Le Livre 2014

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Le Livre 2014
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On prendra
et cela ne sera
pas le vol,
on emploiera
ses facultés
et son activité
et cela ne sera
pas le travail.
— Élisée Reclus
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archives 2014
EN JANVIER
— Un cheval marche au pas, la philosophie de Medhi
Belaj Kacem se déploie toujours de cinq à sept
les deuxième dimanche du mois, Les Oiseaux mal
Habillés dévoilent un bout de leur petite histoire. La
Véraison retourne au travail, les balles s’échangent,
entre autres, au 20 du mois. L’esprit et la matière
se mélangent. Les crocodiles nous chauffent… Les
renonculacées fleurissent sur la terre comme au ciel.
Nous vous souhaitons le meilleur à venir, où vous
voulez pour cette nouvelle année.
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Théâtre / résidence de création
Pauvreté, richesse,
hommes et bêtes
de Hans Henny Jahnn / mise en scène Pascal Kirsh
Du 22 décembre au 6 janvier
Ouverture publique le 6 janvier à 19h30
Après une lecture à l’Échangeur, Pascal Kirsh et ses comédiens viennent
travailler sur la mise en scène de ce texte de Hans Henny Jahnn. Une œuvre dramatique mais aussi un poème, un conte, un récit au long cours, à propos de paysans, à la
fois réaliste et magique. On y voit à travers les êtres comme dans du verre. On y parle
une langue rude, brutale même, intransigeante, voire lapidaire.
Hans Henny Jahnn, auteur du Pasteur Ephraïm Magnus, est l’un des prosateurs
les plus importants et les plus singuliers du XXe siècle en Allemagne, et pourtant, il est
encore peu connu en France. Son œuvre, écrite entre les années 10 et 50, se partage
entre œuvres romanesques et œuvres dramatiques. La pièce Pauvreté, richesse, homme
et bêtes est contemporaine de son roman le plus célèbre, énigmatique et noir : Le navire
de bois. Bien que les récits qui les portent soient éloignés, le même thème traverse ces
deux œuvres maitresses.
L’amour en est le centre obscur et brûlant…
—
Mise en scène Pascal Kirsch
Avec Julien Bouquet, Éric Caruso, Victoire Du Bois, Jonathan Genet, Vincent
Guédon, Loïc Le Roux, Marina Keltchewsku, Élios Noël, Netty Radvanyi,
Florence Valéro, François Tizon et Arto
Scénographie Anaïs Heureraux et Pascal Kirsch –
Installation scénique & Lumières Pascal Villmen assisté de Léandre Gans –
Son Sophie Laloy + Loïc Le Roux
Assistante mise en scène Netty Radvanyi
Traduction Huguette Duvoisin et René Radrizzani aux éditions José Corti
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Théâtre / Lecture
Théâtre / résidence d’écriture
La petite histoire
L’AVANTAGE DU DOUTE
d’Eugène Durif / mise en scène Rozenn Biardeau
Le collectif L’Avantage du doute
Du 1er au 10 Janvier
Ouverture publique le 10 janvier à 15h00
Du 19 au 24 Janvier
Pas d’ouverture publique
Premiers pas pour l’équipe de Rozenn Biardeau autour du texte d’Eugene
Durif. Cette création mêle musique contemporaine improvisée, théâtre d’objets et
texte, dans la ligne des créations précédentes de la compagnie. Cette première étape
permet à Rozenn Biardeau de présenter son travail, de rencontrer public et professionnels et d’ouvrir des pistes.
—
Avec Rozenn Biardeau, Serge Biavan
Musique Quentin Biardeau, Florian Satche
Mise en espace Rozenn Biardeau, Karen Fichelson
Images Bertrand Sallé
Vidéo Marie Famulicki
https://www.facebook.com/oiseaux.malhabilles?fref=ts
http://www.lesoiseauxmalhabilles.blogspot.fr
http://bertrand.salle.free.fr/
Cinéma / projection
Je voudrais que son nom apparaisse partout
de Stéphane LEVY
Le 21 Janvier 2014
Projection du film Je voudrais que son nom apparaisse partout de Stéphane Levy (32
minutes) suivi d’un débat autour du film et du livre de Marion Deichmann ainsi que
d’une signature de son livre. Marion Deichmann a mis du temps à avoir envie d’écrire
ses mémoires. Je voudrais que son nom apparaisse partout, l’histoire d’une jeunesse
chahutée par un monde en guerre, est publié en 2012. Stephane Levy réalise un
film du même nom, un documentaire de famille autour de l’effort de son amie pour
rassembler ses souvenirs apatrides.
Présence, projection, discussion et lecture se complètent pour dresser le
portrait des vies de Marion en une soirée !
Le collectif d’acteurs-auteurs est en résidence d’écriture pour inventer la
matière de leur prochaine création qui aura lieu à l’automne 2015.
Nous sommes un collectif d’acteurs.
Nous jouons et écrivons ensemble.
Nous avons créé un premier spectacle, Tout ce qui nous reste de la Révolution, c’est
Simon, et un deuxième,
La Légende de Bornéo, autour de la question du Travail.
Qu’entend L’Avantage du doute par « collectif » ?
La création de notre groupe répond tout d’abord à une nécessité, politique au
sens large, que nous partageons, celle d’appartenir à un collectif. Notre groupe est
celui de la prise de pouvoir d’acteurs-auteurs qui vivent le processus de création de
leur pièce comme un exercice concrètement démocratique. Le texte final est indissociable de ce que nous sommes/pensons/questionnons ; nous faisons corps avec
la pièce. À l’image de notre processus s’invente alors sur le plateau un théâtre qui
déplace nécessairement la position du spectateur ; un Théâtre-public où ceux qui
écoutent sont pris à témoin, interpellés globalement comme partenaire principal.
La création est volontairement prévue dans longtemps, à l’automne 2015. Nous
souhaitons prendre le temps nécessaire, comme pour nos deux premiers spectacles,
à l’écriture, à la discussion, à l’errance, à l’expérience, à la construction empirique
du spectacle. Comme tout repose sur notre capacité d’invention, nous préservons
la possibilité pour chacun de travailler et de « vivre » en dehors du collectif. De plus
nous faisons des tournées longues, sur plusieurs saisons, de nos spectacles. Ainsi, nos
durées de création sont cohérentes avec notre façon de faire et nos partenaires de
production sont eux aussi en accord avec cette temporalité.
—
Avec Simon Backouche, Mélanie Bestel, Judith Davis, Claire Dumas, Nadir
Legrand et Maxence Tual
https://fr-fr.facebook.com/lavantage.dudoute
[email protected]
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archives 2014
EN FÉVRIER
— Convivialité/ surprise
Apéritif de quartier
Le collectif la Générale
Vendredi 31 janvier à 18h00
Apéritif = n.m du latin apertivus dérivé de aperire : Ouvrir.
Un apéritif ou familièrement un apéro est une boisson servie avant le repas
dans certaines cultures afin d’ouvrir l’appétit. L’apéritif désigne par extension la collation qui peut précéder le repas. par extension l’apéritif s’applique à tous les aliments,
petits gâteaux, fruits découpés, olives, charcuterie, tapas, fromage et autres assortiments variés, qui sont servis en accompagnement de cette boisson. Enfin l’apéritif
désigne le moment de convivialité, le lieu de sociabilité où des personnes se retrouvent pour consommer ces boissons et ces aliments en discutant...
Depuis le 1er février la Générale fabrique, questionne,
invite, ouvre, débat et les jours voltigent comme
des balles de ping pong. La philosophie de Medhi
Belaj Kacem se déploie toujours de cinq à sept les
deuxièmes dimanches du mois. Le club Mickey
se sert de poignards pour se frayer un chemin.
Autre chose que rien expérimente le quotidien. Les
Oiseaux mal Habillés travaillent à la production de
La petite histoire. Les Sans-Papiers se réunissent
pour circuler librement. Les langues se démultiplient
en multipositions au 20 du mois. Delphine creuse la
genèse des souvenirs. Ivanne et Sidonie réfléchissent
sans les mains. La revue Agôn se lance. L’humus
s’amasse et l’humain prime.
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Théâtre / résidence de création
Débat/ Rencontre
Il faut parfois se servir d’un poignard
pour se frayer un chemin
POLITIQUE/CULTURE
de Roberto Alvim / Mise en scène Louise Dudek et Alexis Lameda-Waksman
rencontre publique le 7 février à 19H
collectif la Générale
Un membre éminent de l’État et un grand entrepreneur décident de monter
de toute pièce un groupe terroriste censé renforcer le pouvoir en place, justifier la
création d’une police spéciale et d’une prison de haute sécurité, et à terme relancer la
croissance. Les membres de cette cellule révolutionnaire, le « club Mickey », n’ont pas
conscience d’être utilisés. Ils décident de s’en prendre à des stars du Show-Biz.
À l’heure où le terme de «Fabrique de culture» est utilisé dans de nombreux
discours, après la création récente de l’aide aux «Fabriques» par le Conseil Régional,
au moment où le Ministère de la Culture lui même semble se pencher sur les modalités d’un soutien aux «lieux intermédiaires», nous aimerions revenir sur ce que signifie
la «culture de proximité».
Quels sont ses cadres, ses moyens, ses objectifs, ses usages et ses usagers ?
Nous organisons une rencontre publique sur le thème : Une fabrique de culture
dans la Ville, à quoi, à qui cela sert-il ?
Nous invitons les candidats à la mairie du XIe, les artistes de la Générale, des
acteurs, artistes et habitants du XIe à dialoguer ensemble et à débattre des questions
suivantes : Une fabrique de culture dans la ville, qu’est-ce que c’est ? À quoi ça sert ? Qu’en
attendez-vous ? Comment les politiques culturelles de la ville et de l’arrondissement peuvent-elles
favoriser le déploiement efficace de ce dispositif ?
