Point Commun n°19

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À 36 ans Clarisse Wagelmans, mère d’un petit
bonhomme de 5 ans et d’une petite princesse
de 2 ans et 4 mois, court et court toujours…..
Mais après quoi où qui ?
C’est ce que nous allons essayer de découvrir !
Je me mets à sa poursuite…
Clarisse est arrivée à ISoSL en 2008 après
y avoir effectué son stage de fin d’étude
d’éducatrice.
Elle travaille en habitations protégées site
Agora.
Avec une équipe de 8 personnes, elle s’occupe
de jeunes qui sont dans l’impossibilité de se
gérer seuls dans leur vie quotidienne.
Faire les courses, le ménage, aider dans la
recherche de travail, de réseaux sociaux...
Le travail avec ces patients commence à
l’hôpital; ensuite dans une des cinq
habitations protégées qui permettent à 31 jeunes de trouver une équipe pour les
aider dans leurs apprentissages de la vie.
Sa journée terminée, elle rentre épuisée chez elle me direz-vous ! Et bien non !
Clarisse continue de courir, non pas après le temps mais bien après le chrono !
Au départ cette jeune femme n’était pas du tout destinée à faire de la course à
pied mais par amour et avec le soutien de son compagnon qui est lui-même un
marathonien averti, Clarisse s’est mise à la course à pied et est devenue une vraie
mordue !
C’est à l’âge de 28 ans qu’elle a commencé à courir, sur de
petites distances.
Elle s’inscrit dans un groupe de remise en condition
physique: le «RCAE » au Sart-Tilman.
Après un an de préparation, elle fait son premier jogging,
celui des pompiers de Liège.
Puis elle s’inscrit au « Club RFCL Liège » avec lequel elle
fait de nombreux joggings de 10km et où elle voit ses
performances s’améliorer de semaine en semaine.
Ensuite vient la compétition sur piste et le cross.
Enfin la récompense ultime: Clarisse effectue ses
premiers marathons et elle devient fin mars championne de
Belgique de marathon dans sa catégorie et ce en 3h04 !
Pas mal pour une débutante quand on sait qu’un marathon
fait 42km et 195mètres.
Comme elle le dit très modestement, «Je débute dans
cette discipline ! »
Dans un futur proche Clarisse envisage de faire le marathon de Cologne où de
Eindhoven avec l’objectif de le courir en 3h00 !
« Pas plus de deux marathons l’année » dit-elle. En effet pour chaque compétition,
il y a 3 mois de préparation; ce qui n’est pas rien quand on travaille et qu’on a une
petite famille !
Elle sera également en compétition pour les 1000 mètres sur piste au Championnat
de Belgique à la Louvière et au semi marathon en Champagne avec I SOnS cooL, le
club de jogging d’ISoSL le 26 mai.
Plus tard quand ses petits bouts seront grands, Clarisse
aimerait faire des marathons à travers le monde; mais pour cette
jeune maman éducatrice qui a les pieds bien sur terre, ce
n’est pas encore le moment…
Je suis sûre que nous reparlerons de Clarisse et de ses
performances car c’est quelqu’un de déterminé qui j’en suis
persuadée, ira au bout de ses rêves.
Et qui sait ! Peut-être pour battre le record féminin détenu
depuis 2003 par une anglaise, Paula Radcliffe qui a effectué
son marathon en 2h 15m 25s !
C’est tout ce qu’on peut te souhaiter en tout cas.
En attendant bonne course à toi, nous serons là pour te
soutenir dans cette formidable aventure, car un kilomètre à
pied ça use, ça use…..Mais 42 km 195 à pied…
Cela mérite le respect.
Joëlle Wauthier
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1
Point commun
Point commun
Réflexions
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journees internationales francophones
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de la schizophrenie
Ces journées rassemblent des associations francophones, de
différentes nationalités, de patients atteints de schizophrénie ainsi
que leurs proches.
Cette année, la Belgique était représentée par l’asbl Réflexions.
Celle-ci a proposé du 20 au 25 mars une série d’activités
d’information, de partage d’expériences et de rencontres destinées
aux patients, à leurs proches aidants, aux professionnels de la
santé ainsi qu’au grand public.
M.V.
Mardi 20 mars:
Jeux inter-institutions
12 équipes de 5 personnes accompagnées d’un
intervenant se sont opposées lors d’une compétition
amicale basée sur les jeux d’adresse, de rapidité, de
réflexion et de connaissances générales.
Les groupes de participants se réunissaient devant la statue de
Tchanchès avant les épreuves en ville
Très belle participation puisque parmi les équipes, une
représentait l’asbl Réflexions, une autre le club André
Baillon, deux le centre psychiatrique de Lierneux et le
reste venait des services du secteur A d’ISoSL.
La dynamique fut extraordinaire même si à certains
moments ce fut difficile de caser plus de 70 personnes
dans les locaux de la rue Pont Saint Nicolas.
Le road book et les questions du rallye citadin
2
Point commun
La salle au 1er étage de Réflexions était un peu étroite
pour autant de monde
Jeudi 22 mars
Symposium scientifique des Journées Internationales
de la schizophrénie
Une septantaine de personnes étaient présentes rue
des Prémontrés pour explorer les diverses visées de la
schizophrénie.
Le public très varié -patients, familles et professionnels d’institutions diverses- a pu suivre des exposés en
matinée puis s’impliquer dans un débat autour de la
maladie et de la réinsertion sociale.
Le Dr Mourad en début d’exposé lors du symposium
Mercredi 21 mars:
Psycho-éducation libre
«Le Dernier cercle»
Représentation théâtrale par la troupe du Théâtre de
l’Arcane avec des patients de l’hôpital psychiatrique de
Valvert (France)
La table ronde a réuni une quarantaine de
personnes.
Etudiants, familles, patients d’ici ou d’ailleurs sont
venus échanger leurs points de vue sur la
schizophrénie.
Les questions et les réponses fusant dans tous les sens
ont permis de créer des liens entre les différents points
de vue.
Clinique hospitalière, clinique ambulatoire, quels
enjeux philosophiques ?
Belle réussite sur le fond du débat avec les
Dr. Kempenere, Krins et M. Jeanmart de l’asbl PhiloCité.
Les intervenants (cliniciens et philosophes) ont
envisagé les enjeux philosophiques que mobilisent les
pratiques cliniques.
Petit bémol: à peine une vingtaine de participants.
Un débat un peu trop intime...
Vendredi 23 mars
Conférence - débats - ateliers
«Du bon usage de la folie»
Journée de débat dans la cadre du projet
européen de théâtre-action «Terra Incognita Europe» en
collaboration avec «Les Acteurs de l’Ombre».
