LA MASCOTTE BOUCLES D`OR
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LA MASCOTTE BOUCLES D`OR
PATHË - NATAN, VOUS IREZ TOUS prétente Lucien Baroux et le regretté Dranem dans leur dernier succès Justin de Marseille Scénario de Carlo Rim. Mise en scène de M. Tourneur Musique de Jacques Ibert etVincent Scotto. Avec Berval Larquey, A. Rignault, Ghislaine Bru, Line Noro, etc.... PRÉSENTATIONS CORPORATIVES «TOUCHE-A-TOUT» Deux des personnages principaux de ce film dont l'action te déroule à Marseille dans un monde spécial. Cette œuvre, d'un impressionnant réalisme, passe cette semaine sur l'écran du c Caméo » de Lille. -ci, ENCORE UNE Tristan Bernard arrive dans un petit village, descend à l'unique auberge, et aussitôt appelle le garçon qu'il charge de mille commissions. A l'heure du repas. Tristan Bernard l'appelle encore, mais sans réponse cette fois. Impatienté, il interpelle l'aubergiste et lui demande où est le garçon. « Mais, monsieur, il est mon de fatigue, aavez-vous ! — C'est bien, qu'on le mette sur la note », répond l'humoriste. c. NORMANDIE » A MOVIETONE CITY Les studios Fox a Hollywood, plus connus sous le nom de Movietone City, possèdent sur l'immense terrain qu'ils occupent en Californie, un vaste décor permanent représentant un grand paquebot, avec ses ponts, cheminées, mâts, etc... Ce c paquebot», on s'en doute, servit maintes fols A nombre de films comportant des scènes de navire. Il y s quelques années, lorsque le '.AJEfc-XjiA... fameux c ruban bleu » fut conquis par U « Bremen », le « paquebot » de la Fox fut modifié et reconstruit à l'image du navire allemand. Puis, le «ruban bleu» ayant échu à 1 Italie, le « paquebot » Fox se transforma en « Rex ». Et maintenant que le record de traversée a été remporte par « Normandie » c'est une vivante réplique de notre beau paquebot qui est érigée à Movietone City. Le « plus grand paquebot. » du monde est dans 16 « plus grand studio ». MALDONNE!™ On pouvait, l'autre semaine, lire dans un illustré que « la compagnie Baty interprète en ce moment « L'Hôtel des Masques », d'Albert Préjean. » Qui fut bien surpris, ce fut PréJean lorsqu'il reçut les félicitations stupéfaites d'amis qui le traitèrent de cachottier. Ce furent aussi les spectateurs qui, arrivant tout alléchés au Théâtre Montparnasse, virent sur l'affiche « pièce d'Albert-Jean ». Ils entrèrent tout de même, et firent bien... Les Sociétés A. V. Films et Cinédis ont présenté, vendredi dernier, au Capitole de Lille, une Production des films R. F. : « TOUCHE-A-TOUT ». de Roger Ferdinand, dont la mise en scène fut assurée par Jean Dréville assisté de Robert Paul. Surveillant dans une pension, celui qui, bientôt, méritera le surnom de Touche-a-Tout est renvoyé pour avoir égaré ses élèves en promenade. Il a vingthuit ans. Il est pauvre. Pour peu de temps, car il hérite soudain de deux millions d'un oncle. Son but ? Faire le bien II est sincère. Il le prouve ; mais, ce bien, il le dispense dans un palace de la Côte d'Azur, et ses obligés sont Mme Corbin. qui reçoit de lui d'abord des conseils de fidélité conjugale, et M. Corbin. heureux de surprendre sa femme très près de notre bonhomme ; puis une petite dame qui Joue à l'abandonnée et un complice de cette Suzy, li comte de Bressac, Joueur