—
—
Création en France
Le texte de la pièce est édité aux Solitaires intempestifs
Mise en scène Louise Dudek et Alexis Lameda-Waksman
Avec Rachel André, Jeanne Arènes, Majid Chikh-Miloud, Louise Dudek, Elsa
Grzeszczak Alexis Lameda-Waksmann, Thomas Poitevin, Benjamin Tholozan, Adeline Walter
Son Mathias Lameda
Lumières Florent Penide
Dramaturgie Anthony Thibault
Traduit du portugais par Angela Leite Lopes
Les candidats invités seront :
Martine Debieuvre candidate sur la liste du PS
Hélène Franco candidate tête de liste du PG
JoËlle Morel candidate tête de liste EELV
christian saint-etienne candidate tête de liste UMP
Du 26 janvier au 2 février
Pas d’ouverture publique
Apres la présentation d’une maquette au Théâtre Romain Rolland de Villejuif la
Cie M42 finalise à la Générale la création de leur prochain spectacle qu’ils joueront à
la Chapelle Saint Louis de Rouen le 3 février.
http://compagniem42.com/
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Théâtre / Recherche
Théâtre / Résidence d’écriture
Autre chose que rien
De la solitudes des cuisinières (Festin tragique)
Arnaud Guy et Marion Camy
Ivanne&Sidonie
Du 10 au 12 février 2014.
Pas d’ouverture publique
Du 10 au 16 février
Pas d’ouverture publique
Après un workshop aux Laboratoires d’Aubervilliers, la Compagnie Cargocollective s’installe quelques jours a la Générale.
Ivanne&Sidonie quittent leurs interventions culinaires pour se mettre à table et
concoctent pour la première fois, un texte de théâtre…
L’expérimentation sur Autre chose que rien donne à voir des personnages affranchis du temps, du travail, qui vivent ici dans un pacifisme émotionnel. Ils sont à
la recherche de leur propre langue, leur corps et des choses dont ils rêvent. Ils se
racontent, ils passent à l’acte. Nous souhaitons travailler dans un premier temps sur
les actions banales de la vie, sur la captation d’instantanés.
Cuisiner engendre la transformation de la matière première pour produire
une œuvre unique destinée à réjouir, le temps du repas, les papilles des convives,
les nourrir pour leur permettre de répondre à un de leurs besoins fondamentaux :
manger.
Cuisiner, c’est manipuler, couper, hacher, ciseler, assaisonner, mijoter, cuire,
enfourner, piquer, incorporer.
—
—
Avec Anna Federova, Arnaud Guy, Sophie O’Bryne, Louise Ronk Senges
création musicale Christophe Provincial
scénographie et costumes Marion Camy-Palou
Cinéma / montage
D’où viennent les souvenirs
Delphine Dumont
Du 10 au 15 février.
Pas d’ouverture publique.
Delphine Dumont se réfugie à la Générale pour une introspection, démarre une recherche sur les souvenirs qu’ils soient personnels ou universels, travaille en parallèle
sur les films de familles, les films retrouvés...Revue / sortie numéro
Avec Ivanne Barberis et Sidonie Han
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La question de la Reprise
Revue AgÔn
Le 21 février
Ouverture des portes à 17h00
La revue Agôn, revue numérique sur les arts de la scène, lance son sixième
dossier consacré à la question de la reprise.
Dans un contexte dit de crise, et alors que politiques culturelles et entreprises
théâtrales se tournent de plus en plus vers du connu, un phénomène de patrimonialisation de la culture semble toucher de plein fouet les arts de la scène. S’orientant vers
des spectacles qui ont fait date, devenant par là références et événements, programmateurs comme artistes semblent faire de la reprise une nouvelle pratique—pratique
qui à son tour déborde ces monuments pour interroger la mémoire et l’oubli, dans
son histoire comme dans celle plus large de nos sociétés.
Posant la question de la reprise pour mettre en lumière le processus de création, nous aborderons cette question de la mémoire et du recyclage du matériau
chorégraphique avec Alexandre Achour, Josep Caballero Garcia et Zeina Hanna, trois
danseurs de Xavier Le Roy participant à l’aventure de Rétrospective, dans le cadre
d’une conférence dansée sur le processus de création de la pièce.
Cette exposition chorégraphique est par ailleurs présentée au centre Pompidou
du 19 février au 10 mars.
—
Avec Alexandre Achour, Josep Caballero Garcia et Zeina Hanna,
et autres surprises!
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Cinéma / montage
Sans déconner
Un film d’Alexandre Moisescot
EN MARS
— Claus Peymann rêve qu’il se fait taper par la Ministre
de la culture. Les intermittents crient. Les étudiants
des arts déco SUB-mergent l’espace. Medhi BelhajKacem transgresse. Laura Welter et Nathalie Franchie
luttent pour une humanité meilleure, les sans
papiers aussi. Les Oiseaux mal habillés produisent
toujours La petite histoire. Alice commence à penser
que vraiment peu de choses sont impossibles à
Plestin-les-Grèves. Alexandre Moisescot s’inspire
sans déconner de la Divine Comédie et monte. Les
coquilles de noix crissent sous nos pieds. C’est
bientôt le temps des cerises ?
Du 1er au 30 mars
Pas d’ouverture publique
Alexandre Moisescot s’enferme à la Générale jour et nuit pour monter son
premier long métrage de cinéma.
Sans déconner est un road movie post-mortem, un conte tragicomique, une
comédie métaphysique, un labyrinthe qui commence par un mariage pour quitter
progressivement le monde des vivants. Sans déconner est en réalité un voyage labyrinthique dans la Mort et la Mémoire. Une épopée tragi-comique et décalée qui joue sur
l’imaginaire collectif, les codes et les croyances entourant l’idée de l’Après.
Qu’y-a-t’il de l’autre côté ? Nous n’en savons rien. Le film explore dès lors avec
fantaisie, poésie, sérieux ou pire encore, ce que peut être ce que nous nous représentons souvent comme une errance : l’idée du Purgatoire, incarnée ici par le parcours
de Gérard et de ses témoins.
—
http://www.le-coincoin.fr/index.php/les-films/25-sans-deconner
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Théâtre / résidence de création
Comme une eau très claire au début du printemps
Événement
D’après Jean-Pierre Martinet / MISE EN SCÈNE CYRILLE LABBÉ
d’après Thomas Bernard /
MISE EN SCèNE FANNY SANTER et Géraldine SZAJMAN
Du 4 mars au 7 mars
Ouverture publique le 7 mars à 15h00 et 20h00
Après avoir représenté leur travail sur le texte Claus Peymann et Hermann Beil
sur la Sulzwiese de Thomas Bernhard, une première fois sous forme de maquette au
Théâtre de Verre en 2012, puis dans le cadre du festival Péril Jeune à Confluences
cette même année, Fanny Santer et Géraldine Szajman souhaite finaliser et enfin
présenter leur projet de tryptique
« À travers ces trois Dramolettes, ces trois comédies satiriques, Thomas Bernhard met en
scène des personnes réels : Claus Peymann, sa secrétaire Christiane Schneider, son dramaturge,
Hermann Beil et lui-même, Thomas Bernhard. Il les place dans trois réalités fictionnelles.
Trois farces qui nous interrogent sur la nécessité du théâtre, de sa pratique et de sa place
dans un système économique et politique contemporain.
Trois comédies qui nous interrogent sur un pouvoir, “le pouvoir artistique”, qui mettent en
jeu un cavalier seul, Claus Peymann, personnage qui ne peut aboutir qu’à une impasse humaine
et philosophique : le théâtre pose des questions, interroge sans cesse le monde mais n’apporte pas
immédiatement de réponse.
Au-delà de ces textes, nous souhaitions aussi pouvoir saluer ces deux artistes : l’écrivain
et le metteur en scène. Une proposition, un projet qui n’est pas un prétexte mais une tentative
de sonder nos rêves, nos ambitions, d’exprimer nos doutes et nos espoirs de théâtre à travers eux.
L’art est ce qui sauve Peymann, l’art est ce qui nous sauve face à nos peurs, nos angoisses, nos
cauchemars, face à l’échec... l’art triomphe toujours ! »
** Contraction des mots drames et minuscules, Dramuscules (en allemand Dramolettes)
est un recueil de piécettes de théâtre de Thomas Bernhard, inventeur du genre. Il les a
écrits en 1988, un an avant sa mort. Dépeignant l’Autriche qu’il n’a jamais cessé de dénoncer, abrutie, réactionnaire, engluée dans le passé nazi.
—
Avec Fanny Santer et Géraldine Szajman
collaboration artistique : Vincent Marguet
Théâtre / résidence de création
Du 10 au 20 mars 2014
Les 18, 19 et 20 mars 2014 à 20h30
D’après le début du roman de Jean-Pierre Martinet : Jérôme. Éditions finitude
« Ici le théâtre se construit avec trois fois rien de ferraille et d’artifice, et le chemin qu’il
tente d’emprunter est aussi abrupt et escarpé que les chemins qui sont creusés aux flancs des
montagnes, et bordés de fleurs sauvages. La langue inouïe de Martinet est une matière vivante
qui nous emmène : “Mais enfin : dans la neige des derniers jours. Solange : pour aller où tu ne
sais pas, vas par où tu ne sais pas.” Un travail sur la fragilité, en somme, comme une coquille de noix. »
Cyrille Labbé
—
Avec Rozenn Biardeau, Paul Moulin et Cyrille Labbé
Adaptation, scénographie et mise en scène : Cyrille Labbé
Collaboration artistique : Céline Bénard, Guillaume Moitessier et Charles Langellier
Création lumière : Grégoire Richard
Régie G : Kim Lert
Création 2014-2015 - Production La Générale
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Exposition
SUB_
École Nationale Supérieure des Arts Décoratifs
Vernissage le 26 mars à 18h00
Exposition du 26 au 29 mars de 15h00 à 21h00
SUB_ est un projet initié par le bureau des élèves de l’École nationale
supérieure des Arts Décoratifs. Un concours a été proposé à tous les élèves de
l’École. Une trentaine de créations ont été sélectionnées pour être exposées à La
Générale. Organiser cette exposition est un moyen de rassembler des élèves issus
des dix secteurs de l’école et de leur offrir une visibilité en dehors du cadre scolaire.
