31 mars 1999 - La Voix Acadienne
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31 mars 1999 - La Voix Acadienne
Les &Changes avec Carleton se précisent Une délkgation de la zlille de Carleton en Gasphie e’taif dans la région Évangéline enfin de semaine. Sur la photo, on zwit Lorraine Gallant, présidente d’Abram-Village, Wilfied Arsenault et Pauline Gallant de la Société de dézwloppemerlf de la Baie acadienne, Marc Tétreault , maire de la ville de Carleton et Carol Gallant, présidente de la conknauté de Wellington. (Photo : Marcia Enman) Pur Jucinfhe IAFOREST Pour faire suite à la visite récente d’une délégation de la région Évangéline à Carleton en Gaspésie, une délégation de cette ville s’est rendue dans la région Évangéline durant la fin de semaine du 19,20 et 21 mars. Cette délégation incluait le maire de la ville ‘de Carleton, Marc Tétrault, dont l’arrière grand-père maternel, un Poirier, était né à Mont-Carmel. Marc Tétreault explique que le projet d’échange entre. les deux régions ne s’est pas développé en un jour. Cela a commencé il y a plusieurs mois lorsque des gens de Carleton ont rencontré des gens de la région Évangéline, dans le cadre d’un congrès qui se déroulait dans l’ouest du pays. De là, on a maintenu les contacts et on a profité du programme de la Fédération canadienne des municipalités pour encadrer des rencontres exploratoires. (<L’élément déclencheur p o u r nous, cela a vraiment été la Société éducative et l’utilisation qu’on y fait des nouvelles tech- m A , n nologies. C’est vraiment cela qui a motivé notre prise de contact» dit Marc Tétreault. De fait, un projet concret est en cours dans le cadre duquel des gens de la SE et de Cifta communications aident les gens de Carleton a faire le saut dans les NTIC. «On aimerait établir un projet similaire. Notre centre d’études collégiales s’intéresse à l’éducation à distance; le concept de télécommunauté, on trouve cela très intéressant aussi. Cela fait longtemps qu’on jongle avec l’idée d’utiliser les NTIC l - pour briser les distances. Étant donné qu’il y a chez-vous une expertise, que les relations sont bonnes, on va de l’avant» dit M. Tétreault. La délégation de Carleton savait qu’elle allait trouver des réponses dans le domaine des NTIC. «Ce qui nous a surpris, par contre, c’est le dynamisme et le fonctionnement de la Société de développement, qui est propriétaire de trois centres commerciaux majeurs. Cheznous, ce n’est pas un automatisme. Et d’ailleurs, ce rôle est joué par l’entreprise privée», dit M. Tétreault. Le dynamisme du secteur coopératif a aussi agréablement surpris la délégation, qui comptait la présidente de la coopérative de développement régional, Jacinthe Cyr. «Il y a un mouvement coopératif chez nous, mais il n’est pas développé de façon aussi intensive» dit Marc Tétreault. En général, les gens de Carleton ont trouvé, tout comme les gens de la région Évangéline avant eux, que les deux régions avaient beaucoup en commun. La région Evangéline a un économusée, Carleton a un projet en développement. Ils ont un terrain de golf en construction, le nôtre est en développement. Une autre chose qui a surpris la délégation de Carleton est le fait qu’il y ait des parties de la région Evangéline qui échappent au contrôle des administrations municipales. * / Franco Com 99 .- une foire commerciale internationale à l’image des partena,riats de la francophonie mondiale . Les produits et services du Canada atlantique seront à l’avant scène de la Foire commerciale internationale «Franco Com 99» qui aura lieu à Dieppe (Nouveau-Brunswick) du 24 au 26 août 1999 au Palais Crystal. Tous les pays de la francophonie mondiale sont conviés à cet événement en marge du VIII’ Sommet de la Francophonie. Franco Com 99 vise à établir des partenariats entre les entreprises des pays de la francophonie et celles des provinces de l’Atlantique déjà présentes sur la scène internationale ou qui veulent s’y lancer. Une cinquantaine d’entreprises des provinces de l’Atlantique seront choisies sur le volet en fonction des besoins répertoriés par les délégués commerciaux du Canada. Les organisateurs prévoient qu’environ 250 personnes du mqnde francophone et du Canada atlantique seront regroupées sous la bannière de Franco Com 99 pour amorcer un dialogue commercial qui devrait se traduire par la création de partenariats. «En tant que principal représentant du gouvernement canadien en Atlantique, I’APÉCA agit en qualité de coordonnateur fédéral désigné des activités économiques en marge du Sommet», a indiqué Madame Claudette Bradshaw, ministre du Travail et députée fédérale pour Moncton-RiverviewDieppe. Le Solliciteur général du N.-B., James Lockyer, estime pour sa part que la Foire commerciale internationale sera une occasion unique pour les entreprises du Nouveau-Brunswick et des autres provinces de l’Atlantique d’identifier de nouvelles possibilités d e p a r t e n a r i a t e t d’échange commerciaux avec le reste du monde francophone. «Franco Com 99 va non seulement engendrer des retombées commerciales importantes dans divers secteurs d’activités, mais aussi faire connaître davantage l’expertise et le talent de nos entrepreneurs sur la scène internationale», croit-il. «Nos gens d’affaires pourront mettre en évidence leur potentiel commercial dans le but de développer des partenariats durables avec la Francophonie», a précisé le président du comité organisateur et directeur exécutif du Conseil économique du N.-B., Ronald Drisdelle. Les secteurs thématiques de Franco Com 99 toucheront entre autres la haute technologie, l’environnement, l’agro-alimentaire, l’océanographie, les pêcheries et l’aquaculture, les services professionnels et la formation con- tinue. Ces centres d’intérêts permettront aux gens de se rencontrer, de partager, des renseignements et de conclure des discussions d’affaires. Les 250 participants à Franco Com 99 assisteront non seulement à l’exposition et aux rencontres, ils prendront part également à des sessions d’information, à des ateliers et à des visites d’entreprises. C’&t une occasion unique et exceptionnelle d’accroître les relations économiques et les échanges internationaux. Le Conseil économique du N o u v e a u - B r u n s w i c k inc.! en c o l l a b o r a t i o n a v e c l’APECA, Industrie Canada et le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international (MAECI), comptent profiter de cette fenêtre sur le monde pour favoriser des rencontres axées sur le commerce et l’exportation. Pour info, communiquer avec Ronald Drisdelle, président du comité organisateur de Franco Com ‘99 au (506) 857-3143. * Les Flyetssont les grands champions de la ligue Blair Power L’Équipe nzidget A, championne de la saison regulière et des séries dejïn de saison dans la ligue Blair Power, est composée de (au premier rang de gauche à droite) Richard Arsenault, Éric Arsenault, Jo21 Wedge, Gérald Gallant, Mario Bernard, Etzenne Gallant et Nicholas Gallant. Dans la seconde rangée, on voit Vallier Ouellette, entraîneur-chef, Corey Arsenault, Marcel Arsenault, Terty Caissie, Donald Caissie, James Richardson, Pierre Gallant, loyer Percy, Rémi Thériault, Marcel Caissie (entraîneur adjoint) et Brian Perry (gérant). Cette photo a éfé prise samedi soir, juste azmnt le début d’une séance d’entraînement, à Abrarn-I&llage. - Par Jacinthe LAFOREST * Les Flyers de W e l l i n g t o n Construction qui évoluent dans la ligue Blair Power midget A ont offert à leurs fans du beau hockey tout au long de la saison, allant même jusqu’à remporter en quatre parties la série 3 de 5 contre Montague, dans la grande finale riDC &r;oc joueurs. Cette série finale contre Montague est une surprise. Les Flyers, avec une fiche de 25 victoires, une défaite et deux matchs nuls, avaient termmé au premier rang de la ligue, pour la saison régulière. Montague avait fini au 8’ rang. Les séries ont débuté par un &fi......n: i. l- w.,A, ,T..l..r. 1-e 1" ayant nécessité une prolongation, les deux équipes étaient à égalité. Puis, jeudi dernier à Abram-Village, l’entraîneur Vallier Ouellette a réuni ses joueurs une heure avant la partie. «Je leur ai parlé pendant une demi-heure. On a revisé le plan de match. J’ai laissé la chance à chacun des joueurs de dire comment il se sentait par rapport 21, nlnn ,411 match niai 6tait nr&r,, à ses joueurs les valeurs d’équipe. «Je valorise l’équilibre au sein de l’équipe, et pas juste les records individuels», dit-il. Il semble que cette philosophie fasse des adeptes. Le gardien de but Gérald Gallant, l’un des plus jeunes joueurs sur l’équipe, a mérité récemment le trophée du meilleur gardien dè but de la ligue RIS;,. Pnwm. ni.; rnmntn ld An,,;_ Lors de la troisième partie de la finale contre Montagug disputée à Abram-Village le jeudi 25 mars, le public était survolté et suivait l’évolution de la rondelle sur la glace avec une attention soutenue. Dans les gradins, les spectateurs ponctuaient chaque geste des joueurs d’exclamations, d’applaudissements, ou encore, des soupirs AP clnl~lo~>r rnmmc. no,,* ~0 h,.t 10 Arserzatrlt, Tery Caissie, Don@d Caisste, lames Kicnarason, rwrt- UC(LIU~+ IvyG, 1 cI aJ, -._..._ _ .