VENTE VOLONTAIRE PH. RICHARD FILS
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VENTE VOLONTAIRE PH. RICHARD FILS
'^T^'f'r^r- '•i^'-?^.^*;:?:?^^^^^ LE PATRIOTE S A VOIS ÏÈN trouvait dans le caissou de la voiture du du théâtre de la Villa nous a donnéohier tion par le célèbre professeur. SterOn annonce pour le dimanche 21 l'arri¬ était de tout point parfaite. Les vaillants mann. factage, appartenant à M.Blache. vée de nombreux et habiles tireurs de Le vol a dû être commis entre la rue de artistes que nous applaudissons depuis Demain vendredi, concert symphonique, Chambéry, d'Albertville, ex. de plusieurs Gehève^t l'avenue du Petit-Port, car le plusieurs semaines nous ont habitués à sous la direction de Ed. Colonne. autres localités de la Savoie. (jeune Vial, employé au factage, arrivé toutes les surprises et ce n'en est pas une Après-demain samedi, première repré¬ au coin de la rue de Ua Dent du-Chat, où des moins heureuses que de voir monter sentation de Paul et Virginie, opéra en Etude de M° BOURBON fils, huissier à ilsfarrête tous les jours, a encore vu le en si peu de temps,avec une mise en scène trois actes et six tableaux, musique de V. Chambéry, rue de Boigne, 5. groupe dans son caisson, que malheureu- des plus complètes, chœurs, décors, or¬ Massé. sem'én'f il àVait eu l'impruden-je de laisser chestre et chant, un opéra de l'importance Dimanche 21 août, à l'occasion des cour¬ de la Jolie Fille de Perth. Quelques hésita¬ ses, fête de nuit, musique militaire, ¥oîlâ'assuré ment un jeune gaillard qui tions se sont, i l est vrai, produites dans bal. de 8O© serviettes et 8O© draps prèfeiëi.Vétfqùï sera uri habile dans son mé¬ les chœurs; Mlle Mezeray, dont les moyens ••' Provenant du Lycée de C/iambéry. tier. Il paraît même que ses patrons avaient nous ont semblé quelque peu paralysés au Casino Villa des Fleurs. — Vendredi Le samedi 20 août courant et jours sui¬ une entière confiance en lui, et cependant début, a pris une éclatante revaache dans 19 août 1887 : vants s'il y a lieu, à 9 heures du matin,dans les derniers actes, et nous "avons alors plusieurs vols avaient déjà été commis à A huit heures précises, représentation la cour des cloîtres du Lycée de Chambéry, leurs préjudices, devant eux, et avec une retrouvée ce qu'elle est toujours, aussi extraordinaire au profit d'oeuvres de bien¬ il sera procédé par le ministère de l'huissier distinguée comédienne qu'habile canta¬ faisance locale; abonnements et entrées de soussigné, à la vente aux enchères publi¬ habileté des plus remarquables. ques,au plus offrant etdernier enchérisseur, trice. Elle s'est montrée, dans la scène de faveur suspendus. C'est par un hasard providentiel que de 800 serviettes et 200 draps. M. Blache, le volé, a découvert lès vo¬ la folie, où elle a exécuté des vocalises d'un Deuxième représentation de la Jolie Fille La vente se fera au comptant avec tour et d'une coupe des plus originaux, de Perth. augmentation du cinq pour cent. leurs. Trois Italiens, porteurs d'une malle toute une virtuose très habile. L . B O U R B O N fils. PRIX DES PLACES. Mais quelle singulière manie, depuis neuve, se rendaient à la gare pour pren¬ Loges de.6 places, 30 fr. — Fauteuils, 5. L a f a r i n e M e x i c a i n e n'a plus à faire ses dre le train, lorsque M. Blache, sortant de Donizetti,s'est emparée de tous les compo¬ — Chaises 3 fr. preu\es. Depuis 20 ans elle a guéri plus de cent siteurs ayant écrit pour des femmes ce chez