Pirette à Nivelles

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Le magazine de tout ce qui bouge à Nivelles et dans sa région
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Urban magazine - Numéro 47 - Février 2010 - Gratuit
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Nivelles Capital est
une publication de Xpresseo sprl
Rue Sainte Gertrude 14 - 1400 Nivelles
Rédacteur en chef
Luc Pieltain
Rédaction
Ann-Laurence Dehon
Clarisse Michaux
Luc Pieltain
Photographes
Luc Pieltain
Infographie
Xpresseo
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et publicité Nivelles Capital :
Josianne Lhote : 0497 499 284
[email protected]
Contacts rédaction :
Luc Pieltain : 0475 42 83 46
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Adresse de la rédaction :
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Tél.: 067 84 40 93 - Fax : 067 63 87 51
Tirage moyen : 10.000 exemplaires
Remerciements :
A celles et ceux qui ont rendu
possible la parution de ce numéro.
Avertissement :
Nous déclinons toute responsabilité pour le
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partiellement sans l’autorisation expresse de
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© Nivelles Capital est une marque
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Membre du Groupe Kpital
Encore
plus …
Plus de rencontres,
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Plus de fêtes,
Plus de rendez-vous,
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Plus de Nivelles,
Plus de vous, quoi !
Après 8 années de parution,
Nivelles Capital en voulait encore plus.
Nous n’avons pas changé la formule,
juste un peu reliftée.
Et puis, après 47 numéros,
on peut oser un peu plus…
Très bonne lecture.
Luc Pieltain
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Visitez notre site :
www.nivellescapital.com
Rendez-vous pour le prochain numéro en Mars 2010
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Rencontre
Emilie Musch
fit mouche à plus
d'un essai / 8
Nivelles Capital.
Le magazine
des Nivellois.
Evénement :
Tout Nivelles
pour Haïti / 14
Spectacle
François Pirette/ 47
Votre nouveau rencard
avec le commerce nivellois
/ P. 27
PLACE
DU COMMERCE NIVELLOIS
Pour parler de vous, contactez-nous !
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Emilie Musch
fait mouche
à plus d’un essai !
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Emilie Musch
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Jeune, jolie, intelligente et vouée à un avenir très
prometteur, la nivelloise d’origine Emilie Musch,
bouscule le stéréotype des joueurs de rugby !
Elégant petit gabarit féminin, la « rugbywomen »
s'est vue décerner le prix de l'espoir collectif et le
prix du public lors de la Remise des Mérites Sportifs
2009 le 29 janvier dernier à Nivelles.
Un parcours hors du commun ! En effet, c'est totalement par hasard que la jeune femme a commencé
le rugby il y a 4 ans. Après un match organisé par
les filles de rhéto du Collège Sainte Gertrude et
une rencontre avec Jean-Philippe Kraemer (ancien
président du Stade Nivellois), certaines filles, dont
Emilie, participent à un entraînement d'initiation et
poursuivent l'aventure en créant l'équipe féminine
de Nivelles ! C'était en septembre 2006. Depuis,
Emilie a fait un sacré bout de chemin...
Rencontre...
Texte : Ann-Lo
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Emilie Musch
N.C: Emilie, pourquoi avoir choisi le rugby ? De prime
abord ce n'est pas le sport le plus "féminin" qui soit
pour une belle jeune femme comme toi ?
E.M: Le rugby allie dépense physique et combat. Il me
permet d'extérioriser mon agressivité tout en respectant les
autres. De plus c'est le seul sport collectif que j'ai pratiqué
dans lequel j'ai retrouvé un véritable esprit d'équipe.
Quand je monte sur le terrain, je sais que mes coéquipières seront là pour moi, et que je serai là pour elles. On
compte toutes les unes sur les autres !
N.C: Quelles sont les plus grandes difficultés de
ce sport et les plus grands plaisirs que celui-ci
t'apporte ?
E.M: Je pense que la plus grande difficulté est la prise
de décision qui doit être rapide. Il faut évidemment essayer
de prendre la meilleure décision possible et dans le cas
contraire limiter les « dégâts ». C’est également un sport
assez physique et très combattif. On court, on s’arrête, on fait des contre-pieds, on plaque, on percute,
on se fait plaquer, on se relève… c’est très éprouvant !
Mais plus on a de condition physique, plus on s’amuse
puisqu’on peut participer à davantage d’actions et donc
être plus présente sur le terrain. Dans le milieu féminin,
du moins dans la plupart des équipes féminines, une
difficulté secondaire mais qui a une grande incidence est
le manque d’effectif. Nous organisons régulièrement des
campagnes de recrutement dont les effets ne sont malheureusement pas ceux escomptés. Nous manquons
toujours cruellement de filles.
N.C: Essayons d'en rallier d'autres alors ! Votre
club, le Stade Nivellois fête son dixième anniversaire
cette année ! Un club qui prend pas mal d'ampleur...
E.M: Oui et notamment grâce à la médiatisation de la coupe du monde 2007 qui a eu lieu en France. Aujourd’hui il
y a deux équipes seniors : l’équipe 1 évolue en régionale 1
et l’équipe 2 en régionale 2A. Il y a également une école
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Emilie Musch
des jeunes et notre équipe féminine. Pour l’équipe
féminine, nous faisons une alliance avec Anderlecht
depuis trois ans maintenant car nous n’avons ni l’un
ni l’autre un effectif assez important que pour pouvoir
fonctionner de manière autonome. Nous sommes
actuellement en division 2 et nous nous situons à la
deuxième place du classement. Nous ne comptons
qu’une défaite cette année !
admires particulièrement dans ta discipline ?
E.M: Je trouve que l’équipe de Nouvelle-Zélande est
très impressionnante, elle a un jeu qui se distingue
des autres, il est beaucoup plus fluide et puissant. Ils
jouent avec une telle aisance qu’on dirait que c’est
inné ! J’aime beaucoup le jeu au pied du joueur
anglais Johnny Wilkinson qui est d’une précision
ahurissante !
N.C: Tu as été nominée le 29 janvier dernier à la
remise des Mérites Sportifs. Le prix de l'espoir
collectif et le prix du public ! C'est gratifiant
d'avoir reçu ces prix j'imagine?
E.M: Oui, j'en suis vraiment très heureuse. Je ne
m'attendais pas du tout à recevoir un prix, d'où
ma grande surprise. Ma récompense pourrait faire
office de publicité dans la région, d'une part pour Le
Stade Nivellois et d'autre part pour le rugby féminin en
général. J'ai été très surprise de voir l'enthousiasme
des membres du club lorsque j'ai obtenu le prix du
public et, cela fait chaud au coeur de savoir que le
public a voté pour ce sport souvent peu connu et qui
était de surcroît représenté par une fille. J'ai hâte de
pouvoir installer la coupe dans notre clubhouse !
N.C: A 21 ans, on peut dire que tu as une vie
bien remplie ! A côté du rugby, tu es actuellement en troisième BAC Psycho à l'UMONS,
comment gères-tu ton emploi du temps ?
E.M: C'est vrai qu'entre les cours et le rugby en
club, les entraînements nationaux, nouvellement les
séances de musculation, la vie de famille et mon
amoureux, Josquin, j’avoue que je n’ai pas vraiment
le temps de me consacrer à une autre activité...
N.C: Quelles sont les équipes et joueurs que tu
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N.C: Emilie, tu es sélectionnée pour le championnat d'Europe de rugby féminin. Quels sont
les enjeux ?
E.M: En réalité nous ne connaissons pas encore le
nom des filles titulaires qui iront disputer les championnats d’Europe. Avec deux de mes coéquipières
nivelloises, Laetitia Hottart et Caroline Van Aasche,
qui ont également été sélectionnées dans l’équipe nationale, nous avons suivi un premier stage
d’entraînement il y a 2 semaines, et nous repartons
en stage au début des vacances de Pâques. C’est
à ce moment-là que nous connaîtrons les filles
sélectionnées ou non. Nous avons vraiment envie
de participer à cette compétition donc j’espère que
tout se passera bien.
Ces championnats d’Europe se dérouleront en
France au mois de mai. Emilie et ses coéquipières commenceront par rencontrer la France,
les Pays-Bas et l’Espagne lors des matches de
poule. On croise les doigts pour elle(s) !
© Patrick despliegelaere
Dimanche 28 février au Waux-Hall de Nivelles
Grande journée de solidarité pour Haïti
organisée par la Ville de Nivelles et
le Conseil Nord-Sud en partenariat
avec des associations nivelloises
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A l'unisson pour Haïti
12h / Concert des chorales nivelloises
13h - 16h30 / animations diverses
bar – petite restauration d'ici et d'ailleurs
17h / Grand concert Marlène Dorcena
Tarifs :
• concert chorales : 5 eur
/ enfants : gratuit
• Concert Dorcena : 12 eur
/enfants jusque 12 ans : 8 eur
Réservations :
Waux Hall : 067/88.22.77
- Maison du Tourisme :
067/22.04.44
Vous désirez faire un don ?
