Gastropod evidence against the Early Triassic Lilliput effect
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Gastropod evidence against the Early Triassic Lilliput effect
Gastropod evidence against the Early Triassic Lilliput effect Arnaud Brayard, Alexander Nützel, Daniel A. Stephen, Kevin G. Bylund, Jim Jenks and Hugo Bucher Geology, 38 (2), February 2010: 147‐150. www.cnrs.fr COMMUNIQUÉ DE PRESSE NATIONAL I PARIS I 10 FÉVRIER 2010 Grandes crises d’extinction : des fossiles « géants » révolutionnent les connaissances actuelles Des gastéropodes (1) de grande taille (jusqu’à 7cm) datant seulement de 1 million d’années après la plus grande crise d’extinction de tous les temps, la crise permo-triassique (2), ont été découverts par un chercheur du laboratoire Biogéosciences (CNRS/Université de Bourgogne) en collaboration avec des collègues allemands, américains et suisses. Ces spécimens remettent en cause l’existence d’un effet « Lilliput » entraînant une diminution de la taille de ces organismes pendant plusieurs millions d’années après la crise. Ces résultats, publiés dans le numéro de février 2010 de la revue Geology, bouleversent les conceptions des paléontologues sur la dynamique évolutive et le fonctionnement de la biosphère après une crise d’extinction de masse. L’histoire de la vie sur Terre est ponctuée de nombreuses crises d’extinctions, brèves périodes de forte diminution de la biodiversité, suivies de phases de reconquêtes de la biosphère, correspondant à la diversification des espèces qui ont survécu. Au cours des 540 derniers millions d’années, une vingtaine de crises plus ou moins intenses se sont ainsi succédées. La plus dévastatrice d'entre elles s’est déroulée il y a 252,6 millions d’années avec une violence encore aujourd’hui inégalée : la crise permo-triassique qui décima plus de 90% des espèces marines alors existantes. Suite à une telle crise, les conditions environnementales sont sévèrement perturbées : baisse de l’oxygénation des océans, empoisonnement des eaux, compétition accrue, effondrement des chaînes alimentaires, etc. Jusqu’à présent, il était admis qu’en réponse à ces perturbations, certains organismes marins tels que les gastéropodes ou les bivalves étaient atteints par une réduction drastique de leur taille, pendant et après la crise. Il fallait ensuite attendre plusieurs millions d’années pour que ces organismes recouvrent des tailles comparables à celles d’avant la crise. C’est ce que les scientifiques appellent l’ «effet Lilliput » en référence au fabuleux voyage de Gulliver (3) qui s’échoua sur l’île de Lilliput où tous les individus, les Lilliputiens, étaient de petite taille. Une équipe internationale de paléontologues français, allemands, américains et suisses vient de découvrir des fossiles de gastéropodes de grande taille datés seulement de 1 million d’années après la crise permotriassique. Ces chercheurs se consacrent depuis plusieurs années à l’étude de la reconquête qui suit l’extinction de masse permo-triasique. En concentrant leurs efforts sur des affleurements de l’Utah datés du début du Trias inférieur mais encore non-étudiés en détail, ils ont mis à jour des spécimens de gastéropodes exceptionnels, jusqu’à 7 cm, que l’on peut qualifier de « géants » en comparaison de ceux généralement retrouvés possédant une taille inférieur à 1cm. L’étude complémentaire de ces nouvelles faunes de gastéropodes indique aussi qu’elles ne sont pas plus petites que des faunes plus âgées ou que les faunes actuelles. www.cnrs.fr Cette découverte réfute donc l’existence d’un effet Lilliput chez les gastéropodes pendant la majeure partie du Trias inférieur, ou du moins indique que son importance a été surestimée. De façon surprenante, la présence de ces gastéropodes de grande taille coïncide aussi avec une reconquête explosive du domaine océanique par certains organismes comme les ammonites (4, 5). Ces différents événements suggèrent ainsi que la restructuration des écosystèmes marins était déjà bien engagée seulement un million d’années après la crise, ce qui est extrêmement rapide après une crise d’une telle ampleur. Les scientifiques vont poursuivre l’étude des fossiles découverts dans ce gisement de l’Utah à la recherche d’autres espèces, comme les bivalves, pour vérifier ces nouvelles données. Mais ces travaux permettent déjà de penser que les paléontologues vont devoir réviser leurs estimations concernant l’impact immédiat et à long terme des crises d’extinction sur les espèces. Affleurement fossilifère de l’Utah où ont été découverts les gastéropodes de grande taille datés du Trias inférieur. On peut aussi y reconnaître des ammonoïdes et des bivalves. © A. Brayard Cette image est disponible à la photothèque du CNRS, [email protected] Gastéropodes de grande taille retrouvés dans des sédiments marins de l’Utah datés de seulement ~1 million d’années après l’extinction de masse Permien-Trias. La barre d’échelle représente 1cm. © A. Brayard/J. Thomas Cette image est disponible à la photothèque du CNRS, [email protected] www.cnrs.fr (1) Les gastéropodes concernés par cette étude sont des mollusques vivants sur les fonds marins apparentés par exemple aux escargots terrestres actuels. (2) La crise permo-triassique, du nom des deux périodes géologiques qui l’encadrent, le Permien (299 – 252,6 M.a.) et le Trias (252,6 – 201,6 M.a.), est la plus grande extinction de masse jamais documentée. Elle marque la fin de l’ère Primaire, ou Paléozoïque, et le début de l’ère Secondaire, ou Mésozoïque. (3) Les Voyages de Gulliver écrit par J. Swift au 18ème siècle. (4) Les ammonoïdes sont des mollusques céphalopodes nageurs apparentés aux nautiles, seiches et calmars actuels. Munies d’une coquille externe, elles disparaissent des océans du globe en même temps que les dinosaures, il y a 65 millions d’années, après avoir été un élément majeur des faunes marines durant près de 400 millions d’années. (5) Voir en complément Brayard et al. 2009. Science 235 : 1118-1121 et le communiqué de presse associé : http://www2.cnrs.fr/presse/communique/1657.htm Bibliographie Brayard A., Nützel A., Stephen D.A., Bylund K.G., Jenks J. and Bucher H. 2010. Gastropod evidence against the Early Triassic Lilliput effect. Geology, 38 (2): 147-150. Contacts Chercheur CNRS l Arnaud Brayard l T 03 80 39 63 52 l [email protected] Presse CNRS l Muriel Ilous l T 01 44 96 43 09 l [email protected] CNRS - Institut écologie et environnement 1 sur 2 http://www.cnrs.fr/inee/ Présentation de l'institut Les actions de l'institut Laboratoires de l'institut Informations pratiques aux laboratoires Relations internationales et Europe Carrières et emplois Espace communication La lettre de l'INEE Partenaires Rechercher sur ce site Actualités scientifiques Communiqués de presse 9 FEVRIER 2010 Grandes crises d'extinction : des fossiles « géants » révolutionnent les connaissances actuelles Des gastéropodes (1) de grande taille (jusqu'à 7 cm) datant seulement de 1 million d'années après la plus grande crise d'extinction de tous les (...) 9 février 2010 Les aires marines protégées : une solution à la sauvegarde du manchot Des chercheurs du centre d'écologie fonctionnelle et évolutive (CNRS/Universités Montpellier 1,2,3/Montpellier SupAgro/CIRAD/EPHE) et de l'Université (...) 9 février 2010 Création de l'Alliance pour l'Environnement « AllEnvi » "Alimentation, Eau, Climat, Territoires" Douze acteurs de la recherche scientifique (1) se regroupent pour créer l'Alliance nationale de recherche pour l'Environnement AllEnvi. Quatrième alliance de (...) Plus... En direct des laboratoires 20 janvier 2010 Innovation : Isabelle Rico-Lattes lauréate du 9e Prix Chéreau-Lavet 18 décembre 2009 Séduction et bruit de fond chez les rainettes 1er décembre 2009 Quand la dépollution naturelle devient productive 19 novembre 2009 Une approche de caractérisation prometteuse pour l’identification de nouveaux groupes de picoplancton photosynthétique Plus... Actualités de l'institut 10/02/2010 4:02 PM Grandes crises d'extinction : des fossiles « géants » révolutionnent les c... 1 sur 4 http://www2.cnrs.fr/presse/communique/1785.htm Vous êtes ici : CNRS > Presse > Communiqués et dossiers de presse Paris, 9 FEVRIER 2010 Des gastéropodes (1) de grande taille (jusqu'à 7 cm) datant seulement de 1 million d'années après la plus grande crise d'extinction de tous les temps, la crise permotriassique (2), ont été découverts par un chercheur du laboratoire Biogéosciences (CNRS/Université de Bourgogne) en collaboration avec des collègues allemands, américains et suisses. Ces spécimens remettent en cause l'existence d'un effet « Lilliput » entraînant une diminution de la taille de ces organismes pendant plusieurs millions d'années après cette crise d'extinction. Ces résultats, publiés dans le numéro de février 2010 de la revue Geology, bouleversent les conceptions des paléontologues sur la dynamique évolutive et le fonctionnement de la biosphère après une crise d'extinction de masse. L'histoire de la vie sur Terre est ponctuée de nombreuses crises d'extinctions, brèves périodes de forte diminution de la biodiversité, suivies de phases de reconquêtes de la biosphère, correspondant à la diversification des espèces qui ont survécu. Au cours des 540 derniers millions d'années, une vingtaine de crises plus ou moins intenses se sont ainsi succédées. La plus dévastatrice d'entre elles s'est déroulée il y a 252,6 millions d'années avec une violence encore aujourd'hui inégalée : la crise permo-triassique qui décima plus de 90% des espèces marines alors existantes. Suite à une telle crise, les conditions environnementales sont sévèrement perturbées : baisse de l'oxygénation des océans, empoisonnement des eaux, compétition accrue, effondrement des chaînes alimentaires, etc. Jusqu'à présent, il était admis qu'en réponse à ces perturbations, certains organismes marins tels que les gastéropodes ou les bivalves étaient atteints par une réduction drastique de leur taille, pendant et après la crise. Il fallait ensuite attendre plusieurs millions d'années pour que ces organismes recouvrent des tailles comparables à celles d'avant la crise. C'est ce que les scientifiques appellent l' «effet Lilliput » en référence au fabuleux voyage de Gulliver (3) qui s'échoua sur l'île éponyme où tous les individus, les Lilliputiens, étaient de petite taille. Une équipe internationale de paléontologues français, allemands, américains et suisses vient de découvrir des fossiles de gastéropodes de grande taille datés seulement de 1 million d'années après la crise permotriassique. Ces chercheurs se consacrent depuis plusieurs années à l'étude de la reconquête qui suit l'extinction de masse permo-triasique. En concentrant leurs efforts sur des affleurements de l'Utah datés du début du Trias inférieur mais encore non-étudiés en détail, ils ont mis à jour des spécimens de gastéropodes exceptionnels, jusqu'à 7 cm, que l'on peut qualifier de « géants » en comparaison de ceux généralement retrouvés possédant une taille inférieure à 1 cm. L'étude complémentaire de ces nouvelles faunes de gastéropodes indique aussi qu'elles ne sont pas plus petites que des faunes plus âgées ou que les 10/02/2010 4:01 PM Grandes crises d'extinction : des fossiles « géants » révolutionnent les c... 2 sur 4 http://www2.cnrs.fr/presse/communique/1785.htm faunes actuelles. Cette découverte réfute donc l'existence d'un effet Lilliput chez les gastéropodes pendant la majeure partie du Trias inférieur, ou du moins indique que son importance a été surestimée. De façon surprenante, la présence de ces gastéropodes de grande taille coïncide aussi avec une reconquête explosive du domaine océanique par certains organismes comme les ammonites (4, 5). Ces différents événements suggèrent ainsi que la restructuration des écosystèmes marins était déjà bien engagée seulement un million d'années après la crise, ce qui est extrêmement rapide après une crise d'une telle ampleur. Les scientifiques vont poursuivre l'étude des fossiles découverts dans ce gisement de l'Utah à la recherche d'autres espèces, comme les bivalves, pour vérifier ces nouvelles données. Mais ces travaux permettent déjà de penser que les paléontologues vont devoir réviser leurs estimations concernant l'impact immédiat et à long terme des crises d'extinction sur les espèces. © A. Brayard/J. Thomas Gastéropodes de grande taille retrouvés dans des sédiments marins de l'Utah datés de seulement ~1 million d'années après l'extinction de masse Permien-Trias. La barre d'échelle représente 1cm. Cette image est disponible à la photothèque du CNRS, [email protected] 10/02/2010 4:01 PM Grandes crises d'extinction : des fossiles « géants » révolutionnent les c... 3 sur 4 http://www2.cnrs.fr/presse/communique/1785.htm © A. Brayard Affleurement fossilifère de l'Utah où ont été découverts les gastéropodes de grande taille datés du Trias inférieur. On peut aussi y reconnaître des ammonoïdes et des bivalves. Cette image est disponible à la photothèque du CNRS, [email protected] Notes : (1) Les gastéropodes concernés par cette étude sont des mollusques vivants sur les fonds marins apparentés par exemple aux escargots terrestres actuels. (2) La crise permo-triassique, du nom des deux périodes géologiques qui l'encadrent, le Permien (299 – 252,6 M.a.) et le Trias (252,6 – 201,6 M.a.), est la plus grande extinction de masse jamais documentée. Elle marque la fin de l'ère Primaire, ou Paléozoïque, et le début de l'ère Secondaire, ou Mésozoïque. (3) Les Voyages de Gulliver écrit par J. Swift au 18ème siècle. (4) Les ammonoïdes sont des mollusques céphalopodes nageurs apparentés aux nautiles, seiches et calmars actuels. Munies d'une coquille externe, elles disparaissent des océans du globe en même temps que les dinosaures, il y a 65 millions d'années, après avoir été un élément majeur des faunes marines durant près de 400 millions d'années. (5) Voir en complément Brayard et al. 2009. Science 235 : 1118-1121 et le communiqué de presse associé : Consulter le site web Références : Brayard A., Nützel A., Stephen D.A., Bylund K.G., Jenks J. and Bucher H. 2010. Gastropod evidence against the Early Triassic Lilliput effect. Geology, 38 (2): 147-150. Contacts : Chercheur CNRS l Arnaud Brayard l T 03 80 39 63 52 l [email protected] 10/02/2010 