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SINGER histoire industrielle
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Guy PRUD’HOMME, analyste
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TABLE
DES
matières
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PLAN
Table des
Annexes
Extrait de la publication
2 KUDILO LE KANAK (Anne BERNARD)
Guy PRUD’HOMME
Analyste
SINGER
(HISTOIRE INDUSTRIELLE)
Les Éditions Archimède
C.P. 6155 Saint-Jean-sur-Richelieu J2W 2A1
514 891-8775
La couverture dépliée illustre une des premières CARTEs de la ville de Saint-Jean-sur-Richelieu. De
quelle façon peut-on lier Saint-Jean-sur-Richelieu à SINGER? C’est ce que vous découvrirez
probablement en parcourant ce livre. Une légende de la carte vous apporte des précisions relatives à
certains édifices numérotés.
Elle représente selon la tradition populaire une «Vue à vol d’oiseau» de la ville de Saint-Jean-surRichelieu.
Photographiée à bord d’une montgolfière puis dessinée dans les rues en parcourant la ville par
monsieur Wellge du Delaware des États-Unis en 1881.
Joint à la couverture arrière, on a mis un PLAN détaillé des installations de SINGER à Saint-Jean.
Nous référons souvent à ce plan dans le texte.
Plusieurs photographies illustrent ce livre. Elles sont principalement sur les pages opposées au texte.
À la fin, plusieurs pages vous guident:
• la table des édifices et des départements (sur le PLAN),
• la table des photographies,
• la table des annexes,
• la table des matières,
• la légende de couverture.
Pour ce livre, nous nous sommes servis des caractères TRIBUNE. La mise en page de ce livre est faite
à l’aide du logiciel WordPerfect 6.0a en particulier.
Édition spéciale lancée le dimanche 21 mai 1995 à Mont-Saint-Hilaire.
(La première édition date du 3 e trimestre 1994)
© Les Éditions Archimède
C.P. 6155 Saint-Jean-sur-Richelieu
Québec
J2W 2A1
© Guy PRUD’HOMME
Téléphone : 514-891-8775
Domaines Internet : www.archim.com
www.editionsarchimede.com
Adresse de courriel : [email protected]
Dépôt légal
Attribué aux téléchargements, CD, DVD et clés USB de la version papier de 1995 modifiée.
Janvier 2011
ISBN 978-923-686-31-8
Extrait de la publication
À la mémoire:
• d’Ernest Barrière, responsable du département d’ingénierie,
• d’Albert Soutière, gérant du département de montage,
• de Robert Parry, du département d’étude de temps et des mouvements,
je dédie cet ouvrage.
J’exprime ma gratitude et ma reconnaissance
- à tous et toutes retraité(e)s de la compagnie SINGER de Saint-Jean-sur-Richelieu
qui m’ont si aimablement prêté photos et documents,
- à tous ceux et celles qui ont collaboré à faire revivre les heures de gloire ainsi que
la triste fin de l’usine SINGER de Saint-Jean, Québec,
- aux caisses populaires de la région qui ne cessent de nous encourager.
Guy Prud’homme
Extrait de la publication
Photographie numéro 1
Emblème du Centenaire «SINGER» 1851-1951
Extrait de la publication
(1951)
PRÉAMBULE
À la fin du 19e siècle, la ville de Saint-Jean est en régression. La population locale est de
4 700 personnes en 1891. Elle n’est plus que de 4 000 en 1901. C’est donc à la sagacité du maire
Charles R. Cousins et du conseil de ville de l’époque que nous devons l’implantation de la
Compagnie SINGER à Saint-Jean-sur-Richelieu. Les négociations avec la compagnie engagées en
1903 mènent à l’acceptation du règlement numéro 92 le 4 janvier 1904 concernant les octrois de
terrains et à de nombreux privilèges notamment, exemption de toutes taxes municipales et
acceptation de la ville de Saint-Jean de payer les taxes scolaires dues à la municipalité scolaire de
Saint-Jean également pour une période de 20 ans.
De plus le conseil municipal consent, s’engage et s’oblige à se faire octroyer par le
gouvernement du Canada les droits nécessaires pour la construction d’un quai et de hangars sur les
berges du canal Chambly.1
Il faut reconnaître la perspicacité du conseil de ville, d’autant plus que d’autres grandes
industries songent à s’établir à Saint-Jean.
