Bilan Jean-Mathieu - Blogs du Cégep de Sainte-Foy
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Bilan Jean-Mathieu - Blogs du Cégep de Sainte-Foy
Jean-Mathieu Bazinet Groupe B Toon Boom Travail présenté à madame Julie Coté Apprentissage autonome 582-FXA-06 Département des Techniques de communication Programme des Techniques d'intégration multimédia Cégep de Sainte-Foy 25 mars 2013 Table des matières Introduction ............................................................................................................................................ 2 Synthèse des travaux ............................................................................................................................ 2 Recherche ........................................................................................................................................................... 2 L’expérimentation ........................................................................................................................................... 3 Une panoplie d’outils pratiques ............................................................................................................................ 4 Tablette pivotante ...................................................................................................................................................... 4 L’onion skin ................................................................................................................................................................... 4 La palette de couleur personnalisable et adaptive ....................................................................................... 5 La synchronisation libiale ....................................................................................................................................... 5 Les symboles ................................................................................................................................................................. 5 Les bones ........................................................................................................................................................................ 5 Le Morphing .................................................................................................................................................................. 6 L’environnement 3D et caméras .......................................................................................................................... 6 Bilan des problèmes rencontrés ...................................................................................................... 7 Bilan de la progression du travail .................................................................................................... 7 Semaine 1 ........................................................................................................................................................... 7 Semaine 2 ........................................................................................................................................................... 8 Semaine 3 ........................................................................................................................................................... 8 Semaine 4 ........................................................................................................................................................... 8 Semaine 5 ........................................................................................................................................................... 8 Semaine 6 ........................................................................................................................................................... 8 Semaine 7 ........................................................................................................................................................... 9 Semaine 8 ........................................................................................................................................................... 9 Technologies ........................................................................................................................................... 9 Perspectives ......................................................................................................................................... 10 Conclusion ............................................................................................................................................. 