Point Commun n°19
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Point Commun n°19
n u m m o c Po nt n°19 mai 2012 s n a m l e g a W e s s i r a l C n o h t a r a m e d e u q i g l e B e d e n Champion et c’est le temps qui court... court... À 36 ans Clarisse Wagelmans, mère d’un petit bonhomme de 5 ans et d’une petite princesse de 2 ans et 4 mois, court et court toujours….. Mais après quoi où qui ? C’est ce que nous allons essayer de découvrir ! Je me mets à sa poursuite… Clarisse est arrivée à ISoSL en 2008 après y avoir effectué son stage de fin d’étude d’éducatrice. Elle travaille en habitations protégées site Agora. Avec une équipe de 8 personnes, elle s’occupe de jeunes qui sont dans l’impossibilité de se gérer seuls dans leur vie quotidienne. Faire les courses, le ménage, aider dans la recherche de travail, de réseaux sociaux... Le travail avec ces patients commence à l’hôpital; ensuite dans une des cinq habitations protégées qui permettent à 31 jeunes de trouver une équipe pour les aider dans leurs apprentissages de la vie. Sa journée terminée, elle rentre épuisée chez elle me direz-vous ! Et bien non ! Clarisse continue de courir, non pas après le temps mais bien après le chrono ! Au départ cette jeune femme n’était pas du tout destinée à faire de la course à pied mais par amour et avec le soutien de son compagnon qui est lui-même un marathonien averti, Clarisse s’est mise à la course à pied et est devenue une vraie mordue ! C’est à l’âge de 28 ans qu’elle a commencé à courir, sur de petites distances. Elle s’inscrit dans un groupe de remise en condition physique: le «RCAE » au Sart-Tilman. Après un an de préparation, elle fait son premier jogging, celui des pompiers de Liège. Puis elle s’inscrit au « Club RFCL Liège » avec lequel elle fait de nombreux joggings de 10km et où elle voit ses performances s’améliorer de semaine en semaine. Ensuite vient la compétition sur piste et le cross. Enfin la récompense ultime: Clarisse effectue ses premiers marathons et elle devient fin mars championne de Belgique de marathon dans sa catégorie et ce en 3h04 ! Pas mal pour une débutante quand on sait qu’un marathon fait 42km et 195mètres. Comme elle le dit très modestement, «Je débute dans cette discipline ! » Dans un futur proche Clarisse envisage de faire le marathon de Cologne où de Eindhoven avec l’objectif de le courir en 3h00 ! « Pas plus de deux marathons l’année » dit-elle. En effet pour chaque compétition, il y a 3 mois de préparation; ce qui n’est pas rien quand on travaille et qu’on a une petite famille ! Elle sera également en compétition pour les 1000 mètres sur piste au Championnat de Belgique à la Louvière et au semi marathon en Champagne avec I SOnS cooL, le club de jogging d’ISoSL le 26 mai. Plus tard quand ses petits bouts seront grands, Clarisse aimerait faire des marathons à travers le monde; mais pour cette jeune maman éducatrice qui a les pieds bien sur terre, ce n’est pas encore le moment… Je suis sûre que nous reparlerons de Clarisse et de ses performances car c’est quelqu’un de déterminé qui j’en suis persuadée, ira au bout de ses rêves. Et qui sait ! Peut-être pour battre le record féminin détenu depuis 2003 par une anglaise, Paula Radcliffe qui a effectué son marathon en 2h 15m 25s ! C’est tout ce qu’on peut te souhaiter en tout cas. En attendant bonne course à toi, nous serons là pour te soutenir dans cette formidable aventure, car un kilomètre à pied ça use, ça use…..Mais 42 km 195 à pied… Cela mérite le respect. Joëlle Wauthier de vue Sommaire couverture: Et c’e st le temps qui co urt... page 1: Surprena nt page 2: Journées internationales de la schizophrénie page 4: Un fameu x carnaval au Do ux séjour page 5: Quand la TV débarque page 6: Devinette s visuelles page 7: Ki n’ect ? page 8: Documen tation page 9: La donner ie de la page 10: L’affaire s temps du succès es ier t rn da de ns s le sac ce ix vo rlé ...), de sa page 11: Les uns On a beaucoup pa et les autres , Grammy awards ds ar aw en Journal d’entreprise d’IS rit t (B en ss èle re page 12: Service n qu’on chanteuse Ad social collectif Intercommunale de SoinsoSL l’intense émotio de et ire pa na ge di 14: Le futur pers rue Basse-Wez, 301 à 402 Spécialisés de Liège, extraor onnel infirmier 0 Liège propos ne like you». les eo r pa om is «S ww m nt w.isosl.be ns ta tra pa ou le ge 15: Un peu de éc it dû au troub ra se ais ce m to rs, ?) ut lie rs ... ro alo s pa s pa page 16: Les caKt Selon un de mprennent uS à ISoSL r: et ceux qui ne co angement de note ch tit de la chanson (ndl pe Dernière de couv comite de redaction un r pa é us ca it ra erture: se ce s, Émile Brasseur, Le carnaval, une selon d’autre n. fê so te , une tradition... chan Maria Calderon, sur le «you» de la David Collard, appogiature ! servant à e qu di élo m On appelle ça une t Sabine Déom, est un ornemen lle on veut Isabelle Doyen, Une appogiature incipale) sur laque pr te no (la e nt iva Marcel Horion, retarder la note su Isabelle Lavennes, à la «bonne» le lab éa pr te insister. an Antoinette Liébecq, d’une note disson ulagé, heureux On pourrait parler Jeanine Malchaire, retentit, on est so e ièr rn de tte ce Véronique Pirotton, note et lorsque rmalité. Éliane Prenot, e musicale, c’est qu ni ch de retrouver la no te tte ce Bernard Rinaldi, jourd’hui de la mise en page. Si je vous parle au Marie-Jeanne Vanderwecke ut s’en servir dans pe e ’on un d’ qu e ur ns te pe lec je Annick Vanwelkenhysen, ne, que le parce que conseils disant n de les co co nt un so Ann x e-Marie Virzi, ns eu da br é Nom et plac Joëlle Wauthier, idé, chouchouté les mêmes rs ou uj to , ge revue doit être gu pa e Chantal Yerna. la même premièr risque d’être lecture (toujours ression...) sinon il og pr e n io êm at m rm la fo titres, toujours chercher son in sorienté et aller décontenancé, dé ailleurs. esse payante. va ainsi dans la pr essayé redacteur en chef uit et j’ai toujours Je suppose qu’il en gr ine Michel Vigand est un journal at ut ro un la m m e co qu t e in bl Po Mais me sem 04 225 87 11 iers battus car il [email protected] de sortir des sent dessins ts, changemen [email protected] Benjamin Parent, endort les sens. distille quelques je , ps le m te ns da en Thierry Schommers. Alors de temps ture, parfois c’est veau de la couver entation. és pr de le parfois c’est au ni sty edi le teur responsable os, parfois dans impression Michel Vigand cadrage des phot uligne... so ça en e, ell ais AZ Print rp m te s ISo in ur