Galatasaray Üniversitesi Istanbul Türkiye

Transcription

Galatasaray Üniversitesi Istanbul Türkiye
Galatasaray Üniversitesi
Istanbul
Türkiye
Galatasaray Üniversitesi est une université prestigieuse au cœur d’Istanbul, à cheval entre l’Europe et
l’Asie, entre le monde dit occidental d’une part et le Moyen-Orient de l’autre. Lors de votre séjour en
Turquie, vous pourrez vivre dans une société riche d’un passé resplendissant (l’Empire ottoman fut
maître du monde arabe durant six siècles de 1299 à 1923 !), profondément moderne et multiple. Vous
pourrez également entamer l’étude du turc, langue appartenant aux groupe altaïque.
Lien de l’université : http://www.gsu.edu.tr/fr/
L’université se situe sur le Bosphore, rive européenne, à mi-chemin entre les quartiers de Besiktas et
d’Örtaköy, sur un gros et long boulevard (Çirağan Caddessi) où se trouvent d’autres universités,
lycées militaires, palaces et hôtels luxueux. Les seuls accès se font donc par Besiktas, ou Örtaköy,
d’un bout à l’autre de l’avenue, car ce passage est surplombé par un grand parc (Yildiz, le parc des
stars).
https://www.google.fr/maps/@41.0459897,29.0177111,17z
Les quartiers À vivre
Beşiktaş
Situé au sud de l’avenue, il s’agit d’un quartier qui fait le lien entre plusieurs autres : Kabataş (sur la
rive, plus au sud, avec une station de ferry qui amène de l’autre côté et le funiculaire d’une station qui
emmène à Taksim (pour éviter de monter la colline) et Cihangir (plus en hauteur quartier chic / bobo /
jolis toits-terrasses) coté Taksim/Beyoğlu. Au Nord, Levent, quartier d’affaires sur la prolongation du
boulevard Barbaros (le plus important axe routier, toujours bouché dans les deux sens en journée, car
mène au 1e pont et donc à la rive asiatique) / Şişli, quartier d’affaires et résidentiel, plus à l’Est dans
les terres.
Le centre piéton est super : bars en tous genres, restaurants à kavhalti (petit-déjeuner turc),
bouibouis, magasins, bref, très vivant.
Point pratique : la station ferry située sur le Belediyesi : aller-retour jusqu’à 21h direction l’Asie
(Üsküdar ou Kadiköy), les dolmus (taxi collectifs) qui font la navette entre Beşiktaş et Taksim pour
2,25tl jusqu’à 4/5h du matin. Bus, tram…
Loyer : entre 750 et 1100 tl (suivant le taux de change de 250 à 380,00 €).
Örtaköy
Du nord de Çirağan, jusqu’au pont de Bosphore, quartier magnifique, avec sa mosquée carte-postale,
ses restaurants, ses commerces (Dereboyu Caddessi), ses bars. Quartier un peu plus cher que
Beşiktaş car plus prisé, mais très pratique : en 10/15mn à pied vous serez à la fac.
Üsküdar
Quartier beaucoup plus conservateur, plus typique aussi : énorme quartier situé juste en face de la
fac, de l’autre coté de la rive, qui s’arrête environ à la tour de Léandre, et qui se poursuit au sud par
Kadiköy. Possible d’habiter la bas, avec le ferry de 15mn, mais quartier moins vivant.
Kadiköy
L’Eldorado des jeunes anar, punk, motards, artistes, étudiants… Bref, de ceux qui ne peuvent plus se
payer un loyer sur Cihangir du fait de l’embourgeoisement dudit quartier. Très joli, avec sa longue
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plage (Moda beach) qui fait face aux îles aux princes, et aux Mosquées de Sultan Ahmet.
Les loyers sont plus modérés (500/800tl enfin, pas ceux sur la plage !). Le quartier est très vivant, des
dizaines de bars s’y trouvent. Le trajet se fait en 20mn par ferry le jour, ou la nuit par dolmus (qui roule
à 130km/h sur le pont et dépose en 25mn à Taksim pour 6tl).
Taksim/Beyoglu
L’épicentre. Mais très divers, avec en son sein un quartier en voie de disparition : Tarlabasi, au nord
du blvd Tarlabasi, à quelques minutes de la place Taksim, fief du PKK dans le centre ville,
majoritairement kurde, très populaire, mal famé pour certains, excitant pour d’autres. Les loyers y sont
très bas et les logements insalubres (mais c'est folklorique). Tensions assez visibles entre police,
dealers et activistes. Attention aux manifestations également. Le reste de Beyoğlu est composé de
bars, boutiques, musées, clubs. Sympa à vivre, mais il faudra composer avec les bouchons, la foule,
et les charges de la police comme presque partout à Istanbul).
LE VISA
Il est à faire en Turquie. Nom de mission : Ikamet (de l’arabe ʾiqāma-résidence). Difficulté : maximale
(plus pénible que difficile, faites vous aider par un Turc et/ou par le bureau Erasmus de GSÜ.
Contact : Sevgi Baraz). Avec votre tampon sur le passeport comme pièce maitresse…
De fait vous allez devoir saisir sur un site vos informations pour obtenir un rdv dans un délai de 1 à 2
mois. Pas besoin de payer d’assurance sur place si la vôtre est internationale. Vous devrez vous
acquitter d’une somme de 350tl (120,00 €) dans un bureau d’impôt situé à Taksim, puis faire la
navette avec un autre office pour finaliser le paiement, et enfin rdv en commissariat (situé sur
Çirağan). Là, il faut attendre pour recevoir le précieux sésame (tout beau, tout rouge). Faites le
sérieusement, car au delà de 3 mois on est illégal sur le territoire (et interdit 5 ans), et l’administration
turque n’est pas la plus réceptive au monde… Mais dès lors que les démarches sont lancées, peu de
souci à se faire.
Pratique
Téléphonie : Prévoyez l’achat d’un téléphone de base sur place (entre 50 et 150tl), ou le paiement
d’une taxe pour enregistrer votre smartphone français, à faire dans le mois qui suit votre arrivée
(sinon blocage), dans un tax office (120tl de taxe +50tl chez le fournisseur de votre choix Avea,
Turkcell, Vodafone). Pas de forfait, vous achetez des packs selon vos besoins chaque mois.
Pour Sortir : jusqu’à 2h, la quasi totalité des quartiers cités ci-dessus offrent des bars où la bière est
peu chère (3/4 d’€ la pinte) contrairement au reste de la carte (taxe sur les alcools forts et importés).
Sinon, Taksim grouille de clubs en tous genre : electro-techno-Trance... (Machine Club, Cosmique
Room, Koma, Cue, Indigo, Wake up Call, Travma, Pixie, Monx, Kolster, Club Temple…), jazzalternatif (un peu partout, mais essayez le Leyla Terass), Rock (un peu partout), Reggae (Nayah). Le
Suma Beach, concept au bord de l’eau toute la journée plus soirée (à Bebek).
À voir : faire une müzekart pour 50tl max qui donne un accès à la plupart des sites. Le guide du
routard est pratique pour ce qui est musées, mosquées, lieux atypiques.
Pour la carte de bus (ögrenci büs karti), s’adresser au bureau Erasmus qui fournit un certificat à
montrer dans un bureau de vente (il en existe un peu partout, mais le plus simple reste celui face au
ferrys à Besiktas). Vous devez la recharger dans ces points pour n’importe quel montant.
Bon voyage !
Pour plus de questions : [email protected]
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