effréné. Donc, l'occasion de secourir deô attristas et des désespérés s'offre à Touche àVTout ; mais ces désolés sont tous des escroc. Quoi ! pas une âme d'élite près de lui ? Si, la femme de chambre de son étage. Madeleine, qui l'observe avec sympathie et pitié. Ah ! l'ancien pion a voulu toucher à tout, s'occuper des affaires d'autrui ! Il est bien avancé... mais reconnaisses erreurs. Madeleine vient lui faire ses adieux, car elle quitte le palace au moment où il a décidé aussi de partir. Et Madelein3 est une institutrice qui faisait un stage à l'hôtel pour observer de près un mode qu'elle Vaurait pt connaître d'autre façon. Ils s'en iront ensemble. Telles sont, à grands traita, les intrigues du film composé d'après une pièce do M. Roger Ferdinand, comédie développée sur un ton comique, où les événements surgissent comme pour souli gner un caractère. On peut supposer que Touche-à-Tout. quand il était surveillant, s'intéressait à de pauvres types. Au spectacle de ses aventures de nouveau millionnaire, le spectateur ne le plaint pas. La scène où Bressac vend sa mauvaise voiture au naïf Richard est pénible dans sa Justesse. Le dialogue de « TOUCHE-A-TOUT » prime les images. M. Jean Dréville sait utiliser le cinéma autant que possible. Outre les conversations, il y a des danses, et, un instant le départ d'un train avec des surimpressions. * M. Femand Oravey interprète le principal rôle avec le sens de l'exactitude et du comique discret qu'on lui connaît. M. Palau joue le mari canaille : il a des mines et des fcestes qui pourraient lui éviter de parler tant ils sont expressifs. M Jules Berry représente, avec son autorité coutumière. "l'ignoble comte maitre-chanteur et voleur. Quant à Mlle Suzy Vernon. elle est exquise de sensibilité contenue dans le rôle de Madeleine. Mlle Colette Darfeuil est l'aguichante Mme Corbin. Parmi les autres Les Films sonores T0BIS présentent Edwige Feuillère et Pierre-Richard Wilm, dans STRADIVARIUS Un film de G. de Bolvary Supervision de Albert Valentin avec Pierre Arnoux, Jean Gàlland etc., etc.. Savez-vous que... A seize ans. Harold Llyod aurait voulu faire de la boxe, mais sur la prière instante de sa mère, il renonça à ce projet. Mais dans son nouveau film « The Milky Way (La voie lactée), il «mettra les gants» pour la première fois de sa vie et soutiendra un combat de boxe en plusieurs rounds !... Pierre-Richard WILM, le héros du film. L'action de « STRADIVARIUS » commence à Budapest en 1914. Un officier de hussards hongrois, Sandor Téléky, vainqueur du Concours hippique, est fêté par ses camarades. A un certain moment Sandor s'empare du violon d'un tzigane et en Joue en véritable virtuose... Fait curieux, peu de temps après, l'officier est avisé qu'un oncle défunt lui n légué un violon, auquel, tout enfant, il lui était formellement interdit de toucher. Cet instrument date de 1673, mais ne porte pas de signature. Cependant un professeur, consulté, découvre que ce violon est celui que Stradivari avait baptisé « Béatrice » du nom de la jeune fille que l'incomparable luthier avait rêvé d épouser. Désespéré de voir lui échapper ta femme qui lui avait inspiré ce chefd'œuvre, Stradivari a maudit le violon. Depuis lors, tous ceux à qui il a appartenu ont éprouvé les effets de cette malédiction. Aucun