débat sur une politique de
drogues globale et intégrée au
vue
des
impasses
du
prohibitionnisme au premier
rang desquelles figure déjà la
ligne de démarcation entre ce
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Mars – Avril 2010
qui est licite et ce qui reste
illicite. Bref c’est une montagne
qui a accouché d’une souris :
une espèce de gros mammouth
au ventre mou à force de
consensus creux sur base d’un
fondement que nous savons
scabreux. Rien de neuf sous le
soleil belge : un vrai statut quo
des politiques en la matière.
ne
plus
appréhender
le
consommateur de drogue(s)
comme un délinquant mais
comme une personne ayant,
éventuellement, un problème
de santé ou une difficulté. Seule
la mise en application concrète
de ce nouveau paradigme
donnera de la cohérence aux
politiques futures. (…)
La Liaison Antiprohibitionniste
Communiqué complet sur le site
d’Infordrogues :
http://www.infordrogues.be/index.ph
p?option=com_content&view=article
&id=195&Itemid=126
Le communiqué d’INFORDROGUES
sur
la
« Déclaration de politique
globale et intégrée en
matière
de
drogues »
souligne toutefois que… Le
texte précise que « drogues »
signifie
non
seulement
substances illicites mais aussi
alcool, tabac et médicaments
psychoactifs.
Lancement d’un nouveau
site d’infos sur la « santé
sexuelle gay »
Le secteur de la prévention ne
peut que se réjouir de voir enfin
appliquer ce qu’il demande
depuis tant et tant d’années.
À
savoir,
une
politique
cohérente et globale qui prend
en compte tous les produits
psychoactifs, surtout les plus
consommés et les plus légaux.
Rappelons-nous
que
l’interdiction de certains d’entre
eux ne repose sur aucun critère
scientifique. (…)
Les acteurs de terrain savent
que la politique en matière de
drogues
est
délicate
et
complexe. Ils entendent avec
intérêt la volonté politique de
4
Le site www.gay-sex-prev.fr est
un portail d'information relatif
à la santé sexuelle à destination
des gays.
La multiplication des discours
de
santé
sexuelle
communautaire et du VIH/IST
sur Internet a renforcé une
certaine confusion chez les
HSH/gays et la mise en place de
protections
imaginaires
et
symboliques, voire de croyances
erronées.
Le but du site est de fournir aux
gays une information minimale
fiable, simple, accessible et
validée, organisée autour de
grandes thématiques :
- Pathologies : IST, VIH,
hépatites
- Dépistage/Traitement postexposition (TPE)
- Pratiques sexuelles
Trekt Uw Plant, NON
COUPABLE d’incitation à la
consommation de drogues
Ce jeudi 25 février 2010, la
Cour d’Appel d’Anvers a
acquitté les membres de
l’association Trekt Uw Plant
condamnés, en février 2009 par
le tribunal correctionnel, pour
incitation à la consommation de
drogues.
En
mai
2008,
deux
représentants de l’asbl Trekt
Uw Plant (TUP) avaient été
arrêtés à l’occasion d’une
manifestation publique durant
laquelle les membres de
l’association étaient invités à
planter une graine de cannabis
dans un pot de terre. Cette
action
symbolique
devait
signifier le début de la culture
d’une
plante
femelle
de
cannabis en vue de la
consommation personnelle telle
que tolérée par la directive
ministérielle de janvier 2005.
L’initiative avait été avortée
suite
à
l’arrestation
des
représentants
légaux
de
l’association.
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Mars - Avril 2010
Poursuivis pour incitation à la
consommation de drogues, par
le
tribunal
correctionnel
d’Anvers, les dirigeants de
l’association
avaient
été
condamnés. Ce jeudi la Cour
d’Appel d’Anvers a jugé que
l’objet de la manifestation
publique de mai 2008 ne
constituait pas une incitation à
la consommation. La Cour a
accepté les arguments de la
défense selon lesquels en
favorisant la production légale
de cannabis en vue de la
consommation personnelle ont
pouvait diminuer les risques
pour la santé et les nuisances
liées à l’approvisionnement sur
le marché noir.
C’est la deuxième fois que TUP
est acquitté pour des faits
similaires. Ces décisions de
justice encouragent l’association
à continuer dans la voie de la
promotion de la culture, en club
privé, de cannabis en vue de
l’usage personnel.
Attention anthrax !
24 cas d’infection par l’anthrax ont
été rapportés en Ecosse et en
Allemagne chez des usagers
injecteurs
depuis
décembre
dernier.
Infos sur le site ci-dessous :
5
http://www.ecdc.europa.eu/en/pre
ss/news/Lists/News
Cannabis
La marijuana de plus en
plus prisée chez les seniors
aux Etats-Unis
Quality Nights, label de
bien-être en milieu festif,
grandit et fait des petits !
En octobre et novembre 2009, 3
mégadancings de la région de
Tournai (Bliss, Cap’tain et