Bien entendu avec une population de 4 000 habitants, Saint-Jean ne peut accueillir qu’une
grande industrie et nous pouvons imaginer les nombreuses tractations entre les compagnies et le
conseil de ville de Saint-Jean.
Par contre nous savons que le maire Cousins et son conseil réussirent à sortir la ville de
Saint-Jean de son marasme puisqu’en 1911 la population locale était de 5 900 personnes soit 48%
de plus qu’en 1901.
En 1921 Saint-Jean compte 7 700 personnes soit 92,5% de plus qu’en 1901, Charles R.
Cousins a gagné son pari, la ville est en plein essor.
1
Voir la rubrique "Le quai" à la page 17
Extrait de la publication
Photographie numéro 2
Vue à vol d'oiseau, St-Johns, 1881 par M. Wellge
Extrait de la publication
(1881)
Photographie numéro 3
CHICAGO
Extrait de la publication
(1870)
1
LES DÉBUTS DE LA COMPAGNIE SINGER
Isaac Merric Singer naît en 1811 à Pittstown dans l’état de New York. Plusieurs personnes
croient qu’il est l’inventeur de la machine à coudre. Il est outilleur et inventeur doué de sens pratique
et d’imagination.2 Il réunit en une seule machine les meilleurs éléments des machines à coudre
rivales y ajoutant ses propres inventions dont la possibilité de coudre dans les courbes, impossible
à toute autre machine à cette époque.
Isaac Singer aidé de son assistant, Georges Zeiber, travaille dans son atelier à Boston et
réussit des points parfaits. En 1851 il obtient un brevet pour une machine à points noués, actionnée
à la manivelle ou par pédalier à pivot central avec roue d’entraînement montée sur support de fonte,
toutes des composantes de son invention.
Ayant utilisé des éléments de machines concurrentes on le poursuit en justice. Moyennant
un tiers des actions SINGER, Edward Clark3 jeune avocat de talent, propose de s’occuper des
finances et de régler le litige bien connu à cette époque sous le nom de «guerre des machines à
coudre».
Nul doute qu’il sut s’entourer de gens d’une compétence remarquable pour la fabrication et
pour la vente. Ensemble ils ont contribué au succès et à la domination incontestable des machines
à coudre SINGER sur tous les continents pendant près d’un siècle.
Au début de l’année 1851 la jeune Compagnie SINGER quitte Boston et s’installe dans une
première usine rue Centre à New York.4 À l’exposition mondiale de Paris en 1855 c’est une machine
à coudre SINGER qui gagne le «grand prix». En 1856, un centre de vente est en opération à Rio de
2
Voir annexe A Les inventeurs de la machine à coudre
3
Voir annexe B Les présidents de la compagnie manufacturière SINGER
4
Voir annexe C Chronologie d’implantation des usines SINGER à travers le monde
Photographie numéro 4
Premier modèle de machine à coudre SINGER «1851»
Photographie numéro 5
Modèle de 1859 et modèle de 1950
Extrait de la publication
Extrait de la publication
Janeiro, Brésil. En 1857 au 33, rue King à Toronto, on inaugure la première succursale de vente
SINGER au Canada.
Une deuxième usine est construite en 1860 sur la rue Mott à New York. Assez curieusement
en 1861 SINGER vend à l’étranger plus de machines à coudre qu’aux États-Unis.
Au début des années «60», les clubs Y.W.C.A des grandes villes américaines donnent des
cours de couture et apprennent aux jeunes filles des quartiers pauvres à se servir de machines
SINGER. À Montréal les clubs Y.W.C.A. les imitent en 1874 et apprennent à leur tour aux jeunes
dames et demoiselles à se servir de machines SINGER.
Pour répondre à la demande des pays d’outre-mer, on construit en 1867 à Glasgow en
Écosse, une première usine internationale. En 1870 un imposant centre de vente de 60 000 pieds
carrés est érigé à Chicago dans un édifice de six (6) étages de style victorien.
Les commandes affluent aux usines new-yorkaises lesquelles ne peuvent répondre à la
demande. SINGER construit en 1873 une vaste usine à Elizabeth Port, New Jersey: pendant la
première année de production on y fabrique 20 000 machines à coudre.