d'eux ne trouva le bonheur en amour. Quel sera à cet égard le sort de Sandor Téléky et de celle qu'il aimera ? Vous le saurez en allant voir « STRADIVARIUS» qui vous charmera et vous procurera de belles émotions. O n a tourné « MADEMOISELLE MOZART ». — Mis en scène air: studios de Neuilly par Yvan Noé, interprété par Danielle Darrieux, Pierre Mingand. Pauline Carton. Baron fils et Pierrette Caillol, qui apparaîtra dans un rôle à transformations très amusant, est terminé. Une vue (lu travail de ce film, qui obtint au. Festival Cinématographique de Bruxelles, une Grande Médaille d'Honneur pour la meilleure réalisation photographique. LA MASCOTTE d'après la célèbre opérette française de Chivot et Duru Musique d'Edmond Audran (Edition Claudens) artistes : MM. Henri Duval. Charles Léger, Guy Rapp, Clermont, Pierre Feuillère. Femand Cravey chante quelques vers sur une musique de M. Dallin. « LE CONQUÉRANT DES INDES » (CLIVE OF INDIA) Ce film a été présenté vendredi, au r Capitole » de Lille. Il fut mis à l'écran par Richard Boieslovki. Il s'agit de la conquête des Indes. L'histoire de cette conquête est une des plus glorieuses pages de l'Histoire Britannique. La France y Joua aussi un rôle... plus héroïque que brillant, par la faute de ses diplomates. Richar Boieslovki s'est plu à ressusciter la curieuse figure de Clive, aventurier de belle envergure, qui devait, de simple commis aux écritures, franchir les échelons de In hiérarchie militaire et de la noblesse au service de l'Angleterre. Clive, amoureux de Margaret. sœur d'un de ses camarades, a d'abord aimé l'effigie de celle-ci, puis, quand elle est venue aux Indes, où il remportait victoires sur victoires, il l'a aimée bien davantage. Le film nous conte cette jolie amourette d'un soldat qui ne manque n: de caractère, ni de brusquerie. Au faite des honneurs. Olive est suspecté par ses pairs et fort injustement con- Laurent XVIII (Lucien BAROUX) et Rocco (DRANEM) dans une scène du A i damné à restituer des richesses qu'il qui passe au « Famiha » de LUI". n'avait point volées, entre nous. Que manque-t-il à ce film honnête, solide et bien construit ? Sans doute un peu d'éclat, un peu de tendresse, un peu d; rêve. Sa matière est trop riche en détails militaires qui l'emportent sur les détails sentimentaux. La succession des LE « DOUBLAGE » faits et gestes de Clive est abondante. CHARLES BOYER SERA LA VEDETTE DES FILMS AMERICAINS DE « NUITS D'ARABIE • Le film parlant étant venu compliquer Le premier f.lm que tournera Charles n y a de fort beaux tableaux de guerre l'exportation des films américains, il a Boyer en Amérique au début de 1936. et de marine, comme ce « trou de Bom- fallu trouver un expédient. On vit alors sera très probablement tArabian Night» bay» et cette bataille furieuse avec les fleurir l'industrie du «dubling» ou dou- iNuits d'Arabie), que réalisera Walter éléphants caparaçonnés d'or. l blage. La satisfaction du public fut, et que distribuera Parmount. Ronald Colman et Loretta Young in- | nous le savons tous, très modérée. Ce- Wanger Charles Boyer incarnera le fameux terprètent ce film avec beaucoup de | pendant, de progrès en progrès, on en I conscience à laquelle nous sommes heu- I serait arrivé, si nous en croyons les dé- khalife de Bagdad Haroun-al-Raschid. est le héros de la plupart des avenreux de rendre justice. clarations de MM. Lawrence et Bolan. qui de la M.