SL, te Clin lec iqu s e de le Pèr s î, rd Ça étonne, ça pe Montagne Ste-Walburge, rue de l’Informatique par ce procédé, je utumance et 4B Je ne sais pas si, sser dans une acco 4000 Liège lai us vo 446 s 0 Grâce-Hollogne pa ne e tout cas j’espèr 04 227 83 85 . lle ue vis e nc re une indiffé . appogiature à moi C’est un peu mon Michel Vigand est membre de l’Associati on Belge de la Communication Inte rne surprenant Point commun: 1 Point commun Point commun Réflexions , journees internationales francophones , de la schizophrenie Ces journées rassemblent des associations francophones, de différentes nationalités, de patients atteints de schizophrénie ainsi que leurs proches. Cette année, la Belgique était représentée par l’asbl Réflexions. Celle-ci a proposé du 20 au 25 mars une série d’activités d’information, de partage d’expériences et de rencontres destinées aux patients, à leurs proches aidants, aux professionnels de la santé ainsi qu’au grand public. M.V. Mardi 20 mars: Jeux inter-institutions 12 équipes de 5 personnes accompagnées d’un intervenant se sont opposées lors d’une compétition amicale basée sur les jeux d’adresse, de rapidité, de réflexion et de connaissances générales. Les groupes de participants se réunissaient devant la statue de Tchanchès avant les épreuves en ville Très belle participation puisque parmi les équipes, une représentait l’asbl Réflexions, une autre le club André Baillon, deux le centre psychiatrique de Lierneux et le reste venait des services du secteur A d’ISoSL. La dynamique fut extraordinaire même si à certains moments ce fut difficile de caser plus de 70 personnes dans les locaux de la rue Pont Saint Nicolas. Le road book et les questions du rallye citadin 2 Point commun La salle au 1er étage de Réflexions était un peu étroite pour autant de monde Jeudi 22 mars Symposium scientifique des Journées Internationales de la schizophrénie Une septantaine de personnes étaient présentes rue des Prémontrés pour explorer les diverses visées de la schizophrénie. Le public très varié -patients, familles et professionnels d’institutions diverses- a pu suivre des exposés en matinée puis s’impliquer dans un débat autour de la maladie et de la réinsertion sociale. Le Dr Mourad en début d’exposé lors du symposium Mercredi 21 mars: Psycho-éducation libre «Le Dernier cercle» Représentation théâtrale par la troupe du Théâtre de l’Arcane avec des patients de l’hôpital psychiatrique de Valvert (France) La table ronde a réuni une quarantaine de personnes. Etudiants, familles, patients d’ici ou d’ailleurs sont venus échanger leurs points de vue sur la schizophrénie. Les questions et les réponses fusant dans tous les sens ont permis de créer des liens entre les différents points de vue. Clinique hospitalière, clinique ambulatoire, quels enjeux philosophiques ? Belle réussite sur le fond du débat avec les Dr. Kempenere, Krins et M. Jeanmart de l’asbl PhiloCité. Les intervenants (cliniciens et philosophes) ont envisagé les enjeux philosophiques que mobilisent les pratiques cliniques. Petit bémol: à peine une vingtaine de participants. Un débat un peu trop intime... Vendredi 23 mars Conférence - débats - ateliers «Du bon usage de la folie» Journée de débat dans la cadre du projet européen de théâtre-action «Terra Incognita Europe» en collaboration avec «Les Acteurs de l’Ombre». Samedi 24 mars «Noah» La troupe de «Locos po el Teatro» a présenté sa nouvelle création. Cette troupe a la particularité d’être composée pour moitié de personnes souffrant de psychose. Au départ d’expériences personnelles de membres de la troupe, la «folie» et tous les stéréotypes sont décryptés et mis en lumière. Dimanche 25 mars «Les Démasqués» «Les Acteurs de l’ombre» ont présenté leur dernière création (interprétée par des usagers d’hôpitaux psychiatriques et de Centres de Santé mentale) sur la force de l’art et de la culture en milieu de soins. 3 Point commun À Herstal un fameux carnaval au doux sejour Tout est parti d’un délire entre collègues (toutes compétences confondues) durant la pause: l’idée fut lancée de créer un spectacle dans le but de divertir sans prétention MAIS avec humour nos résidents ! Les compétences et le dynamisme de nos joyeux membres du personnel furent rapidement sollicités, exploités et encadrés afin que le bazar du début devienne un magnifique spectacle ! Des talents cachés de comédien, de chanteur, de danseur et de joyeux luron furent mis en lumière lors de cette après-midi festive . Deux vamps sarcastiques accueillirent pour une soirée télé nos spectateurs d’un jour avec en invités vedettes : Yannick, Cloclo et ses Claudettes, Dalida, Les Taloches , Isabelle Boulay, Shym, Annie Cordy, Los Del Rios (avec la macarena dansée par quelques résidents ! ) ainsi qu’une danse espagno-orientale , le tout finalisé par un « tourner de serviettes multicolores » digne d’un feu d’artifice !!! Un formidable moment où musique et éclats de rire ont mis l’ambiance dans la salle à manger ! Lors des jours qui suivirent, les souvenirs embellirent les sourires de nos résidents ! Et le 30 mars, nous avons pu revoir ce merveilleux spectacle sur grand écran ! LES VAMPS & Co 4 Point commun Pèrî quand la tv debarque... Vent de panique sur le Pèrî ce 1er mars. En matinée, un coup de fil de RTL-TVI: «Nous avons entendu parler de votre «projet lumière modulée», une équipe se rend chez vous ce matin pour faire un reportage qui passera aux infos de 13 heures...» Vite, vite, le temps de prévenir le service et de contacter les différents spécialistes pour qu’ils puissent répondre aux questions et une journaliste accompagnée d’un cameraman débarquaient vers 10h30. Quelques prises de vue, des mises en situation, des interviews et l’affaire était en boîte. 11h40, retour vers le studio de montage... «Ça va être trop juste...» «Ils n’auront pas le temps...» Mais non ! JT de 13 heures, au milieu des infos, un reportage bien ficelé, simple, clair avec le passage devant la camera de deux de nos stars... Et cerise sur le gâteau: le reportage a été rediffusé au journal du soir. Impossible de vous en parler car Point commun est déjà chez l’imprimeur, mais ce 19 avril, une conférence de presse internationale était organisée... Une première mondiale on vous dit... M.V. Si Mike Schuerch, médecin chef de services en psychogériatrie est un «vieux briscard» de la communication, il n’en allait pas de même avec Jeanne Michel, infirmière en chef. Point commun: C’était votre premier interview télévisé, comment avez-vous vécu cela ? Jeanne Michel: Enormément de stress. Je n’ai pas eu le temps de m’y préparer puisqu’ils sont arrivés presque sans prévenir et qu’ensuite les choses se sont enchaînées très vite. Un peu dépitée aussi car on ne vous laisse pas dire ce que vous voulez, la journaliste (très gentiment) m’a dit que je parlais trop et que je devais faire plus court. Logique puisque le reportage ne durait pas plus de 2 minutes. 