lui, et apercevant ces trois types, eut malades atteints des maladies les plus A trois heures et demie, grand concert mille graves de la gorge et des poumons. Aucun des la bonne idée de faire suivre ces indivi¬ qu'on est convenu d'appeler : là Scène de dans le Parc. remèdes préconisés dans ces cas n'adonné de pareils résultats. C'est pourquojrlaFarineMexidus par l'agent Pache, de service à la la folie ! Depuis que Lucie est apparue ha¬ Samedi, fête de nuit, bal, illumination caine doit être recommandée à tous les malades billée de blancfctégrenant le chapelet de gare. qui veulent guérir. et feu d'artifice. Après de minutieuses recherches, l'a¬ ses brillantes vocalises, i l n'y a pas à s'y •M. BARLERIN, pharmacien-chimiste à Ta¬ rare, envoie franco 20 potages pour 2 fr. 50 ; i l gent finit par découvrir le magot au méprendre, si vous voyez au théâtre, une est répondu de suite aux malades qui envoient La Lyre maurlennalse un timbre pour la réponse. fond de la malle, et soigneusement en¬ femme pâle et blonde, toute vêtue de La Farine Mexicaine se vend à Chambéry, blanc, jetant aux quatre vents du ciel les Ebloui — oh ! momentanément — par chez foui dans la manche d'un paletot. M. Perrin, droguiste, et chez M. Vallier, Ils n'avaient enlevé que 40 francs de la roulades les plus désespérées, entassant le succès au concours de Villefranche de épicerie Centrale. cocottes sur cocottes comme ou dit en notre Orphéon chambérien, nous avons ou¬ somme. Nos coquins furent arrêtés immédiate¬ argot de théâtre, c'est assurément une folle blié de mentionner dans notre éuumérafinal rccotamftiidoni TBm fc wKMTMEU H.ESSY,H,ru»d«Cluny, uty que vous entendez.— Le. vocalise et la tion des victoires remportées par les So¬ ment, et sous bonue escorte conduits au A l'Esor© Vletor Hugo, i* U méin* Muio*. roble blanche, tels sont les signes infailleciétés savois'.ennes, la Lyre mauriennaise bureau de police, pour le lendemain, après - um c«i m i ut les premières constatations, être emmenés ment caractéristiques. Après Donizetti (fanfare municipale), qui a obtenu le à Chambéry, où ils auront le temps de ré¬ dans Lucie , après Meyerbeèr dans le 1 prix au concours de soli et le 1" prix Pardon^ après A. Thomas dans Hamlet, au concours d'exécution à l'unanimité. fléchir à leur nouvelle situation. Cette excellente Société a vaillamment L'anestation du petit chasseur a fait dé¬ Bizet s'est gardé de ne pas suivre la gran¬ Cent pour cent de revenu assuré couvrir d'autres vols. Il paraîtrait que de¬ de et glorieuse voie des maîtres et... voiR disputé le prix du concours d'honneur, car pourquoi dans là Jolie Fille Je Perth, Ca¬ un premier vote du jury donnait cinq voix C a p i t a l g a r a n t i avecchances de l'augmente]. puis quelques temps, ce précoce voleur considérablement. plaçai* ou envoyait en Italie de? sommes therine, pâle, blonde et — à l'inverse du à là fanfare d'Amplepuis et cinq voix à la AINSI : En plus du revenu de 100 pour 0/0 page de Malborough — de blanc habillée, Lyre mauriennaise ; ce n'est qu'au deu¬ Un Capital de 3.000 francs a été augmenté d'argent assez grasses. en 1884 de 3.895 francs est venue nous roucouler.avec autant de fa¬ xième tour de scrutin que Je prix a été Il est. à souhaiter que l'enquêta fasse en 1885 de 2.980 francs cilité que de talent du reste, là scène de la décerné à la fanfare d'Amplepuis. en 1886 de 4.475 francs découvrir tous ces vols. 1" trimestre 1887 de 2.250 francs folie. ; La