-G.-M. à un de nos confrères tures contées dans c Les Mille et une de « La Meuse », à donner l'illusion com- nuits ». plète aux spectateurs d'entendre reelleAucune interprète n'a encore été choi| ment l'artiste interprète. Chaque vedette j sie pour le rôle de Scheherazade, princiaurait un sosie vocal. Ceci vient encore i pal personnage féminin de ce film qui compliquer l'application de certains I constituera une nouvelle version des décrets qui exigent que les doublages ! « Mille et une nuits » et sera peut-être de films étranjers soient réalisés en ! réalise en couleurs. France, mais passons. LES PROJETS Le doublage d'un film, d'après ces APRES LE FESTIVAL DE BRUXELLES DE CEC1L B. DE MILLE Le Festival International de Cinéma messieurs, coûte environ 150.000 francs. ! On sait que Cecil B. de Mille préparc de Bruxelles, s'est clôture brillamment Chaque film deit être coupe en bandes par la proclamation du palmarès, à une d-; dix mètres environ, ce travail de- I actuellement un « Samson et Daltla ». Mais, en même temps, il travaille au séance spéciale et rétrospective, au cours mande une demi-heure par morceau. La difficulté principale est d'éviter découpage d'un film dont le sujet ne de laquelle ont été projetées les principas. cette fois, emprunté à l'Hispales œuvres primées et des extraits de un accident ou une maladie au « sosie sera films ayant mérité les félicitations du vocal ». Dans ce cas, il n'y a pas d'autre toire de l'Antiquité. Son nouveau héros sera Buffalo Bill, solution que de tout recommencer. jury. le célèbre colonel Cody. Voici un extrait de ce palmarès : GERTRUDE MICHAEL BLESSÉE Le scénario de cette nouvelle producCatégorie des films à scénario : Gertrude Michaël, qui vient d'être tion est dû à Courtney Riley Cooper, Prix du Roi : « The Informer » (Le Mouchard), de John Ford (Ecole amé- victime d'un grave accident d'automo- auteur d'une vie romancée du fameux bile, a pu quitter l'hôpital de San Ber- Colonel dont il a retrace les exploits ricaine i. nardino où elle avait été transportée, et guerriers et cynégétiques. Grover Jone.; Prix de la Ville de Bruxelles : « Escape regagner son domicile où elle poursuit a collaboré avec Cooper au scenano et me never (Tu m'appartiens), de Paul sa convalescence. au dialogue. Czinner (Ecole anglaise). Prix de la Chambre Syndicale Belge de Cinématographie : Pour la meilleure réalisation technique: <tWay down east» (A travers l'orage), de Henri King (Ecole américaine). Grande Médaille d'Honneur : Pour le meilleur scénario: « The Scoundrel » (Le Voyou), de Ben Hecht (Ecole américaine). Pour la meilleure réalisation photographique : « Bozambo » de Zoltan Corda (Ecole anglaise). Pour la meilleure réalisation musicale: « L'Equipage ». d'A. Litvak. musique d'Arthur Honegger (Ecole française). Médaille d'Honneur : « La Bandera », de Julien Duvivier (Ecole française). Prix du Gouvernement Belge : Pour le meilleur film étrarger : « The Song of Ceylan », de Grierson (Ecole anglaise ). Prix de la Fipresci (Fédération internationale de la Presse Cinématographique) : « La Merveille de l'Occident » ; « Le Mont Saint-Michel », de Maurice Cloche (Ecole