Rens. Jacques Sartiaux : 067/21.25.98
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Jacques Sartiaux
Le 28 février 2010,
tout Nivelles se mobilisera pour Haïti
Le 12 janvier 2010, Haïti est dévasté par un tremblement de terre. Plus de 200 000 morts. Des milliers de
sans-abris. Plus de 4000 amputés. Tout est détruit.
Si une mobilisation internationale s’est rapidement
mise en place dans les premières heures, la question
de la reconstruction se pose. Reconstruire Haïti, oui.
Mais comment et sur quel modèle ? Avant le séisme, il n’y avait ni structure communale, ni police, ni
justice. Les bases essentielles à tout fonctionnement
normal d’une société moderne n’existaient pas. Et si
la planète entière s’est émue à la vision des premières
images, Nivelles, elle, s’est effrayée. C’est dans notre
ville qu’est implantée une association d’aide au
développement d’Haïti, et plus particulièrement de
la commune de Saint-Marc. Claire Sartiaux, la fille
de Jacques Sartiaux œuvre depuis des années à ce
projet. Elle est vivante. Et plus engagée que jamais.
Sa famille aussi. Jacques Sartiaux nous en parle.
NC : Un mois après, que se passe-t-il à Haïti ?
JS : Claire était à Saint-Marc quand le tremblement
de terre s’est produit. La région de Saint-Marc a été
moins touchée que Port-au-Prince. Le 12 janvier,
Haïti a vécu la fin du monde. Les régions qui sont sur
l’axe vertical par rapport à la capitale ont été complètement détruites. Les autres ont été fortement
secouées. L’essentiel des morts se trouve à Port-auPrince. Les survivants fuient les lieux dévastés. L’ensemble du pays est confronté à un exode massif. Il
faut gérer ce flux de population et surtout les soigner
et les calmer. Le CIDeCS (www.cidecs-haiti.org)
aide à cette organisation pour le moment.
NC : Actuellement, quels sont les besoins sur
place ?
JS : L’aide internationale a bien fonctionné. Les
premières heures étaient cruciales. Cependant,
Haïti avait une limite dans sa capacité d’accueil (ex :
l’aéroport). Le pays est vite arrivé à saturation. On a
même du stopper l’arrivée d’aide, tant le pays était
désorganisé. Aujourd’hui, la question de la reconstruction se pose. Mais quelle reconstruction ? Les
USA et l’ONU décident pour les Haïtiens. Il ne faut
pas reconstruire aveuglément Haïti, il faut la réinventer.
Il faut recréer un modèle de gestion compétente et
non simplement remettre des buildings sur pied. La
capitale est submergée de paysans qui ne peuvent
survivre dans les campagnes. Hors, le climat d’Haïti
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permet la culture de nombreux produits. Il faut savoir
qu’à Haïti, il pousse des avocats, des mangues et
plein d’autres choses. Mais ces fruits restent pourrir
sur le sol par manque de structures de production
et de récolte.Personnellement, je pense que c’est
dans l’agriculture et dans l’éducation qu’il faut investir en premier. Il faut aujourd’hui planter les bases
d’un nouvel envol pour le pays ami avant tout, il faut
être lucide dans ce chaos.
NC : Peut-on réellement influencer cette reconstruction ?
JS : Oui ! Car la réalisation de ces projets demande
de l’argent. Tous les dons sont utiles et nécessaires.
Haïti Belgique répond aux besoins de la population
locale et non aux besoins dictés par des tiers ayant
des intérêts économiques dans la région. Notre
association est la seule a avoir une vision globale et
complète sur la problématique de Haïti. Nous avons
besoin de dons.
NC : Vous organisez une grande journée de
solidarité pour Haïti à Nivelles …
JS : Cela se passera le dimanche 28 février 2010 au
Waux-Hall de Nivelles. En collaboration avec la Ville
de Nivelles et les associations nivelloises, nous organisons une après-midi de sensibilisation à la cause
Haïti. Dès 12h, les chorales de Nivelles donneront un
concert. A 13h, un buffet sera ouvert. Dès 17h, Marlène Dorcena viendra pour une représentation unique. L’ensemble des fonds récoltés par le CIDeCS
serviront à la reconstruction du pays. Il faut savoir
qu’aujourd’hui, nous avons reçu 13 dons, dont la
moitié viennent hors de Nivelles. C’est maintenant
qu’il faut bouger. Alors, venez nombreux !
Vous désirez soutenir Haïti ?
Contactez Jacques Sartiaux au 067 / 21 25 98
Vous pouvez verser vos dons au numéro de compte au
CIDeCS : 001-5091037-68 avec mention « pour la reconstruction d’Haïti »
Le vendredi 5 mars 2010, grande action
dans le cadre de la Journée de la Femme
Après Waterloo et Braine-l'Alleud, c'est à Nivelles que
l"Antenne Espoir Brabant wallon" coordonnée par
Edith Mahieu et Claudine Theys pour Nivelles, organise une journée de sensibilisation à la problématique
du cancer chez la femme. L'ensemble des fonds
récoltés seront versés à la recherche fondamentale,
la recherche clinique et la translationnelle via le Fond
Jean Claude Heudson.
Au programme :
• 12h00 : Accueil
• De 13h à 14h30 : Ateliers : Do In
Diététique
Magie des couleurs
Art du maquillage
Art floral
Scrapbooking
• Pause
• De 15h à 16h30 : Ateliers : Magie des couleurs
Art du maquillage
Sophrologie
Yoga du rire
Création de bijoux
Scrapbooking
• 17h30 : Conférence scientifique
Ouvert à tous et gratuit
• 20h00 : Cabaret théâtre : La Lorgnette
avec Pierette Laffineuse, Nicole Fontaine, Paul Buez et Christian Laperche au piano.
Mise en scène : Pierette Laffineuse
Renseignement et inscription : Tél. : 02/541 30 89
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Donnons priorité à la sécurité.
A L'UCHE recherche des bénévoles
et de généreux donateurs
A Nivelles, nous connaissons tous A l’Uche. Cette
asbl fondée par Benoît Cayphas, il y a 28 ans, avait
pour mission le soutien à la parentalité et au développement des enfants et des jeunes. En 28 ans,
beaucoup de choses ont changé, excepté le feu sacré
d’aider celui qui en a besoin. Entretien avec son
directeur, Benoît Cayphas.
NC. : Qu’est ce qui a changé en 28 ans chez A
l’Uche ?
BC. : Le projet de l’asbl a évolué. Lorsque l’on veut
travailler à la prévention sociale pour jeunes, beaucoup de problèmes lourds et divers doivent être pris en
compte. Au début, nous avons voulu tout résoudre. Par
ce fait, beaucoup de structures ont vu le jour. Et c’est
heureux, elles sont toujours là. Je pense à la « Maison
des Jeunes », à « l ’ Ouvre-Boîte », à « Prévention Jeunesse » ou encore à « Lire et Ecrire ». Au travers des
années, toutes ces structures ont été créées car elles
étaient nécessaires et spécialisées.
A l’Uche, aujourd’hui, s’est spécialisé dans l’aide à la
jeunesse avec un rôle spécifique de prévention. Ce
rôle de prévention doit tenir compte de l’ensemble des
problématiques liées à la jeunesse comme par exemple,
les assuétudes.
Malgré l’évolution des structures, nous voulons rester
proches et disponibles pour la petite enfance. Notre expérience nous a démontré que la plupart des
problèmes des petits, s’ils ne sont pas traités rapidement, s’intensifient et deviennent de gros soucis
à l’adolescence. Nous devons être vigilants dès le
début de leur vie.
NC. : Comment cela se traduit dans la pratique ?
BC. : Notre équipe est « dispo » toute la semaine pour
toutes personnes qui s’occupent d’un jeune et pour
ses jeunes, mêmes. Et ce, que ce soit sur Nivelles ou
Genappe. L’ « Entre deux » et la « Farandoluche » sont
des structures spécifiques pour les tout-petits de 0 à 3
ans. De son côté, « l’Atelier Réussite Scolaire » est un
lieu où les jeunes de 6 à 18 ans peuvent venir réaliser
leur travail scolaire tout en ayant la possibilité de participer à différentes activités. Cet espace de discussion
permet de gérer au mieux le temps entre l’école et la
maison sans être une garderie.
NC. : En 28 ans, la société évolue. Cela a eu une
influence sur votre mission?
BC. : 28 ans, c’est une génération. Avant, le service
à autrui était une valeur importante. Aujourd’hui, nous
sommes dans le siècle de l’ « Immédiat ». Tout doit être
obtenu tout de suite. Sans délai. Cela rend les comportements plus cassants, plus agressifs. La relation de
confiance est plus compliquée à obtenir.