5 Point commun Remue méninges devinettes visuelles 8 Un petit jeu pour se divertir... Vous devez retrouver l’expression qui se cache derrière ces devinettes visuelles. L I R E Exemple: Lire en diagonale 1 3 6 Point commun 2 9 4 DORMIR __________ oreille oreille 5 OURCE S vvooiirr RIENRIENRIEN Humour «ENTRE» lundi MARDI mercredi Jeudi vendredi samedi DIMANCHE 10 7 rang rang Jour jour 11 V h o IN 2 rang erret leic 6 Solutions page 15 12 PLATS p l a t s Murlais ki n’ect ? Récemment, la Résidence les Murlais ont fait l’acquisition d’une Xbox Kinect. Il s’agit d’une console de jeu qui détecte les mouvements effectués par la personne qui se tient devant le capteur. Nos résidents se transforment alors en acteurs virtuels sur le petit écran. Chaque geste est reproduit. Grâce à cela, il faut faire preuve de réflexe pour arrêter des balles ou casser des murs par exemple. On peut parler de gymnastique virtuelle et en même temps, tellement réelle ! Dans ce genre de jeu, il n’y a que 2 participants maximum. Et il est aussi difficile d’être détecté par le capteur quand on est en fauteuil. Cela n’empêche pas l’appareil de photographier les joueurs pour un feed-back ou pour déclencher les rires. Le concept est motivant et très intéressant mais reste néanmoins à adapter à chaque instant. 7 Point commun Chantal Yerna 7 Point commun documentation Agora n°5 Le SIDIIEF (Secrétariat international des infirmiers et infirmières de l’espace francophone) Je soigne une personne à domicile qui est recherchée par la justice, dois-je la dénoncer ? Ethique: le silence s’affiche. HbA1c% devient HbA1c mmol/mol. L’école d’infirmières de l’hôpital St Jean de Bruxelles 1907. Soins infirmiers en pleine conversion. L’anamnèse médicamenteuse. Agora n°6 Contention et isolement: Droits et obligations. La médecine de catastrophe, l’amour des mathématiques, sauver le plus grand nombre. Le rayonnement GSM peut être cancérigène. La thermoplastie bronchique. VIH: la contraception accroîtrait le risque de contamination. L’ergothérapie au sein des services d’aide et de soins à domicile du CPAS de Charleroi. Prescription et consultation infirmière. Mesures de polluants chez l’enfant et sa mère. Pandelé S. La grande vulnérabilité. Fin de vie - Personnes âgées - Handicap. Esquisse d’une éthique de l’accompagnement. Ed. Séli Arslan, 2008. 8 Conduite automobile et démence: une étude en hôpital de jour gériatrique. Nouvelle classification des aphasies progressives primaires et leur évaluation. Les deuils pathologiques différés en psychiatrie de l’âge avancé: clinique et psychopathologie. Adaptabilité du robot Paro dans la prise en charge de la maladie d’Alzheimer sévère de patients institutionnalisés. La Revue de Gériatrie Tome 36, n°9 Diabète du sujet âgé: état de santé, qualité de la prise en charge médicale et perspectives. Les diabétiques âgés: du vigoureux au dépendant. Le parcours de soin du sujet âgé diabétique manque-t-il de cohérence ? En France et ailleurs? Analyse de la prescription médicamenteuse potentiellement inappropriée chez des patients de plus de septante ans hospitalisés en secteur gériatrique. Implantation du système de Mesure de l’Autonomie Fonctionnelle (SMAF) dans onze milieux d’hébergement et d’aide à domicile du secteur médico-social français: étude PISE-Dordogne. La Batterie Neuropsychologique Courte (BANCO) étalonnage chez 347 sujets normaux de 50 à 92 ans. Quels sont les test utiles en première intention pour le médecin de consultation mémoire ? Troubles cognitifs en institution: sur ou sous- estimation ? Exemple d’un EHPAD français. L’apraxie: un maître symptôme du syndrome corticobasal. NPG n° 67 Psychotropes chez les personnes âgées: les précautions d’emploi poussent à la précision clinique mais certainement pas à l’abstention médicamenteuse ! Aide à l’arrêt du tabagisme chez la Le Défi (bulletin de liaison de la ligue personne âgée. Rôle soignant lorsque s’associent Huntington) n°32 vieillesse, mésusage d’alcool et maladie d’Alzheimer. Du bloc à l’espace: approche ergothérapique de la maladie d’Alzheimer pour l’aménagement du bloc sanitaire à domicile Point commun Le centre de documentation des secteurs B et C d’ISoSL se trouve dans la médiathèque située à côté de l’accueil au rez-de-chaussée du Pèrî. On peut y trouver livres, revues, K7 vidéo, DVD, concernant la médecine, le nursing, l’éthique, les problèmes sociaux, la diététique, la gestion hospitalière, la psychologie, la kinésithérapie, l’ergothérapie, la logopédie... Ces documents ne sont pas en libre-accès. Pour effectuer une recherche, contactez-moi par courrier interne, par mail ou par téléphone, je vous préparerai les ouvrages qui peuvent vous intéresser ou je vous fixerai un rendez-vous.. Les agents d’ISoSL peuvent emprunter gratuitement, les étudiants consultent sur place. Jeanine MALCHAIRE Pèrî 04/2258711, 04/2258783, [email protected] Les sommaires de Soins en gérontologie, Soins Cadres, la Revue de Gériatrie, NPG, sont envoyés dans chaque unité et MR/MRS. Si vous désirez un ou plusieurs articles, il vous suffit de me les demander par mail ou par courrier interne. ABD n°55/2 Le pancréas artificiel: un rêve devenu presque réalité. Le pancréas artificiel chez un patient diabétique de type 1. Fausses croyances et préjugés alimentaires. Acta Neurologica Belgica Vol.III, 2011-4 Pre-stroke use of statins on stroke outcome: a metaanalysis of observational studies. Factors influencing therapeutic strategy for patients with basal ganglia hemmorrhage- could age play a potential rôle in final treatment decision ? Depressive symptoms in patients admited to a semi-intensive stroke unit. Brain FDG-PET changes in ALS and ALSFTD. Neoplastic meningitis: a rare presentation of bronchial adenocarcinoma. Risques et qualité en milieu de soins Vol VIII n°4 L’information du patient suite à un dommage associé aux soins: le guide de la Haute Autorité de santé en cinq questions. Perspective sur les incidents et accidents médicamenteux en CHU. La gestion globale des risques: échanges de