Samedi 24 mars
«Noah»
La troupe de «Locos po el Teatro» a présenté sa
nouvelle création. Cette troupe a la particularité d’être
composée pour moitié de personnes souffrant de
psychose.
Au départ d’expériences personnelles de membres
de la troupe, la «folie» et tous les stéréotypes sont
décryptés et mis en lumière.
Dimanche 25 mars
«Les Démasqués»
«Les Acteurs de l’ombre» ont présenté leur
dernière création (interprétée par des usagers d’hôpitaux
psychiatriques et de Centres de Santé mentale) sur la
force de l’art et de la culture en milieu de soins.
3
Point commun
À Herstal
un fameux carnaval au doux sejour
Tout
est
parti
d’un
délire
entre
collègues
(toutes
compétences confondues) durant la pause: l’idée fut lancée de créer un
spectacle dans le but de divertir sans prétention MAIS avec humour nos
résidents !
Les compétences et le dynamisme de nos joyeux membres du
personnel furent rapidement sollicités, exploités et encadrés afin que le bazar
du début devienne un magnifique spectacle !
Des talents cachés de comédien, de chanteur, de danseur et de joyeux luron
furent mis en lumière lors de cette après-midi festive .
Deux vamps sarcastiques accueillirent pour une soirée télé nos spectateurs
d’un jour avec en invités vedettes : Yannick, Cloclo et ses Claudettes, Dalida,
Les Taloches , Isabelle Boulay, Shym, Annie Cordy, Los Del Rios (avec la macarena
dansée par quelques résidents ! ) ainsi qu’une danse espagno-orientale , le tout
finalisé par un « tourner de serviettes multicolores » digne d’un feu d’artifice !!!
Un formidable moment où musique et éclats de rire ont mis
l’ambiance dans la salle à manger !
Lors des jours qui suivirent, les souvenirs embellirent les sourires de nos
résidents !
Et le 30 mars, nous avons pu revoir ce merveilleux spectacle sur grand écran !
LES VAMPS & Co
4
Point commun
Pèrî
quand la tv debarque...
Vent de panique sur le Pèrî ce 1er mars.
En matinée, un coup de fil de RTL-TVI: «Nous avons
entendu parler de votre «projet lumière modulée», une
équipe se rend chez vous ce matin pour faire un reportage
qui passera aux infos de 13 heures...»
Vite, vite, le temps de prévenir le service et de
contacter les différents spécialistes pour qu’ils puissent
répondre aux questions et une journaliste accompagnée
d’un cameraman débarquaient vers 10h30.
Quelques prises de vue, des mises en situation, des
interviews et l’affaire était en boîte.
11h40, retour vers le studio de montage...
«Ça va être trop juste...»
«Ils n’auront pas le temps...»
Mais non !
JT de 13 heures, au milieu des infos, un reportage bien
ficelé, simple, clair avec le passage devant la camera de
deux de nos stars...
Et cerise sur le gâteau: le reportage a été rediffusé au
journal du soir.
Impossible de vous en parler car Point commun est déjà
chez l’imprimeur, mais ce 19 avril, une conférence de
presse internationale était organisée...
Une première mondiale on vous dit...
M.V.
Si Mike Schuerch, médecin chef de services
en psychogériatrie est un «vieux briscard» de
la communication, il n’en allait pas de même
avec Jeanne Michel, infirmière en chef.
Point commun: C’était votre premier interview
télévisé, comment avez-vous vécu cela ?
Jeanne
Michel:
Enormément
de
stress. Je n’ai pas eu le temps de
m’y préparer puisqu’ils sont arrivés
presque sans prévenir et qu’ensuite les
choses se sont enchaînées très vite.
Un peu dépitée aussi car on ne vous
laisse pas dire ce que vous voulez, la
journaliste (très gentiment) m’a dit que je
parlais trop et que je devais faire plus court.
Logique
puisque
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reportage
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durait pas plus de 2 minutes.
5
Point commun
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devinettes visuelles
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Un petit jeu pour se divertir...
Vous devez retrouver l’expression qui se cache derrière ces devinettes visuelles.
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Récemment, la Résidence les Murlais ont fait l’acquisition d’une Xbox Kinect.
Il s’agit d’une console de jeu qui détecte les mouvements effectués par la personne qui
se tient devant le capteur.
Nos résidents se transforment alors en acteurs virtuels sur le petit écran.
Chaque geste est reproduit.
Grâce à cela, il faut faire preuve de réflexe pour arrêter des balles ou casser des murs
par exemple.
On peut parler de gymnastique virtuelle et en même temps, tellement réelle !
Dans ce genre de jeu, il n’y a que 2 participants maximum.
Et il est aussi difficile d’être détecté par le capteur quand on est en fauteuil.
Cela n’empêche pas l’appareil de photographier les joueurs pour un feed-back ou pour
déclencher les rires.
Le concept est motivant et très intéressant mais reste néanmoins à adapter à chaque
instant.
7
Point commun
Chantal Yerna
7
Point commun
documentation
Agora n°5
Le SIDIIEF (Secrétariat international
des infirmiers et infirmières de l’espace
francophone)
Je soigne une personne à domicile qui
est recherchée par la justice, dois-je la
dénoncer ?
Ethique: le silence s’affiche.
HbA1c% devient HbA1c mmol/mol.
L’école d’infirmières de l’hôpital St Jean
de Bruxelles 1907.
Soins infirmiers en pleine conversion.
L’anamnèse médicamenteuse.
Agora n°6
Contention et isolement: Droits et
obligations.
La médecine de catastrophe, l’amour
des mathématiques, sauver le plus
grand nombre.
Le rayonnement GSM peut être
cancérigène.
La thermoplastie bronchique.
VIH: la contraception accroîtrait le
risque de contamination.
L’ergothérapie au sein des services
d’aide et de soins à domicile du CPAS
de Charleroi.
Prescription et consultation infirmière.
Mesures de polluants chez l’enfant et sa
mère.
Pandelé S.
La grande vulnérabilité.
Fin de vie - Personnes âgées - Handicap.
Esquisse d’une éthique de l’accompagnement. Ed. Séli Arslan, 2008.
8
Conduite automobile et démence: une
étude en hôpital de jour gériatrique.
Nouvelle classification des aphasies
progressives primaires et leur évaluation.
Les deuils pathologiques différés en
psychiatrie de l’âge avancé: clinique et
psychopathologie.
Adaptabilité du robot Paro dans la
prise en charge de la maladie
d’Alzheimer sévère de patients
institutionnalisés.