4:01 PM Des fossiles plus grands que prévus, Terre - Information NouvelObs.com Vidéos BibliObs Obstyles Cinéma Télévision Actualités Régionales International Vivant Technologies Automobile Mots- c lés Dossiers Politique Immobilier Challenges Rechercher avec Opinions http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/terre/20100210.OB... Société Terre Vidéos Blogs Environnement Forums Economie Fondamental Débats Social Pratique Sciences Homme et Société Santé Télé OK High Tech Médias Sports Espace Voyage People Mode Culture Immo Rencontres Annonces Vu sur le web Nature Actualités NouvelObs < Sciences < Terre L'ESSENTIEL TERRE GENETIQUE L'ADN d'un Homme de 4000 ans décrypté 11.02 à 12h55 EVOLUTION Des fossiles plus grands que prévus 10.02 à 17h29 être un expert en Forex Devenez un trader Professionnel Profitez de notre PDF exclusif www.xFOREX.com/FR EN COUVERTURE DU MAGAZINE Les 5 âges du cerveau Durant toute la vie, notre cerveau évolue. Au sommet de son activité autour de... > Au sommaire du magazine Contactez la rédation de Sciences & Avenir EVOLUTION Des fossiles plus grands que prévus NOUVELOBS.COM | 10.02.2010 | 17:57 Des gastéropodes de grande taille datant seulement de 1 million d'années après la plus grande crise d'extinction de tous les temps ont été découverts en Utah. Ces spécimens remettent en cause l'existence d'un effet « Lilliput » entraînant une diminution de la taille de ces organismes pendant plusieurs millions d'années après cette crise d'extinction. es capacités de régénérations de la Vie ont peut-être été sous-estimées. C’est en tout cas ce qu’il ressort de l’examen de fossiles extraits sur des affleurements de l’Utah aux Etats-Unis. Datés du début du Trias inférieur (-251 millions d’années) ces restes de gastéropodes atteignent la taille exceptionnelle de 7 cm. Un record sachant que la plupart des fossiles retrouvés datant de cette époque ne dépassent pas un centimètre. Pourquoi une si petite taille ? Parce qu’à l’époque le monde se relève d’une crise majeure : la crise permotriassique qui décima plus de 90% des espèces marines alors existantes, il y a 252,6 millions d'années. Gastéropodes de grande taille Suite à une telle crise, les conditions environnementales sont sévèrement perturbées retrouvés dans des sédiments marins de l'Utah datés de seulement 1 million : baisse de l'oxygénation des océans, d'années après l'extinction de masse empoisonnement des eaux, compétition accrue, Permien-Trias.© A. Brayard/J. Thomas effondrement des chaînes alimentaires, etc. Jusqu'à présent, il était admis qu'en réponse à ces perturbations, certains organismes marins tels que les gastéropodes ou les bivalves étaient atteints par une réduction drastique de leur taille, pendant et après la crise. Il fallait ensuite attendre plusieurs millions d'années pour que ces organismes recouvrent des tailles comparables à celles d'avant la crise. C'est ce que les scientifiques appellent l' «effet Lilliput ». PLUS SUR LE SUJET Sur Internet Permien/Trias - La Biodiversité en crises Les crises biologiques et extinctions de masse La reconquête éclair des ammonites après la plus grande extinction de tous les temps Dans Sciences & Avenir Extinction du Permien: les lacs salés en cause? La présence de fossiles de gastéropodes d’une telle taille, le compte-rendu des fouilles est publié dans le numéro de février 2010 de la revue Geology, bouleversent les conceptions des paléontologues sur la dynamique évolutive et le fonctionnement de la biosphère après une crise d'extinction de masse. Cette découverte réfute donc l'existence d'un effet Lilliput chez les gastéropodes pendant la majeure partie du Trias inférieur, ou du moins indique que son importance a été surestimée. Ceci suggère que la restructuration des écosystèmes marins était déjà bien engagée seulement un million d'années après la crise, ce qui est extrêmement rapide après une crise d'une telle ampleur. J.I. Sciences-et-Avenir.com 10/02/2010 1 sur 2 11/02/2010 3:44 PM Mass extinctions: 'Giant' fossils are revolutionizing current thinking 1 sur 3 http://www.sciencedaily.com/releases/2010/02/100210171413.htm Gold standard gene synthesis Technology leader www.blueheronbio News Health & Medicine Articles Mind & Brain Videos Plants & Animals Images Earth & Climate Books Space & Time Science News Share Matter & Ener Blog Cite Mass Extinctions: 'Giant' Fossils Are Revolutionizing Current Thinking ScienceDaily (Feb. 11, 2010) — Large-sized gastropods (1) (up to 7 cm) dating from only 1 million years after the greatest mass extinction of all time, the Permian-Triassic extinction (2), have been discovered by an international team including a French researcher from the Laboratoire Biogéosciences (CNRS/Université de Bourgogne), working with German, American and Swiss colleagues. These specimens call into question the existence of a "Lilliput effect," the reduction in the size of organisms inhabiting postcrisis biota, normally spanning several million years. Scie Ma Ag Se Tri As Le The team's results, published in the February 2010 issue of the journal Geology, have drastically changed Plants & Animals paleontologists' current thinking Extinction regarding evolutionary dynamics and New Species the way the biosphere functions in Endangered Animals the aftermath of a mass extinction event. Fossils & Ruins Fossils The history of life on Earth has been Dinosaurs punctuated by numerous mass Origin of Life extinctions, brief periods during mo See Also: which biodiversity is considerably reduced, followed by phases of re-conquest of the biosphere, corresponding to the diversification of those species that survived. Over the last 540 million years, around twenty mass extinctions, of greater or lesser intensity, have succeeded one another. The most devastating of these, the Permian-Triassic (P-T) mass extinction, which decimated more than 90% of the marine species existing at the time, occurred 252.6 million years ago with a violence that is still unequaled today. Reference Extinction event Permian-Triassic extinction event Cretaceous-Tertiary extinction event Mesozoic In the aftermath of such events, environmental conditions are severely disrupted: the oceans become less oxygenated, water becomes poisonous, there is increased competition, collapse of food chains, etc. Until now, it has generally been accepted that certain marine organisms, such as gastropods or bivalves, were affected by a drastic reduction in size in response to major disruptions of this nature, both during and after the event. It took several million years for such organisms to return to sizes comparable to those that existed prior to the crisis. This is what scientists call the "Lilliput effect," in reference to the travels of Gulliver (3) who was shipwrecked on the island of the same name, inhabited by Just Anim Large-sized gastropods found in marine sediments in Utah dating from only ~1 million years after the P-T mass extinction. The scale bar represents 1 cm. (Credit: Copyright A. Brayard/J. Thomas) Ads by Google Brea Blue Heron Bio GeneMaker Stu cel ge Gold standard gene synthesis Technology leader www.blueheronbio.com/ An ge sur Related Stories Flash Recovery Of Ammonoids After Most Massive Extinction Of All Time (Sep. 14, 2009) — After the End-Permian extinction 250 million years ago, ammonoids diversified and recovered 10 to 30 times faster than previous estimates. The surprising discovery raises questions about ... > read more Sc to ad Sh do sta Re 11/02/2010 3:50 PM Mass extinctions: 'Giant' fossils are revolutionizing current thinking 2 sur 3 very small Lilliputians. An international team of French, German, American and Swiss paleontologists has recently discovered large gastropod fossils dating from only 1 million years after the P-T mass extinction. The researchers have spent several years studying the re-conquest phase that followed the P-T crisis. By focusing their efforts on fossil-bearing outcrops in Utah dating from the Early Triassic, which have not yet been studied in detail, they have uncovered some outstanding specimens of gastropods, up to 7 cm, which can be termed as "giants" in comparison to those generally found, normally no bigger than 1 cm. Complementary studies of these new gastropod fauna also indicate that they are not any smaller than older or present-day fauna. This discovery therefore refutes the existence of a Lilliput effect on gastropods during the major part of the Early Triassic or, at the very least, suggests that its importance has been overestimated. Quite surprisingly, the presence of these large gastropods also coincides with an explosive re-conquest of the ocean by organisms such as ammonites (4, 5). Taken together, these events therefore suggest that restructuring of marine ecosystems was already well underway only one million years after the P-T crisis, a very short time after a mass extinction of such magnitude. The researchers plan to continue to study the fossils discovered in this locality in Utah while searching for other species and groups, such as bivalves, to confirm this new data. However, these findings already suggest that paleontologists are going to have to re-think the immediate and long term impact of mass extinctions on species. http://www.sciencedaily.com/releases/2010/02/100210171413.htm Canada's Shores Saved Animals From Devastating Climate Change 252 Million Years Ago (Oct. 2, 2008) — Scientists have solved part of the mystery of where marine organisms that recovered from the biggest extinction on earth were housed. The researchers discovered that the shorelines of ancient Canada ... > read more Species Extinction By Asteroid A Rarity (Oct. 10, 2008) — New research argues in favor of a "sick earth" mechanism for most extinctions, rather than external event like an asteroid ... > read more When Bivalves Ruled The World (Sep. 1, 2007) — Before the worst mass extinction of life in Earth's history -- 252 million years ago -ocean life was diverse and clam-like organisms called brachiopods dominated. After the calamity, when little ... > read more Volcanic Eruptions And Global Warming Likely Cause Of Great Dying 250 Million Years Ago (Oct. 25, 2007) — A new study looks to the deep ocean for cause of history's biggest extinction (not the one that killed the dinosaurs). Taken with other studies, evidence does not support meteor theory for this ... > read more Notes: (1) The gastropods concerned by this study are mollusks that lived on the sea bed and are related, for example, to present-day land snails. (2) The Permian-Triassic mass extinction, named after the two geological periods that encompass it, namely the Permian (299 -- 252.6 Ma) and the Triassic (252.6 -- 201.6 Ma), is the greatest mass extinction ever documented. It marks the end of the Primary (or Paleozoic) era and the beginning of the Secondary (or Mesozoic) era. (3) Gulliver's Travels, written by Jonathan Swift in the 18th century. (4) Ammonoids, related to present-day nautilus, cuttlefish and squid, are free-swimming cephalopod mollusks with external shells. They disappeared from the world's oceans at the same time as the dinosaurs, 65 million years ago, after having been a major part of the marine fauna for nearly 400 million years. (5) See also Brayard et al. 2009. Science 235: 1118-1121. Email or share this story: | More Story Source: Adapted from materials provided by CNRS. Journal Reference: 1. Brayard A., Nützel A., Stephen D.A., Bylund K.G., Jenks J. and Bucher H. Gastropod evidence against the Early Triassic Lilliput effect. Geology, 2010; 38 (2): 147 DOI: 10.1130/G30553.1 11/02/2010 3:50 PM Mass extinctions: 'giant' fossils are revolutionizing current thinking 1 sur 9 http://www.physorg.com/news185028784.html Science and technology news Home Nanotechnology Physics Space & Earth Electronics Technology Chemistry Biology Medicine & Health Other Sciences Earth Sciences Astronomy Environment Space Exploration Find more articles on brayard lilliput February 10, 2010 Enlarge Large-sized gastropods found in marine sediments in Utah dating from only ~1 million years after the P-T mass extinction. The scale bar represents 1 cm. © A. Brayard/J. Thomas (PhysOrg.com) -- Large-sized gastropods (up to 7 cm) dating from only 1 million years after the greatest mass extinction of all time, the Permian-Triassic extinction, have been discovered by an international team including a French researcher from the Laboratoire Biogéosciences (CNRS/Université de Bourgogne), working with German, American and Swiss colleagues. Ads by Google Lilliput Lane - Discount - Full range including new Jan 2010 Free Shipping Available chinapresentations.net These specimens call into question the existence of a “Lilliput effect”, the reduction in the size of organisms inhabiting postcrisis biota, normally spanning several million years. The team's results, published in the February 2010 issue of the journal Geology, have drastically changed paleontologists' current thinking regarding evolutionary dynamics and the way the biosphere functions in the aftermath of a mass extinction event. The history of life on Earth has been punctuated by numerous mass extinctions, brief periods during which biodiversity is considerably reduced, followed by phases of re-conquest of the biosphere, corresponding to the diversification of those species that survived. Over the last 540 million years, around twenty mass extinctions, of greater or lesser intensity, have succeeded one another. The most devastating of these, the Permian-Triassic (P-T) mass extinction, which decimated more than 90% of the marine species existing at 11/02/2010 3:48 PM Mass extinctions: 'giant' fossils are revolutionizing current thinking 2 sur 9 http://www.physorg.com/news185028784.html the time, occurred 252.6 million years ago with a violence that is still unequaled today. In the aftermath of such events, environmental conditions are severely disrupted: the oceans become less oxygenated, water becomes poisonous, there is increased competition, collapse of food chains, etc. Until now, it has generally been accepted that certain marine organisms, such as gastropods or bivalves, were affected by a drastic reduction in size in response to major disruptions of this nature, both