Même si on était dans une période de paix les chevaliers s
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Même si on était dans une période de paix les chevaliers s
Emile demanda grâce. Le public applaudit Gorain qui partit chez lui pour se reposer. Quand il se réveilla, il alla manger. Après, il sortit dans la rue et ne vit ni fenêtre ouverte ni porte ouverte. Les rues étaient vides, pas un seul animal ne rôdait. Il courut à la cour du roi pour comprendre ce qui perturba le peuple. Quand il arriva à la cour du roi et il le vit bouleversé. Arthur, le roi, lui expliqua qu’un messager qui venait du château voisin lui avait apporté une mauvaise nouvelle. Les Anglais attaquaient le royaume franc ! Cela expliquait pourquoi tout le monde était bouleversé. Le roi lui-même en était presque malade. Gorain galopa dans la plaine sur son cheval noir pour réfléchir. Il avait une habitude de toujours réfléchir sur son cheval dans un endroit calme. On pensait qu’il demandait l’avis de son cheval. Gorain passait beaucoup de temps à penser. Surtout dans des cas comme celui-ci. Il prit sa décision. Il était près à s’engager dans l’armée de son roi ! Les Anglais en avaient assez fait comme ça. Il repartit dans son village où il alla annoncer sa décision au roi. Le roi, lui, était content et fier d’avoir un chevalier comme celui-ci, voulant s’engager dans son armé pour combattre les Anglais. Gorain Même si on était dans une période de paix les chevaliers n’avait jamais combattu en bataille. Il avait déjà participé à s’entraînaient. Dans un village qui se trouvait vers le nord de quelques tournois, il avait déjà vécu des aventures la France des chevaliers. Le Chevalier Gorain était jeune, âgé dangereuses. Donc il n’avait pas peur de s’engager. Le roi d’à peu près 19 ans. Un des plus robustes chevaliers, Gorain était content, donc il lui donna un rôle important. savait manier au mieux son arme. Il avait reçu la meilleure Il lui avait confié une mission particulière : de tuer éducation militaire. Dans quelques instants notre chevalier le général anglais. Gorain devait à tout prix le tuer avant un entrerait dans le terrain du tournoi. Gorain monta sur son mois. Car après un mois, des renforts pouvaient arriver cheval noir, un cheval qui était son complice. Un écuyer lui aidant les ennemis. Donc il fallait à tout prix gagner la guerre avait donné son armure, son heaume. Gorain plaçait son rapidement. Le roi expliqua à Gorain sa mission plus heaume toujours avec une main. Il prit sa lance, Gorain avait précisément dans une salle du château. Gorain ,dès le une lance plutôt courte mais très solide. Gorain avançait lendemain, commença à préparer ces affaires pour la guerre. doucement vers le terrain du tournoi. Il s’inclinait vers les Il nourrit plusieurs fois son cheval pour lui donner des forces. demoiselles dans les gradins couverts. Il salua le seigneur Il aiguisa son épée avec beaucoup de précautions, il nettoya puis redressa sa lance vers son adversaire. Les deux son écu et le renforçant en mettant du nouveau bois autour de chevaliers chargeaient l’un sur l’autre. Au moment de la son écu. Il répara son armure. Puis il alla s’entraîner à la rencontre Gorain se baissa, on aurait pu dire que sa tête quintaine. Une quintaine très bien faite était une machine que touchait le cou de son cheval. La lance de son adversaire frôla seul les bons cavaliers réussissaient à franchir sans se faire le heaume de notre chevalier. À un moment très précis quand pousser par-dessus leur cheval. Lui, Gorain n’avait jamais les deux chevaliers étaient côte à côte, notre chevalier réagit tenté de la franchir, mais il leva sa lance et chargea sur la intelligemment. À ce moment, de sa main droite dont il tenait machine. Il frappa à toute vitesse la machine qui pivota son écu, il poussa de toutes ses forces son adversaire. Le dangereusement mais il évita le poids astucieusement. Puis il chevalier ennemi fut projeté par-dessus son cheval. Jamais on partit pour accomplir sa mission. Il partit au galop. Gorain n’avait vu une action pareille, il vola dans les airs pour un arriva au bout d’une journée auprès d’une petite auberge qui instant. Il vola de deux ou trois mètres, en perdant des parties lui avait l’air bien sympathique. Il passa la nuit dans cette de son armure. En retombant méchamment dans un nuage de auberge, et, au dîner, il demanda au propriétaire où il pourrait poussière, il se blessa. Les spectateurs applaudirent Gorain trouver le général anglais. Le propriétaire qui était gentil qui descendit de son cheval en tirant son épée de son fourreau. montra à Gorain où se trouvait le camp des anglais. Pour se L’adversaire, lui, resta un moment par terre à cause de sa trouver à ce camp, il fallait traverser une forêt dangereuse et chute. Il avait perdu la moitié de son armure et beaucoup plus surmonter une montagne que peu avaient réussi à franchir. que la moitié de ses forces. Dès que Gorain avançait ver lui, il Gorain dès le matin, paya le propriétaire puis s’en alla. Il Emile arriva à la forêt que l’on disait hantée. Il prit son épée en Celui-ci le prit, l’enfila rapidement et partit. Il trouva une main et avança. Tout à coup, il entendit un grognement vieille chapelle dont il fit un refuge. Il dormit une nuit. Tôt le d’arrière lui, il se retourna puis il se fit pousser hors de son matin il partit vers la montagne. Comme il avait