D’autre part, en matière d’enfance, les missions de
l’école ont changé. Aujourd’hui, on lui demande d’être
garante de l’apprentissage et de l’éducation. C’est un
modèle qui ne peut fonctionner ; On demande trop à
l’école. L’école doit former. Et ce sont les parents qui
doivent éduquer. Ne mélangeons pas tout.
NC. : Quels sont les besoins de A l’Uche ?
BC. : Nous sommes une structure subsidiée partiellement. Hors, nous devons investir en prévention. Nous
devons trouver des moyens supplémentaires afin de
garantir au mieux notre mission. Outre des dons financiers bien nécessaires, nous cherchons également
des personnes qui, par leur expérience, peuvent aider
les jeunes à se mettre sur les rails. Ce sont quelques
heures à offrir par semaine et cela peut réellement aider
un jeune. Dans notre société si individualiste, le don de
soi peut être enrichissant pour les deux parties.
NC : La porte d’A l’Uche est ouverte à tout le
monde ?
BC : Nous sommes attentifs à soutenir toutes les personnes en difficulté. Si nous ne pouvons pas aider directement une personne qui en fait la demande, nous
redirigeons la personne vers un service adéquat. Nous
ne la laissons jamais sur le bord du chemin. Si vous
avez un souci, n’hésitez jamais à nous contacter.
De même, A l’Uche est attentif aux autres associations,
que ce soit à Nivelles ou à l’étranger. (ex : Mboro au
Sénégal) Nous serons présents le dimanche 28 février
2010 à la journée de solidarité Haïti organisée à Nivelles.
Vous désirez aider A l’Uche ?
Pour vos dons, contactez Benoît Cayphas.
Pour le bénévolat, contactez Diane Tessier.
Tél. : 067/21 94 55
A l’Uche : 2 adresses :
Boulevard des Archers 12 à 1400 Nivelles
Tél. : 067/21 94 55
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Samedi 20 février
Un spectacle drôle emmènera les petits et les grands
au pays du bonheur et du rire.
• 14h30 : carnaval des enfants, départ du cortège
à la gare
• 16h : spectacle pour enfants de 3 à 12 ans au
Waux-Hall et élection des 2 rois et des 2 reines du
Carnaval (les plus beaux déguisements)
Dimanche 21 février
La journée à ne pas manquer. Une cavalcade composée d'un nombre important de chars rivalisant
d'originalité fera rayonner petits et grands. Un cortège de Gilles, Paysannes et Pierrots, regroupant
près de 1000 participants fera respecter le folklore
aclot et la tradition.
• Dès l'aube, traditionnel ramassage en batterie des
Gilles et groupes de Fantaisies
• 8h30 : les Autorités communales reçoivent les
groupes de Gilles et Fantaisies à l'Hôtel de Ville pour
la remise des médailles
• 14h : départ de la Cavalcade depuis la gare de l'Est
• 15h : cortège des Sociétés de Gilles, Paysannes et
Pierrots depuis la gare de l'Est
• 17h30-18h : le rondeau des Gilles suivi de celui
des Gilles et Fantaisies
Lundi 22 février : La journée des Nivellois.
La soirée la plus intense du Carnaval Aclot avec le
rondeau de toutes les sociétés qui en sera un des
moments forts.
• De 14h à 15h45 : Carnaval des Ecoles, grand rondeau
des Gilles et Fantaisies avec distribution d'oranges
• 19h : Carnaval Aclot, formation du cortège Place
E. de Lalieux
• 21h15 : Rondeau suivi des brûlages de bosses
des Gilles et Fantaisies
Mardi 23 février
Raclot des différentes sociétés nivelloises
La Brasserie des Arts remercie chaleureusement
ses partenaires dynamiques du carnaval 2009
Nous vous donnons rendez-vous
l’année prochaine sur les pavés
de Nivelles
PAR SYMPATHIE :
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LES ASSURANCES
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VILLE DE NIVELLES
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avec lesquels il travaille. De cette façon, il limite
les risques de déception. Toutefois, le risque zéro
n’existe pas. C’est pourquoi, en cas de problème
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Loli
Lounge concept
FA
a ut taebul iel
Loli
En voilà un qui va faire parler de lui : Loli ! Nouvel
endroit de délectation, il nous offre une multitude
d’avant -premières ! Parfait pour les petites faims,
les grosses fringales, les apéros improvisés ou le «
dernier pour la route », il va plaire, c’est certain !
Premier atout, son emplacement : la Grand-Place !
Centre névralgique de la Ville, elle est aussi le lieu de
tous les rendez-vous. Ouvert jusqu’aux petites heures de la nuit, Loli ne redoute rien ni personne : ni les
ouvertures tardives, ni les arrivées de dernière minute.
Olivier Lemoine, son heureux initiateur affirme ainsi son
souhait d’apporter sa contribution au renouveau du
dynamisme en centre-ville. Pour ce faire, il a misé sur
ses coups de cœur et est allé vers ce qui n’existait pas
encore : un restaurant design le soir et un établissement détendu en journée où combler toutes les faims.
Son cheval de bataille : les Victoria Queens. Sous leur
chaire tendre, leur cœur se remplit de mille et une saveurs avant d’aller fondre de plaisir dans un four typique
« made in England ». Bien de chez nous, les pommes
de terre farcies prennent chez lui des accents « very
british ». Accompagnées comme il se doit par une cour
de crudités, elles s’apprécient tant sur le pouce pour
un rapide repas de midi qu’en prenant son temps lors
d’une belle soirée autour de la table, après un spectacle au Waux-Hall par exemple. Son bar Lounge décoré
avec goût est mis à votre disposition pour l’apéro, le
dernier verre ou le café « qui fait du bien ».
Outre ces belles dames en robes, vous y trouverez un
choix de croques, de crousty’s (tranche de pain grillé
garni), de salades généreuses, de pâtes exquises et
une sélection de plats fins. Côté viandes, le Pavé de
Bœuf irlandais pèse entre 250 et 300 gr et s’accompagne de pommes de terre au four, bien évidemment.
Côté mer, vous trouverez par exemple la « Fricassée
de Rouget et fromage de Chèvre ». Tous les jours, la
soupe change de saveur tandis que les suggestions
s’ajouteront prochainement à la carte pour proposer
31
fréquemment de nouvelles compositions. A
Loli, un seul mot d’ordre : oser. Le créneau,
cher au cœur de notre Oli, plaira aux férus de
nouveautés. Ceux-ci s’essayeront par exemple à la « Salade Peanuts » au poulet et beurre
de cacahuète, au plat de pâtes « Zaza » avec
ses tagliatelles aux truffes noires, huile de truffes blanches et parmesan ou aux Victoria
Queens et notamment la « Confreyrie » avec
sa farce à la djote qui ravira les véritables aclots !
Les vins suivent la même lignée : un choix réduit mais affirmé ! Exclusivement français, ils
proviennent de toutes les régions pour s’accorder à tous les goûts, toutes les saveurs et
les plus petits budgets.
Loli du midi, Loli du soir
Les plus attentifs l’auront peut-être remarqué :
certaines propositions de la carte ne sont pas
inconnues à Nivelles. Si l’évocation de crousty’s et
de croques ne vous met pas la puce à l’oreille,
nul doute que si ceux-ci s’intitulent « saladine »
ou « monsieur Seguin », ils pourraient vous ramener à un autre lieu qui, il y a peu de temps
encore, ravissait ses habitués. Le snack « Saladine et Tartinette » - première version - était
le dernier coup de cœur d’Olivier avant qu’il se
détourne quelque peu de la profession pour
entreprendre des études qui l’ont menées à
une toute autre voie. C’est le besoin de contact
et les 17 ans de son histoire passionnée pour
le milieu qui l’ont fait revenir à ses premières
amours : la restauration. Loli est donc l’histoire
d’une renaissance, d’un retour aux sources.
Revenir ? Oui mais bien ! C’est pourquoi Oli a
tenu à s’entourer d’une équipe de confiance.
Assisté par ses parents et Benjamin, en cuisine,
il peut laisser libre court à ses envies et ses
projets. Pour le mobilier, par exemple, il a sélectionné la société Artiosi à qui l’on doit déjà
le concept du remarquable « Midi Station » le restaurant de la Gare du Midi à Bruxelles.