10 Médiagraphie ....................................................................................................................................... 12 Annexes .................................................................................................................................................. 13 1 Introduction À mon jeune âge, j’étais un enfant lève-tôt (si seulement j’avais gardé cette bonne habitude), c’est à dire qu’à 5h du matin j’étais figé devant la télévision à attendre les dessins animés du matin. En grandissant, cet intérêt du cartoon est resté. Encore aujourd‘hui , j’aime illustrer des personnages comiques, inventer des scénarios en tout genre; l’animation est sans doute un domaine coloré qui me permet de m’amuser un peu. Voilà pourquoi j’ai choisi dans ce cours d’apprentissage autonome de choisir un sujet qui est relié à ce domaine. Au début, je voulais approfondir mes connaissances sur Illustrator et Flash, mais après quelques recherches, je trouvais que le sujet n’était pas assez innovateur. Ensuite, j’ai trouvé un logiciel, peut-être connu par quelques uns, nommé Toon Boom. Pris de curiosité par ce logiciel m’étant étranger, je me suis mandater d’apprendre à l’utiliser, le comparer et d’en connaitre assez pour pouvoir en parler. Je trouvais que ce sujet d’apprentissage était intéressant puisque nous n’avions vu que Flash lors des cours d’animation. Je tenais à savoir pourquoi Toon Boom était si populaire auprès des animateurs de cartoon. Au début, je craignais que le logiciel ressemble trop à Flash et je ne voulais pas présenter quelque chose qui n’était pas assez différent de ce que nous connaissions déjà, c’était d’ailleurs le but du cours d’apprentissage autonome. Suite à mes recherches et expérimentations, j’en ai conclu que ce logiciel était excellent et permettait une grande simplicité pour animer des personnages et autres. Synthèse des travaux Recherche Je dois d’abord signaler que mon chemin dans le cours d’apprentissage autonome à été sinueux est enneigé. Au tout début, j’avais l’intention que mon sujet tourne autour de Illustrator et Photoshop, car j’aime dessiner et je voulais que l’apprentissage du sujet puisse me servir pour éventuellement devenir illustrateur de décor et personnages dans une boite de jeux vidéo ou d’animation. J’ai fait mes recherches sur le sujet les 2 premières semaines. Je suis allé sur smash magazine qui m’offrait des pages entières d’arts vectoriels ou autres accompagné de leur tutoriaux. J’ai fait quelque expérimentations sur Photoshop afin d’utiliser des outils dont je ne m’étais plus ou moins servi dans la technique. Je faisais aussi des recherches pour savoir quelles méthodes les illustrateurs et animateurs adoptaient pour monter un 2 personnage en but de l’animer. Après la 2e semaine, je trouvais que mon sujet était un peu trop vaste et que j’avais de la misère à cerner exactement ce que je voulais apprendre. Mes nouvelles recherches ont donc débutées avec cette question : «Quel est le logiciel le plus utilisé par les animateurs de dessins animés à la télévision?». Après avoir recherché cette information sur le web, plusieurs réponses tournaient autour de Toon Boom. Mes premiers résultats de recherche furent des comparaisons entre flash et ce logiciel. J’en suis venu à conclure que Flash remportait la victoire pour les projets qui étaient destinés pour le web dû à ses preloaders, étant absents chez Toon Boom. Par contre, les outils de dessin de Toon Boom sont largement supérieurs à ceux de Flash. La conclusion était difficile à déterminer, car les 2 logiciels sont bons et dépendent de ce que l’utilisateur à l’intention de faire avec. Par contre, plusieurs animateurs ventent la simplicité de Toon Boom Animate. J’ai noté aussi quelques atouts que procure Toon Boom comparé à Flash et certains autres logiciels d’animation Ce logiciel procure en effet bien des avantages nécessaires pour que ce soit d’illustrer un personnage ou un décor et d’animer le tout. Voici une liste des avantages proposés par le logiciel : - la pelure d’onion (onion skin) - la palette de couleur personnalisable et adaptive - beaucoup, beaucoup et beaucoup d’outils pratiques - l’environnement et caméra 3D - la synchronisation libiale (lip sync) L’expérimentation Ma première expérimentation fût d’abord d’explorer le logiciel. À premier coup d’œil, l’interface ressemble à Flash, c’est à dire qu’il y a un scénario avec une ligne du temps, la façon d’ajouter de nouveaux calques est semblable à Flash, les outils sont tous placés à gauche, certains en haut, bref rien de si dépaysant lorsque nous avons déjà touché à un