La Revue de Gériatrie Tome 36, n°9
Diabète du sujet âgé: état de santé,
qualité de la prise en charge médicale
et perspectives.
Les diabétiques âgés: du vigoureux au
dépendant.
Le parcours de soin du sujet âgé
diabétique manque-t-il de cohérence ?
En France et ailleurs?
Analyse de la prescription médicamenteuse potentiellement inappropriée
chez des patients de plus de septante
ans hospitalisés en secteur gériatrique.
Implantation du système de Mesure de
l’Autonomie Fonctionnelle (SMAF) dans
onze milieux d’hébergement et d’aide
à domicile du secteur médico-social
français: étude PISE-Dordogne.
La
Batterie
Neuropsychologique
Courte (BANCO) étalonnage chez 347
sujets normaux de 50 à 92 ans.
Quels sont les test utiles en première
intention pour le médecin de consultation mémoire ?
Troubles cognitifs en institution: sur ou
sous- estimation ? Exemple d’un EHPAD
français.
L’apraxie: un maître symptôme du
syndrome corticobasal.
NPG n° 67
Psychotropes chez les personnes âgées:
les précautions d’emploi poussent à la
précision clinique mais certainement
pas à l’abstention médicamenteuse !
Aide à l’arrêt du tabagisme chez la
Le Défi (bulletin de liaison de la ligue
personne âgée.
Rôle soignant lorsque s’associent Huntington) n°32
vieillesse, mésusage d’alcool et maladie
d’Alzheimer.
Du bloc à l’espace: approche ergothérapique de la maladie d’Alzheimer pour
l’aménagement du bloc sanitaire à
domicile
Point commun
Le centre de documentation des secteurs B et C d’ISoSL se trouve dans
la médiathèque située à côté de l’accueil au rez-de-chaussée du Pèrî.
On peut y trouver livres, revues, K7 vidéo, DVD, concernant la médecine, le nursing,
l’éthique, les problèmes sociaux, la diététique, la gestion hospitalière, la psychologie,
la kinésithérapie, l’ergothérapie, la logopédie...
Ces documents ne sont pas en libre-accès.
Pour effectuer une recherche, contactez-moi par courrier interne, par mail ou par
téléphone, je vous préparerai les ouvrages qui peuvent vous intéresser ou je vous
fixerai un rendez-vous..
Les agents d’ISoSL peuvent emprunter gratuitement, les étudiants consultent sur
place.
Jeanine MALCHAIRE Pèrî 04/2258711, 04/2258783, [email protected]
Les sommaires de Soins
en gérontologie, Soins Cadres, la Revue de
Gériatrie, NPG, sont envoyés dans chaque unité et MR/MRS. Si vous désirez un
ou plusieurs articles, il vous suffit de me les demander par mail ou par courrier
interne.
ABD n°55/2
Le pancréas artificiel: un rêve devenu
presque réalité.
Le pancréas artificiel chez un patient
diabétique de type 1.
Fausses croyances et préjugés alimentaires.
Acta Neurologica Belgica Vol.III,
2011-4
Pre-stroke use of statins on stroke outcome: a metaanalysis of observational
studies.
Factors
influencing
therapeutic
strategy for patients with basal ganglia
hemmorrhage- could age play a potential rôle in final treatment decision ?
Depressive symptoms in patients admited to a semi-intensive stroke unit.
Brain FDG-PET changes in ALS and ALSFTD.
Neoplastic meningitis: a rare presentation of bronchial adenocarcinoma.
Risques et qualité en milieu de soins
Vol VIII n°4
L’information du patient suite à un
dommage associé aux soins: le guide
de la Haute Autorité de santé en cinq
questions.
Perspective sur les incidents et
accidents médicamenteux en CHU.
La gestion globale des risques:
échanges de savoir-faire entre le secteur
sanitaire et le secteur médico-social.
Démarche qualité autour d’un nouvel
anticoagulant en prise orale en chirurgie prothétique: le rivaroxaban Xarelto.
Décentraliser la gestion des risques:
une expérience au CH d’EaubonneMontmorency.
Infection et chirurgie de la cataracte:
ouvrez l’oeil !
Hospitals.be Vol 10 n°2
La direction et l’institution sont-elles
des « third victims » ?
Hôpitaux publics vs hôpitaux privés:
peut-on parler de handicap ?
Le lean: un outil managérial pour les
hôpitaux.
EMISM: une équipe mobile en santé
mentale.
MyUZ: les patients communiquent via
l’internet.
Soins Palliatifs.be n°14
Dossier: Euthanasie et soins palliatifs en
Belgique, 10 ans après la dépénalisation de l’euthanasie.
La loi.
La mort médicalement assistée, un
essai de clarification et un bilan de 9 ans
d’euthanasies légales en Belgique.
Regards croisés.
Ne rien faire...
L’euthanasie vécue par une équipe de
soutien.
Pour aller plus loin
Les douleurs induites Dr J. Wrobel,
Coordinateur technique et responsable
de la publication.
Institut UPSA de la douleur, 2005
Contient : causes des douleurs
induites, traitement, prévention chez la
personne âgée.
Candelon Céline
Création d’une
évaluation logopédique de la parole et
du langage pour des patients atteints
de la maladie d’Huntington. TFE bac.
logopédie, HEVL 2009/2010
Soins Cadres n° 81
Formation, coopération et validation.
Des métiers en santé de niveau
intermédiaire.
Infirmières de pratiques avancées et
défis de santé publique.
Rôle de l’agence régionale de santé
dans les coopérations entre professionnels de santé.
La coopération entre professionnels de
santé: 10 ans de réflexion, une réalité,
des perspectives.
Coopération entre professionnels de
santé: un exercice partagé.
Zoom sur un premier protocole farnçais
de coopération et son arrêté d’application.
Assistants en gérontologie.
Un projet innovant de coopération
transfrontalière..
Méthodologie ergonomique participative et qualité des soins.
Accompagner la socialisation professionnelle de la génération Y.
Management par la qualité et formation initiale des cadres de santé: retour
d’expérience.
Web 2.0 et synergie avec l’université.
Réingénierie de la formation de cadre
de santé.
NPG n°68
Quelle place pour les 60-75 ans en
EHPAD ?
Gliomes du sujet âgé.
Gliomes de haut grade chez le sujet
âgé: place de la chirurgie.
La
compréhension
de
gestes
pseudo-linguistiques dans la maladie
d’Alzheimer.
Etude des formes de rupture entre le
soma et la psyché dans l’âge avancé à la
lueur du concept de Spaltung.