savoir-faire entre le secteur sanitaire et le secteur médico-social. Démarche qualité autour d’un nouvel anticoagulant en prise orale en chirurgie prothétique: le rivaroxaban Xarelto. Décentraliser la gestion des risques: une expérience au CH d’EaubonneMontmorency. Infection et chirurgie de la cataracte: ouvrez l’oeil ! Hospitals.be Vol 10 n°2 La direction et l’institution sont-elles des « third victims » ? Hôpitaux publics vs hôpitaux privés: peut-on parler de handicap ? Le lean: un outil managérial pour les hôpitaux. EMISM: une équipe mobile en santé mentale. MyUZ: les patients communiquent via l’internet. Soins Palliatifs.be n°14 Dossier: Euthanasie et soins palliatifs en Belgique, 10 ans après la dépénalisation de l’euthanasie. La loi. La mort médicalement assistée, un essai de clarification et un bilan de 9 ans d’euthanasies légales en Belgique. Regards croisés. Ne rien faire... L’euthanasie vécue par une équipe de soutien. Pour aller plus loin Les douleurs induites Dr J. Wrobel, Coordinateur technique et responsable de la publication. Institut UPSA de la douleur, 2005 Contient : causes des douleurs induites, traitement, prévention chez la personne âgée. Candelon Céline Création d’une évaluation logopédique de la parole et du langage pour des patients atteints de la maladie d’Huntington. TFE bac. logopédie, HEVL 2009/2010 Soins Cadres n° 81 Formation, coopération et validation. Des métiers en santé de niveau intermédiaire. Infirmières de pratiques avancées et défis de santé publique. Rôle de l’agence régionale de santé dans les coopérations entre professionnels de santé. La coopération entre professionnels de santé: 10 ans de réflexion, une réalité, des perspectives. Coopération entre professionnels de santé: un exercice partagé. Zoom sur un premier protocole farnçais de coopération et son arrêté d’application. Assistants en gérontologie. Un projet innovant de coopération transfrontalière.. Méthodologie ergonomique participative et qualité des soins. Accompagner la socialisation professionnelle de la génération Y. Management par la qualité et formation initiale des cadres de santé: retour d’expérience. Web 2.0 et synergie avec l’université. Réingénierie de la formation de cadre de santé. NPG n°68 Quelle place pour les 60-75 ans en EHPAD ? Gliomes du sujet âgé. Gliomes de haut grade chez le sujet âgé: place de la chirurgie. La compréhension de gestes pseudo-linguistiques dans la maladie d’Alzheimer. Etude des formes de rupture entre le soma et la psyché dans l’âge avancé à la lueur du concept de Spaltung. Valeur pronostique péjorative du temps passé sur le sol après une chute à domicile: étude chez 47 patients hospitalisés en court séjour gériatrique. Infection à VIH chez le sujet âgé: à propos d’un cas. La Revue de gériatrie ,tome37,n°2 Qualité de vie en EHPAD. La vie sociale des résidents en EHPAD. Volet 3. Le rôle du melphalan dans le tratement du myélome multiple. L’ivresse alcoolique après 60 ans. Une occurrence non exceptionnelle à l’hôpital. Infection urinaire du sujet âgé. Regards croisés sur les atteintes à la sécurité des personnes âgées. Le vieillissement réussi: de la norme au désir. Le tandem psycho-kiné: une démarche clinique pluriprofessionnelle innovante en gériatrie. Lutter contre la dénutrition des malades d’Alzheimer, un exemple. Vivre en milieu fermé: « comparaison entre la vie des reclus en 1960 et la vie en maison de retraite de nos jours ». Le Tako-tsubo, une pathologie encore méconnue de la femme âgée ? Rein en fer à cheval, découverte gériatrique. Education du Patient et Enjeux de santé Vol. 29-n°1 Dossier: 15 projets « Information des patients en milieu hospitalier ». Création d’un point info et d’une biblio- thèque didactique pour les patients. Des informations sur l’hôpital accessible aux enfants A l’écoute des enfants de parents souffrant de problèmes psychiatriques Site Internet sur les soins de stomathérapie et formation du personnel infirmier de référence en stomathérapie. Informations données aux patients à propos de leur traitement. Campagne d’information sur les droits des patients; brochure et service dédiés à l’hospitalisation sous contrainte. Communication et recherche de partenariat autour de l’interculturalité. Mise sur pied et accompagnement de comités de patients. Borne d’information des patients. Prise de décision partagée et utilisation d’Internet dans le traitement résidentiel des dépendances. Information de l’enfant hospitalisé et de sa famille par le jeu et des techniques audiovisuelles. Films éducatifs sur la prévention en matière de santé et explication du fonctionnement du service des urgences. La gériatrie sans tabou; l’usage des supports multimédias. Droits des patients mineurs: une campagne d’information. Carnet de bord; brochure pour le patient et sa famille. Education du Patient et Enjeux de santé Vol. 29 -n°2-3 La psychoéducation, le groupe et le sujet. L’éducation thérapeutique dans le travail biographique de la personne atteinte de sclérose en plaque. Genèse d’une nouvelle association professionnelle: quand le dynamisme des uns dépasse les espérances. Première pratique de l’éducation thérapeutique des patients atteints de troubles schizophréniques. L’annonce d’un diagnostic de maladie chronique chez l’enfant. Education du Patient et Enjeux de santé Vol.29- n°4 Comment intégrer l’éducation du patient à l’hôpital ? Démontrer l’efficacité de l’Education du patient... mais quelle efficacité ? L’Education Thérapeutique des Patients: quelle efficacité ? L’histoire de l’éducation du patient en Hollande. Les aspects pharmaco-économiques du manque d’adhésion: une meilleure adhésion aux traitements peut-elle réduire le coût des soins de santé ? Education du patient: un défi pour l’hôpital! Comment concilier efficacité, individualité et qualité de vie des patients ? Le point de vue éthique. L’éducation du patient au Centre Hospitalier Régional de la Citadelle: un exemple de coordination. L’éducation du patient au CHRU de Montpellier: « De l’émergence d’une politique de promotion de la santé à la structuration d’un dispositif de soutien à l’Education Thérapeutique du Patient ». L’éducation du patient au Centre Hospitalier Chrétien de Liège: l’affaire de tous. Limiter les risques de la contention physique de la personne âgée. Agence nationale d’Accréditation et d’Evaluation en santé, 2000. Promouvoir le développement et l’intégration des équipes mobiles de soins palliatifs à l’hôpital. Cinquième prgramme-cadre 1998-2002. Qualité de la vie et gestion des ressources du vivant. Commission européennne, recherche communautaire. un nouveau concept: la donnerie Depuis quelques temps il existe à liège une «donnerie» de personne à personne sans intermédiaire. Le concept est assez simple : EN PRATIQUE : 1) Il s’agit de s’inscrire à un mail collectif en enregistrant son adresse mail sur la page suivante : http://listes.agora.eu.org/ listinfo/donnerie-liege (mailing liste non commerciale) 2) Une fois inscrit, on reçoit les mails envoyés par les autres personnes inscrites. Dans l’objet du mail il est annoncé, par exemple, «RECHERCHE 4 chaises en bon état....» ou bien «DONNE une table basse.....». Si l’on est intéressé, il suffit de répondre directement à la personne et s’arranger avec elle pour donner ou recevoir les objets, sans argent. 