française). Prix du Gouvernement belge : Pour le meilleur film belge : « Terres brûlées », de Charles Dekeukeleire (Ecole belge). Prix de la Chambre Syndicale: « L'Hippocampe », de Jean Painlevé (Ecole française). Prix de l'Exposition de Bruxelles : « La Force des plantes », de Kaufman (Ecole française). CHARLOT EN ANGLETERRE Alexandre Korda. de la London Film, vient de rentrer d'une visite à Hollywood. Il a annoncé que Charlie Chaplin et Marlène Dietrich viendront sans doute tourner en Angleterre dans le courant de l'année prochaine, pour sa Société. NOUVELLES D'AMERIQUE ECHOS ET NOUVELLES Le salaire des interprètes rie < Thanks A Million » (Un million -'j remerciements), le nouveau film de Darryl Zannuck. se monten. à pas moin- de 300.000 dollars (quatre millions et demi de francs). La distribution comprend : Dick Powcll, Fred Allen (un des plus grands comiques de la radio américaine). Pau! Whiteman et son orchestre, Ann Dvorak. Patsy Kelly et les transfuges de la radio Phil Baker. Beetle et Bottle. Yacht Club Boys, Rubinof, les Radio Roguei et Ramona... XUE « L'ENNEMIE». — Le film que Max Ophuls a réalisé d'après la célèbre pièce d'A. P. Antoine, sur l'adaptation de Kurt Alexander et de lui-même, est actuellement en fin de montage. Déjà. Max Ophuls et Albert Wolff. président des Concerts Pasdeloup, préparent la sonorisation, et l'on peut espérer que « L'Ennemie » sera présentée à Paris cette saison, avant la reprise de la pièce à l'Odëon BOUCLES D'OR O n tourne EN EXTERIEURS « La Terre qui meurt ». — Pierre Lar- ! quey, Simone Bourday. Germaine Sa- j blon, Alexandre Rignault, Jean Cyrano, Jean Galas, etc., sont les interprètes de ' «La Terre qui meurt», film en couleurs naturelles, que réalise Jean Vallée. »Les petites Alliées». — A Toulon Jean Dréville vient de commencer les extérieurs de son adaptation filmée du roman de Claude Farrère « Les petites Dans ce « Fox-Film» qui obtient actuellement un gros succès à Paris, la petite Alliées ». Shirley TEMPLE apparaît un moment déguisée en petite vieille. i'iHtmiwmwMinit»M«miMt«niMifimim;»iiitimmmi LES ÉMISSIONS D'AUJOURD'HUI I RADIO P.T.T. NORD à LILLE (247 m. 3). — Vendredi 15 Ntnmbri. — 6 h. 50 : Relais de Paris **. T. T. : Bulletin météorologique. — 7 h. : Relais de Paris P. T. T. : Informations ; Revue de la Presse. — 7 h. 40 : Disques : La Parade des Soldats de bois : Louise, fox-trot : Anne-Marie, paso doble : Pille d'Espagne, paso doble ; Wlne, women and song. valse : K?.ss, valse. — 8 h. : Relais de Paris P. T. T. : Informations : Revue de la Presse. — 8 h. 4U : Disques : Les Saltimbanques, fantaisie ; Quand les soldats vont au pas. marche militaire de l'opérette « Rose de France »; O mon bel inconnu, valse chantée de l'opérette ; Coups de roulis : a) C'est charmant très parisien, b) Les hommes sont bien tous les mêmes : Amour tzigane, vale de l'opérette ; Une nuit à Venise, valse de l'opérette — 8 h. : Relais de Paris P. T. T. . Informations : Revue de la Presse. — 11 h. : Relais de Bordeaux Lafayette — 12 h. : Disques : Les Tisserands, chanson, André Bal bon (basse chantante) : De grand matin me suis levé, chanson. Marie-Thérèse Gauley (soprano) : Les roses d'Ispahan. mélodie : Amour Inquiet, mélodie sérénade : Paysage d'or, mélodie. — 12 h. 15 : Relais d'Alpes