logiciel d’animation comme Flash. J’ai d’abord testé l’outil pinceau en faisant quelques esquisses tout en modifiant les options du trait (pressions min, pression max, forme, lissage, etc.) grâce à une tablette de dessin. J’ai ensuite passé aux couleurs. Je trouvais ça bien simple, l’interface me faisait penser à paint. J’ai ensuite réalisé que l’on pouvait créer de nouvelles palettes de couleurs et leur ajouter un style qui modifiait la totalité des couleurs. Pour ce qui en est du reste, j’ai majoritairement appris grâce à youtube et ses fameux didacticiels. Après m’être mis familier avec Toon Boom Studio j’ai dessiné une cigarette en cartoon et je l’ai colorié à avec l’aide d’une palette de couleur que je me suis personnalisée exclusivement pour ce personnage. 3 À force de rechercher des informations et des réponses sur le web, je suis tombé sur le nom d’un animateur professionnel qui utilise Toon Boom; Adam Phillips. Ce nom m’est apparu comme une lumière divine à travers les nuages puisque cet animateur à mis en place sur youtube des didacticiels partant de l’ouverture d’un fichier jusqu’au caméra et à l’environnement 3D. Bref, ce gars m’a donné toutes les réponses à toutes mes questions sur le logiciel et m’a en plus appris comment utiliser la majorité de ses fonctions. Merci Adam! Une panoplie d’outils pratiques Toon Boom Animate offre une grande variété d’outils pratique selon le contexte. Chaque outil séléctionné met à jour un espace résérvé aux outils sur l’espace de travail qui offre de multiples alternatives à l’utilisation de cet outil. Une des grandes différences de Toon Boom et Flash réside dans le fait qu’il faut utiliser un outil d’animation pour animer avec Toon Boom. Si par exemple, vous déplacer un objet sur la scène avec l’outil de sélection, l’objet ne sera pas animé. L’outil de morphing est aussi une possibilité impressionnante de toon boom. Elle permet de métamorphoser une forme en une autre de manière assez méticuleuse. L’outil permet un système de points traqueurs que vous positionnez sur les 2 images en transition pour vous permettre une métamorphose précise. Tous ces outils sont applicables selon le contexte de l’animateur. Les outils offrent plus de fonctions que ceux de Flash. La tablette pivotante J’en parle parce que selon moi, c’est un plus comparé à Flash. La tablette tournante sert à faire pivoter votre espace de dessin de façon à accommoder l’illustrateur qui dessine à la main directement dans Toon Boom. C’est un outil bien simple, mais utile. L’onion skin Cette fonction sert à visualiser les jusqu’à 3 frames précédant et/ou suivants celui sur lequel vous illustrez. Cette possibilité est pratique lorsque vous illustrez en frame by frame. Si vous voulez dessiner un cycle de marche par exemple, vous illustrez un frame, rendu au 2e frame vous verrez en transparent l’illustration du frame précédant. Il ne vous suffira de continuer votre cycle en vous basant sur le frame précédant. Voici l’une des raisons pourquoi Toon Boom permet aux animateurs classiques de s’y mettre à l’aise. J’ai testé l’onion skin en griffonnant des trucs bidon sur différents frames du scénario. Je trouvais que c’était un bon petit gadget pour ceux qui aime animer en frame by frame. 4 La palette de couleur personnalisable et adaptive Comme je l’ai mentionné, les palettes de couleur de toon boom sont adaptées à vos illustrations. Il vous est possible de créer autant de palette de couleur que vous le souhaiter. Lorsque vous appliquer de la couleur dans vos illustrations, ces couleurs deviennent dépendantes avec la palette de couleur dans laquelle elles se situent. Si vous changez la couleur qui sert à colorer la peau de votre personnage rendu au 300e frame, la peau de votre personnage sera renouvelé partout dans ces 300 frames. Bref, pas besoin de refaire ces frames un par un pour y changer la couleur. Il est aussi possible de changer les teintes d’une palette de couleur pour donner des effets de nuits, d’ombre, d’éclairage, etc. La synchronisation libiale Voici une exclusivité de Toon Boom : le lip sync. Cette fonction à pour but d’associer des mouvements de bouche à une trame sonore ou une narration. En gros, le logiciel prend une narration que vous aurez importée dans le scénario, reconnaît et sépare tous les de la trame et vous permet d’associer chaque phonème à un illustration de bouche (couramment on utilise une bouche, mais vous pouvez associer n’importe quel dessin à un phonème). J’ai donc ajouté quelques bouches à ma cigarette qui suivait une courte narration prise sur Universal Soundbank. Le résultat était bon, la bouche s’animait toute