during and after the event. It took several million years for such organisms to return to sizes comparable to those that existed prior to the crisis. This is what scientists call the “Lilliput effect”, in reference to the travels of Gulliver who was shipwrecked on the island of the same name, inhabited by very small Lilliputians. An international team of French, German, American and Swiss paleontologists has recently discovered large gastropod fossils dating from only 1 million years after the P-T mass extinction. The researchers have spent several years studying the re-conquest phase that followed the P-T crisis. By focusing their efforts on fossil-bearing outcrops in Utah dating from the Early Triassic, which have not yet been studied in detail, they have uncovered some outstanding specimens of gastropods, up to 7 cm, which can be termed as “giants” in comparison to those generally found, normally no bigger than 1 cm. Complementary studies of these new gastropod fauna also indicate that they are not any smaller than older or present-day fauna. This discovery therefore refutes the existence of a Lilliput effect on gastropods during the major part of the Early Triassic or, at the very least, suggests that its importance has been overestimated. Quite surprisingly, the presence of these large gastropods also coincides with an explosive re-conquest of the ocean by organisms such as ammonites (See also Brayard et al. 2009. Science 235: 1118-1121). Taken together, these events therefore suggest that restructuring of marine ecosystems was already well underway only one million years after the P-T crisis, a very short time after a mass extinction of such magnitude. The researchers plan to continue to study the fossils discovered in this locality in Utah while searching for other species and groups, such as bivalves, to confirm this new data. However, these findings already suggest that paleontologists are going to have to re-think the immediate and long term impact of mass extinctions on species. More information: Brayard A., Nützel A., Stephen D.A., Bylund K.G., Jenks J. and Bucher H. 2010. Gastropod evidence against the Early Triassic Lilliput effect. Geology, 38 (2): 147-150. Provided by CNRS Ads by Google Imetrum Video Gauge - Accurate non-contact displacement & strain measurement - www.imetrum.com Comptoir du Luxe Fossil - Nouvelle collection 2010 En stock - Livraison gratuite 24h - fossil.comptoirdu-luxe.com Protecting World's Oceans - Setting aside protected areas to preserve pristine marine resources www.america.gov/oceans.html send feedback to editors Rate this story - 4.5 /5 (6 votes) 11/02/2010 3:48 PM SciNewsBlog Thursday, February 11, 2010 Mass Extinctions: 'Giant' Fossils Are Revolutionizing Current Thinking Large-sized gastropods found in marine sediments in Utah dating from only ~1 million years after the P-T mass extinction. The scale bar represents 1 cm. (Credit: Copyright A. Brayard/J. Thomas) Mass Extinctions: 'Giant' Fossils Are Revolutionizing Current Thinking ScienceDaily (Feb. 11, 2010) — Large-sized gastropods (1) (up to 7 cm) dating from only 1 million years after the greatest mass extinction of all time, the Permian-Triassic extinction (2), have been discovered by an international team including a French researcher from the Laboratoire Biogéosciences (CNRS/Université de Bourgogne), working with German, American and Swiss colleagues. These specimens call into question the existence of a "Lilliput effect," the reduction in the size of organisms inhabiting postcrisis biota, normally spanning several million years. The team's results, published in the February 2010 issue of the journal Geology, have drastically changed paleontologists' current thinking regarding evolutionary dynamics and the way the biosphere functions in the aftermath of a mass extinction event. The history of life on Earth has been punctuated by numerous mass extinctions, brief periods during which biodiversity is considerably reduced, followed by phases of re-conquest of the biosphere, corresponding to the diversification of those species that survived. Over the last 540 million years, around twenty mass extinctions, of greater or lesser intensity, have succeeded one another. The most devastating of these, the Permian-Triassic (P-T) mass extinction, which decimated more than 90% of the marine species existing at the time, occurred 252.6 million years ago with a violence that is still unequaled today. In the aftermath of such events, environmental conditions are severely disrupted: the oceans become less oxygenated, water becomes poisonous, there is increased competition, collapse of food chains, etc. Until now, it has generally been accepted that certain marine organisms, such as gastropods or bivalves, were affected by a drastic reduction in size in response to major disruptions of this nature, both during and after the event. It took several million years for such organisms to return to sizes comparable to those that existed prior to the crisis. This is what scientists call the "Lilliput effect," in reference to the travels of Gulliver (3) who was shipwrecked on the island of the same name, inhabited by very small Lilliputians. Mass Extinctions: 'Giant' Fossils Are Revolutionizing Current Thinking ... 2 sur 2 http://www.ebionews.com/news-center/general-research/evolution/152... Home >> News Center >> General Research >> Evolution >> Latest News Mass Extinctions: 'Giant' Fossils Are Revolutionizing Current Thinking User Rating : /0 Wednesday, 10 February 2010 23:10 Large-sized gastropods (1) (up to 7 cm) dating from only 1 million years after the greatest mass extinction of all time, the Permian-Triassic extinction (2), have been discovered by an international team including a French researcher from the Laboratoire Biogéosciences (CNRS/Université de Bourgogne), working with German, American and Swiss colleagues. These specimens call into question the existence of a "Lilliput effect," the reduction in the size of organisms inhabiting postcrisis biota, normally spanning several million years. The team's results, published in the February 2010 issue of the journal Geology, have drastically changed paleontologists' current thinking regarding evolutionary dynamics and the way the biosphere functions in the aftermath of a mass extinction event. The history of life on Earth has been punctuated by numerous mass extinctions, brief periods during which biodiversity is considerably reduced, followed by phases of re-conquest of the biosphere, corresponding to the diversification of those species that survived. Over the last 540 million years, around twenty mass extinctions, of greater or lesser intensity, have succeeded one another. The most devastating of these, the Permian-Triassic (P-T) mass extinction, which decimated more than 90% of the marine species existing at the time, occurred 252.6 million years ago with a violence that is still unequaled today. In the aftermath of such events, environmental conditions are severely disrupted: the oceans become less oxygenated, water becomes poisonous, there is increased competition, collapse of food chains, etc. Until now, it has generally been accepted that certain marine organisms, such as gastropods or bivalves, were affected by a drastic reduction in size in response to major disruptions of this nature, both during and after the event. It took several million years for such organisms to return to sizes comparable to those that existed prior to the crisis. This is what scientists call the "Lilliput effect," in reference to the travels of Gulliver (3) who was shipwrecked on the island of the same name, inhabited by very small Lilliputians. An international team of French, German, American and Swiss paleontologists has recently discovered large gastropod fossils dating from only 1 million years after the P-T mass extinction. The researchers have spent several years studying the re-conquest phase that followed the P-T crisis. By focusing their efforts on fossilbearing outcrops in Utah dating from the Early Triassic, which have not yet been studied in detail, they have uncovered some outstanding specimens of gastropods, up to 7 cm, which can be termed as "giants" in comparison to those generally found, normally no bigger than 1 cm. Bird-from-Dinosaur Theor Evolution Challenged: Wa Other Way Around? Waking the Dead: Scienti Reconstruct Nuclear Gen Extinct Human Being Surprising New Branches Arthropod Family Tree Like Escape Artists, Rotife Elude Enemies by Drying -- Poof! -- They Are Gone the Wind Did Bacteria Develop Into Complex Cells Much Earli Evolution Than Thought? Related Posters Fungal antagonists from t Rosario Nicoletti Council for Research and .. Complementary studies of these new gastropod fauna also indicate that they are not any smaller than older or present-day fauna. This discovery therefore refutes the existence of a Lilliput effect on gastropods during the major part of the Early Triassic or, at the very least, suggests that its importance has been overestimated. Quite surprisingly, the presence of these large gastropods also coincides with an explosive re-conquest of the ocean by organisms such as ammonites (4, 5). Taken together, these events therefore suggest that restructuring of marine Wood in industry of pasta ecosystems was already well underway only one million years after the P-T crisis, a very short time after a mass extinction of such magnitude. Sebastjan Filip PhD student The researchers plan to continue to study the fossils discovered in this locality in Utah while searching for other species and groups, such as bivalves, to confirm this new data. However, these findings already suggest that paleontologists are going to have to re-think the immediate and long term impact of mass extinctions on species. Notes: (1) The gastropods concerned by this study are mollusks that lived on the sea bed and are related, for example, to present-day land snails. (2) The Permian-Triassic mass extinction, named after the two geological periods that encompass it, namely the Permian (299 -- 252.6 Ma) and the Triassic (252.6 -- 201.6 Ma), is the greatest mass extinction ever documented. It marks the end of the Primary (or Paleozoic) era and the beginning of the Secondary (or Mesozoic) era. (3) Gulliver's Travels, written by Jonathan Swift in the 18th century. Thermoreversible Pluron Jonathan K Armstrong Keck School of Medicine, .. (4) Ammonoids, related to present-day nautilus, cuttlefish and squid, are free-swimming cephalopod mollusks with external shells. They disappeared from the world's oceans at the same time as the dinosaurs, 65 million years ago, Home | About Us | Contact Us | Privacy after having been a major part of the marine fauna for nearly 400 million years. Policy | Disclaimer-Terms of (5) See also Brayard et al. 2009. Science 235: 1118-1121. Adapted from materials provided by CNRS. Use Share eBioNews: Copyright © 2010 eBioCenter Corporation. All rights reserved. Next > Latest News Bird-from-Dinosaur Theory of Evolution Challenged: Was It the Other Way Around? Waking the Dead: Scientists Reconstruct Nuclear Genome of Extinct Human Being Surprising New Branches on Arthropod Family Tree Like Escape Artists, Rotifers Elude Enemies by Drying Up and -- Poof! -- They Are Gone With the Wind Did Bacteria Develop Into More Complex Cells Much Earlier in Evolution Than Thought? Fair Excellent Rate 11/02/2010 3:51 PM Marine Animal News 1 sur 2 http://marineanimalnews.blogspot.com/ Partager Signaler un abus Blog suivant» Créer un blog Connexion E X TE N SI V E SI TE I N C LU DE S N E W S O F V A R I O U S TO PI C S L I KE M A R I N E A N I M AL S,M A R I N E B I O LO G Y , SHA R KS,W HA L E S,SE A M AM M AL S,E N DA N G E R E D SPE C I E S, B I R DS, TU R TLE S, PE N G U I N E , SE AL ,PL AN KTO N S,F I SH,C O R A L R E E F, C O ASTAL E N V I R O N M E N T A N D M O R E .. . thursday, february 11, 2010 Mass Extinctions: 'Giant' Fossils Are Revolutionizing Current Thinking Email this • Technorati Links • Subscribe to this feed • Add to del.icio.us • Share on Facebook • Discuss on Newsvine • Email the author Animal Retinal Imaging FishStreet Store Micron Small Animal Retinal Imaging Image mouse and rat retinas easily Wavemaker, Pump, Protein Skimmer Bubble Magus Distributor Large-sized gastropods (1) (up to 7 cm) dating from only 1 million years after the greatest mass extinction of all time, the Permian-Triassic extinction (2), have been discovered by an international team including a French researcher from the Laboratoire Biogéosciences (CNRS/Université de Bourgogne), working with German, American and Swiss colleagues. These specimens call into question the existence of a "Lilliput effect," the reduction in the size of organisms inhabiting postcrisis biota, normally spanning several million years. The team's results, published in the February 2010 issue of the journalGeology, have drastically changed paleontologists' current thinking regarding evolutionary dynamics and the way the biosphere functions in the aftermath of a mass extinction event. The history of life on Earth has been punctuated by numerous mass extinctions, brief periods during which biodiversity is considerably reduced, followed by phases of re-conquest of the biosphere, corresponding to the diversification of those species that survived. Over the last 540 million years, around twenty mass extinctions, of greater or lesser intensity, have succeeded one another. The most devastating of these, the Permian-Triassic (P-T) mass extinction, which decimated more than 90% of the marine species existing at the time, occurred 252.6 million years ago with a violence that is still unequaled today. In the aftermath of such events, environmental conditions are severely disrupted: the oceans become less oxygenated, water becomes poisonous, there is increased competition, collapse of food chains, etc. Until now, it has generally been accepted that certain marine organisms, such as gastropods or bivalves, were affected by a drastic reduction in size in response to major 11/02/2010 5:47 PM Découverte de fossiles géants : de nouvelles informations en direct du passé Page 1 of 1 Découverte de fossiles géants : de nouvelles informations en