Grenoble. — 13 h. : Relais de la Tour Eiffel : Bourse des valeurs. — 13 h. 10 : Relais de Paris P. T. T. : Bulletin météorologique ; Informatlons ; Ouverture de la Bourse. — 13 h 30 * 14 h. : Relais d'Alpél Grenoble. — 14 h. 20 : Relais de la Tour Eiffel : Cours divers. — 14 h 80 : Relais de la Station Radio Coloniale. — 15 h. 45 : Relais de la Tour Eiffel : Cours divers. — Je h. : Récital d'orgue a» M. Jouglet, or- ganiste de l'Eglise Samt-Etienne. à Lille : Canzone ; Récit de Nazart . Premier mouvement. Pièce symphonique ; a) O Mystérieux, b) Ave Maria. Jeanne Bossut (soprano) ; Funérailles ; Mélancolie du bonheur ; Communion : Grand chœur. — 17 h. : Relais de là Tour Eiffel : Cours divers. — 17 h. 10 : Disques : Les Cloches de Corneville. fantaisie : La Fille de Madame Angot sélection : Mam'zelle Nltouche : a) Le soldat de plomb, b) Babet et Cadet. — 18 h. : Relais de Radio-Paris. — 18 h. 30 : Ramio-Journal. — 18 h. 30: Concert par le quatuor Calvet. — 20 h.30: Emission fédérale littéaire et dramatique. — 22 h. 30 : Relais de Paris P.T.T.; Informations, Météo. BtCEVREPAR-FADlO Seul Atelier spécialise pour la réparation êoigné* de Poatts de toutes marque» Devis grst. 30. r. LepelleUer, Lille. T. 521.32 RADIO PARIS (1.648 m. 3). — 7 h. : SI J'étais le patron ; Folies Bergère : Georges Whlte's Scandai of 1935 : Marie-Rose, Rose-Marie. — 8 h. : Le Roi s'amuse ; Le Cid. — 11 h. 30 : « Le Marché du blé ». — 12 h. 15 : Le SMtouI au pays : Badinerle : Si tu m'aimes : Elle avait trois couronnes d'or ; Fédla ; Les Oies de Lauterbourg : Deuxième sonate d'orchestre ; Terzetto : Symphonie militaire. — 14 h. : Pages de Victor Hugo. — 14 h. 30 : De César Franck : Le Chasseur maudit : Nocturne : Fraîche nuit ; Psyché enlevée par le Zéphyrs : Eros et Psyché. — 15 h. : Orgue ; Prélude : Sonate, flûte et orgue : Son image : Soleil d'hiver ; Orientale : Syrtnx : Il est un petit navire ; Légende de Saint Nicolas; Prélude en sol (Bach). — 15 h. 30 : Pages de Jules Claretle. — 18 h : Monsieur de Pourceaugnac ; Suite en ré VOIR • (Bach) : Marche turque ; Cinquième et Sixième menuets de fête ; Romana et Novelette ; La Grotte de Fingal : Chœurs des Fileuses : Peer Gynt. — 17 h. : Cours d'anglais. — 17 h. 25 : Le Palais. — 17 h. 30 : L'Orchestre symphonique de Paris : L'Enlèvement au sérail : Suite algérienne. — 18 h. : Folklore hawaïen ; Impressions d'Amérique : « Le Métier de Directrice de Théâtre ». — 18 h. 30 : L'Orchestre symphonique de Paris : Les Préludes : Rlspetto ; Donne Curtosa Aria ; Ratzolan Légaline : Nina Nana : Cantante de Bettlne : La Boite à Joujeux. — 19 h. 30 : « Au hasard des soirées ». de Pierre Brisson. — 19 h. 40 : La Chasse — 19 h. 60 : La Gastronomie — 20 h. : Conte : Le Mariage des Roses ; Obession ; Clarté ; Récital de piano : Gavotte et Musette : Le Coucou : L'Hironde'le ; Rondo Capriccloso. — fille galante : Les Amants : L'Inconstante ; 20 h. 46 : Festival Reynaldo Hahn : Manon, La Dolenet ; L'Enjôleur ; La Frivole ; Le Souvenir ; de Sacha Guitry : « Mozart » r La Fête cher Thérèse, ballet en 2 actes de Catulle Mendés. — 22 h. 45 : Les Deux Aveugles : Deux Airs (Bach) ; Deux Airs (G'.ucki : Le Bal de Béatrice d'Esté; Glration : Trois mélodies ; Suite persane : Villanelle pour cor ; Quatre esquisses : Le