Les élèves se sont rassemblés en amont autour de différents workshops (graphisme
/ scénographie / design culinaire). Le thème SUB-, appelle au SUB-conscient, au
SUB-lime, au SUB-sidiaire, au SUB-way, au SUB-stitut, au SUB-marin... Il n’a de
limite que celle de l’imagination. Dessins, photos, installations, sculptures, performances, vidéos, viendront illustrer cette exposition. Pour cet événement créatif et
fédérateur, les élèves des Arts Déco investissent La Générale !
—
www.sub-exposition.tumblr.com
Facebook/SUB-Exposition
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Théâtre / résidence de création
archives 2014
L’hiver de la cigale
de Pietro Pizzuti
Du 1er au 30 mars
Pas d’ouverture publique
Laura Welter est maintenue en détention préventive. Elle est accusée d’avoir
tué le général Oscar Antonio Somadossi Roederer, jadis dictateur de son pays. La
justice instruit le procès qui doit faire la preuve de sa culpabilité et, le cas échéant,
identifier son mobile. L’avocate de la défense, Maître Nathalie Franchi, a du mal à
se prévaloir de la collaboration de la prévenue. C’est le prix qu’il lui faut payer pour
découvrir la vérité. Un face-à-face entre deux femmes qui, en risquant leurs vies, ont
choisi des moyens différents pour poursuivre un même objectif : la lutte pour une
humanité meilleure.
—
Création prévue début 2015.
mise en scène Elsa Bosc et Maria Cristina Mastrangeli
EN AVRIL
— L’espace est acoustique, diatonique, carcéral
et corsaire. La banderole de la Coordination
des Intermittents et Précaire parle au dehors.
L’inaccessible toit jalouse les éclosions printanières.
On astique notre projecteur pour tenter d’éclairer les
discours écrans...
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Musique / Festival
LET’S GET PHYSICAL
Sonic Protest
Du 5 au 14 avril
Après Sonic Protest Ailleurs-et-partout : Sonic Protest Tout-le-temps puisque
l’association du même nom s’autorise désormais des rendez-vous à l’année. Concerts,
ateliers réguliers auprès de jeunes autistes, scolaires ou étudiants, organisation de
tournées : Sonic Protest passe au courant continu et reste alternatif.
Durant neuf jours, Sonic Protest propose une exposition collective d’art
sonore. L’exposition sera l’occasion de découvrir un monde sonore inédit : les sons
de l’air comprimé ou celui des étincelles électriques. On y entendra aussi le mouvement de haut-parleurs inaudibles et le son de l’endroit lui-même, de son environnement, par opposition et contraste, dans les silences et les échos.
—
Avec : Jean-François Laporte, Arnaud Paquotte, Xavier Charles, Andy Bolus et les
élèves du Lycée Autogéré de Paris, Anla Courtis et les jeunes de l’hôpital du jour d’Antony,les étudiants de l’école national d’arts de Cergy, Atmosphérique et Mikro.TV.
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Résidence de création / théâtre
Musique / Festival
Too Much Time
Les soirées Trico
Fatima Soualhia-Manet et Jane Exelyn Atwood
Tricollectif
Du 21 au 27 avril
Pas d’ouverture publique
Du 29 avril au 3 mai 2014
Fatima Soualhia-Manet (comédienne metteur en scène) et Jane Exelyn Atwood
(photographe) viennent à la générale pour jeter les bases de Too much time d’après
l’oeuvre de Jane Exelyn Atwood sur les femmes en prison.
En 2011, la Maison européenne de la photographie consacre une première
grande rétrospective à l’œuvre de Jane Evelyn Atwood, présentant, sous le titre
Photographies 1976-2010, trente-cinq ans de travail, autour de six séries majeures (les
prostituées, les aveugles, les femmes en prison, Jean-Louis/Vivre et mourir du sida,
les victimes de mines antipersonnels, Haïti).
Les projets photographiques d’Atwood peuvent s’étaler sur plusieurs années,
jusqu’à ce qu’elle puisse rentrer en profondeur dans le sujet, et pénétrer des lieux
et des mondes que nul n’avait exploré en détails avant elle. C’est le cas de son sujet
Femmes en prison, qui l’occupa près de 10 ans. Atwood eut accès à plus de 40 prisons, parmi lesquels les pénitenciers les plus durs, en Europe de l’Ouest et de l’Est
ainsi qu’aux États-Unis, y compris le couloir de la mort.
—
Avec Thomas Matalou, Sandy Ouvrier,
Rozenn Biardeau, gilles nicolas…
Sans fois, ni lois. Votre credo est le nôtre. Notre credo est le vôtre. En toute
démagogie. Tout simplement.
Pour cela, le TRICOLLECTIF organise un festival. Les Soirées Tricot, tel est
son nom. C’est décontracté. C’est gratuit. En toute démagogie. Tout simplement.
La seule chose que l’on puisse exiger de vous est de bien vous laver les oreilles.
De les décrotter comme il se doit, voire de les laisser au repos quelques jours avant
le début du festival. Le mieux est qu’elles arrivent en forme afin que vous puissiez
apprécier au mieux le traitement de choc qu’on vous prépare, n’hésitez donc pas à
charger sur la vitamine C et autres traitements barbituriques en vogue en ce début de
siècle.
Au programme il y aura des musiques plus-qu’actuelles, improvisées, enragées,
avec ou sans label, parfois très courtes, parfois trop longues, surprenantes et
généralement débordantes.
Sans dogmatisme, ni préséance.
En plus des concerts le duo Biardeau/Couratier, invite les irréductibles à une
Mise en boîte, une expérience par-delà les patchs et les électrodes, à vivre au casque
audio.
—
avec Rafaelle Rinaudo, Poline Renou, Philippe Gleizes, Bart Maris et les frères Dousteyssier, double bill, le Tricollectif, Dodet/Machault/Negro et le projet Busbeck.
http://www.tricollectif.fr
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archives 2014
Théâtre / résidence de création
Manchette / Artaud / Roussel
Le T.O.C. / mise en scène Mirabelle Rousseau
EN MAI
— La Générale est dans un état proche de l’Ohio : la
halle et ses dessus s’ouvrent à l’obsession et à la
compulsion, à l’érotisme et à la mort, au langage et à
la transgression, les black panthères seront peut- être
de la partie. Beckett se joue cette fois à l’impromptu
et John Lennon est mort, ça craint, mais l’Afrique est
là et c’est bien. Nous pourrions sourire béats et sentir
le doux parfum des fleurs d’agapanthes et d’ancolies,
de figuier et de genet, de coquelicot et d’églantier
mais pour le moment nous laissons les espaces
vides faire résonner l’attente de nos désirs... pour le
moment.
Ouvertures au public du 13 au 16 mai
Parallèlement à ses spectacles collectifs, le T.O.C. réalise des formes courtes à
partir de textes non théâtraux, destinées à être présentées dans des espaces divers et
in situ. À l’issue d’une résidence de création, la compagnie présente trois chantiers en
cours dans plusieurs espaces de La Générale, expérimentant différents dispositifs et
rapports au public.
Marie Immaculée
de Jean-Patrick Manchette
Avec Estelle Lesage et Etienne Parc
Scénographie et régie générale James Brandily
Marie Immaculée est un scénario érotique de Jean Patrick Manchette qui
raconte l’initiation sexuelle et politique d’une jeune aristocrate française en 1917. La
forme est pensée pour être présentée dans une chambre, dans des petits espaces ou
en appartement. Avec ce travail nous partons à la recherche d’un rapport au public
d’une grande proximité. Le spectateur est quasiment dans le lit de la comtesse.
L’Arve et l’aume
d’Antonin Artaud
Avec Emilie PaillarD
Dramaturgie Muriel Malguy / Scénographie Clémence Kazémi
Régie générale Esther Silber / Son Kerwin Rolland
Le sous-titre donné par Artaud au texte résume son projet littéraire : une
tentative anti-grammaticale à propos de Lewis Carroll et contre lui. Alice a quitté sa maison
pour se retrouver dans un monde dans lequel tout est inversé. Dodu Mafflu, tour à
tour professoral, littéral ou absurde, lui enseigne comment, avec les mots-valises, les
choses et les mots peuvent entretenir un rapport variable et distendu.
Comment j’ai écrit certains de mes livres
de Raymond Roussel
Avec Laurent Charpentier et Mirabelle Rousseau / Piano Nicolas Ducloux
Scénographie Jean Baptiste Bellon / Régie générale Camille Jamin
La mort suspecte de Raymond Roussel à Palerme le 14 juillet 1933, doublée de
la révélation de son procédé d’écriture à travers la publication posthume de son texte
Comment j’ai écrit certains de mes livres, fait de l’oeuvre entière de Roussel un mystère.
Notre projet met en relation ce texte-clef de Roussel avec les actes relatifs à sa mort,
d’après l’enquête de la police sicilienne. Le spectateur est invité a une situation fictive
: le simulacre de la veillée funèbre de Roussel.
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Débat
AfriCana
Association Black History Month
Le 17 mai 2014
Ouverture au Public
Depuis le mois de mai de l’année 2013, l’association Black History Month
propose son événement annuel, les “Journées Africana” qui ont lieu autour de la date
du 10 mai en honneur de la loi Taubira – Delannon (2001).
Lors de l’édition 2014 des Journées Africana : Les Années 1980 : pour le Monde de
Demain, les Journées Africana proposent une série de projections-débats et un grand
rendez-vous musical autour de la thématique art et politique dans les années 1980.
Dans une perspective résolument transatlantique, quel regard porter sur les années
Reagan et Mitterrand face à la jeunesse et l’explosion du mouvement hip-hop ?