À la même époque à GLASGOW on ne peut remplir les commandes. La demande mondiale
est telle qu’en 1883 on inaugure la colossale usine de Kilbowie, «Clydebank» en Écosse où l’on
emploie jusqu’à 15 000 employés. Cette même année 1883, une première usine est construite au
Canada rue Williams à Montréal. On y emploie vingt-deux (22) hommes dont les salaires
hebdomadaires totalisent 198,74 $ soit 9,03 $ par semaine en moyenne par employé...
En 1887, la production de l’usine canadienne étant insuffisante, on ouvre une nouvelle usine
au 2710 ouest, rue Notre-Dame à Montréal. Dès sa première année de fonctionnement, cette usine
produit plus de 11000 machines à coudre. En 1900 les employés triplent la production sans toutefois
répondre à la demande.
Au Canada, les vendeurs itinérants parcourent les villes et les villages du pays, l’été en
«boghei», l’hiver en «sleigh». Une machine à coudre se vend de 12,00 $ à 15,00 $. Le modèle le
plus en vogue est un meuble à tiroirs coulissants monté sur une structure de fonte. La machine
portative est vendue dans une mallette en bois au fini «SIMANCO».
La première machine à coudre électrique apparaît en 1889. Les ventes accumulées à cette
date totalisent 1 350 000 machines à coudre «SINGER».
Dès le début du 19e siècle, les mères canadiennes rêvent de posséder leur «moulin à coudre»
et pour de nombreux foyers le rêve devient réalité. Avec beaucoup d’ingéniosité et de travail elles
confectionnent vêtements, literie etc. réalisant d’importantes économies et se procurent ainsi ce
qu’elles n’ont pas les moyens de s’acheter en magasins. Conséquemment elles en retirent plaisir et
fierté.
SINGER – HISTOIRE INDUSTRIELLE – USINES DE SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU
Photographie numéro 6
En construction en 1907, complété en 1908
Extrait
la publication
SINGER – HISTOIRE INDUSTRIELLE
– de
USINES
DE SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU
En 1901, la Compagnie mondiale «SINGER» prévoit la vente d’ un million de machines à
coudre par année. En 1904 «SINGER» s’installe à Wittenberg, Allemagne, pour répondre à la
demande européenne: À Saint-Jean, Québec, SINGER construit une usine d’une superficie 25 fois
plus grande que celle de la rue Williams à Montréal.
En 1907 la gestion «SINGER» mondiale requérant plus d’espace, on construit un gratte-ciel
qui sera considéré comme la huitième merveille au monde. Au 149, rue Broadway à New York,
surgit un édifice de 47 étages, le premier «skyscraper» new-yorkais, l’édifice le plus haut au monde.
Le soir, sa base éclairée par trente (30) réflecteurs de 13 000 bougies et son 35e étage entouré
de 1 600 lampes incandescentes, le rend visible à quarante (40) milles à la ronde.
L’empire «SINGER» est solidement établi.
Pages extraites d’un manuel servant à déterminer l’âge et la valeur des machines SINGER. Ces informations étaient disponibles auprès des agents
des succursales (prix comptants d’échange valables pour la période de fabrication allant de 1906 à 1946 ...)
Extrait
la publication
SINGER – HISTOIRE INDUSTRIELLE
– de
USINES
DE SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU
Photographie numéro 7
L'usine SINGER en construction 1905-1906
Voie ferrée à l'avant-plan du «chemin de fer électrique»
Extrait
la publication
SINGER – HISTOIRE INDUSTRIELLE
– de
USINES
DE SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU
2
LA COMPAGNIE SINGER
S’ÉTABLIT À SAINT-JEAN
Pourquoi avoir choisi SAINT-JEAN (St. Johns), une ville de seulement 4000 habitants plutôt
que Montréal, la métropole où la Compagnie est déjà implantée? La question se pose!
Serait-il possible que la résistance opiniâtre des soldats et des miliciens volontaires du fort
de Saint-Jean, face à l’armée américaine, lors de la guerre de l’indépendance des États-Unis en 1775
y soit pour quelque chose? Qui sait?
Rares sont ceux qui savent que le chef Iroquois «Kontitié» de Caughnawaga, faisait cause
commune avec les américains, qu’il fut capturé le 18 septembre 1775 et que malgré l’avis de
quelques-uns de le tuer, la majorité de nos volontaires décidèrent de le rouer de coups de poings et
de le renvoyer à son village, l’avisant de ne plus revenir dans les parages de Saint-Jean.