__. , prise samedi sou, juste avant le début d’une stance d’entraînement, à Abram-Village. ~ayant nécessité une prolongation, joueurs. Par Jacinthe IAFORESI - Les Flyers de Wellington Construction qui évoluent dans la ligue Blair Power midget A ont offert à leurs fans du beau hockey tout au long de la saison, allant même jusqu’à remporter en quatre parties la série 3 de 5 contre Montague, dans la grande finale des séries. La quatrième partie, disputée dimanche soir à Montague, s’est soldée par un compte de 3 à 2 en faveur des Flyers. Les trois buts ont été marqués par James Richardson, Nicholas Arsenault et Eric Arsenault, ce dernier ayant ete nommé le joueur le plus utile des séries. On estime à entre 200 à 300 le nombre de personnes de la région Évangéline qui se sont rendus à Montague pour voir cette partie. Alphonse Arsenault, propriétaire de Wellington Construction, le commanditaire de l’équipe, était sur place. A la fin de la partie, il a présenté à l’équipe un chèque de 200 $ pour permettre aux joueurs d’aller manger quelque part. <(On n’est pas restés très longtemps à Montague, cela aurait pu être dangereux. On a mangé à Charlottetown,surlecheminduretour». L’entraîneur-chef de l’équipe, Vallier Ouellette a indiqué lundi matin que l!atmosphère était surchauffée et que des gens ont même lancé des pierres contre l’autobus qui transportait les Cette série finale contre Montague est une surprise. Les Flyers, avec une fiche de 25 victoires, une défaite et deux matchs nuls, avaient terminé au premier rang de la ligue, pour la saison régulière. Montague avait fini au 8’ rang. Les séries ont débuté par un tournoi à la ronde entre les 14 équipes de la ligue. Entre temps, l’équipe de Montague avait recruté de nouveaux joueurs, dont une nouvelle gardienne de but, Amy Handrahan, qui était la gardienne de but de l’équipe de l’Île de hockey féminin aux récents Jeux du Canada. Rencontré la veille de la partie décisive lors d’une pratique à l’aréna d’Abram-Village, Terry Caissie, le capitaine de l’équipe, disait être conscient de l’importance de la partie. «C’est sûr qu’on veut terminer la série dimanche soir. Tout le monde dans l’équipe va travailler fort». Il est heureux de voir que la communauté les appuie. «Nos deux dernières parties ici, il y a au moins 400 à 500 personnes qui sont venues nous voir jouer. Cela nous met plus dans la partie. Cela fait du bien parce que c’est long quand même une saison et les séries. On a besoin d’encouragement quand cela arrive à la fin)). La pression sur ces jeunes hommes était très forte. Après les deux premiers matchs de la série, les deux équipes étaient à égalité. Puis, jeudi dernier à Abram-Village, l’entraîneur Vallier Ouellette a réuni ses joueurs une heure avant la partie. «Je leur ai parlé pendant une demi-heure. On a revisé le plan de match. J’ai laissé la chance à chacun des joueurs de dire comment il se sentait par rapport au plan du match qui était prévu. Pour chaque partie, on établit une stratégie, un plan défensif et un plan offensif. Chaque joueur a un rôle précis à jouer sur la glace. Une fois que la partie est commencée, les joueurs n’ont pas le temps de regarder à droite et à gauche pour voir où sont leurs coéquipiers. Tous doivent avoir confiance que leurs équipiers sont là où ils doivent être». LesFlyersont remportécette partie 3 à 2, ce qui leur donnait une avance d’un match dans la série. Vallier Ouellette porte un regard satisfait sur la saison. «Ma plus grande satisfaction, c’est le développement des joueurs. Je leur donne autant de temps de glace que je peux, pour leur permettre de s’améliorer». Par contre, les joueurs doivent mériter ce temps de glace, en montrant leur engagement envers l’équipe. Vallier a refusé à des joueurs le droit de jouer, parce qu’ils avaient manqué deux à trois pratiques de suite et que cela pouvait nuire à l’équipe. Ce qui coinpte avant tout pour Vallier, c’est justement d’inculquer à ses joueurs les valeurs d’équipe. «Je valorise l’équilibre au sein dé l’équipe, et pas juste les records individuels», dit-il. Il semble que cette philosophie fasse des adeptes. Le gardien de but Gérald Gallant, l’un des plus jeunes joueurs sur I’équipe, a mérité récemment le trophée du meilleur gardien dè but de la ligue Blair Power, qui compte 14 équipes. Modeste, il réagit en disant qu’il doit une partie du crédit à l’équipe. «Je suis entouré de bons joueurs à la défense qui font leur travail» dit-il. Avant chaque match, Gérald se prépare mentalement, en libérant le plus possible son esprit des distractions qui pourraient, durant le match, ralentir ses réflexes. Sa moyenne de 1,3 buts, par match parle pour lui. A titre de comparaison, la moyenne des meilleurs gardiens de la ligue nationale de hockey peut aller jusqu’à 3,0. Gérald est le fils de Melvin et Lorraine. Terry Caissie, fils d’Yvon et Claudette, estime que son rôle de capitaine est de montrer un bon exemple, sur la glace et dans les vestiaires. Son père est un amateur de hockey. Lorsqu’il vient assister aux matches, il analyse la partie que son fils joue et tous les deux en discutent par après. «De cette facon moi j’apprends. Il y a des choses que je ne peux pas voir quand je suis sur la glace». Lors de la troisième partie de la finale contre Montague, disputée à Abram-Village le jeudi 25 mars, le public était survolté et suivait l’évolution de la rondelle sur la glace avec une attention soutenue. Dans les gradins, les spectateurs ponctuaient chaque geste des joueurs d’exclamations, d’applaudissements, ou encore, des soupirs de douleur, comme pour ce but, le premier du match, marqué par Montague à tout juste une minute de la fin de la première période. Théo et Claudette Thériault, parents de Rémi qui joue au sein de l’équipe, ont confectionné pour. les fans environ 70 petites boîtes remplies d’un quart de tasse de macaroni en coude. Ces boîtes sont distribuées au début des parties et on s’en sert pour encourager l’équipe, tout en économisant ses poumons. «La Premiere fois qu’on est arrivés avec nos boites, il y en a qui étaient gênés de s‘en servir. À la fin de la partie, ils en avaient une dans chaque main». Les Thériault avaient pris cette idée lors d’une finale des Jeux de l’Acadie. Maintenant, que la saison de hockey est finie, les joueurs n’ont plus besoin de se ‘lever tôt pour être à l’aréna à 6 h 30 un matin par semaine, ni de s’entraîneri ni de surveiller leur alimentation. E,n sont-ils heureux? «TOUS les joueurs sur l‘équipe, on aime vraiment le hockey. Quand la saison est finie, cela laisse comme un vide dans nos vies», avoue Terry Caissie. Ir La faune a besoin d’un habitat C’est Corinne qui fait la meilleure tarte Par Jacinthe fAFORES La perte d’habitats convenables constitue la principale menace qui guette la faune de nos jours. C’est dans cette optique que la Fédération canadienne de la faune (FCF) a choisi «Pour avoir un chez-soi, il faut un habitat», comme slogan de la Semaine nationale de la conservation de la faune (SNCF), qui se déroulera du 4 au 10 avril prochain. La SNCF a été instaurée en 1947 aux termes d’une loi du Parlement. Elle a toujours lieu dans la semaine qui inclut le 10 avril, date de naissance du regretté Jack Miner, un -des fondateurs du mouvement pour la conservation au Canada. . U n