Les connaisseurs reconnaîtront son audace et
son goût pour les beaux éléments et les matières nobles. Dans l’établissement nivellois,
leur créativité se retrouve par exemple dans la
banquette en croco, dans les chaises transparentes, dans les arabesques imprimées sur les
fauteuils du coin Lounge, dans les cadres argentés destinés à recevoir les suggestions ou
encore dans les chaises mi-hautes meublant
la partie avant du restaurant. Loli affiche sa
modernité dans ses tendances baroques bien
affirmées. Une façon pour Olivier de se faire
plaisir et d’attirer un public sensible au sens du
beau… Toujours dans cette optique, il prête
sa vitrine à Fabienne Marchal. Chaque mois,
la décoration habillera la fenêtre de Loli de ses
nouvelles créations
Envie de nouveauté ? Loli est un lieu à découvrir pour
sa forme, la polyvalence de son statut, son sens de
l’accueil et ses prix presque déraisonnables.
Clarisse Michaux
Loli
Grand’Place, 37 -1400 Nivelles
Tél. : 067/21.17.35
Ouvert du lundi au samedi. Fermé le dimanche, le lundi
soir et le mardi soir. Ouverture tardive des cuisines.
33
Laurent Oyen
Un Président New Look
pour Nivelles Commerces
es
Dans un contexte économique morose et une ville
en travaux, l’Association des Commerçants de Nivelles prend un nouvel envol sous la Présidence
de Laurent Oyen. Cuisinier de formation, Laurent
Oyen aura-t-il la recette pour redynamiser le commerce nivellois ? C’est tout le succès que nous lui
souhaitons.
NC. : Quelle est votre vision sur le commerce
nivellois ?
LO. : Aujourd’hui, le commerce fonctionne à 50%
si pas moins pour certains commerçants. Cela
dépend des secteurs d’activité. Les commerces
ayant beaucoup d’année d’expérience et donc
une clientèle fidèle s’en sortent mieux. Pour les
nouveaux par contre, c’est plus dur. Cela dépend
également du lieu d’implantation du commerce
même si la fermeture du rond point du bas de la
Rue de Mons a eu des répercussions dramatiques
sur toute la ville. Pour beaucoup, la limite de survie
semble atteinte.
NC. : Peut-on tout mettre sur le dos des travaux ?
LO. : Non, je ne le pense pas. La problématique
est plus globale et plus complexe. Nivelles souffre non seulement des travaux mais aussi de la
mobilité réduite qui y est liée, de la crise, d’une
mauvaise ou une absence de communication et
peut-être aussi d’une certaine mentalité défaitiste
qu’il faut absolument changer. Et que l’on ne me
parle pas des parkings, ils sont là et les places
sont libres. Le souci est la baisse de fréquentation
du centre-ville. Les habitudes de consommation
et de déplacement ont changé, probablement à
cause des travaux. Il faut réhabituer les gens à venir dans le centre. Il faut à tout prix les refidéliser.
NC. : Quelles sont les actions que vous comptez mettre en place ?
LO. : L’asbl travaille sur un plan de communication
pour la promotion du commerce. Nous viserons
essentiellement la clientèle extérieure à Nivelles.
Nous voulons ramener du monde à Nivelles.
NC. : Que pensez-vous d’une Grand-Place
aménagée en piétonnier ?
LO. : Esthétiquement, elle sera belle. Maintenant,
savoir si elle sera fonctionnelle, je ne peux pas le
dire. Elle aura beaucoup d’attraits en été. En hiver, par contre, ce sera un challenge. Notre ville
vit en deux temps. A nous de la faire vivre toute
l’année.
NC. : L’attente des commerçants vis-à-vis de
l’asbl est énorme. Que leurs dites-vous ?
LO. : Aujourd’hui, Nivelles Commerces, grâce au
nouveau contrat de gestion établi avec la Ville de
Nivelles, a obtenu des moyens financiers pour
travailler sur les différents problèmes. Nous sommes là pour les soutenir. Ils ne doivent pas hésiter
à nous contacter. Tout le monde peut avoir des
idées originales et innovantes pour le commerce.
Regardez par exemple la dernière action Saint
Valentin. Tout le monde la trouve géniale. Nous
devons nous donner les moyens de faire revivre
le commerce.
Le nouveau site de l’association est en ligne.
www.nivellescommerces.be permettra à tout le
monde de nous contacter facilement. Qu’ils n’hésitent pas.
Nivelles Commerces asbl
Rue Bayard 21
1400 Nivelles
Tél. : 0475 98 29 94
www.nivellescommerces.be
35
Ils font battre le
Profession :
Boulangers - Pâtissiers
Pas facile le métier de boulanger : des horaires contraignants
difficilement compatibles avec une vie de famille, des clients
de plus en plus exigeants et la concurrence des produits de la
grande distribution. Les artisans boulangers se font de plus en
plus rares. Et que dire des pâtissiers ? Tout cela contribue à industrialiser les produits de boulangerie, au grand dam du plaisir
de nos papilles et au péril des derniers vrais artisans. A Nivelles,
nous avons la chance de pouvoir encore compter sur leurs doux
croissants du dimanche matin, la saveur de leurs pâtisseries, le
réconfort de leurs tartes au sucre et les qualités nutritives de
leurs tartines de pain. Pour ce premier dossier « commerçants »,
nous avons voulu rendre hommage à un bien beau métier.
Un citoyen d’honneur parmi nos boulangers !
Boulangerie-Pâtisserie
R. Courtain-Hume
Grande variété de pains…
à la saveur d’autrefois
TARTES AL’DJOTE
LABELLISÉES
4 étoiles
Boulevard Fleur de Lys, 14
1400 Nivelles
Tél. : 067/21 41 68
Lors de la Cérémonie des Labels de la Tarte al Djote, le 2
février dernier, la Ville de Nivelles en a profité pour faire une
surprise à l’un de nos boulangers. Monsieur Courtain, de la
boulangerie Fleur de Lys, a été fait citoyen d’Honneur de la
Ville de Nivelles. Toute sa famille – mise dans la confidence s’est bien gardée de lui en souffler mot ! C’est avec beaucoup
d’étonnement que celui-ci a reçu
la récompense. « Cela m’a fait
très plaisir car c’est une reconnaissance de mon travail, surtout
quand on part de rien, comme je
l’ai fait à l’âge de 14 ans ». Celui-ci nous expliquera encore que
rien ne le prédestinait à ce métier.
Parti pour être boucher, c’est un
heureux concours de circonstance qui l’a poussé vers le métier
de boulanger. Depuis, c’est avec
la même passion qu’il travaille
pour nous servir une large variété
coe
le
coeur de Nivelles
de pains et de pâtisseries bourgeoises. Depuis quelques jours,
non loin du cadre de la « Confreriye
del Tarte Al Djote » qui le récompense pour sa 5ème étoile, le cadre
de citoyen d’honneur trône dans sa
vitrine… Comme on le comprend!
Les spécialités nivelloises
En bons nivellois et véritables aclots
– pour certains, nous ne pourrions
poursuivre ce dossier sans évoquer
notre produit traditionnel, celle que
l’on ne présente plus : la Tarte Al
Djote. Comme leurs produits dérivés, les belles vertes et mitoyennes, font un malheur partout où elles passent. La dernière cérémonie de remise des Labels peut encore en témoigner. Les honorables membres de la « Confreriye » l’ayant fait
avant nous, nous n’allons pas ici encore mentionner les maisons nivelloises labellisées mais bien vous parler de la façon
dont nos boulangers mettent notre fierté locale à l’honneur.
La boulangerie-pâtisserie « Tout au Beurre », célèbre pour
ses multitudes d’étoiles récoltées depuis 1997, propose ses
« Champidjotes » et ses « Apérodjotes ». « Le Chant du Pain »,
quant à lui, les propose en version « colau » la macayance
répartie de façon homogène sur une tranche de pain. Outre
pour ses 5 étoiles, la boulangerie au feu de bois se fait connaître d’une autre façon bien originale : en organisant la livraison
à domicile de Djotes fumantes,
odorantes et coulantes bien
comme il faut et cela à bord
d’une voiture surmontée d’une
cigogne… Une cigogne, oui
! Et, bonne nouvelle, elle livre
jusque 22h ! « Le P’tit Boulanger », quant à lui, est le seul à
proposer les « Doubles » à emporter. Vous n’avez jamais goûté
ces crêpes de sarrasin farcies à
la boulette de Nivelles ?