Le général Montgomery reconnut le courage des défenseurs de Saint-Jean, les soldats du
major Preston ainsi que les miliciens de Saint-Jean et de Montréal pour leur vaillance et leur
détermination en leur accordant les honneurs de la guerre après plus de 45 jours de siège, soit à
l’épuisement de leurs vivres. Le fort Chambly au contraire signa une paix honteuse après seulement
une journée et demie de siège, offrant comme présent à l’ennemi 10 pierriers, 5 mortiers, 2 canons,
4 300 bombes, 13 300 livres de poudre et 150 barils de farine. Sans ces munitions et ces vivres le
général Montgoméry était contraint à lever le siège et de retourner aux États-Unis.5
Plutôt que d’agrandir l’usine SINGER du 2710 ouest, rue Notre-Dame, à Montréal qui à cette
époque produit plus de 30 000 machines à coudre par année, la Compagnie décide de s’installer à
Saint-Jean.
J.D.Brosseau, O.P., «Saint-Jean-sur-Richelieu» (Journal du Notaire Antoine Foucher, du 18 septembre au
19 novembre 1775).
5
SINGER – HISTOIRE INDUSTRIELLE – USINES DE SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU
Photographie numéro 8
Usine SINGER en construction
(1905)
Photographie numéro 8A
Rénovations de l'écluse numéro 9 à Saint-Jean
Conduit d'amenée d'eau sur la berge «est» du canal: 24 pouces de diamètre, 1 700 pieds de longueur de la rivière Richelieu au puits de la centrale thermique.
Extrait
la publication
SINGER – HISTOIRE INDUSTRIELLE
– de
USINES
DE SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU
(1994)
La compagnie SINGER s’implantera aussi à Saint-Jean à cause de la situation géographique
de la ville, située sur la rivière Richelieu, à la tête des rapides qui seront contournées par le canal
Chambly. En 18436, Saint-Jean est la porte d’entrée du lac Champlain cette voie navigable par
laquelle arrivent les matières premières nécessaires au fonctionnement de la nouvelle usine SINGER
de Saint-Jean.
Déjà en 1820, Saint-Jean est le terminus pour les marchandises de toutes sortes venant de
New York via le fleuve Hudson et le lac Champlain sur des barges et des voiliers qui retournent au
pays de l’oncle Sam, chargés de bois de pulpe et de sciage, de foin et de produits agricoles.
En 1822, Saint-Jean détient le rang de quatrième port intérieur en importance au Canada et
l’exercice financier 1878-1879 relève que 3 282 bateaux ont accostés aux quais.7
Le chemin de fer Laprairie-Saint-Jean, le premier en Amérique du Nord, inauguré en 1836,
fait de Saint-Jean (en 1904), la plaque tournante du commerce avec les États-Unis. La voie ferrée
du pont Victoria, ouverte en 1860, permet déjà à la fin de 1866, de relier Montréal à Halifax et vers
1870, de relier Montréal à New York en passant par Saint-Jean.
Le volume des activités commerciales qui transitent à Saint-Jean incite les Américains à
ouvrir un consulat près de la place du quai, et consuls et vice-consuls se succèdent du premier
janvier 1865 au 6 mars 1915.
La haute direction de la compagnie SINGER de New York, influencée par la situation
stratégique de Saint-Jean, ne refuse pas les avantages pécuniaires qu’on lui propose pour
l’implantation d’une usine, tels qu’un retour de taxe de douanes («duty draw back») du
gouvernement fédéral, en plus de crédits d’impôt...
Pour sa part, le gouvernement du Québec octroie d’importantes coupes de bois, 230
kilomètres carrés dans la région de la St-Maurice et 300 kilomètres carrés dans la région de La
Lièvre (villle de Thurso, Québec), ainsi que des crédits d’impôt.