habitat d e q u a l i t é e s t indispensable à la survie de la faune, des êtres humains et de !a planète. Les habitats fauniques s’amenuisent à un rythme alarmant. L’activité humaine est de loin la plus grave menace qui pèse sur l’habitat de la faune. Le tourisme, le développement urbain et rural ainsi que des pratiques agricoles et forestières non durables ont un effet dévastateur sur l’habitat. La SNCF a pour but d’accroître le degré de sensibilisation aux habitats. Pour savoir comment participer à la Semaine, composer le l-BOO-563-WILD. On peut également visiter le site Web au www.cwf-fcf.org Sr Corinne Arsenault de Wellington a remporté haut la main le concours de la meilleure tarte aux pommes, organisé par la coopérative de Wellington, jeudi dernier. Le deuxième prix est allé à Yvonne Cormier et le troisième prix à Annie Arsenault. Une douzaine de personnes ont participé au concours et les trois juges, Rita Gallant, Jeanne-Mance Arsenault et Earl Arsenault ont choisi la même tarte qu’il y a deux ans, lors d’un concours semblable. ((11 y a deux ans, tout le monde m’avait demandé les épices que je mettais dedans et je ne m’attendais pas à gagner cette année» dit-elle. Corinne n’a pas Corinne Arsenault reçoit le premier prix du concours de tarte aux de recette très précise pour sa pommes que lui remet Claudette Arsenault (à droite), responsable des tarte. Elle fait toujours sa croûte fruits et légumes à la coopérative de Wellington. A gauche, on z)oit de la même façon, elle utilise Granny Smith en personne, c’est-à-dire Margaret Stinson de la des pommes du mois d’août Nouvelle-Écosse, qui a été choisie Grand-mère de l’annke en 1998-99. Qu’elle cueille chez son fils et Qu’elle congèle, elle met de la leure grand-mère du monde». l’année dernière, c’est Margaret cannelle et de la muscade. Ce concours est parrainé par Stinson de la N.-E. qui a été «Les juges regardent l’allure Coop Atlantique et l’Association choisie pour être la grand-mère de la tarte, si elle se tient bien producteurs de pommes de l’état de l’année au niveau de 1’ Atlantique et Iles-de-la-Madeleine. lorsqu’elle est tranchée, la de Washington. Sur un formulaire qu’on trouve À ce titre, elle a visité un bon présentation et finalement, le goût,). Ce dernier test est sans à la coopérative, il faut écrire un nombre de magasins situés doute celui que les juges pré- court texte d’une centaine de dans son territoire. On est à la recherche de la mots décrivant pourquoi l’on fèrent. Ce concours de tarte servait croit que notre grand-mère est Grand-mère de l’année pour 1999-2000. Le choix final sera en fait à promouvoir un autre la meilleure du monde. Au terme du concours de fait à la fin du mois d’avril. + concours, visant à élire la ((MeilL. La faune a besoin d’un habitat C’est Corinne qui fait la meilleure tarte Par Jacinthe fAFORES La perte d’habitats convenables constitue la principale menace qui guette la faune de nos jours. C’est dans cette optique que la Fédération canadienne de la faune (FCF) a choisi «Pour avoir un chez-soi, il faut un habitat», comme slogan de la Semaine nationale de la conservation de la faune (SNCF), qui se déroulera du 4 au 10 avril prochain. La SNCF a été instaurée en 1947 aux termes d’une loi du Parlement. Elle a toujours lieu dans la semaine qui inclut le 10 avril, date de naissance du regretté Jack Miner, un -des fondateurs du mouvement pour la conservation au Canada. . U n habitat d e q u a l i t é e s t indispensable à la survie de la faune, des êtres humains et de !a planète. Les habitats fauniques s’amenuisent à un rythme alarmant. L’activité humaine est de loin la plus grave menace qui pèse sur l’habitat de la faune. Le tourisme, le développement urbain et rural ainsi que des pratiques agricoles et forestières non durables ont un effet dévastateur sur l’habitat. La SNCF a pour but d’accroître le degré de sensibilisation aux habitats. Pour savoir comment participer à la Semaine, composer le l-BOO-563-WILD. On peut également visiter le site Web au www.cwf-fcf.org Sr Corinne Arsenault de Wellington a remporté haut la main le concours de la meilleure tarte aux pommes, organisé par la coopérative de Wellington, jeudi dernier. Le deuxième prix est allé à Yvonne Cormier et le troisième prix à Annie Arsenault. Une douzaine de personnes ont participé au concours et les trois juges, Rita Gallant, Jeanne-Mance Arsenault et Earl Arsenault ont choisi la même tarte qu’il y a deux ans, lors d’un concours semblable. ((11 y a deux ans, tout le monde m’avait demandé les épices que je mettais dedans et je ne m’attendais pas à gagner cette année» dit-elle. Corinne n’a pas Corinne Arsenault reçoit le premier prix du concours de tarte aux de recette très précise pour sa pommes que lui remet Claudette Arsenault (à droite), responsable des tarte. Elle fait toujours sa croûte fruits et légumes à la coopérative de Wellington. A gauche, on z)oit de la même façon, elle utilise Granny Smith en personne, c’est-à-dire Margaret Stinson de la des pommes du mois d’août Nouvelle-Écosse, qui a été choisie Grand-mère de l’annke en 1998-99. Qu’elle cueille chez son fils et Qu’elle congèle, elle met de la leure grand-mère du monde». l’année dernière, c’est Margaret cannelle et de la muscade. Ce concours est parrainé par Stinson de la N.-E. qui a été «Les juges regardent l’allure Coop Atlantique et l’Association choisie pour être la grand-mère de la tarte, si elle se tient bien producteurs de pommes de l’état de l’année au niveau de 1’ Atlantique et Iles-de-la-Madeleine. lorsqu’elle est tranchée, la de Washington. Sur un formulaire qu’on trouve À ce titre, elle a visité un bon présentation et finalement, le goût,). Ce dernier test est sans à la coopérative, il faut écrire un nombre de magasins situés doute celui que les juges pré- court texte d’une centaine de dans son territoire. On est à la recherche de la mots décrivant pourquoi l’on fèrent. Ce concours de tarte servait croit que notre grand-mère est Grand-mère de l’année pour 1999-2000. Le choix final sera en fait à promouvoir un autre la meilleure du monde. Au terme du concours de fait à la fin du mois d’avril. + concours, visant à élire la ((MeilL. Un timbre pour le Murco Polo En 1851, James Smith fait construire un troismâts carré à Saint John, au Nouveau-Brunswick. Mis à la mer le 17 avril depuis Marsh Creek, sur la baie Courtney, le Marco Polo, tel était son nom, ne tardera pas à être proclamé «le bateau le plus rapide du monde». La Société canadienne des postes est fière d’émettre un timbre commémoratif illustrant ce magnifique voilier. Conçue par A. Le Sackett, de St. Andrews, au Nouveau-Brunswick, la figurine reprend une oeuvre originale de l’artiste de marines J. Franklin Wright, c a m p a n t l e Marco Polo, toutes voil& dehors, au départ de Saint John. Chargé de bois d’oeuvre et de ferraille, le Marco Polo quitte Saint John, le 31 mai 1851, à destination de Liverpool, qu’il rejoint 15 jours plus tard, un record pour l’époque. Il est acquis peu après par James Baines, propriétaire de la plus fameuse ligne de transport de voyageurs à l’époque, la Black Bal1 Line, qui transportait des émigrants en Austraïie. Converti en navire à passagers, le trois-mâts fait le trajet aller-retour d’Australie en 5 mois et 21 jours, en dépit d‘une escale de trois semaines à Melbourne. À son retour à Liverpool, le capitaine «Bully» Forbes installe une bannière entre le mât de misaine et le grand mât du voilier proclamant le Marco Polo «le navire le plus rapidè du monde». Le Marco Polo refait cette traversée à maintes reprises avant d’être retiré du service vers 1867 pour être réaffecté au transport de marchandises. Durant son dernier voyage, qui devait le conduire de la ville de Québec à Londres avec sa cargaison de madriers, le trois-mâts subit une violente tempête au large de l’îledu-Prince-Édouard. Le capitaine fait échouer le bateau, très imbibé d’eau, à proximité de Cavendish. Là, il est réduit à l’état de coquille après que l’on ait coupé ses poutres pour vider son chargement destiné aux enchères. Une plaque commémorative, installée à proximité du musée de Saint John, évoque l’épopée du légendaire trois-mâts. Le musée abrite également une réplique du voilier, l’une des figures ornant sa poupe ainsi que d’autres matériaux, pièces et outils ayant servi à sa construction. * _ . . . , u-,i~i~u~~t/ Lt MERCREDI 3 1 MARS 1999 PAGE/7 Entente fédérale-provinciale, sur la retraite anticipée des pêcheurs ’ Les gouvernements du Canada et de I’Ile-du-Prince-Édouard ont conclu une entente sur la mise en oeuvre conjointe de la composante retraite anticipée des mesures d’adaptation et de restructuration des pêches pour l’industrie du poisson de fond de l’Atlantique. L’entente entre le Canada et H.