Prise de vue - Page perso de Dominique Bounie, Polytech`Lille-IAAL
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Prise de vue - Page perso de Dominique Bounie, Polytech`Lille-IAAL
Page 1 3. Prise de vue D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 2 Mesure de la lumière avec posemètre intégré (mesure TTL – Through The Lens) Mesure TTL de la lumière réfléchie Mesure multizone Mesure pondérée centrale Problème : le processeur ajuste l’ouverture du diaphragme pour caler la luminosité mesurée du sujet sur une valeur standard de 18% de gris (« gris neutre ») Æ la neige ainsi photographiée n’est jamais totalement blanche (pareil pour un chat noir) Æ surexposer (ou sous-exposer) la photo ou mesurer la lumière incidente (posemètre séparé) Mesure ponctuelle D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 3 Mesure de la lumière avec posemètre séparé Mesure lumière réfléchie Mesure lumière incidente D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Éclairage en studio : détails d’un travail « Composition hivernale » Page 4 in « Reflex(e) Numérique » 1. 2. 3. 4. 5. Créer le bonhomme de neige en polystyrène, le placer devant le fond et derrière une fenêtre. Eclairer de côté le bonhomme avec une lampe HMI (température de couleur identique à celle du jour). Eclairer le bouteilles et les verres avec une lumière tungstène adoucie par un diffuseur. Régler la balance des blancs sur Tungstène (donne une tonalité tirant sur le bleu). Placer un réflecteur de l’autre côté pour renvoyer la lumière sur les objets. Retouche finale avec Photoshop. D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Scénographie : scénarisation par les décors Page 5 L’homme canon, de Michel Lagarde, http://www.michellagarde.com Lire ici l’histoire de la réalisation de ce cliché (http://photos-lm.chez.tiscali.fr/html/texte_technique.html) D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 6 Composition : quelques règles de base Les plans de cadrage Plan général Très gros plan Plan d’ensemble Gros plan Plan Moyen Plan rapproche Plan américain D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 7 Composition : quelques règles de base Direction de cadrage et sens de lecture Cadrage horizontal « mode paysage » Cadrage vertical « mode portrait » Æ sensation de sérénité Æ sensation de dynamisme D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 8 Composition : quelques règles de base le Nombre d’Or (1,618) : méthode d’obtention et principe a a a b a a+b Nombre d’Or : « rapport entre la + grande et la + petite partie équivaut au rapport entre le tout et la plus grande partie » Æ Donne un aspect esthétique et agréable à l’oeil a a+b = = 1,618 b a et b a = 0,618 (= 1,618 – 1) D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 9 Composition : quelques règles de base du Nombre d’Or à la règle des tiers a = a+b 1/3 a b = 0,618 ~ 2/3 a 2/3 b 1/3 2/3 lignes de force points forts • diviser l’image en 3x3 • éviter de centrer le sujet • placer les éléments linéaires sur les lignes de force (par ex. pour l’horizon) • placer les sujets/objets clés sur les points forts • positionner d’autres sujets/objets sur des points forts situés en contrepoint du point principal D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 10 Composition : quelques règles de base Gestion des couleurs – rappels : la roue des couleurs en photographie ou pour le Web (http://www.webwhirlers.com/colors/colorinfo.asp) Ecran : couleurs additives • deux couleurs opposées sont dites complémentaires (ex : R et C) • le complémentaire d’une couleur primaire est une couleur secondaire (et réciproquement) Æ Application : pour réduire l’intensité d’une couleur, on augmente sa complémentaire (ex : R Ì quand C Ê) et réciproquement R M B J V C Couleurs primaires : R, V, B Couleurs secondaires : C, M, J (ou couleurs fondamentales) Couleurs tertiaires : autres • chaque couleur secondaire est obtenue par combinaison de deux couleurs primaires (ex : M = R + B) • chaque couleur primaire est obtenue par combinaison de deux couleurs secondaires (ex : V = J + C) D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 11 Composition : quelques règles de base Gestion des couleurs – rappels : la roue des couleurs en peinture (http://www.atollduweb.net/Peinture/Technique/TexteRoueChrom.php) Peinture : couleurs soustractives • Couleurs primaires : Jaune (A), Bleu (B), Rouge (C) (en réalité : jaune, cyan, magenta) • Couleurs secondaires : combinaison 2 à 2 de couleurs primaires : Vert (A2) = Jaune (A) + Bleu (B) Violet (B2) = Bleu (B) + Rouge (C) Orange (C2) = Rouge (C) + Jaune (A) • Couleurs tertiaires (anneau périphérique) = combinaisons de 3 couleurs primaires (c’est-à-dire de 2 couleurs secondaires entre elles ou avec 1 couleur primaire) : bruns, ocres, couleurs de terre… Ex. : brun D1 = rouge (C) + petite quantité de vert (A2) (+ éventuellement un peu de blanc) D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 12 Composition : quelques règles de base Gestion des couleurs : combinaison de teintes (d’après documentation Epson) Couleurs adjacentes Couleurs similaires (non adjacentes) Couleurs intermédiaires (à 90°) Couleurs conflictuelles (discordantes) Couleurs complémentaires Association de couleurs chaudes et froides (la couleur froide doit être majoritaire sur l’image et la couleur chaude réservée pour mettre en avant certains points de détail) D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 13 Composition : quelques règles de base Gestion des couleurs : harmonisation tonale (d’après documentation Epson) Ton = luminance + teinte tons chauds : jaune, rouge, orange, brun tons froids : bleu, vert Espace de Munsell Combinaison à tons identiques v: vif b: lumineux s: fort dp: profond lt: clair st: doux d: fade dk: sombre p: pale ltg: grisâtre léger g: grisâtre dkg: grisâtre sombre w: blanc ltGy: gris clair mGy: gris moyen dkGy: gris sombre Bk: noir Combinaison à tons similaires Combinaison à tons contrastants D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 14 Composition : quelques règles de base Gestion des couleurs : harmonisation des couleurs selon la théorie de Johannes Itten (1961) (d’après documentation Epson) voir : couleurs et lisibilité Harmonie à deux couleurs = couleurs complémentaires Harmonie à trois couleurs Harmonie à quatre couleurs Harmonie à six couleurs D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 15 Composition : quelques règles de base Gestion des couleurs : code des couleurs Couleur Symbolique associée Blanc Pureté, chasteté, innocence, spiritualité ; lumière, paix, perfection ; légèreté Noir Sobriété, élégance, richesse, luxe, succès Autorité, puissance, dignité, pouvoir, menace Mystère, occultisme Austérité, mal, mort, deuil, tristesse, désespoir, peur, mélancolie, culpabilité, destruction, anarchisme (réduit impression de volume) Gis Dépression, tristesse, solitude, désarroi Modernité Bleu Intériorisation, anti-stress (fraîcheur, sécurité, sérieux, pureté, harmonie, légèreté ; spiritualité, philosophie) Bleu foncé : sûreté, luxe, sécurité Rouge Extériorisation, passion, amour, puissance, pulsion sexuelle, chaleur Luxure, tentation, feu, destruction, mort Puissance, pouvoir, instinct combatif, agressivité, vigueur, vitalité Joie de vivre, optimisme Interdit, danger Vert Equilibre, calme, nature, santé ; espoir, autorisation ; dureté, inflexibilité (mais aussi malchance, poison ; immaturité, manque d’expérience) Jaune Richesse, père, joie, bonne humeur, idéalisme, optimisme ; vitalité Maladie, honte, trahison, vieillissement, lâcheté Orange Energie ; initiative, désir, excitation, joie ; vitalité, abondance, satiété Donne l’impression d’agrandir une surface, un volume Violet Noblesse ; jalousie Pastels Atténuent l’effet de leur couleur dominante D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 16 Composition : quelques règles de base Gestion des couleurs : visibilité comparée des couples de couleur objet/fond (d’après K. Borgraffe) Du plus voyant au moins visible D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 17 Composition : quelques règles de base Langage des formes Droite : Courbe(s) : Æ rigueur, décision Æ ennui Æ plénitude, féminité Ligne brisée : Flèche : Æ agitation, confusion Æ mouvement Verticale(s) : Horizontale(s) : Oblique(s) : Courbe(s) : Æ force, dignité, vérité Æ rigidité, immobilisme Æ calme, repos, tranquillité Æ sensation de mort Æ mouvement, dynamisme Æ plénitude, féminité Carré : Cercle : Losange : Spirale : Æ dynamisme, mouvement Æ stabilité, immobilisme Æ harmonie, douceur, perfection, Æ vie, passage, échange Æ objectivité Æ infini, absolu Triangle ascendant : Triangle descendant : Æ solidité, spiritualité Æ harmonie, proportion sécurité Æ instabilité, insécurité Rectangle horizontal : Rectangle vertical : Æ lourdeur, froideur Æ légèreté, puissance D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 18 Mode automatique/manuel Mode « programme » • l’appareil ne prend en charge que les réglages de vitesse et d’ouverture • l’utilisateur règle l’activation du flash, la sensibilité Mode « automatique » • l’appareil prend en charge l’ensemble et la balance des blancs • sécurité avec petite créativité des réglages d’exposition • facilité mais faible créativité Mode « priorité à la vitesse » • l’utilisateur règle la vitesse, l’appareil se chargeant alors d’optimiser l’ouverture • privilégie l’action (déplacements rapides : sport) Mode « manuel » • l’utilisateur prend en charge tous les réglages • créativité maximale mais nécessite une forte réactivité et une parfaite maîtrise de la photo Mode « priorité à l’ouverture » • l’utilisateur règle l’ouverture, l’appareil se chargeant alors d’optimiser la vitesse • privilégie le réglage de la profondeur de champ (grande ouverture = faible profondeur de champ Æ meilleur mise évidence d’un objet/personne) D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 19 Sensibilité « ISO » Appareils argentiques Appareils numériques • ISO = sensibilité du film à la lumière (sa rapidité à réagir à la lumière) : le doublement de la sensibilité ISO équivaut à augmenter l’ouverture d’une valeur de diaphragme ; • l’utilisation de films « rapides » (ISO élevé) génère du « grain » au tirage • ISO = sensibilité du capteur numérique, liée à la taille de ses pixels : à taille égale, plus un capteur a de pixels, plus sa sensibilité est élevée mais moins sa résolution est bonne ; • l’augmentation de sensibilité par amplification du signal électrique génère du « bruit » Plus la valeur ISO est élevée : – plus le film est sensible, – plus on peut utiliser des vitesses rapides ou de faibles ouvertures, – plus le grain au tirage est important. Plus la valeur ISO est élevée : – plus la sensibilité du capteur est forcée, – plus on peut utiliser des vitesses rapides ou de faibles ouvertures, – plus le « bruit » est important, d’autant plus que le rapport (nombre des pixels ) / (taille des capteurs) est élevé. D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique La température de couleur et l’équilibrage des blancs 2200 K Lever de soleil 2400 K Lampe acétylène 3400 K Lampe flood 2900 K Halogène domestique 3800 K Lampe flash blanche 4000-5000 K Tube fluo Page 20 5600 K 10000 K Lampes HMI Ciel bleu clair 5000 K Lampe flash bleue 6000 K Lumière blanche Ciel couvert 3000 K Coucher de soleil 5500 K Lumière du jour http://perso.wanadoo.fr/2.8/fiches/tc.htm#tc D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 21 Réglage balance des blancs (1/2) Effet du réglage de la balance des blancs pour une même condition d’éclairage (lumière du jour) (document Konica/Minolta) L'effet le plus naturel est obtenu grâce à une balance des blancs manuelle à partir d'un objet gris neutre D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 22 Réglage balance des blancs (2/2) Effet de différents éclairages pour un même réglage de la balance des blancs (« lumière du jour ») (document Konica/Minolta) D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 23 Formats de fichiers graphiques Compression des données Utilisation en PAO Utilisation pour Internet Couches Sélections enregistrées Tracés enregistrés Adobe Photoshop (.psd) non non non oui oui oui GIF (.gif) oui non oui non non non JPEG (.jpg) oui non oui non non oui Photoshop EPS (.eps) non oui non non non oui PICT (.pct) non non non non non oui PNG (.png) oui non oui non oui oui TIFF (.tif) oui (LZW) oui non non oui oui RAW (+ données EXIF) Non non non non non non (ou très faible) Formats graphiques les plus couramment proposés sur les APN Format Raw : « contient les informations brutes enregistrées par le capteur de l'appareil photo, sans aucun des traitements de linéarisation, dématriçage, contraste, luminosité ou saturation, nécessaires pour produire une image lisible » (Wikipédia) D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 24 Formats Raw vs. Jpeg (ou Tiff) : la chaîne de traitement Interpolation de Bayer Fichier RAW données sur 12 bits Interpolation de Bayer Balance des blancs Contraste Saturation Netteté, piqué Etc. Compression Jpeg Fichier Jpeg Balance des blancs