TOUT AU BEURRE
Pâtisserie
Djote labellisée
5 étoiles en 2010
NOUVEAU
Le grand retour des
pâtisseries artisanales
(éclairs, croûtes
aux fruits,…)
Ouvert du mardi au vendredi
de 7h30 à 19h. Samedi et
dimanche jusque 18h
Rue de Namur, 70
1400 Nivelles
Tél. : 067/21 27 70
Le Chant
du Pain
Pain cuit au bois
Grande variété
Tarte al’ djote labellisée ****
en 2010
5e
4,8
LIVRAISON À DOMICILE
DE 18H À 22H
Rue du Géant, 1 - 1400 Nivelles
Tél. : 067/ 22 09 16
Ils font battre le coeur de Nivelles
La fraîcheur
au
quotidien
Rue Sainte Anne, 1 - 1400 Nivelles
Tél. : 067/21 20 80
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PATISSERIE
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faire vous-même
Pains
desserts
pâtisseries
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(PRÈS DE LA GRAND’PLACE)
OUVERT DU MARDI AU SAMEDI
DE 9H30 À 18H30
C’est un tort ! N’attendez plus pour vous offrir ce plaisir, courrez-vite dans l’une de ses trois maisons du centre-ville pour
les emporter chez vous. Petit nouveau venu dans l’assortiment du boulanger nivellois, les
Canestia. Nous les devons à la
toute nouvelle Consoeurie des
Secrets de Dame Gertrude. La
production de ces biscuits secs
au beurre a été confiée à deux
maisons uniquement : « Le P’tit
Boulanger » et « Au Soleil Levain ».
Des pâtisseries
Bavarois, Saint-Honoré, Eclairs à
la banane, croûtes aux fruits, tartes au sucre, gâteaux à la crème
fraîche, chaussons aux pommes,… Mhmmm, on les mangerait tous ! D’ailleurs, nous, si
on les mange…TOUS, c’est parce qu’on connaît LES bonnes
adresses. La Maison Jacquet fondée en 1830, par exemple,
nous gâte avec ses petits fours depuis autant de temps. Spécialisée dans la fabrication de gâteaux personnalisés et de ses
trois grands classiques - la framboise, le 3 chocolats et le Matadi - elle vient fréquemment nous combler avec de nouvelles
saveurs qui s’adaptent aux événements saisonniers. Jacques
et Dominique travaillent en famille et s’impliquent quotidiennement à la conservation de la renommée de la Maison dont les
petites créations sucrées s’arrachent par les fidèles clients dès
les petites heures du jour.
Depuis peu, « Tout au Beurre » relance sa production de pâtisseries et nous revient pour l’occasion avec de belles propositions. Véronique et Pascal portent leur dévolu sur les fruits
confits qu’ils accordent volontiers avec la frangipane ou les
brioches. Leurs éclairs géants et leurs croûtes aux fruits s’arrachent comme des petits pains… euh, gâteaux !
Le pain Bio
Le pain n’échappe pas à la
tendance. Voilà quelques années déjà que le bio investit
nos assiettes, les rayons des
magasins et nos placards,
lles
Le Soleil Levain
Nouveau gérant
rien d’étonnant dès lors à ce qu’on
retrouve le label bio sur l’étal du
boulanger. « Le Soleil Levain » vous
propose tous types de pains certifiés bio. Une fois que vous aurez
suivi le chemin qui vous amènera
à la boulangerie, vous aurez tout le
loisir de choisir entre les pains au
levain naturel, à la levure et une large variété d’autre pains : au
tournesol, aux noix, multigrains, cramiques,… Depuis 17 ans,
Le Soleil Levain vous les propose quotidiennement dans sa
boulangerie et, se rend chaque samedi au marché de Nivelles.
Si vous le croisez au détour de ses allées, ne manquez pas de
lui faire parler de ses spéculoos. Sur commande, il peut même
en créer à l’effigie de Jean de Nivelles. Autre enseigne à proposer des produits issus de l’agriculture biologique, le Pain Quotidien. Ses pains, vendus à la pièce ou au poids, nous rappellent les saveurs d’antan. Avec ses
petites tartelettes, ses petits pains
aux noix et ses croissants exquis
qui nous invitent à rentrer les apprécier à l’intérieur, on deviendrait bien
adeptes du 100% bio nous aussi !
Pain biologique
à base de céréales de
l’agriculture biologique
Ouvert du lundi au vendredi
de 14h à 18h30.
Il est préférable de commander
Chée de Bruxelles, 206a
1400 Nivelles
Tél. : 067/21 76 13
Au p’tit
Boulanger
Nos « coups de cœur »
A vos Galettes !
Vous avez loupé la Galette des rois ?
Pas de problème, rattrapez-vous
sur la Galette des Gilles ! C’est « Le
Petit Boulanger » qui la propose. Aussi appétissante et délicieuse que l’originale, elle respecte la recette et la tradition de
la galette… un véritable remake du dessert du 6 janvier, à l’exception de la confiture d’abricot remplacée pour l’occasion par
une légère confiture d’orange ! Pour les fans incontestables du
Carnaval, la Galette vous sera livrée décorée par d'un Gille.
Craquants, les ptits croquants
Les pistolets de « Tout au Beurre » : croquants à l’extérieur, ils
offrent une mie bien tendre à l’intérieur ! Inutile d’en rajouter,
mieux vaut les goûter !
Tartes al’djote
labellisées,
viennoiserie,
sandwich garni,
pain, pâtisserie, gâteau
de circonstance, galette
des Gilles, ...
Place E. de Lalieux 46 • Nivelles
067/ 21 26 04
Ouvert de 7h30 à 19h30
Fermé le lundi
Même maison :
Grand’place, 25
Rue de Soignies, 2
Fermé le mardi
Du 8 février au 5 mars 2010
A la Saint-Valentin,
faites l'amour
et vos courses
à Nivelles
Gâtez votre amoureux(se)
dans les commerces du Centre
de Nivelles et du Shopping pour
gagner l'un de nos cadeaux Very Love
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au 10 eme
pr
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cinéma
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ux
Le renouveau de la Rue de Bruxelles
En voilà une nouvelle qu’elle est bonne ! La rue
de Bruxelles se remplit ! Après l’ouverture en
décembre de « Candy House », l’arrivée prochaine du resto « Biostéria », on nous annonce
désormais la venue d’un magasin de fruits et
légumes prévue pour mars 2010.
UP
&
Ouvrez s’il vous plaît !
Nous n’y sommes pas encore mais…
on y arrive ! Plus les jours passent, plus
nous sommes en mesure de nous faire
une petite idée du futur visage de notre Grand-Place. Notre avis ? Beautiful, magnifique, prometteur… fierté
quand tu nous tiens !
Les 5 établissements labellisés
5 étoiles
5 étoiles pour une Djote ? C’est
un privilège auquel toutes les
maisons nivelloises aspirent.
Cette année, ils sont 5 à avoir été
récompensés par la plus grande
distinction. On dit bravo aux maisons « Tout au Beurre », « Fleur de
Lys », « La Ferme du Croiseau »,
« L’Union » et « le Duc de Brabant »
avant de faire Miam ! Accordons
enfin une mention spéciale pour
un nouveau venu dans la compétition : « l’asbl Emeraude » qui
rafle sa toute première étoile !
DOWN
Ras le bol ! Une fois les embouteillages bravés, à Nivelles il est inutile d’espérer
faire ses courses avant 10h30, 11h. Franchement, est-il normal qu’on ne puisse
plus franchir certaines portes à 17h50 ? Et pourquoi fermer 1h30 sur le temps de
midi ? Nous sommes très nombreux à nous être déjà retrouvés face à certains…
beaucoup… de plus en plus, de commerces fermés ! Fort heureusement, certains
souhaitent encore porter les valeurs de la profession en restant accueillants,
disponibles et ponctuels… ils se reconnaîtront ! Et on leur dit merci… !
Les embouteillages nivellois
C’est recta ! Chaque jour en matinée et
en fin de journée, les grands axes de
Nivelles sont pris d’assaut par les automobilistes. Temps moyen pour relier le
shopping au centre-ville ? 25 minutes !
De quoi mettre à mal notre patience
et notre bonne humeur… Certains ont
d’ailleurs pris le pli de déserter la Ville !
DOWN
e
UP
n,
Le new look de la Grand-Place
La multiplication des espaces
commerciaux vides en centre-ville
Si la rue de Bruxelles se porte bien, ce n’est
pas le cas de toutes nos autres artères commerçantes. La seconde partie de la rue de Namur,
par exemple, affiche une mine bien triste tant
elle est délaissée par les commerces. Et que
dire du Nouvel Espace Delalieux ? Pourtant, le
parking – gratuit - de la rue Roblet ne demande
qu’à se remplir… A bon entendeur !
41
on
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C'es ou sur e.info
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l
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www
Mode d'emploi des
Navettes nivelloises :
Peut mieux faire !
" Vous trouverez les infos sur le site de la Ville ....",
" Vous trouverez les infos à l'accueil de la Maison
Communale ...", "Vous trouverez les infos à l'urbanisme ...". Que nenni ! On a eu beau chercher, on
n'a rien trouvé du tout ! Les nouvelles navettes de
la Ville de Nivelles sont un service incontournable
à la nouvelle mobilité nivelloise. Oui, mais ! Quel
est leur parcours ? Où sont les arrêts ? A quelle
heure passent-elles ? Un peu plus de précisions
et de renseignements seraient les bienvenus. Des
flyers explicatifs, c'est bien. Encore faut-il les trouver.