-P.-É. sur la retraite anticipée des pêcheurs vise à aider les pêcheurs et les travailleurs d’usine âgés à quitter l’industrie du poisson de fond Il s’agira d’un programme à coûts partagés : le gouvernement du Canada assumera 70 pour cent des coûts du programme, et le gouvernement de 1’1.~P.-E. y contribuera pour 30 pour cent. Le solliciteur général du Canada, Lawrence MacAulay s’est dit heureux de l’entente. «Ce programme profitera aux habitants de l’Île d’un certain âge qui ont de la difficulté à s’adapter à la perte de leur emploi dans le secteur des pêches. Il aidera également le gouvemement du Canada à restructurer l’industrie et â en assurer la survie», a-t-il dit. De son côté, le député Wayne Easter estime que les perspectives sont de moins en moins bonnes en ce qui a trait aux stocks de poisson de fond, et les personnes touchées par l’arrêt des activités dans l’industrie du poisson de fond devraient prendre en considération les possibilités mises à leur disposition pour quitter ce secteur d’emploi. ((La retraite anticipée est une des mesures offertes dans le cadre des ententes définitives conclues entre le gouvernement canadien et les travailleurs de l’industrie du poisson qui sont touchés par la réduction des stocks de poisson de fond». Le ministre Kevin J. MacAdam, ministre des Pêches et du Tourisme de l’f.-P.-É. a expliqué que le programme constitue une solution de rechange pour les pêcheurs et travailleurs d’usine âgés qui ont été touchés par la réduction des stocks de poisson de fond. «C’est pourquoi la province s’est officiellement engagée à contribuer aux coûts de cette initiative», affirme-t-il T-a participation au programme de retraite anticipée est volontaire. Celle-ci est proposée aux personnes qui étaient admissibles à l’ancienne stratégie du poisson de fond de l’Atlantique (LSPA) en date du 1” janvier 1998 et qui étaient âgées de 55 ans et plus le 31 décembre 1998. Dans le cadre de ce programme, qui entrera en vigueur rétroactivement le 1” septembre 1998, les participants devront renoncer à leur permis de pêche et quitter l’industrie de façon définitive. On offre à ces personnes des prestations mensuelles allant de 640 $ à 1 159 $. Les personnes admissibles doivent présenter leur demande de prestations de retraite anticipée dans les 60 jours suivant la réception de leur avis d’admissibilité aux prestations. -k Le Canada rend hommaae 0 t1 Programmation spéciale de Pâques à la Télévision La vie de ((Mère Teresa)) Une version écourtée du CE Sors sera diffusée les vendredi 2 et lundi 5 avril de 18 heures à 18 h_ 30 à l‘occasion du congé pascal. Le vendredi 2 avril à 18 h 30, vous pourrez voir ScuLLY culture hip hop; dans la loge de lachanteuseGinetteReno... Bref, Jésus dans tous ses états, u n sur scène le ténor et la soprano Rebecca Evans en compagnie de l’Orchestre philharmonique de Londres, sous la direction de Myung-Whun Chung. Exceptionnellement le dimanche 4 avril, jour de Pâques, LE Jésus souvent plus humain que divin qui ne ressemble pas forcément au Jésus de I’Eglise. Au Réseau de l’information, l’émission G RANDS REPORTAGES seradiffuséede 12hà13 henlieu et place du JOURNAL DU SIÈCLE et L’ACCENT FRANCOPHONE. En ces dernières Pâques avant le nouveau millénaire, deux reportages présenteront des chrétiens des temps modernes. «Les aventurières de Dieu» suit trois religieuses françaises missionnaires en Inde, où seulement 2 pour cent de la population est chrétienne. Dans un pays où les ultra-natio- J OUR DU S EIGNEUR sera diffusé à 10 h 30 alors que la Sa Sainteté le pape Jean-Paul II célébrera la messe pascale à Rome. À 14 h 30, SECOND REGARD soulignera la fête de Pâques et l’arrivée prochaine du troisième millénaire avec une émission intitulée «Jésus dans tous ses états», question de voir ce qu’il en reste aujourd’hui chez nous. À l’image de la société dans laquelle on vit, Jésus est très «éclaté» et vit désormais dans les rues du centre-ville de Montréal, la nuit, avec Pops et ses amis; dans l’atelier d’un sculpteur de Saint-Jean-Port-Joli; dans le cabinet d’un psychanalyste; dans la bibliothèque d’un savant de Jésus; dans la solitude méditative d’un moine d’Oka; dans l’univers de la nalistes sont au pouvoir, elles font preuve d’un courage et d’un dévouement remarquables. Bien qu’ayant passé l’âge de la retraite, elles souhaitent continuer le plus longtemps possible à vivre et à travailler au mieux-être des Indiens, qu’ils soient chrétiens ou non. «Les pèlerins de Compostelle)) voyagent sur un chemin qu’on connaît depuis plus de 1 000 ans. Un chemin dont on avait perdu’ la trace et que l’on redécouvre aujourd’hui avec tout son mystère et avec toute sa symbolique. Toutes ces émissions seront des plus intéressantes. Faites une provision de cassettes vidéo, pour pouvoir en enregistrer quelques unes. * RENCONTRE. Le lundi 5 avril à 18 h 30, la Télévision de Radio-Canada Atlantique présentera l’émission D ANS MA COUR. n 9 !. .. ‘r S r Le film «Mère Teresa» sera diffuse en première au CINÉMA de fin de soirée, le jeudi 1” avril à minuit 55. Ce drame biographique mettant en vedette Géraldine Chaplin raconte la vie de la célèbre mère des pauvres de Calcutta. En 1946, soeur Teresa, qui enseigne dans un collège privé de Calcutta, prend conscience de la misère qui touche cette ville. Répondant à un appel de Dieu, elle quitte son travail pour aller s’occuper des plus démunis. Elle fonde sa propre congrégation, qui transmettra son message partout dans le monde. Son oeuvre lui vaudra le prix Nobel de la paix en 1979. Le vendredi 2 avril à l’occasion du Vendredi Saint, le C INÉMA propose le drame biblique «Marie de Nazareth)), qui raconte l’extraordinaire destin de la simple jeune fille Nazareth, en Galilée, devenue par l’intervention du SaintEsprit la mère de Jésus, appelé le fils de Dieu. Le soir même à 21 heures, LA FUREUR cédera l’antenne à un concert d’Andrea Bocelli, intitulé LES VOIX DU CIEL. Enregistré à Brême en 1998, ce concert réunit Les musicrens coopèrent 0 0 (1.L.) Quand OII zlelrt mettre de la zjie dans wz party, la musique de violon est ce qu’ilfaut. Ernest Arsenault de la coop de Well@to~z sait bien cela. leudi dernier, il avait invité des nmsiciens pour venir animer la soirée de magasinage des fidèles clients. De puche à droite, on -rIoit Marie Arsenatllt, Jolene Sonier, Jenna Sonier et le se111 et unique Eddie Arseuault. * 0 t1 Programmation spéciale de Pâques à la Télévision La vie de ((Mère Teresa)) Une version écourtée du CE Sors sera diffusée les vendredi 2 et lundi 5 avril de 18 heures à 18 h_ 30 à l‘occasion du congé pascal. Le vendredi 2 avril à 18 h 30, vous pourrez voir ScuLLY culture hip hop; dans la loge de lachanteuseGinetteReno... Bref, Jésus dans tous ses états, u n sur scène le ténor et la soprano Rebecca Evans en compagnie de l’Orchestre philharmonique de Londres, sous la direction de Myung-Whun Chung. Exceptionnellement le dimanche 4 avril, jour de Pâques, LE Jésus souvent plus humain que divin qui ne ressemble pas forcément au Jésus de I’Eglise. Au Réseau de l’information, l’émission G RANDS REPORTAGES seradiffuséede 12hà13 henlieu et place du JOURNAL DU SIÈCLE et L’ACCENT FRANCOPHONE. En ces dernières Pâques avant le nouveau millénaire, deux reportages présenteront des chrétiens des temps modernes. «Les aventurières de Dieu» suit trois religieuses françaises missionnaires en Inde, où seulement 2 pour cent de la population est chrétienne. Dans un pays où les ultra-natio- J OUR DU S EIGNEUR sera diffusé à 10 h 30 alors que la Sa Sainteté le pape Jean-Paul II célébrera la messe pascale à Rome. À 14 h 30, SECOND REGARD soulignera la fête de Pâques et l’arrivée prochaine du troisième millénaire