la taillanderie de nans-sous-sainte-anne

Transcription

la taillanderie de nans-sous-sainte-anne
Musées des techniques et cultures comtoises
La taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne
Dossier de presse
2009
LA TAILLANDERIE
DE NANS-SOUS-SAINTE-ANNE
(Doubs)
Dossier de presse
2009
Histoire de la taillanderie
Visite guidée
Les chiffres clés et les grandes dates de la taillanderie
Informations pratiques
Contact presse et visuels
p.2
p.5
p.7
p.8
p.9
Un musée dans un réseau régional
La taillanderie : un site labellisé
La taillanderie expliquée aux enfants
Bibliographie sélective de la taillanderie
p.10
p.11
p.11
p.12
Musée Musées des techniques et cultures comtoises
1
Musées des techniques et cultures comtoises
La taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne
Dossier de presse
2009
Histoire de la taillanderie
Nichée dans une vallée
verdoyante du Doubs, la
taillanderie de Nanssous-Sainte-Anne, fermeatelier fabriquant des
faux et des outils
taillants, a été fondée en
1798.
e
Une ferme-atelier du 18 siècle
C’est la famille Lagrange qui l’exploite de façon plutôt saisonnière jusqu’en
1865. Mise en faillite, la fabrique d’Arsène Lagrange est vendue à LouisJoseph Philibert, taillandier originaire de Ferrière-sous-Jougne.
Une histoire de famille
La mort prématurée de ce
dernier en 1867 provoque la
constitution d’une « frérèche »
entre ses cinq fils.
Des trésors d'ingéniosité
La taillanderie va longtemps
prospérer à la pointe du
progrès technique d'alors.
Témoin de cette notoriété : la
turbine, la machine Gramme
permettant de fabriquer du
courant continu et le moteur semi-diesel destinés à pallier les irrégularités de
l'énergie hydraulique. Autant d'innovations présentées aujourd'hui au visiteur,
aux côtés des impressionnants martinets de forges et soufflets en chêne.
L'un des plus important site de production d'outils taillants de France
En activité jusqu’en 1969, la taillanderie a longtemps été l'un des plus
importants sites de production de faux et outils taillants de France.
Après avoir démoli les vieilles
bâtisses, les membres de la
famille Philibert ont reconstruit
eux-mêmes d’après leurs
propres plans la taillanderie
telle que nous pouvons la voir
aujourd’hui.
Musée Musées des techniques et cultures comtoises
2
Musées des techniques et cultures comtoises
La taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne
Dossier de presse
2009
L'importance de l'eau
Le débit relativement régulier de l’Arcange, affluent du Lison, permet
l’utilisation technologique de la roue hydraulique. En 1890, l’adjonction d’une
turbine et d’une machine Gramme parachève le dynamisme de l’entreprise
Philibert Frères.
Jusqu'à 35 000 outils fabriqués par an
La taillanderie atteindra son apogée entre 1890 et 1914, période pendant
laquelle elle emploie 25 personnes et où la production annuelle atteint 35 000
outils dont plus de 20 000 faux, soit le vingtième du marché français.
La mécanisation marque la fin de la ferme-atelier
Les premières difficultés interviennent suite à la mobilisation de la première
guerre mondiale mais surtout avec la mécanisation dans l’agriculture.
L’utilisation de la faucheuse mécanique se généralise et les systèmes
hydrauliques sont concurrencés par les moteurs électriques.
Le nombre d’ouvriers passe de 25 en 1890 à 8 en 1939. La production n’est
alors plus que de 10 000 outils par an et lors de la fermeture en 1969, il ne
restait que 3 ouvriers fabriquant annuellement 3000 outils.
Musée Musées des techniques et cultures comtoises
3
Musées des techniques et cultures comtoises
La taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne
Dossier de presse
2009
Un patrimoine, aujourd'hui, conservé et protégé
Vendus aux enchères, en 1970, les bâtiments appartiennent aujourd’hui à
Monsieur et Madame Freyburger.