direct du passé TWC > Actualités > Expertise - Tags : Des gastéropodes (1) de grande taille (jusqu'à 7 cm) datant seulement de 1 million d'années après la plus grande crise d'extinction de tous les temps, la crise permo-triassique (2), ont été découverts par un chercheur du laboratoire Biogéosciences (CNRS/Université de Bourgogne) en collaboration avec des collègues allemands, américains et suisses. Ces spécimens remettent en cause l'existence d'un effet « Lilliput » entraînant une diminution de la taille de ces organismes pendant plusieurs millions d'années après cette crise d'extinction. Ces résultats, publiés dans le numéro de février 2010 de la revue Geology, bouleversent les conceptions des paléontologues sur la dynamique évolutive et le fonctionnement de la biosphère après une crise d'extinction de masse. L'histoire de la vie sur Terre est ponctuée de nombreuses crises d'extinctions, brèves périodes de forte diminution de la biodiversité, suivies de phases de reconquêtes de la biosphère, correspondant à la diversification des espèces qui ont survécu. Au cours des 540 derniers millions d'années, une vingtaine de crises plus ou moins intenses se sont ainsi succédées. La plus dévastatrice d'entre elles s'est déroulée il y a 252,6 millions d'années avec une violence encore aujourd'hui inégalée : la crise permo-triassique qui décima plus de 90% des espèces marines alors existantes. Suite à une telle crise, les conditions environnementales sont sévèrement perturbées : baisse de l'oxygénation des océans, empoisonnement des eaux, compétition accrue, effondrement des chaînes alimentaires, etc. Jusqu'à présent, il était admis qu'en réponse à ces perturbations, certains organismes marins tels que les gastéropodes ou les bivalves étaient atteints par une réduction drastique de leur taille, pendant et après la crise. Il fallait ensuite attendre plusieurs millions d'années pour que ces organismes recouvrent des tailles comparables à celles d'avant la crise. C'est ce que les scientifiques appellent l' «effet Lilliput » en référence au fabuleux voyage de Gulliver (3) qui s'échoua sur l'île éponyme où tous les individus, les Lilliputiens, étaient de petite taille. Une équipe internationale de paléontologues français, allemands, américains et suisses vient de découvrir des fossiles de gastéropodes de grande taille datés seulement de 1 million d'années après la crise permo-triassique. Ces chercheurs se consacrent depuis plusieurs années à l'étude de la reconquête qui suit l'extinction de masse permo-triasique. En concentrant leurs efforts sur des affleurements de l'Utah datés du début du Trias inférieur mais encore non-étudiés en détail, ils ont mis à jour des spécimens de gastéropodes exceptionnels, jusqu'à 7 cm, que l'on peut qualifier de « géants » en comparaison de ceux généralement retrouvés possédant une taille inférieure à 1 cm. L'étude complémentaire de ces nouvelles faunes de gastéropodes indique aussi qu'elles ne sont pas plus petites que des faunes plus âgées ou que les faunes actuelles. Cette découverte réfute donc l'existence d'un effet Lilliput chez les gastéropodes pendant la majeure partie du Trias inférieur, ou du moins indique que son importance a été surestimée. De façon surprenante, la présence de ces gastéropodes de grande taille coïncide aussi avec une reconquête explosive du domaine océanique par certains organismes comme les ammonites (4, 5). Ces différents événements suggèrent ainsi que la restructuration des écosystèmes marins était déjà bien engagée seulement un million d'années après la crise, ce qui est extrêmement rapide après une crise d'une telle ampleur. Les scientifiques vont poursuivre l'étude des fossiles découverts dans ce gisement de l'Utah à la recherche d'autres espèces, comme les bivalves, pour vérifier ces nouvelles données. Mais ces travaux permettent déjà de penser que les paléontologues vont devoir réviser leurs estimations concernant l'impact immédiat et à long terme des crises d'extinction sur les espèces. CNRS http://www.thewebconsulting.com/media/index.php?2010/02/12/11111-decouverte-de... 22/02/2010 Paleontólogos põem em causa ‘efeito Lilliput’ - TV Ciência 1 sur 1 http://www.tvciencia.pt/tvcnot/pagnot/tvcnot03.asp?codpub=22&codnot=36 17-02-2010 Nº 22 Fev. 2010 9:17:51 Notícias Paleontólogos põem em causa ‘efeito Lilliput’ 15-02-2010 17:37 Lúcia Vinheiras Alves Moluscos adaptaram-se mais rápido do que se pensava após a maior extinção em massa da biodiversidade na história da Terra. Descoberta de fósseis de Gastrópodes indicam adaptações em apenas 1 milhão de anos. ©Arnaud Brayard Em vários períodos da história a Terra tem sofrido crises de extinção em massa da biodiversidade, caracterizadas por acentuada diminuição da diversidade da vida macroscópica. Crises que são também denominadas por eventos de extinção em massa da biodiversidade, que afectam grandemente a biosfera devido ao desaparecimento de várias espécies. O maior evento de extinção em massa da biodiversidade foi o Permiano-Triásico, que ocorreu há 252.6 milhões de anos entre o período geológico Permiano e o período geológico Triásico. Um evento, que os cientistas calculam ter decimado 90% das espécies existentes na Terra. Espécies que acabaram por desaparecer por não resistirem às alterações ambientais que ocorreram como, por exemplo, a diminuição de oxigenação dos oceanos ou a ocorrência de colapso nas cadeias alimentares. Apesar das fortes alterações ambientais há algumas espécies que resistem e adaptam-se, sendo que muitas delas, sofrem aquilo a que os paleontólogos modernos denominam de ‘efeito Lilliput’. Ou seja, alguns organismos diminuem de tamanho quando comparados com os que existiam antes do evento de extinção em massa. Até agora, os paleontólogos acreditavam que o evento Permiano-Triásico teria tido um ‘efeito Lilliput’ em espécies como os Gastrópodes (classe de moluscos), já que existem dados que indicam que antes da ocorrência da extinção em massa estes eram considerados moluscos ‘gigantes’ (com sete centímetros) quando comparados com os actuais moluscos da mesma classe (um centímetro). Na edição de Fevereiro da publicação científica Geology, uma equipa internacional de cientistas franceses, alemães, suíços e norte-americanos indica ter descoberto grandes fósseis gastrópodes, no Utah, EUA, o que refuta a existência de um ‘efeito Lilliput’ nesta classe de moluscos. Os cientistas revelam que os fósseis encontrados no Utah datam 1 milhão de anos após o maior evento de extinção em massa da biodiversidade e não aparentam ser mais pequenos do que os moluscos da mesma classe que habitavam a Terra antes do evento PermianoTriásico. Os cientistas envolvidos no estudo indicam que estes resultados vêm pôr em causa o actual pensamento dos paleontólogos e, sobretudo, o princípio do ‘efeito Lilliput’, de que os animais reduziriam drasticamente de tamanho em consequência de alterações na bioesfera após eventos de extinção em massa. Resultados que, de acordo com os cientistas, colocam interrogações à existência de um ‘efeito Lilliput’ nos gastrópodes durante a maior parte do período Triásico Inicial ou que sugerem que a importância destes moluscos terá sido subestimada. Os cientistas referem ainda que «surpreendentemente a presença destes grandes gastrópodes coincide com uma explosiva reconquista do oceano por organismos como os amonóides (um grupo extinto de moluscos cefalópodes)». «Em conjunto, estas situações sugerem que a reestruturação dos ecossistemas marinhos já estava em curso, apenas 1 milhão de anos após a crise Permiano-Triásico», o que se revela «muito pouco tempo após a extinção em massa desta magnitude». Com base nestes resultados, os cientistas alertam para o facto de os paleontólogos terem de repensar o impacto das extinções em massa nas espécies e o seu efeito na biosfera. 17/02/2010 9:17 AM News Press - Communiqué Page 1 of 1 www.newspress.fr Rechercher... lundi 22 février 2010 NewsPress et vous NewsPress sur votre site Nos fils RSS Etre Partenaire Diffuser vos communiqués Votre sélection Actualité: Georges Frêche contre le PS Géolocalisation des communiqués Espace vidéo France Politique Société Régions Economie Santé International Social Environnement Dossiers Tourisme - Culture Sciences & techniques Blogs Sports - Loisirs Tous nos thèmes Toutes nos catégories Les Medias Partenaires La charte de NewsPress Contact La Rédaction Communiqué Grandes crises d'extinction : Des fossiles « géants » révolutionnent les connaissances actuelles Tribunes /3 questions à CNRS - 12/02/2010 17:40:00 Interviews video NewsPress soutient NewsPress a retenu Des gastéropodes (1) de grande taille (jusqu'à 7 cm) datant seulement de 1 million d'années après la plus grande crise d'extinction de tous les temps, la crise permo-triassique (2), ont été découverts par un chercheur du laboratoire Biogéosciences (CNRS/Université de Bourgogne) en collaboration avec des collègues allemands, américains et suisses. Ces spécimens remettent en cause l'existence d'un effet « Lilliput » entraînant une diminution de la taille de ces organismes pendant plusieurs millions d'années après cette crise d'extinction. Ces résultats, publiés dans le numéro de février 2010 de la revue Geology, bouleversent les conceptions des paléontologues sur la dynamique évolutive et le fonctionnement de la biosphère après une crise d'extinction de masse. L'histoire de la vie sur Terre est ponctuée de nombreuses crises d'extinctions, brèves périodes de forte diminution de la biodiversité, suivies de phases de reconquêtes de la biosphère, correspondant à la diversification des espèces qui ont survécu. Au cours des 540 derniers millions d'années, une vingtaine de crises plus ou moins intenses se sont ainsi succédées. La plus dévastatrice d'entre elles s'est déroulée il y a 252,6 millions d'années avec une violence encore aujourd'hui inégalée : la crise permo-triassique qui décima plus de 90% des espèces marines alors existantes. Suite à une telle crise, les conditions environnementales sont sévèrement perturbées : baisse de l'oxygénation des océans, empoisonnement des eaux, compétition accrue, effondrement des chaînes alimentaires, etc. Jusqu'à présent, il était admis qu'en réponse à ces perturbations, certains organismes marins tels que les gastéropodes ou les bivalves étaient atteints par une réduction drastique de leur taille, pendant et après la crise. Il fallait ensuite attendre plusieurs millions d'années pour que ces organismes recouvrent des tailles comparables à celles d'avant la crise. C'est ce que les scientifiques appellent l' «effet Lilliput » en référence au fabuleux voyage de Gulliver (3) qui s'échoua sur l'île éponyme où tous les individus, les Lilliputiens, étaient de petite taille. Une équipe internationale de paléontologues français, allemands, américains et suisses vient de découvrir des fossiles de gastéropodes de grande taille datés seulement de 1 million d'années après la crise permo-triassique. Ces chercheurs se consacrent depuis plusieurs années à l'étude de la reconquête qui suit l'extinction de masse permo-triasique. En concentrant leurs efforts sur des affleurements de l'Utah datés du début du Trias inférieur mais encore non-étudiés en détail, ils ont mis à jour des spécimens de gastéropodes exceptionnels, jusqu'à 7 cm, que l'on peut qualifier de « géants » en comparaison de ceux généralement retrouvés possédant une taille inférieure à 1 cm. L'étude complémentaire de ces nouvelles faunes de gastéropodes indique aussi qu'elles ne sont pas plus petites que des faunes plus âgées ou que les faunes actuelles. Cette découverte réfute donc l'existence d'un effet Lilliput chez les gastéropodes pendant la majeure partie du Trias inférieur, ou du moins indique que son importance a été surestimée. De façon surprenante, la présence de ces gastéropodes de grande taille coïncide aussi avec une reconquête explosive du domaine océanique par certains organismes comme les ammonites (4). Ces différents événements suggèrent ainsi que la restructuration des écosystèmes marins était déjà bien engagée seulement un million d'années après la crise, ce qui est extrêmement rapide après une crise d'une telle ampleur. Les scientifiques vont poursuivre l'étude des fossiles découverts dans ce gisement de l'Utah à la recherche d'autres espèces, comme les bivalves, pour vérifier ces nouvelles données. Mais ces travaux permettent déjà de penser que les paléontologues vont devoir réviser leurs estimations concernant l'impact immédiat et à long terme des crises d'extinction sur les espèces. Notes : (1) Les gastéropodes concernés par cette étude sont des mollusques vivants sur les fonds marins apparentés par exemple aux escargots terrestres actuels. (2) La crise permo-triassique, du nom des deux périodes géologiques qui l'encadrent, le Permien (299 - 252,6 M.a.) et le Trias (252,6 - 201,6 M.a.), est la plus grande extinction de masse jamais documentée. Elle marque la fin de l'ère Primaire, ou Paléozoïque, et le début de l'ère Secondaire, ou Mésozoïque. (3) Les Voyages de Gulliver écrit par J. Swift au 18ème siècle. (4) Les ammonoïdes sont des mollusques céphalopodes nageurs apparentés aux nautiles, seiches et calmars actuels. Munies d'une coquille externe, elles disparaissent des océans du globe en même temps que les dinosaures, il y a 65 millions d'années, après avoir été un élément majeur des faunes marines durant près de 400 millions d'années. Diffuser vos communiqués | La charte NewsPress | NewsPress sur votre site | Etre Partenaire | Contact | Mentions légales Copyright © NewsPress 2010 - Tous droits réservés http://www.newspress.fr/Communique_FR_225205_641.aspx 22/02/2010 Evolution after extinction: New fossils force rethink - NatGeo News Watch http://blogs.nationalgeographic.com/blogs/news/chiefeditor/2010/02/ev... 1 sur 4 Site Index Subscriptions Shop Newsletters HOME ANIMALS DAILY NEWS ENVIRONMENT GAMES GREEN GUIDE HISTORY Posted on February 17, 2010 | Most Popular Entries 0 Comments KIDS MAPS Tags: biodiversity evolution oceans shellfish Devil's Bible Darkest Secrets Ex MUSIC Categories: Animals Environment Science Wildlife PHOTOGRAPHY SCIENCE & SPACE TRAVEL & CULTURES VIDEO NATIONAL GEOGRAPHIC MAGAZINE NATIONAL GEOGRAPHIC CHANNEL Seven of the Biggest Beasts of Mass extinctions