—
Débat animé par Maboula Soumahoro
Avec
Chuck D (MC de Public Enemy)
Djida Tazdaït (ancienne députée européenne et militante pour la défense des droits de
l’homme et des minorités)
Toumi Djaidja (initiateur de la marche de 1983)
Rokhaya Diallo (Réalisatrice, Documentaire « Les marches de la liberté », sortie 2013)
Samir Meghelli (Historien, Columbia University, spécialiste de la culture Hip Hop en
France et aux Etats-Unis)
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Cinéma / Tournage et montage
Théâtre / résidence de création
L’Œil de l’Afrique
Et John Lennon est mort
Auguste Kouemoe
Yasmine Modestine - Anne Jacqueline
Du 21 au 23 Mai
Pas d’ouverture publique
Du 29 mai au 5 juin
Pas d’ouverture publique
Claire Diao, journaliste, Mérimé Padja, fondateur de la webTV Sud Plateau TV,
Auguste Kouemo, réalisateur et lauréat de l’Etalon de Bronze du court-métrage du
Fespaco 2009 et Serge Noukoue, fondateur de la Nollywood Film Week de Paris ont
l’idée (que beaucoup ont déjà eue mais que personne n’a mise en œuvre) de réaliser
un pilote d’émission TV dédiée aux cinémas d’Afrique (52’).
« Comme nous sommes une bande d’afroptimistes, nous souhaitons mettre en place un
concept décalé pour changer le regard des spectateurs sur l’Afrique à savoir :
- une émission bilingue français sous-titrée anglais
- des invités qui vont parler de cinéma (parce qu’on manque d’espace d’expression)
- des images de films pour illustrer la thématique de chaque émission
- des interviews téléphoniques de critiques de cinéma basés en Afrique pour sortir de la
réflexion occidentale sur l’Afrique
- une bonne dose d’humour grâce à l’intervention d’un comédien français à double
culture qui a des racines africaines »
Théâtre / résidence de création
Cette fois / L’Impromptu d’Ohio
de Samuel Beckett / mise en scène de Vincent Lacoste
Du 25 au 28 Mai
Ouvertures publiques les 26, 27 et 28 Mai
Un diptyque centré sur de la thématique de la lecture et de l’écoute. Dans
Cette fois, un acteur seul en scène écoute le son de sa propre voix lui remémorer des
fragments de sa vie ; un poème lent et somptueux qui évoque le sentiment de finitude,
mais aussi la douceur et la beauté du souvenir. Dans l’Impromptu d’Ohio, des rôles
dédoublés, l’un écoutant l’autre lire un texte texte bouleversant. Un duo drôle et dérisoire, où Beckett se joue des distances, il réintroduit le «jeu».
—
Avec William Mingau-Darlin et Mathias Dou
Son de Christophe Sechet
Yasmine Modestine (comédienne, chanteuse, auteure) et Anne Jacqueline
(metteuse en scène, vidéaste) viennent à La Générale pour jeter les bases de leur
adaptation pour la scène du texte de Yasmine, Et John Lennon est mort.
Et John Lennon est mort est un roman autobiographique, écrit sous forme de
textes courts inspirés par des chansons. De musique en musique, se dessinent une
enfance et une adolescence où l’amitié est le contrepoint d’une famille violente. 34
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archives 2014
Musique / Concert
Concert spirituel à Leipzig
Beata MVsica
EN JUIN
— John Lennon est toujours mort et Medhi transgresse
encore, La Véraison est au travail, sur l’écran de
cinéma on projette le Brésil et Detroit, l’extérieur
s’immisce à l’intérieur et le singulier devient
multiple. Dans la halle la musique qui résonne est
baroque ou psychédélique et le téléphone sonne. Et
tandis qu’une généalogie se creuse sur la scène de la
boite noire quelques rhizomes trouveront peut être
des interstices fertiles où se nicher, mais où ? Mais
où ? Mais où alors ?
Le 15 Juin 2014
L’Ensemble Vocal est constitué d’une quinzaine de chanteurs sensibilisés à
l’interprétation baroque. Beata Musica explore des œuvres du répertoire italien du
XVIIe siècle (Monteverdi, Gabrielli, Cavalli, Carissimi), soutenu le plus souvent par
un continuo baroque (théorbe, viole de gambe, orgue ou clavecin). Cette prédilection
pour la musique italienne n’exclut nullement l’approche d’autres écoles.
Au programme de cette soirée des morceaux choisis de :
Johann-Sebastian Bach (1685-1750), Johann Christian Bach (1735-1782),
Andreas Hammerschmidt (1611- 1675), Johann Rosenmüller (1617-1684), Samuel Sheidt
(1587-1653), Hans Leo Hassler (1564-1612)...
Théâtre / Résidence de production
Compagnie La Véraison
Elsa Bosc & Yaël Elhadad
Du 25 mai au 9 juillet 2014
Pas d’ouverture publique
Elsa Bosc et Yaël Elhadad, artistes associées à La Générale, préparent la
tournée de Contractions de Mike Bartlett, une coproduction de la Véraison et La
Générale. Après la création du spectacle au Théâtre des Halles au festival d’Avignon
2013, puis la reprise au Théâtre Paris-Villette, Contractions sera en tournée dans le
cadre de la CCAS dans les mont d’Auvergne et l’Ardèche du 10 au 19 juillet ! Puis se
jouera au Festival des Jeux de Théâtre de Sarlat, le 28 juillet.
Parallèlement La Véraison prépare, dans le bureau 3 de La Générale, sa
prochaine création, et lance avec ses invités son laboratoire : ça cherche, ça lit, ça se
rencontre, ça brouillonne, ça rêve, ça désire, ça travaille...
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Théâtre / Résidence de création
Cinéma / Projection
La petite et la grande distribution
La bonne mère
d’Ismaël Jude
Un film de Jeanne Dosse
Du 10 au 22 Juin
Ouverture publique : leS 20 et 22 Juin
Le 23 juin
La petite et la grande distribution est la prochaine création du Labo LAPS.
Une première étape de travail est présentée les 20 (à 22h) et 22 juin 2014 ( à 19h) à
la Générale. Ce spectacle développe, avec des moyens théâtraux, certains thèmes de
Différence et répétition de Gilles Deleuze : fêlure transcendantale, répétition, distribution nomade.
Le texte d’Ismaël Jude se présente comme « un monologue pour deux voix ».
Une partie du texte est proférée en direct par l’actrice, Céline Pérot, tandis qu’une
bande-son diffuse le montage d’ambiances extérieures (rue, centre commercial) et de
voix-off qu’elle a enregistrés lors d’une phase de travail préparatoire. Ce frottement
sonore cherche à produire « une voix extérieure à l’intérieur » qui est une traduction
scénique de la fêlure, ce devenir logé au cœur de la subjectivité.
La bonne mère est la deuxième mère, la mère noire de l’enfant des patrons,
au Brésil et à Rio de Janeiro. Une relation d’amour pure et naïve unit l’enfant et la
nounou. Pourtant derrière cette relation se cache un système socioculturel, celui qui
régit la société brésilienne. La bonne mère raconte mon histoire de petite fille devenue adulte, avec Zelita, l’ancienne bonne de ma famille à Rio de Janeiro. —
Brésil/France, 2013, 40 min
Débat / Projection
—
Avec Céline Pérot
Théâtre / Résidence de création
Téléphone
de ARIANE REINES /
Mise en scène et traduction Hillary Keegin
Du 7 au 9 et du 16 au 20 Juin
Compagnie Walter & Josephine est une jeune compagnie internationale dédiée
à la création de textes étrangers en France. Elle attache une importance particulière
à la traduction, visant à créer des échanges de talent et de culture. Parmi ses traductions figurent les pièces américaines, [sic] de Melissa James Gibson, Telephone, d’Ariana Reines et A Bright Room Called Day de Tony Kushner.
Première pièce de théâtre de la poète américaine Ariana Reines, Téléphone est
inédite en France. Basée sur les écrits de la philosophe Avital Ronell, notamment son
œuvre : Telephone Book : Technologie, schizophrénie et langue électrique. La pièce examine
le conflit existentiel entre le désir de communiquer et l’impossibilité d’être compris. À
la fois texte hautement théâtral, et objet sonore, Téléphone nous invite dans un univers
où l’on voit avec les oreilles.
Avec Perrine Guffroy, Céline Perot, David Stanley, jean-Baptiste Verquin.
États modifiés de conscience
La Générale
Dimanche 29 et Lundi 30
La Générale propose un weekend d’ateliers, conférences, débats, projections
autour de l’infinie complexité des phénomènes neurologiques.
— Atelier : Présentation et expérimentations autour du projet In-Between /
Open-EEG de Pascale Gustin – Ursula Gastfall – Gérard Paresys (Visualisation et Sonification des ondes cérébrales).
— Projection de courts métrages : Décision en cascades de Muriel Ekovich,
Antoine De Ducla et Jean Marc Guillaume, Phi de Guillaume Dumas et Luc Halard,
Panexlab (Olivier Seror), Crossover (Olivier Seror) , Jour de Chasse (Juliette Bineau),
Les dépossédés (Nicolas Boone) et rencontre avec les réalisateurs.
— Table ronde et débat avec Guillaume Dumas, Sylvain Charron et Perrine
Ruby, Emmanuel Ferrand, Pascale Gustin et Olivier Seror.
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Théâtre / Diffusion
archives 2014
Nous sommes tous - une petite forme généalogique »
de et par Guillaume Rannou
le Vendredi 27 juin Après une résidence de création à la Générale,
« En 1986, j’ai 16 ans.
François Mitterrand est Président de la République depuis 5 ans.
Je suis un élève brillant.
Je joue au rugby, je suis le demi de mêlée de la sélection Atlantique cadets.
Je me suis extrait de la musique classique, je fais du rock’n’roll.
Le 6 décembre, je monte à Paris en tant que délégué à la coordination des
lycéens contre la réforme Devaquet. J’y connais mes premières lacrymos et peurs.
Sos Racisme existe depuis 2 ans.
Je porte un badge “Touche pas à mon pote”, que je suis allé acheter à Paris, à
Radio Aligre. J’ai acheté un carton entier, pour le diffuser à Angers.
“Première, deuxième, troisième génération, nous sommes tous des enfants
d’immigrés”
Elle vient d’où ma troisième génération à moi ?