3) Lorsque l’on souhaite soi-même communiquer que l’on donne ou recherche un objet, il suffit de rédiger un e-mail qui explique, plus ou moins précisément, ce que l’on donne ou recherche et de mettre en objet du mail l’un des deux mots clé : «recherche...» ou «donne....». Enfin, on envoie le mail à tous le monde via cette adresse : [email protected]. Il n’y a plus qu’à attendre les réponses par mail des personnes intéressées. LA PHILOSOPHIE : «Nous possédons tous des objets utiles et encore en bon état, mais dont nous n’avons plus l’usage. Si nous pensons qu’ils pourraient intéresser quelqu’un, souvent nous ne savons à qui les donner. Alors comment éviter le gaspillage et faire plaisir? La donnerie ! Les dons et demandes se font par mail : soit vous proposez quelque chose à donner, soit vous demandez un objet. (voir en pratique ci-dessus) Il n’y a ensuite plus qu’à accueillir la personne pour lui céder votre bien ou aller le chercher ! Les membres d’une donnerie se réunissant sur base géographique, vous n’êtes jamais très loin de votre objet. Gratuite, sans obligation, conviviale, écolo et facile, goûter à la donnerie, c’est l’adopter !» 9 Point commun 10 Si le Valdor m’était conté 1952 l’affaire est dans le sac... La porte se referma. L’inspecteur Minet fut d’abord surpris par l’atmosphère qui régnait dans la pièce: le rai de lumière où dansait des mouchettes, l’odeur bizarre, le silence, et cette balance monumentale qui le regardait de son gros oeil méchant... Il se revit petit garçon, tremblant de peur en bas des escaliers chez ses grands parents à Fléron, quand on l’envoyait chercher des conserves à la cave ! Il frissonna un peu, alluma une cigarette et débarassa le cadavre des draps qui l’entouraient. Le corps était tout nu, en effet. C’était un homme d’une trentaine d’années, mince mais musclé, avec un visage avenant et des cheveux blonds coupés en brosse. Il n’y avait pas de traces de coups ni de sang, mais une mince ligne violacée autour du cou. Un étranglement... avec une corde, un fil de fer... un cordon de tissu ? L’autopsie le dirait bientôt. Alphonse Minet sortit et donna l’ordre de conduire le corps rue Dos-Fanchon à l’Institut médico-légal. Mais il était agacé, il sentait que quelque chose lui avait échappé, un détail qui ne collait pas avec le reste et qu’ il n’arrivait pas à préciser.... Il fit quelque pas dehors, respira un bon coup et se sentit mieux. Il apella Pierrot, le brigadier, et se fit expliquer comment les sacs arrivaient jusqu’à la buanderie. C’était assez simple, en somme. L’ouvrier de service allait les chercher dans le bâtiment central , les entassait sur une charrette puis traversait le parc pour les acheminer vers les services généraux. C’était Marcel qui était de service ce matin. Il n’avait rien remarqué de particulier, les sacs de draps pesaient parfois très lourds, il n’y faisait plus attention. Ce matin, il avait rempli cinq fois sa charrette et il ne s’était arrêté qu’une fois dans le parc pour... un besoin pressant. L’inspecteur Minet voulait savoir aussi à quoi correspon- Point commun suite daient les chiffres et les lettres imprimés sur les sacs. Il entra dans la buanderie et posa la question à une jolie rousse au nez retroussé qui prit beaucoup de temps à lui expliquer que cela correspondait à la salle et au contenu du sac: draps, alèses, essuies, gants de toilette, ou alors linge de corps, cache-poussière ou pyjamas mais on n’y trouvait jamais de vêtements civils puisque les pensionnaires portaient les tenues imposées par l’hôpital. Mais où diable étaient les vêtements de l’inconnu ? Par acquis de conscience, Minet envoya un agent explorer les buissons du parc et le remblai du chemin de fer... Midi sonnait au clocher de St Remacle et l’inspecteur se sentit une petite faim. Il s’engagea dans la rue Basse-Wez bien décidé à s’accorder un boulet frites à la friture du coin et faillit tomber sur une poubelle qui débordait sur le trottoir.... Nom di dju ! les poubelles bien sûr ! Il fit appeler deux jeunes agents qui arrivèrent sur leur vélo, très fiers de participer pour la première fois de leur vie à une enquête pour meurtre. Ils furent vite dépités quand l’inspecteur leur donna pour mission de rechercher dans les poubelles des vêtements masculins d’allure moderne ! Réconforté par son repas et ses deux verres de bière, Minet reprit le chemin de la rue des Prébendiers. Il remarqua un attroupement devant la buanderie: c’était l’agent Pardon qui brandissait comme un trophée une cordelette qu’il avait trouvé dans les massifs de rosiers devant le Valdor. « C’est l’arme du crime, y’ a du sang dessus ! » déclarait-il aux ouvrières qui l’écoutaient bouche bée. Le grand Pierrot y jeta un coup d’oeil et goguenard, lui coupa son effet: « Ça ? C’est la corde aux bouchers ! Vous voyez inspecteur c’est le bâtiment là-bas » et il ajouta d’un air important « Circulez, y ‘ a rien à voir, tout l’ monde à son poste ». La pluie s’était mise à tomber. Une pluie de giboulée, qui s’arrêta aussi vite qu’elle avait commencé. Minet vit alors au bout du chemin, deux silhouettes encapuchonnées qui couraient vers lui en gesticulant. C’était les deux fouilleurs de poubelles. Ils étaient trempés, sales et dégagaient une odeur nauséabonde. Mais ils avaient trouvé ! Tout fiers, ils déposèrent sur le bureau un pantalon de toile beige, une ceinture, des chaussures brunes et une chemise à manches courtes en toile blanche. Ils retinrent leur souffle quand l’inspecteur fouilla les poches du pantalon et en sortit ce qui semblait être un document imprimé. C’était un titre d’embarquement sur le paquebot Thysville qui assurait