seule en fonction des phonèmes de la narration, mais quelques correction étaient à apporté. J’en ai conclu que le lip sync est très pratique lors d’une longue narration. Le logiciel fait en partie le travail pour l’animateur, mais le système a ses failles qu’il nous faut corriger par la suite (20% d’erreurs à peu près, tout dépend de la trame sonore.). Cette fonction permet par contre de sauver énormément de temps pour les animateurs. Les symboles Les symboles dans Toon Boom Animate fonctionnent semblablement à ceux dans Flash. Il suffit de dessiner un objet et de le convertir en symbole. Vous pouvez aussi dessiner plusieurs frames à un objet et de convertir tous ces frames en un symbole pour que ces frames soient enregistrés dans le symbole. La manipulation du symbole est plus permissive que dans Flash. Si par exemple vous voulez prendre votre objet et changé son état, vous n’avez qu’a sélectionner le frame correspondant à son état pour que ce symbole change directement. Les bones Beaucoup plus permissifs et facile à utiliser que Flash. Il ne suffit, dans votre scénario, de glisser, par exemple, un calque bras dans un calque avant-bras, glisser l’avant-bras dans un calque épaule, ce qui fait que ces calques sont automatiquement lié à des bones. Il ne suffit plus qu’à déplacer le point de chaque symbole à leurs jointures pour que les bones soient correctement attachés. Vous pouvez, lors de 5 l’animation d’un bones, changé l’état d’un symbole en tout temps (ex. main ouverte à main fermée). Avec Flash, cette option n’était étrangement pas possible. Le Morphing Dans mes recherches, je me suis arrêté sur l’outil de morphing qui me semblait simple à utiliser. Cet outil à pour but de métamorphoser une forme en une autre (de la fumée qui monte dans les air en changeant de forme par exemple). L’outil offre un système de tracking points qui aide le moteur à simuler la métamorphose voulue. Il suffit de placer un track point sur un point ou segment de votre forme 1 et de mettre ce même track point sur l’endroit où devrait être rendu le 2e point ou segment sur votre 2e forme. Toon Boom transformera ensuite les 2 formes en un simple clique. L’utilisation de plusieurs track point est possible au cas ou vos formes sont plus complexes. L’environnement 3D et caméras Le système de caméra et d’environnement 3D est un incontournable chez Toon Boom. En effet, il est possible de monter un décor avec perspectives 3D. Grâce au mode de vue des caméras, il vous est possible de distancer vos calques de façon structurée et d’animer une caméra qui parcourra votre décor. Vous pouvez aussi construire des surfaces 3D, comme un bâtiment qui comporte 4 faces. Il devient alors plus facile d’animer votre décor de façon réaliste avec les caméras puisque vous n’aurez pas besoin de simuler un effet de perspective par vous-même. Ces apprentissages m’ont permis de réaliser une autre grande différence d'Animate et Flash. La disposition de vos calques dans le scénario de Animate n'influence pas leur position par rapport à chacun (le calque placé en première position sur le scénario n'est pas nécessairement au premier plan sur la scène). Vous pouvez en effet, grâce aux vues caméra (top et profil) disposez la distance entre vos calques quelque soit leur ordre dans le scénario. J’ai de plus testé l’utilisation de l’environnement 3D de Toon Boom. Pour expérimenter ces fonctionnalités, j’ai dessiné un buisson et une balle. Grâce à la vue de caméra Top, j’ai placé le buisson à une certaine distance de la caméra et la balle juste derrière le buisson. J’ai par la suite animé la balle cachée derrière un buisson qui sautait par dessus ce buisson pour atterrir en face. Je n’ai fait que déplacer la balle devant le buisson dans la vue de caméra Top et dans la vue de face, j’ai fait le mouvement de bas en haut et de haut en bas. C’est tout! J’en ai déduis que cette façon était bien plus simple pour animer que Flash. Dans Flash il aurait fallut un autre calque de la même balle au dessus du buisson et il aurait fallu animer celle-ci en 2 temps dans 2 calques. 