Allez, un ptit effort, Messieurs, Dames. A quand
un poteau officiel marquant le lieu de rendez-vous
de la Mobilité New Génération nivelloise. Et si en
prime, on y joint les horaires, ce sera tout profit
pour cette sacro-sainte mobilité.
Se rendre à l'urbanisme en navette pour y trouver les
horaires, n'est-ce pas là tout l'humour nivellois ?
Faites l'amour et vos courses à Nivelles
Nivelles Commerces se fait remarquer en ce début
d'année. Les vitrines nivelloises se sont garnies de
petits coeurs et d'affiches au titre séduisant de :
"A la Saint Valentin, faites l'amour et vos courses à Nivelles". Si le titre fait sourire, l'initiative
n'en est pas moins séduisante et prometteuse.
Lors de vos achats en Centre-Ville et au shopping,
demandez un petit cachet à vos commerçants,
preuve de votre passage. Envoyez vos bons de
participation à l'adresse de Nivelles Commerces
(Rue Bayard 21 - 1400 Nivelles), et vous gagnerez
peut-être un week-end en amoureux à Paris,
une toile "Made in Love" de Jean-Luc Dossche,
des bouteilles de Saint Amour ou encore des
places de cinéma.
L'action se prolonge jusqu'au 5 mars. Histoire de
fêter votre Valentine dignement.
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Un nouveau site web pour Nivelles Commerces
L'Association des Commerçants de Nivelles
lance son nouveau site internet. En version beta
jusqu'au 30 mars, ce nouveau site aura comme
seul but d'être la plate-forme de communication
entre commerçants. Toutes les actions promotionnelles seront annoncées par ce nouvel outil.
Outre un rôle de portail pour les sites des commerçants de Nivelles, www.nivellescommerces.be
a mis en place une boîte à idées pour la promotion
et la dynamisation du commerce nivellois.
Celle-ci est accessible à tous en haut à droite.
N'hésitez pas à participer et à donner des idées
innovantes ou surprenantes. Il y a plus dans
25 000 têtes que dans 1.
Nivelles est envahie par les Suisses !
Pratique. Efficace. Design pour ne pas dire trendy!
Le nouveau cadeau offert par la Ville de Nivelles
aux commerçants qui s'installent dans notre cité
va faire fureur.
D'un rouge translucide, le couteau suisse multi fonctions résoudra tous vos problèmes de commerce. Enfin presque. L'option "Plus de clients
dans mon magasin" n'a pas encore été inventée
par les Helvètes. On l'attend avec impatience.
Tiens ?! N'est ce pas déjà un bureau suisse qui
avait étudié la problématique de la mobilité à Nivelles ? A quand un jumelage avec Genève ou
Bâle ? Djote et raclette, même combat ?
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François Pirette
François Pirette nous revient avec une nouvelle tournée. Plus de 15 dates sont prévues d’ici
mai. Le 20 mars, il s’arrête chez nous peutêtre pour la dernière fois… La tête pleine de
projets, il nous a confié les doutes, les envies
et les questionnements d’un artiste en mutation.
Rencontre vérité.
N.C. : A l’approche de votre nouvelle tournée – qui débute en mars - quel est votre état
d’esprit ?
F.P. : Je suis ravi. Et, même si c’est un petit
pays, je vais pouvoir retrouver des gens que je
n’ai plus vus depuis longtemps : des responsables
de théâtre, des restaurateurs, des amis et le
public bien sûr. C’est agréable d’être plébiscité
par des records d’audience à la télévision mais
cela ne suffit pas car vous n’avez pas de prises
directes avec eux. Les rencontrer chez eux,
c’est beaucoup plus fort et je suis très heureux
de cela même s’il est vrai que je suis tellement
occupé à traiter d’autres urgences dans mon
boulot que j’attends vraiment la fin de semaine
prochaine pour me glisser dans mon costume
de comique. Je suis un peu dans le même état
d’esprit qu’avant de partir en vacances quand
on veut régler certaines choses et remettre un
peu d’ordre dans ses placards pour partir le
plus tranquille possible.
N.C. : Il s’agit d’un spectacle éponyme. Que
pourra-t-on y découvrir ?
F.P. : Lorsque je vais monter sur scène au mois
de mars, cela fera, à peu de choses près, trois
ans que je n’ai plus entrepris de tournée. Entre
mes projets de télé et les quelques dates que
j’ai faites à Paris, je n’ai plus eu le temps de
le faire. Cela fait donc trois ans que j’écris des
textes qui n’ont jamais été joués 2 fois et c’est
un peu frustrant car cela représente l’équivalent
de 5 spectacles qui n’ont été joué que pour la
télévision. Pour ne les avoir jamais joué en direct
devant un public, je n’ai jamais eu l’occasion
de les faire évoluer. J’ai donc voulu rassembler
certains sketches dans un vrai spectacle avec
une mise en scène originale. Il y aura aussi
des inédits et des sketches auxquels je tiens
comme par exemple celui des majorettes que
j’interprétais dans « Boriwood ».
N.C. : Vous avez 25 ans de carrière à votre
actif avec de nombreux personnages récurrents avec une personnalité très forte. Les retrouvez-vous toujours avec le même plaisir ?
F.P. : (rires) Si j’étais malin je dirais « non, bien
sûr » mais, comme je ne le suis pas, je vous dirais
que je n’ai pas de lassitude mais une crainte,
celle de lasser le public. J’ai cette peur depuis
un moment déjà. Il y a 6 ans, par exemple,
j’avais pris la décision sincère non pas d’arrêter
car je n’en avais pas les moyens mais de ranger
mes personnages au placard pour un long moment parce que j’avais peur de lasser. Je me
disais que si je me posais la question, le public
n’allait pas traîner à se la poser également. Il
m’est d’ailleurs arrivé une petite anecdote à ce
sujet. Quelques jours après une représentation
à Forest National, je me suis retrouvé à jouer à
« La Tartine », une toute petite salle de 150 places à Lasnes où il y avait un fan dans la salle.
J’étais tellement convaincu que je ne jouerais
plus certains personnages que je lui ai offert
deux perruques : celle avec les bigoudis et celle de Nathalie ! Il m’a donc fallu en retrouver par la
suite ! Et, pour le moment, je suis de nouveau dans
le même état d’esprit qu’à l’époque, je trouve
que certaines perruques commencent un peu
à me serrer la tête. Je m’aperçois que tous les
personnages ne me motivent plus autant. Peutêtre que cette tournée-ci sera la dernière, sous
cette forme-là en tout cas. J’ai envie d’être
sincère avec vous, le public et moi-même et
je dois avouer qu’il est vrai que je me pose la
question.
N.C. : Cela signifie qu’on peut s’attendre à
une prise de risque prochaine de votre part ?
F.P. : Je crois effectivement qu’il est temps pour
moi d’amorcer le virage dans une autre direction. J’ai déjà vécu cela il y a 15 ans, lorsque
j’ai arrêté du jour au lendemain mes canulars
téléphoniques et que personne ne comprenait
ma décision d’arrêter en plein succès. La réalité
est que je n’en pouvais plus, je ne prenais plus
47
de plaisir. Actuellement ce n’est pas encore le
cas mais je crois que je ne vais plus pouvoir
encore longtemps raconter des histoires avec les
mêmes personnages. Je crois avoir épuisé toute l’inspiration que j’ai pour pouvoir tenir encore
longtemps avec le même cheval de bataille. A
un moment, il faut savoir changer et certains
détails me font dire qu’il est temps. Par exemple,
la semaine dernière, alors que je fêtais mes 47
ans, un détail m’a fait prendre conscience que
quelque chose n’allait plus : le personnage avec
les bigoudis que j’ai inventé il y a 15 ans en lui
donnant 45 ans est aujourd’hui plus jeune que
moi. Et je ne veux pas qu’il arrive la même chose
avec Amédée !
N.C. : Vous êtes actuellement en pleine
remise en question ?
F.P. : Oui, effectivement. En réalité, je m’aperçois que j’ai peur de me laisser piéger par la
paresse. Il m’arrive de me dire que c’est un
travail difficile. Après chaque spectacle, je me
demande ce que je vais bien pouvoir raconter
de nouveau. J’ai l’impression d’avoir tout fait et
je ne veux pas risquer de me répéter. J’ai donc
envie de changement, de pouvoir raconter
d’autres choses pour surprendre sans décevoir.
Mais je vous rassure, je ne vais pas tout arrêter
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François Pirette
pour ouvrir un restaurant – même si j’y songe ! –
mais je pense à prendre une autre direction.
petit monde et je compte bien le rencontrer et
l'associer à ce projet télé dont je vous parlais.
N.C. : Vous vivez en France depuis quelques
années. Vous n’avez jamais le mal du pays ?