la liaison Matadi-Anvers et il était établi au nom de Henri Trousseaux. Le mort avait un nom et il venait du Congo... L’inspecteur Minet trouva enfin le détail qui lui avait échappé dans le local aux sacs de linge. Le cadavre avait le visage, les bras et les jambes bronzés. C’ était celui de quelqu’un qui vivait en short et chemisette au soleil . À suivre.... Jeanine Malchaire ISoSL les uns et les autres... REFLEXIONS Emmanuelle BALTHAZART, psychologue les embauches LE VALDOR Koffi AGBEWOANOU, ouvrier Alphonsine NYAMPUNDU, ouvrière Katia FUGARINO, infirmière brevetée Gilles LAMBRECHT, infirmier breveté Anna-Maria SCIARA, assistante logistique Émile USABWIMANA, employé d’administration LE PETIT BOURGOGNE Manuela SANSONETTI, infirmière brevetée Jonathan PONSART, moniteur d’éducation physique Slimane KNAR, infirmier breveté Laetitia BARBIER, infirmière brevetée Sébastien GIHOUL, éducateur Claudia DI MARCO, assistante sociale Christiane LEROY, aide-soignante Rebecca CHAOUAT, psychologue Marie-Christine DODRIMONT, graduée en droit LE PÈRÎ Caroline CHARLIER, assistante logistique Jérôme DETOURNAY, ouvrier Aurélie LAMBERT, aide-soignante Marguerite SOHET, ouvrière AGORA Brice LALLEMAND, éducateur Nathalie SCHENATO, infirmière bachelière Nathalie HEINS, infirmière bachelière Tiffanie ONKELINX, éducatrice Fabienne JASPERS, ouvrière Sophie TAMBOUR, psychologue M’hand OUCHEN, infirmier breveté LES TROIS ROIS Marina ATZENI, logopède LES SAULES Régine TOPPETS, ouvrière Harmony DECLERCQ, infirmière LES CHEMIIN DE LONCIN Francesca MARTINEZ, ouvrière Muriel SOORS, aide-soignante Suite à plusieurs plaintes et dans le respect de la vie privée, Point commun ne communiquera plus automatiquement les informations sur les mariages et les naissances. Dorénavant, si un agent désire que ce genre d’annonce soit éditée, il doit avertir personnellement le bureau de la rédaction par mail, par lettre ou par téléphone. Toutefois, nous continuerons à faire paraître les hommages écrits par les collègues d’un agent décédé. les retraites LE PETIT BOURGOGNE Bernadette VLIERMAEL le 31 mars LE VALDOR Monceef SAADAOUI le 31 mars Robert ADAM le 31 mars Marie-Cécile VOSSEN le 30 avril Zenia LACINA le 30 avril LE PÈRÎ Émile BRASSEUR le 1er juin Geneviève GILLET le 1er juin Geneviève VALLEM le 7 juin Jeanine HANOSSET le 1er mai AGORA Jacqueline DELCHAMBRE le 11 mars 11 Point commun ONSSAPL service social collectif Mme Lennertz s’occupait du Service Social Collectif de l’ONSSAPL depuis de nombreuses années. Malheureusement, suite à une longue maladie, elle nous a quitté début d’année. Sa remplaçante vient de reprendre le flambeau. Voici donc l’occasion de vous la présenter et de rappeler ce que vous pouvez obtenir de ce service. M.V. Laurence Missa est la nouvelle assitante sociale qui s’occupera des dossiers ISoSL. Liégeoise et fraîchement diplômée en 2010, elle travaille avec notre intercommunale depuis fin janvier de cette année. Point commun: Comment qualifieriez-vous le travail de l’assistante sociale pour le Service Social Collectif ? Laurence Missa: C’est un travail de terrain très riche et très varié. Il faut être à l’écoute, être disponible et trouver des moments privilégiés qui permettent aux agents de venir me trouver pendant leurs heures de travail. 12 Point commun Pc: Quelles genres de situations rencontrez-vous le plus souvent ? L.M.: Souvent des situations difficiles, financièrement lourdes et qui ont un réel impact sur la vie de tous les jours (l’alimentation et les besoins de base). Grâce à notre réseau de connaissance des différents organismes d’aide, des solutions et des orientations peuvent être proposées à ces agents. Pc: Quel est votre charge de travail à ISoSL ? L.M.: Je fais un jour et demi de permanence par mois, plus les courriers et les rapports. Pc: Rappelez-nous les jours de permanences ? L.M.: Au Valdor: le 4ème mardi du mois de 13h30 à 15h30. Pour le Pèrî et Agora, c’est aussi le 4ème mardi du mois mais de 10h00 à 12h30; les mois pairs au Pèrî et les mois impairs à Agora. Et au Petit-Bourgogne, le 3ème mardi du mois de 9h00 à 12h00. Les agents peuvent aussi me contacter sur le GSM: 0473/63 72 03 ou par mail à [email protected] quelles sont les ,interventions proposees ? Les interventions «non-automatiques»: Le Service social collectif, c’est avant tout une équipe d’assistants sociaux qui tentent de répondre de manière professionnelle aux différentes demandes des personnes bénéficiaires. Ces aides peuvent prendre différentes formes: démarches sociales, collaborations de terrain, aides psycho-sociales et /ou matérielles… Les interventions «automatiques»: Les éventuelles interventions financières sont toujours déterminées en fonction de la situation spécifique des bénéficiaires demandeurs (composition du ménage, rentrées et sorties financières) et concernent principalement les frais de santé au sens large : frais médicaux et pharmaceutiques, paramédicaux (dentisterie, orthodontie, lunetterie…), hospitalisation (après les mutuelles et assurances éventuelles)… Un formulaire administratif suffit à introduire la demande. Prime de naissance ou d’adoption: Forfait de 50,00€ à chaque naissance ou adoption. Intervention pour un enfant handicapé: 100,00€ en juillet de chaque année aux bénéficiaires qui, en juin, ont droit aux allocations familiales majorées pour un enfant reconnu handicapé. D’autres aides peuvent être octroyées, de manière plus exceptionnelle pour les personnes qui éprouvent des difficultés spécifiques comme par exemple des frais scolaires de type exceptionnel, des difficultés pour constituer une garantie locative … Prime de mariage ou de cohabitation légale: Lorsque vous vous mariez, prime de 100,00€. Si votre conjoint ou conjointe travaille aussi dans une administration affiliée, vous bénéficiez chacun de cette prime. En cas de cohabitation légale, vous devez fournir une attestation de l’administration communale. Les assistants sociaux du Service social collectif sont bien évidemment soumis au secret professionnel et sont complètement indépendants des employeurs. Les dossiers sont gérés de manière tout à fait anonyme et l’employeur n’est jamais au courant de qui a un dossier et encore moins de ce qu’il contient. Prime de mise à la pension: Prime de 105,00€ après 5 années de service au minimum qui précèdent la mise à la pension. Les années de service prises en compte pour le calcul de la pension constituent la base de référence de la prime. Prime de