Valeur pronostique péjorative du
temps passé sur le sol après une chute à
domicile: étude chez 47 patients
hospitalisés
en
court
séjour
gériatrique.
Infection à VIH chez le sujet âgé: à
propos d’un cas.
La Revue de gériatrie ,tome37,n°2
Qualité de vie en EHPAD. La vie sociale
des résidents en EHPAD. Volet 3.
Le rôle du melphalan dans le tratement
du myélome multiple.
L’ivresse alcoolique après 60 ans. Une
occurrence non exceptionnelle à
l’hôpital.
Infection urinaire du sujet âgé.
Regards croisés sur les atteintes à la
sécurité des personnes âgées.
Le vieillissement réussi: de la norme au
désir.
Le tandem psycho-kiné: une démarche
clinique pluriprofessionnelle innovante
en gériatrie.
Lutter contre la dénutrition des
malades d’Alzheimer, un exemple.
Vivre en milieu fermé: « comparaison
entre la vie des reclus en 1960 et la vie
en maison de retraite de nos jours ».
Le Tako-tsubo, une pathologie encore
méconnue de la femme âgée ?
Rein en fer à cheval, découverte
gériatrique.
Education du Patient et Enjeux de
santé Vol. 29-n°1
Dossier: 15 projets « Information des
patients en milieu hospitalier ».
Création d’un point info et d’une biblio-
thèque didactique pour les patients.
Des
informations
sur
l’hôpital
accessible aux enfants
A l’écoute des enfants de parents
souffrant de problèmes psychiatriques
Site Internet sur les soins de stomathérapie et formation du personnel
infirmier de référence en stomathérapie.
Informations données aux patients à
propos de leur traitement.
Campagne d’information sur les droits
des patients; brochure et service dédiés
à l’hospitalisation sous contrainte.
Communication et recherche de
partenariat autour de l’interculturalité.
Mise sur pied et accompagnement de
comités de patients.
Borne d’information des patients.
Prise de décision partagée et utilisation
d’Internet dans le traitement résidentiel
des dépendances.
Information de l’enfant hospitalisé et
de sa famille par le jeu et des techniques audiovisuelles.
Films éducatifs sur la prévention en
matière de santé et explication du
fonctionnement du service des
urgences.
La gériatrie sans tabou; l’usage des
supports multimédias.
Droits des patients mineurs: une
campagne d’information.
Carnet de bord; brochure pour le
patient et sa famille.
Education du Patient et Enjeux de
santé Vol. 29 -n°2-3
La psychoéducation, le groupe et le
sujet.
L’éducation thérapeutique dans le
travail biographique de la personne
atteinte de sclérose en plaque.
Genèse d’une nouvelle association
professionnelle: quand le dynamisme
des uns dépasse les espérances.
Première pratique de l’éducation
thérapeutique des patients atteints de
troubles schizophréniques.
L’annonce d’un diagnostic de maladie
chronique chez l’enfant.
Education du Patient et Enjeux de
santé Vol.29- n°4
Comment intégrer l’éducation du
patient à l’hôpital ?
Démontrer l’efficacité de l’Education du
patient... mais quelle efficacité ?
L’Education Thérapeutique des Patients:
quelle efficacité ?
L’histoire de l’éducation du patient en
Hollande.
Les aspects pharmaco-économiques
du manque d’adhésion: une meilleure
adhésion aux traitements peut-elle
réduire le coût des soins de santé ?
Education du patient: un défi pour
l’hôpital!
Comment concilier efficacité, individualité et qualité de vie des patients ?
Le point de vue éthique.
L’éducation du patient au Centre Hospitalier Régional de la Citadelle: un exemple de coordination.
L’éducation du patient au CHRU de
Montpellier: « De l’émergence d’une
politique de promotion de la santé
à la structuration d’un dispositif de
soutien à l’Education Thérapeutique du
Patient ».
L’éducation du patient au Centre
Hospitalier Chrétien de Liège: l’affaire
de tous.
Limiter les risques de la contention
physique de la personne âgée.
Agence nationale d’Accréditation et
d’Evaluation en santé, 2000.
Promouvoir le développement et
l’intégration des équipes mobiles de
soins palliatifs à l’hôpital. Cinquième
prgramme-cadre 1998-2002. Qualité
de la vie et gestion des ressources du
vivant. Commission européennne,
recherche communautaire.
un nouveau concept:
la donnerie
Depuis quelques temps il existe à liège une «donnerie» de
personne à personne sans intermédiaire.
Le concept est assez simple :
EN PRATIQUE :
1) Il s’agit de s’inscrire à un mail collectif en enregistrant son
adresse mail sur la page suivante : http://listes.agora.eu.org/
listinfo/donnerie-liege (mailing liste non commerciale)
2) Une fois inscrit, on reçoit les mails envoyés par les autres
personnes inscrites. Dans l’objet du mail il est annoncé, par
exemple, «RECHERCHE 4 chaises en bon état....» ou bien
«DONNE une table basse.....». Si l’on est intéressé, il suffit de répondre
directement à la personne et s’arranger avec elle pour donner ou
recevoir les objets, sans argent.
3) Lorsque l’on souhaite soi-même communiquer que l’on donne
ou recherche un objet, il suffit de rédiger un e-mail qui explique,
plus ou moins précisément, ce que l’on donne ou recherche et
de mettre en objet du mail l’un des deux mots clé : «recherche...»
ou «donne....». Enfin, on envoie le mail à tous le monde via cette
adresse : [email protected].
Il n’y a plus qu’à attendre les réponses par mail des personnes
intéressées.
LA PHILOSOPHIE :
«Nous possédons tous des objets utiles et encore
en bon état, mais dont nous n’avons plus l’usage.
Si nous pensons qu’ils pourraient intéresser quelqu’un, souvent nous ne savons à qui les donner.
Alors comment éviter le gaspillage et faire plaisir?
La donnerie !
Les dons et demandes se font par mail : soit vous
proposez quelque chose à donner, soit vous
demandez un objet. (voir en pratique ci-dessus)
Il n’y a ensuite plus qu’à accueillir la personne
pour lui céder votre bien ou aller le chercher ! Les
membres d’une donnerie se réunissant sur base
géographique, vous n’êtes jamais très loin de votre
objet. Gratuite, sans obligation, conviviale, écolo
et facile, goûter à la donnerie, c’est l’adopter !»
9
Point commun
10
Si le Valdor
m’était conté
1952
l’affaire est dans le sac...