Je ne connais guère ma famille. Je sais peu d’où je viens. L’Eure-et-Loir, la
Bretagne et l’Orne d’un côté, Orléans et un peu Valence dans la Drôme de l’autre…
Rien de très exotique, de très immigré… Rien d’Espagne, de Pologne, d’Algérie
ou de Moldavie.
POUR L’INSTANT !
Mais il y a un mystère, tout de même. Le mystère Joséphine.
La Bretagne.
J’y reviendrai.
Alors 1986 : je m’y mets.
Je me lance dans la généalogie. Pour savoir.
En 2011, 25 ans plus tard, les 1500 ancêtres que j’ai découverts sont tous
français.
Désespérément. »
Guillaume Rannou.
EN JUILLET /
AOÛT
— Cet été à la Générale le ciné-club a pris forme. Les
légumes s’épluchèrent et la soupe fut disco. Le 5
à 7 de Medhi sera servi en antipasti de la finale
mondiale. Les images de Gabriela adviendront.
L’hermaphrodite deviendra un homme, ou pas.
Une fonte libre et vernaculaire prendra forme. Les
balles rebondiront dans la fraicheur tranquille des
vins du mois surprenants. Un buffle grondera dans
une caravane. Certains construiront ici, l’Argument
et la Véraison tourneront ailleurs. L’humus amassé
se nourrira de soleil urbain et rêvera de terres
suspendues.
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Photographie / résidence
GABRIELA LUPU
Gabriela Lupu
du 5 au 31 juillet 2014
pas d’ouverture publique
La générale accueil le projet photographique et sociologique de Gabriella Lupu
sur la communauté Roms de Saint-Denis.
Le centre d’intérêt dans la photo de Gabriela Lupu c’est l’être humain. Elle
photographie l’homme au travers de ses activités quotidiennes dans son environnement et son espace de vie. Elle essaie d’attraper sur la pellicule les moments de
relâche, lorsque l’homme oublie pour quelques secondes son masque, et donne à voir
son intimité.
Après des études de sociologie, Gabriela Lupu étudie la photographie à l’Ecole
Populaire d’Art de Brasov, en Roumanie. En 2008, elle photographie le quartier et les
habitants du Petit Bard à Montpellier pour le livre Quoi qu’on en dise ; elle accompagne
visuellement les récits de vie recueillis par Marie d’Hombres. Livre publié par les
éditions Chevrefeuille étoilée.
Le Monde 2 et France Inter lui accordent le 2e prix du concours Et pourtant elle
tourne, pour une photo réalisée en Roumanie, représentant des gens dans les transports en commun, une photographie dramatique et picturale.
—
[email protected]
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Festival / Soirée de cloture
Workshop / Création typographique
FESTIVAL DES UTOPIES CONCRÈTES
VELVETYNE
Naturparif
VTF
Le 03 Juillet
du 25 au 27 Juillet
La soirée ponctuera le Festival de l’agriculture urbaine (et d’une manière
générale, la semaine consacrée à l’agriculture urbaine, entre les Estivales, les Ateliers
d’été et donc le festival lui-même, voir le programme ici : http://www.agricultureurbaine-idf.fr/) tout en ouvrant sur la Zone des Utopies Concrètes (ZUC) qui se déroulera les 27 et 28 septembre sur le Quai de Seine à Stalingrad.
La ZUC est organisée par le Festival des Utopies Concrètes et cette année, cet
évènement a un lien direct avec Alternatiba.
Cest donc une soirée de clôture et de passage de témoin.
La fonderie typographique libre Velvetyne (aka VTF) organise le dernier weekend de juillet à la Générale un marathon de co-création et de formation à la typographie libre. Cet événement, gratuit, se déroulera en deux temps, formation aux outils
de création typographique libres le vendredi soir et le marathon proprement dit les
deux jours suivants. Plusieurs membres de la fonderie participeront et créeront aux
même titre que n’importe quel participant.
Le vendredi 25 à partir de 19h, un temps de formation sera dédié à nommer les
outils permettant de créer des fontes typographiques avec un flux de travail entièrement libre. Les participants seront invités à venir avec leur ordinateur pour être aidés
à l’installation et initiés à ces outils.
S’en suivront deux jours de création typographique folle en continu. Après
avoir relevé des formes pertinentes dans le XIe arrondissement autour de la Générale,
les participants les prendront comme point de départ pour se réapproprier le
vernaculaire du quartier. L’adoption par tous les participants des mêmes outils libres
permettra une émulsion et une entraide mutuelle en continu. Les participants seront
encouragés à la co-création suivant différentes méthodes. Emporté par la fièvre
créative, le marathon pourra se poursuivre sans limite pendant la nuit du samedi au
dimanche pour les plus motivés. Le fruit de ces créations sera présenté au public le
dimanche soir lors d’un apéro-expo ouvert, mérité et salvateur.
Les fontes créées seront alors diffusées sous licence libre par la fonderie Velvetyne ainsi que la Générale. Partant des formes vernaculaires présentes dans la rue,
ce pack typographique aura pour vocation de vivre et d’être utilisé par les habitants,
associations et entreprises du quartier. Bien sûr, sa mise à disposition sur le site
internet de la fonderie lui donnera une résonance sans frontières.
—
http://www.natureparif.fr/
Théâtre / résidence de création
LA TêTE EN BAS
d’après le roman de Noëlle Chatelet /
mise en scène Vahram Zayran
Du 11 au 18 Juillet
Pas d’ouverture publique
Vahram Zayran est un mime contemporain. À la Générale, Vahram Zayram
travaille a l’adaptation du roman de Noëlle Chatelet.
Paul est hermaphrodite. Il existe, il aurait aujourd’hui soixante ans. À Noëlle
Châtelet, qui l’a rencontré autrefois, il s’est confié comme il ne l’avait jamais fait.
Inspiré par sa singulière aventure, Noëlle Châtelet lui consacre ce roman éblouissant de grâce. L’histoire vraie, la métamorphose de ce personnage né fille et devenu
garçon qui ne rêve que d’une seule et unique chose : s’incarner dans un seul sexe, être
un homme.
—
Compagnie Vahram Zaryan [email protected] 0033.6.65.66.44.68 www.
vahramzaryan.com
—
http://velvetyne.fr
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Théâtre / résidence de création
LE BUFFLE
Xavier Machaut / Roberto Negro / Pierre Dodet
Du 1er au 5 Août
Le Caravaning Club, c’est un tout petit club aménagé dans les dix mètres carrés
d’une caravane garée pour quelques jours à la Générale.
Dans le Caravaning Club, il y a un piano, un pianiste, un chanteur, un acteur,
seize places assises pour seize spectateurs et ça donne un BUFFLE ! 2014 est l’année
du BUFFLE ! N’en déplaise au calendrier chinois qui voulait nous refourguer du
poney, aux associations de défense des quadripèdes non-cornus et à tous ceux qui
préfèrent le caribou, 2014 est l’année du BUFFLE.
Après plusieurs mois d’une période d’essai transformé, le duo du chanteur
Xavier Machault et du pianiste Roberto Negro officialise son goût pour le triolisme et
son union avec le comédien Pierre Dodet.
Atelier construction
ROCK EN SEINE
Anne Delepoulle et Jeancharles Duboc
Du 11 au 31 Août
Anne Delepoulle et Jean Charles Duboc réalisent un décor pour le festival Rock
en seine.
—
http://www.rockenseine.com
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archives 2014
Théâtre / résidence de création
ha ! les crocros !
Compagnie sonnets
EN SEPTEMBRE
— Le collectif initie une grande session introspective,
peint des poutrelles en rouge, fait des choix, plannifie
des travaux, ne se cache plus.
Les crocros non plus.
Du 22 septembre au 11 octobre
ouvertures publiques du 8 au 11 octobre
La compagnie Sonnets propose une création pour jeunes publics (à partir de
6 ans). Musique, théâtre d’ombre, paroles et chants orchestrent ce conte au cours
duquel on voyage entre l’Afrique et l’Europe, entre réel et fiction.
Au bord du canal de l’Ourcq un soir de noël, une femme promène ses petits
chiens, et découvre un enfant africain qui se noie, poussé dans l’eau par sa petite
sœur qui veut voir s’il y a des crocodiles… C’est à partir de cet évènement que va se
dérouler le conte qui mêle imaginaire africain et réalité des banlieues, et s’inspire
librement du mythe d’Orphée.
—
D’après un conte de Rosine Trow Gueugniaud.
Adaptation Fred Fresson et Rosine Trow Gueugniaud.
Mise en scène Fred Fresson
Avec :
Yvette Caldas : Marie la narratrice
Antonin Fresson : le jeune musicien
Issa Dakuyo : le griot
Betty Busseman : la technicienne
Françoise Sors : marionnettes et ombres
Construction : Cedric Simoneau
Lumière : Robin Fresson, Gérard Caldas
Son : Olivier Gascoin, Diego Casariégo
Musique : Issa Dakuyo, Antonin Fresson
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archives 2014
Une Macédoine des Arts
Kreativen Vikend / Lazaropole
Mercredi 15 octobre
EN octoBRE
— Un lieu de création macédonien vient se faire
connaître, un bluesman australien fait de la musique
avec un sac de riz, un sosie famélique de Frank Zappa
est invité à l’occasion d’un lancement de revue.
Prévert, prends-ça dans la gueule.
«Kreativen Vikend / Lazaropole» est un collectif d’artistes et un lieu de création
indépendant dans la campagne de Macédoine. Tout se passe dans une maison traditionnelle en pierres sèches, perdue dans
les montagnes, qui héberge des résidences variées : photographie, poésie, land art et
art sonore…
Il s’agit de présenter ce projet et des travaux réalisés là-bas, et susciter des
envies, et d’envisager des possibilités de résidence dans ce village. Avec Jovan
Lambeski et plusieurs artistes y ayant travaillé. Avec aussi des surprises culinaires !
—
Avec la participation de Toni Dimitrov (Sound_00 / fear of music installation
sonore), Thop, Stephcut, Geste.
Musique / résidence de création sonore
Les anches libres
Ian-John Hutchinson
du 12 au 20 octobre
Pas d’ouverture publique
La Générale accueille l’artiste néo-zélandais Ian-John Hutchinson, pour une
résidence de travail (art sonore) et des actions dans la ville.