vacances: Prime de 5,00€ par jour versée pour l’enfant de 18 ans maximum participant à des vacances commandées auprès de l’asbl POLLEN. Maximum de 50,00€ par année et par enfant. Outre les permanences régulières, les assistants sociaux effectuent également des visites au domicile des personnes demandeuses et peuvent évidement se rendre sur les lieux du travail en dehors des périodes de permanences lorsque la situation le nécessite. Voici quelques moyens pour prendre contact : - - - - Via l’assistante sociale responsable de la Province de Liège : Laurence MISSA au 02/239 12 83 ou au 0473/63 72 03, [email protected] Via l’assistante sociale en chef : Martine BEGUIN au 02/239 12 81 ou 0473/63 72 01, [email protected] Via l’adresse générique suivante [email protected] Par courrier au Service social collectif, rue Joseph II, 47 à 1000 BRUXELLES 13 Point commun Attractivité le futur personnel infirmier ? Comme on le sait, les institutions hospitalières éprouvent des difficultés à recruter du personnel infirmier et paramédical. On parle même de pénurie sur le marché de l’emploi. Dans ce contexte, ISoSl a décidé d’organiser, pour les étudiants suivant ce genre d’études, une après-midi «attractivité ». Le but : convaincre les futurs diplômés de rejoindre notre intercommunale. Henri Hoac, stagiaire à la cellule communication Une soixantaine d’étudiants de 3ème et 4ème années étaient présents le mercredi 21 mars sur le site Valdor pour participer à une après-midi l’attractivite pour le futur personnel infirmier. Des témoignages timides au départ Tout a commencé timidement. Des nouveaux agents ISoSL sont venus s’exprimer sur leur métier et le dialogue avec les invités a pris un peu de temps à se mettre en route. Mais petit à petit, les échanges sont devenus plus spontanés. Une ambiance plus détendue Le témoignage de Vincent Richardeau, infirmier en chef de la Résidence « Les Saules », a souligné l’avantage des formations offertes par ISoSL en cours de carrière. Il a rappelé qu’il a débuté en bas de l’échelle en tant qu’assistant en soins hospitaliers. C’est selon lui un métier en évolution par rapport à la demande croissante de personnel et de techniques spécifiques et il a terminé son intervention avec une question intéressante : « Réfléchissons maintenant à quoi ressemblera l’infirmier de demain ». Un point fort à ISoSL Il est apparu à plusieurs reprises lors des témoignages des agents qu’ISoSL offre une ambiance de qualité interrelationnelle aussi bien vis à vis des patients ou des résidents qu’entre collègues. Intermède d’improvisation L’après-midi a été animée par deux comédiens dynamiques qui improvisaient des saynètes à partir de mots lancés par le public. Parmi les thèmes tournés en dérision: la myopie, la g... de bois ou encore le fécalome. Des impros bien ciblées Ils ont créé une franche hilarité générale et ont époustouflé les étudiants et les agents ISoSl car ils ont admirablement mimé les déboires du quotidien pas banal d’un infirmier débutant. Tout le monde a adoré. Ouvertures des stands À la clôture de cet intermède, les étudiants pouvaient se présenter aux stands du service du personnel pour poser des questions complémentaires ou encore pour remplir des formulaires de candidature à l’emploi. Il est également ressorti des échanges qu’être infirmier implique des horaires avec pause, ce qui n’est pas toujours évident à concilier avec une vie de famille. Dans le panel des étudiants présents, on a relevé une préférence pour la gériatrie hospitalière, ensuite pour 14 Point commun Un des nouveaux agents fait part de son expérience à ISoSL la santé mentale et enfin, pour le secteur MR MRS. On constate également que les valeurs éthiques véhiculées par l’institution sont un point fort. La proximité domicile-lieu de travail est également un critère essentiel pour les futurs travailleurs. Faire partie d’une équipe soudée et travailler dans une ambiance conviviale constitue également un point fort. Le salaire est une question qui n’a pas été abordée en grand groupe En conclusion La formule « après-midi attractivité » a emporté un franc succès. Il est évident que la ligue d’impro y est pour quelque chose... Les directrices des départements infirmiers en hôtes du jour ISoSL un peu de tout ... Merci à Marie-Jeanne et Jeanine, deux des collaboratrices de Point commun pour être toujours à l’affut d’ homonymes et autres homophones... Le petit Robert (2012) nouveau est arrivé Un lecteur assidu nous a signalé que le Petit Robert 2012 avait fait quelques aménagements dans certaines définitions. Jugez-en plutôt: Etre au bout du rouleau: Situation très peu confortable, surtout lorsqu’on est aux toilettes. Facebook: Le seul endroit où tu parles à un mur sans être ridicule. GPS: Seule femme que les hommes écoutent pour trouver leur chemin. Autobus: Véhicule qui roule deux fois plus vite quand on court après que quand on est assis dedans. Taser: Instrument utilisé afin de mieux faire passer le courant entre la police et la jeunesse. Mozart: Célèbre compositeur que l’on écoute le plus souvent dans les pizzerias car on sent bien que mozzarella. QUE PENSAIT-IL ? Personne n’a voulu ou osé répondre ! Peut-être parce que c’est le patron ? Les solutions de notre petit jeu des devinettes visuelles: 1) Trois fois rien 2) Sens de l’humour 3) Entre guillemets 4) Voir en double 5) Dormir sur ses deux oreilles 6) Retourner ciel et terre 7) Grossir les rangs 8) Les jours se suivent mais ne se ressemblent pas 9) Eau de source 10) Jour après jour 11) Mettre de l’eau dans son vin 12) Mettre les petits plats dans les grands Porte-clefs: Invention très pratique qui permet de perdre toutes ses clefs d’un seul coup au lieu de les perdre une par une. Etat: Système mafieux le mieux organisé de tous les temps. Cravate: Accessoire servant à indiquer la direction du cerveau de l’homme. Voiture: Invention ingénieuse permettant d’avoir 110 chevaux dans le moteur et un âne au volant. Parents: Deux personnes qui t’apprennent à marcher et à parler pour ensuite te dire de t’asseoir et de fermer ta gueule. Égalité des sexes: Nouveau concept créé par les hommes pour ne plus payer le restaurant. 