have devastated biodiversity many times over the past 540 million years, according to scientists. After each cataclysmic event the species that survived diversified and filled the planet with life again. Until now the fossil record supported the theory that species that survived extinction events--which ranged from meteorite impacts to an eruptions of super volcanoes (and in our time the mass destruction of ecosystems by humans)--did so in much smaller forms. This "Lilliput effect," in which post-extinction life is downsized, was believed to have persisted for millions of years. But now a new fossil discovery in the U.S. by a team of French, German, Swiss, and American scientists may change what we know about the evolution of species after an extinction crisis. Why do we Sleep? Scientists a Out Squirrel Crashes Pictures Every New Salamander Discovered N Road Earth Hour and the "Moral Chal Change" Sexy Beasts: Valentine's Day G Fish With Human-like Teeth Jaguar Seen in Central Mexico Years Five "Uncontacted Tribes" Most Extinction David Braun's N Watch sur Faceboo MAGAZINES SHOP SUBSCRIPTIONS TV & FILM David Braun's NatGeo N TRAVEL WITH US Monkeys m habitat dam OUR MISSION Monkeys in t far more sen of their habit thought, the the UK, said Wed at 1:30pm David Braun's NatGeo N Evolution after fossils force re Mass extinctions biodiversity many 540 million years scientists. After event the specie di ifi d d fil David Braun's NatGeo News Wa Books & Atlases Clothing & Accessories DVDs Maps Catalog Quick Shop Sign up for free Newsletters Once a month get new photos and expert tips. Sign Up Giant gastropods found in marine sediments in Utah dating from only about 1 million years after the P-T mass extinction. The scale bar represents 1 centimeter (0.4 inch). © A. Brayard/J. Thomas/CNRS The team discovered "giant" gastropods, mollusks that lived on the seabed and are related to present-day land snails. The gastropods, found in Utah, date from only 1 million years after the greatest mass extinction of all time, the Permian-Triassic extinction which wiped out about 90 percent of marine species about 250 million years ago. Justin Chee Zlatko Ted Silvio Serap Lester David Braun's NatGeo News Watch on Fac 19/02/2010 1:27 PM Evolution after extinction: New fossils force rethink - NatGeo News Watch http://blogs.nationalgeographic.com/blogs/news/chiefeditor/2010/02/ev... 2 sur 4 ADVERTISEMENT The newly discovered gastropods call into question the existence of a "Lilliput effect," the reduction in the size of organisms inhabiting postcrisis biota, normally spanning several million years, said the French National Center for Scientific Research (CNRS) in a news release this week. The finding, published in the February 2010 issue of the journal Geology, has "drastically changed" paleontologists' current thinking regarding evolutionary dynamics and the way the biosphere functions in the aftermath of a mass extinction event, CNRS said. "The history of life on Earth has been punctuated by numerous mass extinctions, brief periods during which biodiversity is considerably reduced, followed by phases of re-conquest of the biosphere, corresponding to the diversification of those species that survived. "Over the last 540 million years, around 20 mass extinctions, of greater or lesser intensity, have succeeded one another. The most devastating of these, the Permian-Triassic (P-T) mass extinction, which decimated more than 90 percent of the marine species existing at the time, occurred 252.6 million years ago with a violence that is still unequaled today. After extinction events "the oceans become less oxygenated, water becomes poisonous, there is increased competition, collapse of food chains." "In the aftermath of such events, environmental conditions are severely disrupted: the oceans become less oxygenated, water becomes poisonous, there is increased competition, collapse of food chains," CNRS explained. Until now, it has generally been accepted that certain marine organisms, such as gastropods or bivalves, were affected by a drastic reduction in size in response to major disruptions of this nature, both during and after the event, CNRS said. "It took several million years for such organisms to return to sizes comparable to those that existed prior to the crisis. This is what scientists call the 'Lilliput effect,' in reference to the travels of Gulliver who was shipwrecked on the island of the same name, inhabited by very small Lilliputians." About This Blog As head of National Geographic's daily online news service, David Braun has a front-row seat on developments in the fields of science, nature, and cultures. This blog will give you David's unique perspective on the news, including access to some of the interesting stories that don't make it onto the news site, behind-the-scenes details about life in the National Geographic newsroom, and David's insights into what's changing in our world, why, and what we can do about it. Read More About This Blog Visit News.NationalGeographic.com Subscribe to This Blog Get the RSS feed for this blog—and don't miss a single word. What is RSS? 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Brayard/CNRS The researchers who discovered the large-size gastropods in Utah have been studying the re-conquest phase that followed the P-T crisis. "By focusing their efforts on fossil-bearing outcrops in Utah dating from the Early Triassic, which have not yet been studied in detail, they have uncovered some outstanding specimens of gastropods, up to 7 centimeters [2.75 inches], which can be termed as 'giants' in comparison to those generally found, normally no bigger than 1 centimeter [0 4 inch] " CNRS said squid gibbons giraffes gorillas grasslands Greece Greenland groundhogs Guam guanacos Guatemala Haiti Hawaii HIV/AIDS horses human body human origins hyenas iguanas India Indonesia insects intelligence invasive species Iraq Ireland Israel Italy ivory jaguars Jamaica James Robertson Japan kangaroos Kazakhstan Kenya koalas 19/02/2010 1:27 PM Evolution after extinction: New fossils force rethink - NatGeo News Watch http://blogs.nationalgeographic.com/blogs/news/chiefeditor/2010/02/ev... 3 sur 4 "Complementary studies of these new gastropod fauna also indicate that they are not any smaller than older or present-day fauna," CNRS added. Libya lions lizards Madagascar malaria "This discovery therefore refutes the existence of a Lilliput effect on gastropods during the major part of the Early Triassic or, at the very least, suggests that its importance has been overestimated." mantis shrimp maps Mauritius Maya Mexico Re-conquest of the ocean The presence of the large gastropods also coincides with an explosive re-conquest of the ocean by organisms such as ammonites, CNRS said. "Ammonoids, related to present-day nautilus, cuttlefish and squid, are free-swimming cephalopod mollusks with external shells. They disappeared from the world's oceans at the same time as the dinosaurs, 65 million years ago, after having been a major part of the marine fauna for nearly 400 million years," CNRS explained. "Taken together, these events therefore suggest that restructuring of marine ecosystems was already well underway only one million years after the P-T crisis, a very short time after a mass extinction of such magnitude." The researchers plan to continue to study the fossils discovered in Utah while searching for other species and groups, such as bivalves, to confirm the new data. "However, these findings already suggest that paleontologists are going to have to re-think the immediate and long term impact of mass extinctions on species," CNRS said. Malaysia Maldives Mali manatees mangroves migrations mites Monaco Mongolia monkeys mosquitoes mountains Mozambique Myanmar naked mole rats Namibia narwhals Nat Geo Interview National Geographic grant National Geographic grants Neanderthals Nepal Netherlands New Zealand Niger Nigeria North America Norway Oceania oceans ocelots octopuses orangutans Pakistan paleontology Palestine Panama pandas pangolins panthers Papua New Guinea Paraguay parasites penguins Peru Philippines photography pigs pikas plants polar bears pollution Polynesia pronghorns pterosaurs Puerto Rico puffins Qatar rabbits raccoons rats rays red pandas reindeer reptiles rhinos rivers rodents Russia Rwanda Rwanda. Congo salamanders Samoa Sao Tome and Principe Scandinavia scorpions seahorses seals Senegal sex sharks shellfish Singapore snails snakes soil Add a Comment Sign in to comment on this entry. 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Ces spécimens remettent en cause l'existence d'un effet « Lilliput » entraînant une diminution de la taille de ces organismes pendant plusieurs millions d'années après cette crise d'extinction. Ces résultats, publiés dans le numéro de février 2010 de la revue Geology, bouleversent les conceptions des paléontologues sur la dynamique évolutive et le fonctionnement de la biosphère après une crise d'extinction de masse. L'histoire de la vie sur Terre est ponctuée de nombreuses crises d'extinctions, brèves périodes de forte diminution de la biodiversité, suivies de phases de reconquêtes de la biosphère, correspondant à la diversification des espèces qui ont survécu. Au cours des 540 derniers millions d'années, une vingtaine de crises plus ou moins intenses se sont ainsi succédées. La plus dévastatrice d'entre elles s'est déroulée il y a 252,6 millions d'années avec une violence encore aujourd'hui inégalée : la crise permo-triassique qui décima plus de 90% des espèces marines alors existantes. Suite à une telle crise, les conditions environnementales sont sévèrement perturbées : baisse de l'oxygénation des océans, empoisonnement des eaux, compétition accrue, effondrement des chaînes alimentaires, etc. Jusqu'à présent, il était admis qu'en réponse à ces perturbations, certains organismes marins tels que les gastéropodes ou les bivalves étaient atteints par une réduction drastique de leur taille, pendant et après la crise. Il fallait ensuite attendre plusieurs millions d'années pour que ces organismes recouvrent des tailles comparables à celles d'avant la crise. C'est ce que les scientifiques appellent l' «effet Lilliput » en référence au fabuleux voyage de Gulliver qui s'échoua sur l'île éponyme où tous les individus, les Lilliputiens, étaient de petite taille. Une équipe internationale de paléontologues français, allemands, américains et suisses vient de découvrir des fossiles de gastéropodes de grande taille datés seulement de 1 million d'années après la crise permo-triassique. Ces chercheurs se consacrent depuis plusieurs années à l'étude de la reconquête qui suit l'extinction de masse permo-triasique. En concentrant leurs efforts sur des affleurements de l'Utah datés du début du Trias inférieur mais encore non-étudiés en détail, ils ont mis à jour des spécimens de gastéropodes exceptionnels, jusqu'à 7 cm, que l'on peut qualifier de « géants » en comparaison de ceux généralement retrouvés possédant une taille inférieure à 1 cm. L'étude complémentaire de ces nouvelles faunes de gastéropodes indique aussi qu'elles ne sont pas plus petites que des faunes plus âgées ou que les faunes actuelles. Cette découverte réfute donc l'existence d'un effet Lilliput chez les gastéropodes pendant la majeure partie du Trias inférieur, ou du moins indique que son importance a été surestimée. De façon surprenante, la présence de ces gastéropodes de grande taille coïncide aussi avec une reconquête explosive du domaine océanique par certains organismes comme les ammonites. Ces différents événements suggèrent ainsi que la restructuration des écosystèmes marins était déjà bien engagée seulement un million d'années après la crise, ce qui est extrêmement rapide après une crise d'une telle ampleur. Les scientifiques vont poursuivre l'étude des fossiles découverts dans ce gisement de l'Utah à la recherche d'autres espèces, comme les bivalves, pour vérifier ces nouvelles données. Mais ces travaux permettent déjà de penser que les paléontologues vont devoir réviser leurs estimations concernant l'impact immédiat et à long terme des crises d'extinction sur les espèces. http://www.maka-protected.com/maka1/detail_news.php?ID_NEWS=296 22/02/2010 Les actualités Page 2 of 2 Source : CNRS - Crédit : A. Brayard/J. Thomas Gastéropodes de grande taille retrouvés dans des sédiments marins de l'Utah datés de seulement ~1 million d'années après l'extinction de masse Permien-Trias. La barre d'échelle représente 1cm. Fermer http://www.maka-protected.com/maka1/detail_news.php?ID_NEWS=296 22/02/2010 Extinctions massives : des fossiles "géants" révolutionnent les connaissances actuelles... Page 1 of 2 Extinctions massives : des fossiles "géants" révolutionnent les connaissances actuelles 11/02/2010, 12:12 [ Recommander cette actualité à un(e) ami(e) ] [ 2267 lectures / 2 commentaires Recevoir une alerte mail à chaque nouvelle actualité ] Affleurement fossilifère de l'Utah où ont été découverts les gastéropodes de grande taille datés du Trias inférieur. On peut aussi y reconnaître des ammonoïdes et des bivalves © A. Brayard Des gastéropodes [1] de grande taille (jusqu'à 7 cm) datant seulement de 1 million d'années après la plus grande crise d'extinction de tous les temps, la crise permotriassique [2], ont été découverts par un chercheur du laboratoire Biogéosciences (CNRS/Université de Bourgogne) en collaboration avec des collègues allemands, américains et suisses. Ces spécimens remettent en cause l'existence d'un effet « Lilliput » entraînant une diminution de la taille de ces organismes pendant plusieurs millions d'années après cette crise d'extinction. Ces résultats, publiés dans le numéro de février 2010 de la revue Geology, bouleversent les conceptions des paléontologues sur la dynamique évolutive et le fonctionnement de la biosphère après une crise d'extinction de masse. L'histoire de la vie sur Terre est ponctuée de nombreuses crises d'extinctions, brèves périodes de forte diminution de la biodiversité, suivies de phases de reconquêtes de la biosphère, correspondant à la diversification des espèces qui ont survécu. Au cours des 540 derniers millions d'années, une vingtaine de crises plus ou moins intenses se sont ainsi