confiance en cheval. Il prit un poignard et l’enfonça dans son agresseur. ce collier qui devrait lui porter bonne chance, il ne se soucia Gorain se releva puis comprit qu’il s’était fait attaquer par un d’aucun danger. Quand il passa dans des endroits dangereux loup sauvage. Heureusement Gorain n’avait rien. Il remonta mais il n’eut pas peur. Il arriva rapidement en haut de la sur son cheval qui ne s’était aperçu de rien. Il avança dans la montagne, car les personnes qui montaient cette montagne forêt prudemment puis, par grand étonnement, il y entendit un faisaient très attention. Gorain redescendit encore plus bruit plus au moins humain. Gorain se retourna brusquement rapidement. Son cheval descendit à une vitesse où il ne tenait en sortant son épée. Il vit un petit homme tout maigre, d’une presque plus la route. Les cailloux roulaient, les sabots du laideur si épouvantable que l’on se demandait si cette créature cheval dérapaient. Gorain vit le camp de tentes installées. Il était un homme. Il approcha d’une manière très étrange, qui freina son cheval rapidement. Il attacha son cheval et pouvait se comparer à celle d’un singe. Il regarda Gorain puis commença à faire ses affaires pour tuer ce général. Il sortit un lui dit : arc d’une précision extraordinaire. Pour accomplir sa mission _ « Toi là, le chevalier qui ose s’aventurer dans cette forêt. il pensa qu’il devrait mieux avoir un arc car c’est une arme de Ecoute-moi bien car cela pourrait t’aider si tu trouves un distance et elle est silencieuse. Puis il prit un grand poignard, lézard géant n’hésite pas à le tuer car si tu le tues, son corps il enleva son armure pour être plus rapide, léger, discret et brûlera puis un collier apparaîtra. Tu devras le prendre, car ce silencieux. Dès que le soir arriva, Gorain s’arma puis partit collier porte très bonne chance, et je pense que tu tomberas en direction du camp ennemi. Il visa et décrocha une flèche dans des situations dangereuses. » dans le cou du garde de la porte. L’homme mourut Gorain regarda la créature puis lui dit merci et silencieusement. Gorain courut vers le corps pour le cacher s’en alla. Il reprit son chemin et comprit pourquoi peu de dans les buissons les plus proches. Il entra dans le camp la personne avaient réussi à traverser cette forêt. Il entendit des tête baissée, et à une vitesse rapide. Il repéra rapidement la bruits très forts, très sauvages. Il vit le fameux lézard. Le tente du général, la plus belle et la plus grande. Il s’allongea lézard mesurait 10 mètres de long. Il paraissait plus lourd sur le sol à l endroit le plus près de la tente et à l endroit le que 50 hommes. Il observait avec des yeux composés de deux moins éclairé. Il tua le garde du général en un coup de flèche, rubis. Une peau caillouteuse le couvrait, il marchait avec une un garde qui tournait autour de sa tente. Gorain posa son arc mâchoire conçue de mille dents, tranchantes comme Excalibur. et courut vers la tente. Il se mit debout et attendit que les Des griffes composées de poignards ornaient ses pattes. lumières s’éloignent. A ce moment-là, il entra, il fit un bond Quand il respirait, on se serait cru au milieu d’une tempête. sur le général en lui plantant son poignard dans la tête. Il Il balançait sa queue comme un bélier qui défonçait tout. Il sortit de la tente discrètement en courant. Il reprit son arc au arrachait tout ce qui était sur son passage, il déracinait les passage, il attrapa une torche qui était plantée dans le sol. arbres les plus gros comme de l’herbe. Il se nourrissait Avec la torche, il mit feu à deux tentes, puis il courut en d’humain, de vache, et de cheval. Gorain baissa son casque et allumant le plus de tentes possible. Il courut rejoindre son sortit son épée et chargea vers le monstre. Le monstre projeta cheval qui l’attendait. Depuis son cheval, il pouvait voir le sa gueule vers notre chevalier. Gorain se baissa et donna des camp brûler. Sa mission était faite : il avait tué le général coups sur la peau de la bête. Gorain comprit que cela ne mais en plus il avait mis le feu au camp. Il galopa rapidement servirait pas à grand chose, donc il chercha un moyen pour tuer en haut de la montagne pour retrouver la chapelle qui l’avait cette bête rapidement. Il prit des cailloux puis il les jeta de hébergé pour une nuit. Il dormit dans cette chapelle. Le toutes ses forces sur le monstre. Le monstre poussa un lendemain, il partit à travers la forêt pour rejoindre le château hurlement. Donc Gorain recommença. Il vit un gros rocher du roi. qui se situer au-dessus de la tête du monstre. Il courut vers la Dans la forêt Gorain revit la petite créature qui bête pour lui enfoncer l’épée dans le ventre du reptile, il laissa l’avait aidé. Il la remercia et continua son chemin. Quand il l’épée enfoncée. Il courut sur la petite bosse où se trouvait le vit le château le cheval galopa rapidement. Quand il était rocher, il poussa de toutes ses forces le rocher qui finit par devant la porte on l’ouvrit avec joie pour le revoir . Quand tomber. Le lézard recevra le rocher sur la tête et mourut Gorain rentra, il vit tout le monde qui l’attendait. Le roi instantanément, puis il commença à prendre feu. Gorain se courut et le remercia. Pour célébrer sa victoire on fit un grand reposa pendant que sa victime brûlait. A la fin, une lumière buffet. apparut rapidement et un collier retomba aux pieds de Gorain.