l’H2O) ont été labélisés.
3 nouveaux lieux ont également
rejoint le label à Bruxelles
(PikNik Elektronik, le Dali’s Bar
et les soirées Zukunft). Durant
l’année 2010, Quality Nights
s’étendra à la région de
Charleroi et à la Province du
Luxembourg.
Plus d’infos sur
www.qualitynights.be »
A 88 ans, Florence Siegel a
appris à se détendre: un verre
de vin, un exemplaire du “New
York Times” quand elle peut
l’emprunter à son époux et de la
musique classique, du Bach de
préférence. Chaque soir aussi,
l’octogénaire fume de la
marijuana.
La consommation de la drogue
illicite la plus populaire aux
Etats-Unis progresse chez les
retraités,
à
l’heure
du
vieillissement des enfants du
baby-boom.
Le nombre des personnes âgées
de 50 ans et plus qui auraient
consommé de la marijuana au
cours des 12 derniers mois est
passé d’1,9% en 2002 à 2,9% en
2008, selon des études de
l’Administration
américaine
chargée de la santé mentale et
des abus de substances.
L’augmentation
la
plus
spectaculaire a été observée
chez les 55-59 ans. Dans cette
classe
d’âge,
l’usage
de
marijuana a plus que triplé,
grimpant de 1,6% en 2002 à
5,1% en 2008.
Les observateurs s’attendent à
de nouvelles hausses avec le
vieillissement des 78 millions
des enfants du baby-boom nés
entre 1945 et 1964. Pour
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Mars – Avril 2010
nombre d’entre eux, la drogue
n’a jamais porté les stigmates
qu’elle présentait pour les
générations précédentes.
Ils s’y sont essayé voilà plusieurs
décennies.
Certains
ont
continué à en consommer
depuis, tandis que d’autres
renouent avec la marijuana à
l’âge de la retraite, à titre
récréatif ou comme moyen de
surmonter les maux et les
douleurs liés à l’âge (…).
Cette ouverture fait suite à
l’adoption en 2008 d’un projet
de loi au parlement autorisant la
distribution médicalisée de
l’héroïne.
Le
programme
concerne quelque trois cents
toxicomanes (environ 1% des
drogués du pays) incapables de
se satisfaire de la thérapie de
sevrage à la méthadone.
RENCONTRES : Les
apéroréseaux 2010
Héroïne
Le Danemark a ouvert lundi à
Copenhague
sa
première
clinique de distribution gratuite
d’héroïne sous surveillance
médicale, après des années de
débats, pour aider un noyau dur
de toxicomanes très fortement
dépendants.
Le royaume scandinave rejoint
ainsi l’Allemagne, la Suisse, les
Pays-Bas et la Grande-Bretagne
qui ont avalisé la prescription
médicalisée d’héroïne à un
nombre restreint de personnes
restées accrochées à cette
substance en dépit de thérapies
de substitution.
6
L’Alcool,… Toi, moi, nous ! A
Mouscron le 23 mars
Infos par tél. : 056/860.255.
Formations
Suite
sur
http://premiereligne.ch/blog/2010/02/
24/la-marijuana-de-plus-en-plusprisee-chez-les-seniors-aux-etats-unis/
Le Danemark ouvre sa
première
clinique
de
distribution
gratuite
d’héroïne.
Colloque
Programme
Le Pélican : accompagnement
psychosocial et groupes de
parole pour usagers de
drogues, alcool, jeux et pour
leur entourage. Le 25 mars
2010 de 17h30 à 19h.
Contact : [email protected]
Le Lama : centre de soins
ambulatoires pour usagers de
drogues. Le 29 avril 2010 de
17h30 à 19h. Contact :
[email protected]
"Cannabis et Travail"
Afin d'aborder l'impact et les
répercussions de la
consommation de cannabis en
milieu professionnel et afin de
répondre aux questions
fréquemment posées par
les entreprises, Santé &
Entreprise a le plaisir de vous
convier à leur nouvelle
formation "Cannabis et travail".
Dates : le lundi 22 mars ou le
mardi 20 avril 2010
de 9h00 à 17h00
Lieu : dans les locaux de Santé
& Entreprise
Renseignements :
Formatrice
Catherine Cappendijk
Sante et Entreprise
rue Mercelis 27 - 1050 Bruxelles
Tél et Fax 02 215 61 45
[email protected]
Le R.A.T. : réseau d’aide aux
toxicomanes. Le 10 juin 2010
de 17h30 à 19h. Contact :
[email protected]
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Mars - Avril 2010
« Genre et promotion de la
santé »
Renforcer l'approche genrée
dans la promotion de la santé :
formation proposée par Frisse
(Femmes Réduction des rISques
et SExualité)
Les femmes et les hommes ont
une expérience différente des
dispositifs de santé et ceux-ci ne
traitent pas les unes et les autres
de la même manière.
Conférences
Publications
« Patients en première
ligne »
Rapport 2009 de
l'Observatoire SocioEpidémiologique AlcoolDrogues en Communauté
française (Eurotox)
Un film qui donne la parole aux
patients et aux professionnels de
la Maison Médicale Norman
Béthune,
et
qui
permet
d'interroger
les
pratiques
actuelles en matière de santé
communautaire.
À l'initiative de Frisse, ces
journées de formation ont un
triple objectif:



présenter
les
cadres
théoriques qui éclairent les
inégalités de santé fondées
sur le genre ;
questionner la dimension
genrée de la promotion de
la
santé
au
moyen
d'animations pédagogiques
adaptées ;
identifier et mobiliser un
groupe d'experts en vue
d'une
conférence
de
consensus
et
de
l'élaboration
de
recommandations
spécifiques.
Session : 29-30 septembre et 1er
octobre 2010
Lieu : dans les locaux de la
DRASS d'Île-de-France
(DRASSIF),
58-62, rue de Mouzaïa - 75019
Paris
Infos : [email protected]
7
Date : Le mercredi 28 avril,
Ce rapport, cinquième rapport
socio-épidémiologique produit
par Eurotox sur l'usage de
drogues (légales et illégales) en
Communauté
française, vous
propose essentiellement quatre
parties :

Un premier chapitre sur
le
cadre
légal
et
organisationnel et les
débats qu'il soulève

Un second chapitre sur
la
situation
épidémiologique et les
tendances
qui
s'en
dégagent

Un troisième chapitre
qui présente des données
indicatives sur l'usage de
drogues
dans
des
groupes/lieux spécifiques
(milieu
festif,
rue,
prison,
dispositif
d'échanges de seringues)

Un quatrième chapitre
réalise un "focus" sur un
sujet particulier: cette
année, c'est le dopage
qui est regardé à la loupe
(le premier focus "alcool"
du rapport 2004, est
toujours disponible)
à 15h
Lieu : à la Maison des Cultures
Rue Mommaerts 4, 1080
Bruxelles
A la Maison Médicale Norman
Béthune, patients et
professionnels témoignent de
la réalité de ce lieu de soins de
santé primaires qui dépasse le
simple champ du curatif.
Un film de Xavier Dubois &
Rachid Merabet. Durée:
32min.
Plus d'info :
http://lecpc.be/normanbethune
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Mars – Avril 2010
www.eurotox.org
8
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Documents pareils