15 Point commun les «caktus» a isosl , Petit Bourgogne nouveau service hospitalier pour adolescents sur le secteur a Un service hospitalier psychiatrique pour 15 adolescents, de 13 à 18 ans, verra le jour prochainement au sein du Petit Bourgogne avec l’objectif de prendre en charge des jeunes en « Situation Éducative Problématique ». Dr Didier Wégimont Ce service vient compléter le dispositif de soins existant composé des Cyprès; de l’équipe mobile MiKado; des lits de crise et de l’équipe mobile EMAS du CHR La Citadelle; des lits de crise précédemment présents aux Coquelicots 12 et de la Coordination du trajet de soins. Il permettra une prise en charge optimalisée et plus fluide des demandes d’hospitalisation et d’y effectuer des prises en charge à visée diagnostique et thérapeutique sur du court et moyen terme (1 à 6 mois), d’y réaliser des bilans psycho-médicosociaux, d’assurer des prises en charge temporaires de jeunes venant d’autres institutions ou encore d’accueillir des mesures de mises en observation. « Aïe! Aïe! Aïe! Ouille! Aïe! Aïe! Aïe! », disait Jacques Dutronc. Mais pour ceux qui prendront la peine d’y regarder de plus près, ils s’apercevront que les « CaKtuS », c’est autre chose que « piquant » ! 16 Point commun «L’adolescence est comme un cactus» Anaïs NIN Les Cactus et l’adolescence ont de nombreux points communs. En effet, les cactus possèdent des épines leur servant de protection contre les agressions extérieures tout en étant, aussi, une interface entre son « intérieur » et l’extérieur, sorte d’antenne de captage. Il en existe de nombreuses variétés, la plupart provenant du « Nouveau Monde » et étant des espèces protégées. Ils ont, en outre, des capacités d’adaptation importantes à des conditions de vie difficiles et pourront, lors de moments de variations radicales de leur environnement, fleurir et produire des fruits comestibles. Au-delà de l’aspect ornemental, ils sont aussi utilisés comme haies ou clôtures naturelles, comme bois de chauffage ou de construction. On notera, enfin, ses qualités d’ordre alimentaires: L’eau contenue dans certaines espèces s’avère parfois vitale pour certains explorateurs égarés. Le sirop de cactus et la réalisation de salades sont d’autres ressources de cette espèce végétale. Ainsi, l’adolescence pourra se montrer piquante, à l’écoute de « l’extérieur » et de « l’intérieur », être séduisante et attirante, en déséquilibre, avec des capacités impressionnantes à résister, s’adapter, rebondir, se construire et se déployer. Encore un peu dans l’enfance, elle reste protégée. Elle demeure, enfin, à l’instar des propriétés comestibles des cactus, une source de réflexion, d’inspiration et de création -d’aliment- pour les sociétés. Dès lors, les CaKtuS auront cet objectif complexe mais attrayant de soutenir ces adolescents en difficulté psychique dans leur cheminement vers ce « Nouveau Monde »: l’âge adulte. Birsen Engin, ici à droite sur la photo, avec une nouvelle équipe qui ne manque pas de piquant Point commun: Mme Engin, que ressentez-vous d’être la future infirmière en chef de ce nouveau service ? Birsen Engin: Beaucoup d’enthousiasme. C’est un grand challenge de pouvoir piloter cette nouvelle unité. P.C.: Un grand challenge, dans quel sens ? B.E.: J’ai débuté carrière en faisant plusieurs remplacements puis j’ai été infirmière en chef de quatre unités différentes au Petit-Bourgogne. Ici, c’est quelque chose que j’ai choisi de faire. En plus, ce ne sera pas évident de gérer ce genre d’adolescents; la barrière est haute et il faudra qu’on réussisse. , la nouvelle equipe des caktus Birsen ENGIN, infirmière en chef Jonathan PONSART, moniteur d’éducation physique, psychomotricité Marylène LEONARD, infirmière Sabrina DE HAN, éducatrice sociale spécialisée Wendy NIJS, éducatrice Sébastien GIHOUL, éducateur spécialisé Laetitia BARBIER, infirmière Cindy MATHIEU, infirmière psychiatrique Roger NGIMBI, kinésithérapeute Ruth UWIZEYE, infirmière Amandine GODIN, ergothérapeute Slimane KNAR, infirmier Didier WEGIMONT, pédopsychiatre Virginie GEORIS, psychologue Manuela SANSONETTI, infirmière Gauthier NAILIS, kinésithérapeute Marie-Josette RACOT, éducatrice sociale spécialisée Caroline FRISCHEN, psychologue Sabine TRECKELS, assistante sociale Orianne WILLEMS, éducatrice Frédéric HAMELS, éducateur P.C.: Il y a beaucoup de préparation, beaucoup de formations, n’estce pas trop lourd ? B.E.: C’est lourd physiquement car il y a beaucoup de déplacements pour aller voir ailleurs ce que les autres font mais c’est psychologiquement enrichissant. Nous avons maintenant des visions multiples de notre démarche grâce à ces échanges et ces immersions. Il y a une dimension humaine dans les contacts de la nouvelle équipe qui m’impressionne; ils sont bienveillants les uns vis-à-vis des autres et ils vivent une espèce de trip commun. C’est difficile de travailler avec des ados sans être dans cette logique. P.C.: Toutes ces formations, ça sert à souder l’équipe ? B.E.: Oui, c’est une grande opportunité qui nous est offerte et il y a un grand élan vers la réussite. Nous sommes fiers et contents qu’ISoSL porte un projet pareil et ouvre ses portes aux adolescents en difficultés. le carnaval: une fete, une tradition, une institution ! Mercredi 14 mars. La résidence Saint Léonard a accueilli dans ses murs et en primeur le Prince Carnaval du WeHeLO: Maxime 1er. David Collard C’est maintenant une tradition, nos collègues de la Résidence Saint Léonard de Welkenraedt ont accueilli le Prince Carnaval quelques jours avant le Laetare et son cortège. La venue du Prince est un moment haut en couleurs, le Prince du WeHeLo (Welkenraedt – Herbesthal – Lontzen) faisant profiter l’ensemble des résidents du folklore carnavalesque. Pas moins de 75 résidents accompagnés de collègues et de bénévoles se sont mobilisés dans la joie et la bonne humeur. Le menu était assez simple : un Prince et ses accompagnateurs, des costumes reflétant le souci du détail, de l’enthousiasme, de la bonne humeur, quelques farandoles et de la décoration de circonstance. Vous prenez ces ingrédients, vous les agrémentez de la venue de l’asbl « Le temps de vivre » et de ses bénévoles, le tout couronné par « Radio Sunshine » qui s’occupait de sonoriser la fête. Tous les résidents participent à cet événement majeur Le résultat donne naturellement des visages illuminés et des regards pétillants. Notons que l’édition 2013 se déroulera dans la nouvelle résidence avec encore plus d’espace disponible. Serait-ce l’occasion pour les collègues d’autres sites d’aller à la rencontre de nos collègues de Welkenraedt… ? En ce qui me concerne, je serai au rendez vous ! Le Prince Carnaval «Maxime 1er» Le carnaval, une fête et une tradition pour tous Hedy et Klaus Et ses accompagnateurs Chapeaux et serpentins