F.P. : Ce qui me manque principalement de la
Belgique, indépendamment de ma famille dont
mes parents et mes deux grandes filles qui y
vivent toujours, c’est l’amusement. Nous avons
en Belgique une manière de faire la fête qui
n’existe absolument pas en France. Mais en
ayant une vie de père de famille respectable, je
ne peux pas me dire que cela me manque tous
les jours. Mais quand j’ai l’occasion de le faire,
je ne la loupe pas. J’ai raté l’an passé le Doudou à
Mons car je préparais mon mariage mais cette
année, je compte bien y aller et emmener des
amis français.
Au quotidien, je garde énormément de contacts
avec la Belgique et ce qui fait son actualité. Par
les journaux que je consulte sur internet ou par
ma famille à qui je téléphone presque tous les
jours. Et puis pour les besoins de mon travail
sur Bel RTL, je suis très attentif à ce qui se passe
en Belgique et je pense même que je le suis
plus encore que certains qui y vivent.
N.C. : Outre la tournée, quelles sont vos
autres activités ?
F.P. : Actuellement, j’anime des rendez-vous
quotidiens à la radio – sur Bel RTL, ce qui me
demande beaucoup de travail car je ne peux pas
me permettre de prendre beaucoup d’avance
car je tiens à rester fidèle à l’actualité. Ensuite,
je travaille aussi au montage de mes prochains
rendez-vous à la télévision. Aujourd'hui, je ne
peux pas encore en dire davantage car nous
n’en sommes qu’au dépôt des grandes lignes
et le projet doit encore être peaufiné avec RTLTVI.
N.C. : Il y a quelques mois, vous lanciez un
projet destiné à lancer de jeunes humoristes.
De quoi s’agit-il et où en est-il aujourd’hui ?
F.P. : Il y a presque un an, j’ai effectivement lancé sur le net un appel que je pensais être assez
confidentiel mais qui ne l’est pas resté longtemps.
Celui-ci avait pour but de rencontrer des jeunes
humoristes et de leur tendre la main, exactement comme Jean-Lou Viseur l’avait fait pour
moi. J’ai eu cette idée en le retrouvant lorsque
j’ai fêté mes 25 ans de métier, je me suis souvenu que j’ai eu cette chance d’avoir rencontré
par hasard une personne qui m’a proposé de
faire de la radio alors que rien ne me prédestinait à cela. Je me suis alors dit qu’il n’y avait
pas de raison que d’autres jeunes n’aient pas
cette chance. Cependant, une pneumonie et
la préparation de mon mariage m’ont obligé à
reporter ce projet mais il n’est pas oublié, loin
de là. J’ai conservé les coordonnées de tout ce
N.C. : A 47 ans, quel bilan tirez-vous de votre
carrière ?
F.P. : Je suis conscient de ce que j’ai malgré
tout pu réaliser. Les tonnes de papiers que
j’ai accumulés et les DVD sont là pour me le
rappeler. J’ai fait de bonnes choses et de plus
médiocres mais ce n’est pas pour autant que
j’ai construit quelque chose d’inoxydable, de
durable. Si j’avais 25 ans, je ne poserais pas
ce genre de constat mais j’ai 47 ans, j’ai mis du
temps à faire ce que j’ai fait et, au final, la route
qu’il me reste à parcourir va peut-être changer
de direction. A ce jour, j’ai payé mes dettes et je
n’ai pas un balle donc tout est à construire ! Je
suis dans l’état d’esprit de quelqu’un qui peut
tout entreprendre. Et je suis en pleine forme qui
plus est ! Je suis entouré de plein de gens qui
me boostent et heureusement car, malgré les
records d’audience ou de tout le reste, je ne
considère pas pour acquis ce qui m’a occupé
toutes ces années.
Clarisse Michaux
François Pirette sera au Waux-Hall
le 20 mars à 20h
Réservation : 070/660.601
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La saison du Waux-Hall
Le Waux-Hall vous réserve
une programmation en béton !
…Et n'y voyez là aucune allusion avec les travaux de notre chère Grand-Place…Trêve de
plaisanterie, le centre culturel nivellois va vous
en mettre la plein la vue et plein les oreilles pour
les jours et semaines à venir ! Y en a pour tous
les goûts ! Jugez plutôt…
Pour les fidèles et abonnés du Waux-Hall
On démarre avec un spectacle haut en couleurs
de la Compagnie Thor le 4 mars! « To the Ones I
Love » : une rencontre entre dix danseurs d'origine africaine et...Sébastien Bach ! Des chorégraphies à couper le souffle pour cette création
de Thierry Smith.
Une baby Doll envoûtante...
Mélanie Thierry, remarquable comédienne française (épouse du chanteur Raphaël à la ville)
foulera les planches du Waux-Hall le jeudi 25
mars en compagnie notamment de Xavier Gallais, prodigieux, dans une adaptation réussie de
"Baby Doll" de Tenessee William.
Mis en scène par Benoît Lavigne, cette plongée
au coeur des années 30 aux Etats-Unis, vous
fait découvrir une jeune femme ingénue, qui
tente d'exister à travers des rencontres chaotiques et explosives qu'elle entretient avec les
hommes. Adapté de deux pièces en un acte
(qui portent un autre titre), « Baby Doll » c’est à
l’origine un film tourné en 1956 par Élia Kazan,
nommé plusieurs fois aux Oscars et devenu à
l’époque matière à scandale (il fut boycotté par
l’Église à sa sortie « sous peine de pécher »)...
L’ensemble donne lieu à la création d’une pièce
unique, intéressante, avec un univers torride et
puis un fond social qui rappelle sans conteste
la crise actuelle.
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Route de Mons, 68
Tél.: 071/32.37.12
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La saison du Waux-Hall
Pas abonné? Et alors ?
Pour ceux qui entrouvrent à l'occasion les portes du Waux-Hall, en fonction de leurs envies,
ils ne manqueront pas d'être récompensés ! Le
vendredi 12 et samedi 14 février, la Compagnie
du Comble nous invite à un spectacle "multilingue" avec "Exercices de conversation et de
diction française pour étudiants hollandais",
une pièce écrite par Eugène Ionesco et mise
en scène par Patricia Dacosse. Des étudiants
hollandais s'initient à notre jolie langue avec
une bonne dose d'humour et... presque sans
couac!
Nivelles en scène
Applaudir les talents et traditions nivelloises,
cela fait aussi partie de la vie culturelle ! Notre
bon vieux wallon revisité par le Théâtre les XIII
dans "Amoûr, saucisses èyè arsènic", adapté
par Remy Jeanson et mis en scène par Rudy
Hocq, c'est à voir le 6 mars à 20H au WauxHall.
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Familles je vous aime
2 spectacles à ne pas manquer dans le cadre
de "Famille en Fête" :
• "Héron Ascendant Rivière" par la Compagnie
de l'Arbre Rouge (Ou comment parler de la vie
avec humour et tendresse) Pour nos bouts de
choux à partir de 5 ans. Rendez-vous le mercredi 24 février à 15h.
• "Hirondelles", un spectacle musical de Geneviève Laloy, aux textes intelligents et poétiques
qui toucheront les enfants à partir de 6 ans. A
voir le 17 mars.
Infos et réservations au Waux-Hall de Nivelles
Tél: 067/ 21 97 85 ou le 067/ 88 22 77
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Fondue tous les soirs,
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Publireportage
Une boutique…au poil !
Qu’y a-t-il de plus amitieux qu’un animal de compagnie ? Parfois considéré comme
un membre de la famille à part entière, nos compagnons méritent une attention
sans limite. Chez Poils et Plumes, vous trouverez tout le nécessaire pour mettre
en pratique son crédo : « le gâter, vous combler ». Fort de son succès, l’enseigne
double son espace d’accueil en s’installant dans le nouveau complexe commercial
du Zoning. Visite des lieux avec les « patrons », Yves et Rita Dewêche. Une rencontre qui déménage !
Plus grand, plus beau, plus fort
Pénétrer dans le nouveau Poils et Plumes s’assimile
à découvrir le paradis des animaux : plus de 600 m2
entièrement dédiés au bien-être des animaux. Leur
confort, leurs soins et leurs loisirs sont passés en
revue pour devenir l’objet de toutes les attentions.
L’espace et la lumière qui envahissent le lieu témoignent du souhait de Rita et Yves : faire du nouveau
magasin un espace de rencontre et d’échanges où
les animaux et leurs maîtres trouveront à la fois des
réponses à leurs questions et des produits de qualité.
L’ensemble est agréable et fonctionnel, à l’image
des rayons, parfaitement rangés, qui débordent de
produits de soin, de nourriture et d’accessoires pour
le confort de nos chiens, chats, oiseaux, rongeurs
et reptiles. Grâce à son stock permanent, il offre un
service inégalé, rapide et efficace.