succédées. La plus dévastatrice d'entre elles s'est déroulée il y a 252,6 millions d'années avec une violence encore aujourd'hui inégalée : la crise permo-triassique qui décima plus de 90% des espèces marines alors existantes. Gastéropodes de grande taille retrouvés dans des sédiments marins de l'Utah datés de seulement ~1 million d'années après l'extinction de masse Permien-Trias. La barre d'échelle représente 1cm. © A. Brayard / J. Thomas Suite à une telle crise, les conditions environnementales sont sévèrement perturbées : baisse de l'oxygénation des océans, empoisonnement des eaux, compétition accrue, effondrement des chaînes alimentaires, etc. Jusqu'à présent, il était admis qu'en réponse à ces perturbations, certains organismes marins tels que les gastéropodes ou les bivalves étaient atteints par une réduction drastique de leur taille, pendant et après la crise. Il fallait ensuite attendre plusieurs millions d'années pour que ces organismes recouvrent des tailles comparables à celles d'avant la crise. C'est ce que les scientifiques appellent l' «effet Lilliput » en référence au fabuleux voyage de Gulliver [3] qui s'échoua sur l'île éponyme où tous les individus, les Lilliputiens, étaient de petite taille. Une équipe internationale de paléontologues français, allemands, américains et suisses vient de découvrir des fossiles de gastéropodes de grande taille datés seulement de 1 million d'années après la crise permo-triassique. Ces chercheurs se consacrent depuis plusieurs années à l'étude de la reconquête qui suit l'extinction de masse permo-triasique. En concentrant leurs efforts sur des affleurements de l'Utah datés du début du Trias inférieur mais encore non-étudiés en détail, ils ont mis à jour des spécimens de gastéropodes exceptionnels, jusqu'à 7 cm, que l'on peut qualifier de « géants » en comparaison de ceux généralement retrouvés possédant une taille inférieure à 1 cm. L'étude complémentaire de ces nouvelles faunes de gastéropodes indique aussi qu'elles ne sont pas plus petites que des faunes plus âgées ou que les faunes actuelles. Cette découverte réfute donc l'existence d'un effet Lilliput chez les gastéropodes pendant la majeure partie du Trias inférieur, ou du moins indique que son importance a été surestimée. De façon surprenante, la présence de ces gastéropodes de grande taille coïncide aussi avec une reconquête explosive du domaine océanique par certains organismes comme les ammonites [4, 5]. Ces différents événements suggèrent ainsi que la restructuration des écosystèmes marins était déjà bien engagée seulement un million d'années après la crise, ce qui est extrêmement rapide après une crise d'une telle ampleur. Les scientifiques vont poursuivre l'étude des fossiles découverts dans ce gisement de l'Utah à la recherche d'autres espèces, comme les bivalves, pour vérifier ces nouvelles données. Mais ces travaux permettent déjà de penser que les paléontologues vont devoir réviser leurs estimations concernant l'impact immédiat et à long terme des crises d'extinction sur les espèces. En savoir plus http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2272_extinction_majeure_permien_foss... 22/02/2010 Extinctions massives : des fossiles "géants" révolutionnent les connaissances actuelles... Page 2 of 2 En savoir plus Notes [1] Les gastéropodes concernés par cette étude sont des mollusques vivants sur les fonds marins apparentés par exemple aux escargots terrestres actuels. [2] La crise permo-triassique, du nom des deux périodes géologiques qui l'encadrent, le Permien (299 – 252,6 M.a.) et le Trias (252,6 – 201,6 M.a.), est la plus grande extinction de masse jamais documentée. Elle marque la fin de l'ère Primaire, ou Paléozoïque, et le début de l'ère Secondaire, ou Mésozoïque. [3] Les Voyages de Gulliver écrit par J. Swift au 18ème siècle. [4] Les ammonoïdes sont des mollusques céphalopodes nageurs apparentés aux nautiles, seiches et calmars actuels. Munies d'une coquille externe, elles disparaissent des océans du globe en même temps que les dinosaures, il y a 65 millions d'années, après avoir été un élément majeur des faunes marines durant près de 400 millions d'années. [5] Voir en complément Brayard et al. 2009. Science 235 : 1118-1121 et le communiqué de presse associé Référence Brayard A., Nützel A., Stephen D.A., Bylund K.G., Jenks J. and Bucher H. 2010. Gastropod evidence against the Early Triassic Lilliput effect. Geology, 38 (2): 147-150. Liens Forum de discussions sur la biodiversité Auteur Centre National de la Recherche Scientifique Les opinions exprimées dans cet article n'engagent que leur auteur et ne reflètent pas nécessairement celles de notre-planete.info Actualités connexes 24/05/2004 Un météorite à l'origine de l'extinction de masse de la fin du Permien 2 commentaires sur cette actualité masquer Marot Melun - 12/02/2010, 12:09 Référence originale : http://www2.cnrs.fr/presse/communique/1785.htm à compléter utilement avec http://www2.cnrs.fr/presse/communique/1657.htm sur l'explosion des ammonites. Marot Melun - 12/02/2010, 12:20 Complément : la référence originale était donnée dans l'article, je n'ai fait qu'un doublon. Un autre article mais en anglo-saxon sur l'effet Lilliput est ici : http://www.usatoday.com/tech/science/discoveries/2006-11-16-lilliput-effect_x.htm http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2272_extinction_majeure_permien_foss... 22/02/2010 Fósiles gigantes revolucionan el pensamiento actual 1 sur 2 Noticias Enlaces Filosofía Música Canciones http://bitnavegante.blogspot.com/2010/02/fosiles-gigantes-revolucionan... Lugares Utilidades Search Guardar en del.icio.us junto con otros 2 lectores Contacto 15 febrero 2010 Fósiles gigantes revolucionan el pensamiento actual Tag 1 Orkut | Facebook | Twitter Blog de Divulgación científica y humanística tweet retweet Paleontología 0 comments Save to del.icio.us 0 hits! StumbleUpon Wikio Ref. AlphaGalileo . Fuente: CNRS Délégation París, Michel-Ange. Se han descubierto gasterópodos de gran tamaño [1], de hasta 7 cm., que datan de sólo un millón de años después de la mayor extinción en masa de todos los tiempos, la extinción del Pérmico-Triásico [2], por un equipo internacional, que incluye a un investigador francés del Laboratorio de Biogeociencia (CNRS / Université de Bourgogne), en colaboración con Alemania, colegas americanos y suizos. Estos ejemplares ponen en tela de juicio la existencia del "efecto Liliput", la consabida reducción del tamaño de los organismos que habitaban la biota posterior a la crisis, que por lo general abarca varios millones de años. Los resultados del equipo, publicados en la edición de febrero de la revista Geology, han cambiado drásticamente el pensamiento actual de los paleontólogos sobre la dinámica evolutiva y el funcionamiento de la biosfera tras una extinción masiva de tal magnitud. La historia de la vida en la Tierra ha estado marcada por numerosas extinciones en masa, durante breves períodos la biodiversidad se reducía considerablemente, seguida de fases de reconquista de la biosfera, correspondiendo a la diversificación de las especies que sobrevivieron. Durante los últimos 540 millones de años, se han sucedido una veintena de extinciones en masa, de mayor o menor intensidad. El más devastadora de estas, la del período Pérmico-Triásico (P-T), que diezmó a más del 90% de las especies marinas existentes en esa época, se produjo hace 252,6 millones años, con una violencia inigualable hasta la fecha. A raíz de tales acontecimientos, las condiciones ambientales se vieron gravemente afectadas: los océanos contenían menos oxígeno, el agua llegó a ser venenosa, aumentó la competencia, se colapsó la cadena de alimentos, etc. Hasta ahora, ha ha aceptado de manera general que determinados organismos marinos, tales como los gasterópodos o bivalvos, se vieron afectados por una drástica reducción de tamaño como respuesta a las perturbaciones importantes de esta naturaleza, tanto durante como después del evento. Les llevó varios millones de años a dichos organismos volver a tamaños comparables a los que existían antes de la crisis. Esto es lo que los científicos llaman el "efecto de Liliput", en referencia a los viajes de Gulliver [3], que naufragó en una isla del mismo nombre, habitada por muy pequeños liliputienses. Un equipo internacional de paleontólogos franceses, alemanes, suizos y americanos, han descubierto recientemente grandes fósiles gasterópodos que datan de sólo un millón de años después de la extinción en masa pérmico-triásica. Los investigadores han pasado varios años estudiando la fase de reconquista que siguió a la crisis del ese período. Centraron sus esfuerzos en los afloramientos de fósiles hallados en Utah, que data del Triásico temprano, que aún no habían sido estudiados en detalle, y descubrieron algunos ejemplares excepcionales de gasterópodos, de hasta 7 cm, que pueden ser denominado como "gigantes" en comparación a los que generalmente se encuentran, normalmente no más de 1 cm. Estudios complementarios de estas nueva fauna de gasterópodos también indican que no son más pequeños que los antiguos ni que la fauna presente hoy día. Este descubrimiento, por lo tanto, rechaza la existencia de un efecto Lilliput en los gasterópodos durante la mayor parte del Triásico temprano o, al menos, sugiere que su importancia ha sido sobrestimada. Es sorprendente, que la presencia de estos gasterópodos grandes también coincide con una explosivo de reconquista del océano por los amonites [4 y 5]. En conjunto, estos acontecimientos tanto, sugiero que la reestructuración de los ecosistemas marinos ya estaba en marcha sólo un millón de años después de la crisis del PT, un tiempo muy corto después de una extinción en masa de tal magnitud. 17/02/2010 9:19 AM Fósiles gigantes revolucionan el pensamiento actual 2 sur 2 http://bitnavegante.blogspot.com/2010/02/fosiles-gigantes-revolucionan... Los investigadores planean continuar estudiando los fósiles descubiertos en esta localidad de Utah, mientras que la búsqueda de otras especies y grupos, como los bivalvos, para confirmar estos nuevos datos. Sin embargo, estos hallazgos apuntan a que los paleontólogos van a tener que repensar el impacto inmediato ya largo plazo de las extinciones en masa de especies. .15/02/2010. - Información bibliográfica: Brayard A., Nützel A., Stephen D.A., Bylund K.G., Jenks, J. y Bucher H. 2010. "Gastropod evidence against the Early Triassic Lilliput effect". Geology, 38 (2): 147-150. [1] Los gasterópodos a los que se refiere el presente estudio son los moluscos que vivieron en el fondo del mar, y están relacionados, por ejemplo, con los actuales caracoles de tierra. [2] La extinción masiva del Pérmico-Triásico, el nombre de los dos períodos geológicos que la componen, a saber, el Pérmico (299 a 252,6 Ma) y el Triásico (252,6 a 201,6 Ma), es la mayor extinción en masa se haya documentado. Esto marca el final de la era Primaria (Paleozoico) y el comienzo de la era secundaria (o Mesozoica). [3] Los Viajes de Gulliver, escrita por Jonathan Swift, en el siglo XVIII. [4] Los amonites, relacionados con los actuales nautilus, sepias y calamares, son moluscos cefalópodos de libres natación con conchas externas. Desaparecieron de los océanos del mundo al mismo tiempo que los dinosaurios, hace 65 millones de años, después de haber sido una parte importante de la fauna marina durante casi 400 millones de años. [5] Véase también Brayard et al. 2009. Science 235: 1118-1121, y el comunicado de prensa: http://www2.cnrs.fr/presse/communique/1657.htm. Comentarios 0 comments ¿Quieres añadir algo? 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En regardant en streaming ou en baladodiffusion 10 podcast vidéo de 5 minutes destinées au grand public, qui seront mis en ligne à partir du 16 février et jusqu'au 20 avril. Une collection produite par le CNRS et le Muséum. Grandes crises d'extinction : des fossiles « géants » révolutionnent les connaissances actuelles 09-02-2010 Des gastéropodes (1) de grande taille (jusqu'à 7 cm) datant seulement de 1 million d'années après la plus grande crise d'extinction de tous les temps, la crise permo-triassique (2), ont été découverts par un chercheur du laboratoire Biogéosciences (CNRS/Université de Bourgogne) en collaboration avec des collègues allemands, américains et suisses. Ces spécimens remettent en cause l'existence d'un effet « Lilliput » entraînant une diminution de la taille de ces organismes pendant plusieurs millions d'années après cette crise d'extinction. Ces résultats, publiés dans le numéro de février 2010 de la revue Geology, bouleversent les conceptions des paléontologues sur la dynamique évolutive et le fonctionnement de la biosphère après une crise d'extinction de masse. Les aires marines protégées : une solution à la sauvegarde du manchot 09-02-2010 Des chercheurs du centre d'écologie fonctionnelle et évolutive (CNRS/Universités Montpellier 1,2,3/Montpellier SupAgro/CIRAD/EPHE) et de l'Université du Cap en Afrique du Sud (1) montrent que la fermeture à la pêche de zones dans l'océan sont bénéfiques aux manchots du Cap, une espèce endémique à l'Afrique australe en voie d'extinction qui se nourrit exclusivement de poissons. Ce constat est le résultat d'une expérience inédite menée par ces chercheurs sur deux colonies de manchots en coordination étroite avec les autorités gouvernementales et les industries de la pêche sud africaines. Ces résultats sont publiés le 10 février 2010 sur le site de la revue Biology Letters. Création de l'Alliance pour l'Environnement « AllEnvi » "Alimentation, Eau, Climat, Territoires" 09-02-2010 Douze acteurs de la recherche scientifique (1) se regroupent pour créer l'Alliance nationale de recherche pour l'Environnement AllEnvi. Quatrième alliance de recherche après les alliances pour la santé (Aviesan), l'énergie (Ancre) et le numérique (Allistene), AllEnvi a pour principale mission d'organiser, en métropole et en outre-mer, une meilleure synergie des acteurs de la recherche sur les problématiques scientifiques liées à l'alimentation, à l'eau, au climat et aux territoires. Pourquoi aller nicher si loin au nord ? 