avec une émission intitulée «Jésus dans tous ses états», question de voir ce qu’il en reste aujourd’hui chez nous. À l’image de la société dans laquelle on vit, Jésus est très «éclaté» et vit désormais dans les rues du centre-ville de Montréal, la nuit, avec Pops et ses amis; dans l’atelier d’un sculpteur de Saint-Jean-Port-Joli; dans le cabinet d’un psychanalyste; dans la bibliothèque d’un savant de Jésus; dans la solitude méditative d’un moine d’Oka; dans l’univers de la nalistes sont au pouvoir, elles font preuve d’un courage et d’un dévouement remarquables. Bien qu’ayant passé l’âge de la retraite, elles souhaitent continuer le plus longtemps possible à vivre et à travailler au mieux-être des Indiens, qu’ils soient chrétiens ou non. «Les pèlerins de Compostelle)) voyagent sur un chemin qu’on connaît depuis plus de 1 000 ans. Un chemin dont on avait perdu’ la trace et que l’on redécouvre aujourd’hui avec tout son mystère et avec toute sa symbolique. Toutes ces émissions seront des plus intéressantes. Faites une provision de cassettes vidéo, pour pouvoir en enregistrer quelques unes. * RENCONTRE. Le lundi 5 avril à 18 h 30, la Télévision de Radio-Canada Atlantique présentera l’émission D ANS MA COUR. n 9 !. .. ‘r S r Le film «Mère Teresa» sera diffuse en première au CINÉMA de fin de soirée, le jeudi 1” avril à minuit 55. Ce drame biographique mettant en vedette Géraldine Chaplin raconte la vie de la célèbre mère des pauvres de Calcutta. En 1946, soeur Teresa, qui enseigne dans un collège privé de Calcutta, prend conscience de la misère qui touche cette ville. Répondant à un appel de Dieu, elle quitte son travail pour aller s’occuper des plus démunis. Elle fonde sa propre congrégation, qui transmettra son message partout dans le monde. Son oeuvre lui vaudra le prix Nobel de la paix en 1979. Le vendredi 2 avril à l’occasion du Vendredi Saint, le C INÉMA propose le drame biblique «Marie de Nazareth)), qui raconte l’extraordinaire destin de la simple jeune fille Nazareth, en Galilée, devenue par l’intervention du SaintEsprit la mère de Jésus, appelé le fils de Dieu. Le soir même à 21 heures, LA FUREUR cédera l’antenne à un concert d’Andrea Bocelli, intitulé LES VOIX DU CIEL. Enregistré à Brême en 1998, ce concert réunit Les musicrens coopèrent 0 0 (1.L.) Quand OII zlelrt mettre de la zjie dans wz party, la musique de violon est ce qu’ilfaut. Ernest Arsenault de la coop de Well@to~z sait bien cela. leudi dernier, il avait invité des nmsiciens pour venir animer la soirée de magasinage des fidèles clients. De puche à droite, on -rIoit Marie Arsenatllt, Jolene Sonier, Jenna Sonier et le se111 et unique Eddie Arseuault. * _ _.,. . .._.. \VIL, “I YL/ LL IV\CKLKClJI J I WKb I Y 9 9 Ajotitez votre. grdf iti Programmation spéciale de Pâques à la Télévision La vie de ((Mère Teresa» a la ruelle virtuelle hip hop; dans la loge de Une version écourtée du C E Sorasera diffusée les vendredi 2 et lundi 5 avril de 18 heures à 1 8 h_ 3 0 à l ’o c c a s i o n d u c o n g é culture pascal. Le vendredi2 avril à 18 h 3 0 , vous pourrez voir ScuLLY RENCONTRE. Le l u n d i 5 avril à 18 h 30, la T é lévision de R a d io-C a n a d a A t l a n t i q u e p r é s e n t e r a l ’é m i s s i o n D ANS MA COUR. Le film « M è r e T e r e s a » s e r a d i f fuse en prem ière au CINBMA de fin de soirée, le jeudi 1” avril à m inuit 55. Ce dram e biographique m ettant en vedette G éraldine Chaplin raconte la vie de la célèbre m ère des pauvres de Calcutta. E n 1J.L.l C o m m e o n l e s a i t , l ’a n n é e r é d u i t e ( 1 5 0 X 1 5 0 p i x e l s ) e t e n l u i v a d e m a r s 1 9 9 9 à m a r s 2 0 0 0 f o r m a t s t a n d a r d p o u r l’I n t e r n e t I été d é c l a r é e Année d e l a f r a n - ( . g i f o u . j p g b a s s e r é s o l u t i o n ) . :ophonie canadienne. D e nom- E lle ne doit pas dépasser 30 K. w e u x p r o j e t s s o n t e n c o u r s , d o n t C e u x q u i s ’o c c u p e n t d ’a f f i c h e r :elui d e c o n s t r u i r e u n e r u e l l e les graffitis préfèrent des im ages rirtuelle recouverte de graffitis qui sont déjà présentes sur :olorés, a y a n t p o u r t h è m e l a Y Internet. rancophonie. D ans le form u laire, on doit Ce mur de ruelle virtuelle, on écrire son prénom , la région e t r o u v e s u r l e s i t e I n t e r n e t d e d ’o ù l ’o n v i e n t , s o n â g e , l e t i t r e ‘A n n é e d e l a f r a n c o p h o n i e c a - d e l ’o e u v r e e t l ’a d r e s s e i n t e r n e t s a d i e n n e . E n p l u s d e v o i r l e s d e l ’im a g e q u e v o u s c h o i s i s s e z , ;raffitis q u e d e s C a n a d i e n s d e s i e l l e s e t r o u v e s u r I n t e r n e t . )artout vont y afficher, on peut S inon, elle peut être envoyée par g a l e m e n t a j o u t e r s o n p r o p r e c o u r r i e l à l ’a d r e s s e f r a n c o g r a f f i t i , à l ’a i d e d u f o r m u l a i r e c a n a d a @ f r a n c o . c a . S u r l e s i t e , lui est disponible sur le site. on dit que cela prend environ 2 ‘image que vous faites par- u n e s e m a i n e a v a n t q u e l ’im a g e renir d o i t ê t r e d e d i m e n s i o n soit ajoutée au site. * 1 _- - 1946, soeur Teresa, qui enseigne dans un collège privede Calcutta, prend conscience de la m isère qui touche cette ville. Répondant à un appel de D ieu, elle quitte son trav a i l p o u r a l l e r s ’o c c u p e r d e s p l u s démunis. E lle fonde sa propre congrégation, qui transm ettra son m essage partout dans le monde. Son oeuvre lui vaudra le prix Nobel de la paix en 1979. L e v e n d r e d i 2 a v r i l à l ’o c c a s i o n d u V e n d r e d i S a i n t , l e CINÉMA p r o pose le dram e biblique «M arie de N a z a r e t h ) ) , q u i r a c o n t e l ’e x t r a o r dinaire destin de la sim p le jeune fille N a z a r e t h , e n G a l i l é e , d e v e n u e p a r l ’i n t e r v e n t i o n d u S a i n t Esprit la m ère de Jésus, appelé le fils de D ieu. Le soir m êm e à 2 1 h e u r e s , LA FUREUR c é d e r a l ’a n t e n n e à u n c o n c e r t d ’A n d r e a B o c e l l i , i n t i t u l é L E S V O IX D U CIEL. E n r e g i s t r é à Brême en 1998, ce concert réunit 1 sur scène le ténor et la soprano Rebecca Evans en compagnie de l ’O r c h e s t r e p h i l h a r m o n i q u e d e Londres, sous la direction de M yung-W hun Chung. Exceptionnellem ent le dim anche 4 avril, jour de Pâques, LE J O U R D U SEIGNEUR sera diffusé à 10 h 30 alors que la Sa Sainteté le pape Jean-Paul II célébrera la m esse pascale à Rom e. A 1 4 h 3 0 , SECOND REGARD s o u l i g n e r a l a f ê t e d e P â q u e s e t l ’a r r i v é e prochaine du troisièm e m illénaire avec une ém ission intitulée «Jésus dans tous ses états», question de v o i r c e q u ’i l e n r e s t e a u j o u r d ’h u i c h e z n o u s . À l’im a g e d e l a s o c i é t é dans laquelle on vit, Jésus est très «éclaté), et vit désorm ais dans les rues du centre-ville de M ontréal, l a n u i t , a v e c P o p s e t s e s a m is; d a n s l ’a t e l i e r d ’u n s c u l p t e u r d e Saint-Jean-Port-Joli; dans le cab i n e t d ’u n p s y c h a n a l y s t e ; d a n s l a b i b l i o t h è q u e d ’u n s a v a n t d e J é s u s ; d a n s l a s o l i t u d e m é d i t a t i v e d ’u n m o i n e d ’O k a ; d a n s l ’u n i v e r s d e l a 1achanteuseGinette Reno... Bref, Jésus dans tous ses états, un Jésus souvent plus hum ain que divin qui ne ressem b le pas f o r c é m e n t a u J é s u s d e l’E g l i s e . A u R é s e a u d e l ’i n f o r m a t i o n , l’é m i s s i o n G RANDS REPORTAGES sera diffusée de 12 hà 13 h en lieu e t p l a c e d u JOURNAL DU SIÈCLE et ~/ACCENT FR ANCOPHONE . E n c e s dernières Pâques avant le nouveau m illénaire, deux reportages présenteront des chrétiens des temps modernes. «Les aventurières de Dieu» suit trois religieuses françaises m issionnaires en Inde, où seulem ent 2 pour cent de la population est chrétienne. D ans un pays où les ultra-nationalistes sont au pouvoir, elles f o n t p r e u v e d ’u n c o u r a g e e t d ’u n dévouement rem arquables. Bien q u ’a y a n t p a s s é l ’â g e d e l a r e t r a i t e , elles souhaitent continuer le plus longtemps possible à vivre et à travailler au m ieux-être