6 Bilan des problèmes rencontrés Le premier ralentissement que j’ai rencontré dans ce projet a été mon changement de sujet. J’ai perdu une semaine et demie à faire des recherches sur quelque chose qu’au fond était trop vaste et pas assez innovateur à mon goût. Heureusement, j’ai vite trouvé mon sujet et je me suis lancé rapidement. J’ai rencontré un autre grand problème plus tard à force de regarder des tutoriaux. Je m’apercevais que l’interface de l’utilisateur différait souvent de la mienne. Je me disais que ce n’était peut-être qu’une version plus ancienne ou plus récente de Toon Boom Studio. Après quelque recherche sur le cas, j’ai réalisé que la version que je voulais en fait n’était pas Toon Boom Studio, mais bien Toon Boom Animate Pro (la version optimale). Cette version supérieure (et beaucoup plus onéreuse) offrait beaucoup plus de possibilité que son petit frère (Studio). Je me suis aperçu de mon erreur en visualisant un tutoriel sur la finnission d’un personnage. Le professeur ouvrait un espace de travail, que je n’avais pas, nommé «Composition». Cet espace de travail sert à ajouter des filtres et des style à vos calques pour leur donner un effet quelconque. L’espace mettait en place des «pods» que l’on reliaient à d’autres «pods» attitrés à différents effets. Nous avions utilisé ces «pods» dans Blender pour ajouter des effets de couleurs pour ceux qui s’en souviennent. J’ai par la suite eu de la difficulté à trouver une version de Animate pour mac, en fait je n’en ai même pas trouvé. J’ai donc téléchargé une version pour pc que je ne pouvais qu’utiliser à l’école sur VirtualBox. Mais bon, une fois m’être procuré cette version, il n’y a plus eu de problème, j’étais cent pour cent à jour. Bilan de la progression du travail Semaine 1 Mon sujet étant encore flou, j’ai consacré cette semaine à la recherche sur l’illustration vectorielle et la quête de démos d’arts vectoriel. J’ai trouvé un site rempli de ces démos d’arts que j’ai trié afin de choisir ce que je voulais apprendre. J’ai pris les 12h planifiés pour lire et parcourir les démos et planifier la rencontre en expérimentant quelques démos sans plus. 7 Semaine 2 Cette semaine je prévoyais faire quelque chose de concret. J’ai choisi 3 démos dans la liste que j’avais trouvé et je l’ai ai expérimenté avec Illustrator/Photoshop. J’ai pris environ 10h/12h pour continuer mes recherche et choisir les démos qui me convenait en en regardant plusieurs. Le manque de motivation justifie les heures de retard, puisque que je ne savait plus où je voulais en venir. Semaine 3 J’ai trouvé durant la fin de semaine d’avant un logiciel nommé Toon Boom. Durant cette semaine, j’ai téléchargé Toon Boom Studio 6.0. J’ai d’abord testé quelques outils de base pour comprendre le logiciel tout en recherchant des démos et des sites qui expliquaient pourquoi choisir Toon Boom. J’ai pris mes 12h cette semaine pour planifier ma rencontre avec ce nouveau sujet et rechercher des informations sur Toon Boom. J’ai aussi dessiné une cigarette cartoon en guise d’expérimentation. D’après mes lecture, il existe une différence entre Toon Boom Studio et Animate, je dois me procurer Animate. Semaine 4 J’ai pris mes 12h planifiées cette semaine pour lire davantage sur le sujet. J’ai appris comment le lip sync fonctionnait en le testant sur ma cigarette. J’ai découvert de nouveaux sujets d’apprentissage grâce à mes lectures. Malheureusement, je ne trouve pas Animate et je perds trop de temps à regarder des démos que je ne peux pas expérimenter. Semaine 5 Installation de Toon Boom Animate réussi. Je compare davantage Flash et Toon Boom et reconnaît des avantages chez Animate. Je parcours des démos sur les bones et sur les calques PEG. Je découvre les nouveaux outils. J’expérimente le scénario avec les interpolations. Comme objectif, je désir savoir ce qu’est l’outil de morphing et en quoi consiste l’environnement 3D de Animate. Mes 12h planifiées on été remplies en découvrant le nouveau logiciel et en regardant des démos. Semaine 6 Je découvre Adam Phillips et ses démos détaillés. J’apprends à utiliser la totalité des outils et leurs atouts ainsi que l’outil de morphing. Avec tout ces démos, je n’ai pas le temps d’explorer comme je le veux les caméras 3D, mais je suis content d’apprendre autant de détails nécessaires. 12h sont consacrées à l’acquisition de nouvelles connaissances sur les outils, le morphing et l’utilisation des bones. Aucune expérimentation effectuée puisque la qualité des démos me rend confortable. 