14-01-2010 Pourquoi les oiseaux prennent-ils tant de risques pour aller nicher si loin au nord ? A partir d'une étude réalisée dans l'Arctique canadien, des chercheurs canadiens et français (Centre d'écologie fonctionnelle et évolutive, CNRS/Université de Montpellier 1, 2 et 3/ ENSA Montpellier/CIRAD/Ecole pratique des Hautes études) ont démontré que les risques de prédation des ufs variaient en fonction de la latitude où était installés leurs nids. Ces résultats sont publiés dans la revue Science du 15 janvier 2010. Muséum - Invitation jeudi 14/01/10- Lancement du nouveau site Internet de l'inventaire national du Patrimoine naturel 11-01-2010 Invitation presse - janvier 2010 Conférence de presse Jeudi 14 janvier 2010 à 9H Amphithéâtre Rouelle Jardin des Plantes 57 rue Cuvier, Paris V Sauver la biodiversité 07-01-2010 Conférence de presse Jeudi 7 janvier 2010 à 11H CNRS, 3 rue Michel-Ange, 75016 Paris (Métro Michel-Ange) La France abritait l'esturgeon atlantique jusqu'alors inconnu sur son territoire 15-12-2009 Jusqu'à présent, une seule espèce d'esturgeon était connue en France : l'esturgeon européen. Nathalie Desse-Berset, archéozoologue au CNRS (1), vient de démontrer, pour la première fois, qu'une autre espèce, auparavant inconnue sur le territoire national, avait peuplé les eaux françaises : l'esturgeon atlantique. Cette espèce se trouvait dans la zone atlantique française à la fin du Néolithique, il y a 5 000 ans, et y prospérait encore 3 000 ans plus tard. De plus, une cohabitation entre esturgeons européen et atlantique existait à cette époque sur certains sites. Cette découverte s'avère d'une importance capitale pour les programmes de réintroduction des esturgeons dans les fleuves européens. Publiés mi-décembre dans les Comptes-rendus de l'Académie des sciences, ces résultats initient de nouvelles recherches en archéozoologie mais également en paléoécologie et paléogénétique, afin d'obtenir des informations complémentaires sur ces populations en voie d'extinction dans toute l'Europe. Les premières traces d'activités humaines connues en Europe occidentale repoussées de plus de 200 000 ans. 15-12-2009 Une équipe mixte du Muséum national d'Histoire naturelle et du CNRS vient de mettre au jour un site archéologique d'exception dans la vallée de l'Hérault (Sud de la France). La carrière de basalte de la commune de Lézignan-la-Cèbe révèle en effet l'existence d'une nouvelle faune « villafranchienne (1) du Pléistocène inférieur (entre 1,8 million d'années et 780 000 ans), couplée à un cortège d'objets fabriqués par l'homme (aussi appelés artéfacts). Cette découverte assez inédite et fortuite est en partie due à un autochtone de la commune voisine. Une première expertise patrimoniale du site menée fin août 2008 met en exergue son intérêt et l'opportunité qu'il offre pour mieux comprendre l'arrivée des premiers Hominidés en Europe. Les résultats de ces études sont publiés dans les derniers Comptes Rendus de l'Académie des sciences - série PALEVOL, dans un article présenté par Yves Coppens. Paludisme : une mutation génétique avantageuse en Asie du Sud-est 10-12-2009 Grâce à une vaste étude de génétique évolutive et épidémiologique, menée pendant huit ans en Thaïlande, des chercheurs de l'Institut Pasteur et du CNRS viennent de montrer qu'une mutation particulièrement répandue au sein de certaines populations d'Asie du Sud-est confère une résistance accrue contre le paludisme. Ces travaux, publiés dans la revue Science du 11 décembre, révèlent également que cette mutation avantageuse est apparue il y a 1500 ans et qu'elle a considérablement augmenté le taux de survie de ces populations. Découverte d'une nouvelle espèce d'arbre Andiroba au Guyana 03-12-2009 Une équipe de botanistes à laquelle appartiennent des scientifiques du Muséum national d'Histoire naturelle et du CNRS, Pierre-Michel Forget et Odile Poncy, vient de décrire une nouvelle espèce d'arbre endémique du Guyana central(1) Carapa akuri, suite à une série de missions(2) réalisées entre 2003 et 2006. Ce précieux travail de terrain, associé à une combinaison d'études phylogénétiques et morphologiques a permis la mise en évidence de cette nouvelle espèce et de souligner sa fragilité. Les résultats de cette étude sont publiés dans la revue Brittonia (New York Botanical Garden) du mois de décembre. Une erreur taxonomique accentue les risques d'extinction de la plus emblématique des raies européennes 18-11-2009 Une équipe de scientifiques de la Station de biologie marine de Concarneau (Laboratoire de Biologie des organismes et écosystèmes aquatiques Unité Mixte de Recherche Muséum national d'Histoire naturelle/CNRS/UPMC/IRD), co-dirigée par Samuel Iglésias, Maître de Conférence, et Daniel Sellos, directeur de la Station, a découvert récemment que deux espèces distinctes de raies ont été confondues et regroupées sous l'unique dénomination "Dipturus batis" depuis des dizaines d'années. Cette longue confusion a entravé les efforts de conservation de ces deux espèces dont l'une est aujourd'hui particulièrement menacée d'extinction suite à des années de surpêche. Les résultats de cette étude seront publiés le 19 novembre dans la revue Aquatic Conservation : Marine and Freshwater Ecosystems et seront prochainement commentés dans la rubrique "News & Views" de la revue Nature. http://planet-terre.ens-lyon.fr/planetterre/actualite_des_labos/rss_externe/sinList?syn... 22/02/2010 Grandes crises d'extinction : des fossiles « géants » révolutionnent les connaissances a... Page 1 of 2 Accueil Annonces Google Actualités Biodiversité Crise Économie Menaces Conservation Dinosaure Actuelles Photos Expertises Coloriages Animaux Veille juridique Ere Vous êtes ici : > Accueil > Actualités > > Grandes crises d'extinction : des fossiles « géants » révolutionnent les connaissances actuelles Biodiversité Grandes crises d'extinction : des fossiles « géants » révolutionnent les connaissances actuelles Monographie de la Faune Auteur de l'article Communiqués de presse Monographie de la Flore Voir sa fiche Fiches habitats Hotspot Bilan Personnel de 2009 Glossaire Faites le point sur l'année 2009 Et préparez 2010 ! + de 80 voyants Annonce voyance.avigora.com Pour les Femmes Actuelles Bases de données Rien que pour Vous, Mesdames Prix Bas Incroyable mais Vrais ! 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Ces spécimens remettent en cause l'existence d'un effet « Lilliput » entraînant une diminution de la taille de ces organismes pendant plusieurs millions d'années après cette crise d'extinction. Ces résultats, publiés dans le numéro de février 2010 de la revue Geology, bouleversent les conceptions des paléontologues sur la dynamique évolutive et le fonctionnement de la biosphère après une crise d'extinction de masse. L'histoire de la vie sur Terre est ponctuée de nombreuses crises d'extinctions, brèves périodes de forte diminution de la biodiversité, suivies de phases de reconquêtes de la biosphère, correspondant à la diversification des espèces qui ont survécu. Au cours des 540 derniers millions d'années, une vingtaine de crises plus ou moins intenses se sont ainsi succédées. La plus dévastatrice d'entre elles s'est déroulée il y a 252,6 millions d'années avec une violence encore aujourd'hui inégalée : la crise permo-triassique qui décima plus de 90% des espèces marines alors existantes. Suite à une telle crise, les conditions environnementales sont sévèrement perturbées : baisse de l'oxygénation des océans, empoisonnement des eaux, compétition accrue, effondrement des chaînes alimentaires, etc. Jusqu'à présent, il était admis qu'en réponse à ces perturbations, certains organismes marins tels que les gastéropodes ou les bivalves étaient atteints par une réduction drastique de leur taille, pendant et après la crise. Il fallait ensuite attendre plusieurs millions d'années pour que ces organismes recouvrent des tailles comparables à celles d'avant la crise. C'est ce que les scientifiques appellent l' «effet Lilliput » en référence au fabuleux voyage de Gulliver (3) qui s'échoua sur l'île éponyme où tous les individus, les Lilliputiens, étaient de petite taille. Une équipe internationale de paléontologues français, allemands, américains et suisses vient de découvrir des fossiles de gastéropodes de grande taille datés seulement de 1 million d'années après la crise permo-triassique. Ces chercheurs se consacrent depuis plusieurs années à l'étude de la reconquête qui suit l'extinction de masse permo-triasique. En concentrant leurs efforts sur des affleurements de l'Utah datés du début du Trias inférieur mais encore non-étudiés en détail, ils ont mis à jour des spécimens de gastéropodes exceptionnels, jusqu'à 7 cm, que l'on peut qualifier de « géants » en comparaison de ceux généralement retrouvés possédant une taille inférieure à 1 cm. L'étude complémentaire de ces nouvelles faunes de gastéropodes indique aussi qu'elles ne sont pas plus petites que des faunes plus âgées ou que les faunes actuelles. Cette découverte réfute donc l'existence d'un effet Lilliput chez les gastéropodes pendant la majeure partie du Trias inférieur, ou du moins indique que son importance a été surestimée. De façon surprenante, la présence de ces gastéropodes de grande taille coïncide aussi avec une reconquête explosive du domaine océanique par certains organismes comme les ammonites (4, 5). Ces différents événements suggèrent ainsi que la restructuration des écosystèmes marins était déjà bien engagée seulement un million d'années après la crise, ce qui est extrêmement rapide après une crise d'une telle ampleur. Les scientifiques vont poursuivre l'étude des fossiles découverts dans ce gisement de l'Utah à la recherche d'autres espèces, comme les bivalves, pour vérifier ces nouvelles données. Mais ces travaux permettent déjà de penser que les paléontologues vont devoir réviser leurs estimations concernant l'impact immédiat et à long terme des crises d'extinction sur les espèces. http://www.conservation-nature.fr/article5.php?id=9 Boules de lavage à 7,03 € Toutes balles-boules lavage dispo Testées Très Economique-Port bas www.paradirect.fr Assainissement de l'air Guide gratuit protégez votre maison des risques graves d'un air pollué www.lesguidesagir.com Sauver son couple Les 5 grandes erreurs à éviter Document gratuit www.sauver-son-couple.com Playmobi® Dinosaures Les "Dinosaures" Playmobil en stock Promo 25% avec code 'reductionmax' www.enseigne-iplanete.com/Playmobil 22/02/2010 Grandes crises d'extinction : des fossiles « géants » révolutionnent les connaissances a... Page 2 of 2 © A. Brayard/J. Thomas Gastéropodes de grande taille retrouvés dans des sédiments marins de l'Utah datés de seulement ~1 million d'années après l'extinction de masse Permien-Trias. La barre d'échelle représente 1cm. Cette image est disponible à la photothèque du CNRS, [email protected] © A. Brayard Affleurement fossilifère de l'Utah où ont été découverts les gastéropodes de grande taille datés du Trias inférieur. On peut aussi y reconnaître des ammonoïdes et des bivalves. Cette image est disponible à la photothèque du CNRS, [email protected] Notes : (1) Les gastéropodes concernés par cette étude sont des mollusques vivants sur les fonds marins apparentés par exemple aux escargots terrestres actuels. (2) La crise permo-triassique, du nom des deux périodes géologiques qui l'encadrent, le Permien (299 – 252,6 M.a.) et le Trias (252,6 – 201,6 M.a.), est la plus grande extinction de masse jamais documentée. Elle marque la fin de l'ère Primaire, ou Paléozoïque, et le début de l'ère Secondaire, ou Mésozoïque. (3) Les Voyages de Gulliver écrit par J. Swift au 18ème siècle. (4) Les ammonoïdes sont des mollusques céphalopodes nageurs apparentés aux nautiles, seiches et calmars actuels. Munies d'une coquille externe, elles disparaissent des océans du globe en même temps que les dinosaures, il y a 65 millions d'années, après avoir été un élément majeur des faunes marines durant près de 400 millions d'années. (5) Voir en complément Brayard et al. 2009. Science 235 : 1118-1121 et le communiqué de presse associé : Consulter le site web Références : Brayard A., Nützel A., Stephen D.A., Bylund K.G., Jenks J. and Bucher H. 2010. Gastropod evidence against the Early Triassic Lilliput effect. Geology, 38 (2): 147-150. Agrandir Réduire Même thématique... Préserver la biodiversité : un impératif vital par Communiqués de presse Grandes crises d'extinction : des fossiles « géants » révolutionnent les connaissances actuelles par Communiqués de presse Contact | Mentions légales | Copyright © 2008-2010 Conservation-nature.fr | Retrouvez nous sur Twitter et Facebook | http://www.conservation-nature.fr/article5.php?id=9 22/02/2010 http://www.cite-sciences.fr/francais/ala_cite/science_actualites/sitesac... Des fossiles géants qui en disent long… Des gastéropodes de grande taille (jusqu’à 7 cm), retrouvés* dans des sédiments marins de l’Utah (États-Unis) et datant de 1 million d’années après la grande phase d’extinction de masse permotriassique**, remettent en cause la théorie d’une diminution de la taille des êtres vivants, appelée « effet Lilliput », qui, pensait-on jusqu’à présent, durait plusieurs millions d’années après chaque crise. 