Il s’agira d’explorer quelques aspects acoustiques mais curieux des anches
libres (collaboration avec le chercheur Emmanuel Ferrand).
Ian-John est à la fois un virtuose de l’harmonica et un bluesman patenté, mais
aussi un créateur sonore et un performer aussi radical qu’inclassable.
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Revue / Performance
archives 2014
FRICTIONS n°23
avec Eric Da Silva
le 21 octobre
Suite au dossier consacré à la trajectoire d’Eric Da Silva dans le n°23, Frictions
propose une soirée autour d’une performance d’Eric da Silva, intitulée Je deviens Jimi
Hendrix, à La Générale.
Je deviens Jimi Hendrix est une expérience littéraire et multimédia.
Littéraire pour l’usage de la langue qui s’y déploie, celle d’Eric Da Silva,
lyrique, crue, organique, excessive, jubilatoire.
Et multimédia pour pousser loin les possibles de la simultanéité entre texte,
son, image, live et différé et l’interaction avec les spectateurs. Prodigalité. L’un et
l’autre, le littéraire et le multimédia cherchant à s’augmenter réciproquement.
La création Je deviens Jimi Hendrix – juillet 2012 s’inscrit dans la lignée d’une série
d’expériences théâtrales, frayant du côté de la performance et du numérique, et entamant un nouveau cycle de travail partagé entre Le Melkior Théâtre et Eric Da Silva en
collaboration avec Anis Gras.
—
Auteur : Eric Da Silva
Mise en scène : Éric Da Silva et Henri Devier
Avec : Éric Da Silva, Henri Devier, Frédéric Valet
Vidéos, dispositif multimédia et régie générale : Frédéric Valet et Alexis Pawlak,
avec les conseils de Loïc Lachaize et Dimitri Blin
Costumes : Louise Trévaux du Fraval
Chargée de production et diffusion : Hélène Caubel
Production : Le Melkior Théâtre / La gare mondiale
Coproduction : Office Artistique de la Région Aquitaine, Agence culturelle
départementale Dordogne-Périgord
Avec le soutien de la DRAC Aquitaine,la DRAC Ile-de-France, du Conseil régional d’Aquitaine, du Conseil général de la Dordogne, de la Ville de Bergerac
EN novembre
— Ce mois de novembre a déjà bien avancé, les oiseaux
ont joué sur la lande, nos amis argentins du Colectivo
de Buenos Aires se remettent doucement de leur jetlag... et Anne H. nous envoie des messages avec la
délicatesse d’un yankee au milieu d’un pique-nique
sudiste : La Générale est à vendre.
Demandez lui pourquoi, elle vous expliquera :
[email protected] 52
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Exposition / Concert
BLAXPLOITATION
/ WATERCOLOUR
Tata Monie / colectivo de buenos aires
Du 7 au 22 novembre
ouvertures publiques du 18 au 20 novembre
Inspiré par le cinéma de la Blaxploitation des années 70 qui, sur fond de
musique funk exaltait le look des gangsters, des proxénètes et le sexe torride, le
travail de Tata Monie confronte l’univers sombre et hyper stylisé de ces films de série
B à la transparente luminosité de l’aquarelle, d’habitude plus réservée aux rêveries
champêtres et au paysage de bord de mer.
Meet Argentinian artist Tata Monie. The fine artist who originally trained in
advertising and graphic design, is heavily inspired by the Blaxploitation film era
and captures the iconic films of this era using just watercolor techniques, as though
capturing movie stills with a camera. In his own words, what draws the artist to this
era is ‘The Funk, Gangsters, and gender’.
—
Vernissage le mardi 18 novembre : Concert du TRIO ESQUINA
Le 20, Concert / carte blanche à PINO ENRIQUEZ
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Théâtre / Diffusion
Théâtre/ Résidence de création
SUR LA LANDE
COUP DE FOUDRE
MISE EN SCèNE ROZENN BIARDEAU
MISE EN SCèNE, DRAMATURGIE LAURELINE COLLAVIZZA
du 1 er au 16 novembre
ouvertures publiques du 5 au 15 novembre
Du 25 au 30 Novembre
Pas d’ouverture publique
Sur la lande est un spectacle pour le jeune public à partir de 7 ans. Rozenn
Biardeau y mêle le théâtre, la marionnette et la musique contemporaine improvisée.
Cie Brouha Art s’installe dans la boite noire pour finaliser sa dernière création
avant d’aller jouer au Théâtre de Belleville.
En Islande, terre riche de trolls, fées et esprits de la nature, une petite fille
rêve de posséder un cheval pour galoper sur la lande. Pour l’aider, son grand-père lui
apprend une formule magique. Si on la susurre à un cheval sauvage, il vous appartient immédiatement. Alors qu’elle tente d’utiliser sa formule, Ingolfelle rencontre sur
la lande une vieille grand-mère mal aimable. La vieille lui propose de l’aider à réaliser
son rêve. En échange, l’enfant devra s’occuper d’elle. L’initiation commence...
Coup de foudre met en scène huit interprètes : deux danseurs, trois comédiens et trois musiciens. La pièce est une écriture de plateau qui s’inspire de textes
sociologiques, ethno-psychologiques et philosophiques sur la passion amoureuse. —
Avec Carole Visconti, Thierry Desvignes, Rozenn Biardeau et les musiciens
Guillaume Aknine, Quentin Biardeau, Gabriel Lemaire et Florian Satche.
Création lumière de Guillaume Parra.
Avec le soutien de la Ville de Paris et la Spedidam
—
Mise en scène, DRAMATURGIE Laureline Collavizza
Danse, choregraphie Johanna Levy, Patrick Entat
Avec Julie Fonroget et Cyrille Labbé
Musique, AMBIANCE SONORE Julien Mélique, Stéphane Guirriec, Charles Guénot
Regard sociologique Jérôme Gaillaguet
Costumes Lika Guillemot
Assistante costumes Chloé Courcelle
Lumieres Frédéric Moreau
Librement inspire de Philtre d’Amour, Tobie Nathan, La femme seule et le
Prince charmant, Jean-Claude Kaufmann, Le banquet, Platon, Je t’aime à la
philo, Olivia Gazalé
Production Brouha Art
Partenariats La Générale, Réseau des Arts Vivants d’ Ile de France, Centre
National de la Danse
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archives 2014
dédicace, ateliers de sérigraphie , exposition
Lancement de la revue Flûtiste #6 :
Nouveau Continent
EN décemBRE
— On accueille le lancement de revues multiples et
pas pipeau, on vous dévoile notre programmation
pour l’an de grâce 2015, Medhi établit un protocole
démocratique discussif.
Bref, comme l’année dernière à la même période,
on prend de l’élan.
collectif
ouvertures publiques les 13 et 14 décembre
Flûtiste est une revue collaborative de bande dessinée et illustration.
Le numéro 6 est sous presse, avec plus de 30 dessinateurs et illustrateurs de la
nouvelle garde.
Autant de récits, et à la clé un grand lancement en nos murs, agrémenté de
séances de dédicaces, ateliers de sérigraphie ouvert à tous, exposition d’objets liés au
thème du fanzine et des planches originales, gaufres et chocolats, projection de de
mini courts métrages d’animation et autres réjouissances.
—
Avec la présence de
Souviens Ten-Zan (http://souvienstenzan.tumblr.com/)
et The Hoochie Coochie (http://thehoochiecoochie.com/)
La scénographie est réalisée par le collectif OYO (http://o-y-o.fr/)
soirée Débat / Concert
Lancement de la revue Multitudes #56 :
Arts & Multitudes
collectif
ouverture publique le 15 décembre
Multitudes, revue politique, artistique et philosophique trimestrielle conçue et
réalisée par l’association Multitudes en coédition avec Inculte.
Présentation du n°56: Le Brésil post-Lula, La rubrique Icônes
Débat : Artistes et théoriciens, quel commun ?
Concert de MOHD (www.themohd.com)
—
Avec
Les dessinateurs Ruppert et Mulot http://www.succursale.org/
Philippe Bazin, photographe http://www.philippebazin.fr/
Florence Lazar, photographe, documentariste http://www.florencelazar.fr
Clarisse Hahn, artiste http://www.clarissehahn.com/
le collectif Échelle inconnue http://www.echelleinconnue.net/
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archives 2014
CMMN SNS PRJCT
Dégustation d’un Maury* du domaine Arrivé.
LE 20 DU MOIS
— Le 20 du mois est un rendez-vous hebdomadaire…
Un rituel.
CMMN SNS PRJCT** pour la première fois en français avec Jean Vercken et
Nikola Krminac.
Nourriture proposée par Ivanne et Sidonie selon un protocole d’échange qui
vous sera expliqué in situ.
*Vin crée en 1285 par Arnau De Villanova qui découvre le mariage de la liqueur de raisin et
de son eau vie (le mutage)en mariant l’esprit et la matière (soit l’eau de vie avec le vin) on
obtient un arrêt de fermentation et une neutralisation des levures.
Cépages: grenache noir, gris et blanc et macabeu. Accord parfait avec les pâtes persillées
et la flaveur cacaoté.
**common sens project
Tom Johnson et l’ensemble Dedalus.
Et des propositions artistiques (installation vidéo, performance) de :
Marina Goussina, Meital Covo, Eleanor Hahn, Vu Nhat Tan.
Plusieurs pistes pour une exploration de la musicalité des langues étrangères.
Tom Johnson est un compositeur d’origine américaine maintenant parisien,
bien connu pour, enre autres choses, ses travaux à l’interface des mathématiques et
de la musique. Nous aurons la chance de l’accueillir avec l’ensemble Dedalus pour
un projet vocal en cours, “Counting to seven”, basé sur les manières de compter dans
différentes langues et cultures de tous les continents.