La taillanderie est intégrée depuis 1979 au réseau des Musées des
techniques et cultures comtoises qui assure la responsabilité scientifique et la
conservation des collections présentées au public.
C’est grâce au respect que la famille Freyburger porte à la remise en état
de cette ferme-atelier que l’on peut découvrir aujourd’hui ce témoignage
exceptionnel du patrimoine industriel et rural régional.
Musée Musées des techniques et cultures comtoises
4
Musées des techniques et cultures comtoises
La taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne
Dossier de presse
2009
Visite guidée de la taillanderie
La visite permet de comprendre la fabrication d'une faux, ou comment la force
de l'eau et le génie de l'homme permettent façonnage du fer.
Le visiteur pénètre dans les bâtiments par la halle à charbon reconvertie en
espace d’accueil.
L’enseigne de la fabrique
Philibert Frères et le vaste
comptoir en forme de lame de
faux évoquent immédiatement
l’activité principale du site.
La visite débute au rez-dechaussée par les ateliers de
forge avec une imposante
machinerie hydraulique. Les
différentes étapes de la
fabrication d’une faux, d’un
lopin d’acier à la lame finie,
sont présentées au visiteur.
« Pour fabriquer une faux, on prend un lopin d’acier mesurant de 15 à 20 cm
de long, on le chauffe au rouge dans les fours »
La visite se poursuit par l’atelier de finition, situé à mi-niveau.
« Les machines : meules à aiguiser, meules à polir, perceuse sur colonne et
les martinets…. »
Musée Musées des techniques et cultures comtoises
5
Musées des techniques et cultures comtoises
La taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne
Dossier de presse
2009
Au niveau supérieur se trouvent les ateliers annexes ainsi que les
aménagements hydrauliques de la taillanderie.
« Ces derniers se composent de deux installations distinctes, le bief -ou
retenue d'eau- alimenté par un canal qui dévie le cours du ruisseau 150 m en
amont de la taillanderie et d'autre part une grande roue métallique à augets
alimentée par un aqueduc suspendu… »
Des soufflets uniques en Europe
Dans la salle dite de "la soufflerie",
les visiteurs peuvent découvrir deux
pièces uniques en Europe. Il s'agit,
ici, des 2 soufflets qui servent à
alimenter les forges de la taillanderie.
La machine soufflante a été installée en 1887, elle produit un courant d'air
continu, les deux soufflets fonctionnant en alternance. (l’un aspire pendant
que l’autre expire)
L’air est envoyé via un réseau de "tuyères" parcourant la taillanderie,
jusqu’aux foyers de la salle des forges pour en aviver le feu.
Les soufflets entièrement réalisés en chêne sont actionnés grâce à l'énergie
de la roue hydraulique extérieure.
Les deux soufflets qui constituent la machine sont entièrement en bois, sans
cuir, ce qui les rend unique en Europe. Ils sont mis en fonctionnement lors des
visites. La machine soufflante est classée au titre des Monuments Historiques.
Dans l’ancien magasin, sont présentés environ 100 modèles de faux et autant
d’outils taillants… »
La visite se termine dans le « dortoir des célibataires » par la découverte de
l’exposition permanente qui retrace l’histoire et le fonctionnement de la
taillanderie ainsi que les conditions de vie et de travail des ouvriers entre 1865
et 1969, date de la cessation d’activité.
À voir également : un film sur le métier de taillandier et un second sur la
fabrication d'une faux.
Musée Musées des techniques et cultures comtoises
6
Musées des techniques et cultures comtoises
La taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne
Dossier de presse
2009
Les chiffres clés de la taillanderie
e
-
Au début du XX la taillanderie fabrique 35 000 outils taillants par an dont
20000 faux.
-
Entre 1892 et 1904, la taillanderie produit près de 180 modèles de faux
(chaque région agricole utilisant son propre modèle de faux).