1 sur 1 17/02/2010 9:14 AM 'Giant' Fossils Change Views on Extinction Events - Anthropologists ar... 1 sur 2 http://news.softpedia.com/news/Giant-Fossils-Change-Views-on-Extinc... Keywords Google Releases Gesture Search for Android NEWS CATEGORIES: NEW! Gadgets CeBIT 2010 Home > News > Science > History History Science Technology Webmaster Animals of the World A fun illustrated guide to learn about animal endangerment Security www.konicaminolta.com Microsoft Linux Apple Games Telecoms Reviews By Tudor Vieru, Science Editor February 13th, 2010, 00:00 GMT 'Giant' Fossils Change Views on Extinction Events Adjust text size: Anthropologists are puzzled by new findings Editorials Interviews Ads by Google Life and Style High-End Fossils Retailer Prehistoric Fossils Great Inventory, Prices, & Service www.stonesbones.com Megalodon Shark Teeth 200+ Megalodon Shark teeth from $25 Weekly Updates & Free Shipping www.megateeth.com Fossils For Sale Best fossils for sale museum and collector grade www.snfossils.com Diversity Indicies Simple to use, fast and proven for students and researchers www.piscesconservation.com Asteroid Fossils Earth Jurassic Extinction Scientists working on analyzing fossils of gastropods found to be dating just one million years after the Permian-Triassic extinction event were puzzled to discover specimens that were up to seven centimeters in size. The P-T boundary was the largest event of the five extinctions, leading to more than 90 percent of all species going extinct some 252.6 million years ago. Anthropologists and paleontologists know that any such event triggers the “Lilliput Effect,” which means that species grow smaller in size, so as to adapt to the new, post-apocalyptic environment. Under this theory, the new findings make no sense. NEWS ARCHIVE >> SOFTPEDIA REVIEWS >> MEET THE EDITORS >> Ads by Google Giant Panda A group of scientists from France, Germany, Switzerland and the United States says that the new fossils call into question whether the Effect is actually founded in reality of not. Previously, experts believed that postcrisis biota tended to get a reduced size for at least several millions of years, after which time they were indeed expected to grow in size again. But evolutionary dynamics apparently work by other dynamics than the ones existing theories proposed. Biospheres also appear to be functioning quite differently than predicted, AlphaGalileo reports. Details of the new investigation appear in the February issue of the esteemed journal Geology. The findings are all the more baffling since the fossils were found to be dating around the time of the P-T boundary, which destroyed most living things on Earth with a level of brutality that had never been equaled before or since. The two main implications of this are that either the importance of the Lilliput Effect has been gravely exaggerated, or that it did not exist in gastropods during the major part of the Early Triassic. Generally, this class of creatures, which includes snails, grows to be only about one centimeter in length, therefore finding the giants really doesn't make any sense. At about the same time, around 251 million years ago, the reconquest of the seas appears to have been well underway. In addition to the gastropods, the researchers also found signs that other organisms, such as ammonites, were also replicating fast. These organisms are free-swimming cephalopod mollusks with external shells, which are similar to the modern nautilus, cuttlefish and squid. They were wiped out of existence during the K-T extinction event, more than 65 million years ago. This was the same devastation that killed off the dinosaurs. Ads by Google Evidence of God Endangered Species Australian Animals Extinct Species Current Events Rocks and Minerals Buy rocks and minerals specimens. Rough, polished, crystals & more. www.GondwanaResources.c TAGS: gastropods | fossils | P-T extinction | extinction events | Lilliput Effect SHARE THIS TWEET THIS Read by 703 user(s) | Add comment | Link to this article Survival of the Tigers Learn how genomics & bioinformatics can help save the tigers www.mgrc.com.my Article rating: Excellent (5.0/5) 1 vote(s) MORE RELATED ARTICLES: Subscribe to news | Print article | Send to friend © Copyright 2001-2010 Softpedia Contact: SEARCH THE NEWS ARCHIVE : Search How Mammals Survived the K-T Event Humans Caused the Extinction of Australia's Giants We Almost Went Extinct 1.2 Million Years Ago How Alligator Ancestors Got to Dominate the World Dinosaur-Killing Asteroid Impact Not Followed by Wildfires Mammoths May Have Survived for Longer than Thought Asteroid Did Not Set Earth on Fire Today's News | Yesterday's News | News Archive Antarctica Was a Safe Heaven During Extinction Events 04/03/2010 10:04 AM France Bleu Bourgogne - Informations 1 sur 2 http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-bleu/?nr=6320814c054d1aa9fc... >NOS RADIOS Accueil réseau France Bleu Lundi 15 Février Votre Radio Accueil Informations Evénements Musique Dossiers Horoscope de Martin Fréquences Logos Ecrivez-nous Aide / Ecoute Régions Favorites Aucune région dans vos favoris Bourgogne Accueil > Votre Radio > Informations Informations Les dernières dépêches de la rédaction Le journal de 8h Archives journaux Archives reportages L'essentiel de l'actualité en Bourgogne par Thomas Nougaillon Un chercheur Dijonnais sort de sa coquille aux Etats-Unis...! Les politiques se bousculent en Bourgogne...! Les régionales on en parle aussi ce soir avec notre invité politique... A Votre Service Météo Petites Annonces Emploi Sortir/Découvertes Communiqués de presse Covoiturage Réseau France BLEU Accueil Les Evénements 15/02/2010 12:29 PM France Bleu Bourgogne - Informations 2 sur 2 http://sites.radiofrance.fr/chaines/france-bleu/?nr=6320814c054d1aa9fc... Un chercheur Dijonnais sort de sa coquille aux Etats-Unis...! Des fossiles de gastéropodes géants de 7 à 10 centimetres disparus il y a 250 millions d'années... C'est la découverte effectuée par un chercheur dijonnais aux Etats Unis... Cette découverte remet en cause bien des théories scientifiques sur la croissance des espèces... Ecoutez le reportage de Pierre Loriaux Les politiques se bousculent en Bourgogne...! Au fur et à mesure qu'on approche du premier tour des régionales -le 21 mars prochain- on voit de plus en plus de politiques de tout bord dans notre région... Aujourd'hui MarieGeorge Buffet, secrétaire nationale du Parti Communiste organise une réunion publique à Chalon-sur-Saône... C'est à partir de 18H00 salle du Clos Bourguignon, rue de Belfort... Christian Estrosi ministre chargé de l'Industrie est lui aussi en Saône-et-Loire cet après-midi... avec au menu une visite du pôle nucléaire bourguignon à Chalon et une visite de l'entreprise Turbine Casting au Creusot... Christian Estrosi doit par ailleurs animer une réunion publique à partir de 19H00 à la salle des fêtes de Blanzy. Il s'agit de soutenir les listes UMP / Nouveau Centre conduite dans la région par François Sauvadet... Les régionales on en parle aussi ce soir avec notre invité politique... Le Vert Philippe Hervieu sera de 18H45 à 19H00 aux côtés d'Arnaud Bousquet... Il nous dira pourquoi, contrairement à 2004, les Verts ne sont pas dès le 1er tour avec le Parti Socialiste de François Patriat... L'association beaunoise pour l'hébergement des errants recherche des bénévoles…! Reportage La Gentiane Bleue emmène depuis 20 ans les Dijonnais au ski...! par Victor Guilbert 15 Février 2010 Ce train TER, part de Dijon tous les week-end durant l'hiver direction la station de ski de Metabief dans le Doubs. Et avant de monter à bord mieux vaut réserver car c'est souvent complet dès le début de semaine... Mathieu Sapin, B.D héroïque à tête de chou...! par Arnaud Bousquet 15 Février 2010 Un dijonnais dans les coulisses d'un film évènement en ce début d'année 2010... Le dessinateur Mathieu Sapin qui a suivi le tournage de "Gainsbourg, vie héroïque" vient de sortir une bande dessinée de 400 pages... Elle s'appelle "Tête de Chou, journal d'un tournage"... Leur local qui s'appelle le "Refuge" dispose d'une capacité d'accueil de 6 lits destinés aux SDF... Il est ouvert tous les jours de 18h30 à 19h30 jusqu'au 30 Avril… Et il faut évidemment des bénévoles tous les jours pour les accueillir. Permettre aux handicapés pauvres de vivre chez eux... Le Conseil général de Saône-et-Loire souhaite encourager le maintien à domicile des personnes handicapées aux revenus modestes... Pour accompagner les travaux d'adaptation de leur logement… l'installation d'un ascenseur ou d'une salle de bains adaptée... il est possible d'obtenir des prêts à taux zéro… 55 familles de Saône-et-Loire en ont déjà bénéficié... Rugby: le Stade Dijonnais bat massy, peut-être une victoire pour rien...! C'est un match en retard de la 13ème journée de fédérale 1, les Dijonnais se sont imposés 28 / 25 au terme d'un match à 2 visages... avec tout d'abord une équipe dijonnaise conquérante inscrivant 3 essais dans les 25 premières minutes puis une équipe dijonnaise qui a du mal à faire le break... Avec cette victoire poussive -sans bonus offensif- les Dijonnais pourraient bien être privés définitivement d'une participation au trophée Jean-Prat... Trophée qui correspond en fait aux plays-offs du championnat. Par ailleurs la saison prochaine les dirigeants du club dijonnais qui veulent s'attacher les services d'un entraineur professionnel vont se séparer de leur entraineur actuel Eddy Joliveau... Celui-çi a en effet refusé ce poste. 15/02/2010 12:29 PM Effetto Lilliput: ipotesi da rivedere - Science Backstage 1 sur 2 http://sciencebackstage.blogosfere.it/2010/03/effetto-lilliput-ipotesi-da-... Science Backstage Dietro le quinte della ricerca MAR 10 29 Effetto Lilliput: ipotesi da rivedere Pubblicato da Gianluigi Filippelli alle 10:02 in Evoluzione, News Gasteropodi(1) di grandi dimensioni (sui 7 cm) di circa 1 milione di anni dopo la più grande estinzione di massa di tutti i tempi (di estinzioni di massa ne parla anche Aldo Piombino), quella del Permiano-Triassico(2), sono stati scoperti da un gruppo di ricerca internazionale costituito da ricercatori francesi dal Laboratoire Biogéosciences del CNRS presso l'Università di Borgogna, insieme con colleghi tedeschi, americani, svizzeri. Questa scoperta mette in dubbio l'esistenza di un effetto Lilliput, ovvero la riduzione delle dimensioni degli organismi viventi dopo l'avvento di una crisi, normalmente estesa su un arco di diversi milioni di anni. I risultati del gruppo di ricerca, pubblicati a fine febbraio su Geology, hanno drasticamente cambiato le attuali idee dei paleontologi riguardo le dinamiche evoluzionistiche e il modo in cui funziona la biosfera dopo una estinzione di massa. La storia della vita sulla Terra è stata costellata da numerose estinzioni di massa, brevi periodi durante i quali la biodiversità si è considerevolmente ridotta, seguiti da fasi di riconquista della biosfera, corrispondenti con la diversificazione delle specie sopravvissute. Negli ultimi 540 milioni di anni, si sono succedute una ventina di estinzioni di massa, di varia intensità. La più devastante di queste, quella del Permiano-Triassico (PT), ha decimato più del 90% delle specie marine esistenti a quel tempo, il tutto 252,6 milioni di anni fa con una violenza che finora non ha eguali. Dopo tali eventi, le condizioni ambientali sono severamente perturbate: gli oceani diventano meno ossigenati, le acque si avvelenano, c'è un aumento della competizione e un collasso della catena alimentare, e via via altri effetti a catena. Finora, era generalmente accettato che alcuni organismi marini, come gasteropodi o bivalvi, avevano subito una drastica riduzione di dimensioni come risposta alle gravissime perturbazioni naturali, sia durante che dopo il PT. Sono occorsi diversi milioni di anni perché questi organismi tornassero a dimensioni paragonabili a quelle precedenti alla crisi: è questo quello che viene comunemente chiamato effetto Lilliput, come riferimento ai Viaggi di Gulliver, giunto ad un certo punto su un isola popolata da esseri piccolissimi, i lillipuzziani. La collaborazione internazionale di cui sopra, guidata dal CNRS, ha recentemente scoperto dei fossili di gasteropodi decisamente grandi di circa 1 milione di anni più tardi rispetto all'evento PT. I ricercatori hanno passato diversi anni studiando la fase di riconquista seguita alla PT. Concentrando i loro sforzi su alcuni fossili trovati nello Utah e datati Triassico Inferiore, che non erano ancora stati studiati in dettaglio, hanno scoperto alcuni esemplari di gasteropodi eccezionalmente lunghi, fino a 7 cm, rispetto a quelli generalmente scoperti, in media non più grandi di 1 cm. Studi complementari su questi nuovi gasteropodi indicano che non sono più piccoli dei più vecchi o di quelli attuali. Questa scoperta, dunque, rigetta l'esistenza di un effetto Lilliput per i gasteropodi durante la maggior parte del Triassico Inferiore o, almeno, suggerisce che la sua importanza è stata sovrastimata. Abbastanza sorprendente, la presenza di questi grandi gasteropodi coincide anche con una riconquista esplosiva dell'oceano da parte degli ammoniti(3). Insieme, questi eventi suggeriscono che la ristrutturazione dell'ecosistema marino era già ben avviata dopo appena un milione di anni dopo il PT, un tempo molto breve dopo un'estinzione di massa di quella intensità. I ricercatori hanno programmato il prosieguo dello studio sui fossili scoperti nello Utah mentre cercano altre specie e gruppi, come i bivalvi, per confermare questi nuovi dati. Comunque, queste scoperte suggeriscono la necessità di ripensare all'impatto a breve e lungo termine delle estinzioni di massa sulle specie. (1) I gasteropodi oggetto dello studio sono molluschi vissuti sui fondali marini e sono parenti, ad esempio, delle attuali lumache terrestri. (2) L'estinzione di massa del Permiano-Triassico, così detta dalle due ere geologiche che sono state coinvolte, il Permiano e il Trissico, è la più grande estinzione di massa mai documentata. Ha segnato la fine dell'era Paleozoica e l'inizio di quella Mesozoica. 31/03/2010 12:08 PM Effetto Lilliput: ipotesi da rivedere - Science Backstage 2 sur 2 http://sciencebackstage.blogosfere.it/2010/03/effetto-lilliput-ipotesi-da-... (3) Gli ammoniti, parenti degli attuali molluschi, come seppie e calamari, sono cefalopodi con una serie di gusci esterni. Scomparvero dagli oceani nello stesso periodo dei dinosauri, 65 milioni di anni fa, dopo essere stati i più diffusi abitatori marini per 400 milioni di anni. Per approfondire, vedi anche Brayard et al. 2009. Science 235: 1118-1121. (da Mass Extinctions: 'Giant' Fossils Are Revolutionizing Current Thinking - segnalazione via Fabristol con riferimento ad articolo sul Corriere) Commenta » | Trackback Tag: evoluzione, fossili, francia, germania, news, stati uniti, svizzera Pubblicità Pubblicità Leggi anche: Terremoti: ultimi articoli dall'INGV - 25 Mar 2010 Nanotecnologie: la desalinizzazione dell'acqua - 23 Mar 2010 Assegnato il primo Premio del Millennio - 22 Mar 2010 L'oscura leggerezza dell'universo: le WIMP su Science Magazine - 19 Mar 2010 La struttura tetraedrica dell'acqua superfredda - 18 Mar 2010 Trackback Indirizzo di Trackback per questo post: http://blog.blogosfere.it/mte/mt-tb.php?tb_id=217774 Commenti Copyright © 2005-2010 Blogosfere, P.IVA 05221970964 Quest'opera è pubblicata con una Licenza Creative Commons 31/03/2010 12:08 PM