La porte se referma. L’inspecteur Minet fut d’abord
surpris par l’atmosphère qui régnait dans la pièce: le rai
de lumière où dansait des mouchettes, l’odeur bizarre,
le silence, et cette balance monumentale qui le regardait de son gros oeil
méchant... Il se revit petit garçon, tremblant de peur en bas des escaliers chez
ses grands parents à Fléron, quand on
l’envoyait chercher des conserves à la
cave !
Il frissonna un peu, alluma une cigarette et débarassa le cadavre des draps qui
l’entouraient. Le corps était tout nu, en
effet. C’était un homme d’une trentaine
d’années, mince mais musclé, avec un
visage avenant et des cheveux blonds
coupés en brosse. Il n’y avait pas de
traces de coups ni de sang, mais une
mince ligne violacée autour du cou.
Un étranglement... avec une corde, un
fil de fer... un cordon de tissu ? L’autopsie le dirait bientôt. Alphonse Minet sortit et donna l’ordre de conduire le corps rue Dos-Fanchon à l’Institut médico-légal.
Mais il était agacé, il sentait que quelque chose lui avait
échappé, un détail qui ne collait pas avec le reste et qu’ il
n’arrivait pas à préciser....
Il fit quelque pas dehors, respira un bon coup et se
sentit mieux. Il apella Pierrot, le brigadier, et se fit
expliquer comment les sacs arrivaient jusqu’à la buanderie. C’était assez simple, en somme. L’ouvrier de service
allait les chercher dans le bâtiment central , les entassait
sur une charrette puis traversait le parc pour les acheminer vers les services généraux.
C’était Marcel qui était de service ce matin. Il n’avait
rien remarqué de particulier, les sacs de draps pesaient
parfois très lourds, il n’y faisait plus attention. Ce matin,
il avait rempli cinq fois sa charrette et il ne s’était arrêté
qu’une fois dans le parc pour... un besoin pressant.
L’inspecteur Minet voulait savoir aussi à quoi correspon-
Point commun
suite
daient les chiffres et les lettres imprimés sur les sacs. Il
entra dans la buanderie et posa la question à une jolie
rousse au nez retroussé qui prit beaucoup de temps à lui
expliquer que cela correspondait à la salle et au contenu du sac: draps, alèses, essuies, gants de toilette, ou
alors linge de corps, cache-poussière ou
pyjamas mais on n’y trouvait jamais de
vêtements civils puisque les pensionnaires portaient les tenues imposées par
l’hôpital.
Mais où diable étaient les vêtements de
l’inconnu ? Par acquis de conscience,
Minet envoya un agent explorer les
buissons du parc et le remblai du chemin
de fer...
Midi sonnait au clocher de St Remacle
et l’inspecteur se sentit une petite faim.
Il s’engagea dans la rue Basse-Wez bien
décidé à s’accorder un boulet frites à la
friture du coin et faillit tomber sur une
poubelle qui débordait sur le trottoir....
Nom di dju ! les poubelles bien sûr !
Il fit appeler deux jeunes agents
qui arrivèrent sur leur vélo, très
fiers de participer pour la première fois de leur vie à une
enquête pour meurtre. Ils
furent vite dépités quand
l’inspecteur leur donna pour
mission de rechercher dans
les poubelles des vêtements
masculins d’allure moderne !
Réconforté par son repas et
ses deux verres de bière, Minet
reprit le chemin de la rue des
Prébendiers. Il remarqua un
attroupement devant la buanderie: c’était l’agent Pardon
qui brandissait comme un trophée une cordelette qu’il
avait trouvé dans les massifs de rosiers devant le Valdor.
« C’est l’arme du crime, y’ a du sang dessus ! » déclarait-il
aux ouvrières qui l’écoutaient bouche bée.
Le grand Pierrot y jeta un coup d’oeil et goguenard,
lui coupa son effet: « Ça ? C’est la corde aux bouchers
! Vous voyez inspecteur c’est le bâtiment là-bas » et il
ajouta d’un air important « Circulez, y ‘ a rien à voir, tout
l’ monde à son poste ».
La pluie s’était mise à tomber. Une pluie de giboulée,
qui s’arrêta aussi vite qu’elle avait commencé. Minet
vit alors au bout du chemin, deux silhouettes encapuchonnées qui couraient vers lui en gesticulant. C’était les
deux fouilleurs de poubelles. Ils étaient trempés, sales et
dégagaient une odeur nauséabonde. Mais ils avaient
trouvé ! Tout fiers, ils déposèrent sur le bureau un
pantalon de toile beige, une ceinture, des chaussures
brunes et une chemise à manches courtes en toile blanche. Ils retinrent leur souffle quand l’inspecteur fouilla les
poches du pantalon et en sortit ce qui semblait être un
document imprimé.
C’était un titre d’embarquement sur le paquebot
Thysville qui assurait la liaison Matadi-Anvers et il
était établi au nom de Henri
Trousseaux.
Le mort avait un nom et il
venait du Congo...
L’inspecteur Minet trouva
enfin le détail qui lui avait
échappé dans le local aux sacs
de linge.
Le cadavre avait le visage, les
bras et les jambes bronzés.
C’ était celui de quelqu’un qui
vivait en short et chemisette
au soleil .
À suivre....
Jeanine Malchaire
ISoSL
les uns et les autres...
REFLEXIONS
Emmanuelle BALTHAZART, psychologue
les embauches
LE VALDOR
Koffi AGBEWOANOU, ouvrier
Alphonsine NYAMPUNDU, ouvrière
Katia FUGARINO, infirmière brevetée
Gilles LAMBRECHT, infirmier breveté
Anna-Maria SCIARA, assistante logistique
Émile USABWIMANA, employé d’administration
LE PETIT BOURGOGNE
Manuela SANSONETTI, infirmière brevetée
Jonathan PONSART, moniteur d’éducation physique
Slimane KNAR, infirmier breveté
Laetitia BARBIER, infirmière brevetée
Sébastien GIHOUL, éducateur
Claudia DI MARCO, assistante sociale
Christiane LEROY, aide-soignante
Rebecca CHAOUAT, psychologue
Marie-Christine DODRIMONT, graduée en droit
LE PÈRÎ
Caroline CHARLIER, assistante logistique
Jérôme DETOURNAY, ouvrier
Aurélie LAMBERT, aide-soignante
Marguerite SOHET, ouvrière
AGORA
Brice LALLEMAND, éducateur
Nathalie SCHENATO, infirmière bachelière
Nathalie HEINS, infirmière bachelière
Tiffanie ONKELINX, éducatrice
Fabienne JASPERS, ouvrière
Sophie TAMBOUR, psychologue
M’hand OUCHEN, infirmier breveté
LES TROIS ROIS
Marina ATZENI, logopède
LES SAULES
Régine TOPPETS, ouvrière
Harmony DECLERCQ, infirmière
LES CHEMIIN DE LONCIN
Francesca MARTINEZ, ouvrière
Muriel SOORS, aide-soignante
Suite à plusieurs plaintes et dans le respect de la
vie privée, Point commun ne communiquera plus
automatiquement les informations sur les mariages et
les naissances.