Nous aurons aussi la visite de Vu Nhat Tan, compositeur venant d’un pays, le
Vietnam, qui est un patchwork culturel où les langues pratiquées se comptent pas
dizaines. Meital Covo collectionne quand à elle les enregistrements de somniloques, en différentes langues, donc. Marina Goussina nous proposera d’entendre de
nouveau la voix du Zaoum, dans le contexte des troubles en Ukraine. Eleanor Hahn
nous donnera quelques éléments d’un work in progress impliquant le parcours d’immigration de sa famille, entre Asie, USA et France.
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Marc Perrone. Jean-françois Aurenty.
concert Trio di Bassetto
Un vin du mois diatonique à l’occasion de la sortie du documentaire de JeanFrançois Aurenty sur Marc Perrone, l’occasion de suivre de nouveau la trajectoire de
ce proche voisin.
Inauguration du programme 2015
Le voyageur des contes diatoniques.
Film documentaire. Un film de Jean-François Aurenty.
2013 - France - 52 minutes -
Un film documentaire sur Marc Perrone, accordéoniste diatonique de renom.
Poète engagé, artiste de proximité, en concerts, ou transmettant son art et ses paroles
dans des ateliers ou des écoles, il nous (ra)conte son enfance banlieusarde, ses origines italiennes, sa découverte de l’accordéon... Ses amis musiciens (Marie-Odile Chantran, Bernard Lubat, André Minvielle, Paco el Lobo…) témoignent, dessinant ainsi le
portrait d’une “anti-star”.
Labo Laps et La Cie Walter & Josephine
Ping-pong, Dégustation du Vin du mois, menu téléphonique d’Ivanne et
Sidonie et Présentation d’étape de travail du Labo Laps et de la compagnie Walter&
Josephine en résidence à La Générale en Juin.
À 20h Téléphone.
À 22h La petite et la grande distribution.
Los pistoleros del infinito
Dégustation cosmobiologique de jus de raisin fermenté.
Los pistoleros del infinito
Brainstorm sound extravaganza sur l’œuvre de Andrealphus « Clickgun » Shoutasky The
Actual Rule of Reel
– Intelligence letal hold-up
– Do what we say and nobody get hurt
– Absolute enigma in the writing
– Hearth’s hard groove emancipators
Pino Enriquez
Concert carte Blanche à Pino Enriquez, improvisation sonore et visuel sans
nous briser les yeux ni les oreilles
Le Trio di Bassetto: ce sont trois musiciens classiques aguerris (Jean Louis
Gauch, Jean-Claude Veilhan et Éric Lorho) qui joueront du Hayden et du Mozart à
la table de verre (partie 1) et du cor de basset, instrument baroque disparu (partie
2), ( durée: env 1h) Par ses recherches, notamment dans les bibliothèques d’Europe
centrale, le Trio di Bassetto a exploré le répertoire du cor de basset à cette époque,
découvrant des œuvres encore jamais jouées et enregistrées. Parallèlement aux clarinettes et cors de basset du XVIII° siècle, le Trio di Bassetto redonne vie au jeu des
verres musicaux dont les sonorités magiques avaient enthousiasmé Mozart. Sur une
table de verres reconstituée par Jean-Louis Gauch, le trio interprète des compositions
de Mozart, J. Haydn, J. Naumann, P. Schulz et V. Tomasek, également enregistrées.
L’interprétation est excellente, vivante, malicieuse, poignante dans les Adagios. La
sonorité des instruments superbe. (Diapason)
le corps collectif
Partition ouverte
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JANVIER
#2. Ironie.
FEVRIER
MEHDI de 5 à 7.
— Mehdi de 5 à 7 » est un séminaire en forme
d’abécédaire où l’auteur entreprend de présenter
le cœur battant de sa pensée. L’argument ? Si la
première tâche qui nous incombe est de défaire
le nihilisme qui plombe l’Occident, alors il nous
faut à cette fin en saisir les raisons métaphysiques
: l’incapacité de la philosophie, de Platon jusqu’à
Nietzsche, à penser véritablement le Mal.
#3. Mimésis.
MARS
#4. Appropriation 1
AVRIL
#5. Appropriation 2
MAI
#6.TRANSGRESSION 1
JUIN
#7.TRANSGRESSION 2
SEPTEMBRE
#8 « Être et sexuation »
Invité exceptionnel: Nicolas Nelly
OCTOBRE
#9 Être et sexuation 2
DECEMBRE
#10 : Par delà
question et réponse ( Protocole démocratique)
Mehdi Belhaj Kacem
Présentation : Philippe Nassif.
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29 septembre :
LES HABITANTS
de Alex van Warmerdam
CINÉCLUB
— La séance de Ciné-club se tient le dernier lundi
de chaque mois. Chaque séance est composée
d’un court métrage proposé par la Générale et
d’un long métrage programmé par les membres
du ciné-club. Ce film est présenté par la personne
ayant fait la proposition. Le dernier temps de la
soirée est consacré à une réflexion portant sur la
programmation de la prochaine séance. Le choix du
film se fait sous forme de cadrave exquis, le film vu
lors de la séance appelle, donne envie de voir le film
suivant.
Un buffet participatif accompagne la soirée afin de
favoriser les échanges et la convivialité.
27 octobre :
Walkabout
de Nicolas Roeg
24 novembre :
Léger tremblement du paysage
de Philippe Fernández
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Réunions du
collectif des
sans papiers
— Depuis plusieurs années, les lois sur l’immigration
se succèdent très rapidement pour permettre un
nombre toujours plus grand d’expulsions. En
l’absence d’un mouvement fort pour la liberté de
circulation et d’installation, il reste la possibilité de
se défendre, le plus collectivement possible, pour
tenter d’empêcher les expulsions.
Chaque fois que cela sera
nécessaire, je nous inviterai
à sortir de nos schémas,
de nos habitudes et de nos préjugés
pour permettre à Paris
de s’engager dans les nouveaux
espaces culturels régis
par l’ouverture et le partage.
— Anne hidalgo
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LES
PERMANENTS
— Kim lert
L’argument
régit.
met en scène.
céline pérot
la veraison
administre.
met en scène.
La société
les oiseaux mals habillés
fait du graphisme.
met en scène.
Les sans-papiers
du 19ème se réunissent.
L’équipe du shiatsu distille du bien-être tous les mardi.
Le collectif ensemble
agit, pense et scie.
IVANNE ET SIDONIE
concocte et cuisine.
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Théâtre
Contractions
HORS
LES MURS
— de Mike Bartlett mise en scène d’Elsa Bosc et Yael Eladad
Théâtre des Halles à Avignon Théâtre Paris-Villette
Tournée CCAS « Doing strange things with electricity ».
Dorkbot Paris
Reprise à Parsons Paris
Lecture sonore et illustrée.
ALICE
Paule et Paule
Espace Culturel An Dour Meur de Plestin
MPT Gérard Philipe de Villejuif
arts
Neuroswitch
Emmanuel ferrand
Daejeon Museum of Art, Corée du Sud
cinéma
Fidelio
lucie borleteau
Locarno 2014
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cinéma
mes souliers rouges
sara rastegar
Prix special du Jury Festival international du film de Dubaï
Festival international du film de la Rochelle
Festival international d’Edimbourg
DOXA Vancouver
Riviera Maya Film Festival
cinéma
Loups solitaires en mode passif
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théatre
nicolas kerszenbaum
nicolas kerszenbaum
Lauréat 2015 de la Villa Médicis
théâtre
téléphone
de ARIANE REINES /
Mise en scène et traduction Hillary Keegin
Lauréat 2015 du concours Premières Lignes (région Centre)
johanna grudzinska
Arte
mathématiques
cedric villani
théâtre
marguerite et moi
fatima soualhia-manet
Théâtre de Belleville
La maison des Métallos
théâtre
théâtre
Trilogie mayenburg
l’argument
Tournée CCAS
TQI IVRY
Théâtre de la Villette
revue
cacao europa
Tate Modern, Palais de Tokyo, OFR…
pauvreté, richesse, hommes et bêtes
de Hans Henny Jahnn / mise en scène Pascal Kirsh
Théâtre de l’Échangeur
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ILS/ELLES
ont
travaillé
à la
générale
—
ILS/ELLES
soutiennent son
projet
Corinne Rufet, présidente
de la Commission Culture
du Conseil Régional d’Ilede-France
La Barbe, association
féministe
Jérôme Prieur, écrivain et
cinéaste
Pascale Ferran, réalisatrice
Bertrand Bonello, réalisateur
RESF PARIS, réseau d’éducation sans frontière
José Bové, Député européen
Matthieu Potte-Bonneville,
philosophe, président de
l’Assemblée Collégiale du
Collège International de
Philosophie
Jasmine Trinca, comédienne
André Markowicz, traducteur,
poète
Chuck D, musicien
Laurent Stocker, comédien
Daniel Cohn-Bendit, député
européen, co-président du
groupe des Verts/ALE au
Parlement européen.
