TRAITEMENT DU DIABETE Les meilleurs hôpitaux

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Vienne (Isère)
La Roche-sur-Yon (Vendée)
Dunkerque (Nord)
Marseille (Bouches-du-Rhône)
e diabète se définit
comme un excès permanent de sucre dans le sang.
L’insuline, produite par le pancréas
est au centre de la maladie, car
c’est elle qui règle l’utilisation du
sucre par les cellules de l’organisme. Des facteurs génétiques et
d’environnement, notamment l’alimentation trop riche et le manque
d’exercice physique, sont à l’origine de ces dérèglements. Le
diabète dit insulinodépendant (de
type I), aussi appelé « maigre » car il
débute par un amaigrissement, ou
encore « juvénile » car il touche des
jeunes, est lié à la destruction des
cellules pancréatiques. Environ
120 000 personnes en souffrent en
France et doivent obligatoirement
être traitées par de l’insuline synthétique. Aujourd’hui, celle-ci peut
même être délivrée automatiquement tout au long de la journée par
une minipompe portée par le
malade, ce qui lui laisse une liberté
que des injections répétées à des
horaires stricts réduisent terriblement. Le diabète dit non
insulinodépendant (de type II),
aussi surnommé diabète « gras » ou
« de la maturité », car il survient
autour de la cinquantaine chez des
personnes en surpoids, toucherait
dix fois plus de personnes et se
soigne d’abord par un régime.
Chronique, la maladie persiste
toute la vie. Sans traitement approprié, elle peut être à l’origine
d’accidents brutaux comme des
comas, de complications survenant
peu à peu au niveau cardiaque ou
rénal, de cécité, d’impuissance ou
d’amputations. C’est dire l’importance d’un diagnostic et d’un bilan
précis, nécessitant des compétences médicales très spécialisées,
d’un suivi régulier et surtout d’un
excellent apprentissage des
moyens de traiter son diabète qui
ne peut être reçu sérieusement que
dans des services spécialisés comportant de véritables éducateurs,
des diététiciens ou encore des
assistants sociaux, car beaucoup
de malades viennent de milieux
défavorisés ■
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TRAITEMENT DU DIABETE Les meilleurs hôpitaux
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59 % 5,2 oui 19,44
34 % 4,1 oui 19,22
30 %
6 oui 18,92
32 % 5,1 oui 18,91
24 % 5,5 oui 18,74
30 % 6,9 oui 18,34
43 % 6,7 oui 18,26
15 % 5,9 oui 18,06
19 % 6,5 oui 17,96
31 % 6,8 oui 17,86
22 % 6,2 oui 17, 79
11 % 4,3 oui 17,67
17 % 8,1 oui 17,66
20 % 7,7 oui 17,64
56 % 6,3 oui 17, 49
60 %
5 oui 17, 49
23 % 6,5 oui 17,43
61 % 8,7 oui 17,42
15 % 6,8 oui 17,34
6 % 3,8 non 17,31
33 %
9 oui 17,21
10 % 6,7 oui 17,07
13 % 6,7 oui 17,02
12 % 7,4 oui 16,96
16 % 6,3 oui 16,82
55 % 5,6 oui 16,78
8 % 5,7 non 16,78
25 % 8,9 oui 16,63
28 %
6 oui 16, 49
12 % 8,3 oui 16,43
15 % 4,6 non 16,37
9 % 7,4 oui 16,30
19 % 4,7 non 16,25
53 % 8,8 oui 16,10
1 % 3,5 oui 16,08
12 % 8,3 oui 16,02
19 % 6,4 oui
16
9 % 6,8 non 15, 99
11 % 6,6 non 15,81
17 % 7,2 oui 15,74
17 % 7,1 oui 15,67
53 % 11,9 oui 15,63
3 % 6,1 oui 15, 59
15 % 9,9 non 15,46
13 %
9 oui 15,30
5 % 5,7 oui 15,12
56 % 9,3 oui 15,02
2 % 6,2 non 14,98
2 % 6,5 oui 14,92
24 % 9,3 oui 14,22
CHU : centre hospitalier universitaire. CH : centre hospitalier. Information du public : réponse au questionnaire du Point. Activité : nombre de malades pris en charge
dans l’année. Notoriété : pourcentage de malades pris en charge dans l’établissement, mais domiciliés dans un autre département. Durée de séjour : durée moyenne
en jours. Centre de traitement du diabète par pompe portable à insuline ayant répondu à l’enquête Infu. systèmes 2000.
le point 1563 | 30 août 2002 | 59