-
Il faut 10 personnes pour fabriquer une faux et près de 15 ans
d'expérience pour maîtriser l'art de fabriquer une faux.
-
2 roues de 5 mètres de diamètre actionnent 4 gros martinets de forge de
40 kg à 250 kg qui battent le fer à raison de 150 coups/min pour la
fabrication de lames de faux.
-
Aujourd'hui la collection de la taillanderie représente près de 1700 objets
(machines, pinces, soufflets, martinets...) inventoriés dont près de 400
faux.
-
Depuis 1995, la taillanderie accueille en moyenne 25 000 visiteurs par
an.
Les grandes dates de la taillanderie
1970 : Acquisition de la Taillanderie par l’actuel propriétaire, M. Freyburger.
1976 - 1977 : Premiers travaux de restauration engagés par le propriétaire.
1978 : Ouverture de la taillanderie au public.
1979 : Rattachement de la taillanderie à l’Association comtoise des arts et
traditions populaires (aujourd’hui Musées des techniques et cultures
comtoises).
e
1981 : La taillanderie obtient le 3 prix au concours national des « Chefs
d’œuvre en péril ».
1983 : Installation de l’exposition permanente.
1984 : La taillanderie est classée Monument historique (en totalité)
2004 : La taillanderie reçoit le prix “coup de coeur” des Européennes : Cette
récompense est décernée par un jury de 14 femmes originaires de différents
pays d’Europe.
Musée Musées des techniques et cultures comtoises
7
Musées des techniques et cultures comtoises
La taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne
Dossier de presse
2009
Informations pratiques
Renseignements
Michel Debray
La taillanderie
Lieu-dit “La Doye”
25330 Nans-sous-Sainte-Anne
Tél. 00 33- (0)3 81 86 64 18
Fax 00 33- (0)3 81 86 54 70
[email protected]
Visite guidée
Durée : 1h
Traductions des visites en anglais,
allemand et néerlandais
Ouverture
Ouvert les dimanches, jours fériés et pendant les vacances scolaires :
- en mars et nov : 14h – 18h
Ouvert tous les jours :
- en avril et oct : 14h – 18h
- en mai, juin et sept : 10h – 12h30 et 14h – 18h30
- en juillet-août : 10h – 19h
Fermé le reste de l’année
Accueil des groupes tous les jours sur réservation :
du 1er mars au 30 novembre : 9h - 18h
Tarifs
Individuel :
De 4,20 ! à 5,20 !
Gratuit pour les moins de 6 ans
Groupe : (À partir de 15 personnes)
Adulte : 4,20 !
Étudiant : 3,50 !
Scolaire : 2,50 !
Services :
Parking autocars
Boutique
Distributeur de boisson
À proximité de la taillanderie :
- Laiterie du Lison à Nans-sous-Sainte-Anne (500 m)
- Gîte du Lison accueil : escalade, spéléologie, via ferrata, via corda, canoë,
kayak et VTT, Nans-sous-Sainte-Anne (500 m)
- Source du Lison à Nans-sous-Sainte-Anne (500 m)
- Salines de Salins-les-Bains et le musée du Sel (15 km)
Musée Musées des techniques et cultures comtoises
8
Musées des techniques et cultures comtoises
La taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne
Dossier de presse
2009
Contact presse
Pour les Musées des techniques et cultures comtoises
Estelle Morfin
Responsable du département des publics et des relations presse
Musées des techniques et cultures comtoises
Rue des Prémoureaux
39110 Salins-les-Bains
www.musees-des-techniques.org
Tél. 00 33 (0)3 84 73 22 04 – 00 33 (0)6 79 84 50 63
Fax 00 33 (0)3 84 37 99 69
Courriel : [email protected]
Visuels haute définition et libres de droits disponibles sur simple demande aux
Musées des techniques et cultures comtoises.
Pour la taillanderie
Michel Debray
La taillanderie
Lieu-dit “La Doye”
25330 Nans-sous-Sainte-Anne
Tél. 00 33- (0)3 81 86 64 18 - Fax 00 33 (0)3 81 86 54 70
Courriel : [email protected]
La réalisation de ce dossier de presse a reçu
le soutien financier du Conseil général du Doubs
Crédits photographiques :
!Musées des techniques
et cultures comtoises / cl. JB.Mérillot
`
Musée Musées des techniques et cultures comtoises
9
Musées des techniques et cultures comtoises
La taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne
Dossier de presse
2009
Un musée dans un réseau régional
La mise en place en Franche-Comté d’un réseau de musées à la fois régional
et thématique constitue une expérience encore unique à ce jour dans le
paysage muséal français. En Europe, deux régions mettent en oeuvre un
modèle similaire : la Westphalie en Allemagne et la Catalogne en Espagne.
Certes, la Franche-Comté partage avec d’autres régions une même volonté
de conservation du patrimoine industriel et ethnologique, lequel est
progressivement reconnu à l’égal des autres patrimoines, artistique ou
naturel.
Mais alors qu’ailleurs le mouvement est issu d’initiatives individuelles
organisées au mieux à l’échelle départementale, lorsqu’elles ne demeurent
pas isolées, ce mouvement émane en Franche-Comté directement des
instances régionales et de l'Etat.
Un grand musée régional
Original également dans son fonctionnement, le réseau des Musées des
techniques et cultures comtoises réunit des sites qui ne sont pas tous dotés
en interne d’équipe scientifique ou de conservateur.
Le réseau constitue ainsi un seul musée à l’échelle régionale, dont
l’administration et les services sont installés à Salins-les-Bains, et les salles
d’exposition éclatées sur l’ensemble de la Franche-Comté. En y amplifiant la
présence et l’offre culturelles, les Musées des techniques et cultures
comtoises participent à l’aménagement du territoire.
Des moyens mutualisés
Les musées adhérents tirent de leur appartenance au réseau un certain
nombre d’avantages : ils bénéficient ainsi de moyens collectifs
supplémentaires, sous forme de personnels et d’équipements, et peuvent
organiser des opérations dont ils n’auraient pu supporter seuls le coût
(expositions, développement de programmes éducatifs, actions de
communication, productions audiovisuelles…).
Chaque lieu étant représentatif d’un aspect du patrimoine industriel local, il
devient complémentaire et solidaire de tous les autres. À l’intérieur de ce
grand musée régional éclaté, une même exposition temporaire peut itinérer en
apportant sur chaque site un éclairage différent. La mise en réseau crée ainsi
une synergie entre les musées adhérents, qui se traduit en outre par des
échanges de publics.
Une offre culturelle valorisée
Grâce à ses programmes de formation, de rénovation et d’équipement des
sites ou encore à ses publications (revues thématiques, ouvrages, dossiers
pédagogiques…), le réseau des Musées des techniques et cultures comtoises
contribue à l’amélioration de l’offre de ses sites adhérents pour satisfaire les
exigences d’un tourisme culturel de qualité.
Musée Musées des techniques et cultures comtoises
10
Musées des techniques et cultures comtoises
La taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne
Dossier de presse
2009
La taillanderie : un site labellisé
La taillanderie abrite deux soufflets de forges exceptionnels. Uniques en
Europe ils ont dans un premier temps été classés au titre des Monuments
Historiques. En 1984, c'est la taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne qui a été
classée dans sa totalité aux Monuments Historiques.
Un monument historique est, en France, un monument qui a été classé ou
inscrit comme tel afin de le protéger, du fait de son histoire ou de son
architecture remarquable.
Primée en 1981 au concours national des Chefs d'oeuvre en péril, la
taillanderie représente un témoignage du patrimoine architectural et technique
régional de première importance.