Éric Pfifferling, vigneron
engagé
Gérard Mordillat, écrivain et
cinéaste
Julie Gayet, comédienne
Florence Viala, comédienne
Éric Ruf, comédien
Me Richard Sédillot, avocat,
vice-président de la commission Droits de l’Homme du
Conseil national des Barreaux
Jean-François Sivadier,
metteur-en-scène
Nicolas Philibert, réalisateur
La revue nécessaire
Arlette Namiand, auteure
Jean-Paul Wenzel, auteur,
metteur-en-scène
Emmanuelle Cosse, vice-présidente du Conseil Régional
d’Ile-de-France
Cédric Kahn, cinéaste
Pierre Zaoui, philosophe,
membre du comité de rédaction de la revue Vacarme
Charlotte Clamens, comédienne
Philippe Even, médecin, président de l’Institut Necker
Invader, artiste de rue
Laurent Olivier, archéologue,
conservateur du département
des Ages du fer, musée
d’archéologie nationale de
Saint-Germain-en-Laye
Yves Beaunesne, directeur
du Centre Dramatique de
Poitou-Charentes
Antonella Corsani, enseignante-chercheuse, Université
Paris-I
Jean Paul Civeyrac, réalisateur, scénariste
Nadia Vonder Heyden, comédienne, metteur en scène
Gilles Sandoz, producteur de
cinéma
Laurent Laffargue, metteuren-scène
Jean-Claude Frissung,
comédien
Thierry Bosc, comédien
Christian Benedetti, metteuren-scène, directeur du Studio
théâtre d’Alfortville
Emilie Habart, astro-physicienne
Harold Manning, auteur et
traducteur
Nathalie Pousset, directrice
adjointe TGP Saint Denis
François Rancillac, directeur
du Théâtre de L’aquarium
Céline Sallette, comédienne
le Collectif DRAO, Cie de
Théâtre
Blanche Gardin, comédienne
Pierre Léon, réalisateur,
critique
Andres Jarach, réalisateur
Florence Bresson, monteuse
Charlotte Moatti, illustratrice
– présidente de l’association
L’Articho
Jean-Baptiste Labrune, lab
director, Alcatel-Lucent
Bell labs
Jean-Yves Ruf, metteur en
scène, comédien
Johnny Lebigot, co-directeur
Theatre L’Echangeur
Audrey Bartis, sémiologue
Gérard Watkins, auteur acteur
metteur en scène
Julien Dorra, designer
Veronique Timsit, assistante à
la mise en scène au théâtre,
Damien Bourniquel, artiste
vidéaste
Marguerite Lantz, costumière
Richard Malbequi, producteur de cinéma
Laurent Di Biase, professeur
d’art
Adrienne Ressayre, chercheuse en génétique
Emmanuelle Grangé, comédienne
Guillaume Dumas, chercheur
en neurosciences
Cathy Heyden, saxophoniste
David Fenech, compositieur
Dominique Peysson, plasticienne
Eric Houzet, agrégé d’histoire
Lee Dae-il, plasticien
Ghyslaine Schueller, directrice administrative Théâtre
71 Malakoff
Adèle Haenel, comédienne,
membre du GPPC
Mona Bougrine, médecin
Laurent Lacotte, comédien
Anne Monfort, metteur en
scène, traductrice
Alice Leroy, l’AMAP 11eme
Jean-Pierre Baro, metteur en
scène, comédien
Les Chiens de Navarre, Cie
de théâtre
Joachim Salinger, comédien.
Antonia Bozzi, communication
Philippe Calvario, comedien-metteur en scène
Caroline Breton, comédienne
Vincent Dissez, Comédien
Grétel Delattre, comédienne
Philippe Ulysse, metteur en
scène
Inna Solodkova, productrice
cinéma/théâtre
Lucie Borleteau, réalisatrice
Martin Drouot, réalisateur
79
Céline Bozon, directrice de la
photographie
Esther Garrel, comédienne
Agnès Feuvre, réalisatrice
Thissa d’Avila Bensalah,
comédienne, metteuse en
scène
Natacha Kantor, 1ère assistante réalisateur
Serge Bozon, réalisateur,
critique
Adila Bennedjaï Zou,
scénariste
Nadeige Trébal, scénariste
Thierry de Perreti, comédien,
metteur en scène
Judith Lou Levy, productrice
de cinéma
Manuel Vallade, comédien
Laetitia Spigarelli, comédienne
Thomas Blanchard, comédien
Catherine Cosme, scénographe
Nicolas Kerszenbaum, metteur en scène
Youness Ansane, dramaturge
Aurélie Verillon, comédienne
Jean-Marc Popower, professeur conservatoire du X°
Catherine Briault, opératrice
/directrice de la photographie
Remi Bénichou, réalisateur
Marie Weinberger, réalisatrice
Thomas Matalou, comédien
Ava Hervier, comédienne,
chanteuse
Stéphane Facco, comédien
Mylène Bonnet, Comédienne,
metteure en scène
Xavier Clion, comédien
Julie Recoing, comédienne
Michel Cochet, metteur en
scène, auteur
Laura Koeffler, directrice de
plateau
David Gery, metteur en scène
Gaëlle Héraut, comédienne,
metteur en scène
Lee Chong-hee, compositrice
Lambert Dousson, philosophe
Julien Dorra, designer
Joelle Bitton, chercheuse
Jocelyne Quélo, programmatrice culture multimédia
Luna Yoon Kyung, consultante gastronomique
Jérome Dauphin, illustrateur
perspectiviste
Carole Orso-Manzonetta,
enseignante
Florence Pelissier-Bruno,
enseignante
Vincent Furic, comédien
Denis Hatt, constructeur
Sandrine Hatt, marionnettiste
La fabrique de Pandore,
costumes et décors
Lucie Mazalaigue, rédactrice
Françoise Gombert, proviseur-adjoint Lycée Louis Le
Grand
James Joint, comédien,
réalisateur
Perrine Mornay, metteure
en scène
Céline Saby, artisan
Julien Daillère, auteur et
comédien
Mehdi Ben Attia, réalisateur
Jean-Luc Moisson, Comédien, intervenant artistique et
metteur en scène
Delphine Aubert, musicienne,
plasticienne
Frédéric Bonnefont, plasticien, éditeur
Ruth Uscalovsky, comédienne
Guillaume Bracq, réalisteur
Sophie Ferkatadji, administratrice, chargée de diffusion
Isabelle Antoine, comédienne, intervenante artistique
Maxence Tual, comédien
Hayat Adouche, enseignante
Marie Aude Hemmerle,
chargée de cours en Arts du
spectacle à l’Université de
Strasbourg.
Lorence Curet, traductrice
Sébastien Fauveau, designer
et développeur web libéral
Lili Hinstin, programmatrice
cinéma
Christophe Orcand, directeur
photo
Viviana Moin, danseuse
Karen Fichelson, comédienne
Judith Humery, usagère
Ivanne Barberis, infirmière
Joana Rebelo, étudiante
Lydia Boukhirane, artiste
chorégraphique
Walabix, formation de jazz
Karen Cerutti, monteuse
Marie Famulicki, monteuse
Elisa Bourreau, comédienne
Serge Biavan, comédien
Zana ZanatNova, peintre,
graveuse
Joanna Grudzinska, réalisatrice
Anne Elodie Sorlin, comédienne
Christophe Danvin, monteur
son
Clément Comet, assistant
réalisateur
Xetj fanadeep, plaxticiens,
metteurs en scène
Clémence Barbier, comédienne
Cécile Kiffer, comédienne
Reine Meneval, professeur de
lettres et de théâtre
Vincent Furic, comédien
Sinan Bertrand, comédien –
chanteur
Souad Bent-Abbes, spectatrice régulière
Bruno Cochet, administrateur
Bruno Salvadori, auteur-réalisateur
Morgane Buissière, comédienne au sein de la Société des
écrans, et de l’Atelier-scène
1+1=3
Philippe Beaulande, comédien-metteur en scène
Catherine Goffin, comédienne et metteur en scène
Nadia Xerri-L, auteure et
metteure en scène
Elsa Joly, auteure
Damien Paisant, comédien
Caroline Del Castillo, comédienne, animatrice
Chloé Dabert, comédienne,
metteure en scène
Pauline Moulène, comédienne
Anne Sarah Zaïdi
Carole Visconti, conteuse
Danielle Barthelemy, enseignante
Blandine Vieillot, scénographe
Yan Allegret
Benoit Guibert acteur, auteur
dramatique, metteur en scène
Rosa Yemen, poète après-heure, auteur
Théâtre-Paradis, compagnie
Julia Picquet, comédienne
Simon-Pierre Ramon,
comédien
Martine Vandeville, comédienne
Guillaume Riant, comédien
Marie do Fréval, auteure,
metteure en scène et comédienne
Sylvie Vi, animatrice
socio-culturel, auteur, comédienne, metteure en scène
Odile Lafond, administratrice
Gerard Gille, conteur, comédien, responsable artistique
de compagnie
Emmanuel Noblet, comédien
Gwenaëlle David, comédienne
Asso euphonie-prod, aide
à la diffusion des cultures
émergentes : Festival Culture
en herbe Nice
Marie Quinot-Joly, professeure des écoles
Anne Marais-Gervais, comédienne amateur)
Christophe Bouquerel, ensei-
gnant et écrivain
Lorence Bermond, metteur
en scène
Isabelle Chasseriault, designer volume
Pauline Higgins, sage-femme
Ludovic Pouzerate, auteur
metteur en scène
Piette Caroline, comédienne
Et aussi : Timothée Combes,
Lila Meynard, Marie Baker
Mabak, Laurène Moraglia,
Nicolas Le Curieux, Gaëtan
Heimann-Dufour, Philippe
Accarias, Warren Viviani,
Roxane Lebrun, Victor
Veyron, Esther Ferragne,
Nathalie Clouet, Sophie
Hutin, Simon David, Sabrina
Tulon, Paola Sun, Marion
Sourd, Odile Simon, Benoit
Salvi, Marion Koen, Jonathan
Kavanagh, Valérie Rouzeau,
Raphaël Merllié, Antoine
Dubus, Geoffrey Dahm, Prune
Sendin, Delphine Prince,
Xavier Rabay, Clavurier
Vincent, Gersende Michel,
Frédérique Barré, Chatelet
Caroline, Jana Klein, Julien
Avril, Kimiko Kitamura, May
Abdelhadi, Guillaume Morandeau, André Antebi, Régine
NKEY-OBAUYALA, De la
Genardière Claude, Guiguer
Lotte, Verra Kera, Ivanne et
Sidonie, Karine Chagnon,
Sidonie Durel, Beatriz Ciliberto, julie Guittard, Lau Jury,
Chantal Malambri, Timothée
Combes, Lila Meynard,
Marie Baker Mabak, Moraglia
Laurène, Le Curieux Nicolas,
Gaëtan Heimann-Dufour,
philippe Accarias, Warren
Viviani, Lebrun Roxane, Victor Veyron, Esther Ferragne,
Clouet Nathalie, Sophie
Hutin, Simon David, Sabrina
Tulon, Paola Sun, Marion
Sourd, Odile Simon, Benoit
Salvi, Marion Koen, Kavanagh
Jonathan, Valérie Rouzeau,
Raphaël Merllié
merci
de votre
attention
… et vous ?
la générale
14, avenue Parmentier
75011 Paris