des I n d i e n s , q u ’i l s s o i e n t c h r é t i e n s o u non. «Les pèlerins de Compostelle)) v o y a g e n t s u r u n c h e m i n q u ’o n connaît depuis plus de 1 000 ans. Un chemin dont on avait perdu l a t r a c e e t q u e l ’o n r e d é c o u v r e a u j o u r d ’h u i a v e c t o u t s o n m y s t è r e et avec toute sa sym b o lique. Toutes ces ém issions seront des plus intéressantes. Faites une provision de cassettes vidéo, pour pouvoir en enregistrer quelques unes. * * E le Echange entre ecoles le ‘ts la la le ns ez ‘as ns ce s erasdes beent neI:ii_ lréVe ,“& elle trasur sur le a ead- (M.E.)Vendredi dernier, grâce à une initiative de Roger LeBlanc, professeur à l’école Anna:Malenfan t de Dieppe, les étudiants de la 8” année de l’école Évangéline ont pu participer à une télé-conférence pour échanger avec les jeunes de l’école de Dieppe. La professeure responsable pour l’école Évangéline, Lucie Bellemare, a souliglié que ces jeunes échangent par courrier électronique depuis plusieurs semaines et que pour conclure ce projet spécial, les étudiants d’Evangéline se rendront rencontrer à Dieppe leur correspondan f.e au @but du mois de mai et en revenant les étudiants de Dieppe viendront passer une journée ou deux ici à l’l.-P.-E. Pour la télé-conférence, les étudiants de Dieppe ont procédé à présenter leur école ainsi que les activités qui se passe à leur école. Tandis que les étudiants d’Evangéline se sont présentés chacun eux-mêmes par un objet qui représentait bien leur caractère ou leur intérêt. Exemple : casquette de hockey, habit de volley-ball, photo de leur animal favori, etc. La Commission scolaire de langue française encourage beaucoup les initiatives qui englobe les nouvelles technologies et la communication. Sur la photo, on voit les jeunes des deux écoles en télé-conférence. Y+ . Une aide appréciée La santé génétique des Acadiens fera l’objet d’une conférence au CMA (APF) : Les Acadiens sont malades. Pardon! Disons, pour être moins brutal et politiquement correct, qu‘ils sont porteurs de maladies congénitales causées par des siècles d’isolement dans les bayous de la Louisiane. Vous voulez un exemple? L’ataxie, cette absence ou cette difficulté de coordination des mouvements volontaires frappe davantage le peuple cadien. Et ce n’est qu’une des maladies qui se retrouve dans le bagage génétique des descendants des déportés de 1755: C’est ce qui explique cette idée originale d’organiser pour la première fois au monde une conférence portant sur la génétique du peuple acadien. Cette conférence, qui aura lieu le 9 août à l’Université McNeese State à Lake Charles dans le cadre du Congrès mondial acadien, doit réunir des conférenciers prestigieux. Il s’agit d’une grande première mondiale. Il faut savoir qu’un enfant sur vingt en Amérique naît avec un problème relié à la génétique. Or, les risques de contracter certaines maladies sont de 35 à 250 pour cent plus élevés (j.L.) La Fédération des parents de l’île-du-Prince-Édouayd a accepté d’aider le centre préscolaire le Jardin des étoiles de Summeyside, dont le fonctionnement est défïcitaiye, en dépit des levées defonds et des efforts de yecyutement, qui se poursuivent. Sur la photo, on voit Stéphane Feyland (au centre) qui reçoit le chèque des mains d’Alain LeBlanc (à dyoite), membre du conseil d’administration de la fédéyation. Le président sortant de l’organisme, Ulysse Robichaud, assiste à la présentation. + LE BESSON prend I’aff iche ,au MacKenzie Le Centre des arts de la Confédération et le Carrefour de l’Isle-Saint-Jean présentent le troisième volet de la série de théâtre français 1998-1999. Le Théâtre populaire d’Acadie sera de retour sur les planches du théâtre MacKenzie, le mardi 6 avril, à 19 h 30; avec la pièce LE BESSON, une coproduction du Théâtre populaired’Acadie et du Théâtre français du Centre na4;rr.,~l&X. nrCr son voyage intérieur que nous le retrouvons et devenons le public fictif qu’il s’est créé à la fois pour dire à voix haute ce qu’il pense tout bas et tenter de dompter le chaos qui gronde dans sa tête. Conteur coloré et metteur en scène imaginatif, ce besson nous livre ses états d’âme avec ardeur. Tous sont aussi différents que touchants et drôles. Au centre de sa réflexion parlée, une question. Rrzîlantca nhc&lantca «C’oet nrrni L chez le peuple cadien! L’organisateur de cette conférence, le docteur John Doucet, résume ainsi, le problème : «NOUS partageons tous un héritage commun. Nous aimons la vie, nous avons la ‘même religion, nous avons la même géographie, nos anktres remontent à l’époque de la Déportation, et, à la limite, nous parlons tous une langue commune. Mais il y a aussi une autre partie de notre héritage : les maladies cardiaques, des prédispositions à certaines formes de cancer, certains syndromes. Et cette partie de notre héritage est génétique». Selon le docteur Doucet, la médecine moderne a les outils pour guérir ces maladies. Ce dont les chercheurs ont besoin maintenant, c’est d’en apprendre d’avantage sur la génétique et la santé de la population cadienne. Ce qu’on sait aujourd’hui, c’est que quelques individus déportés du Canada en 1755 étaient porteurs de maladies génétiques qui frappent aujourd’hui les Cadiens de la Louisiane. L’isolement et donc, l’absence de brassage entre les populations, a fait le reste. Les Acadiens du Canada sont aussi sujets à des maladies particulières, selon le docteur Doucet, mais elles sont différentes de celles des Cadiens. Soit dit en passant,,les chercheurs, médecins et citoyens canadiens qui ont des informations sur les maladies génétiques propres aux Acadiens seront accueillis à bras ouverts par les organisateurs de la conférence. Avis aux intéressés. Les discussions porteront sur les gènes et le cancer, les gènes et les maladies psychiatriques, les maladies génétiques chez les enfants et les adultes, la recherche génétique chez les Acadiens, les questions judiciaires et éthiques, les thérapies basées sur les gènes et l’impact psychologique et social des maladies génétiques. Il sera aussi possible pour les participants, chercheurs ou simples citoyens, d’échanger avec les médecins sur un problème particulier. Le premier objectif de la conférence, ne l’oublions pas, est de faire progresser la recherche. Il faut s’inscrire avant le 5 août. L’entrée est gratuite. On communique avec Judy LaBorde, L S U Medical Center, 1 9 0 1 Perdico ST, New Orleans, LA 70112 (USA) * . Une aide appréciée La santé génétique des Acadiens fera l’objet d’une conférence au CMA (APF) : Les Acadiens sont malades. Pardon! Disons, pour être moins brutal et politiquement correct, qu‘ils sont porteurs de maladies congénitales causées par des siècles d’isolement dans les bayous de la Louisiane. Vous voulez un exemple? L’ataxie, cette absence ou cette difficulté de coordination des mouvements volontaires frappe davantage le peuple cadien. Et ce n’est qu’une des maladies qui se retrouve dans le bagage génétique des descendants des déportés de 1755: C’est ce qui explique cette idée originale d’organiser pour la première fois au monde une conférence portant sur la génétique du peuple acadien. Cette conférence, qui aura lieu le 9 août à l’Université McNeese State à Lake Charles dans le cadre du Congrès mondial acadien, doit réunir des conférenciers prestigieux. Il s’agit d’une grande première mondiale. Il faut savoir qu’un enfant sur vingt en Amérique naît avec un problème relié à la génétique. Or, les risques de contracter certaines maladies sont de 35 à 250 pour cent plus élevés (j.L.) La Fédération des parents de l’île-du-Prince-Édouayd a accepté d’aider le centre préscolaire le Jardin des étoiles de Summeyside, dont le fonctionnement est défïcitaiye, en dépit des levées defonds et des efforts de yecyutement, qui se poursuivent. Sur la photo, on voit Stéphane Feyland (au centre) qui reçoit le chèque des mains d’Alain LeBlanc (à dyoite), membre du conseil d’administration de la fédéyation. Le président sortant de l’organisme, Ulysse Robichaud, assiste à la présentation. + LE BESSON prend I’aff iche ,au MacKenzie Le Centre des arts de la Confédération et le Carrefour de l’Isle-Saint-Jean présentent le troisième volet de la série de théâtre français 