Dorénavant, si un agent désire que ce genre d’annonce
soit éditée, il doit avertir personnellement le bureau de
la rédaction par mail, par lettre ou par téléphone.
Toutefois, nous continuerons à faire paraître les
hommages écrits par les collègues d’un agent décédé.
les retraites
LE PETIT BOURGOGNE
Bernadette VLIERMAEL le 31 mars
LE VALDOR
Monceef SAADAOUI le 31 mars
Robert ADAM le 31 mars
Marie-Cécile VOSSEN le 30 avril
Zenia LACINA le 30 avril
LE PÈRÎ
Émile BRASSEUR le 1er juin
Geneviève GILLET le 1er juin
Geneviève VALLEM le 7 juin
Jeanine HANOSSET le 1er mai
AGORA
Jacqueline DELCHAMBRE le 11 mars
11
Point commun
ONSSAPL
service social collectif
Mme
Lennertz
s’occupait
du
Service
Social
Collectif de l’ONSSAPL depuis de nombreuses années.
Malheureusement, suite à une longue maladie, elle
nous a quitté début d’année.
Sa remplaçante vient de reprendre le flambeau.
Voici donc l’occasion de vous la présenter et de
rappeler ce que vous pouvez obtenir de ce service.
M.V.
Laurence Missa est la nouvelle assitante sociale
qui s’occupera des dossiers ISoSL.
Liégeoise et fraîchement diplômée en 2010, elle
travaille avec notre intercommunale depuis fin
janvier de cette année.
Point commun: Comment qualifieriez-vous le
travail de l’assistante sociale pour le Service
Social Collectif ?
Laurence Missa: C’est un travail de terrain très riche
et très varié.
Il faut être à l’écoute, être disponible et trouver des
moments privilégiés qui permettent aux agents de
venir me trouver pendant leurs heures de travail.
12
Point commun
Pc: Quelles genres de situations rencontrez-vous
le plus souvent ?
L.M.: Souvent des situations difficiles, financièrement lourdes et qui ont un réel impact sur la vie
de tous les jours (l’alimentation et les besoins de
base).
Grâce à notre réseau de connaissance des différents
organismes d’aide, des solutions et des orientations
peuvent être proposées à ces agents.
Pc: Quel est votre charge de travail à ISoSL ?
L.M.: Je fais un jour et demi de permanence par
mois, plus les courriers et les rapports.
Pc: Rappelez-nous les jours de permanences ?
L.M.: Au Valdor: le 4ème mardi du mois de 13h30 à
15h30.
Pour le Pèrî et Agora, c’est aussi le 4ème mardi du
mois mais de 10h00 à 12h30; les mois pairs au Pèrî
et les mois impairs à Agora.
Et au Petit-Bourgogne, le 3ème mardi du mois de
9h00 à 12h00.
Les agents peuvent aussi me contacter
sur le GSM: 0473/63 72 03
ou par mail à [email protected]
quelles sont les ,interventions
proposees ?
Les interventions «non-automatiques»:
Le Service social collectif, c’est avant tout une équipe d’assistants sociaux qui
tentent de répondre de manière professionnelle aux différentes demandes des
personnes bénéficiaires. Ces aides peuvent prendre différentes formes: démarches
sociales, collaborations de terrain, aides psycho-sociales et /ou matérielles…
Les interventions «automatiques»:
Les éventuelles interventions financières sont toujours déterminées en fonction
de la situation spécifique des bénéficiaires demandeurs (composition du ménage,
rentrées et sorties financières) et concernent principalement les frais de santé
au sens large : frais médicaux et pharmaceutiques, paramédicaux (dentisterie,
orthodontie, lunetterie…), hospitalisation (après les mutuelles et assurances
éventuelles)…
Un formulaire administratif suffit à introduire la demande.
Prime de naissance ou d’adoption: Forfait de 50,00€ à chaque naissance ou
adoption.
Intervention pour un enfant handicapé: 100,00€ en juillet de chaque année
aux bénéficiaires qui, en juin, ont droit aux allocations familiales majorées pour un
enfant reconnu handicapé.
D’autres aides peuvent être octroyées, de manière plus exceptionnelle pour les
personnes qui éprouvent des difficultés spécifiques comme par exemple des
frais scolaires de type exceptionnel, des difficultés pour constituer une garantie
locative …
Prime de mariage ou de cohabitation légale: Lorsque vous vous mariez, prime
de 100,00€.
Si votre conjoint ou conjointe travaille aussi dans une administration affiliée, vous
bénéficiez chacun de cette prime.
En cas de cohabitation légale, vous devez fournir une attestation de
l’administration communale.
Les assistants sociaux du Service social collectif sont bien évidemment soumis au
secret professionnel et sont complètement indépendants des employeurs.
Les dossiers sont gérés de manière tout à fait anonyme et l’employeur n’est jamais
au courant de qui a un dossier et encore moins de ce qu’il contient.
Prime de mise à la pension: Prime de 105,00€ après 5 années de service au
minimum qui précèdent la mise à la pension.
Les années de service prises en compte pour le calcul de la pension constituent la
base de référence de la prime.
Prime de vacances: Prime de 5,00€ par jour versée pour l’enfant de 18 ans
maximum participant à des vacances commandées auprès de l’asbl POLLEN.
Maximum de 50,00€ par année et par enfant.
Outre les permanences régulières, les assistants sociaux effectuent également des
visites au domicile des personnes demandeuses et peuvent évidement se rendre
sur les lieux du travail en dehors des périodes de permanences lorsque la situation
le nécessite.
Voici quelques moyens pour prendre contact :
-
-
-
-
Via l’assistante sociale responsable de la Province de Liège :
Laurence MISSA au 02/239 12 83 ou au 0473/63 72 03,
[email protected]
Via l’assistante sociale en chef :
Martine BEGUIN au 02/239 12 81 ou 0473/63 72 01,
[email protected]
Via l’adresse générique suivante [email protected]
Par courrier au Service social collectif, rue Joseph II, 47 à 1000 BRUXELLES
13
Point commun
Attractivité
le futur personnel infirmier ?