C’est comme ça depuis 24 ans avec l’ouverture du
premier magasin du couple à Corbais. Guidés par
leur engouement, ils ouvrent ensuite un second
établissement à Nivelles suivi d’un troisième à
Tubize. Installés dans la cité aclote depuis 6 ans,
ce déménagement s’imposait car le marché de
l’animalerie l’exige, explique Yves. « L’offre est de
plus en plus importante, les fabricants deviennent
très créatifs, notamment en ce qui concerne les accessoires. De plus, les clients sont désormais très
exigeants et ne reculent devant rien pour combler
leur petit compagnon. »
Depuis le 18 janvier, le nouveau magasin est le plus
grand des trois, pour le plus grand plaisir de Laurent, le chef du magasin nivellois. Avec Anicée,
Karine, Isabelle et Damien, ils forment une équipe
compétente et qualifiée dans tous les domaines.
Pour affiner leurs connaissances et se tenir au courant
des nouveautés, ils prennent part à de fréquentes formations. Nutrition, soin, élevage,… tous les sujets
sont abordés afin de pouvoir répondre au mieux aux
interrogations d’une clientèle exigeante.
Tendresse à vendre
Dans les allées lumineuses, chaque chose est à sa
place. Dès le début de son activité, le couple a fait
le choix de la qualité. Proposer le meilleur est une
exigence à laquelle ils ne pouvaient déroger pour
mériter la confiance totale de leur clientèle. Dès
lors, le rayon nourriture foisonne des marques les
plus reconnues : Royal Canin, Hill’s, Eukanuba, Pro
Plan, Frolic, Iams, Pedigree, Whiskas et Belpet pour
ne citer qu’eux. Vous y trouverez également de la
nourriture spécifique par race.
Les accessoires, quant à eux, disposent également
de leur propre espace. Celui-ci stylé « boutique de
luxe » propose des colliers, laisses, bols, jouets,
coussins, petits vêtements et casquettes destinés à
en faire des êtres à part entière. De toutes les couleurs,
matières, grandeurs, les accessoires feront de nos
animaux les compagnons les plus heureux… et les
plus coquets !
Outre la vente de produits, Poils et Plumes se positionne aussi comme vendeur de tendresse en vous
permettant de faire l’acquisition d’un petit animal.
Prenant un grand soin à reconstituer leurs environnements respectifs, ils accueillent rongeurs, reptiles
et oiseaux, le temps de leur trouver un maître. Vous
aurez tout le loisir de prendre le temps de choisir
celui qui fera votre bonheur. Nichés dans l’environnement qui leur a été confectionné, ils ont été
dorlotés, soignés et nourris et ne demandez plus
qu’à faire votre bonheur. Entre les lapins, hamsters,
cobayes, perroquets, canaris, perruches, pogonas,
tortues terrestres, dragons d’eau, ou geckos votre
cœur balance ? Demandez conseil à l’équipe dynamique de Poils et Plumes.
Une passion à partager
La force de leur passion comme moteur, Yves
et Rita s’impliquent dans leur activité comme
personne. Avec une simplicité et l’énergie qui leur
est propre, ils prennent soin de vous recevoir dans
les meilleures conditions qui soient. Accompagnés
de Filou, leur fidèle Coton de Tuléar, ils se rendent
disponibles et ne manquent jamais de vous faire
partager leur expérience. « Le monde animal est
un domaine qui touche directement à l’affect, c’est
pourquoi, la plupart du temps, une relation privilégiée se crée avec le client. Dans cette optique, nous
avons créé un site internet « réseau social » destiné
à toutes celles et ceux qui veulent partager leur expérience ou se rencontrer par l’intermédiaire de leur
animal de compagnie » explique Yves. www.dogcatbook.com est donc un site ludique et informatif qui
reprend les histoires, photos, anecdotes. Comme les
« chihuahua party », il est à l’image de l’enthousiasme de Yves. Avec son « clan », il ne manque jamais
de créativité pour inventer des concepts improbables pour les maîtres qui aiment leurs animaux.
Poils & Plumes
Chaussée de Namur, 50 - 1400 Nivelles
Tél. : 067/55.70.16
Ouvert du lundi au vendredi de 9h à 18h30
www.poilsetplumes.be
ETIENNE
LAURENT
Etienne Laurent
Un nouveau Président
pour le CDH nivellois
Suite de notre série d’interviews de mi-mandature. Place aujourd’hui à Etienne Laurent, le
nouveau Prédident du CDH nivellois. Celui-ci est-il aussi enthousiaste que le MR de la coalition
mise en place, il y a 3 ans ? La parole est au parti orangé.
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tant au niveau mobilité qu’au niveau économique ?
EL. : Nous savions que cela serait dur parce
que le chantier était très important. Nous
savions que cela allait avoir des répercussions
sur le commerce notamment. Nous n’avions
évidemment pas prévu la crise financière. D’un
autre côté, nous savions qu’il fallait le faire et
que reporter le projet n’était pas une solution.
Notre nouveau challenge sera la réappropriation
de la Grand-Place. Nous devrons réutiliser ce
bel outil par du marketing de ville. Nous devrons
l’utiliser pour réattirer les gens.
NC. : La politique financière de la Ville est
qualifiée par l’opposition de risquée. Les
dépenses seraient trop importantes pour
le peu de marges de sécurité prises. Qu’en
pensez-vous ?
EL. : Il faut relativiser. Premièrement, quand
je suis arrivé aux finances, les caisses étaient
pleines. On peut même dire qu’elle débordaient
car les années précédentes, le pouvoir en
place n’avait rien fait. Il passait son temps
à se disputer.
Deuxièmement, les Nivellois sont de plus en
plus riches. Les « return » des impôts sont très
importants à Nivelles. C’est un fait avéré. Nous
avons décidé d’investir de manière importante.
Nous avons la Grand-Place, mais nous avons
aussi un catalogue d’autres projets à l’extraordinaire qui est très important. C’est vrai que
c’est un rythme soutenu mais il était nécessaire. Le Centre-Ville devait être rénové. C’était
urgent et impératif. Nous avons voulu le faire
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correctement afin d’être tranquille pendant de
nombreuses années.
Donc, en effet, nous dépensons beaucoup à
l’extraordinaire pour le moment. Mais nous
sommes très prudent à l’ordinaire. Nous ne faisons pas d’excès dans les dépenses courantes.
C’est donc un effort pour des projets qui
en valent le coup. C’est cohérent.
NC. : Vous êtes devenu début d’année le
nouveau Président du CDH. Quel est votre
projet pour votre parti ?
EL. : L’élection était prévue. Tous les 3 ans, nous
élisons un nouveau président de section locale.
Nous entrons déjà dans une période pré-électorale. La volonté de notre groupe est de mettre
à la tête de la section locale une personne qui
a une vision la plus large possible sur la ville et
ce, tant au point de vue des contacts politiques
généraux qu’au sein du parti propre. Cela fait
de nombreuses années que je suis impliqué.
J’assure déjà avec Pierre Huart les relations intergroupes au sein de la majorité.
NC. : Quel est votre programme ?
EL. : Je veux préparer les élections communales au mieux afin de les gagner. Je veux aussi
renforcer l’équipe.
NC. : Quel grand projet voulez-vous réaliser
cette année ?
EL. : Je veux terminer la Grand Place. J’aimerais également lancer l’étude du dossier de la
rénovation de la piscine ainsi que celui de la
rénovation de la Ferme des Scouts à Baulers.
NC. : Pourquoi le projet du cinéma n’avance-til pas plus vite ?
EL. : En un mot, le subside n’est pas débloqué.
La demande a été introduite depuis longtemps
Au niveau administratif, le dossier avance. Une
commission a rendu un avis positif. Aujourd’hui,
nous attendons la décision du Cabinet du Ministre. C’est un problème budgétaire. Nous sommes en attente d’une décision financière de la
Communauté Française.
Luc Pieltain
C’est reparti …
Profiter de son jardin cet été…
OUI ! … mais retroussez vos
manches et prenez-en soin dès
maintenant !
Portes ouvertes
Vendredi
12 mars
de 9h à 18h30
Samedi
13 mars
de 9h à 18h30
Dimanche
14 mars
de 10h à 18h00
M a i n s
-20 % sur les plantes, arbres, arbustes, conifères nains
pour haies et autres, plantes grimpantes, vivaces, arbres
fruitiers, rosiers, …
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-10 % sur les articles en magasin, terreaux, tourbe,
engrais, produits, outillages, semences, treillis Bekaert,
articles en bois, couches, poteries, …
A 5 minutes
du centre de Nivelles
(Route Nivelles-Seneffe)
Rue de la Samme 30 - Arquennes
Tél. : 067 87 77 78 Fax : 067 87 91 60
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Ouvert tous les jours de 9h à 12h30
et de 13h30 à 18h30 - Fermé le lundi
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