population de Saint~Jean-de-Mau- Pour circulaire explicative s'adresser à la Spé¬ Sur la valeur musicale de la partition, rienne, justement flère d'un pareil succès, c u l a t i o n G é n é r a l e , 4, rue Chauchat, Paris. Le paiement des traites qui renferme des pages d'une grande a fait une réception enthousiaste à sa fan¬ Maison fondée en 1878 Le tribunal de commerce de Fougères, beauté et des scènes d'une réelle puissance fare, et à son jeune, iutelligent et dévoué vient de rendre un jugement intéressant, dramatique, i l ne m'est guère possible, directeur, M. Vulliermet, a qui revient la dans les circonstances suivantes : après une première audition,de donner une plus grande part de ce succès auquel i l « M . Victor Bagot, négociant à Fougè¬ appréciation critique bien nettement arrê¬ nous a de longue date habitués, du reste. D'ABSINTHE SUPÉRIEURE DE SAVOIE DE res, reçut à échéance, le 5 mars dernier, tée. J'ai surpris des dessins d'orchestre Le concours de Thonon en est une preuve. cinq traites qui l a i furent présentées par qui déjà font entrevoir l'auteur de Car¬ Que la vaillante Lyre mauriennaise re¬ men. C'est à la fois plein de grâce, de çoive nos félicitations et persiste dans ses la Banque de France. CHAMBÉRY <r S'appuyant sur l'article 6 de U loi du force et d'originalité. Je reviendrai sur intelligents efforts : le succès qui, à plu • 20 juillet 1886, i l voulut payer chaque c°,tte question après la seconde représen¬ sieurs reprises,est venu lescouronner déjà, Ce produit doit ses incomparable qualités : traite séparément afin de pouvoir faire l'ap¬ tation qui a lieu deniâin et à laquelle je s'accentuera davantage encore, et s'il se à l'alcool de vin employé ; à l'arôme de la plante cueillie sur nos montagnes ; â sa point de chacune en monnaie divisionnai¬ me fais une véritable fête d'assister. change en triomphe au prochain concours, coloration naturelle, ainsi qu'aux grands re. L'employé de la banque refusa d'ac¬ Je ne voudrais pas toutefois terminer elle nous trouvera des premiers à la saluer soins apportés à sa préparation. cepter cette combinaison et exigea le ces quelques notes hâtives; sans faire l'é¬ de nos plus vigoureux applaudissements. La Maison Richard continue à se re¬ commander par l'excellence de son Verpaiement en bloc, son administration loge de M. Furst, qui a chanté avec autant mou t. si vivement apprécié de tous les l'approuva. Les traites furent pro¬ de grâce que de talent la sérénade du deu¬ Société de t i r de JVtoiitiers . gourmets. . • ' testées. xième acte et dont Henri Smith est un des Le premier concours international donné Envoi franco d'échantillonr sur demandai « M . Bagot assigna la Banque en rem¬ meilleurs rôles ; Je Mlle Castagne, une par la Société de tir de Moûtie-s, pour l ' i boursement des frais de protêts et des excellente et pittoresque Mab ; de M. Sounâùg'iïràt'ion de son stand, a pleinement comptes de retour qui en ont été la suite. lacroix, le chanteur impeccable, le sédui¬ réussi. Il demande en outre l'insertion aux frai3 sant artiste qui conduit si bien sen admira¬ Pour cause, de double emploi •.••;•,.