Comme on le sait, les institutions hospitalières éprouvent des difficultés à
recruter du personnel infirmier et paramédical.
On parle même de pénurie sur le marché de l’emploi.
Dans ce contexte, ISoSl a décidé d’organiser, pour les étudiants suivant ce
genre d’études, une après-midi «attractivité ».
Le but : convaincre les futurs diplômés de rejoindre notre intercommunale.
Henri Hoac, stagiaire à la cellule communication
Une soixantaine d’étudiants de 3ème et 4ème années
étaient présents le mercredi 21 mars sur le site Valdor
pour participer à une après-midi l’attractivite pour le
futur personnel infirmier.
Des témoignages timides au départ
Tout a commencé timidement.
Des nouveaux agents ISoSL sont venus s’exprimer sur
leur métier et le dialogue avec les invités a pris un peu
de temps à se mettre en route. Mais petit à petit, les
échanges sont devenus plus spontanés.
Une ambiance plus détendue
Le témoignage de Vincent Richardeau, infirmier
en chef de la Résidence « Les Saules », a souligné
l’avantage des formations offertes par ISoSL en cours
de carrière.
Il a rappelé qu’il a débuté en bas de l’échelle en tant
qu’assistant en soins hospitaliers. C’est selon lui un
métier en évolution par rapport à la demande croissante de personnel et de techniques spécifiques et il
a terminé son intervention avec une question intéressante : « Réfléchissons maintenant à quoi ressemblera
l’infirmier de demain ».
Un point fort à ISoSL
Il est apparu à plusieurs reprises lors des
témoignages des agents
qu’ISoSL offre une ambiance de qualité interrelationnelle aussi bien
vis à vis des patients ou des
résidents qu’entre collègues.
Intermède d’improvisation
L’après-midi a été animée
par deux comédiens dynamiques qui improvisaient
des saynètes à partir de mots
lancés par le public.
Parmi les thèmes tournés en
dérision: la myopie, la g... de
bois ou encore le fécalome.
Des impros bien ciblées
Ils ont créé une franche hilarité générale et ont époustouflé
les étudiants et les agents ISoSl car ils ont admirablement mimé les déboires du quotidien pas banal d’un
infirmier débutant. Tout le monde a adoré.
Ouvertures des stands
À la clôture de cet intermède, les étudiants pouvaient
se présenter aux stands du service du personnel pour
poser des questions complémentaires ou encore pour
remplir des formulaires de candidature à l’emploi.
Il est également ressorti des échanges qu’être infirmier implique des horaires
avec pause, ce qui n’est pas
toujours évident à concilier
avec une vie de famille.
Dans le panel des étudiants
présents, on a relevé une
préférence pour la gériatrie
hospitalière, ensuite pour
14
Point commun
Un des nouveaux agents fait part de son expérience à ISoSL
la santé mentale et enfin, pour le secteur MR MRS.
On constate également que les valeurs éthiques
véhiculées par l’institution sont un point fort.
La proximité domicile-lieu de travail est
également un critère essentiel pour les
futurs travailleurs.
Faire partie d’une équipe soudée et
travailler dans une ambiance conviviale
constitue également un point fort.
Le salaire est une question qui n’a pas été
abordée en grand groupe
En conclusion
La formule « après-midi attractivité » a
emporté un franc succès.
Il est évident que la ligue d’impro y est
pour quelque chose...
Les directrices des départements infirmiers en hôtes du jour
ISoSL
un peu de tout ...
Merci à Marie-Jeanne et Jeanine, deux des collaboratrices
de Point commun pour être toujours à l’affut d’ homonymes
et autres homophones...
Le petit Robert (2012) nouveau est arrivé
Un lecteur assidu nous a signalé que le Petit Robert 2012 avait
fait quelques aménagements dans certaines définitions.
Jugez-en plutôt:
Etre au bout du rouleau: Situation très peu confortable, surtout
lorsqu’on est aux toilettes.
Facebook: Le seul endroit où tu parles à un mur sans être
ridicule.
GPS: Seule femme que les hommes écoutent pour trouver leur
chemin.
Autobus: Véhicule qui roule deux fois plus vite quand on court
après que quand on est assis dedans.
Taser: Instrument utilisé afin de mieux faire passer le courant
entre la police et la jeunesse.
Mozart: Célèbre compositeur que l’on écoute le plus souvent
dans les pizzerias car on sent bien que mozzarella.
QUE PENSAIT-IL ?
Personne n’a voulu ou osé répondre !
Peut-être parce que c’est le patron ?
Les solutions de notre
petit jeu des devinettes
visuelles:
1) Trois fois rien
2) Sens de l’humour
3) Entre guillemets
4) Voir en double
5) Dormir sur ses deux oreilles
6) Retourner ciel et terre
7) Grossir les rangs
8) Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas
9) Eau de source
10) Jour après jour
11) Mettre de l’eau dans son vin
12) Mettre les petits plats dans les grands
Porte-clefs: Invention très pratique qui permet de perdre toutes
ses clefs d’un seul coup au lieu de les perdre une par une.
Etat: Système mafieux le mieux organisé de tous les temps.
Cravate: Accessoire servant à indiquer la direction du cerveau
de l’homme.
Voiture: Invention ingénieuse permettant d’avoir 110 chevaux
dans le moteur et un âne au volant.
Parents: Deux personnes qui t’apprennent à marcher et à parler
pour ensuite te dire de t’asseoir et de fermer ta gueule.
Égalité des sexes: Nouveau concept créé par les hommes pour
ne plus payer le restaurant.
15
Point commun
les «caktus» a isosl
,
Petit
Bourgogne
nouveau service hospitalier
pour adolescents sur le secteur a
Un service hospitalier psychiatrique pour 15 adolescents, de 13 à 18 ans,
verra le jour prochainement au sein du Petit Bourgogne avec l’objectif de
prendre en charge des jeunes en « Situation Éducative Problématique ».
Dr Didier Wégimont
Ce service vient compléter le dispositif de soins
existant composé des Cyprès; de l’équipe mobile
MiKado; des lits de crise et de l’équipe mobile EMAS
du CHR La Citadelle; des lits de crise précédemment
présents aux Coquelicots 12 et de la Coordination du
trajet de soins.
Il permettra une prise en charge optimalisée et
plus fluide des demandes d’hospitalisation et d’y
effectuer des prises en charge à visée diagnostique et
thérapeutique sur du court et moyen terme
(1 à 6 mois), d’y réaliser des bilans psycho-médicosociaux, d’assurer des prises en charge temporaires de jeunes venant d’autres institutions ou encore
d’accueillir des mesures de mises en observation.