1998-1999. Le Théâtre populaire d’Acadie sera de retour sur les planches du théâtre MacKenzie, le mardi 6 avril, à 19 h 30; avec la pièce LE BESSON, une coproduction du Théâtre populaired’Acadie et du Théâtre français du Centre na4;rr.,~l&X. nrCr son voyage intérieur que nous le retrouvons et devenons le public fictif qu’il s’est créé à la fois pour dire à voix haute ce qu’il pense tout bas et tenter de dompter le chaos qui gronde dans sa tête. Conteur coloré et metteur en scène imaginatif, ce besson nous livre ses états d’âme avec ardeur. Tous sont aussi différents que touchants et drôles. Au centre de sa réflexion parlée, une question. Rrzîlantca nhc&lantca «C’oet nrrni L chez le peuple cadien! L’organisateur de cette conférence, le docteur John Doucet, résume ainsi, le problème : «NOUS partageons tous un héritage commun. Nous aimons la vie, nous avons la ‘même religion, nous avons la même géographie, nos anktres remontent à l’époque de la Déportation, et, à la limite, nous parlons tous une langue commune. Mais il y a aussi une autre partie de notre héritage : les maladies cardiaques, des prédispositions à certaines formes de cancer, certains syndromes. Et cette partie de notre héritage est génétique». Selon le docteur Doucet, la médecine moderne a les outils pour guérir ces maladies. Ce dont les chercheurs ont besoin maintenant, c’est d’en apprendre d’avantage sur la génétique et la santé de la population cadienne. Ce qu’on sait aujourd’hui, c’est que quelques individus déportés du Canada en 1755 étaient porteurs de maladies génétiques qui frappent aujourd’hui les Cadiens de la Louisiane. L’isolement et donc, l’absence de brassage entre les populations, a fait le reste. Les Acadiens du Canada sont aussi sujets à des maladies particulières, selon le docteur Doucet, mais elles sont différentes de celles des Cadiens. Soit dit en passant,,les chercheurs, médecins et citoyens canadiens qui ont des informations sur les maladies génétiques propres aux Acadiens seront accueillis à bras ouverts par les organisateurs de la conférence. Avis aux intéressés. Les discussions porteront sur les gènes et le cancer, les gènes et les maladies psychiatriques, les maladies génétiques chez les enfants et les adultes, la recherche génétique chez les Acadiens, les questions judiciaires et éthiques, les thérapies basées sur les gènes et l’impact psychologique et social des maladies génétiques. Il sera aussi possible pour les participants, chercheurs ou simples citoyens, d’échanger avec les médecins sur un problème particulier. Le premier objectif de la conférence, ne l’oublions pas, est de faire progresser la recherche. Il faut s’inscrire avant le 5 août. L’entrée est gratuite. On communique avec Judy LaBorde, L S U Medical Center, 1 9 0 1 Perdico ST, New Orleans, LA 70112 (USA) * C’est qui la Fédération des parents? La réunion annuelle de la Fédération des parents de l’Île-du-PrinceÉdouard a eu lieu cette fin de semaine. C’était la réunion qui clôturait l’année 1997-98. Avant la fin du moisde juin, on tiendra la réunion annuelle qui clôturera les activités de l’année’1998-99. On sera donc à jour dans les réunions annuelles. Au cours des derniers mois, la situation à la Fédération des parents a alimenté bien des conversations. Chaque fois qu’on disait : la Fédération va faire céci, va faire cela, a fait ceci, a fait cela, la question qui venait ,en suite était invariablement : «Oui mais c’est qui la Fédération des parents?» Il y a lieu de poser cette question et d’y répondre une fois pour toutes. Même les comités locaux de parents qui composent la Fédération ne semblent pas comprendre pleinement qu’ils sont le tissu même de l’organisme. Ils ne sont pas «au service» de la Fédération et de ses employés, «ils sont» la Fédération. Les employés travaillent pour eux. Durant la récente-assemblée générale annuelle, j’ai eu l’impression que les parents reprenaient la parole et qu’ils y prenaient plaisir. Même si le président sortant a jugé que «beaucoup de négatif» avait sorti durant la réunion, la plupart des personnes présentes, moi y compris, ont trouvé très sain l’échange vif et dynamique des idées, des questions et des réponses. C’est évident que toutes ces personnes qui sont venues à l’assemblée annuelle ont à coeur l’éducation en français à l’Île-du-Prince-Édouard, et ont à coeur de participer à l’amélioration du système d’éducation, par l’entremise de l’organisme qu’ils composent. Il ne fait pas de doute que nous avons besoin, à l’Île-du-Prince-Édouard, d’un organisme qui réunit les parents motivés à faire avancer les dossiers touchant l’instruction en français. Personne n’est intéressé à participer à une vendetta. On n’a pas le temps. D’ici la prochaine réunion annuelle, dans trois mois environ, la communication est la priorité. Un bulletin d’information, c’est bien, mais c’est ni plus ni moins que de la propagande. Il faut qu’au sein du conseil d’administration et des organismes qui sont la Fédération des parents, toute l’information, celle qu’on aime comme celle qu’on n’aime pas, circule librement et obligatoirement. Il faut aussi réviser de fond en comble les statuts et règlements et les politiques et procédures de l’organisme, ce qui n’a pas été fait depuis trois ou quatre ans. C’est ‘une grosse tâche, mais c’est un travail nécessaire. Chaque .organisme doit voir à s’améliorer sans cesse et réviser les statuts et règlements, les amender au besoin, fait partie de ce processus, surtout quand c’est la volonté de l’assemblée annuelle. * Jacinthe Laforest Le drapeau acadien sera partout où il y aura des drapeaux (J.L.) Le drapeau acadien aura finalement une place importante, dans les activités officielles du Sommet de la francophonie. Au Nouveau-Brunswick plus qu’ici à l’île, la question a soulevé les passions. Aux dernières nouvelles, onaffirmait queledrapeaunational de l’Acadie allait être hissé sur tous les sites du Sommet. «Partout où il y aura -des drapeaux, le drapeau acadien va y être» confirme une employée du Sommet de Moncton. Le tricolore étoilé sera placé dans un ensemble de cinq drapeaux incluant le drapeau du Canada, celui du Nouveau-Brunswick, celui du Québec, celui du Sommet de la francophonie de M oncton et le d r a p e a u a c a d i e n . Ces cinq drapeaux viendront en surplus des quelque 52 drapeaux officiels des gouvernements membres de la francophonie internationale, qui seront hissés sur les lieux du Sommet. Dans une déclaration datant du 17 février, le ministre Bernard affaires Thériault des intergouvernementales et a u t o c h t o n e s d u NouveauBrunswick disait que son gouvernement était prêt à «soutenir» les principes suivants, quant à l’utilisation du drapeau acadien : -Offrir la plus grande visibilité possible au drapeau et à la réalité acadienne à l’occasion du Sommet; -Donner une place d’honneur au drapeau acadien dans le cadre des activités officielles du Sommet tout en respectant les conventions en vigueur au sein de la Francophonie i n s t i t u t i o n n e l l e . À ce titre, le drapeau acadien accompagnerait les drapeaux des gouvernements hôtes et celui du Sommet, créant ainsi un ensemble distinct qui sera mis en évidence lors des activités officielles du Sommet. * ,Prévention du crime On préparelIe plan d’action : L (J.L.) Suite aux deuxforums sur la prévention du crime, celui de la communauté et celui s’adressant aux élèves de la 7’ à la 12’ année de l’école Évangéline, les membres du Groupe consultatif de la GRC et leurs partenaires se sont réunis vendredi demierpour débuter la rédaction d‘un plan d’action détaillé! qui identifiera les responsabilités avec soin. Sur la photo, on voit, dans le sens des aiguilles d’une montre, Elise Arsenault du Centre de santé Évangéline, Gabriel Arsenault de la Commission scolaire de langue française, Tanya Gallant, de jeunesse Acadienne, ]ay Gallant, président du groupe consultatif, lmelda Arsenaulf de l‘école Évangéline, Colette Arsenault du Centre scolaire et comunaufaire Évangéline, Sr Norma Gallanf, coordonnatrice du projet et Kevin Leahy de la GRC. * Le drapeau acadien sera partout où il y aura des drapeaux (J.L.) Le drapeau acadien aura finalement une place importante, dans les activités officielles du