Contraste Saturation Piqué Etc. Compression Jpeg Fichier Jpeg données sur 8 bits données sur 8 ou 16 bits Ordinateur données sur 8 bits Impression Electronique de sortie (lecture, amplification, conversion A/N) Réglage Iso Retouche CAPTEUR APN Fichier TIFF Logiciel (ou plug-in) constructeur APN D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 25 Usages des différents fichiers graphiques d’APN Raw Tiff Jpeg Non Non Oui Données complètes Oui issues du capteur (EXIF) Non Non Conversion nécessaire Oui Non Non Taille du fichier Grande Très grande Moyenne à petite Usages • image identique à celle produite par le capteur • nécessite un posttraitement sur ordinateur • conversion consommatrice de temps • sans artéfacts de compression • fichier enregistré après traitement interne • fichier sauvegardé après traitement interne • artefacts de compression possibles Perte de qualité d’après Reflex(e) Numérique D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Mécanisme de mise au point ∞ PFi Pi PFi PFi Pi Page 26 • Le capteur est placé dans le plan focal • Pour une prise de vue sur l’infini, le plan focal et le plan image se confondent Pi • Pour un objet rapproché, le plan image est en retrait du plan focal : sur le capteur, l’image est floue • Par un mécanisme interne, les lentilles internes de l’objectif sont ajustées de façon à ce que le plan image se confonde à nouveau avec le plan focal • L’image est nette D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Profondeur de champ et paramètres influents Page 27 • La profondeur de champ est la zone dans laquelle on peut déplacer un objet sans perdre de sa netteté au niveau de son image photographique A une ouverture de 16, la scène est nette : • entre 2,8 m et l’infini Echelle télémétrique • entre 0,80 m et 1,20 m Echelle de profondeur de champ (graduée en diaphragmes) Objectif Zone de netteté (ou de profondeur de champ) • La profondeur de champ diminue : - lorsque la distance de mise au point diminue - lorsque l’on ouvre le diaphragme - lorsque la distance focale de l’objectif augmente D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 28 Mise au point hyperfocale (voir : http://www.arnaudfrichphoto.com/profondeur_champ_hyperfocale.htm) 1. Mise au point sur l’infini ∞ Plan de mise au point profondeur de champ hyperfocale = distance minimale (qui dépend de la focale et de l'ouverture) à partir de laquelle l'image est nette jusqu'à l'infini. 2. Mise au point sur l’hyperfocale profondeur de champ gain de profondeur de champ D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Transfert/stockage : connectique et protocoles Types de liaison Filaire • Série • Parallèle (ex. cartes Flash) • SCSI (Small Computer Serial Interface) • USB (Universal Serial Bus) (connection à chaud) - USB 1.1 (1,5 Mo/s) - USB 2 (60 Mo/s) • Firewire (IEEE-1394) (50-100 Mo/s, connection à chaud) Page 29 Protocoles • TWAIN (Tehnology Without A Name) • WIA (Windows Image Acquisition) : Windows Me, XP • Protocoles propriétaires (Nikon, Minolta, Canon) Sans-fil • Infrarouge : IRdA (portée moyenne, débit élevé, directionnel) • Radio : Bluetooth (très courte portée, faible débit) • Hyperfréquence : WiFi (Wireless Fidelity) (portée et débit importants, non directionnel) - norme 802.11b - norme 802.11G (haut débit) D. Bounie, Polytech'Lille – IAAL, Photographie numérique Page 30 Rapport format fichier initial / taille tirage photo (d’après document FNAC) Fichier (résolution min. conseillée : 200 dpi Type d’appareil Définition (VxH) Nombre de pixels Poids fichier du Jpeg fermé ouvert (compressé)* (décompressé) <1 MégaPixel 640 x 480 307 200 116 Ko 900 Ko 1 MégaPixel 1280 x 960 1 228 800 373 Ko 3,5 Mo 2 MégaPixel 1600 x 1200 1 920 000 423 Ko 5,4 Mo 3 MégaPixel 2000 x 1500 3 145 728 612 Ko 8,6 Mo 4 MégaPixel 2400 x 1800 4 320 000 774 Ko 12,3 Mo 5 MégaPixel 2650 x 2000 5 320 000 978 Ko 15,2 Mo 6 MégaPixel 3000 x 2000 6 000 000 1,2 Mo 19 Mo 8 MégaPixel 1250 x 2450 7 987 000 1,5 Mo 22,9 Mo * A titre indicatif selon le taux de compression et le type de prise de vue Calculé sur un équivalent de compression moyenne (8 sur une échelle de 12 sur Photoshop) Formats de tirage 6 x8 9 x 12 10 x 13 11,5 x 15 13 x 17 20 x 27 50 x 70 insuffisant : < 200 dpi bien adapté : 200 dpi acceptable : 120 à 200 dpi surdimensionné : > 250 dpi D. 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