Tombeau de Couperin ; Pièces brèves. TOUR EIFFEL (206 m. ). — 14 h. 30 ; Station coloniale : Le Grand Mogol ; Pièces espagnoles ; Suite d'orchestre ; Monsieur de opurceaugnac ; Suite espagnole ; Les Pêcheurs de pries : Pour vous. Ninon : Sylvla. — 18 h. : Bordeaux. — 18 h. 30 : m9m • Géographie. — 20 h. 30 : de Gabriel Fauré ; Deuxième Nocturne ; Cinquième Impromptu ; Deuxième Baroarolle ; Chanson d'Eve ; Huit pièces brèves ; Quatrième valse caprice. PARIS P.T.T. (431 m. 7). — 9 h. 40 : Philosophie, critique, histoire. — 11 h. ; Bordeaux. — 12 h. 16 : Grenoble. — 12 h. 45 : Vedettes. — 14 h. 301: Station coloniale (voir Tour Eiffel). — 16 h. : Télévision. — 16 h. 30 : Cours moyen de muiaque et de chant choral. — 17 h. : L'Orchestre symphonique de Paris : Le Dernier Jour de la Terreur ; Heures antiques. — 18 h. : L'Orchestre symphonique de Paris ; Stenka Razlne ; Klklmora ; Romance ; Rêverie ; Les Fontaines : Pastorale. — 19 h. 30 : L'O S. P. : Idoménée ; Chanson bohémienne et Danse ; Carnaval. — 20 h : « Musiques arabes ». par Mme Lucie Delarue-Mardrus. — 20 h. 30 : Emission fédérale : « La Vie des artistes » : « La Masslére », comédie en 4 actes. — 22 h. 30 : Dernières informations ; Météo. POSTE PARISIEN (312 m. 9).— 7 h. 10 : Les Cloches du Morvon ; Circonstances de chasse ; A qui le million ; Devant les portes provençales ; Max et Maurice ; Fête enfantine ; Dans les rues ; Ah I que c'est beau la nature : Trois heures du matin : Valse impériale ; La Chanson de la oantlnlère : Missouri. — 13 h. 19 : Rêverie pour cor anglais : Soirée près du lac ; Tandam. — 13 h. 35 : Extraits de Mignon. — 18 h. 21 ; pastorale (Franck) ; Pastorale (Scarlattl). — 18 h. 41 : Toujours, je vous entends : Amour au clair de lune. — • 18 h. 45 : par Thérlve : « Parlons français ». — 18 h. 62 : Le Rouet d'Omphale ; Marguerite au rouet ; La Fileuse. — 19 h. 50 : Enregistrements en patois du Nord ; L'Habit d' min vieux grand-père ; Derrière 1" quarant'-tros : In suivant 1' bal roulant. — 20 h. 20 : Marine ; Chanson ; Rien si ce n'est que ton cœur ; SI les baisers avaient, des ailes. — 20 h. 35 : Evocation de Schubert. — 21 h. 10 : « De l'ancien monologue au tour de comédie ». suggestions de Jean Lauret avec Jacques Cossin. — 22 h. 6 : « Artistes ». un acte de Félix Langer. RADIO NORMANDIE (269 m. 6). — 11 h. : La Flûte de Sans-Souci ; Symphonie en si bémol (Chausson) : Première suite du ballet de Chout. — 18 h. 45 : Lazare, conte par Jonquère. — 21 h. : Mascarade ; Les Noces de Jeannette ; Petites mains d'amour ; Les petits oiseaux ; Les semailles ; Le Barbier de Sévilie ; Le petit duc ; La Veuve joyeuse : Souvenir de La Varenne ; Ortega ; Ah ! mais oui ; Les Dragons de Villars ; Le Tyrolien Saint-Pierre ; c Un ministre, s. v. p. », opérette. RADIO TOULOUSE (328 m. 6). — 18 h. 15 : Carmen : Lakmé ; Le Cid. — 18 h. 30 : Récital de violon : Mouvement perpétuel ; Hymne au soleil ; Danse slave ; Danse slave. — 21 h. : Dodo l'enfant do, fantaisie. — 21 h. 35 : Mamouna. — 21 h. 46 : La Favorite, de Donlzetti. STRASBOURG (349 m. 2). — 10 h. : Amitiés françaises ; Les Dragons de Villars ; Le Mariage des roses ; Si tu le veux ; La rose bleue ; Menuet fleuri ; Aubade Hiittmniif'jnh««tpi!j>tuuwuij;>wuiiwui»aiiiumii'iiiiiiiisiswisaitiitsittii sentimentale ; La Fille de Madame Angot ; Retour à la France. — 11 h. : Bordeaux. — 12 h. ; Rose-Marie ; La Geurre des valses ; Sérénade espagnole ; Danse ; Mascarade ; Aux portes de Paris ; Le Logis du rêve ; Heure exquise ; Supplication ; Cocktail Pathé ; Lied et Czardas ; Réminiscences romantiques ; Marche des fleurs. -— 13 h. 5 : Euryanthe ; Bals a la cour ; Alessandra Stradella ; Le sang viennois ; La Grotte de Fingal ; Harmonies célestes ; Cavalerie légère ; Pluie de diamants. — 14 h. 30 : Station coloniale (voir Tour Eiffel). — 17 h. 30 : Lyon. — 18 h. 45 : Villes françaises : « Orléans ». — 19 h. : Le Pensionnat ; Passionnément ; Danse nationale polonaise ; Danse slave n» 7 (Dvorak) ; Marche des petits pierrots. — 22 h. 45 : Radio Paris : Concert de nuit. BRUXELLES (483 m. 9). — 12 h. : Danceries françaises du seizième siècle ; Pavane pour une infante défunte ; Pavane de la Belle au bois dormant ; Pavane : Isollne ; La Célèbre Pavane : Etienne Marcel. — 12 h. 20 : Adaptation musicale : Le Corbeau. — 12 h. 30 : Les Petits Riens ; Agnès, dame galante ;Terpslchore. — 13 h. 20 : L'Amant Jaloux ; Le Mariage des roses ; O ces pas lnceratlns. — 13 h. 30 : Rhapsodie limousine : Rhapsodie mexicaine ; Rhapsodie norvégienne ; Rhapsodie hongroise. — 18 h. 50 : Coriolan. — 19 h. : « Le secret du vrai bonheur ». — 19 h. 16 : Chansons bohémiennes. — 20 h. : La Brabançonne : A l'époux ; La Légende de la reine Astrid ; Marche jubilaire ; Le Rossignol ; Lucie de Lammermoor ; Fantaisie ; Esquisses symphoniques ; Berceuse royale ; Scherzo. — 21 h. 15 : Le Carnaval romain ; Le Barbier dé Sévilie : Lanista : Sr te française ; Ronde burlesques ; Vers l'avenir. — 22 h. 26 : La Favorite (Donlzetti). DROITWICH (1.800 m.). — 11 h. 60 : Zampa ; Extravagance : Suite ; Roberta. — 13 h. 16 : Qautre transcriptions du XVIII» siècle ; sonate ; Smionietta en ré (Hbllaender). — 17 h. 15 : Le Bruissement des fleurs ; Mulsque de Mozart ; Sérénade d'amour ; Danse espagnole ; Danse des petits lutins ; Le Jongleur ; Aubade ; Suite de ballet. — 22 h. 20 : Fantaisie et fugue en do mineur (Bach) ; Symphonie eu ré mineur (Franck). LONDRES REGIONAL (342 m. 1\. 10 h. 45 : Fantaisie sur des thèmes de Liszt ; Lanse espagnole ; Légende ; Ibrche de oavaleru ; Suite de c b « ts popil angia-.s. — 11 h. 45 ; RécUal d'orgue. 2 Ôh. 15 : Le B. B. C. orchestra : LTtnfam prodigue ; Ballet-suite ; Danse des heure Ballet du Cid. LUXEMBOURG (1.304 m l . — 7 h 45 Le baron tzigane ; Valse ; Menue I 8 h. : L'or et l'argent ; L'Anniverscirc de bébé.— 12 h. 30 : L aprincesse iuniu- : L'Arlésienne ; Sérénade à la noiraév ; ocie à Terpsichore ; Paris-Béguin". — 13 h : Cortège nuptial : A toi ; Deux danses. — 2 Ih. : Policcinan's hoiiday ; Scènes brabançonnes , Patrouille américaine ; Le Cirt. — 21 h. 30 : Joyeuse marche ; Pièces brèves ; Marche militaire française. — 21 h. 45 : Valse du baiser : Cockney ; Sicilienne. — 22 h 5 : Récital de chant : Gismonda ; Sapho ; Cavalleria Rusticana ; Les Contes d'Hoffmann : Allegro appas'.onato. — 22 h. 20 : La. Fille de Madame An<rot ; Les Mousquetaires au couvent ; Mélodie célèbre ; La Mascotte ; Véronique ; Ballet égyptien. GASTON MINET, Tailleur LILLE, «*, rue dé Paris, l.n.i.ir VETEMENTS tout FAITS et MESURJI Voir Nouveautés «la la Satean