Sommet de la francophonie. Au Nouveau-Brunswick plus qu’ici à l’île, la question a soulevé les passions. Aux dernières nouvelles, onaffirmait queledrapeaunational de l’Acadie allait être hissé sur tous les sites du Sommet. «Partout où il y aura -des drapeaux, le drapeau acadien va y être» confirme une employée du Sommet de Moncton. Le tricolore étoilé sera placé dans un ensemble de cinq drapeaux incluant le drapeau du Canada, celui du Nouveau-Brunswick, celui du Québec, celui du Sommet de la francophonie de M oncton et le d r a p e a u a c a d i e n . Ces cinq drapeaux viendront en surplus des quelque 52 drapeaux officiels des gouvernements membres de la francophonie internationale, qui seront hissés sur les lieux du Sommet. Dans une déclaration datant du 17 février, le ministre Bernard affaires Thériault des intergouvernementales et a u t o c h t o n e s d u NouveauBrunswick disait que son gouvernement était prêt à «soutenir» les principes suivants, quant à l’utilisation du drapeau acadien : -Offrir la plus grande visibilité possible au drapeau et à la réalité acadienne à l’occasion du Sommet; -Donner une place d’honneur au drapeau acadien dans le cadre des activités officielles du Sommet tout en respectant les conventions en vigueur au sein de la Francophonie i n s t i t u t i o n n e l l e . À ce titre, le drapeau acadien accompagnerait les drapeaux des gouvernements hôtes et celui du Sommet, créant ainsi un ensemble distinct qui sera mis en évidence lors des activités officielles du Sommet. * ,Prévention du crime On préparelIe plan d’action : L (J.L.) Suite aux deuxforums sur la prévention du crime, celui de la communauté et celui s’adressant aux élèves de la 7’ à la 12’ année de l’école Évangéline, les membres du Groupe consultatif de la GRC et leurs partenaires se sont réunis vendredi demierpour débuter la rédaction d‘un plan d’action détaillé! qui identifiera les responsabilités avec soin. Sur la photo, on voit, dans le sens des aiguilles d’une montre, Elise Arsenault du Centre de santé Évangéline, Gabriel Arsenault de la Commission scolaire de langue française, Tanya Gallant, de jeunesse Acadienne, ]ay Gallant, président du groupe consultatif, lmelda Arsenaulf de l‘école Évangéline, Colette Arsenault du Centre scolaire et comunaufaire Évangéline, Sr Norma Gallanf, coordonnatrice du projet et Kevin Leahy de la GRC. * Les pompiers de Wellington auront ,une nouvelle maison Par Jacinthe LAFOREST Les pompiers de service de protection contre les incendies de Wellington, qui dessert l’ensemble de la région Evangéline et même plus, vont déménager dans une nouvelle caserne toute neuve l’automne prochain. «Le conseil a pris la décision en janvier et nous avons soumis le projet à une réunion publique le 24 février. Nous avons reçu l’appui du public)>, dit Carol Gallant, presidente du conseil de la communauté de Wellington. Gilles Labonté de Wellington est responsable du projet de construction, avec un comité. Il explique que la caserne est trop petite. «NOUS avons quatre camions qui sont stationnés côte à côte. Ils sont tellement serrés qu’on ne peut pas ouvrir la porte sans risquer de toucher le camion voisin. Il n’y a pas de place en arrière du tout, et en avant, on a à peine deux pieds pour passer. Il faut se tourner de côté pour passer. Quand on vient pour faire des réparations, on n’a pas de place, des fois, c’est dangereux)), dit Gilles Labonté. Trois des quatre camions appartiennent au département des pompiers. Le quatrième appartient à la province et sert lorsqu’il y a des feux de forêt. <<On veut acheter un autre camion pour transporter de l’eau lorsque nous sommes sur le lieu . . d’un intendie. Présentement, nous devons faire appel aux autres départements des pompiers pour qu’ils nous alimentent en eau. Autrement, on en manque» dit Gilles Labonté. La nouvelle caserne va avoir six places de stationnements, trois de large, deux de profondeur, ce qui permettra l’ajout du nouveau camion et aussi, qui procurera de l’espace de travail. La préparation du terrain choisi pour la construction devrait commencer à la mi-juin. La nouvelle caserne sera construite à Wellington, sur une parcelle de terre située non loin du Centre d’affaires communautaire. On y accèdera p a r Construire une caserne de pompiers coûte cher. «On a prévu dépenser 250 000 $ et cela ne comprend pas une finition en chêne. C’est vraiment le minimum». Gilles Labonté explique qu‘on n’a pas décidé du jour au lendemain de construire une nouvelle caserne. Au cours des cinq dernières années, la communauté a mis 96 000 $ de côté. De plus, on a une promesse de don de 10 000 $ de la part de la corporation qui exploite le pont de la Confédération. «Ils s’engagent à nous donner le montant dès que le projet sera complété)), dit Gilles Labonté. Le reste de la somme nécessaire sera financé par les moyens traditionnels. ((Ilfaudraemprunter n n Comme le démontre Gilles Labonté du département des pompiers de Wellington, les camions sont serrés comme des sardines, dans la caserne actuelle. 144 000 $. On va amortir sur 15 ou 20 ans». Le département de protection contre les incendies de Wellington compte 26 pompiers volontaires. Melvin Arsenault est le chef.. Dans leur nouvelle caserne, ils auront une salle de conférence, une cuisinette, des toilettes pour hommes et femmes, un bureau, de la place pour travailler.et arranger l’équipement, etc. On s’attend d’intégrer les nouveaux locaux entre la miseptembre et le début octobre. * L’ATk se hâte vers la saison touristique Par Jacinthe LAFOREST L’Association touristique Évangéline est en pleine effervescence, à l’approche de la saison touristique 1999, la toute dernière du 20’ siècle. « NOUS nous sommes donnés une nouvelle structure,’ avec des sous-comités responsables de dossiers précis, comme le marketi:lg, les centres d’information, es projets spéciaux et les relations avec les médias, dit Karen Gallant, vice-présidente de I’ATÉ. Les projets de promotion sont nombreux. Tout d’abord, on est après rassembler de l’information pour faire une carte-dépliant de la région, sur laquelle on va identifier environ 35 points d’intérêts, comme les églises, les lieux d’hébergement tour&tiques, les attractions, etc. «On trouvait qu’on n’avait pas beaucoup de littérature de l’ensemble de la région à donner aux visiteurs. En plus, on voulait avoir un outil de promotion pour notre passage dans un salon touristi- que à Montréal les 16,17 et 18 avril. de la région. Lorsque des visiteurs On en fait imprimer 20 000 vont s’arrêter pour demander où copies» précise Karen Gallant. sont les hébergements, on n’aura Ce dépliant-carte va aussi être qu’à leur donner le dépliant. distribué dans les lieux publics Le matériel promotionnel de Ln IIOII~~L~~~L~ prkidcrzfr de I’Associnfiurz tuwistiqw est Sr Nurnra Gnllmt. «l’ai nccyt7tL; ce pusfC /wrcc qw j’ai à cuwr l’lrnifk dc lrz curlrrlrllrzatrtl; acadierzw. ]~‘zwrlnis rhrrrir les furces, pour azwir ,ulus de poids potrrfnirr nzmzcer 170s prujefsj> dit-elle. AU cwrs de ses nrmk pmsks ri l’office de I n cntkhPse de I’Atlnntiqw, elle n acql,is bearm~~p dr conrpL:frmes ur~cl~zisatiurznellrs, et dos curzfacts dnrzs twt le pays, qr~‘elle pmt nrnirzfennnf nwtfw m profit ifc l’azmnctww~f tuirristiqiw et cunmrirnnrftrzire dr Irz rkgiurz. la saison comprendra aussi un calendrier complet des activités qui se passent dans la région, celles qui reviennent chaque semaine, chaque jour, où qui se produisent une seule fois. «T’espère qu’on les aura toutes. On veut avoir des activités de juin à septembre», dit la vice-présidente. L’Association touristique Évangéline va poursuivre cette année son engagement envers les festivals qu’elle a aidé à mettre sur pieds et on fait des démarches pour amener un nouveau festival, dont le thème sera les cerfsvolants. On a toujours dans l’idée de développer une plage publique dans la région et ce dossier a été donné à la Société de développement de la Baie acadienne. Cet été, on va poursuivre le partenariat avec Cnvendish Figurines, qui permet à I’ATÉ de maintenir un kiosque d’information à Gatrzcyy Villqe et on aura aussi le kiosque à la Promenade acadienne. Une journée de planification stratégique est prévue pour aujourd’hui. *