8 Semaine 7 Je poursuis les démos d’Adam Phillips dans la section 3D. Je fais quelques expérimentations dont la balle et le buisson. Je prend 12h pour écouter les démos, de le comprendre, d’expérimenté dans le logiciel et de commencer à planifier clairement les sujets de mon oral. Semaine 8 Cette semaine est plutôt brisée. Nous avons la remise de Tim dont j’accorde plus d’importance. Cette semaine est réservé à la gestion de mon oral, à l’écriture ou la correction de billets dans le blog. Ce bilan ci-contre prend aussi beaucoup de temps à écrire. Mes propres démos pour la présentation sont en cours. J’ai atteint plus de 20h dans l’écriture de ce bilan, les billets du blogue manquants et la réalisation de démos pour l’oral. Technologies Les dessins que vous effectuerez dans Toon Boom sont vectoriels, comme dans Illustrator. C’est pratique, car si vous préférez illustrer dans Illustrator, il est possible d’importe un .ai dans Toon Boom puisque c’est pour les deux logiciels le même langage. Il est possible dans Toon Boom de créer une couleur de texture. Vous pouvez donc créer une texture dans Photoshop et importer le .jpg, .gif ou .png directement dans Toon Boom. Bien des animateurs et illustrateurs aiment utiliser une tablette de dessin pour dessiner directement dans le logiciel, puisque celui-ci offre des outils très performants, accommodant et simple à utiliser pour ce qui est question d’illustration et d’animation. De plus, Animate Pro vient avec le logiciel StoryBoard Pro dans lequel vous pouvez effectuez le story board de vos animations. Si j’avais à recommencé mon travail, je crois que je débuterais directement dans Animate Pro et non dans Studio, car Animate offre plus de fonctionnalités que Studio. Je suis tout de même content d’avoir pu essayé les deux versions. Je trouve qu’Animate permet des solutions faciles et essentielles à la réalisation d’une animation. Son interface instinctive et son look user-friendly donne envi de l’utiliser et 9 de cliquer partout. Bien que le système d’exportation vidéo de Flash surpasse Toon Boom, l’utilisabilité et la simplicité d’Animate rend la tâche plus rapide et moins frustrante. Perspectives Je ne me considère pas du tout comme un professionnel de Toon Boom. J’en ai appris beaucoup, je saurais probablement comment faire une animation complète, mais le logiciel offre encore plein d’options que mes recherches n’ont même pas effleurées. Si j’avais à continuer mon travail, je crois que j’aimerais parcourir et appliquer tous les points avantageux que j’ai nommé sur Toon Boom dans une animation simple que je referais dans Flash pour conclure un bilan des différences et des problèmes rencontrés. Je sais qu’en réalisant un projet dans Animate, les questions recommenceraient à s’empiler dans ma tête. Dans ma future carrière en multimédia, je sais que je ne ferai pas seulement de l’animation. Je n’ai pas choisi d’explorer Toon Boom en espérant nécessairement l’utiliser toute ma vie, car ce logiciel n’est pas vraiment destiné à être appliqué dans le domaine du web. Je l’ai choisi simplement parce que je m’intéresse au cartoon et que c’était une bonne occasion de m’enrichir dans le domaine de l’animation. J’ai quand même en tête que les animateurs professionnels de dessins animés à la télévision utilisent souvent Toon Boom. Je reconnais donc que certains gens vivent grâce à ce logiciel, qui représente pour eux un métier. Si j’avais l’intention de faire de l’animation télévisée à un moment donné dans ma vie, je saurais que l’apprentissage de Toon Boom Animate est une belle porte d’entrée. Conclusion Ce cours d’apprentissage autonome m’a permis de me faire réaliser mes faiblesses et mes forces en autonomie. J’ai remarqué que j’apprends beaucoup mieux lorsqu’on me présente des exemples visuels puisque j’ai majoritairement regardé des vidéos de tutoriaux que lu des textes. J’ai aussi pu constater que j’étais totalement pourri en gestion et paperasse… Malgré mes défauts, j’ai tout de même appris grandement sur Toon Boom. Comme j’ai pu le mentionné Toon Boom est un logiciel d’animation très utilisé dans le domaine de l’animation. Il permet aux animateurs classiques de s’y accommoder avec les nombreuses possibilités qu’offre l’interface et les outils de dessin. Je dirais que le grand avantage de ce 10 logiciel est qu’il permet de tout faire le plus simplement et rapidement possible comparativement à d’autres logiciels d’animation. Sa qualité est reconnue par beaucoup d’animateur professionnel et son usage se retrouve dans plusieurs séries ou films animé populaires. Il est difficile de dire qu’il surpasse son compétiteur Flash, car Flash permet l’actionScript et reste un logiciel très puissant, mais pour ce qui en est de l’animation non interactive, Toon Boom Animate m’a convaincu de sa grandeur et de son efficacité. 11 Bibliographie https://www.toonboom.com http://en.wikipedia.org/wiki/Toon_Boom_Animation. http://www.pahgawks.com/blog/flash-vs-toon-boom/ http://vimeo.com/3827597 http://www.youtube.com/watch?v=OKTGv_oXG2Y http://www.youtube.com/watch?feature=endscreen&NR=1&v=J7yOtQEwZ4c http://www.youtube.com/watch?v=y8J0JxdsnBE http://www.youtube.com/watch?v=sxdze62ddw4 http://www.youtube.com/watch?v=rXbzZok3PFs https://www.youtube.com/playlist?list=PL0452AA32719DF021 12 Annexes 13