« Aïe! Aïe! Aïe! Ouille! Aïe! Aïe! Aïe! », disait Jacques
Dutronc.
Mais pour ceux qui prendront la peine d’y regarder
de plus près, ils s’apercevront que les « CaKtuS », c’est
autre chose que « piquant » !
16
Point commun
«L’adolescence est comme un cactus»
Anaïs NIN
Les Cactus et l’adolescence ont de nombreux points
communs.
En effet, les cactus possèdent des épines leur servant
de protection contre les agressions extérieures tout
en étant, aussi, une interface entre son « intérieur » et
l’extérieur, sorte d’antenne de captage.
Il en existe de nombreuses variétés, la plupart
provenant du « Nouveau Monde » et étant des
espèces protégées.
Ils ont, en outre, des capacités d’adaptation importantes à des conditions de vie difficiles et pourront, lors
de moments de variations radicales de leur environnement, fleurir et produire des fruits comestibles.
Au-delà de l’aspect ornemental, ils sont aussi utilisés
comme haies ou clôtures naturelles, comme bois de
chauffage ou de construction.
On notera, enfin, ses qualités d’ordre alimentaires:
L’eau contenue dans certaines espèces s’avère parfois vitale pour certains explorateurs égarés. Le sirop
de cactus et la réalisation de salades sont d’autres
ressources de cette espèce végétale.
Ainsi, l’adolescence pourra se montrer piquante,
à l’écoute de « l’extérieur » et de « l’intérieur », être
séduisante et attirante, en déséquilibre, avec des
capacités impressionnantes à résister, s’adapter,
rebondir, se construire et se déployer.
Encore un peu dans l’enfance, elle reste protégée.
Elle demeure, enfin, à l’instar des propriétés comestibles des cactus, une source de réflexion, d’inspiration
et de création -d’aliment- pour les sociétés.
Dès lors, les CaKtuS auront cet objectif complexe mais
attrayant de soutenir ces adolescents en difficulté
psychique dans leur cheminement vers ce « Nouveau
Monde »: l’âge adulte.
Birsen Engin, ici à droite sur la photo, avec une nouvelle
équipe qui ne manque pas de piquant
Point commun: Mme Engin, que ressentez-vous d’être la future
infirmière en chef de ce nouveau service ?
Birsen Engin: Beaucoup d’enthousiasme. C’est un grand
challenge de pouvoir piloter cette nouvelle unité.
P.C.: Un grand challenge, dans quel sens ?
B.E.: J’ai débuté carrière en faisant plusieurs remplacements
puis j’ai été infirmière en chef de quatre unités différentes au
Petit-Bourgogne.
Ici, c’est quelque chose que j’ai choisi de faire.
En plus, ce ne sera pas évident de gérer ce genre d’adolescents;
la barrière est haute et il faudra qu’on réussisse.
,
la nouvelle equipe des caktus
Birsen ENGIN, infirmière en chef
Jonathan PONSART, moniteur d’éducation physique, psychomotricité
Marylène LEONARD, infirmière
Sabrina DE HAN, éducatrice sociale spécialisée
Wendy NIJS, éducatrice
Sébastien GIHOUL, éducateur spécialisé
Laetitia BARBIER, infirmière
Cindy MATHIEU, infirmière psychiatrique
Roger NGIMBI, kinésithérapeute
Ruth UWIZEYE, infirmière
Amandine GODIN, ergothérapeute
Slimane KNAR, infirmier
Didier WEGIMONT, pédopsychiatre
Virginie GEORIS, psychologue
Manuela SANSONETTI, infirmière
Gauthier NAILIS, kinésithérapeute
Marie-Josette RACOT, éducatrice sociale spécialisée
Caroline FRISCHEN, psychologue
Sabine TRECKELS, assistante sociale
Orianne WILLEMS, éducatrice
Frédéric HAMELS, éducateur
P.C.: Il y a beaucoup de préparation, beaucoup de formations, n’estce pas trop lourd ?
B.E.: C’est lourd physiquement car il y a beaucoup de
déplacements pour aller voir ailleurs ce que les autres font mais
c’est psychologiquement enrichissant.
Nous avons maintenant des visions multiples de notre démarche grâce à ces échanges et ces immersions.
Il y a une dimension humaine dans les contacts de la nouvelle
équipe qui m’impressionne; ils sont bienveillants les uns vis-à-vis
des autres et ils vivent une espèce de trip commun.
C’est difficile de travailler avec des ados sans être dans cette
logique.
P.C.: Toutes ces formations, ça sert à souder l’équipe ?
B.E.: Oui, c’est une grande opportunité qui nous est offerte et il y
a un grand élan vers la réussite.
Nous sommes fiers et contents qu’ISoSL porte un projet pareil et
ouvre ses portes aux adolescents en difficultés.
le carnaval: une fete, une tradition, une institution !
Mercredi 14 mars.
La résidence Saint Léonard a accueilli dans ses murs et
en primeur le Prince Carnaval du WeHeLO: Maxime 1er.
David Collard
C’est maintenant une tradition, nos collègues de la Résidence Saint
Léonard de Welkenraedt ont accueilli le Prince Carnaval quelques
jours avant le Laetare et son cortège.
La venue du Prince est un moment haut en couleurs, le Prince du
WeHeLo (Welkenraedt – Herbesthal – Lontzen) faisant profiter
l’ensemble des résidents du folklore carnavalesque.
Pas moins de 75 résidents accompagnés de collègues et de
bénévoles se sont mobilisés dans la joie et la bonne humeur.
Le menu était assez simple : un Prince et ses accompagnateurs, des
costumes reflétant le souci du détail, de l’enthousiasme, de la bonne
humeur, quelques farandoles et de la décoration de circonstance.
Vous prenez ces ingrédients, vous les agrémentez de la venue de
l’asbl « Le temps de vivre » et de ses bénévoles, le tout couronné par
« Radio Sunshine » qui s’occupait de sonoriser la fête.
Tous les résidents participent à cet événement majeur
Le résultat donne naturellement des visages illuminés et des regards
pétillants.
Notons que l’édition 2013 se déroulera dans la nouvelle résidence
avec encore plus d’espace disponible.
Serait-ce l’occasion pour les collègues d’autres sites d’aller à la
rencontre de nos collègues de Welkenraedt… ?
En ce qui me concerne, je serai au rendez vous !
Le Prince Carnaval «Maxime 1er»
Le carnaval, une fête et une tradition pour tous
Hedy et Klaus
Et ses accompagnateurs
Chapeaux et serpentins

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