La taillanderie expliquée aux enfants
La taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne est un témoignage vivant des
nombreuses activités industrielles installées dans le Doubs au fil de l'eau.
Les enseignants peuvent organiser des visites de ce site pour sensibiliser les
élèves à la notion de conservation du patrimoine mais aussi pour illustrer leurs
cours sur les énergies et notamment l'énergie hydraulique. A noter, qu'il est
possible de coupler cette visite à celle des salines de Salins-les-Bains (situées
à 15 km). En effet, ces 2 sites utilisent l'énergie hydraulique pour faire
fonctionner leurs machines.
Les Musées des techniques et cultures comtoises mettent à la disposition des
enseignants des outils pédagogiques pour préparer et exploiter la visite de la
taillanderie.
À titre d'exemple : la visite de la taillanderie peut être suivie d'un atelier sur
les transmissions de mouvements à partir d'une maquette Lego.
Les élèves reconstituent un ensemble de mécanismes reproduisant
fidèlement certaines des machines observables à la taillanderie de Nanssous-Sainte-Anne.
Musée Musées des techniques et cultures comtoises
11
Musées des techniques et cultures comtoises
La taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne
Dossier de presse
2009
Bibliographie sélective de la taillanderie
Ouvrages sur la taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne
- BRELOT, Claude-Isabelle, et MAYAUD, Jean-Luc. La taillanderie de Nanssous-Sainte-Anne (Doubs). Paris : Garnier frères, 1982. 277 p.
ISBN 2-7050-0433-5.
- MARCOTTE, Christian. La machine dynamo-électrique de Gramme : étude
d’histoire technique pour la mise en valeur de la dynamo Gramme de la
taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne. Salins-les-Bains : Musées des
techniques et cultures comtoises, 2004. 55 p.-38 p. d’ann.
Documents pédagogiques
- MARKARIAN, Philippe (dir.), DEBRAY, Nicolas, et MARCHAL JeanBaptiste. Taillanderie de Nans-sous-Sainte-Anne : dossier pédagogique de
préparation et d’exploitation de la visite de la taillanderie. Salins-les-Bains :
Musées des techniques et cultures comtoises, 2001. 74 p.
ISBN 2-911484-03-7.
- TAINTURIER, Laurent. Malette pédagogique ”Mémoires de l’eau”. Salinsles-Bains : Musées des techniques et cultures comtoises, s.d.
(Visite conjointe de la taillanderie et des Salines de Salins-les-bains)
Ouvrages relatifs à la faux.
- BARBE, Noël. Usage(s) de faux. Salins-les-Bains : Musées des techniques
et cultures comtoises, 1997. 9 p.
- BARBE, Noël, et SEVIN, Jean-Christophe. Enquête sur les rites de début et
de fin de moisson en Franche-Comté. Salins-les-Bains : Musées des
techniques et cultures comtoises, 1998. Non paginé.
- VERNUS, Michel. La faux : de l’outil au symbole. Salins-les-bains : Musées
des techniques et cultures comtoises, 2005. 68 p. (Collection Paroles
d’objets). ISBN 2-911484-10-X.
Romans
- ANTOINE, Pierre. Les martinets de l’Arcange. Levallois-Perret : Maé-Erti,
2000. 387 p. ISBN 2-84601-690-9.
- ANTOINE, Pierre. Les feux éteints. Levallois-Perret : Maé-Erti, 2002. 307 p
ISBN 2-84601-703-4.
- PILHES, René-Victor. La faux. Paris : A. Michel, 1993. 281 p. ISBN 2-22606504-0.
Films
- L’écho des derniers taillandiers : François Royet. Salins-les-Bains : Musées
des techniques et cultures comtoises, 1996. 19 min. Coll. Les gens d’ici.
- Faux et usages de faux : Laurent Lutaud. Salins-les-Bains : Musées des
techniques et cultures comtoises, 2000. 26 min. Coll. Des outils et des
hommes.
Musée Musées des techniques et cultures comtoises
12