-., Tout s'est passé dans l'ordre le plus par¬ d e l à Banque, dans deux journaux de Fou¬ ble voix ; de M. Degravè, de M . Degrave FONDS DE MARCHAND DE VINS surtout, dirais-je volontiers. Il a été en fait, malgré' l a nombreuse affluence des gères, du jugement à intervenir. ET LIQUEURS tireurs et du public. • « Le tribunal l u i a donné satisfaction effet — je ne le lui envoie pas dire — dans rue du Temple (Centre de Paris) Là dWxïème partie du concours aura Donnant un rapport net de 6.5OO fr. par sur le premier point, attendu qu'aucune loi le rôle de Ralph, absolument parfait : il a ni aucun usage n'obligeât le débiteur à interprété le personnage, en comédien lieu les 20,21 (dimanche) et 22 août cou¬ an. Pouvant convenir à dame seule, loyer acquitter au même instant et en un seul consommé et le chanteur était, certes, au rant ; tout fait prévoir que les:: tireurs ac¬ Prix ?.5O6ft«. (moitié comptant) paiement toutes les lettres de change qui moins à la hauteur du comédien. Ce n'est courront plus nombreux encore et qaé la S'adresser à M . USANNAZ, Boulevard recette totale dépassera de . beaucoup les Saint-Martin, 5, Paris.' ont été tirées sur l u i à la même échéance pas un mince éloge. ' ... prévisions dé là corn mission.";, :« \i- ;, * ; : ^, par des créanciers divers et pour des cau¬ Je me reprocherais d'oublier M . JoinAu nombre des tireurs étrangers, on re¬ ses distinctes. » - - >- •..--.•• nisse — Simon Glover — dans un rôle dif— marquait M. Marc Péter, de Genève; M. r: vi ficilè.assez ingrat souvent'. Cet artiste s'est Dentiers masticateurs Ducliesne et Blàric, de Pëfpïjgnari. Spoiété des eaux de Olialles wontré d'une grande tenue et d'une par¬ dentaires sans crochets. — Légèreté, Parmi les cantons voisins, c'est celui pièces précision et élégance.— Prix modérés. ~ ..La SociétédesEauxminérales de Challes faite correction. d'Aimé qui à fourni jusqu'ici le plus grand Redressement de dents déviées des enfants. Nesle). inforœé. les porteurs d'obligations que le , , : ••'.' ;•;* •.[}' \LK Tovsijdë nombre de tireurs, tous très habiles : ci¬ -f Consultations de 9 h. à midi et de 2 h. à 6 coupon à échéance du 20 août est payable h., chez M . Duchesnë, : chirurgien-dentiste, tons au hazard MM. Anseimi, ^ecomte, rue deTHôtel-de-ville, 105 (Angle Bellecour), dès aujourd'hui à la banque Doménge, MoAis:-les-Bâins •'.'" Galliod, Cërrutti,' Mëiller, Montrnayeur, et à Lyon. nestès et Cie, à Chambéry et à Aix-lesCercle d'Âicc- les-Baùis. — Aujour¬ plusieurs autres dont les noms nous Bains. :••. . d'hui jeudi, 18 août 1887: échappent. : 1 A huit heures du soir, le Fiacre 117, Uoe ciblé particulière à la carabine On demande pour l'exploitation, à Cham¬ TJaéâtre de l a "Villa des ! Fléujf S comédie en trois actes, de MM. E . de NaFlobert, avec une série de fort beaux prix, béry, d'un industrie devant rapidement donner les plus brillants bénéfices, de 75 à jac et A. Millaud. est spécialement destiDéè aux Dames. Cette 100 pour O/o, un commanditaire pouvant - LA JOLIE FILLE DU PERTE ' A midi et demi; concert par l'orchestre cible à été assez fréquentée ; elle lé sera disposer de six à dix mille francs. Opéra en quatre actes, de Georges Bizet. du Cercle sous là direction de M . L. L a - plus encore dans la seconde période. Jus¬ S'adresser pour, totis renseignements, au bureau du journal, ••••'• „..:,."."... Une eu deux répétitions de plus et la re¬ porte. •.-•.'.••>.-; qu'ici Mmes Légat et Dumas tiennent la A quatre heures, séance de prestidigita¬ tête avec de fort belles séries. présentation: queTexcelleDte troupe d'opéra VENTE VOLONTAIRE f : f Autant de Rentes que de Capital er : K Grande Distillerie PH. RICHARD FILS A." V E N D R E ; 1 : v : ._ . À y i s 1 • -: , • • • • • • ; • ^;/,,;,;. 1 i ; LS O$MNT •IBirCNt/' BLB, C. BéOBT. • S ... W