La ville de Saint-Jean-sur-Richelieu de son coté fait généreusement sa part. Le contrat stipule
les clauses suivantes:8
1. Donation d’un terrain de 37 acres situé au nord de la voie ferrée du Canadien Pacifique pour
l’usine et autre terrain de 26 acres au sud-ouest de la ville pour la construction domiciliaire des
employés SINGER,
2. exemption de taxes municipales et scolaires pour une période de vingt ans,
6
Voir annexe C Chronologie (page 138)
7
Itinéraire d’interprétation, ville de Saint-Jean-sur-Richelieu
8
Voir annexe E Contrats entre la ville de Saint-Jean et la compagnie SINGER (pages 140 à 151)
Extrait
la publication
SINGER – HISTOIRE INDUSTRIELLE
– de
USINES
DE SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU
Photographie numéro 9
Centrale thermique
Extrait
la publication
SINGER – HISTOIRE INDUSTRIELLE
– de
USINES
DE SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU
(1950)
Livre page 206
Légende de la CARTE
de couverture SINGER
[laquelle se déplie en trois pans (plusieurs noms de rues anglophones ont été remplacés)]
1. PALAIS DE JUSTICE ET PRISON [du côté nord de la rue Saint-Charles, entre les rues de Salaberry et Duchesne (Notre-Dame]
2. ASILE [du côté sud de la rue Saint-Thomas (Foch), entre les rues de Salaberry et Duchesne (Notre-Dame)]
3. BANQUE MARCHANDE DU CANADA [au coin des rues Saint-Georges et Richelieu, sud-est]
4. BANQUE DE SAINT-JEAN [sur la rue Richelieu, le second édifice à partir de la rue Saint-Jacques, au sud-est]
5. ÉGLISE CATHOLIQUE DE SAINT-JEAN [longe le nord de la rue Saint-Jacques, entre les rues Jacques-Cartier et
(Longueuil) - emplacement actuel]
6. ÉGLISE ANGLICANE [coin des rues Saint-Georges et Jacques-Cartier, sud-ouest]
7. ÉGLISE MÉTHODISTE [à l'ouest de la rue Longueuil, entre les rues Saint-Jacques et Saint-Georges]
8. HÔPITAL DES SOEURS DE LA CHARITÉ [à proximité de 5.]
9. COUVENT DES SOEURS DE LA CONGRÉGATION [au sud de la rue Saint-Charles, entre les rues Grant (Laurier) et
Saint-Jean (Mercier)]
10. COLLÈGE DE SAINT-JEAN [à l'est de la rue Saint-Jean (Mercier), au sud de la rue Saint-Jacques]
11. «ST.JOHNS STONE CHINA WARE CO.» [à l'ouest de la rue Grant (Laurier), au bout ouest de la rue Saint-Georges]
12. LA POTERIE DU CANADA [au coin sud-ouest des rues Saint-Georges et (Longueuil)]
13. LA POTERIE DE LA RUE REINE [du côté ouest de la rue Reine (Bouthillier), entre les rues Lemoine (Frontenac) et Factory
(boulevard Gouin)]
14. «ST.JOHNS PORCELAIN WORK» [du côté sud de la rue Saint-Thomas (Foch), du côté ouest de la rue Allen (Cousins)]
15. LA FABRIQUE DE CHAUSSURES [du côté nord de la rue Saint-Jacques, du côté ouest du (boulevard du Séminaire),
(Chénier),
Jackwood]
16. POSTE DE POMPIERS [du côté est de la rue Longueuil, entre les rues Saint-Jacques et Saint-Georges]
17. L'HÔTEL DE SAINT-JEAN, F.MONETTE PROPRIÉTAIRE [du côté est de la rue Richelieu, le 4e édifice au sud de la rue
Saint-Jacques]
18. L'HÔTEL ST-CHARLES, A.BONNEAU PROPRIÉTAIRE [du côté nord de la rue Saint-Charles, du côté ouest de la rue JacquesCartier]
19. LA «ROUND HOUSE» DU GRAND TRONC [du côté nord de la rue Champlain, entre les rues Lemoine (Frontenac) et Factory
(boulevard Gouin)]
20. L'ENTREPÔT DU GRAND TRONC [du côté ouest de la rue Jacques-Cartier, au bout ouest de la rue Lemoine (Frontenac)]
21. L'ÉCLUSE NUMÉRO 9 DU CANAL CHAMBLY [du côté est de la rue Champlain, au bout est de la rue Saint-Paul]
22. FORT SAINT-JEAN [agrandissement, au sud-ouest]
23. CASERNE DE CAVALERIE [agrandissement au sud-ouest]
24. MOULIN À VENT [côté est de la rue Allen (Cousins), côté sud de la rue Saint-Jacques]
25. MOULIN À FARINE DU SEIGNEUR CHRISTIE (GRIST MILL) [agrandisssement localisé au bas de la couverture principale,
au nord du pont Jones]
PLAN
L
SINGER – HISTOIRE INDUSTRIELLE – USINES DE SAINT-JEAN-SUR-RICHELIEU
RIVIÈRE RICHELIEU
Extrait de la publication